Un patrimoine plus grand, plus beau. Les Agences de l`Opal vous

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Un patrimoine plus grand, plus beau. Les Agences de l`Opal vous
ÉTÉ 2014
N°58
L E M A G A Z I N E D E S R É S I D E N T S D E L’ O P H D E L’ A I S N E
Les Agences de l’Opal vous ouvrent leurs portes
Un patrimoine plus grand, plus beau.
p. 3
La clinique du Cèdre
à Tergnier
p. 6
www.opal02.com
La Résidence à Chauny
Edito
N°58
du
président
Maintenance
• CHAUNY.
• SAINS-RICHAUMONT.
• HIRSON BLANGY.
La continuité du service public : voilà ce qui motive
chaque jour les équipes de l’OPH de l’Aisne. Ce
numéro de Voisin Voisine vous invite à entrer dans la
vie des agences de l’Office. Chaque jour, ses équipes
y reçoivent les familles qui ont besoin d’un soutien
technique, administratif ou social.
Dans la crise qui secoue le département, les résidents
de l’OPH de l’Aisne peuvent donc compter sur les
compétences de ses équipes pour être renseignés et
aidés.
Pour plus de proximité avec les résidents et d’efficacité
technique dans l’entretien de son patrimoine, l’Office
a récemment changé sa répartition territoriale. Une
nouvelle agence s’est ajoutée aux sept présentes
à Hirson, Tergnier, Soissons et Laon. L’agence Sud
installée à Soissons gèrera donc 1 474 logements du
Soissonnais et du sud de l’Aisne.
Cette qualité de service ne s’exprime pas uniquement
auprès des milliers de résidents de l’OPH de l’Aisne.
Elle a cours aussi parmi les collectivités qui s’adressent
à l’Office pour bâtir des logements sociaux, implanter
des équipements collectifs et transformer de vieux
immeubles en centres de vie. Ainsi l’ancienne clinique
du Cèdre de Tergnier abritera en 2016 quarante studios
et le futur Etablissement d’hébergement pour personnes
âgées dépendantes (EHPAD) 68 lits à La Ferté-Milon.
Ce nouveau numéro de Voisin Voisine décrit tout le
travail qui s’accomplit dans le quartier de la Résidence
à Chauny : améliorations des cadres de vie, de la
sécurité publique, des équipements des immeubles,
etc. C’est l’exemple même de la collaboration efficace
des services de l’OPH de l’Aisne avec ceux de l’Etat,
d’une Communauté de communes et d’une commune.
Thierry Thomas
Président de l’OPH de l’Aisne
Conseiller général du canton du Nouvion-en-Thiérache.
Maire de Boué.
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Projets de quartiers
• LA RÉSIDENCE À CHAUNY.
De grands chantiers originaux
• TRANSFORMATION DE L’ANCIENNE CLINIQUE DU
CÈDRE DE TERGNIER EN LOGEMENTS POUR PERSONNES
HANDICAPÉES.
• L’EHPAD DE LA FERTÉ-MILON.
Dossier
pages
3-4
• LES AGENCES DE L’OPAL VOUS OUVRENT LEURS PORTES
pages
8-9
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10
l’Opal comment ca marche ?
Quand l’Opal bâtit dans l’Aisne
• CHAMBRY : LIVRAISON D’UN QUARTIER NEUF RUE JEAN
MOULIN :
18 MAISONS, 15 PARCELLES MMA, 8 PARCELLES LIBRES.
• COUCY-LES-EPPES : ACQUISITION–AMÉLIORATION D’UN
BÂTIMENT D’ENTREPRISE TRANSFORMÉ EN 15 LOGEMENTS.
• NESLES-LA-MONTAGNE : PROJET DE CONSTRUCTION D’UN
LOTISSEMENT ORIGINAL DE 23 LOGEMENTS.
• SISSONNE : ACQUISITION-AMÉLIORATIONTRANSFORMATION DE L’ANCIENNE ÉCOLE.
• BOHAIN-EN-VERMANDOIS : ACQUISITION ET
TRANSFORMATION EN LOGEMENTS D’UNE ANCIENNE
STATION SERVICE DU CENTRE VILLE.
• BUIRONFOSSE : CONSTRUCTION D’UN LOTISSEMENT DE 15
LOGEMENTS POUR PERSONNES ÂGÉES.
• SINCENY : CONSTRUCTION D’UN LOTISSEMENT DE 20
LOGEMENTS ET DE 7 PARCELLES MMA.
• PRU À SOISSONS DANS LE QUARTIER DE CHEVREUX :
PERCEMENTS DE LA BARRE.
• PROJET DE L’OPAL DANS LE QUARTIER SAINT-CRÉPIN À pages
SOISSONS.
5-6
• LES CHARGES LOCATIVES : À QUOI SERVENT-ELLES ?
• DEVENIR PROPRIÉTAIRE : LES PROCÉDURES À SUIVRE.
• ESPACES ET PARTIES COMMUNES.
• ENQUÊTES SATISFACTION DU CLIENT.
1 place Jacques de Troyes - 02007 Laon Cedex - tél. 03 23 23 62 00 - télécopie 03 23 23 62 40 - courriel : contact@
opal02.com / Directeur de la Publication : Thierry Thomas / Directeur Adjoint de la publication : Christian Billot / ont
collaboré à ce numéro le Comité de Direction et le Service Communication de l’Opal / Crédits photographiques : Opal /
Conception Graphique : www.mikadudrik.com OPAL ISSN 11479310
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On ne le dira jamais assez
• SÉCURITÉ AUX BALCONS ET AUX FENÊTRES.
• UTILISER DU VINAIGRE BLANC COMME DÉTARTRANT.
• NE PAS OBSTRUER LES BOUCHES D’AÉRATION DES
LOGEMENTS.
• LE CONSEIL GÉNÉRAL DE L’AISNE A LANCÉ UN DISPOSITIF
DE COVOITURE POUR LES AXONAIS QUI PARTENT TRAVAILLER.
• RÉPONDRE À L’ENQUÊTE DE LA CAF.
• LES AGENCES DE L’OPAL
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N°58
De grands chantiers originaux
Tergnier
QUARANTE STUDIOS DANS UNE ANCIENNE CLINIQUE
À Tergnier, l’OPAL de l’Aisne fera bientôt rénover et transformer la clinique du Cèdre fermée depuis plusieurs années. Son bâtiment abritera
un centre d’hébergement de travailleurs handicapés mentaux pris en
charge par l’Aide aux enfants inadaptés (AEI) de l’Aisne.
Dans les couloirs déserts de l’ancienne clinique
du Cèdre à Tergnier, le visiteur ressent encore la
présence des patients. Cet établissement privé qui
possédait 21 chambres au premier étage et 18 au
second, avait commencé à soigner des malades
en 1972.
Désormais, vidées de leurs équipements, ses
salles d’opération, de réveil, de soins intensifs ou
de radiologie laissent à peine la lumière pénétrer
des couloirs silencieux. La vie de la clinique du
Cèdre s’est arrêtée en 2012, lorsque ses activités
médicales et ses soignants ont rejoint le centre
hospitalier de Chauny.
Mais la vie va renaître dans la clinique
abandonnée. L’OPAL de l’Aisne, propriétaire du
vieil établissement et de son parc d’un hectare
depuis le 13 mai 2014, a l’intention de rénover les
lieux, de les restructurer, de les réaménager, de
les agrandir. Bref, de les transformer en un centre
d’hébergement pour des personnes handicapées.
LE TRANSFERT D’UN FOYER OBSOLÈTE
Ce projet original est né du partenariat de l’OPAL
de l’Aisne et de l’association « l’Aide aux enfants
inadaptés » (AEI) qui compte quelque 180 salariés
dans l’Aisne. Elle gère à Béthancourt-en-Vaux (près
de Chauny) un foyer d’hébergement d’adultes
handicapés de 39 places. Mais cet établissement
datant de 1975 est aujourd’hui obsolète. De fait
l’AEI a-t-elle projeté le transfert de ce foyer dans
l’ancienne clinique du Cèdre.
« Le projet souhaité, explique François Philippe
chargé du montage de cette opération à l’OPAL de
l’Aisne, est celui d’un établissement de type centre
d’habitat (rénovation et extension) permettant
d’héberger quarante personnes en situation de
handicap. Il doit proposer un cadre architectural
répondant aux normes thermiques actuelles et
mettre le résident au centre des préoccupations
par une meilleure prise en charge de la personne
en difficulté. »
OUVERTURE PRÉVUE EN 2016
Dans l’ancienne clinique, dont les cloisons
seront abattues, vont être aménagés 30 studios
(dont un d’accueil temporaire), les bureaux des
services médico-sociaux, des salles d’activités
et de réunions, le restaurant (70 m²) et sa cuisine
de réchauffage et des laveries (à chaque étage).
Dix autres studios (avec une pièce commune et
leur laverie) seront aménagés dans un bâtiment à
construire dans le parc de l’ancienne clinique. Il
faut noter que les studios, adaptés à la mobilité
réduite, couvriront chacun 25 à 30 m² (avec
douche, lavabo et toilettes).
Ce grand chantier de restructuration, d’un coût
total de 4 M€ (TTC) financé par le Conseil général
de l’Aisne, l’Etat et l’OPAL, doit commencer à
l’hiver 2014.
Les studios pourront être occupés au printemps
2016. L’AEI versera alors un loyer annuel à l’OPAL
de l’Aisne maître d’ouvrage et propriétaire du
nouvel établissement.
PROTECTRICE D’ENFANTS ET
D’ADULTES FRAGILES
L’association « l’Aide aux enfants inadaptés » (AEI)
a été créée à Tergnier en 1964. Présidée par Daniel
Dardenne, elle emploie aujourd’hui 180 salariés
qui prennent en charge 450 enfants et adultes
handicapés mentaux.
L’AEI gère ainsi plusieurs établissements spécialisés
rassemblés en quatre thématiques :
• Le médico-éducatif :
Le centre Brunehaut de Vouël (105 places d’enfants
dans un institut médico-pédagogique et un institut
médico-professionnel).
L’espace René Poulet dans le centre Brunehaut de
Vouël (7 places d’enfants autistes).
• Les ateliers de travail :
L’Etablissement et services d’aide par le travail
(ESAT) « Edmond Dufour » : le site de Chauny (120
places d’adultes) et le site de La Fère (103 places
d’adultes).
• L’hébergement :
Le centre d’habitat de la Résidence du Lac à La Fère
(21 places d’adultes), l’internat de Vouël accueillant
25 enfants et adolescents et le foyer d’hébergement
de Béthancourt-en-Vaux qui reçoit 39 personnes.
• L’insertion :
Le Service d’éducation spécialisée et de soins à
domicile (SESSAD) de Tergnier (50 places d’enfants),
et le Service d’accompagnement à la vie sociale
(SAVS) des sites de Chauny et La Fère (74 places
d’adultes).
Les foyers d’hébergement d’adultes handicapés
sont pour la plupart des prolongements d’ESAT.
Ce sera le cas du futur centre d’hébergement de
l’ancienne clinique du Cèdre à Tergnier situé à égale
distance des sites de l’ESAT Edmond Dufour à
Chauny et à La Fère.
Il sera aménagé et organisé de façon à responsabiliser
les occupants des studios (entretien du logement et
du linge). A noter que les frais d’hébergement des
adultes handicapés dans un établissement de l’AEI
sont à la charge du résident. Sa participation varie
selon les prestations de son centre d’hébergement et
sa situation professionnelle et familiale (sous réserve
d’un minimum de ressources à sa disposition).
L’ancienne clinique du Cèdre fut ouverte au début
des années 70
Ce projet original est né du partenariat de l’OPAL
et de l’association « l’Aide aux enfants inadaptés » (AEI)
qui compte quelque 180 salariés dans l’Aisne.
Des adultes handicapés sont
employés dans les ESAT.
Les activités de la clinique ont cessé en 2012.
Transformations des façades de l’ancienne clinique.
03
N°58
QUAND LA LUMIÈRE SOULAGE LES SÉNIORS
À La Ferté-Milon, l’OPH de l’Aisne fait construire un établissement
d’hébergement de personnes âgées dépendantes (EHPAD) qui sera très
éclairé naturellement et disposera d’un Pôle d’activités et de soins adaptés
(PASA).
Les médecins ont découvert au XIXe siècle les
bienfaits de l’activité physiologique de la lumière
naturelle. Elle régule nos horloges biologiques,
améliore nos phases de sommeil et soutient notre
moral.
C’est dans cet esprit positif que le projet d’EHPAD
à La Ferté-Milon a été conçu afin de remplacer
une maison de retraite construite au XIXe siècle,
obsolète et trop exigüe aujourd’hui.
A travers des baies vitrées, la lumière du jour baignera donc largement les chambres et les locaux
médicaux et administratifs du nouvel établissement.
Rez-de-chaussée et étage communiqueront à travers des atriums, diffuseurs du soleil et rappelant
les décors des hôtels de standing. Et dans les
salons de télévisions et des familles, dans les espaces collectifs et circulatoires, trois puits, dont un
puits central au-dessus du grand escalier, diffuseront une lumière généreuse.
UN ÉTABLISSEMENT DE 68 LITS
L’une des chambres du futur EHPAD.
• COÛT DU PROJET : 8,8 M€ TTC
• SURFACE COUVERTE : 4 870 M²
• NOMBRE DE LITS : 68.
• UN EHPAD (52 LITS), UNE UNITÉ
ALZHEIMER (16 LITS) ET UN PASA
La construction du nouvel établissement s’achèvera
en 2015.
Le projet d’EHPAD à La Ferté-Milon a été conçu
afin de remplacer une maison de retraite construite au
XIXe siècle, obsolète et trop exigüe aujourd’hui.
Toutefois, pour garantir un bon comportement
thermique des locaux, des brise-soleil (pour
l’orientation au sud-ouest) et des volets roulants
électriques équiperont les baies vitrées. Des stores
automatisés protègeront les puits de lumière.
« Ainsi, l’ouvrage ne génèrera pas de surchauffe,
indique Dominique Basin, en charge de l’opération
à l’OPAL. Son coût d’entretien restera raisonnable.
En mi-saison, les puits de lumière fonctionneront
comme des capteurs thermiques. »
L’EHPAD de La Ferté-Milon dont la construction
a commencé cet hiver et qui s’achèvera en 2015,
disposera de 68 lits. Ils seront ainsi répartis : 52
lits d’hébergement médicalisés pour personnes
âgées dépendantes et 16 destinés aux personnes
atteintes de la maladie d’Alzheimer (et un lit supplémentaire dans une chambre d’hôtes).
L’EHPAD abritera un PASA*, « une valeur ajoutée
à l’établissement. » Ce pôle accueillera des résidents à la journée « afin de maintenir le plus longtemps possible leur autonomie dans la vie quotidienne », et des résidents souffrant de troubles
psycho-comportementaux afin d’améliorer leur
sécurité et la qualité de leur vie.
Le nouvel établissement sera
particulièrement lumineux.
* Pôle d’activités et de soins adaptés.
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À Sinceny,
au lieudit « Le Chemin de Soude », sur un
terrain de 15 000 m² cédé par la commune
(euro symbolique), l’OPH de l’Aisne fera
construire cette année 20 logements individuels dont 14 seront réservés à des personnes âgées. La municipalité de Sinceny
veut ainsi compléter l’offre de résidence offerte aux séniors sur une commune comptant déjà une maison de retraite. Le nouveau
lotissement, d’un budget total de 2,6 M€
TTC et dont les maisons disposeront de toitures végétalisées, de jardins privatifs et de
garages ouverts, comprendra 6 logements
de type IV, 7 de type III, 7 de type II et 7 parcelles du dispositif d’accession à la propriété
« Ma Maison dans l’Aisne ». La construction
du nouveau lotissement doit durer 19 mois. Il
devrait être terminé en janvier 2016.
04
À Coucy-les-Eppes,
l’OPH de l’Aisne a acquis auprès d’un particulier les bâtiments et les hangars d’une ancienne entreprise située entre la rue Principale
et le chemin rural de Derrière le Four. Les hangars et une partie des bâtiments ont été démolis. Une autre partie des bâtiments est en cours
de réhabilitation et quatre bâtiments neufs en
construction. Le nouvel ensemble d’un coût
de 1,5 M€ (TTC), abritera un logement de type
V, un de type IV, deux de type IV duplex, un
de type III, six de type III duplex et un de type
II, soit au total 12 logements locatifs. Le chantier qui a commencé en septembre 2013 doit
s’achever fin 2014.
À Sissonne,
l’OPH de l’Aisne a acquis auprès de la commune l’ancienne école de ce chef-lieu de
canton. Elle constitue une parcelle de 492 m²
située entre la rue du Général de Gaulle et le
chemin rural conduisant au cimetière. Le projet de l’OPH de l’Aisne est de réhabiliter deux
bâtiments (salles de classe et logements des
instituteurs), d’y installer six logements (TII,TIII
et TIV) dont deux réservés aux personnes à
mobilité réduite, d’aménager la cour commune
et de créer une liaison transversale entre les
deux voies bordant l’ancienne école. Ce projet
d’un coût total de 567 000 € (TTC) devrait être
réalisé à l’automne 2015.
N°58
À Bohain-en-Vermandois,
l’OPH de l’Aisne a acquis la friche de 3 800 m²
d’une ancienne station service bordée par les
rues Virgile Misery et Jean Jaurès. L’Office y
a fait construire douze logements individuels
(2 TIII, 6 TIV et 4 TV). Ce sont huit maisons
mitoyennes et quatre individuelles, disposant
toutes d’un garage et d’un jardin privatif (de
100 m² à 140 m²). Ayant commencé en juin
2012, le chantier de construction d’un budget de 1,6 M€ (HT) s’est achevé récemment.
Huit logements situés dans la rue Misery sont
disponibles à la location depuis avril. Quatre
logements situés dans l’allée Lucien Lefèvre
qui dessert le nouveau lotissement sont disponibles depuis la fin mai.
À Buironfosse,
sur un terrain de 7 000 m² appartenant à la
commune, l’OPH de l’Aisne fera construire un
lotissement de quinze logements de plain-pied
(de type II et III) destinés aux seniors. Cette
opération d’un coût total de 1,7 M€ (HT - subventionnée notamment par l’Etat, le Conseil
général de l’Aisne et le Conseil régional de Picardie) découle d’une demande de la municipalité. Le nouveau projet jouxtera la maison de
retraite de Buironfosse. Les résidents auront la
possibilité de prendre leurs repas et participer
à des d’activités à la maison de retraite en empruntant une liaison piétonne. Le chantier doit
durer 15 mois. Les logements devraient être
disponibles pour la fin de l’année 2016.
UN PROJET POUR SAINT-CREPIN
DES TROUÉES DANS LA BARRE
À Soissons, dans le quartier de Chevreux, la dalle, le grand immeuble de
800 m de long, qui abritait 333 logements, a été percée à trois endroits.
Il s’agissait ainsi de la diviser en quatre ensembles résidentiels.
Ces grands travaux de percées et de découpages
de la barre ont nécessité l’emploi de petites pelles
mécaniques. Elles ont excavé les lieux depuis les
terrasses de l’immeuble géant afin d’éviter que
les vibrations causées par de plus gros engins
n’endommagent les joints de dilatation de la barre.
Cependant, pour la deuxième et troisième trouées,
aux endroits ne comportant pas de joints, les
entreprises chargées des travaux ont employé
depuis le sol de plus grandes excavatrices.
À Chambry (près de Laon),
non loin du centre commercial, l’OPH de
l’Aisne a fait construire un lotissement au lieudit « Chemin d’Athies-sous-Laon », rue Jean
Moulin. La réalisation de ce lotissement a nécessité un budget de 2,2 M€ TTC (sans MMA).
Il constitue un nouveau quartier de la commune composé de 18 logements individuels
mis en location par l’OPH de l’Aisne, associés
à quinze parcelles réservées à l’opération « Ma
Maison dans l’Aisne » (MMA) soutenue par le
Conseil général (12 sont déjà bâties) et à 8 parcelles en libre accession à la propriété.
Dans chaque trouée, quelque 1 500 tonnes de
gravats ont été dégagées. « C’est un chantier
très compliqué, parce que c’est un site occupé. Il
faut veiller à la sécurité de tous à tous les instants
et, au préalable, dévier tous les réseaux qui
passent par les parkings souterrains », expliquent
Didier Chatelain, chargé d’opération à l’OPAL,
Frédéric Noury, maître d’œuvre et Julien Mercier,
conducteur de travaux.
À Soissons, L’OPAL a conduit l’étude d’un plan
d’amélioration de ses 1 200 logements du quartier
Saint Crépin et de leurs espaces extérieurs. Le
conseil d’administration vient de voter le plan qui
prend en compte la situation sociale de ce quartier.
La feuille de route de l’OPAL est toute tracée.
LES PRINCIPALES ACTIONS DE 2014 À 2016
• Près de 3.000.000 € sont votés pour assurer des
travaux de remplacement d’équipements sanitaires,
de traitement de façades, de mise en place d’accès
dans les halls par badge.
• Prise en compte du besoin de logement de tous,
personnes jeunes ou âgées, en créant ou en maintenant
des logements économiques et regroupant certains
logements superposés.
• Amélioration des espaces extérieurs : le quartier
dispose de beaucoup d’espaces verts qui seront
rendus plus agréables encore. En 2014, une étude
précise sera menée dans ce cadre. Les jardins visibles
de la rue feront l’objet d’un suivi par l’agence OPAL
qui sensibilisera les usagers à l’aide d’un guide de
« bonne conduite ».
• Poursuite par le conseil d’administration de la
politique de vente aux locataires qui le souhaitent
de certains logements individuels dans certains
secteurs bien définis.
• Etude de l’amélioration de la vie sociale (tranquillité, respect des voisins et des lieux) sur certains
îlots du quartier en mettant en œuvre des « projets
de quartiers » réunissant tous les acteurs responsables : Etat, Conseil général, Ville, OPAL et, surtout, habitants du quartier.
Il faut rappeler qu’à Soissons 33 millions d’euros
sont consacrés à un vaste Plan de rénovation
urbaine (PRU) des quartiers de Chevreux et de
Presles. La commune pilote le projet tandis que
l’OPH de l’Aisne conduit les grandes opérations
de rénovation.
De gauche à droite, Frédéric Noury, Didier Chatelain
et Julien Mercier.
Une grande pelle mécanique a été utilisée dans la deuxième trouée de la barre.
05
N°58
Maintenance
UN PATRIMOINE BIEN ENTRETENU
• Dans le quartier de La Résidence à Chauny,
l’OPAL fait ravaler les façades de huit bâtiments
collectifs et moderniser l’éclairage de leurs parties
communes. L’OPAL fait aussi changer les portes
des descentes de caves que les résidents peuvent
désormais ouvrir et fermer à l’aide de leur badge
d’entrée. Etalée sur 2013 et 2014, cette opération
mobilise un budget de 372 000 €
• À Sains-Richaumont, dans son immeuble de
la rue Susini, l’OPAL a fait remplacer toutes les
huisseries extérieures et moderniser, comme à
la Résidence à Chauny, l’éclairage des parties
communes (utilisation de LED et de systèmes
d’allumage par détection de mouvements). De
plus, l’OPAL a fait changer la porte d’entrée de
l’immeuble et celle de son local commun. L’Office
a fait aussi installer un interphone à l’entrée. Ces
travaux ont consommé un budget de 24 000 € HT.
• Dans le quartier de Blangy à Hirson, des travaux
de restauration des parties communes des
immeubles de l’OPAL ont été entrepris. L’Office a,
de plus, fait remplacer la plomberie, les faïences et
les recouvrements de sols dans les salles de bain
des logements. A noter que les procédures et le
déroulement des travaux de désamiantage sont
testés dans un des logements des immeubles de
Blangy.
projets de quartiers
IL Y A DU NEUF À LA RESIDENCE
Changer l’image de ce quartier populaire de Chauny ! L’OPAL s’y emploie
depuis de nombreuses années, et surtout depuis la signature d’une
convention de gestion urbaine de proximité avec la Ville, la Communauté
de communes et l’Etat.
« J’arrive à 9 h 30. J’entre dans la salle d’attente.
Elle est pleine. Et c’est du non stop jusqu’à 11 h
30 », raconte Isabelle Van Hyfte. Cette conseillère
résidents de l’agence ternoise de l’OPAL tient tous
les jeudis une permanence au rez-de-chaussée
d’un immeuble de la Résidence de Chauny.
L’OPAL y possède huit immeubles construits dans
les années 70. Ils abritent 280 logements où vivent mille résidents dont beaucoup d’enfants et
d’adolescents.
« Les gens viennent me voir pour toutes sortes
de choses : des réclamations, des paiements de
loyers, des attestations d’assurance, poursuit Isabelle. Mais je sens bien souvent qu’ils viennent
aussi parler de leur vie, se rencontrer. »
Les deux heures de permanence à La Résidence
se passent dans le calme. C’est à l’image du
quartier : « C’est un quartier homogène qui aujourd’hui vit assez bien » précise Mathieu Hervy,
chef d’agence de l’OPAL à Tergnier dont dépend
La Résidence à Chauny.
DES RÉSIDENTS CONTENTS DE L’OPAL
Il souligne la mauvaise réputation qui, jadis,
caractérisait ce quartier populaire et le fait que 92 %
des locataires de l’OPAL y ont des ressources en
dessous du plafond HLM.
« Il y a encore trois ou quatre ans, dans le
quartier, les poubelles et les voitures flambaient.
Aujourd’hui, on ne voit plus de squats d’ados ou
de jeunes adultes dans les halls. Les dégradations
ont beaucoup diminué même si nous constatons
encore des tags qu’on nettoie très vite »,
témoignent Jean-Luc Hombert et Franck Tellier,
employés d’immeuble résidant sur place.
En 2012, un diagnostic du quartier effectué avec
ses habitants par un cabinet avait révélé « les très
bonnes relations des résidents avec les employés
d’immeubles de l’OPAL » et la qualité du service
rendu par la permanence hebdomadaire de l’Office.
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Quelque mille personnes vivent dans les huit
immeubles de l’OPAL.
LA RÉSIDENCE
• Nombre de personnes par foyer (moyenne) : 2,50,
• Nombre d’enfants par foyer (moyenne) : 1,03,
• Nombre de familles monoparentales : 75 (avec
136 enfants),
• Tranches d’âges caractéristiques : 19 % de 3 à 6
ans ; 28 % de 7 à 12 ans, 16 % de 12 à 15 ans, 9 %
de 16 à 18 ans ; 10 % de plus de 24 ans, 24 % de
plus de 60 ans.
N°58
TOUS LES PARTENAIRES AGISSENT
De fait, l’OPAL, la Ville de Chauny, la Communauté
de communes de Chauny-Tergnier et l’Etat
ont abouti cette année-là à la signature d’une
convention de gestion urbaine de proximité (GUP).
Son application doit améliorer la vie associative
et « le vivre ensemble », les cadres de vie et la
sécurité et la tranquillité publiques.
Depuis, à la Résidence, avec l’aide de l’OPAL,
une association de locataires a organisé des fêtes
(Noël, Pâques, Voisins, 14 juillet). La Communauté
de communes, sollicitée par l’OPAL, a réorganisé
le ramassage des ordures ménagères (conteneurs
sortis les lundis et jeudis matins).
La Ville a embauché un agent de développement
proche des habitants de La Résidence, entretenu les
espaces verts avec plus de personnels techniques
et scellé des bancs à des emplacements choisis
par les résidents.
L’OPAL, la Ville et la Gendarmerie organisent des
réunions mensuelles de sécurité publique. Les
partenaires de la convention invitent les habitants
de la Résidence à participer à des balades urbaines
recensant les travaux à effectuer dans le quartier.
de gauche à droite dans la permanence, Isabelle
Van Hyfte, Mathieu Hervy, Franck Tellier et JeanLuc Hombert.
DE GRANDS TRAVAUX EN COURS
« Nous prenons en compte toutes les remarques qui
nous sont faites » explique Mathieu Hervy. L’OPAL
déploie sur la Résidence un vaste programme de
travaux d’embellissement et d’équipement de ses
immeubles. Il s’agit du ravalement progressif des
façades qui est en cours comme le remplacement
de certaines chaudières.
Il s’agit d’équiper toutes les portes de caves
d’un système d’accès par badge et les parties
communes des immeubles d’un éclairage
automatique avec détection de présences. L’OPAL
financera une partie de l’installation d’une nouvelle
aire de jeux.
Et l’Office proposera bientôt aux résidents une
solution de réaménagement du « traversant ». Ce
passage piéton à travers l’immeuble Béarn est
régulièrement tagué et ses parois d’épais carreaux
de verre ont été cassées et remplacées par du
contreplaqué.
39 ANNÉES DANS LE QUARTIER
Yvette et Michel Kerriou occupent leur appartement
du 4ème étage d’un immeuble de la Résidence
depuis 27 ans. De leur balcon, ils ont une vue
imprenable sur Chauny et son église Saint-Martin
et, en contrebas, sur un jardin de tertres et de
sentiers.
Michel, 68 ans, est un ancien chauffeur d’autocar
à la retraite. Yvette, 66 ans, a élevé quatre enfants.
Le couple s’occupe à présent de ses cinq petits
enfants qu’il va chercher à l’école et qu’il fait
déjeuner. C’est Yvette qui cuisine.
Dans la journée, Michel, qui aime que les choses
soient propres et bien rangées, est très actif
dans le voisinage. Bénévolement, il taille la haie
de troènes du pied de son immeuble, balaie
le caniveau, nettoie l’escalier commun et les
carreaux qui l’éclairent ou participe au projet local
d’implantation de jardins potagers.
Il s’enquiert de la vie et des événements émaillant
La Résidence en participant aux réunions
d’information de la mairie ou en discutant avec les
employés de l’OPAL.
« Cà fait 39 ans que nous habitons ce quartier,
raconte-il. Nous l’avons connu quand le boulevard
le traversait encore. Nous avons vu tous ses
bouleversements. Cà n’a pas été tous les jours
calme. Mais aujourd’hui, on y vit bien. »
Toutefois, Yvette et Michel déplorent le bruit qui
monte trop souvent des pelouses lorsque des
quads et des motos y font du cross, et la vitesse
excessive des deux roues et des voitures dans les
rues de la Résidence.
Yvette et Michel Kerriou ont vécu toutes les transformations de la Résidence.
07
N°58
POUSSONS LES PORTES DES AGENCES
Depuis fin juin, l’OPAL compte une agence de plus : l’Agence Sud
basée dans le quartier de Chevreux à Soissons et qui rassemble
1 475 logements du sud de l’Aisne. Mais à quoi servent précisément
les agences de l’OPAL et comment travaillent-elles ? Réponses dans ce
reportage.
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o
d
Marie-Line Duplant et Caroline Giordano : Secrétaires de
l’Agence de St Crépin
Ce lundi-là, en début d’après midi, juste après
le retour des enfants à l’école, beaucoup de
monde s’impatiente dans l’agence de l’OPAL du
quartier de Presles à Soissons (1 008 logements).
À l’accueil, deux secrétaires travaillent d’arrachepied : l’une répond au téléphone qui ne cesse de
sonner ; l’autre enregistre les réclamations des
visiteurs.
Pas de panique. En toute circonstance, calme et
courtoisie, même si, parfois, le ton monte d’un
coup. « L’agence vit au cœur du quartier, explique
Eric Bernard son chef. C’est très pratique car
nous sommes immédiatement réactifs. Et le lundi,
le mardi, le mercredi, c’est la cohue selon les
rythmes scolaires. Mais après 16 heures, l’activité
retombe. »
Les résidents reçus l’après-midi dans cette
agence de l’OPAL viennent y déposer des
chèques de loyers ou une réclamation, se plaindre
du voisinage, régler un problème d’assurance,
réclamer un logement plus grand ou plus petit, etc.
« Nous avons des journées bien remplies car nous
sommes toujours en prise avec les résidents et
les événements du patrimoine ; les gens viennent
à nous parce qu’ils nous connaissent bien »,
soulignent en chœur les chefs d’agence de l’OPAL.
TROIS CENTS MOUVEMENTS PAR AN
Une agence, dont dépendent en moyenne 1 500
logements, soit quelque 5 000 personnes logées,
gère en effet toute la chaîne locative (baux, états
des lieux, suivis des installations et des départs,
problèmes quotidiens des locataires, etc.). « Le
travail en agence réclame de la nuance, explique
Olivier Deschamps, chef de l’agence de Montreuil
à Laon (1 500 logements). Notre approche humaine
des problèmes des résidents tient compte de
personnes s’adressant à nous : locataires âgés,
locataires anciens dans les logements, jeunes
résidents, locataires récemment arrivés, etc.»
Une agence peut enregistrer trois cents
mouvements dans l’année (nouveaux locataires
entrant dans le patrimoine et anciens locataires
en sortant), soit presque un mouvement par jour
qui mobilise chef d’agence, secrétaire, technicien
du patrimoine, conseiller résident et employé
d’immeuble.
Les patrimoines des agences de Tergnier,
d’Hirson, de Soissons ou de Laon s’étendent
sur de nombreuses communes. « Les locataires
éloignés de l’agence nous contactent par des
moyens modernes. On les rappelle. Nous avons
développé toutes ces facilités de contacts (mails,
SMS, numéros mobiles, etc) », note Patrice
Bastouil, chef de l’agence Ile-de-France à Laon
(1 712 logements).
Agence de Presles à Soissons : Eric Bernard, Responsable
d’Agence et Delphine Lopes, Conseiller Résident.
ILS N’ONT PAS LE TEMPS DE SOUFFLER
Le but est toujours d’intervenir rapidement au
service des résidents avant l’entrée dans leur
logement, pendant leur séjour et après leur départ.
Dans chaque agence travaille un technicien
patrimoine. Ses compétences techniques lui
permettent d’évaluer précisément les désordres
et les dégâts constatés sur les immeubles et
les maisons de l’OPAL, puis de solliciter de sa
direction la programmation de travaux. Il intervient
lorsque se produisent des sinistres (incendies,
inondations). Et c’est aussi un spécialiste des états
des lieux de sortie et de la remise en conformité
des logements libérés.
Les conseillers résidents (deux à cinq par agence)
instruisent les réclamations qui leur parviennent,
se déplacent auprès des locataires et s’occupent
des états des lieux d’entrée, des visites conseil,
etc. Ils n’ont pas vraiment le temps de souffler.
Ainsi que les secrétaires (deux par agence). Elles
sont toujours en première ligne. Elles accueillent le
public et le renseignent en gardant le sourire. Elles
saisissent nombre de réclamations, s’occupent
des formalités d’entrée dans un logement, du
courrier, des documents administratifs, etc.
Quant aux employés d’immeubles (leurs effectifs
varient de quatre à seize selon les agences), ils sont
tous les jours sur le pont. Ils nettoient les parties
communes des immeubles, améliorent le cadre
de vie (peintures, serrurerie, etc.) et garnissent
les panneaux d’information. Ils renforcent les
conseillers résidents et les techniciens patrimoine
(visites de relocation et contrôle de travaux avant
emménagement).
Les employés d’immeubles sont aussi des acteurs
de la paix sociale, entretenant des contacts
quotidiens avec les résidents et intervenant en cas
de troubles de voisinage.
DES RELAIS SOCIAUX EFFICACES
Les agences OPAL sont ouvertes
au public du lundi au vendredi, le
matin sur rendez-vous, et de 13 h 30
à 17 h 30.
Agence de Montreuil à Laon : Olivier Deschamps,
Responsable d’Agence et Peggy Leclercq, Secrétaire
08
Agence de Ile-de-France à Laon : Laura Demarest,
Secrétaire et Patrice Bastouil, Responsable d’Agence
Les huit agences de l’OPAL ne constituent pas
que des bases administratives et techniques
dans la vie des résidents. Services de proximité
en lien permanent avec l’Office, elles agissent
comme des relais sociaux (aides du FSL, APL,
dépôts de garantie, loyers impayés, adaptation de
logements, etc.).
« Nous sommes des généralistes, affirment les
chefs d’agence de l’OPAL. Nous touchons à tous
les aspects du logement social. Et lorsque nous
atteignons les limites de nos diagnostics, nous
passons le relais aux spécialistes mis à notre
disposition dans la structure de l’OPAL ».
dossier
L’AGENCE DU SUD DE L’AISNE
La fusion récente de l’OPH de l’Aisne et de l’OPH
de Soissons (ODES) a constitué une structure
OPAL de plus de 13 000 logements (8 400 pour
l’OPH de l’Aisne, 4 600 pour l’OPH de Laon
et 28 000 personnes logées) répartis sur 120
communes.
Cette répartition très étendue et la nécessité
d’agir rapidement au service de ses résidents, ont
convaincu la direction de l’OPAL de procéder à un
nouveau découpage territorial de ses agences.
L’Office en comptait sept auparavant (avec les
3 agences laonnoises) dont deux à Soissons :
Saint-Crépin et Presles-Chevreux à laquelle était
rattaché un point accueil dans le quartier de
Chevreux.
Désormais, l’OPAL compte huit agences. La
nouvelle, l’Agence Sud, est ouverte dans ce même
quartier de Chevreux depuis juin. Elle s’occupe
d’un patrimoine de 1 474 logements répartis
dans Chevreux et de nombreuses communes du
Soissonnais et du sud de l’Aisne (Villers-Cotterêts,
Oulchy-le-Château,
Vic-sur-Aisne,
Ambleny,
Villeneuve-Saint-Germain,
Fère-en-Tardenois,
Ciry-Salsogne, Crézancy, Vénizel, Nesles-laMontagne, etc.).
Dans la nouvelle agence, que dirige Francis
Demarque (chef en outre de celle du quartier
de Saint-Crépin à Soissons.) travaillent deux
secrétaires, quatre conseillers résidents, un
technicien de patrimoine et des employés
d’immeubles affectés soit dans le quartier de
Chevreux, soit à Villers-Cotterêts, soit à ChâteauThierry. La nouvelle agence conserve le point
d’accueil de l’OPAL dans cette dernière ville.
A noter enfin que l’agence du Sud de l’Aisne,
pour l’heure située dans le quartier de Chevreux
(9 Allée Mendès France) dans des locaux de
l’OPAL, disposera en 2016 de locaux neufs dans
ce quartier soissonnais aujourd’hui en cours de
rénovation urbaine.
Le tour de table des employés d’immeuble se
poursuit par l’examen des difficultés de l’exécution
de leurs travaux quotidiens et des dégradations,
tags et salissures qu’ils ont constatés. « Les
employés d’immeuble ont une obligation de
résultat quant à l’entretien des parties dont ils
ont la charge, souligne le chef d’agence. Mais
encore faut-il que leur travail de chaque jour soit
respecté. »
Agence de Tergnier : Virginie Dubrulle, Secrétaire et Mathieu
Hervy, Responsable d’Agence, préparent la réunion mensuelle des employés d’immeubles.
DU TRAVAIL D’EQUIPE EN
PERMANENCE
LA SECRÉTAIRE :
• Accueil physique et téléphonique,
• Gestions des documents administratifs, du
courrier, des formalités d’entrée,
• Saisie des réclamations,
• Renseignements.
LE CONSEILLER RÉSIDENT :
Équipe de l’agence Sud à Soissons :
Karine Rus et Laurence Banas, Secrétaires, Jean-François
Carrasco, Technicien Patrimoine, Olivier Balloy, Conseiller
Résident, Francis Demarque, Responsable d’Agence, Eric
Granson, Eric Lombart, Rabia Allal et Laurence Carmillier,
Employés d’Immeubles, Catherine Cuvillier, Conseiller Résident
(absente de la photo).
À L’ECOUTE DES EMPLOYES D’IMMEUBLE
À l’agence de Tergnier qui s’occupe de 2 000
logements (environ 6 000 personnes logées),
travaillent deux secrétaires, trois conseillersrésidents et un technicien patrimoine ainsi qu’onze
employés d’immeuble.
Ces derniers sont répartis sur une quinzaine
de communes. Ils sont les premiers informés
des événements qui se sont produits ou qui se
produisent dans les immeubles qu’ils entretiennent.
De fait, équipés chacun d’un téléphone portable,
transmettent-ils rapidement leurs informations et
leurs questions à l’agence.
Cependant, afin de coordonner au mieux leur
travail et de les tenir au courant de la marche de
l’entreprise OPAL, le chef d’agence de Tergnier,
Mathieu Hervy, réunit les employés d’immeubles
une fois par mois. « Nous examinons ensemble
tout ce qui concerne le travail de l’agence dans
lequel ils sont impliqués, indique le chef. Puis nous
faisons le point sur les obligations de chacun, la
nécessité par exemple d’être présent dans la cage
d’escalier parfaitement propre à l’occasion d’une
relocation, ou lors d’un état des lieux d’un résident
entrant. »
• Etats des lieux d’entrée,
• Visites post-emménagement, visites conseil et
de relocation,
• Échanges de logements,
• Gestion des réclamations des résidents,
• Contacts avec les résidents,
• Surveillance et maintien de la sécurité du
patrimoine,
LE TECHNICIEN PATRIMOINE :
• Etats des lieux de sortie,
• Constatations des désordres sur et dans les
bâtiments,
• Compétences techniques diverses.
• Interventions en cas de sinistres,
• Surveillance et maintien de la sécurité du
patrimoine.
L’EMPLOYÉ D’IMMEUBLE :
• Gestion de la proximité avec les résidents,
• Gestion des tableaux d’affichage,
• Nettoyage des parties communes,
• Travaux d’amélioration du cadre de vie.
• Soutien aux Conseillers Résidents et aux
Techniciens Patrimoine.
23 LOGEMENTS DE PLUS À HIRSON
Pilotée par Marc Salaun, l’agence de l’OPAL à
Hirson s’occupe de 1 400 logements répartis sur
le territoire de 32 communes. Et ce patrimoine
très étendu s’agrandira au cours de l’année 2016
de 23 nouveaux logements locatifs (13 de type 2
et 10 de type 3).
Ils vont être aménagés dans l’ancien collège Jules
Décamp d’Hirson, situé non-loin du centre-ville.
Ce bâtiment scolaire s’élevant sur deux étages,
et dont l’architecture de briques est inspirée des
modèles de Jules Ferry, a été désaffecté en 1995
par le Conseil général de l’Aisne.
L’OPAL va donc restaurer les lieux et les requalifier
en un centre d’habitations sociales, un projet
important dont le budget hors taxes est évalué à
1,7 M€.
LE RESPONSABLE D’AGENCE :
• Représente l’OPAL sur le territoire de son
agence,
• Garant de la qualité de service et de la
satisfaction du résident,
• Garant des procédures et des chartes de l’OPAL,
• Coordonnateur du travail des effectifs de
l’agence,
• Manager de ses équipes,
• Prises rapides de décisions en coordination
avec les directions de l’OPAL,
• Vient renforcer les collaborateurs en cas de
besoin.
de droite à gauche : Fabienne Cholewinski,
Secrétaire, Marc Salaun, Responsable
d’Agence, Rudy Meirsman et Anne-Claire
Cazé, Conseillers Résidents.
09
N°58
L’Opal, comment ça marche?
LES CHARGES LOCATIVES SONT
INDISPENSABLES
À la fin du mois, l’OPH de l’Aisne adresse à chaque
locataire son avis d’échéance. Il réunit son loyer et
ses charges locatives à payer.
• Le loyer est fixé selon la règlementation en vigueur et les décisions du Conseil d’administration
de l’OPH de l’Aisne.
• Les charges locatives sont des dépenses liées à
l’entretien et à l’exploitation des logements et des
immeubles de l’Office : chauffage, électricité des
parties communes, consommation d’eau, contrats
d’entretien, etc.
Les charges locatives sont d’abord réglées par
l’OPH de l’Aisne. Ensuite, une fois par an, une régularisation intervient pour chaque type de charge.
LOYER
Chaque locataire peut payer son loyer suivant
quatre procédés :
• par prélèvement automatique sur son compte bancaire ou
postal (c’est le plus simple).
• par titre interbancaire de paiement (TIP) qui est joint à chaque
avis d’échéance (à dater, à signer et à retourner sous pli à l’aide
de l’enveloppe jointe à l’avis d’échéance).
• par chèque bancaire ou postal à l’ordre de l’OPH de l’Aisne.
• en espèces à l’un des guichets de La Poste (service gratuit).
DES ESPACES COMMUNS TOUJOURS PROPRES
La charte des résidents insiste sur les règles collectives de propreté :
La propreté des espaces communs est aussi l’affaire des résidents. Ils ne peuvent être
maintenus durablement propres et en bon état sans l’implication des résidents.
L’OPAL s’engage à poursuivre, en cas de récidive ou de plainte des voisins, les personnes
ne respectant pas les règles de propreté.
Certes, en tant que propriétaire, l’OPAL a des
obligations. Mais ses locataires en ont aussi. De
fait, l’OPAL assure toutes les grandes réparations
et l’entretien des immeubles (étanchéité des
terrasses, ravalement des façades, remplacement
des chaudières, des ascenseurs, etc.) ainsi que
l’entretien des espaces extérieurs lorsque l’office
en est propriétaire.
Et de fait, les locataires de l’OPAL doivent faciliter
le travail des employés d’immeubles ou des
sociétés de nettoyage. Ils doivent respecter (et faire
respecter) la propreté des halls, des escaliers et des
espaces à vivre.
En règle générale, les locataires doivent :
• respecter (et faire respecter) le bon état des
panneaux d’information, des boîtes aux lettres,
des interphones, des corbeilles à papiers, etc.
• Nettoyer les salissures que leurs enfants, leurs
visiteurs ou eux-mêmes ont commises,
• utiliser des sacs poubelle pour les déchets et les
déposer dans les locaux prévus à cet effet,
• respecter les règles de tri des ordures ménagères,
• interdire à leurs animaux de compagnie de souiller
les espaces communs (notamment les aires de
jeux) et, s’il le faut, nettoyer immédiatement leurs
déjections.
MMA
DEVENEZ PROPRIETAIRES !
L’OPH de l’Aisne vend quatre maisons libres à
Nouvion-et-Catillon :
Trois maisons TIV à 90 000 € chacune et une
maison TIII à 80 000 €.
Ces maisons sont ouvertes à la visite sur
rendez-vous ! N’hésitez pas !
Et saviez-vous que les ventes de maisons vacantes
de l’OPH de l’Aisne s’adressent d’abord à tous les
locataires de son patrimoine ?
Toutes les ventes de maisons vous sont (et vous
seront) annoncées sur vos avis d’échéances et
dans la presse départementale.
Les candidats à une acquisition doivent adresser
à l’Office un courrier par lettre recommandée avec
accusé de réception. Les dossiers de candidature
des acheteurs sont ensuite étudiés par le bureau
du Conseil d’administration de l’OPAL qui choisit
les acquéreurs potentiels.
10
“Ma Maison dans l’Aisne” (www.opal02.com) est
un programme d’aide à l’accession à la propriété
lancé par le Conseil Général, l’Office public de
l’habitat (OPH) de l’Aisne et le Conseil Régional
de Picardie. Ce dispositif permet à des familles
actuellement locataires de faire construire leur
habitation principale (de 70 à 120 m² habitables,
sur une parcelle d’environ 500 m²). Pour bénéficier
de ce dispositif les candidats doivent répondre à
des critères obligatoires, à savoir :
• Ne pas être déjà propriétaire,
• Faire construire pour la première fois,
• Habiter la maison en tant que résidence principale,
• Ne pas dépasser les revenus imposables prévus
pour l’obtention d’un logement social.
Chaque candidature est soumise à une commission
paritaire (OPH, Conseil général, Conseil régional et
commune du projet).
Renseignement auprès de l’OPH de l’Aisne
situé au 1, place Jacques de Troyes,
02007 Laon Cedex -Tél.: 03 23 23 62 09
[email protected]
N°58
On ne le dira jamais assez!
LE RETOUR
D’UNE ENQUETE NATIONALE
Entre le 24 avril et le 10 mai, 848 personnes ont répondu « à l’enquête
satisfaction locataires ». Cette enquête triennale (la précédente a eu lieu
en 2011) est commune à tous les organismes de logements sociaux
en France. Cependant, chaque organisme y ajoute son lot de questions
spécifiques.
L’enquête porte sur tous les aspects de l’occupation
d’un logement (cadres de vie, fonctionnement des
équipements, entretiens des parties communes,
etc.).
En Picardie, l’enquête téléphonique a été conduite
par la société « Règle de Trois » pour le compte
de l’Union régionale de l’habitat (URH) réunissant
quinze organismes de logements sociaux.
Les résultats ont été remis aux commanditaires
de l’enquête au mois de juin 2014. Ce qui permet
d’établir de très intéressantes statistiques pour
chaque organisme de logements. Une synthèse de
ces résultats sera communiquée aux locataires de
l’OPAL dans un des prochains numéros de Voisin
Voisine.
L’OPAL VA FAIRE INSTALLER LES
DAAF
La loi pour « l’Accès au logement et à un urbanisme rénové » (ALUR) du 26 mars 2014 a modifié
le texte initial de la loi du 9 mars 2010 sur l’installation avant le 8 mars 2015 des détecteurs avertisseurs autonomes de fumée (DAAF). Dorénavant,
l’installation d’au moins un DAAF normalisé dans
un logement incombe à son propriétaire. Cependant, l’entretien et le bon fonctionnement du détecteur sont à la charge du locataire.
L’OPAL de l’Aisne a décidé de faire installer à ses
frais un DAAF normalisé et garanti durant dix ans
dans tous les logements de son patrimoine.
DANGERS AUX FENETRES
ET AUX BALCONS !
Ne laissez pas sans surveillance les enfants qui
jouent aux fenêtres ouvertes ou sur les balcons et
les loggias. Ils peuvent monter sur leurs appuis,
enjamber les rambardes et basculer dans le vide.
Chaque année des enfants meurent ou se blessent
gravement en tombant d’une fenêtre ou d’un
balcon.
Ne suspendez pas à l’extérieur des balcons des
jardinières de fleurs. En se détachant et en tombant,
elles peuvent tuer ou blesser des personnes
accoudées plus bas à leurs fenêtres et balcons ou
passant ou stationnant au pied de l’immeuble.
L’OPAL prescrit de ne rien suspendre à l’extérieur
des balcons, loggias et fenêtres, ni linges à
sécher, ni drapeaux, ni paraboles de réception
de la télévision. Ces dernières peuvent être
éventuellement fixées sans dommages sur les
parois à l’intérieur des balcons, après avoir obtenu
l’autorisation écrite de l’OPAL.
L’AIR FRAIS EST HYGIENIQUE
L’Office a confié l’installation des
DAAF à la société Savelys qui
commencera l’opération à l’automne
2014.
D’autres règles de sécurité et d’hygiène
s’appliquent aussi à la vie sur les balcons des
immeubles collectifs. Il est absolument interdit d’y
installer des barbecues ou d’y parquer des animaux
toute la journée ou toute la nuit. Il est absolument
interdit d’y stocker des produits dangereux (gaz,
pétrole, etc.)
Et lorsque l’on nettoie balcons ou loggias, il faut
veiller à ce que les eaux usées ne soient pas
projetées à l’extérieur.
N’obstruez pas les grilles et les bouches de
ventilation hautes et basses de votre logement.
La ventilation, naturelle ou mécanique, est
indispensable à un air ambiant de bonne qualité.
La ventilation satisfait donc aux conditions
d’hygiène et de confort en vigueur. Vous vivrez en
meilleure santé avec une ventilation qui fonctionne.
Elle apporte de l’air neuf, afin notamment d’éviter
les situations de confinement et permettre le bon
fonctionnement des appareils à combustion. Elle
évacue l’air vicié par divers polluants, et surtout,
empêche l’humidité de s’imprégner dans les pièces
et la condensation de s’y déposer et de provoquer
des moisissures.
LE VINAIGRE BLANC
EST UN BON DETARTRANT
Le vinaigre d’alcool (ou vinaigre blanc) est naturel
et bon marché. C’est un produit d’entretien moins
agressif que les autres. Et c’est en tout cas un
détartrant écologique qui dissout le calcaire sans
entamer les matières sur lesquelles ce dernier s’est
incrusté.
Pour retirer efficacement le tartre d’une bouilloire
par exemple, il faut réchauffer la moitié de son
volume en eau et l’autre moitié en vinaigre blanc,
(puis rincer à l’eau claire).
Le vinaigre blanc est un désinfectant anticalcaire
naturel qu’on peut pulvériser sur les surfaces à
traiter, (laisser agir 15 minutes avant d’essuyer). Le
vinaigre blanc est aussi un bon dégraissant à froid
en le laissant agir une demi-journée au fond des
cocottes et casseroles sales.
EVITEZ-VOUS DE GRAVES ENNUIS
Pour éviter d’avoir à rembourser à la Caisse
d’allocations familiales (CAF) des sommes
indues (des trop perçus), vous devez lui signaler
immédiatement les changements intervenant dans
votre situation professionnelle (chômage, reprise
d’activité, arrêt de longue durée, etc.) et dans
votre situation de famille (concubinage, mariage,
séparation, divorce, personne à charge percevant
des revenus, départ d’un enfant, etc.).
Rappelez-vous que vos prestations de 2014 sont
calculées à partir de la déclaration de vos revenus
de 2012.
Vous pouvez prévenir la CAF rapidement des
changements de votre vie professionnelle et familiale par un courriel (www.CAF.fr), par téléphone
ou par courrier (munissez-vous toujours de votre
numéro d’allocataire et de votre code confidentiel).
Des omissions de déclarations de ressources,
d’une reprise d’activité même partielle, de vie maritale ou de revenus fonciers par exemple, peuvent
constituer des fraudes.
Et les fraudes entraînent des sanctions administratives et (ou) des dépôts de plaintes auprès des
tribunaux compétents.
11
N°58
ET SI VOUS UTILISIEZ
LE COVOITURAGE ?
Le Conseil général de l’Aisne a ouvert une plate-forme gratuite de
covoiturage pour les habitants du département. Elle propose de nombreux
services dont un numéro Azur (0 811 466 002) et un site Internet (www.
aisne.covoiturage.com).
La plate-forme, gérée par le Conseil général,
couvre tout le département et répond à toutes
les demandes. Elle permet aux covoiturés et
aux covoitureurs de se joindre facilement et
d’organiser rapidement leurs déplacements. Car
le covoiturage, en plus des autres moyens de
transports, facilite beaucoup les trajets domicile/
travail ou occasionnels.
À noter qu’il existe notamment un partenariat
réunissant le Conseil général, l’Union des
communautés de communes du sud de l’Aisne
(UCCSA) et son conseil de développement pour
ouvrir des aires de covoiturage dans des communes
et des centre commerciaux (installations de
panneaux de signalisation et d’emplacements).
les agences Opal
AGENCE HIRSON
8 place de la Victoire
02500 Hirson
Tél 03.23.58.85.90
Fax 03.23.23.98.61
[email protected]
AGENCE ILE-DE-FRANCE
AGENCE MONTREUIL
AGENCE PRESLES
5 place des Maraîchers
02000 Laon
Tél 03.23.20.76.30
Fax 03.23.26.03.13
[email protected]
2 bis rue Nestor Gréhant
02000 Laon
Tél 03.23.27.14.90
Fax 03.23.27.14.99
[email protected]
1 Impasse de Sapincourt
02200 Soissons
Tél 03.23.75.17.44
Fax 03.23.23.61.80
[email protected]
AGENCE SUD DE L’AISNE
AGENCE SAINT-CRÉPIN
AGENCE TERGNIER
9 allée Pierre Mendès France
02200 Soissons
Tél 03.23.73.01.53.
Fax 03.23.23.61.83
[email protected]
23 boulevard Pasteur
02200 Soissons
Tél 03.23.59.09.81
Fax 03.23.23.61.81
[email protected]
22 rue Victor Hugo
02700 Tergnier
Tél 03.23.57.55.56
Fax 03.23.23.98.60
[email protected]
www.opal02.com

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