Novembre 2015 - Franconville
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Novembre 2015 - Franconville
ville-franconville.fr FRANCONVILLE novembre 2015/n°217 EXPOSITION EXCEPTIONNELLE : LE JOURNAL C215 À FRANCONVILLE Villa d’Este RESTAURANT PIZZERIA Plats, Pizzas, Salades, Desserts Tél : 01 30 72 16 15 Ouvert 7J/7 www.villadeste-restaurant.fr Plat du jour spécial vendredi le midi de 11h à 14h30 samedi le soir de 19h à 23h 91 bis rue de la Station 95130 Franconville Vous souhaitez être présent sur ce support Le journal de Franconville est diffusé à 17 000 exemplaires dans toutes les boîtes aux lettres de Franconville Faites confiance à notre expérience, à notre savoir-faire, à notre efficacité. Pour toutes vos insertions appelez le 02 31 35 48 78 [email protected] Corlet Communication, seule régie habilitée par la mairie de Franconville à prospecter pour ce support. LIBRAIRIE PAPETERIE GALERIE D’ART MUSIQUE VIDÉO BEAUX-ARTS LOISIRS CRÉATIFS MULTIMÉDIA Ouvert 7 jours/7 - 10h à 20h Centre commercial Art de Vivre - Eragny Tél. 01 34 30 48 00 - legrandcercle.fr ÉVEIL CADEAUX > OFFREZ-VOUS LA RÉFÉRENCE Ville pratique Sortir Dossier Actualités Francis Delattre Actualités Maire de Franconville Sénateur du Val-d’Oise 4 • Duo Verde : un programme ouvert Francis Delattre reçoit en mairie sur rendez-vous et en permanence libre le dernier vendredi du mois à partir de 16 h. sur l’accession sociale à la propriété 5 • Baisse des dotations de l’État : les élus locaux toujours mobilisés L’État persiste et signe dans sa volonté de transférer aux maires l’impopularité fiscale. 6 • Un nouveau boulanger-pâtissier a ouvert ses portes dans le quartier de la gare Le Projet de loi de finances pour 2016 apporte la confirmation d’une nouvelle amputation de leurs ressources provoquée par une nouvelle baisse des dotations de l’État. Les communes appelées à contribuer au redressement des comptes publics ne peuvent être raisonnablement tenues pour responsables du déficit de 72 milliards d’euros qui s’affiche dans le budget 2016, ni de la dette publique de la France estimée à environ 2100 milliards l’an prochain (contre 1833 milliards en 2012). • La librairie-papeterie du centre-ville : un magasin-citoyen • Nouveau à Franconville 7 • Élections régionales 2015 : rendez-vous les 6 et 13 décembre Les maires responsables doivent réagir en toute légitimité contre des mesures qui impactent fortement leur budget et remettent en cause des choix essentiels d’investissement et du bon fonctionnement des services. • Les services de l’État ne font plus leur travail ! bis 8 • Les A 320 s’équipent de kits anti-sifflement 9 • L’art et la manière de conter aux tout-petits La pression financière qui s’exerce sur eux, au plus mauvais moment, est un facteur de déstabilisation dont les citoyens vont pâtir. La considération du travail des élus locaux qui s’échinent à préserver la qualité de vie sur leur territoire a été remplacée par une sorte de procès d’intentions. On leur a reproché de laisser filer leurs dépenses courantes, de s’abandonner à des recrutements injustifiés, de mal maîtriser leurs dépenses de personnels ou leur masse salariale, alors même que ces collectivités appliquent à la lettre les mesures de réévaluation salariale de certaines catégories d’agents que l’État leur impose, qu’elles assument le poids des normes surréalistes (taux d’encadrement des crèches, loi Alur…) venues d’en haut sans aucun débat sur leurs coûts. Au surplus, la mise en place et le financement des rythmes scolaires alors qu’ils sont de la responsabilité de l’État depuis Jules Ferry. 14 • CC215 : interview de l’artiste… Les murs nous regardent 19 • Côté sports 24 • Édition 2015 des Foulées nocturnes de Franconville Dossier La baisse des dotations sera une nouvelle fois d’actualité l’an prochain laissant nombre de collectivités devant le choix ou le dilemme de relever les taux des impôts locaux ou de réduire encore leurs investissements, ce dont le secteur du BTP qui vit à 75% de la commande publique s’inquiète déjà. En attendant, l’État aura engrangé sournoisement un gain important : transférer aux communes la responsabilité de l’augmentation de la fiscalité, et donc : son impopularité… 10 • Emploi : tous mobilisés ! Sortir Les dotations de l’État ne sont pas un don, c’est un dû issu de la mise en place de la TVA qui a absorbé l’essentiel des taxes locales à la consommation. C’est donc une volonté manifeste d’une ressource locale destinée à combler le tonneau des danaïdes des déficits de gestion d’un État incapable de se réformer qui bat aujourd’hui le record européen absolu des prélèvements obligatoires (France 44,6% du PIB ; Allemagne 36 % du PIB). 16 • À l’affiche à l’Espace Saint-Exupéry • Cinéma 18 • Médiathèque • École de musique Ville pratique 20 • Prenez note 21 • La vie en ville 22 • Service pratique / État-civil 23 • Tribune libre 25 • En images… Directeur de la publication : Francis Delattre Rédactrice en chef : Sophie Chergui Rédaction/Photos/Illustrations/service communication : Michel Philip, Adrien Ibanez, Philippe Boucaux Conception, maquette, compogravure : Corlet Communication, Colombelles, N° 1118 Régie publicitaire : Corlet Communication/02 31 35 48 78 Impression : Corlet Imprimeur, Condé-sur-Noireau Imprimé sur du papier écologique avec des encres végétales. Tiré à 17000 exemplaires 4 Actualités Dossier Sortir Ville pratique DUO VERDE : un programme ouvert sur l’accession sociale à la propriété L a commercialisation du programme immobilier Duo Verde, au 41 rue de Paris, a été réalisée par le constructeur-promoteur Kaufman& Broad. Lors de l’inauguration de ce programme de 75 logements neufs (sur 8 étages) en juin dernier, le constructeur a souligné son envergure et la « collaboration forte » avec les élus de la ville intéressés par la possibilité de conjuguer logement social et accession à la propriété. La spécificité de ce programme est l’activation pour un certain nombre de lots/appartements d’un dispositif original de financement lancé par la Caisse des Dépôts et aujourd’hui mis en œuvre par le bailleur social Osica pour une opération de vente en VEFA de 20 logements au total. Dispositif original Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Le Prêt Social Location-Accession (PSLA) permet à des jeunes ménages n’ayant pas d’apport personnel suffisant pour acheter sur le marché classique, de se porter acquéreur - sur une période de 1 à 5 ans - du logement qu’ils occupent en tant que locataires. Le système fonctionne de la façon suivante : au cours des premières années, l’occupant verse une redevance composée d’une « indemnité d’occupation » et d’un complément qui sera restitué plus tard. Autrement dit, une partie du loyer ou de la redevance est épargnée pour constituer un apport suffisant au moment de l’acquisition. Ainsi, dès la première année, il est possible de devenir propriétaire. D’autres conditions et avantages sont indiqués : > une TVA réduite à 5,5% au lieu de 20%, soit une économie de 10% sur le prix du logement ; > prêt à taux zéro ; > dépôt de garantie de 1 000 € pour réserver votre logement au lieu de 10 %du prix de vente > pas d’appel de fonds avant d’entrer dans le logement ; >u ne accession sécurisée avec garanties de rachat et de relogement ; > une exonération de la taxe foncière pendant 15 ans. Garantie d’emprunt accordée par la ville L’objectif, en facilitant l’accès à la propriété est de permettre à des jeunes de se porter acquéreur dans de courts délais et ainsi de pouvoir concrétiser un projet de vie familiale et citoyenne dans leur ville. Le bailleur social Osica (groupe SNI), lui-même bénéficiaire d’une garantie d’emprunt accordée par la ville sur un prêt de 3,13 millions d’euros souscrit auprès du Crédit Foncier, a annoncé les dernières opportunités du programme. Il s’agit de cinq T 3 (à partir de 164 461 €/58 m2) et de trois T4 à partir de 209 521 € (parking inclus) jusqu’à 221 155, 61 € (77,22 m2) avec terrasse de 11,6 m2. >P our tout renseignement, contactez le GIE VENTES 0811 74 15 15 (0.06 c /min) Ville pratique INITIATIVES Sortir Dossier Actualités 5 > BAISSE DES DOTATIONS DE L’ÉTAT : les élus locaux toujours mobilisés L e 19 septembre dernier, les maires et élus de France ont battu le pavé dans toutes les régions pour protester contre la baisse des dotations de l’État qui les pousse vers de grandes difficultés. D ans le cadre du redressement des comptes publics, l’État impose aux collectivités locales (régions départements et communes) un effort de 28 milliards d’euros en trois ans via une baisse de ses dotations. Les plus touchées sont les communes qui ont vu leurs dotations baisser de 1,5 milliard en 2014, puis 3,67 milliards chaque année de 2015 à 2017. Soit en 4 ans plus de 12,5 milliards ! Le gouvernement qui a annoncé un budget 2016 déficitaire de 73 milliards d’euros exerce sur les communes déjà mises sous tension par la crise (elles n’ont pas le droit, elles, de voter des budgets en déficit !) une pression financière brutale et néfaste. La baisse drastique des dotations impacte fortement les budgets et conduit de nombreuses villes françaises dans une impasse financière totale. Comme le rapporte un sondage réalisé en mai dernier par l’IFOP (Institut français d’opinion publique) auprès de milliers d’élus locaux et annexé à un rapport d’information sur l’évolution des finances locales à l’horizon 2017 : « Jusqu’à deux tiers (68%) des villes de plus de 10 000 habitants s’attendent à être dans le rouge d’ici à 2017. » Inadmissible ! ont répondu les élus inquiets. Lourdes conséquences Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Une bonne partie d’entre eux ont déclaré n’avoir pas d’autres choix pour sauver l’équilibre de leur budget 2016 et les suivants, que de diminuer leurs dépenses d’ investissements ou d’augmenter les taux des impôts locaux. Une alternative difficile allant à l’encontre de leurs engagements ! Quant aux conséquences de cette réforme, les élus les ont clairement identifiées : moins d’investissements préparant l’avenir, moins de services de proximité pour les citoyens, moins de subventions aux associations, moins de travaux de voirie et de rénovation des bâtiments, des tarifs de prestations réévalués... Pour Franconville, les services financiers de la ville ont estimé à 4 millions d’euros environ la perte de recettes sur quatre années au moment où le développement des services publics de proximité est une nécessité compte tenu de l’accroissement de la population liée à la construction de logements. Efforts expressément demandés par l’État ! Transfert de fiscalité « En fait personne n’est dupe. Le gouvernement nous transfère l’impopularité de l’impôt dans un but purement électoraliste ! Et il a le culot de nous reprocher de trop augmenter nos dépenses de fonctionnement, d’augmenter notre masse salariale en omettant de préciser que les recrutements de fonctionnaires territoriaux étaient liés le plus souvent aux transferts des compétences de l’État vers les collectivités territoriales, que ces mêmes collectivités n’étaient en rien responsables de la réforme des rythmes scolaires, ni des revalorisations salariales, ni des normes coûteuses imposées ! » a déclaré Francis Delattre, maire de Franconville, sénateur du Val-d’Oise. Conscients des besoins de leurs administrés avec qui ils sont en contact permanent, les maires ont vivement réagi contre le risque évident d’altération des services de proximité sans savoir d‘ailleurs ce que la réforme en cours de la DGF (dotation globale de fonctionnement) portant révision des paramètres de péréquation allait avoir comme effets à leur niveau. Par ailleurs, le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP) sensible à la conjoncture et qui vit à 75% de la commande publique s’est alarmé de la situation et de la possible suppression de dizaines de milliers d’emplois. Un tel scénario augurant mal de la relance de notre économie et de la croissance ! Comme l’a souligné le sénateur Philippe Dallier en conclusion de son rapport devant la délégation sénatoriale : « Nous sommes tous inquiets, au-delà de nos étiquettes politiques, de la difficulté qu’ont rencontrée les collectivités locales à équilibrer leur budget pour 2015. Cette situation risque de se reproduire en 2016 et 2017 ». 6 Actualités : Gare Dossier Sortir Ville pratique Boulangerie-pâtisserie de la Gare avec Roland Chanudet, conseiller municipal. UN NOUVEAU BOULANGER-PÂTISSIER a ouvert ses portes dans le quartier de la gare I l était attendu par les habitants du quartier ! La présence d’un nouveau boulanger-pâtissier dans le secteur de la gare, installé au 5 rue Henri Barbusse est une bonne nouvelle. Le nouveau venu à l’enseigne « Aux péchés Mignons » porte à trois le nombre de boulangeries dans un secteur où la population a augmenté. Une dizaine de personnes composent l’effectif du magasin qui a ouvert ses portes le 17 septembre dernier. Le décor est clair et spacieux. Un présentoir de pains spéciaux à l’entrée, composés à base de farine Premium donne le ton ainsi qu’une grande vitrine d’exposition de gâteaux. L’inscription « Maitre-pâtissier » accolée à l’enseigne désigne un point fort. Ce département fonctionne sous la responsabilité de Margaux Mallard, 24 ans, diplômée de la célèbre école Ferrandi. Maître-artisan boulanger et pâtissier, professionnel depuis 33 ans et enseignant à ses heures dans une école cotée dans la profession, Gilles Faintreny est le responsable de toute la fabrication. « Tous les produits présentés ici sont faits de A à Z, il n’y a pas de viennoiserie surgelée précise-t-il. Tout est fabriqué ici. » S’agissant de la production de pains, le maitre-boulanger ajoute : « C’est un peu notre spécialité ici : tous nos pains sont faits à base de levain. Cet ingrédient donne du goût, apporte des épaisseurs de croûte différentes, un petit goût de miel. Comme la législation nous empêche de mettre autant de sel qu’avant puisque l’on est à 18 grammes de sel par kilo de farine, en travaillant sur le levain on récupère le côté salé et acidulé. On gagne également en conservation. Sur l’ensemble de la production, on essaie d’avoir du pain chaud tout le temps. » En pâtisserie l’équipe est jeune. Margaux est aux manettes avec un apprenti et un ouvrier pâtissier. Derrière la vitrine s’alignent les tartelettes à la framboise, les carrés aux noix, les éclairs au chocolat, le cheesecake, l’amandine myrtilles… « Du basique pour commencer mais on peut répondre à une demande particulière. » précise Margaux. « En pâtisserie nous avons un outil de travail qui est supérieur à la norme confirme l’artisan, nous avons les dernières machines pour produire de la qualité en respectant les normes. Des investissements lourds ont été faits. » >H oraires d’ouverture : du mardi au vendredi de 6h30 à 20h. Le samedi de 7h30 à 20h. Le dimanche de 7h30 à 14h. Tél. : 01 34 44 39 87 La librairie-papeterie du centre-ville : un magasin-citoyen E x-responsable de production à l’Argus de la Presse, Bernard Sage a repris il y a sept ans la gestion du magasin librairie-papeterie-presse installé sous les arcades de la place Charles de Gaulle. Il s’agit d’un commerce qui éclaire de la façon la plus nette possible, la notion de proximité, de relations humaines et de citoyenneté. « Certains de mes clients sont devenus au fil du temps Librairie-papeterie du Centre-ville avec des amis » confie le patron, domicilié à Roland Chanudet, conseiller municipal. Franconville depuis quarante ans. Le magasin comprend un fonds de 2400 titres (presse et magazines généralistes et spécialisés), un rayon livres et papeterie. « La situation économique générale et la pression fiscale sur les petites entreprises celles du CAC 40 s’en sortent mieux ! déclare-t-il - fragilise de nombreux petits commerces qui créent des emplois. En ce qui nous concerne, la presse française d’une manière générale, l’activité est encore satisfai- Franconville le journal n° 217 novembre 2015 sante mais sur un point de vente comme le nôtre nous devons relever un double défi : la diminution de nos clients habituels qui partent en province et l’influence d’Internet qui a modifié les pratiques d’achats de livres notamment. Il faut tenir compte de ces réalités et y répondre dans l’intérêt des clients. » C’est ce que ce chef d’entreprise tente de faire en proposant un nouveau service en librairie. Livres commandés et déposés Depuis la rentrée M. Sagès propose à ses clients un nouveau service lancé par la Générale du Livre (ou Générale Librest) : www.lalibrairie.com. Le principe est simple : « Les clients qui commandent des livres sur ce site, dit-il, peuvent venir chercher l’ouvrage commandé chez leur libraire. C’est un service gratuit pour le client qui ne paye que le prix du livre. Je pense aussi à ceux qui n’ont pas Internet ou qui ne savent pas bien s’en servir. Dans ce cas c’est moi qui passe directement la commande. » >H oraires d’ouverture : du lundi au samedi de 6h à 12h30 et de 15h à 19h. Ouvert le matin des jours fériés. Tél. : 01 34 13 85 28 Nouveau à Franconville > Le restaurant la Maison Bleue a changé de propriétaire avec maintenant des spécialités franco-portugaises : Mme NOVEL - 3, rue de Paris > ACI Conseil immobilier a changé de propriétaire : Hervé MIlhano - 19, place de la République Ville pratique Sortir Dossier Actualités ÉLECTIONS RÉGIONALES 2015 : 7 rendez-vous les 6 et 13 décembre C e sont les dernières élections avant la présidentielle de 2017. Les électeurs sont appelés à élire le mois prochain 1 757 conseillers régionaux dans toute la France, dont 209 conseillers pour l’Ile-de-France. Les conseillers régionaux composent le Conseil régional, assemblée délibérante de la région. Ils sont élus pour 6 ans et siègent au Conseil régional situé dans chaque chef-lieu de région. Le nombre de régions a baissé : de 22 à 13. Compétences La loi NOTre (Nouvelle organisation territoriale de la République) promulguée le 7 août 2015 confère aux régions certaines compétences. Les principaux domaines d’intervention de la région sont : le développement économique avec une compétence exclusive sur les aides à apporter aux entreprises, la coordination des acteurs du service public de l’emploi. Le texte fait également de la région l’autorité organisatrice de l’intégralité de la mobilité urbaine avec de nouvelles responsabilités sur l’ensemble des transports publics, y compris le transport scolaire. En outre, la loi institue un schéma régional d’aménagement du territoire. S’ajoutent à ces domaines de compétences, les lycées, la formation et l’enseignement supérieur. Scrutin de liste Le scrutin est un scrutin de liste. Il s’agit d’un scrutin proportionnel à deux tours avec prime majoritaire. Ainsi, la liste qui recueille la majorité absolue des suffrages au 1er tour obtient une prime majoritaire de 25% du nombre de sièges à pourvoir. Si aucune liste n’obtient la majorité absolue des suffrages exprimés à l’issue du 1er tour, il est procédé à un second tour. Seules peuvent se présenter les listes qui ont obtenu au moins 10% des suffrages exprimés. Plan des Bureaux de vote à Franconville COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 6 OCTOBRE Les services de l’État ne font plus leur travail ! bis Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Malgré un communiqué en novembre 2014 sur ce sujet, rien n’a été fait. Aujourd’hui, après les fortes pluies, la situation est devenue dangereuse provoquant des aquaplannings. Les pompiers sont d’ailleurs toujours sur place. « Il est anormal que ce secteur demeure sale et mal entretenu malgré nos alertes multiples auprès des services concernés… » déclare Francis Delattre maire de Franconville, sénateur du Val-d’Oise qui dénonce une fois de plus la dangerosité de certaines voies d’accès lors de violentes intempéries (comme ce matin) et pointe du doigt les manquements des services de l’État ! Les voies d’accès de l’A15 et l’A115 depuis Franconville vers Paris ou Cergy, sont actuellement totalement submergées par de l’eau tombée abondamment ce matin. Et cela se reproduit à chaque intempérie, provoquant de plus en plus d’accidents ou de carambolages… Manifestement les services de l’État n’effectuent plus les opérations nécessaires pour nettoyer les grilles afin de permettre le drainage de l’eau… Et ceci se constate en d’autres lieux du département. Monsieur Delattre demande que les services de l’État reprennent du service afin de rendre ces accès plus sûrs. 8 Actualités INITIATIVES Dossier Sortir Ville pratique > LES A 320 S’ÉQUIPENT de kits anti-sifflement Une simple pièce qui change tout! Grâce à l'opiniâtreté de l'association Arec, de l'Advocnar ainsi que des élus, la compagnie Airbus s'est enfin penchée sur le problème des avions de la famille A320 en 2011 alors que l'avion existait depuis 1987... Vendu comme l'avion le plus silencieux, il était en réalité très bruyant à l'atterrissage à cause de deux trous placés sous les ailes et qui créent un sifflement insupportable. De grandes compagnies comme Air France, Lufthansa, Easyjet ont décidé de modifier leurs avions concernés en installant ces déflecteurs sous les ailes. On peut estimer qu’à fin 2016, 80% de ces avions (qui représentent environ 50% des survols) seront définitivement corrigés. Cette modification réduit la trace sonore à 35 secondes au lieu de deux minutes et supprime définitivement ce sifflement. Le bruit est réduit de 11dB quand l’avion est entre 20 et 50 km des pistes. Progressivement le ciel va donc sensiblement se calmer même s'il restera quelques compagnies qui, pour le moment, ne se sont pas engagées dans cette modification. Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Puisse ce succès de l’ADVOCNAR augurer des suivants, par exemple la réduction significative et durable des vols de nuit sur la plateforme Roissy-Charles de Gaulle (CDG). Depuis des années, l’association lutte pour un alignement de Roissy-CDG sur les autres grands aéroports européens (Londres-Heathrow, Amsterdam-Schiphol, Francfort). Cela correspond à une diminution de 50% des vols de nuit (entre 22h et 6h), Francfort ayant obtenu un couvre-feu de 6 heures. Comme le rappelle l’association qui défend les intérêts et la santé d’un demi million de valdoisiens survolés par les avions à basse altitude (0 à 1500m) : « La nocivité du bruit des avions en pleine nuit (stress, fatigue au réveil, risques de maladies cardiovasculaires) n’est plus à démontrer. De nombreuses études épidémiologiques ont montré l’impact négatif du trafic nocturne sur la santé des gens. » Dans l’agglomération d’Orly les habitants sont mieux traités puisque depuis 1968 les vols de nuit y sont interdits : « L’aéroport Roissy-Charles de Gaulle est (encore) la plateforme aéroportuaire qui crée le plus de nuisances sonores en Europe de par le nombre de mouvements (160 enregistrés la nuit) et la densité de la population dans le sud-est du Val-d’Oise. » À titre indicatif, en 2014, le nombre de mouvements d’avions enregistrés à Roissy s’élevait à 465 200 contre 228 000 à Orly (source Aéroports de Paris). L’association appelle à un rassemblement francilien d’élus et de riverains pour l’arrêt de l’augmentation de vols et la réduction substantielle des nuisances aériennes en Ile-de-France le mardi 10 novembre à 18h devant le ministère de l’Ecologie 246 boulevard Saint-Germain 75007 Paris. Inscription : 01 39 89 91 99 [email protected] Adhérer à l'Advocnar c'est donner plus de chance à cette association et aux bénévoles qui y travaillent de remporter des succès comme celui de l'A320, comme l’interdiction des avions les plus bruyants pendant la nuit, le relèvement de 300 mètres du dernier palier avant atterrissage. Une adhésion coûte 20 € et 6,5 € après impôts. › Advocnar : 01 39 899 199 BP 10002 95390 Saint-Prix www.advocnar.fr [email protected] Ville pratique Sortir Dossier Actualités 9 L’ART ET LA MANIÈRE de conter aux tout-petits P armi les nombreuses animations proposées par la Médiathèque, les séances de contes pour enfants (lectures, spectacles) obtiennent un réel succès. Les tout-petits (12 mois à 3 ans) représentent un public particulier et important. Pour cette programmation la Médiathèque fait appel à des conteurs et conteuses qui ont l’art de capter l’attention des petits et savent éveiller en douceur leurs premières émotions de spectateur. Conteuse depuis 25 ans, Caroline Castelli nous en dit plus sur l’art et la manière de conter des histoires à des tout-petits et de retenir leur attention. Le temps d’écoute des tout-petits est limité. Comment faites-vous pour capter durablement leur attention ? Avec des petits, c’est très aléatoire de définir à l’avance un temps de conte. Cela dépend du temps qu’il fait, de l’heure à laquelle le conte est dit, de leur humeur, de leur état de fatigue... Pour les moins de trois ans, vingt minutes sont suffisantes mais en général la séance avec moi dure de 30 à 40 minutes. Après, cela devient délicat et surtout il faut tenir compte de leur humeur du jour. Avec les tout-petits il faut être constamment à l’écoute de leurs réactions, de ce qu’ils font, de ce qu’ils sont. Quels genres d’histoires leur racontez-vous ? Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Chaque conteur choisit dans les répertoires qui lui conviennent. Je m’approvisionne un peu partout sans faire forcément des catégories. Je choisis des histoires qui me plaisent et que je raconte même parfois à des adultes. Il m’arrive de prendre un conte pour adultes et de le moduler en commençant par changer le vocabulaire. Je retravaille l’histoire pour l’adapter à l’imaginaire des tout-petits. Devez-vous éviter d’exprimer certaines émotions fortes comme la peur, la colère ? Les petits vivent ces émotions dans leur vie de tous les jours ; ils en ont besoin pour grandir. Je ne me censure pas mais je fais attention de commencer la séance par un conte où nous faisons connaissance. Au début je reste assise pour les mettre à l’aise. Je démarre toujours par une petite chanson en m’accompagnant avec des gestes pour placer une autre forme de langage. J’écarte les émotions trop fortes pour qu’ils s’habituent à ma voix et à ma présence. Ensuite, je peux aller plus facilement dans les émotions liées à l’histoire mais toujours en terminant sur une note positive. Je fais pareil, à peu de choses près, avec les adultes. Le visuel est important. Utilisez-vous des accessoires sur scène pour augmenter la réceptivité des tout-petits ? Je suis une conteuse professionnelle. Je fais le choix de n’emmener que l’histoire en agissant pour que les images se créent dans leur imagination. Cela dit, je respecte beaucoup le travail des autres conteurs qui utilisent des accessoires. Je n’en ai jamais eu besoin. C’est aussi une volonté de prouver que l’histoire en elle-même est suffisante et qu’à leur âge ils sont déjà capables de prêter attention aux mots et aux émotions. L’accompagnateur (parent, assistante maternelle, institutrice) a-t-il un rôle important durant la séance ? Un rôle essentiel ! Cela me permet de me concentrer sur les histoires plutôt que de dire à un enfant d’arrêter de jouer avec ses scratchs de basket. Cette interruption peut déclencher une distraction générale qui gêne le conteur, comme parler ou faire du bruit. Il faut ensuite repartir dans l’histoire. Comment manifestent-ils leur intérêt pour une histoire ? Le conte est formateur pour que les enfants apprennent l’écoute. Ils écoutent et participent lorsqu’il y a des comptines, ouvrent grand leurs yeux, bougent. Les petits ne sont pas dans la retenue comme les plus grands. Ils n’ont pas appris à contenir leurs émotions et c’est ce qui rend la relation avec ce public intéressante et réelle. Quand ils bougent cela ne veut pas dire qu’ils n’écoutent plus. Simplement ils n’en peuvent plus de rester dans la même position. ---------------------------------------------------------Caroline Castelli sera présente à la Médiathèque le 12 décembre devant un public de 6-9 ans. « Je vais faire avec eux un gâteau de fruits frais en choisissant ceux qui sont déjà dans leur imaginaire, déclare la conteuse. Je vais leur raconter des histoires de gourmands, et les éveiller à la bonne conduite alimentaire, leur dire qu’on a besoin tous les jours de manger des fruits et des légumes comme on a besoin de l’eau et du soleil pour vivre. On va s’amuser… » 10 Actualités Dossier EMPLOI : Sortir Ville pratique Avec l’Agglomération Le Parisis, Forum pour l’Emploi le 17 septembre 2015 : 2 400 visiteurs tous mobilisés ! C ’est un problème aigu et un défi majeur pour notre société. L’inversion de la courbe du chômage n’a pas eu lieu comme le prouvent les derniers chiffres révélés fin septembre par l’actuelle ministre du Travail et de l’Emploi : fin août 2015, le nombre de chômeurs s’élevait en France à plus de 3,5 millions de personnes (catégorie A- sans aucune activité) contre 2,6 millions en 2011. Sur un an, la hausse enregistrée est de 4,6%. Toutes catégories confondues, le nombre de demandeurs d’emploi s’élevait fin août à 5,4 millions de personnes - un record ! Près de 2 millions de jeunes sont actuellement sans diplôme, sans formation et sans emploi, soit près d’un jeune actif sur quatre ! Dans le Val-d’Oise, fin juillet 2015 : 100 200 personnes étaient inscrites à Pôle Emploi (catégories A, B,C) soit une hausse de +5,2% en un an, dont 12 800 jeunes de moins de 25 ans. Le tableau n’est guère enthousiasmant et l’embellie attendue dépend d’une croissance économique encore trop faible pour créer de l’emploi. Il n’y a pas de véritable « embellie » en ce qui concerne les jeunes et il n’y a pas lieu de se réjouir de chiffres stagnants. Au-delà des chiffres, sur le plan local, de nombreux acteurs s’investissent pour aider les demandeurs d’emploi. Leur tâche s’intensifie et les initiatives se multiplient pour empêcher l’aggravation de la situation sur le terrain. Et à Franconville ? Sur la commune, au 3e trimestre 2012, le nombre total de demandeurs inscrits à Pôle Emploi (toutes catégories) s’élevait à 2194 (contre 1040 en 2001 et 1941 en 2012). En outre, 318 jeunes sur les 12 800 recensés dans le département étaient inscrits à l’Agence. Dans notre ville, le service municipal de l’Emploi (qui rejoindra au 1er janvier 2016 la Communauté d’agglomération Le Parisis) accueille les demandeurs d’emploi adultes de plus de 25 ans. Les moins de 26 ans sont eux, pris en charge par la Mission locale qui occupe les espaces contigus au même étage du bâtiment administratif de la Mairie, rue de la Station. Les deux structures, proches l’une de l’autre, forment un pôle de compétences pour aider les Franconvillois à retrouver le plus rapidement possible le chemin de l’emploi. > Service emploi Franconville le journal n° 217 novembre 2015 LUNDI : 9H-12H30 et 14H-17H00 MARDI : 9H-12H30 et 14H-17h FERMÉ LE MERCREDI JEUDI : 9H-12H30 et 14H-17H00 VENDREDI : 9H-12H30 et 14H-17H00 Trois permanences par semaine sont assurées dans les maisons de proximité : Espace Fontaines, Maison de l’Europe et Maison de la Mare des Noues. Centre administratif : 30, rue de la Station 95130 Franconville 01 39 32 66 03 > Mission locale Centre administratif : 30, rue de la Station 95130 Franconville 01 39 32 66 03 Ville pratique Sortir Dossier Actualités 11 2000 chômeurs sur la commune Le service Emploi municipal accueille les demandeurs d’emploi adultes mais également des personnes en recherche d’un premier travail, d’une formation ou ayant un projet professionnel. Il leur propose un espace de documentation, un accès à la presse quotidienne, à divers équipements, au Web (Internet), téléphone, fax, photocopieuse. Les conseils personnalisés (sur rendez-vous) sont proposés par la conseillère. Au programme : bilan personnel, élaboration du projet professionnel, positionnement sur les offres, aide à la rédaction de CV et lettre de motivation, ateliers techniques de recherche d’emploi, présence aux Forums Emploi… « Globalement la situation ne s’arrange pas, déclare Yeta Telle responsable du service, mais l’on ne peut pas non plus parler d’aggravation pour Franconville. D’ailleurs, je constate que nous avons eu cette année plus de retours à l’emploi que les années précédentes. Disons que la situation franconvilloise reflète la situation du pays avec un taux de chômage à peu près identique à la moyenne nationale (10%). Sur dix mois, de mi-janvier à fin septembre 2015, nous avons reçu 280 personnes. De janvier à octobre 2015, le service emploi a enregistré 60 nouveaux inscrits. » Le défi est de faire face à des situations extrêmement variées : « Nous rencontrons des étrangers diplômés, des personnes en réorientation professionnelle mais sans formation, des surdiplômés qui ne trouvent pas de travail, des retraités en quête d’un revenu complémentaire… » En relation avec Pôle Emploi, les agences d’intérim, les associations d’aide au retour à l’emploi, les organismes de formation et les entreprises locales, le service informe sur les offres d’emploi disponibles ou les formations adaptées. Il offre une base d’accompagnement utile qui peut encore se renforcer dans les mois à venir avec un projet de coaching. Les situations varient et le service doit adapter sa réponse à chaque situation individuelle. Hausse des CDD (contrat à durée déterminée) Le service Emploi a réalisé 360 entretiens l’année dernière, soit 360 heures de « face à face » individuels avec un conseiller. Conséquence directe de la crise qui sévit : le délai de retour à l’emploi atteint actuellement en moyenne un an (voire plus) et la tendance, aussi bien pour les adultes que pour les jeunes, est à l’augmentation sensible des CDD, les CDI continuant de reculer. Mais en 2015 le service a enregistré un nombre plus élevé de retours à l’emploi, même s’il s’agit de contrats d’intérim voire de petits CDD (contrats à durée déterminée). « Sur 10 personnes qui ont retrouvé un emploi, trois étaient en CDI » déclare Yeta Telle. Un certain nombre ont recours à l’intérim qui peut aller jusqu’à 18 mois. Mission locale pour l’emploi des jeunes : un accompagnement global Remettre les jeunes déscolarisés sur les rails de la formation et de l’emploi, préparer dans les meilleures conditions leur insertion sociale et professionnelle, telle est la mission dévolue à la Mission locale Vallée de Montmorency. Celle-couvre 12 communes* et possède deux antennes à Ermont et Montigny, en sus du siège social situé à Franconville 30 rue de la Station. Comme le souligne David Potrel, directeur de cette structure associative, cofinancée par l’État, la Région et les communes membres : « Notre mission est d’aider les jeunes de 16 à 25 ans dans leurs démarches d’orientation. Chaque jeune bénéficie d’un accompagnement global par un conseiller référent unique de son parcours. Un jeune qui ne sait pas quelle orientation choisir a tout intérêt à pousser notre porte. Nous allons l’aider à se qualifier. Par le biais d’ateliers et de dispositifs spécifiques, à travers des rencontres avec des professionnels, les jeunes vont choisir une voie qui leur correspond et qui répond à un besoin sur le territoire. Nous les aidons à trouver une formation adaptée et continuons à les suivre tout au long de leur période de formation. Les jeunes qui sont dans une dynamique de recherche d’emploi vont bénéficier d’un accompagnement renforcé : réalisation des outils nécessaires à la recherche d’emploi, préparation aux entretiens d’embauche et rencontres nombreuses avec les employeurs. Il s’agit de tout mettre en œuvre pour faciliter l’accès des jeunes à l’emploi et à l’autonomie en levant les principaux freins à leur insertion. » La Mission locale traite également de problématiques comme la santé et le logement. Deux conseillères spécifiquement en charge de ces questions reçoivent et accompagnent les jeunes vers les structures adaptées. Le nombre de jeunes orientés et reçus par le « Point Santé » est en nette augmentation. Près de 1 200 jeunes y ont été accueillis l’an passé dont 90 sur le « point écoute psychologique ». Ateliers de recherche d’emploi : ouvert à tous ! La Mission Locale a recruté une conseillère qui anime des ateliers de recherche d’emploi ouverts à tous les jeunes et accessibles sans rendez-vous le lundi, mercredi matin et vendredi toute la journée. Elle anime également des ateliers de préparations aux entretiens le mercredi après-midi. Dans ces ateliers les jeunes bénéficient d’un accompagnement personnalisé dans leurs démarches de recherche d’emploi. La conseillère prépare et encadre les jeunes sur les Salons et les Forums spécialisés ainsi qu’en prospection entreprises. Franconville le journal n° 217 novembre 2015 *Beauchamp, Cormeilles-en-Parisis, Eaubonne, Ermont, Franconville, Herblay, La Frette-sur-Seine, Le Plessis-Bouchard, Montigny-lès Cormeilles, Montlignon, Saint-Prix, Sannois 12 Actualités Dossier Résultats La Mission locale Vallée de Montmorency a accueilli et suivi l’an dernier 3 953 jeunes dont 803 jeunes Franconvillois. Parmi eux : > 516 d’entre eux ont accédé à un emploi (CDD et CDI) et 118 ont suivi une formation qualifiante ou diplômante. > 61 ont signé un contrat en alternance (« Les bons résultats obtenus en matière d’apprentissage vont à l’encontre de la tendance observée sur le plan national ») > 17 ont repris leurs études, en scolarité initiale. Sortir Ville pratique BAFA (Brevet d’Aptitude aux fonctions d’Animateur) : une formation courte pour un accès direct à l’emploi ! Avec la ville et le soutien financier de l’ACSE (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances), la Mission locale mène depuis quatre ans une action permettant à une vingtaine de jeunes de bénéficier chaque année d’une formation de qualité pour devenir animateur et accéder ensuite en moins de six mois à un emploi durable. Cette formation est assurée par l’IFAC95. Avis aux intéressés : il reste des places cette année… SOS Rentrée Depuis plusieurs années la stratégie de la Mission locale est de favoriser au maximum les rencontres entre les jeunes et les entreprises. Parmi les actions innovantes, citons par exemple l’opération SOS rentrée lancée il y a quatre ans et coanimée avec le Point Information Jeunesse (PIJ) de Franconville. Elle s’est déroulée de juin à septembre. « L’objectif, déclare Alexandra Zryra, directrice-adjointe, est de repérer les jeunes qui n’ont pas de solution pour la rentrée de septembre, qu’il s’agisse d’école, de formation ou d’emploi. Cette opération nous a permis de rencontrer cette année 61 jeunes. Parmi eux, douze jeunes qui n’avaient pas de solution scolaire ont été re-scolarisés. Vingt-trois recherchaient une entreprise d’accueil pour leur contrat d’apprentissage. Nous leur avons proposé des ateliers et de la prospection terrain. Ils sont partis avec des conseillers à la rencontre des entreprises préalablement ciblées. » Cette action s’est achevée par la participation des jeunes aux Olympiades de l’apprentissage le 24 septembre. Plus de 140 jeunes du territoire ont participé à cette action réalisée avec le concours des CFA (Centres de formation d’Apprentis) et des entreprises. Prospection des entreprises : le point fort La Mission locale dispose d’un fichier de 200 entreprises partenaires et privilégie les relations avec ces dernières grâce à deux salariées : une chargée de relations entreprises et une conseillère chargée du suivi des jeunes en emploi. Le jeune est accompagné jusqu’à la signature du contrat et au-delà pendant la période d’emploi. La Mission locale organise très régulièrement des sessions de Jobs dating, formule de rencontres directes et de courte durée entre un employeur et un candidat à l’embauche. La structure perdrait son dynamisme et son efficacité s’il n’y avait avec elle pour aider les jeunes des partenaires actifs et responsables, conscients de l’enjeu : les CFA (Centres de Formation d’Apprentis), les entreprises (200), le secteur associatif spécialisé (formation, insertion…), l’IFAC, AGIR-abcd, Pôle Emploi, le Centre d’information et d’orientation (CIO), les structures de santé… « Nous sommes la 3e Mission locale d’Ile-de-France en terme de contrats de travail signés ! se félicite Mme Zryra, même si la tendance montante est aujourd’hui aux CDD et à l’intérim. » Franconville le journal n° 217 novembre 2015 >M ission locale Centre administratif : 30, rue de la Station 95130 Franconville 01 39 32 66 03 Ville pratique Sortir Dossier Actualités 13 Parrains et marraines en mission Agnès Chalmin-Marchais La journée portes ouvertes départementale organisée le 22 septembre dernier dans les locaux de la Mission locale à Franconville, a permis de réunir les jeunes et les « parrains » et « marraines » qui les accompagnent et les conseillent dans leur recherche d’emploi. Actuellement 95 jeunes de 16 à 25 ans (contre 50 en 2010) bénéficient de ce dispositif qui a fait ses preuves depuis sa mise en place il y a une quinzaine d’années. « Ce système d’accompagnement est efficace puisque plus de 80 % des jeunes parrainés accèdent à l’emploi, déclare David Potrel. Les 23 parrains et marraines qui agissent pour la Mission locale offrent bénévolement leur aide aux personnes qui en ont besoin. Une mission passionnante et exigeante comme le souligne Danièle Rascle, qui a commencé sa mission auprès des jeunes en 2004 au moment de son passage à la retraite : « Je cherchais une activité et j’ai rencontré les gens de la Mission locale au Forum des associations ». Aujourd’hui, elle accompagne 2 à 3 jeunes par an. Sa mission a évolué au fil du temps : « Au début, je les ai aidés dans leur recherche d’emploi, ce qui est quand même la principale mission de la Mission locale. Depuis quelques années, je m’occupe d‘eux différemment en les préparant à passer des concours dans le secteur médico-social ou paramédical. Je travaille avec eux l’oral de l’examen. Le plus souvent dans le cadre de concours pour devenir auxiliaire de puériculture, infirmière, aide-soignante… A la Mission locale, on utilise les parrains et marraines en fonction de leur expertise et de leurs spécificités. Je trouve que les jeunes aujourd’hui, y compris les diplômés, sont mieux informés et reconnaissent la Mission locale comme un lieu-ressource qui peut leur apporter de l’aide sur le plan de la recherche d’emploi mais pas uniquement. » Les yeux de la marraine s’éclairent soudain : « Je ne vous cache pas que je suis satisfaite des résultats. Cette année j’ai eu 100% de réussite ! » Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Danièle Rascle Christine Quiédeville Une question de méthode Docteur en médecine, retraitée, Agnès Chalmin-Marchais est bénévole à la Mission locale depuis 3 ans. « J’ai toujours aimé transmettre. La transmission des savoirs, le relationnel m’ont toujours intéressée. Je suis à la Mission locale pour aider les jeunes à se préparer aux formations et aux concours dans le paramédical. Les conditions d’accès aux formations dans ce secteur sont plus difficiles qu’avant. » Agnès Chalmin accompagne en ce moment 4 jeunes : « Je les reçois deux fois par semaine chacun, à raison de trois heures à chaque fois. Les jeunes que nous aidons doivent être motivés, prêts à nous écouter et à faire des efforts. Il ne sert à rien de poursuivre avec un jeune qui s’en fiche. C’est une perte de temps pour tout le monde. Il y a d’autres jeunes qui sont motivés et qui sont en attente. S’intègrent dans le parrainage la transmission de valeurs humaines de respect, d’effort, de responsabilité humaine partagée. L’engagement doit être réciproque ». Nouvelle marraine en fonction à la Mission locale, Christine Quiedeville, ex-cadre commerciale fait partie de l’association AGIR-abcd qui travaille depuis de nombreuses années avec la Mission locale. « J’étais déjà adhérente à France Bénévolat. Il y a un moment que je pense à me rendre disponible, et les jeunes sont un public qu’il faut absolument aider. » Jean-Yves Le Grand, ex-cadre bancaire, intervient depuis 8 ans en qualité de parrain : « Nous agissons en complément de l’action des conseillers. Nous devons aussi faire comprendre aux jeunes que s’ils partent sans méthode à la recherche d’un job, celui-ci sera pris par quelqu’un d’autre qui aura mis de la méthode. On leur dit qu’il ne suffit pas d’envoyer des CV et d’attendre que l’entreprise leur réponde. L’accompagnement varie naturellement d’un jeune à l’autre et les conseils aussi. Il peut s’agir de corriger un simple problème de présentation ou d’un accompagnement de plus longue durée basé sur des rencontres régulières, la désignation des étapes à franchir, des objectifs à atteindre. Le rapport de confiance entre le jeune et son parrain est à cet égard essentiel. » 14 Zoom sur ZOOM SUR Dossier Sortir Ville pratique > C215 : INTERVIEW DE L’ARTISTE… D errière le pseudo abstrait C215, se cache l’une des personnalités du « street art » (art urbain) français. Depuis dix ans, Christian Guemy, 42 ans, redonne aux murs gris et sales de certains quartiers un nouveau souffle esthétique. Ses portraits colorés réalisés au pochoir ou à main levée habillent de nombreux murs et objets, à Vitry la ville où son atelier est installé, et ailleurs dans la plupart des grandes métropoles (Rome, Barcelone, Londres, Amsterdam, New York, San Francisco, Sao Paolo…). Ses œuvres représentant des portraits, des personnages de rue, des animaux… ont fait le tour du monde et sont accueillies dans les galeries et musées. Peint sur un mur pignon de 25 m de haut à Paris (13ème), le chat est l’une de ses réalisations les plus célèbres. L’artiste de rue qui a commencé par le graffiti à 15 ans (« Une aventure qui au fond ne me correspondait pas ! ») a laissé quelques années plus tard exploser son talent dans certains lieux publics, sur les murs et sur des objets divers et variés : boites postales, armoires électriques, portes, livres… L’humaniste, marqué par l’œuvre du Caravage (peintre italien), consacre son temps à mettre de la poésie et de l’émotion au cœur des villes. Une monographie de son travail (300 pages) vient de paraître chez Albin Michel (éditeur) et sera disponible durant l’exposition. Nous avons rencontré l’artiste dans son atelier à Vitry. Bonjour Christian… C215, cette signature mystérieuse signifie… Rien d’autre qu’un pseudo abstrait, une machine à faire poser des questions. Comment vous êtes-vous retrouvé un beau jour au pied d’un mur, muni de vos bombes de peinture ? Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Sans doute la volonté de présenter une œuvre libre sans être confron- té directement à un médiateur (galeriste, critique, journaliste…), la volonté d’avoir un accès direct au public et aussi à l’époque, de réaliser des portraits de ma fille (Nina). Quand j’ai su peindre de la manière qui me plaisait ou quand j’ai eu la vision claire de ce que je voulais peindre et comment (longtemps après la période graffiti), pour moi il était évident que ça devait se passer (encore) dans la rue. La rue m’offrait un substrat idéal pour y faire germer des choses poétiques. « Ce sont les lieux qui portent, qui suggèrent l’œuvre d’art. » Partagez-vous cette expression d’Ernest Pignon-Ernest, plasticien contemporain mondialement connu ? C’est vraiment quelqu’un d’important ; je reconnais une certaine filiation dans la démarche et l’idéologie même si mon travail et le sien sont formellement très différents. Ernest évoque dans cette phrase la contextualité, le sentiment ou le pressentiment que peut avoir l’artiste d’une correspondance forte entre un lieu donné et ce que l’artiste porte en lui à un moment de sa vie et qu’il lui appartient d’exprimer à un endroit précis en urgence. Faire surgir l’art là où on ne l’attend pas est mon ambition depuis le début mais je veux être sûr que mon sujet s’intègre parfaitement à l’environnement. Le choix du lieu est essentiel. Ville pratique Sortir Dossier Zoom sur 15 …LES MURS NOUS PARLENT Vous avez fait des études classiques : histoire de l’art, économie, langues. Quel rapport avec le graphisme, la peinture, l’art urbain, le street art ? Pas grand-chose ! Je n’ai pas étudié l’histoire de l’art avec l’idée de devenir artiste et d’en faire mon métier. Je suis spécialiste en architecture française du 17e siècle et plus particulièrement en histoire de l’architecture religieuse. De quelle création êtes-vous le plus fier ? Je cherche… J’ai réalisé cet été une fresque au Mémorial du génocide Tutsi à Kigali (Rwanda). La guerre n’est pas mon sujet de prédilection mais la charge émotionnelle du lieu où reposent 250 000 victimes du génocide était évidente. J’ai réalisé également une série d’œuvres au Rwanda pour interpeller les députés français à reconnaître l’existence du génocide des tutsis. Je suis allé peindre également au Sénégal, au Maghreb davantage. Certaines de mes œuvres sont exposées en collection permanente au Musée d’art contemporain de Rabat mais aussi au Musée de La Poste à Paris, au centre de la gravure à La Louvière en Belgique, au Musée Pera à Istanbul, aux Musées des Arts et Métiers et Pierre & Marie Curie à Paris. Votre travail a sans doute évolué depuis 10 ans… Aujourd’hui je m’attache davantage au sens qu’à l’esthétique ou à la forme. Je donne plus d’importance à une œuvre esthétiquement moins jolie mais plus intéressante sur le fond. Quelles œuvres ou créations présenterez-vous au public franconvillois ? Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Des originaux, des photographies, des lithographies, des vidéos, tout ce qui peut représenter mon travail depuis une dizaine d’années. EXPOSITION C215 Du 3 au 28 novembre, Salle Giacometti, entrée libre Mardi de 14h à 19h, mercredi et samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h, jeudi et vendredi de 14h à 18h 16 Actualités À L'AFFICHE > Dossier Sortir Ville pratique SAINT-EXUPÉRY E S P A C E 32 bis rue de la Station Tél 01 39 32 66 06 www.ville-franconville.fr Théâtre La chanson de l'éléphant 6 novembre, 21h Espace Saint-Exupéry Quelque part en Ontario, le docteur Lawrence, thérapeute d’un hôpital psychiatrique, a disparu. L’un de ses patients, Michaël, est la dernière personne à l’avoir vu. Sans tenir compte des avertissements sibyllins de l’infirmière de garde, le docteur Greenberg, directeur de l’hôpital, s’acharne à obtenir du jeune homme, un témoignage cohérent. Mais Michaël, intelligent et manipulateur, s’entête à parler d’éléphants, d’opéra, de chantage et de meurtre. Le jeune patient entraîne le médecin dans un jeu de piste pervers. La rencontre tourne à l’affrontement et la disparition au thriller psychologique. Pièce de l’auteur canadien Nicolas Billon, La Chanson de l’éléphant est un fascinant huis clos où les personnages jouent au chat et à la souris. Un questionnement sur la limite de la normalité et un constat troublant sur les effets du manque d’amour. L’occasion d’apprécier la maîtrise de jeu de Pierre Cassignard et la découverte au théâtre de Jean-Baptiste Maunier, révélé dans le film Les Choristes. © Lot Humour Caroline Vigneaux quitte la robe 10 novembre, 21h Espace Saint-Exupéry Tout est dans le titre : ex-avocate brillante au barreau de Paris, Caroline Vigneaux décide en 2008 de « quitter la robe » pour devenir comédienne. Après avoir suivi les cours Florent, elle devient chroniqueuse dans l’émission animée par Stéphane Bern : Arène de France, puis écrit et joue son premier one-woman show : Il était une fée. Dans son deuxième spectacle, l’auteur et humoriste retrace son parcours : des affres d’une jeune avocate commis d’office, au coup de cœur pour un de ses clients « Vous avez tué votre femme, donc vous êtes célibataire. », de l’effroi de ses parents provinciaux à l’idée que leur fille intègre le showbiz, aux envies contrariées d’une femme libérée. Tout y passe avec une imagination débordante et l’art du comique sans vulgarité. © S ylv ain Gri poi x Trop jolie pour être drôle, Vigneaux ? Même pas ! Ville pratique Sortir Dossier Actualités 17 Théâtre Les Cartes du pouvoir 20 novembre, 21h, Espace Saint-Exupéry Les Cartes du Pouvoir traite de l’évolution psychologique des différents protagonistes, lors de l’élection d’un candidat démocrate aux primaires américaines. Dans une atmosphère de comédie de mœurs où l’engagement humain, professionnel et privé, se fait et se défait, les protagonistes se confrontent à la grandeur et à la décadence de la cynique quête du pouvoir. Basé sur une histoire vraie, ce texte de l’auteur américain Beau Willimon, avait inspiré le film Les Marches du Pouvoir, réalisé par Georges Clooney et présenté à l’ouverture de la Mostra de Venise en 2011. Un texte percutant, une mise en scène haletante et des acteurs excellents ! Molière 2015 du Comédien dans un second rôle pour Thierry Frémont et Molière 2015 de la Révélation Féminine pour Roxane Duran. © Laurencine Lot Chanson Faada Freddy 27 novembre, 21h, Espace Saint-Exupéry Il n’y a guère que Faada Freddy pour soulever l’enthousiasme de personnalités aussi éclectiques que Zaz, Lenny Kravitz, Bernard Lavilliers, André Manoukian, Nagui, Imany, ou Grand Corps Malade dès la sortie de son 1er EP* solo Untitled !, classé 13e du top digital dès sa sortie. Ceci est le témoin de l’incroyable universalité de son style. Partout où il passe, Faada Freddy enchante le public avec sa personnalité généreuse et surtout sa voix exceptionnelle. Sa musique faite sans autre instrument que la voix et les percussions corporelles est un subtil mélange des harmonies vocales d’un Bobby McFerrin et de mélodies pop, avec un timbre de voix soul à la Otis Redding. © Barron Claiborne CINÉ THE WALK RÊVER PLUS HAUT Drame américain de Robert Zemeckis avec Joseph Gordon-Levitt, Ben Kingsley, Charlotte Le Bon LOLO Comédie française de Julie Delpy avec Dany Boon, Julie Delpy, Vincent Lacoste *Format musical plus long qu’un single L'HOMME IRRATIONNEL Drame américain de Woody Allen avec Joaquin Phoenix, Emma Stone, Parker Posey HUNGER GAMES LA RÉVOLTE PARTIE 2 Film de science-fiction américain de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth BELLES FAMILLES Comédie dramatique française de Jean-Paul Rappeneau avec Mathieu Amalric, Marine Vacth, Gilles Lellouche LES PETITES CASSEROLES Film d’animation français de Uzi Geffenblad, Conor Finnegan, Eric Montchaud 007 SPECTRE Film d’action américano britannique de Sam Mendes avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Monica Bellucci LA SALSIFIS DU BENGALE Film d’animation français 18 Actualités Dossier Sortir Ville pratique DU CÔTÉ DE LA MÉDIATHÈQUE 01 39 32 66 09 Conférence littéraire VIRGINIA WOOLF (1882-1941) OU LA TRAVERSÉE DES APPARENCES Mardi 17 novembre à 15h Espace Saint-Exupéry (salle polyvalente). Public ados-adultes Intervenant : Olivier Macaux (docteur en lettres modernes et conférencier). Virginia Woolf est sans conteste l’une des plus grandes romancières anglaises. À partir des années vingt, en compagnie d’auteurs aussi différents que James Joyce ou D. H. Lawrence, elle a permis l’émergence du roman anglais moderne. Vente de livres d'enfants pour les fêtes Samedi 21 novembre de 11h à 17h Médiathèque - Pour tous Par la société Expodif Lectures DES LIVRES ET DU POLAR Samedi 28 novembre à 10h30, Médiathèque Enfants de 9 à 12 ans (sur inscription). Par les bibliothécaires. Le Salon du polar à Montigny aura lieu les 4, 5 et 6 décembre ! Afin de se mettre dans le bain, les bibliothécaires présenteront des romans policiers pour la jeunesse, et en liront des extraits. N’OUBLIEZ PAS ! Les arts urbains sont à l’honneur cet automne ! Du 3 au 28 novembre, la Médiathèque confie à des adolescents de 13 à 18 ans, intéressés par les Arts urbains, le « relookage » éphémère de la Médiathèque en s’inspirant du « street art ». À la suite d’une séance de découverte de l’art urbain et d’une randonnée-photo dans la ville, trois volets seront déclinés autour de trois groupes : numérique, graphique, monumental. Les œuvres obtenues circuleront de la Médiathèque à la K’Fête et aux Maisons de proximité. Renseignements : 01 39 32 66 09 CULTIVEZ VOS PAPILLES ! Ateliers culinaires SCULPTURES SUR FRUITS ET DE LÉGUMES Mercredi 4 novembre, 14h, 15h15 et 16h30 Médiathèque - Enfants de 7 à 12 ans (sur inscription) Par Frédéric JAUNAULT. Ce « Meilleur ouvrier de France » est un grand chef cuisinier et expert en fruits et légumes. Créateur de la première Académie du fruit et du légume en Europe, de la première Ecole du fruit et du légume au marché de Rungis, Champion de France et d’Europe de sculpture sur fruits et légumes… Ça-me-clic' LE RENDEZ-VOUS DU NUMÉRIQUE. GOURMANDISE SUR TABLETTES ET PC. Samedi 7 novembre à 10h30 Médiathèque Public ados-adultes (sur inscription) Par les bibliothécaires. Découverte d’applications pour cuisiner, jouer, faire ces courses ou encore surveiller ce que l’on mange. Heure du conte et atelier Conférence CRIMES ET CHOCOLAT Samedi 28 novembre à 15h Médiathèque - Public ados-adultes Samedi 14 novembre à 10h30 Intervenant : Chantal POMMIER Médiathèque - Enfants de 4 à 6 ans (professeur de Lettres, conférencière (sur inscription) et auteure de « Crimes et chocolat » Par les bibliothécaires chez Alice Lyner éditions Quoi de plus sensuel, de plus festif que de Exposition siroter un chocolat mousseux ou de déguster une bouchée pralinée ? A LA DÉCOUVERTE Qui soupçonnerait alors que le « necDU POTAGER tar des dieux » pourrait sceller un Du 28 novembre au 19 décembre pacte avec la mort ? Comment, de Médiathèque - Pour tous tout temps, des « crimes par choco(par Galileo production). L’histoire des légumes lat » furent-ils perpétrés dans la réaliet du potager à travers divers supports péda- té et la fiction ? En lien avec le Salon gogiques (panneaux explicatifs, illustrations, du Polar à Montigny-Lès-Cormeilles outils de jardin, table à jardiner). les 4, 5 et 6 décembre. AUTOUR DES POMMES ÉCOLE DE MUSIQUE DE DANSE ET D’ART DRAMATIQUE AGRÉÉE STAGE DE DANSE ORIENTALE SCÈNE OUVERTE AUX CLASSES D’INSTRUMENTS Dimanche 15 novembre de 13h à 16h (7-14 ans). Ouvert à tous : 12 S pour les participants non-inscrits au Conservatoire. Inscriptions par mail à [email protected] Samedi 21 novembre à 15h, Auditorium R. Benzi Ville pratique Sortir Dossier Actualités Résultats 19 BASKET NOUVEAU ! NF1 : BC Franconville - Roannais : victoire 66-59 NF3 : BC Franconville - Sannois St Gratien : victoire 66-42 NF1 : BC Franconville PB - Le Creusot - Fin du 1er quart temps : 15-15 - Mi temps : 34-35 - Fin du 3e quart temps : 48-49 - Prolongation 67-67 - Fin du match, défaite : 71-82 Beau match, les joueuses n’ont pas démérité pour leur 1re rencontre officielle. NF3 : BC Franconville PB 2 - IFS 2 : victoire 52-49 La Teamgym fait son entrée au club de gymnastique Depuis la rentrée, le club de gym l’Albonaise lance une nouvelle discipline : la « Teamgym ». Comme son nom l’indique, cette discipline, née dans les pays nordiques, se pratique en équipes de 6 à 12 gymnastes, filles et garçons. Elle peut se pratiquer en loisirs ou en compétition et comprend trois séquences différentes : > une chorégraphie (au sol) en groupe avec des mouvements spécifiques (sauts, portées…). > le « tumbling », piste d’acrobaties où les gymnastes enchainent des séries de sauts spectaculaires (saltos, vrilles) > le mini-trampoline. Acrobaties et chorégraphies prédominent dans cette discipline. Comme le souligne Nelly Mouly, qui anime cette nouvelle section depuis la rentrée : « la Team ne manque pas d’intérêt pour les gyms qui ont un peu marre des agrès (classiques). La présence au sein du club de gymnastes de haut niveau pour parvenir au niveau des compétions est de bon augure pour cette discipline qui démarre. Pour l’heure, nous souhaitons surtout faire découvrir cette activité au plus grand nombre, et accueillir tous les niveaux, y compris les débutants. » Les programmes sont adaptés. Par exemple en tumbling, les débutants font des roulades alors que les gyms expérimentés travaillent les doubles saltos. En ce qui concerne l’âge, on peut commencer la Teamgym à partir de 6 ans (12 ans pour la compétition). Entraîneur : Nelly. Horaires des cours : samedi de 17h à 19h Inscriptions : dossier à télécharger sur le site internet du club rubrique « inscriptions ». www.gymnastique-albonaise-franconville.fr Rendez-vous PATINOIRE 8 novembre, 14h30, patinoire : « Venez patiner avec la Reine des neiges » RUGBY Rencontre intercommunale le 10 novembre BASKET 14 novembre, 20h, CSL : Franconville PB basket club/Pays Voironnais BC PATINOIRE 21 novembre, 20h45, patinoire : soirée mousse Quand rugby rime avec jeunesse… À l’occasion de la Coupe du monde de Rugby, le service des sports de la ville organise pour la première fois avec les villes partenaires (Beauchamp, Taverny, Besssancourt, Saint Leu-laForêt) un événement rugby avec les écoles. Trentehuit classes de CM2 représentant 21 écoles participent. 1050 élèves au total répartis sur 38 classes, disputeront les matchs. Deux conseillers pédagogiques Sports encadreront cette manifestation durant laquelle 16 éducateurs sportifs seront mobilisés. Douze classes de Franconville participent à l’événement. Chaque école a été invitée à confectionner un drapeau aux couleurs d’une nation qui a participé à la Coupe du monde qui vient de s’achever. Rendez-vous au stade Jean Rolland le 10 novembre prochain de de 10h30 à 15 h. BIKE AND RUN 29 novembre de 7h à 15h30, Bois des Eboulures : Bike and Run TÉLÉTHON 5 décembre de 14h à 16h : Téléthon (1 € minimum) •B aby parcours enfants de 3/8 ans gymnase du Moulin •T ournoi de Football enfants de 9/11 ans gymnase du Bel Air Programme complet dans le journal de décembre 20 Actualités 11E CONCOURS DES LUMIÈRES DE NOËL DÈS AUJOURD’HUI Le Conseil Municipal des Jeunes et le Service Jeunesse proposent : Franconville en scène. Concours de jeunes talents pour les 11-25 ans. Vous avez un talent ? Contactez-nous vite ! Auditions le 30 janvier 2016. Dépôt des candidatures au service jeunesse avant le 23 janvier 2016 > Renseignements : 01 34 14 84 84 9 NOVEMBRE La commémoration de la mort du Général de Gaulle se déroulera place Charles de Gaulle le lundi 9 novembre à 19h15. 11 NOVEMBRE Chaque 11 novembre, l’histoire convoque les Français et les appelle à se souvenir de l’armistice signé le 11 novembre 1918. Le Maréchal Foch disait : « Les peuples cessent de vivre lorsqu’ils cessent de se souvenir. » Mercredi 11 novembre 2015 9h30 : place de Verdun, dépôt de gerbe 10h : messe en l’Église Sainte-Madeleine 11h : parvis de la Mairie, rassemblement et départ pour le cimetière Retour à la Mairie. Avec le concours des Sapeurs-pompiers, de l’Harmonie Big Band de Franconville, du Comité de la Croix-Rouge, des Secouristes de Franconville et du Souvenir Français. Des porte-drapeaux et des responsables d’associations locales. Conseils de quartier 21 NOVEMBRE Le conseil de quartier des Noyers de SaintEdme et la Maison de la Mare des Noues organisent la Fête et le loto de l’automne le samedi 21 novembre de 12h à 17h à la Maison de la Mare des Noues. - Entrée gratuite (sur inscription obligatoire pour le loto avec le coupon ci-dessous) Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Téléphone : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Nombre de personnes : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Date et signature : Franconville le journal n° 217 novembre 2015 Sortir DU 1ER AU 31 DÉCEMBE 2015 Mairie Prénom : Dossier Coupon à retourner à la Mairie de Franconville : service des Conseils de quartier ou à la Maison de la Mare des Noues Venez découvrir des spécialités sympathiques autour de produits de l’automne et n’hésitez pas à en faire partager aussi. Jeux de saveurs proposés. • Trois catégories proposées : - Halls d’immeubles - Balcons - Maisons • Un gagnant par catégorie et par quartier • Inscriptions jusqu’au 12 décembre : - à l’accueil de la Mairie, Mairie annexe, service Conseils de quartier - par mail : [email protected] •P assage du jury : du 18 décembre 2015 au 02 janvier 2016 Renseignements : 01 39 32 67 26 Associations 14 NOVEMBRE Concert « Les amies de la soul » le samedi 14 novembre à 20h30 à l’Espace Saint-Exupéry (théâtre Jean Cocteau). Avec la participation de deux talents franconvillois : 2 lycéens choisis lors de l’audition à Cultura. Les 200 premiers billets sont à 12€ en pré-vente à Cultura. Une partie des bénéfices sera reversée à l’association Histoires de Ted (sensibilisation du public à l’autisme). Ensuite l’entrée sera à 15 €. >E space Saint-Exupéry, 32 bis rue de la Station. 15 NOVEMBRE Un bal country est organisé le dimanche 15 novembre de 14h à 19h à l’Espace Saint-Exupéry avec le groupe Jesse N’Pat. Entrée 12 euros. Réservations : 06 71 05 66 00. > Espace Saint-Exupéry, 32 bis rue de la Station. 20 ET 21 NOVEMBRE L’association Loisirs Amitié Culture organise une Foire aux jouets et puériculture les 20 et 21 novembre au Centre socioculturel de l’Epine-Guyon. Retrait des étiquettes le mardi 10 novembre de 14h à 19h, dépôt le jeudi 19 novembre de 10h à 19h, vente le vendredi 20 novembre de 14h à 19h et le samedi 21 novembre de 10h à 17h30. Restitution le mardi 23 novembre de 14h30 à 19h. > Centre socioculturel de l’Epine-Guyon, 2 rue des Hayettes. Tél. 01 34 15 88 06. 21 NOVEMBRE Soirée orientale le samedi 21 novembre à partir de 20h30 à l’Espace Saint-Exupéry au profit de l’association Les Enfants du Nil. Association Les Enfants du Nil Présidente : Suzanne Pironet 15 rue Tailhade 95130 Franconville Tél. : (Répondeur) : 01 34 13 33 33. Portable: 06 86 18 65 44. > Espace Saint-Exupéry, 32 bis rue de la Station. Ville pratique 21 NOVEMBRE L’ASAPMH, association d’aide et de soutien aux personnes malades ou handicapées organise un loto-gourmand le samedi 21 novembre de 14h30 à 17h30 à la Maison des associations. Ouverture des portes à 14h. > Maison des associations, 2 rue du Maréchal Foch. Tél. 01 34 44 23 60. DU 26 AU 29 NOVEMBRE La Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Val-d’Oise organise du 26 au 29 novembre dans ses locaux à Cergy un salon permettant de découvrir les richesses artisanales de notre département. Vous y rencontrerez une cinquantaine d’artisans d’art valdoisiens, spécialisés en joaillerie, accessoires de mode, décoration d’intérieur, ameublement…Le savoir-faire de nos artisans s’expose. Ce sera « Noël avant l’heure » préviennent les organisateurs qui ont choisi cette année d’honorer avec les artisans présents Picasso. Entrée libre et gratuite. Du jeudi 26 au dimanche 29 novembre, 10h-19 h. > 1, avenue du Parc, 95 000 Cergy (parking gratuit). Renseignements au 01 34 35 80 37 28 ET 29 NOVEMBRE L’Établissement Français du Sang organise deux collectes dans notre commune : • Samedi 28 novembre de 9h à 13h et de 14h à 16h à la Maison des associations (2 rue du Maréchal Foch, 01 34 44 23 60). Important : le parking situé derrière la Maison des Associations est réservé dès la veille, par arrêté municipal, à l’équipe de l’EFS pour lui permettre de décharger l’ensemble du matériel. Il est important de ne pas s’y stationner car cela perturbe et retarde la collecte. Les contrevenants s’exposent à une amende et à l’enlèvement du véhicule. • Dimanche 29 novembre de 9h à 13h30 au Centre socioculturel de l’Épine-Guyon (2 rue des Hayettes, 01 34 15 88 06). 5 DÉCEMBRE Dans le cadre du Téléthon 2015, un grand dîner spectacle avec soirée dansante est organisé par l’ADF le samedi 5 décembre à 19h30 à l’Espace Saint-Exupéry. Informations et réservations : 06 77 61 11 68 6 ET 12 DÉCEMBRE La Chorale « LA CROCHE CHŒUR » ouvre la saison 2015/2016 avec deux concerts : •D imanche 6 décembre à 17h en l’Église Sainte-Madeleine de Franconville sous l’égide du Téléthon, accompagnée du Chœur Lyrique « LA FORGE » de l’École de Musique de St Leu La Forêt Entrée : Libre participation aux frais. •S amedi 12 décembre à 18h concert de Noël en l’Église St Gilles de St Leu-La-Forêt avec le Chœur Lyrique «LA FORGE» de l’École de Musique de St Leu La Forêt (Entrée : 10 € - tarif réduit 5 € pour moins de 18 ans, étudiants, chômeurs). Ville pratique Sortir Dossier Actualités 21 Collecte de jouets Du 1er au 30 novembre des collectes de jouets seront réalisées par les professionnels de Century 21 partout en France. À Franconville, l’agence La Source immo se mobilisera au profit du Secours Populaire. Les habitants désirant participer à cette collecte peuvent déposer les jouets au 112 rue du Général Leclerc. Renseignements : 01 34 44 20 00 L’INSEE nous informe Les services de l’INSEE vont procéder, du 1er octobre au 17 décembre 2015, sur certains secteurs de la commune, à une enquête de contrôle et de mise à niveau du Répertoire d’Immeubles Localisés (pour le recensement) afin d’améliorer la qualité des adresses. Des agents recenseurs de l’INSEE se présenteront donc chez les particuliers au cours de cette période, merci de leur réserver un bon accueil. La « Meilleure Apprentie de France » est Franconvilloise. Domiciliée à Franconville depuis trois ans, Linda Attalah 17 ans, poursuit sa formation d’apprentie (Bac Pro Commerce 2e année) à l’Institut des Métiers de l’Artisanat d’Eaubonne et à la librairie-papeterie « Page 2001 » à Saint-Leu-la-Forêt depuis deux ans. Elle a obtenu cet été le titre de « Meilleure Apprentie de France en vente-action marchande ». Après un succès aux épreuves départementales et régionales, elle a remporté les épreuves nationales grâce à une réalisation de vitrine sur le thème des Oiseaux (thème imposé par le concours). Le jury a apprécié cette réalisation originale avec un décor tout en origamis, protège-cahiers transformés en feuilles, arbre en papier journal peint… « J’ai toujours aimé le commerce, ça a toujours été ce que je voulais faire. J’ai bifurqué vers l’apprentissage après ma seconde générale (baccalauréat) » déclare Linda qui espère devenir plus tard « commerciale à l’international ». Envisage-t-elle de suivre l’exemple de son père chef d’entreprise : « Non, je ne pense pas du tout à ça en ce moment, je pense plutôt acquérir de l’expérience. » Pour l’heure l’environnement et le commerce des livres lui plaît bien. Pharmacies de garde SAMEDI 31 OCTOBRE PHARMACIE TRUONG 58 avenues Georges V Eaubonne Tel: 01 39 59 18 98 DIMANCHE 1 NOVEMBRE PHARMACIE RENAUD 5 rue du 8 mai Sannois Tel : 01 39 80 70 03 Numéros utiles • SAMU 15 • SAMU Social 115 • Police Secours 17 Franconville le journal n° 217 novembre 2015 • Pompiers 18 • Numéro d’urgence européen 112 SAMEDI 7 ET DIMANCHE 8 NOVEMBRE PHARMACIE PEYCLI SAMEDI 21 ET DIMANCHE 22 NOVEMBRE PHARMACIE DURAND 14, bis rue de la république - Ermont Tel : 01 34 15 77 03 67, rue du Général Leclerc - Eaubonne Tel : 01 39 59 45 14 SAMEDI 14 ET DIMANCHE 15 NOVEMBRE PHARMACIE FANCHETTE SAMEDI 28 ET DIMANCHE 29 NOVEMBRE 10, place de la gare - Franconville Tel : 09 77 78 51 62, Centre commercial - Ermont Tel : 01 34 15 30 30 PHARMACIE CORA • Police nationale 01 30 72 61 50 • Violences femmes info 39 19 • Police municipale 01 34 44 04 80 • Allo enfance maltraitée 119 • SOS médecins 01 30 40 12 12 • Centre antipoison 01 40 05 48 48 •A lcooliques Anonymes 09 69 39 40 20 (numéro cristal, appel non surtaxé) • Urgences dentaires 01 30 75 42 15 • SOS Amitié 01 42 96 26 26 • Ordre des chirurgiens-dentistes 01 39 64 42 48 • SOS vétérinaires 08 36 68 99 33 22 Actualités Dossier VOS MAIRES ADJOINTS ET VOS CONSEILLERS MUNICIPAUX VOUS REÇOIVENT* * Conseiller communautaire Marie-Christine Cavecchi * 1er adjoint au Maire, communication, affaires scolaires, restauration Reçoit tous les jours sur rendez-vous : 01 39 32 66 13 (scolaire) 01 39 32 66 02 (communication) Claude Bodin * Transports, intercommunalité Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 40 Sabrina Fortunato Sports, associations Permanence tous les jours sur RDV : 01 39 32 67 14 Alain Verbrugghe Urbanisme, PLU, habitat Reçoit sur RDV sauf le samedi de 9 h à 11 h au bâtiment administratif : 01 39 32 66 64 Eva Hinaux * Affaires culturelles, École de musique, associations Permanence sur RDV : 01 39 32 66 06 Monique Merchie Logement Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 48 Roland Chanudet Anne Cristallin Xavier Dubourg Service à la population : état civil, cimetière, élections, recensement Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 72 Suivi des actions éducatives Permanence le mercredi et samedi matin sur RDV : 01 39 32 66 13 Catherine Moser Franck Gaillard Informatique, Numérique Henri Fernandez Entretien Petite-enfance, enfance, jeunesse Permanence le samedi matin sur RDV : 01 39 32 66 82 Alexandra Sainten Emmanuel Elalouf * Roger Landry Appel d’offres, commission de sécurité, patrimoine Reçoit sur RDV : 06 11 81 08 67 Florence Decourty Centre de Santé Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 29 Jean-Hubert Montout * Maisons de proximité Laurie Dodin Personnel communal Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 97 Joachim Cellier Développement économique Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 24 reçoit à la Maison des associations, sans rendez-vous, le 3e jeudi de chaque mois de 18 h à 20 h en dehors des vacances scolaires. Gérard Sébaoun, Député de la 4e circonscription (Vivre à Franconville) : chaque 4e samedi du mois, sur rendezvous de 10 h à 12 h à la Maison des associations, pendant les périodes d’ouverture. Tél. : 06 28 65 75 20. Etat-civil Claire Le Berre Voirie, conseils de quartier Reçoit le lundi sur RDV : 01 39 32 66 64 (voirie) et 01 39 32 67 26 (Conseils de quartier) Affaires sociales Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 88 Francis Delattre, Sénateur-Maire, reçoit en mairie sur rendez-vous et en permanence libre le dernier vendredi du mois à partir de 16 h en dehors des vacances scolaires. Claude Bodin, Conseiller régional d’Île-de-France, Environnement, gestion des déchets, fourrière animale, hygiène Reçoit tous les matins sur RDV : 01 39 32 66 61 Françoise Gonzalez Monique Mavel-Maquenhem * • Sur le Marché du Mail : 7 et 21 novembre Nadine Sense Xavier Melki Espaces verts, propreté ville Centre technique municipal Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 64 Outre leur présence sur le terrain au quotidien où vous pouvez les rencontrer selon leur délégation, les élus vous reçoivent sur rendez-vous. ➜ et d’autres permanences Marie-Christine Cavecchi, Vice-présidente du Conseil départemental du Val-d’Oise reçoit sur rendez-vous. Sécurité Reçoit sur RDV le samedi de 10 h à 12 h : 01 39 32 66 38 Sandrine Le Moing * Ville pratique Commerce, marchés forains, marché de détail Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 24 Charles Souied * Finances, budget Reçoit le mardi et le jeudi de 9 h 30 à 12 h sur RDV : 01 39 32 67 28 Sortir Bruno de Carli Seniors Permanence tous les samedis de 10 h à 12 h sur RDV : 01 39 32 67 88 Bernadette Montalti Jumelage, Médiathèque Patrick Boullé Office municipal des Sports Reçoit tous les jours sur RDV : 06 35 16 31 78 NAISSANCES 13/08/2015 14/08/2015 16/08/2015 17/08/2015 18/08/2015 19/08/2015 21/08/2015 22/08/2015 23/08/2015 24/08/2015 27/08/2015 28/08/2015 30/08/2015 31/08/2015 01/09/2015 04/09/2015 05/09/2015 06/09/2015 07/09/2015 08/09/2015 09/09/2015 10/09/2015 11/09/2015 13/09/2015 Célian DUMONT REDOUTEY Yusuf CEYLAN Maxime LEROUX Wassim FANDOUL Liya EL AMRANI Rosange ZOKLI-ANTHONY Lucas HANIN Clément LINARD Nour SALMI Abdulkadir HANKULU Mastene BOUHANIK Jules COJONDEVEL Emma LAROUBI Sonia ALLOU Varon-Junior BATANTOU Wendy ADUMOAH Clémence LACROIX Mayron RIVIERA Sara BOUZIANE Luna SERIEYS Tania FONSECA Giulia SERVAIS Raphaël COMBET Giulia KRÄTTLI Younes KRID Erell BRAHIMI Izaan SAJJAD Nathan CONSTANTIN Jordan LéONARD Enzo BOUTREAU Jason MONDESIR Lino ROTONDI-JANIN Nahël BRANGER Clarisse VERGER Yoan DESBONNES PITON Otro AGBOHOUN Rym AZZOUZ Victoria SERRALHEIRO AGULHA Dylan BENTALEB Maëlys LE PRIOL Soann ALLYBUCCUS 14/09/2015 Amina BOUCIF Anissa DEHMEJ 15/09/2015 Abdullatif ÇETINKAYA 23/09/2015 Malik THIOUB MARIAGES 04/09/2015Hermann MOHAMAD et Kouloud ZEBLI 05/09/2015Sylvain HARZO et Brigitte GIBAULT 05/09/2015 Hugues DOUKOUA et Arlette DZOUAVELE GNANGA 19/09/2015Kwame YEBOAH et Jackie LOLO 26/09/2015Souleymane DEMBELE et Béatrice MACCARRONE DÉCÈS 27/08/2015 Andrée ROUSSEL née COAT 29/08/2015 Eveline LORIOT née DUCREUX 29/08/2015 Camille BOU-AZIZ née SNANEDJ 31/08/2015 Patrick LAGRANGE 03/09/2015 Geneviève PERRIER née EULLIOT 05/09/2015 Colette REYNAUD née CAULO 06/09/2015 Gisèle CHAUFFAILLE née BOISSY 12/09/2015 Jean-Claude LE PRIOL 14/09/2015 Monique QUINTIN née AMICHOT 16/09/2015 André DELCOURT 16/09/2015 Marie-Laure TALOT née DESCAMPS 19/09/2015 Jean Pierre MICHEL 20/09/2015 Régis CHANTOME 20/09/2015 Raymonde CORMONT née PORTALIER 25/09/2015 Colette HEDE née BECHTER 27/09/2015 Roger LE MESTIC Ville pratique TRIBUNE LIBRE > Sortir Dossier Actualités 23 Franconville une ambition partagée Les communes en danger ! Les élus sont confrontés à des réformes qui mettent en péril les communes : la réforme territoriale ou loi NOTRe (pour laquelle j’ai voté contre) ; les réformes de la DGF et de la péréquation, sans aucune précision chiffrée ni simulation. La situation est préoccupante. Si nous n’y prenons pas garde, c’est toute notre organisation communale qui risque d’être profondément ébranlée. Et ce sont nos habitants qui seront les premiers affectés. Au surplus, nous nous heurtons à une politique incohérente et incompréhensible : - Incohérence lorsque M. Sapin demande aux collectivités de diminuer leur personnel alors que l’État créé 60 000 postes de fonctionnaires sur le quinquennat ! - Incompréhension lorsque M. Sapin demande aux collectivités de diminuer leurs frais de fonctionnement alors qu’il refuse de lutter contre la fraude sociale et rejette le principe de maîtrise de la dépense sociale ! Des réformes qui mettent en péril les communes : - La loi NOTRe votée le 16 juillet 2015 est le dernier volet de l’acte III de la décentralisation. Ce dernier met en place une nouvelle organisation administrative et territoriale centralisée et coûteuse. En accordant presque tous les pouvoirs aux métropoles et aux régions, cette loi tend à faire disparaitre les communes qu’elle regroupe dans des blocs pour nous supérieurs à 200 000 habitants ; elle transfère les compétences communales au niveau supérieur et assèche les finances locales. Les citoyens seront privés des services de proximité pourtant essentiels à la vie familiale… - La dotation globale de fonctionnement (DGF) constitue de loin la principale dotation de fonctionnement de l’État aux collectivités territoriales. Devenue particulièrement opaque, sa réforme est nécessaire mais est-ce le bon timing au moment de la baisse des dotations de l’État ? Le contenu du projet de loi de finances (PLF) pour 2016 était très attendu par les élus locaux, nombreux à devoir faire face à une équation budgétaire difficile, voire parfois insoluble. Pour le président du Comité des finances locales (CFL), André Laignel, maire socialiste d’Issoudun, ce texte montre que : « les élus du bloc communal n’ont pas été entendus sur le rythme et le niveau de la baisse des dotations ainsi que sur la réforme de la DGF », regrette-t-il, avant d’ajouter : « Ce budget est dans le droit fil des années précédentes et concourt, à son tour, à l’affaiblissement des collectivités locales et en particulier du bloc communal. » Au final, ce texte qui s’appuie sur des données économiques sorties tout droit du chapeau de Bercy impose une nouvelle baisse de 3,67 milliards d’euros des dotations de l’État en 2016 qui viendra s’ajouter à celles de 2014 et 2015. Voilà qui menace le fonctionnement normal de nos services municipaux et assèche pratiquement tous nos projets d’investissements. C’est justement cet investissement qui est l’objet de toutes les attentions. « L’investissement des collectivités nous préoccupe et, en 2015, nous n’avons jamais vu un marché aussi atone ce qui laisse présager très peu d’investissements au final », remarque Jean-Sylvain Ruggiu, le directeur secteur public de la Caisse d’Epargne-BPCE. Même la Cour des comptes le déplore ! Elle qui stigmatisait hier un mauvais contrôle de la masse salariale des collectivités territoriales, s’inquiète aujourd’hui de l’accélération de la baisse des concours financiers de l’État. Les magistrats se sont rendus compte des conséquences des mesures gouvernementales qui poussent de nombreuses municipalités à rehausser la fiscalité et surtout à devoir réduire leurs investissements : « La Cour s’inquiète tout particulièrement de la perspective d’une baisse durable des investissements. » Revenus à la raison, les magistrats consentent aujourd’hui à dire que « l’accélération de cette baisse est de nature, du fait de son ampleur, à modifier le modèle d’équilibre financier des collectivités. » De même, la Cour des comptes reconnaît que la hausse de la masse salariale, reprochée si violemment aux élus, a été provoquée pour moitié par des mesures décidées à Paris. Par exemple : l’augmentation de l’indice des fonctionnaires de la catégorie C ; la réforme des rythmes scolaires (qui coûte entre 350 et 620 millions aux collectivités !) ; la mise aux normes d’accessibilité des bâtiments publics (720 millions !)… Gérard Collomb sénateur-maire socialiste de Lyon s’est même félicité : « Pour la première fois, la Cour des comptes met enfin en lumière la responsabilité de l’État dans la gestion des collectivités. » Voilà qui devrait nous consoler, mais l’heure est trop grave pour cela. Aujourd’hui, ce sont bien nos villes à l’échelle humaine qui sont menacées et avec elles, la proximité si précieuse dans un monde de plus en plus dur. Le 22 septembre, le conseil municipal a voté plusieurs transferts de compétences de la commune vers l’agglomération. La pertinence d’un transfert de compétence repose, d’une part, sur le principe d’économies d’échelle grâce à une logique de mutualisation de services et d’achats ou, d’autre part, sur une meilleure efficacité/qualité du service rendu aux habitants pour un coût équivalent. UN BON EXEMPLE : le transfert de l’éclairage public que nous avons voté favorablement. La mise en commun des systèmes des 15 communes de l’agglomération permettra, grâce à un marché unifié, de réaliser les économies nécessaires pour envisager les investissements lourds mais Faire Front pour Franconville Vivre à Franconville Les transferts de competence, c’est comme les chasseurs, il y a les bons et les mauvais… nécessaires à la refonte de l’éclairage en ville, ce qui ne serait pas un luxe. UN MAUVAIS EXEMPLE : la mise à disposition des appareils de vidéosurveillance de Franconville au profit de l’agglomération, à laquelle nous nous sommes opposés. Aujourd’hui, le dossier est très mal ficelé : les gains financiers ne sont pas du tout évalués et le meilleur service rendu est totalement incertain. Par exemple, on nous parle d’un visionnage continu sur le territoire de l’agglo - afin de poursuivre les personnes suspectées de délit, qui passeraient d’une ville à l’autre - alors que pour le moment, les heures de fonctionnement des sites de vidéosurveillance ne sont pas du tout les mêmes. Quels seront les horaires de fonctionnement demain, pour quel coût supplémentaire pour l’agglo et donc les contribuables ? La question n’a trouvé aucune réponse dans les débats. A. Raisséguier (responsable du groupe), J. Charrières-Guigno, S. Lamouri, J.C. Quivrin, Y. Le Du, G. Chevalier, X. Duprat www.vivreafranconville.fr N.B. Pour les esprits chagrins de la majorité qui souhaitent nous caricaturer en « opposants à tout », nous leur rappelons que lors du conseil municipal du 22 septembre, sur 26 délibérations nos votes ont été les suivants : 20 pour, 3 contre, 2 abstentions, 1 délibération pour laquelle nous n’avons pas participé au vote. C’est vrai que cela fait de nous des « opposants à tout », acharnés et irresponsables ! Accueil des immigres clandestins a Franconville : pour le FN, c'est NON ! François Hollande s'étant déclaré favorable à l'accueil de 24 000 immigrés pour satisfaire aux pressions des eurocrates de Bruxelles et d'Angela Merkel, des maires UMPS, complices pour imposer aux Français cette déferlante migratoire, s'empressent de proposer à ces clandestins des hébergements d'urgence. Dans un exercice de travestissement des mots, tous cherchent à tromper les Français en leur faisant croire que ces migrants seraient des « réfugiés temporaires » alors que chacun sait qu'ils resteront sur le territoire national au frais du contribuable local. Fidèles à leurs engagements, notamment en ce qui concerne les attributions de logements sociaux pour lesquelles les Franconvillois doivent rester prioritaires, les élus FN s'opposent à tout accueil d'immigrés supplémentaires dans notre ville et exigent la reconduction de tous les clandestins dans leurs pays. Blog : fairefrontpourfranconville.wordpresse.com Courriel : [email protected] 24 Actualités Dossier Sortir Ville pratique ÉDITION 2015 DES FOULÉES Vétérans 1 F Cadets G 1 Hamon Marie Line 2 Emonnet Carole 3 Boudillat Karine 1 Maguerre Florian 2 Asselin Boulle Pierre 3 Le Doze Tristan Seniors H Espoirs F 1 Jemmal Abdelghani 2 Herve Ghislain 3 Meyer Gérald 1 Roberjot Marjorie 2 Jegou Marine 3 Asselin Boulle Elodie Espoirs H Seniors H 1 Maguerre Geoffroy 2 Vilanova Thomas 3 Valli Yohan 1 Ait Moh Hassan 2 Mebrek Adbel Hakim 3 Heron-Grzywacz Cedric Franconville le journal n° 217 novembre 2015Minimes G 1 Maguerre Thomas 2 Cottereau Nolan 3 Marechal Victor G Seniors F 1 Miloud Flavia 2 Large Melanie 3 Gemberle Marylin Ville pratique Sortir Dossier Actualités NOCTURNES DE FRANCONVILLE Juniors H Vétérans F 1 Bellandi Hugo 2 Brossier Julien 3 Gautiere Adrien 1 Lemoine Catherine 2 Kostioukevitch Antanina 3 Garnier Sylvie Vétérans H Vétérans H 1 Aichi Abdellatif 2 Libessart Patrice 3 Fonquergne Mehdi 1 Serouac Pierre 2 Ghiani Marc 3 Deregard Laurent 25 Départ & Podiums des poussins Juniors H 1 Senac Clarence Franck 2 Guy Thibaud 3 Benkessiouer Souleyman Départ & Podiums Des benjamins Départ du 5 & 10 km Seniors F 1 Roy Adeline 2 Brunault Nolwenn 3 Cassard Delphine Franconville le journal n° 217 novembre 2015 26 Actualités Dossier Sortir Ville pratique o 13 septembre Accueil des nouveaux arrivants o 19 septembre 2015 Masters de pétanque des Conseils de quartier o 26 septembre Le CMJ s’implique pour la cause animale : visite de la fourrière départementale par des Conseillers municipaux jeunes en compagnie de Nadine Sense et Franck Gaillard conseillers municipaux et Pierrette Catusse. Franconville le journal n° 217 novembre 2015 o 03 octobre 2015 Portes ouvertes de l’AFGF, association de généalogie o 03 octobre 2015 L’heure du conte à la Médiathèque Ville pratique Sortir Dossier Actualités 27 o 03 octobre 2015 Spécial Arts urbains à la Médiathèque o 03 octobre 2015 Stage de danse à l’École de musique o 06 octobre 2015 Vernissage de l’exposition : Les jardins du Comte d’Albon à Franconville Franconville le journal n° 217 novembre 2015 o C réation de jardin et potager CO R L E T CO M M U N I CAT I O N AGENCE CONSEIL E N C O M M U N I C AT I O N É D I T O R I A L E o T aille et élagage o Aménagement d’espaces verts oP lantation 3, C HEMIN D E MO ND EVILLE 14460 CO LO MBELLES T ÉL. 02 31 35 48 78 FAX 02 31 35 48 77 o Engazonnement o Enrochement et rocailles o Maçonnerie paysagère o Abords de piscine et patios o Arrosage o Contrat d’entretien LIBRAIRIE o Nettoyage haute pression des allées et terrasses 06 75 66 66 22 PONTOISE Une ville au cinéma Après la Seconde Guerre mondiale, la ville de Pontoise devient, avec la possibilité de tourner en extérieur, le décor et l’archétype d’une petite ville française. Depuis Toute la ville accuse (Claude Boissol, 1956) et surtout La Verte Moisson (François Villiers, 1959), nombre de réalisateurs ont choisi Pontoise pour leurs tournages. Cette publication situe non seulement Pontoise dans la fiction mais aussi dans la réalité, à travers les actualités filmées, les journaux et émissions télévisés, et dessine ainsi une histoire du cinéma à travers celui d’une ville : de l’histoire des premières projections à celle de ses salles... Elle constitue une monographie originale, forcément précieuse aux historiens, évocatrice d’un passé proche et inspiratrice pour les cinéastes. PAPETERIE GALERIE D’ART BEAUX-ARTS MUSIQUE VIDÉO LOISIRS CRÉATIFS MULTIMÉDIA Ouvert 7 jours/7 - 10h à 20h Centre commercial Art de Vivre - Eragny Tél. 01 34 30 48 00 - legrandcercle.fr ÉVEIL CADEAUX > OFFREZ-VOUS LA RÉFÉRENCE PONTOISE au fil des siècles sous le regard des peintres et des photographes 1914-1918 La guerre au quotidien à Pontoise et au front La Ville de Pontoise et le musée Tavet proposent aux Pontoisiens comme aux visiteurs de l’exposition « Pontoise au fil des siècles sous le regard des peintres et des photographes », un catalogue offrant de la manière la plus richement illustrée un regard sur les diverses représentations de la ville à travers les siècles. Les Pontoisiens Louis Hayet, Gustave Loiseau, Luis Jimenez resteront fidèles à la ville et, au début du XXe siècle, Octave Linet, Frédéric Cordey, plus brièvement Maurice de Vlaminck et Maurice Utrillo, complèteront le riche répertoire d’œuvres laissé par Pissarro, Gauguin et Cézanne, donnant à Pontoise une notoriété internationale. Le centenaire de la Grande Guerre est un moment de commémorations nationales qui illustre l’importance du traumatisme ressenti par l’Europe. L’exposition organisée par la Ville de Pontoise au Musée Tavet-Delacour vous propose de découvrir la réalité de la vie quotidienne à Pontoise et au front pendant la Grande Guerre. Ce catalogue est riche d’illustrations nombreuses et de textes qui remettent en perspective ce tournant de la vie européenne et l’implication des Pontoisiennes et Pontoisiens Contact pour commande : Conseil Graphique - 3, chemin de Mondeville -14460 Colombelles -Tél. 02 31 35 48 78 - [email protected]