Novembre 2015 - Franconville

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Novembre 2015 - Franconville
ville-franconville.fr
FRANCONVILLE
novembre 2015/n°217
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LE JOURNAL
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91 bis rue de la Station 95130 Franconville
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Le journal de Franconville est diffusé
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LA RÉFÉRENCE
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Dossier
Actualités
Francis Delattre
Actualités
Maire de Franconville
Sénateur du Val-d’Oise
4 • Duo Verde : un programme ouvert
Francis Delattre reçoit en mairie sur
rendez-vous et en permanence libre le
dernier vendredi du mois à partir de 16 h.
sur l’accession sociale à la propriété
5 • Baisse des dotations de l’État :
les élus locaux toujours mobilisés
L’État persiste et signe dans sa volonté de transférer aux maires
l’impopularité fiscale.
6 • Un nouveau boulanger-pâtissier a ouvert ses portes
dans le quartier de la gare
Le Projet de loi de finances pour 2016 apporte la confirmation d’une
nouvelle amputation de leurs ressources provoquée par une
nouvelle baisse des dotations de l’État. Les communes appelées à
contribuer au redressement des comptes publics ne peuvent être
raisonnablement tenues pour responsables du déficit de 72 milliards
d’euros qui s’affiche dans le budget 2016, ni de la dette publique de
la France estimée à environ 2100 milliards l’an prochain (contre 1833
milliards en 2012).
• La librairie-papeterie du centre-ville : un magasin-citoyen
• Nouveau à Franconville
7 • Élections régionales 2015 :
rendez-vous les 6 et 13 décembre
Les maires responsables doivent réagir en toute légitimité contre
des mesures qui impactent fortement leur budget et remettent en
cause des choix essentiels d’investissement et du bon
fonctionnement des services.
• Les services de l’État ne font plus leur travail ! bis
8 • Les A 320 s’équipent de kits anti-sifflement
9 • L’art et la manière de conter aux tout-petits
La pression financière qui s’exerce sur eux, au plus mauvais moment,
est un facteur de déstabilisation dont les citoyens vont pâtir. La
considération du travail des élus locaux qui s’échinent à préserver la
qualité de vie sur leur territoire a été remplacée par une sorte de
procès d’intentions. On leur a reproché de laisser filer leurs
dépenses courantes, de s’abandonner à des recrutements injustifiés,
de mal maîtriser leurs dépenses de personnels ou leur masse
salariale, alors même que ces collectivités appliquent à la lettre les
mesures de réévaluation salariale de certaines catégories d’agents
que l’État leur impose, qu’elles assument le poids des normes
surréalistes (taux d’encadrement des crèches, loi Alur…) venues
d’en haut sans aucun débat sur leurs coûts. Au surplus, la mise en
place et le financement des rythmes scolaires alors qu’ils sont de la
responsabilité de l’État depuis Jules Ferry.
14 • CC215 : interview de l’artiste…
Les murs nous regardent
19 • Côté sports
24 • Édition 2015 des Foulées nocturnes de Franconville
Dossier
La baisse des dotations sera une nouvelle fois d’actualité l’an
prochain laissant nombre de collectivités devant le choix ou le
dilemme de relever les taux des impôts locaux ou de réduire encore
leurs investissements, ce dont le secteur du BTP qui vit à 75% de la
commande publique s’inquiète déjà. En attendant, l’État aura
engrangé sournoisement un gain important : transférer aux
communes la responsabilité de l’augmentation de la fiscalité, et
donc : son impopularité…
10 • Emploi : tous mobilisés !
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Les dotations de l’État ne sont pas un don, c’est un dû issu de la
mise en place de la TVA qui a absorbé l’essentiel des taxes locales à
la consommation. C’est donc une volonté manifeste d’une ressource
locale destinée à combler le tonneau des danaïdes des déficits de
gestion d’un État incapable de se réformer qui bat aujourd’hui le
record européen absolu des prélèvements obligatoires (France
44,6% du PIB ; Allemagne 36 % du PIB).
16 • À l’affiche à l’Espace Saint-Exupéry • Cinéma
18 • Médiathèque • École de musique
Ville pratique
20 • Prenez note
21 • La vie en ville
22 • Service pratique / État-civil
23 • Tribune libre
25 • En images…
Directeur de la publication : Francis Delattre
Rédactrice en chef : Sophie Chergui
Rédaction/Photos/Illustrations/service communication :
Michel Philip, Adrien Ibanez, Philippe Boucaux
Conception, maquette, compogravure :
Corlet Communication, Colombelles, N° 1118
Régie publicitaire : Corlet Communication/02 31 35 48 78
Impression : Corlet Imprimeur, Condé-sur-Noireau
Imprimé sur du papier
écologique avec
des encres végétales.
Tiré à 17000 exemplaires
4
Actualités
Dossier
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Ville pratique
DUO VERDE :
un programme ouvert
sur l’accession sociale à la propriété
L
a commercialisation du programme immobilier Duo Verde, au 41
rue de Paris, a été réalisée par le constructeur-promoteur Kaufman& Broad. Lors de l’inauguration de ce programme de 75 logements neufs (sur 8 étages) en juin dernier, le constructeur a souligné
son envergure et la « collaboration forte » avec les élus de la ville
intéressés par la possibilité de conjuguer logement social et accession à la propriété. La spécificité de ce programme est l’activation
pour un certain nombre de lots/appartements d’un dispositif original
de financement lancé par la Caisse des Dépôts et aujourd’hui mis en
œuvre par le bailleur social Osica pour une opération de vente en
VEFA de 20 logements au total.
Dispositif original
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Le Prêt Social Location-Accession (PSLA) permet à des jeunes ménages n’ayant pas d’apport personnel suffisant pour acheter sur le
marché classique, de se porter acquéreur - sur une période de 1 à 5
ans - du logement qu’ils occupent en tant que locataires. Le système
fonctionne de la façon suivante : au cours des premières années,
l’occupant verse une redevance composée d’une « indemnité d’occupation » et d’un complément qui sera restitué plus tard. Autrement dit, une partie du loyer ou de la redevance est épargnée pour
constituer un apport suffisant au moment de l’acquisition. Ainsi, dès
la première année, il est possible de devenir propriétaire.
D’autres conditions et avantages sont indiqués :
> une TVA réduite à 5,5% au lieu de 20%, soit une économie de 10%
sur le prix du logement ;
> prêt à taux zéro ;
> dépôt de garantie de 1 000 € pour réserver votre logement au lieu
de 10 %du prix de vente
> pas d’appel de fonds avant d’entrer dans le logement ;
>u
ne accession sécurisée avec garanties de rachat et de relogement ;
> une exonération de la taxe foncière pendant 15 ans.
Garantie d’emprunt accordée par la ville
L’objectif, en facilitant l’accès à la propriété est de permettre à des
jeunes de se porter acquéreur dans de courts délais et ainsi de pouvoir concrétiser un projet de vie familiale et citoyenne dans leur ville.
Le bailleur social Osica (groupe SNI), lui-même bénéficiaire d’une garantie d’emprunt accordée par la ville sur un prêt de 3,13 millions
d’euros souscrit auprès du Crédit Foncier, a annoncé les dernières
opportunités du programme. Il s’agit de cinq T 3 (à partir de 164 461
€/58 m2) et de trois T4 à partir de 209 521 € (parking inclus) jusqu’à
221 155, 61 € (77,22 m2) avec terrasse de 11,6 m2.
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Ville pratique
INITIATIVES
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Dossier
Actualités
5
>
BAISSE DES DOTATIONS DE L’ÉTAT :
les élus locaux toujours mobilisés
L
e 19 septembre dernier, les maires et élus de France ont battu le pavé dans toutes
les régions pour protester contre la baisse des dotations de l’État qui les pousse
vers de grandes difficultés.
D
ans le cadre du redressement des comptes publics, l’État impose aux collectivités locales (régions départements et communes) un effort de 28 milliards
d’euros en trois ans via une baisse de ses dotations. Les plus touchées sont les
communes qui ont vu leurs dotations baisser de 1,5 milliard en 2014, puis 3,67
milliards chaque année de 2015 à 2017. Soit en 4 ans plus de 12,5 milliards ! Le
gouvernement qui a annoncé un budget 2016 déficitaire de 73 milliards d’euros
exerce sur les communes déjà mises sous tension par la crise (elles n’ont pas
le droit, elles, de voter des budgets en déficit !) une pression financière brutale
et néfaste. La baisse drastique des dotations impacte fortement les budgets
et conduit de nombreuses villes françaises dans une impasse financière totale.
Comme le rapporte un sondage réalisé en mai dernier par l’IFOP (Institut français d’opinion publique) auprès de milliers d’élus locaux et annexé à un rapport
d’information sur l’évolution des finances locales à l’horizon 2017 : « Jusqu’à
deux tiers (68%) des villes de plus de 10 000 habitants s’attendent à être dans
le rouge d’ici à 2017. » Inadmissible ! ont répondu les élus inquiets.
Lourdes conséquences
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Une bonne partie d’entre eux ont déclaré n’avoir pas d’autres choix pour sauver
l’équilibre de leur budget 2016 et les suivants, que de diminuer leurs dépenses
d’ investissements ou d’augmenter les taux des impôts locaux. Une alternative
difficile allant à l’encontre de leurs engagements ! Quant aux conséquences de
cette réforme, les élus les ont clairement identifiées : moins d’investissements
préparant l’avenir, moins de services de proximité pour les citoyens, moins
de subventions aux associations, moins de travaux de voirie et de rénovation
des bâtiments, des tarifs de prestations réévalués... Pour Franconville, les services financiers de la ville ont estimé à 4 millions d’euros environ la perte
de recettes sur quatre années au moment où le développement des services
publics de proximité est une nécessité compte tenu de l’accroissement de la
population liée à la construction de logements. Efforts expressément demandés par l’État !
Transfert de fiscalité
« En fait personne n’est dupe. Le gouvernement nous transfère
l’impopularité de l’impôt dans un but purement électoraliste !
Et il a le culot de nous reprocher de trop augmenter nos dépenses de fonctionnement, d’augmenter notre masse salariale
en omettant de préciser que les recrutements de fonctionnaires territoriaux étaient liés le plus souvent aux transferts
des compétences de l’État vers les collectivités territoriales,
que ces mêmes collectivités n’étaient en rien responsables de
la réforme des rythmes scolaires, ni des revalorisations salariales, ni des normes coûteuses imposées ! » a déclaré Francis
Delattre, maire de Franconville, sénateur du Val-d’Oise.
Conscients des besoins de leurs administrés avec qui ils sont
en contact permanent, les maires ont vivement réagi contre
le risque évident d’altération des services de proximité sans
savoir d‘ailleurs ce que la réforme en cours de la DGF (dotation
globale de fonctionnement) portant révision des paramètres
de péréquation allait avoir comme effets à leur niveau. Par
ailleurs, le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP)
sensible à la conjoncture et qui vit à 75% de la commande publique s’est alarmé de la situation et de la possible suppression
de dizaines de milliers d’emplois. Un tel scénario augurant mal
de la relance de notre économie et de la croissance ! Comme
l’a souligné le sénateur Philippe Dallier en conclusion de son
rapport devant la délégation sénatoriale : « Nous sommes tous
inquiets, au-delà de nos étiquettes politiques, de la difficulté
qu’ont rencontrée les collectivités locales à équilibrer leur budget pour 2015. Cette situation risque de se reproduire en 2016
et 2017 ».
6
Actualités : Gare
Dossier
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Ville pratique
Boulangerie-pâtisserie de la Gare avec Roland Chanudet, conseiller municipal.
UN NOUVEAU BOULANGER-PÂTISSIER
a ouvert ses portes dans le quartier de la gare
I
l était attendu par les habitants du quartier ! La présence d’un nouveau boulanger-pâtissier dans le secteur de la gare, installé au 5 rue Henri Barbusse est une bonne nouvelle. Le nouveau venu à l’enseigne « Aux péchés Mignons » porte à trois le nombre de boulangeries dans un secteur où la
population a augmenté. Une dizaine de personnes composent l’effectif du magasin qui a ouvert ses portes le 17 septembre dernier. Le décor est clair
et spacieux. Un présentoir de pains spéciaux à l’entrée, composés à base de farine Premium donne le ton ainsi qu’une grande vitrine d’exposition de
gâteaux. L’inscription « Maitre-pâtissier » accolée à l’enseigne désigne un point fort. Ce département fonctionne sous la responsabilité de Margaux
Mallard, 24 ans, diplômée de la célèbre école Ferrandi. Maître-artisan boulanger et pâtissier, professionnel depuis 33 ans et enseignant à ses heures
dans une école cotée dans la profession, Gilles Faintreny est le responsable de toute la fabrication. « Tous les produits présentés ici sont faits de A
à Z, il n’y a pas de viennoiserie surgelée précise-t-il. Tout est fabriqué ici. » S’agissant de la production de pains, le maitre-boulanger ajoute : « C’est
un peu notre spécialité ici : tous nos pains sont faits à base de levain. Cet ingrédient donne du goût, apporte des épaisseurs de croûte différentes, un
petit goût de miel. Comme la législation nous empêche de mettre autant de sel qu’avant puisque l’on est à 18 grammes de sel par kilo de farine, en
travaillant sur le levain on récupère le côté salé et acidulé. On gagne également en conservation. Sur l’ensemble de la production, on essaie d’avoir
du pain chaud tout le temps. » En pâtisserie l’équipe est jeune. Margaux est aux manettes avec un apprenti et un ouvrier pâtissier. Derrière la vitrine
s’alignent les tartelettes à la framboise, les carrés aux noix, les éclairs au chocolat, le cheesecake, l’amandine myrtilles… « Du basique pour commencer mais on peut répondre à une demande particulière. » précise Margaux. « En pâtisserie nous avons un outil de travail qui est supérieur à la norme
confirme l’artisan, nous avons les dernières machines pour produire de la qualité en respectant les normes. Des investissements lourds ont été faits. »
>H
oraires d’ouverture : du mardi au vendredi de 6h30 à 20h. Le samedi de 7h30 à 20h. Le dimanche de 7h30 à 14h. Tél. : 01 34 44 39 87
La librairie-papeterie du centre-ville : un magasin-citoyen
E
x-responsable de production à l’Argus de la Presse, Bernard Sage a
repris il y a sept ans la gestion du magasin librairie-papeterie-presse installé
sous les arcades de la place Charles
de Gaulle. Il s’agit d’un commerce qui
éclaire de la façon la plus nette possible,
la notion de proximité, de relations humaines et de citoyenneté. « Certains de
mes clients sont devenus au fil du temps
Librairie-papeterie du Centre-ville avec
des amis » confie le patron, domicilié à
Roland Chanudet, conseiller municipal.
Franconville depuis quarante ans. Le
magasin comprend un fonds de 2400 titres (presse et magazines généralistes et spécialisés), un rayon livres et papeterie. « La situation
économique générale et la pression fiscale sur les petites entreprises celles du CAC 40 s’en sortent mieux ! déclare-t-il - fragilise de nombreux
petits commerces qui créent des emplois. En ce qui nous concerne, la
presse française d’une manière générale, l’activité est encore satisfai-
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
sante mais sur un point de vente comme le nôtre nous devons relever
un double défi : la diminution de nos clients habituels qui partent en
province et l’influence d’Internet qui a modifié les pratiques d’achats
de livres notamment. Il faut tenir compte de ces réalités et y répondre
dans l’intérêt des clients. » C’est ce que ce chef d’entreprise tente de
faire en proposant un nouveau service en librairie.
Livres commandés et déposés
Depuis la rentrée M. Sagès propose à ses clients un nouveau service lancé par la Générale du Livre (ou Générale Librest) : www.lalibrairie.com.
Le principe est simple : « Les clients qui commandent des livres sur ce
site, dit-il, peuvent venir chercher l’ouvrage commandé chez leur libraire.
C’est un service gratuit pour le client qui ne paye que le prix du livre. Je
pense aussi à ceux qui n’ont pas Internet ou qui ne savent pas bien s’en
servir. Dans ce cas c’est moi qui passe directement la commande. »
>H
oraires d’ouverture : du lundi au samedi de 6h à 12h30 et de
15h à 19h. Ouvert le matin des jours fériés. Tél. : 01 34 13 85 28
Nouveau à Franconville
> Le restaurant la Maison Bleue a changé de propriétaire avec maintenant des
spécialités franco-portugaises : Mme NOVEL - 3, rue de Paris
> ACI Conseil immobilier a changé de propriétaire :
Hervé MIlhano - 19, place de la République
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Dossier
Actualités
ÉLECTIONS RÉGIONALES 2015 :
7
rendez-vous les 6 et 13 décembre
C
e sont les dernières élections avant la présidentielle de 2017. Les électeurs sont appelés à élire le mois prochain 1 757 conseillers régionaux
dans toute la France, dont 209 conseillers pour l’Ile-de-France. Les conseillers régionaux composent le Conseil régional, assemblée délibérante de la
région. Ils sont élus pour 6 ans et siègent au Conseil régional situé dans
chaque chef-lieu de région. Le nombre de régions a baissé : de 22 à 13.
Compétences
La loi NOTre (Nouvelle organisation territoriale de la République)
promulguée le 7 août 2015 confère aux régions certaines compétences. Les principaux domaines d’intervention de la région sont : le
développement économique avec une compétence exclusive sur les
aides à apporter aux entreprises, la coordination des acteurs du service public de l’emploi. Le texte fait également de la région l’autorité
organisatrice de l’intégralité de la mobilité urbaine avec de nouvelles
responsabilités sur l’ensemble des transports publics, y compris le
transport scolaire. En outre, la loi institue un schéma régional d’aménagement du territoire. S’ajoutent à ces domaines de compétences,
les lycées, la formation et l’enseignement supérieur.
Scrutin de liste
Le scrutin est un scrutin de liste. Il s’agit d’un scrutin proportionnel à
deux tours avec prime majoritaire. Ainsi, la liste qui recueille la majorité absolue des suffrages au 1er tour obtient une prime majoritaire
de 25% du nombre de sièges à pourvoir. Si aucune liste n’obtient la
majorité absolue des suffrages exprimés à l’issue du 1er tour, il est
procédé à un second tour. Seules peuvent se présenter les listes qui
ont obtenu au moins 10% des suffrages exprimés.
Plan des Bureaux de vote à Franconville
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 6 OCTOBRE
Les services de l’État ne font plus leur travail ! bis
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Malgré un communiqué en novembre 2014 sur ce sujet, rien n’a été
fait. Aujourd’hui, après les fortes pluies, la situation est devenue
dangereuse provoquant des aquaplannings. Les pompiers sont d’ailleurs toujours sur place. « Il est anormal que ce secteur demeure
sale et mal entretenu malgré nos alertes multiples auprès des services concernés… » déclare Francis Delattre maire de Franconville,
sénateur du Val-d’Oise qui dénonce une fois de plus la dangerosité
de certaines voies d’accès lors de violentes intempéries (comme ce
matin) et pointe du doigt les manquements des services de l’État !
Les voies d’accès de l’A15 et l’A115 depuis Franconville vers Paris ou
Cergy, sont actuellement totalement submergées par de l’eau tombée abondamment ce matin. Et cela se reproduit à chaque intempérie, provoquant de plus en plus d’accidents ou de carambolages…
Manifestement les services de l’État n’effectuent plus les opérations
nécessaires pour nettoyer les grilles afin de permettre le drainage
de l’eau… Et ceci se constate en d’autres lieux du département.
Monsieur Delattre demande que les services de l’État reprennent du
service afin de rendre ces accès plus sûrs.
8
Actualités
INITIATIVES
Dossier
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>
LES A 320 S’ÉQUIPENT
de kits anti-sifflement
Une simple pièce
qui change tout!
Grâce à l'opiniâtreté de l'association
Arec, de l'Advocnar ainsi que des élus,
la compagnie Airbus s'est enfin penchée
sur le problème des avions de la famille
A320 en 2011 alors que l'avion existait depuis 1987... Vendu comme
l'avion le plus silencieux, il était en réalité très bruyant à l'atterrissage
à cause de deux trous placés sous les ailes et qui créent un sifflement
insupportable.
De grandes compagnies comme Air France, Lufthansa, Easyjet ont décidé de modifier leurs avions concernés en installant ces déflecteurs
sous les ailes. On peut estimer qu’à fin 2016, 80% de ces avions (qui
représentent environ 50% des survols) seront définitivement corrigés.
Cette modification réduit la trace sonore à 35 secondes au lieu de
deux minutes et supprime définitivement ce sifflement. Le bruit est
réduit de 11dB quand l’avion est entre 20 et 50 km des pistes. Progressivement le ciel va donc sensiblement se calmer même s'il restera
quelques compagnies qui, pour le moment, ne se sont pas engagées
dans cette modification.
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Puisse ce succès de l’ADVOCNAR augurer des suivants, par exemple
la réduction significative et durable des vols de nuit sur la plateforme
Roissy-Charles de Gaulle (CDG). Depuis des années, l’association lutte
pour un alignement de Roissy-CDG sur les autres grands aéroports
européens (Londres-Heathrow, Amsterdam-Schiphol, Francfort). Cela
correspond à une diminution de 50% des vols de nuit (entre 22h et
6h), Francfort ayant obtenu un couvre-feu de 6 heures. Comme le rappelle l’association qui défend les intérêts et la santé d’un demi million
de valdoisiens survolés par les avions à basse altitude (0 à 1500m) :
« La nocivité du bruit des avions en pleine nuit (stress, fatigue au réveil, risques de maladies cardiovasculaires) n’est plus à démontrer. De
nombreuses études épidémiologiques ont montré l’impact négatif du
trafic nocturne sur la santé des gens. » Dans l’agglomération d’Orly
les habitants sont mieux traités puisque depuis 1968 les vols de nuit
y sont interdits : « L’aéroport Roissy-Charles de Gaulle est (encore)
la plateforme aéroportuaire qui crée le plus de nuisances sonores en
Europe de par le nombre de mouvements (160 enregistrés la nuit) et la
densité de la population dans le sud-est du Val-d’Oise. » À titre indicatif, en 2014, le nombre de mouvements d’avions enregistrés à Roissy
s’élevait à 465 200 contre 228 000 à Orly (source Aéroports de Paris).
L’association appelle à un rassemblement francilien
d’élus et de riverains pour l’arrêt de l’augmentation
de vols et la réduction substantielle des nuisances
aériennes en Ile-de-France le mardi 10 novembre à
18h devant le ministère de l’Ecologie 246 boulevard
Saint-Germain 75007 Paris. Inscription : 01 39 89 91 99
[email protected]
Adhérer à l'Advocnar c'est
donner plus de chance à cette
association et aux bénévoles
qui y travaillent de remporter
des succès comme celui de
l'A320, comme l’interdiction
des avions les plus bruyants
pendant la nuit, le relèvement
de 300 mètres du dernier palier avant atterrissage. Une
adhésion coûte 20 € et 6,5 €
après impôts.
› Advocnar : 01 39 899 199
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95390 Saint-Prix
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Dossier
Actualités
9
L’ART ET LA MANIÈRE
de conter aux tout-petits
P
armi les nombreuses animations proposées par la Médiathèque, les séances de
contes pour enfants (lectures, spectacles)
obtiennent un réel succès. Les tout-petits (12
mois à 3 ans) représentent un public particulier et important. Pour cette programmation
la Médiathèque fait appel à des conteurs et
conteuses qui ont l’art de capter l’attention
des petits et savent éveiller en douceur leurs
premières émotions de spectateur. Conteuse
depuis 25 ans, Caroline Castelli nous en dit
plus sur l’art et la manière de conter des histoires à des tout-petits et de retenir leur attention.
Le temps d’écoute des tout-petits est
limité. Comment faites-vous pour capter durablement leur attention ?
Avec des petits, c’est très aléatoire de définir
à l’avance un temps de conte. Cela dépend
du temps qu’il fait, de l’heure à laquelle le
conte est dit, de leur humeur, de leur état de
fatigue... Pour les moins de trois ans, vingt
minutes sont suffisantes mais en général la
séance avec moi dure de 30 à 40 minutes.
Après, cela devient délicat et surtout il faut
tenir compte de leur humeur du jour. Avec
les tout-petits il faut être constamment à
l’écoute de leurs réactions, de ce qu’ils font,
de ce qu’ils sont.
Quels genres d’histoires leur racontez-vous ?
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Chaque conteur choisit dans les répertoires
qui lui conviennent. Je m’approvisionne un
peu partout sans faire forcément des catégories. Je choisis des histoires qui me plaisent
et que je raconte même parfois à des adultes.
Il m’arrive de prendre un conte pour adultes
et de le moduler en commençant par changer le vocabulaire. Je retravaille l’histoire
pour l’adapter à l’imaginaire des tout-petits.
Devez-vous éviter d’exprimer certaines émotions fortes comme la peur,
la colère ?
Les petits vivent ces émotions dans leur vie
de tous les jours ; ils en ont besoin pour grandir. Je ne me censure pas mais je fais attention de commencer la séance par un conte
où nous faisons connaissance. Au début je
reste assise pour les mettre à l’aise. Je démarre toujours par une petite chanson en
m’accompagnant avec des gestes pour placer une autre forme de langage. J’écarte les
émotions trop fortes pour qu’ils s’habituent à
ma voix et à ma présence. Ensuite, je peux aller plus facilement dans les émotions liées à
l’histoire mais toujours en terminant sur une
note positive. Je fais pareil, à peu de choses
près, avec les adultes.
Le visuel est important. Utilisez-vous
des accessoires sur scène pour augmenter la réceptivité des tout-petits ?
Je suis une conteuse professionnelle. Je fais
le choix de n’emmener que l’histoire en agissant pour que les images se créent dans leur
imagination. Cela dit, je respecte beaucoup le
travail des autres conteurs qui utilisent des
accessoires. Je n’en ai jamais eu besoin. C’est
aussi une volonté de prouver que l’histoire
en elle-même est suffisante et qu’à leur âge
ils sont déjà capables de prêter attention aux
mots et aux émotions.
L’accompagnateur (parent, assistante
maternelle, institutrice) a-t-il un rôle
important durant la séance ?
Un rôle essentiel ! Cela me permet de me
concentrer sur les histoires plutôt que de
dire à un enfant d’arrêter de jouer avec ses
scratchs de basket. Cette interruption peut
déclencher une distraction générale qui gêne
le conteur, comme parler ou faire du bruit. Il
faut ensuite repartir dans l’histoire.
Comment manifestent-ils leur intérêt
pour une histoire ?
Le conte est formateur pour que les enfants
apprennent l’écoute. Ils écoutent et participent lorsqu’il y a des comptines, ouvrent
grand leurs yeux, bougent. Les petits ne sont
pas dans la retenue comme les plus grands.
Ils n’ont pas appris à contenir leurs émotions
et c’est ce qui rend la relation avec ce public
intéressante et réelle. Quand ils bougent cela
ne veut pas dire qu’ils n’écoutent plus. Simplement ils n’en peuvent plus de rester dans
la même position.
---------------------------------------------------------Caroline Castelli sera présente à la Médiathèque le 12 décembre devant un public de 6-9 ans. « Je vais faire avec eux un
gâteau de fruits frais en choisissant ceux qui
sont déjà dans leur imaginaire, déclare la
conteuse. Je vais leur raconter des histoires
de gourmands, et les éveiller à la bonne
conduite alimentaire, leur dire qu’on a besoin
tous les jours de manger des fruits et des légumes comme on a besoin de l’eau et du soleil pour vivre. On va s’amuser… »
10
Actualités
Dossier
EMPLOI :
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Ville pratique
Avec l’Agglomération Le Parisis, Forum pour l’Emploi
le 17 septembre 2015 : 2 400 visiteurs
tous mobilisés !
C
’est un problème aigu et un défi majeur pour notre société.
L’inversion de la courbe du chômage n’a pas eu lieu comme le
prouvent les derniers chiffres révélés fin septembre par l’actuelle
ministre du Travail et de l’Emploi : fin août 2015, le nombre de chômeurs s’élevait en France à plus de 3,5 millions de personnes (catégorie A- sans aucune activité) contre 2,6 millions en 2011. Sur un an, la
hausse enregistrée est de 4,6%.
Toutes catégories confondues, le nombre de demandeurs d’emploi
s’élevait fin août à 5,4 millions de personnes - un record ! Près de 2
millions de jeunes sont actuellement sans diplôme, sans formation et
sans emploi, soit près d’un jeune actif sur quatre ! Dans le Val-d’Oise,
fin juillet 2015 : 100 200 personnes étaient inscrites à Pôle Emploi
(catégories A, B,C) soit une hausse de +5,2% en un an, dont 12 800
jeunes de moins de 25 ans. Le tableau n’est guère enthousiasmant et
l’embellie attendue dépend d’une croissance économique encore trop
faible pour créer de l’emploi. Il n’y a pas de véritable « embellie » en
ce qui concerne les jeunes et il n’y a pas lieu de se réjouir de chiffres
stagnants. Au-delà des chiffres, sur le plan local, de nombreux acteurs s’investissent pour aider les demandeurs d’emploi. Leur tâche
s’intensifie et les initiatives se multiplient pour empêcher l’aggravation de la situation sur le terrain.
Et à Franconville ?
Sur la commune, au 3e trimestre 2012, le nombre total de demandeurs inscrits à Pôle Emploi (toutes catégories) s’élevait à 2194
(contre 1040 en 2001 et 1941 en 2012). En outre, 318 jeunes sur les
12 800 recensés dans le département étaient inscrits à l’Agence.
Dans notre ville, le service municipal de l’Emploi (qui rejoindra au 1er janvier 2016 la Communauté d’agglomération Le Parisis) accueille les demandeurs d’emploi adultes de plus de 25 ans. Les
moins de 26 ans sont eux, pris en charge par la Mission locale qui
occupe les espaces contigus au même étage du bâtiment administratif de la Mairie, rue de la Station. Les deux structures, proches l’une
de l’autre, forment un pôle de compétences pour aider les Franconvillois à retrouver le plus rapidement possible le chemin de l’emploi.
> Service emploi
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
LUNDI : 9H-12H30 et 14H-17H00
MARDI : 9H-12H30 et 14H-17h
FERMÉ LE MERCREDI
JEUDI : 9H-12H30 et 14H-17H00
VENDREDI : 9H-12H30 et 14H-17H00
Trois permanences par semaine sont assurées dans les maisons de proximité :
Espace Fontaines, Maison de l’Europe et Maison de la Mare des Noues.
Centre administratif : 30, rue de la Station 95130 Franconville
01 39 32 66 03
> Mission locale
Centre administratif :
30, rue de la Station
95130 Franconville
01 39 32 66 03
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Dossier
Actualités
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2000 chômeurs sur la commune
Le service Emploi municipal accueille les demandeurs d’emploi
adultes mais également des personnes en recherche d’un premier
travail, d’une formation ou ayant un projet professionnel. Il leur propose un espace de documentation, un accès à la presse quotidienne,
à divers équipements, au Web (Internet), téléphone, fax, photocopieuse. Les conseils personnalisés (sur rendez-vous) sont proposés
par la conseillère. Au programme : bilan personnel, élaboration du
projet professionnel, positionnement sur les offres, aide à la rédaction de CV et lettre de motivation, ateliers techniques de recherche
d’emploi, présence aux Forums Emploi…
« Globalement la situation ne s’arrange pas, déclare Yeta Telle responsable du service, mais l’on ne peut pas non plus parler d’aggravation
pour Franconville. D’ailleurs, je constate que nous avons eu cette année plus de retours à l’emploi que les années précédentes. Disons que
la situation franconvilloise reflète la situation du pays avec un taux
de chômage à peu près identique à la moyenne nationale (10%). Sur
dix mois, de mi-janvier à fin septembre 2015, nous avons reçu 280
personnes. De janvier à octobre 2015, le service emploi a enregistré
60 nouveaux inscrits. » Le défi est de faire face à des situations extrêmement variées : « Nous rencontrons des étrangers diplômés, des
personnes en réorientation professionnelle mais sans formation, des
surdiplômés qui ne trouvent pas de travail, des retraités en quête d’un
revenu complémentaire… » En relation avec Pôle Emploi, les agences
d’intérim, les associations d’aide au retour à l’emploi, les organismes
de formation et les entreprises locales, le service informe sur les
offres d’emploi disponibles ou les formations adaptées. Il offre une
base d’accompagnement utile qui peut encore se renforcer dans les
mois à venir avec un projet de coaching. Les situations varient et le
service doit adapter sa réponse à chaque situation individuelle.
Hausse des CDD (contrat à durée déterminée)
Le service Emploi a réalisé 360 entretiens l’année dernière, soit 360
heures de « face à face » individuels avec un conseiller. Conséquence
directe de la crise qui sévit : le délai de retour à l’emploi atteint actuellement en moyenne un an (voire plus) et la tendance, aussi bien
pour les adultes que pour les jeunes, est à l’augmentation sensible
des CDD, les CDI continuant de reculer. Mais en 2015 le service a enregistré un nombre plus élevé de retours à l’emploi, même s’il s’agit de
contrats d’intérim voire de petits CDD (contrats à durée déterminée).
« Sur 10 personnes qui ont retrouvé un emploi, trois étaient en CDI »
déclare Yeta Telle. Un certain nombre ont recours à l’intérim qui peut
aller jusqu’à 18 mois.
Mission locale pour l’emploi des jeunes :
un accompagnement global
Remettre les jeunes déscolarisés sur les rails de la formation et de
l’emploi, préparer dans les meilleures conditions leur insertion sociale
et professionnelle, telle est la mission dévolue à la Mission locale
Vallée de Montmorency. Celle-couvre 12 communes* et possède
deux antennes à Ermont et Montigny, en sus du siège social situé à
Franconville 30 rue de la Station. Comme le souligne David Potrel, directeur de cette structure associative, cofinancée par l’État, la Région
et les communes membres : « Notre mission est d’aider les jeunes de
16 à 25 ans dans leurs démarches d’orientation. Chaque jeune bénéficie
d’un accompagnement global par un conseiller référent unique de son
parcours. Un jeune qui ne sait pas quelle orientation choisir a tout intérêt à pousser notre porte. Nous allons l’aider à se qualifier. Par le biais
d’ateliers et de dispositifs spécifiques, à travers des rencontres avec
des professionnels, les jeunes vont choisir une voie qui leur correspond
et qui répond à un besoin sur le territoire. Nous les aidons à trouver
une formation adaptée et continuons à les suivre tout au long de leur
période de formation. Les jeunes qui sont dans une dynamique de recherche d’emploi vont bénéficier d’un accompagnement renforcé : réalisation des outils nécessaires à la recherche d’emploi, préparation aux
entretiens d’embauche et rencontres nombreuses avec les employeurs.
Il s’agit de tout mettre en œuvre pour faciliter l’accès des jeunes à l’emploi et à l’autonomie en levant les principaux freins à leur insertion. »
La Mission locale traite également de problématiques comme la santé et le logement. Deux conseillères spécifiquement en charge de ces
questions reçoivent et accompagnent les jeunes vers les structures
adaptées. Le nombre de jeunes orientés et reçus par le « Point Santé »
est en nette augmentation. Près de 1 200 jeunes y ont été accueillis l’an
passé dont 90 sur le « point écoute psychologique ».
Ateliers de recherche d’emploi : ouvert à tous !
La Mission Locale a recruté une conseillère qui anime des ateliers
de recherche d’emploi ouverts à tous les jeunes et accessibles sans
rendez-vous le lundi, mercredi matin et vendredi toute la journée.
Elle anime également des ateliers de préparations aux entretiens
le mercredi après-midi. Dans ces ateliers les jeunes bénéficient d’un
accompagnement personnalisé dans leurs démarches de recherche
d’emploi. La conseillère prépare et encadre les jeunes sur les Salons
et les Forums spécialisés ainsi qu’en prospection entreprises.
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
*Beauchamp, Cormeilles-en-Parisis, Eaubonne, Ermont, Franconville,
Herblay, La Frette-sur-Seine, Le Plessis-Bouchard, Montigny-lès Cormeilles,
Montlignon, Saint-Prix, Sannois
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Résultats
La Mission locale Vallée de Montmorency a accueilli et suivi l’an dernier 3 953 jeunes dont 803 jeunes Franconvillois. Parmi eux :
> 516 d’entre eux ont accédé à un emploi (CDD et CDI) et 118 ont suivi
une formation qualifiante ou diplômante.
> 61 ont signé un contrat en alternance (« Les bons résultats obtenus
en matière d’apprentissage vont à l’encontre de la tendance observée sur le plan national »)
> 17 ont repris leurs études, en scolarité initiale.
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Ville pratique
BAFA (Brevet d’Aptitude aux fonctions d’Animateur) :
une formation courte pour un accès direct à l’emploi !
Avec la ville et le soutien financier de l’ACSE (Agence nationale pour
la cohésion sociale et l’égalité des chances), la Mission locale mène
depuis quatre ans une action permettant à une vingtaine de jeunes
de bénéficier chaque année d’une formation de qualité pour devenir
animateur et accéder ensuite en moins de six mois à un emploi durable. Cette formation est assurée par l’IFAC95.
Avis aux intéressés : il reste des places cette année…
SOS Rentrée
Depuis plusieurs années la stratégie de la Mission locale est de favoriser au maximum les rencontres entre les jeunes et les entreprises.
Parmi les actions innovantes, citons par exemple l’opération SOS
rentrée lancée il y a quatre ans et coanimée avec le Point Information Jeunesse (PIJ) de Franconville. Elle s’est déroulée de juin à
septembre. « L’objectif, déclare Alexandra Zryra, directrice-adjointe,
est de repérer les jeunes qui n’ont pas de solution pour la rentrée
de septembre, qu’il s’agisse d’école, de formation ou d’emploi. Cette
opération nous a permis de rencontrer cette année 61 jeunes. Parmi
eux, douze jeunes qui n’avaient pas de solution scolaire ont été re-scolarisés. Vingt-trois recherchaient une entreprise d’accueil pour leur
contrat d’apprentissage. Nous leur avons proposé des ateliers et de la
prospection terrain. Ils sont partis avec des conseillers à la rencontre
des entreprises préalablement ciblées. » Cette action s’est achevée
par la participation des jeunes aux Olympiades de l’apprentissage
le 24 septembre. Plus de 140 jeunes du territoire ont participé à cette
action réalisée avec le concours des CFA (Centres de formation d’Apprentis) et des entreprises.
Prospection des entreprises :
le point fort
La Mission locale dispose d’un fichier de 200
entreprises partenaires et privilégie les relations avec ces dernières grâce à deux salariées : une chargée de relations entreprises
et une conseillère chargée du suivi des jeunes
en emploi. Le jeune est accompagné jusqu’à
la signature du contrat et au-delà pendant la
période d’emploi. La Mission locale organise
très régulièrement des sessions de Jobs dating, formule de rencontres directes et de
courte durée entre un employeur et un candidat à l’embauche. La structure perdrait son
dynamisme et son efficacité s’il n’y avait avec
elle pour aider les jeunes des partenaires actifs
et responsables, conscients de l’enjeu : les CFA
(Centres de Formation d’Apprentis), les entreprises (200), le secteur associatif spécialisé
(formation, insertion…), l’IFAC, AGIR-abcd, Pôle
Emploi, le Centre d’information et d’orientation
(CIO), les structures de santé…
« Nous sommes la 3e Mission locale d’Ile-de-France
en terme de contrats de travail signés ! se félicite
Mme Zryra, même si la tendance montante est aujourd’hui aux CDD et à l’intérim. »
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
>M
ission locale
Centre administratif : 30, rue de la Station
95130 Franconville
01 39 32 66 03
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Parrains et marraines en mission
Agnès Chalmin-Marchais
La journée portes ouvertes départementale organisée le 22 septembre dernier dans les locaux de la Mission locale à Franconville, a
permis de réunir les jeunes et les « parrains » et « marraines » qui
les accompagnent et les conseillent dans leur recherche d’emploi. Actuellement 95 jeunes de 16 à 25 ans (contre 50 en 2010) bénéficient
de ce dispositif qui a fait ses preuves depuis sa mise en place il y a
une quinzaine d’années. « Ce système d’accompagnement est efficace puisque plus de 80 % des jeunes parrainés accèdent à l’emploi,
déclare David Potrel.
Les 23 parrains et marraines qui agissent pour la Mission locale offrent
bénévolement leur aide aux personnes qui en ont besoin. Une mission
passionnante et exigeante comme le souligne Danièle Rascle, qui a
commencé sa mission auprès des jeunes en 2004 au moment de son
passage à la retraite : « Je cherchais une activité et j’ai rencontré les
gens de la Mission locale au Forum des associations ». Aujourd’hui, elle
accompagne 2 à 3 jeunes par an. Sa mission a évolué au fil du temps :
« Au début, je les ai aidés dans leur recherche d’emploi, ce qui est
quand même la principale mission de la Mission locale. Depuis quelques
années, je m’occupe d‘eux différemment en les préparant à passer des
concours dans le secteur médico-social ou paramédical. Je travaille
avec eux l’oral de l’examen. Le plus souvent dans le cadre de concours
pour devenir auxiliaire de puériculture, infirmière, aide-soignante… A la
Mission locale, on utilise les parrains et marraines en fonction de leur
expertise et de leurs spécificités. Je trouve que les jeunes aujourd’hui,
y compris les diplômés, sont mieux informés et reconnaissent la Mission locale comme un lieu-ressource qui peut leur apporter de l’aide
sur le plan de la recherche d’emploi mais pas uniquement. » Les yeux
de la marraine s’éclairent soudain : « Je ne vous cache pas que je suis
satisfaite des résultats. Cette année j’ai eu 100% de réussite ! »
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Danièle Rascle
Christine Quiédeville
Une question de méthode
Docteur en médecine, retraitée, Agnès Chalmin-Marchais
est bénévole à la Mission locale depuis 3 ans. « J’ai toujours
aimé transmettre. La transmission des savoirs, le relationnel
m’ont toujours intéressée. Je suis à la Mission locale pour aider les jeunes à se préparer aux formations et aux concours
dans le paramédical. Les conditions d’accès aux formations
dans ce secteur sont plus difficiles qu’avant. » Agnès Chalmin accompagne en ce moment 4 jeunes : « Je les reçois
deux fois par semaine chacun, à raison de trois heures à
chaque fois. Les jeunes que nous aidons doivent être motivés, prêts à nous écouter et à faire des efforts. Il ne sert
à rien de poursuivre avec un jeune qui s’en fiche. C’est une
perte de temps pour tout le monde. Il y a d’autres jeunes
qui sont motivés et qui sont en attente. S’intègrent dans le
parrainage la transmission de valeurs humaines de respect,
d’effort, de responsabilité humaine partagée. L’engagement
doit être réciproque ». Nouvelle marraine en fonction à la
Mission locale, Christine Quiedeville, ex-cadre commerciale
fait partie de l’association AGIR-abcd qui travaille depuis de
nombreuses années avec la Mission locale. « J’étais déjà adhérente à France Bénévolat. Il y a un moment que je pense à
me rendre disponible, et les jeunes sont un public qu’il faut
absolument aider. » Jean-Yves Le Grand, ex-cadre bancaire,
intervient depuis 8 ans en qualité de parrain : « Nous agissons en complément de l’action des conseillers. Nous devons
aussi faire comprendre aux jeunes que s’ils partent sans méthode à la recherche d’un job, celui-ci sera pris par quelqu’un
d’autre qui aura mis de la méthode. On leur dit qu’il ne suffit pas d’envoyer des CV et d’attendre que l’entreprise leur
réponde. L’accompagnement varie naturellement d’un jeune
à l’autre et les conseils aussi. Il peut s’agir de corriger un
simple problème de présentation ou d’un accompagnement
de plus longue durée basé sur des rencontres régulières, la
désignation des étapes à franchir, des objectifs à atteindre.
Le rapport de confiance entre le jeune et son parrain est à
cet égard essentiel. »
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C215 : INTERVIEW DE L’ARTISTE…
D
errière le pseudo abstrait C215, se cache l’une des personnalités du « street art » (art urbain)
français. Depuis dix ans, Christian Guemy, 42 ans, redonne aux murs gris et sales de certains
quartiers un nouveau souffle esthétique. Ses portraits colorés réalisés au pochoir ou à main
levée habillent de nombreux murs et objets, à Vitry la ville où son atelier est installé, et ailleurs
dans la plupart des grandes métropoles (Rome, Barcelone, Londres, Amsterdam, New York, San
Francisco, Sao Paolo…). Ses œuvres représentant des portraits, des personnages de rue, des animaux… ont fait le tour du monde et sont accueillies dans les galeries et musées.
Peint sur un mur pignon de 25 m de haut à Paris (13ème), le chat est
l’une de ses réalisations les plus célèbres. L’artiste de rue qui a commencé par le graffiti à 15 ans (« Une aventure qui au fond ne me
correspondait pas ! ») a laissé quelques années plus tard exploser
son talent dans certains lieux publics, sur les murs et sur des objets divers et variés : boites postales, armoires électriques, portes,
livres… L’humaniste, marqué par l’œuvre du Caravage (peintre italien), consacre son temps à mettre de la poésie et de l’émotion au
cœur des villes. Une monographie de son travail (300 pages) vient
de paraître chez Albin Michel (éditeur) et sera disponible durant l’exposition.
Nous avons rencontré l’artiste dans son atelier à Vitry. Bonjour
Christian…
C215, cette signature mystérieuse signifie…
Rien d’autre qu’un pseudo abstrait, une machine à faire poser des
questions.
Comment vous êtes-vous retrouvé un beau jour au pied d’un mur,
muni de vos bombes de peinture ?
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Sans doute la volonté de présenter une œuvre libre sans être confron-
té directement à un médiateur (galeriste, critique, journaliste…),
la volonté d’avoir un accès direct au public et aussi à l’époque, de
réaliser des portraits de ma fille (Nina). Quand j’ai su peindre de la
manière qui me plaisait ou quand j’ai eu la vision claire de ce que
je voulais peindre et comment (longtemps après la période graffiti),
pour moi il était évident que ça devait se passer (encore) dans la
rue. La rue m’offrait un substrat idéal pour y faire germer des choses
poétiques.
« Ce sont les lieux qui portent, qui suggèrent l’œuvre d’art. »
Partagez-vous cette expression d’Ernest Pignon-Ernest, plasticien contemporain mondialement connu ?
C’est vraiment quelqu’un d’important ; je reconnais une certaine filiation dans la démarche et l’idéologie même si mon travail et le sien
sont formellement très différents. Ernest évoque dans cette phrase
la contextualité, le sentiment ou le pressentiment que peut avoir
l’artiste d’une correspondance forte entre un lieu donné et ce que
l’artiste porte en lui à un moment de sa vie et qu’il lui appartient
d’exprimer à un endroit précis en urgence. Faire surgir l’art là où on
ne l’attend pas est mon ambition depuis le début mais je veux être
sûr que mon sujet s’intègre parfaitement à l’environnement. Le choix
du lieu est essentiel.
Ville pratique
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…LES MURS NOUS PARLENT
Vous avez fait des études classiques : histoire de
l’art, économie, langues. Quel rapport avec le graphisme, la peinture, l’art urbain, le street art ?
Pas grand-chose ! Je n’ai pas étudié l’histoire de l’art
avec l’idée de devenir artiste et d’en faire mon métier. Je suis spécialiste en architecture française du 17e
siècle et plus particulièrement en histoire de l’architecture religieuse.
De quelle création êtes-vous le plus fier ?
Je cherche… J’ai réalisé cet été une fresque au Mémorial du génocide Tutsi à Kigali (Rwanda). La guerre
n’est pas mon sujet de prédilection mais la charge
émotionnelle du lieu où reposent 250 000 victimes
du génocide était évidente. J’ai réalisé également une
série d’œuvres au Rwanda pour interpeller les députés français à reconnaître l’existence du génocide des
tutsis. Je suis allé peindre également au Sénégal, au
Maghreb davantage. Certaines de mes œuvres sont
exposées en collection permanente au Musée d’art
contemporain de Rabat mais aussi au Musée de La
Poste à Paris, au centre de la gravure à La Louvière en
Belgique, au Musée Pera à Istanbul, aux Musées des
Arts et Métiers et Pierre & Marie Curie à Paris.
Votre travail a sans doute évolué depuis 10 ans…
Aujourd’hui je m’attache davantage au sens qu’à l’esthétique ou à la forme. Je donne plus d’importance à
une œuvre esthétiquement moins jolie mais plus intéressante sur le fond.
Quelles œuvres ou créations présenterez-vous au
public franconvillois ?
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
Des originaux, des photographies, des lithographies,
des vidéos, tout ce qui peut représenter mon travail
depuis une dizaine d’années.
EXPOSITION
C215
Du 3 au 28 novembre, Salle Giacometti, entrée libre
Mardi de 14h à 19h, mercredi et samedi de 10h à 12h et de 14h à
18h, jeudi et vendredi de 14h à 18h
16
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SAINT-EXUPÉRY
E S P A C E
32 bis rue de la Station Tél 01 39 32 66 06 www.ville-franconville.fr
Théâtre
La chanson de l'éléphant
6 novembre, 21h
Espace Saint-Exupéry
Quelque part en Ontario, le docteur Lawrence, thérapeute d’un
hôpital psychiatrique, a disparu. L’un de ses patients, Michaël, est la
dernière personne à l’avoir vu. Sans tenir compte des avertissements
sibyllins de l’infirmière de garde, le docteur Greenberg, directeur
de l’hôpital, s’acharne à obtenir du jeune homme, un témoignage
cohérent. Mais Michaël, intelligent et manipulateur, s’entête à parler
d’éléphants, d’opéra, de chantage et de meurtre. Le jeune patient
entraîne le médecin dans un jeu de piste pervers. La rencontre tourne à
l’affrontement et la disparition au thriller psychologique.
Pièce de l’auteur canadien Nicolas Billon, La Chanson de l’éléphant
est un fascinant huis clos où les personnages jouent au chat et à la
souris. Un questionnement sur la limite de la normalité et un constat
troublant sur les effets du manque d’amour.
L’occasion d’apprécier la maîtrise de jeu de Pierre Cassignard et
la découverte au théâtre de Jean-Baptiste Maunier, révélé dans
le film Les Choristes.
© Lot
Humour
Caroline Vigneaux quitte la robe
10 novembre, 21h
Espace Saint-Exupéry
Tout est dans le titre : ex-avocate brillante au barreau de Paris, Caroline Vigneaux décide
en 2008 de « quitter la robe » pour devenir comédienne. Après avoir suivi les cours Florent,
elle devient chroniqueuse dans l’émission animée par Stéphane Bern : Arène de France, puis
écrit et joue son premier one-woman show : Il était une fée.
Dans son deuxième spectacle, l’auteur et humoriste retrace son parcours : des affres d’une
jeune avocate commis d’office, au coup de cœur pour un de ses clients « Vous avez tué
votre femme, donc vous êtes célibataire. », de l’effroi de ses parents provinciaux à l’idée
que leur fille intègre le showbiz, aux envies contrariées d’une femme libérée. Tout y passe
avec une imagination débordante et l’art du comique sans vulgarité.
© S
ylv
ain
Gri
poi
x
Trop jolie pour être drôle, Vigneaux ? Même pas !
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Dossier
Actualités
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Théâtre
Les Cartes du pouvoir
20 novembre, 21h, Espace Saint-Exupéry
Les Cartes du Pouvoir traite de l’évolution psychologique des différents
protagonistes, lors de l’élection d’un candidat démocrate aux primaires
américaines. Dans une atmosphère de comédie de mœurs où l’engagement
humain, professionnel et privé, se fait et se défait, les protagonistes se confrontent à
la grandeur et à la décadence de la cynique quête du pouvoir.
Basé sur une histoire vraie, ce texte de l’auteur américain Beau Willimon, avait
inspiré le film Les Marches du Pouvoir, réalisé par Georges Clooney et présenté à
l’ouverture de la Mostra de Venise en 2011. Un texte percutant, une mise en scène
haletante et des acteurs excellents !
Molière 2015 du Comédien dans un second rôle pour Thierry Frémont
et Molière 2015 de la Révélation Féminine pour Roxane Duran.
© Laurencine Lot
Chanson
Faada Freddy
27 novembre, 21h, Espace Saint-Exupéry
Il n’y a guère que Faada Freddy pour soulever l’enthousiasme de personnalités aussi
éclectiques que Zaz, Lenny Kravitz, Bernard Lavilliers, André Manoukian, Nagui,
Imany, ou Grand Corps Malade dès la sortie de son 1er EP* solo Untitled !, classé 13e du
top digital dès sa sortie.
Ceci est le témoin de l’incroyable universalité de son style. Partout où il passe,
Faada Freddy enchante le public avec sa personnalité généreuse et surtout sa voix
exceptionnelle. Sa musique faite sans autre instrument que la voix et les percussions
corporelles est un subtil mélange des harmonies vocales d’un Bobby McFerrin et de
mélodies pop, avec un timbre de voix soul à la Otis Redding.
© Barron Claiborne
CINÉ
THE WALK
RÊVER
PLUS HAUT
Drame américain de Robert Zemeckis
avec Joseph Gordon-Levitt, Ben Kingsley,
Charlotte Le Bon
LOLO
Comédie française de Julie Delpy
avec Dany Boon, Julie Delpy, Vincent Lacoste
*Format musical plus long qu’un single
L'HOMME
IRRATIONNEL
Drame américain de Woody Allen
avec Joaquin Phoenix, Emma Stone, Parker Posey
HUNGER GAMES
LA RÉVOLTE
PARTIE 2
Film de science-fiction américain
de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence,
Josh Hutcherson, Liam Hemsworth
BELLES
FAMILLES
Comédie dramatique française
de Jean-Paul Rappeneau avec Mathieu Amalric,
Marine Vacth, Gilles Lellouche
LES PETITES
CASSEROLES
Film d’animation français de Uzi Geffenblad,
Conor Finnegan, Eric Montchaud
007 SPECTRE
Film d’action américano britannique de Sam Mendes
avec Daniel Craig, Christoph Waltz,
Monica Bellucci
LA SALSIFIS
DU BENGALE
Film d’animation français
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DU CÔTÉ DE LA MÉDIATHÈQUE 01 39 32 66 09
Conférence littéraire
VIRGINIA WOOLF (1882-1941) OU
LA TRAVERSÉE DES APPARENCES
Mardi 17 novembre à 15h
Espace Saint-Exupéry (salle polyvalente).
Public ados-adultes
Intervenant : Olivier Macaux (docteur en
lettres modernes et conférencier). Virginia Woolf est sans conteste l’une des plus
grandes romancières anglaises. À partir
des années vingt, en compagnie d’auteurs aussi différents que James Joyce
ou D. H. Lawrence, elle a permis l’émergence du roman anglais moderne.
Vente de livres
d'enfants pour
les fêtes
Samedi 21 novembre de 11h à 17h
Médiathèque - Pour tous
Par la société Expodif
Lectures
DES LIVRES ET DU POLAR
Samedi 28 novembre à 10h30, Médiathèque
Enfants de 9 à 12 ans (sur inscription).
Par les bibliothécaires. Le Salon du polar à
Montigny aura lieu les 4, 5 et 6 décembre !
Afin de se mettre dans le bain, les bibliothécaires présenteront des romans policiers pour la jeunesse, et en liront
des extraits.
N’OUBLIEZ PAS !
Les arts urbains sont à l’honneur cet automne ! Du 3 au 28 novembre, la Médiathèque confie à des adolescents de 13 à 18
ans, intéressés par les Arts urbains, le « relookage » éphémère de la Médiathèque en s’inspirant du « street art ». À la suite
d’une séance de découverte de l’art urbain et d’une randonnée-photo dans la ville, trois volets seront déclinés autour de trois
groupes : numérique, graphique, monumental. Les œuvres obtenues circuleront de la Médiathèque à la K’Fête et aux Maisons
de proximité. Renseignements : 01 39 32 66 09
CULTIVEZ VOS PAPILLES !
Ateliers culinaires
SCULPTURES SUR FRUITS ET DE LÉGUMES
Mercredi 4 novembre, 14h, 15h15 et 16h30
Médiathèque - Enfants de 7 à 12 ans (sur inscription)
Par Frédéric JAUNAULT. Ce « Meilleur ouvrier de France » est
un grand chef cuisinier et expert en fruits et légumes. Créateur de la première Académie du fruit et du légume en Europe,
de la première Ecole du fruit et du légume au marché de Rungis, Champion de France et d’Europe de sculpture sur fruits et légumes…
Ça-me-clic'
LE RENDEZ-VOUS DU NUMÉRIQUE.
GOURMANDISE SUR TABLETTES ET PC.
Samedi 7 novembre à 10h30 Médiathèque
Public ados-adultes (sur inscription)
Par les bibliothécaires. Découverte d’applications
pour cuisiner, jouer, faire ces courses ou encore
surveiller ce que l’on mange.
Heure du conte
et atelier
Conférence
CRIMES ET CHOCOLAT
Samedi 28 novembre à 15h
Médiathèque - Public ados-adultes
Samedi 14 novembre à 10h30
Intervenant : Chantal POMMIER
Médiathèque - Enfants de 4 à 6 ans
(professeur de Lettres, conférencière
(sur inscription)
et auteure de « Crimes et chocolat »
Par les bibliothécaires
chez Alice Lyner éditions Quoi de
plus sensuel, de plus festif que de
Exposition
siroter un chocolat mousseux ou de
déguster une bouchée pralinée ?
A LA DÉCOUVERTE
Qui soupçonnerait alors que le « necDU POTAGER
tar des dieux » pourrait sceller un
Du 28 novembre au 19 décembre
pacte avec la mort ? Comment, de
Médiathèque - Pour tous
tout temps, des « crimes par choco(par Galileo production). L’histoire des légumes lat » furent-ils perpétrés dans la réaliet du potager à travers divers supports péda- té et la fiction ? En lien avec le Salon
gogiques (panneaux explicatifs, illustrations,
du Polar à Montigny-Lès-Cormeilles
outils de jardin, table à jardiner).
les 4, 5 et 6 décembre.
AUTOUR DES POMMES
ÉCOLE DE MUSIQUE DE DANSE ET D’ART DRAMATIQUE AGRÉÉE
STAGE DE DANSE ORIENTALE
SCÈNE OUVERTE AUX CLASSES D’INSTRUMENTS
Dimanche 15 novembre de 13h à 16h (7-14 ans).
Ouvert à tous : 12 S pour les participants non-inscrits au Conservatoire.
Inscriptions par mail à [email protected]
Samedi 21 novembre à 15h, Auditorium R. Benzi
Ville pratique
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Dossier
Actualités
Résultats
19
BASKET
NOUVEAU !
NF1 : BC Franconville - Roannais :
victoire 66-59
NF3 : BC Franconville - Sannois
St Gratien : victoire 66-42
NF1 : BC Franconville PB - Le Creusot
- Fin du 1er quart temps : 15-15
- Mi temps : 34-35
- Fin du 3e quart temps : 48-49
- Prolongation 67-67
- Fin du match, défaite : 71-82
Beau match, les joueuses n’ont pas démérité pour leur 1re rencontre officielle.
NF3 : BC Franconville PB 2 - IFS 2 :
victoire 52-49
La Teamgym fait son entrée au club
de gymnastique
Depuis la rentrée, le club de gym l’Albonaise lance une nouvelle discipline : la « Teamgym ». Comme son nom l’indique, cette discipline,
née dans les pays nordiques, se pratique en équipes de 6 à 12 gymnastes, filles et garçons. Elle peut se pratiquer en loisirs ou en compétition et comprend trois séquences différentes :
> une chorégraphie (au sol) en groupe avec des mouvements spécifiques (sauts, portées…).
> le « tumbling », piste d’acrobaties où les gymnastes enchainent des
séries de sauts spectaculaires (saltos, vrilles)
> le mini-trampoline.
Acrobaties et chorégraphies prédominent dans cette discipline.
Comme le souligne Nelly Mouly, qui anime cette nouvelle section depuis la rentrée : « la Team ne manque pas d’intérêt pour les gyms
qui ont un peu marre des agrès (classiques). La présence au sein du club
de gymnastes de haut niveau pour parvenir au niveau des compétions est
de bon augure pour cette discipline qui démarre. Pour l’heure, nous souhaitons surtout faire découvrir cette activité au plus grand nombre, et accueillir tous les niveaux, y compris les débutants. » Les programmes sont
adaptés. Par exemple en tumbling, les débutants font des roulades
alors que les gyms expérimentés travaillent les doubles saltos. En ce qui
concerne l’âge, on peut commencer
la Teamgym à partir de 6 ans (12 ans
pour la compétition).
Entraîneur : Nelly. Horaires des
cours : samedi de 17h à 19h
Inscriptions : dossier à télécharger
sur le site internet du club rubrique
« inscriptions ».
www.gymnastique-albonaise-franconville.fr
Rendez-vous
PATINOIRE
8 novembre, 14h30, patinoire : « Venez patiner avec la
Reine des neiges »
RUGBY
Rencontre intercommunale le 10 novembre
BASKET
14 novembre, 20h, CSL : Franconville PB basket club/Pays Voironnais BC
PATINOIRE
21 novembre, 20h45, patinoire : soirée mousse
Quand rugby rime avec jeunesse… À l’occasion de la
Coupe du monde de Rugby, le service des sports de la
ville organise pour la première fois avec les villes partenaires (Beauchamp, Taverny, Besssancourt, Saint Leu-laForêt) un événement rugby avec les écoles. Trentehuit classes de CM2 représentant 21 écoles participent.
1050 élèves au total répartis sur 38 classes, disputeront les matchs. Deux conseillers pédagogiques
Sports encadreront cette manifestation durant laquelle
16 éducateurs sportifs seront mobilisés. Douze classes
de Franconville participent à l’événement. Chaque
école a été invitée à confectionner un drapeau aux couleurs d’une nation qui a participé à la Coupe du monde
qui vient de s’achever.
Rendez-vous au stade Jean Rolland le 10 novembre prochain de de 10h30 à 15 h.
BIKE AND RUN
29 novembre de 7h à 15h30,
Bois des Eboulures :
Bike and Run
TÉLÉTHON
5 décembre de 14h à 16h :
Téléthon (1 € minimum)
•B
aby parcours enfants de
3/8 ans gymnase du Moulin
•T
ournoi de Football enfants
de 9/11 ans gymnase du
Bel Air
Programme complet dans le
journal de décembre
20
Actualités
11E CONCOURS DES LUMIÈRES DE NOËL
DÈS AUJOURD’HUI
Le Conseil Municipal des Jeunes et le Service Jeunesse proposent : Franconville
en scène. Concours de jeunes talents pour
les 11-25 ans. Vous avez un talent ? Contactez-nous vite !
Auditions le 30 janvier 2016.
Dépôt des candidatures au service jeunesse
avant le 23 janvier 2016
> Renseignements : 01 34 14 84 84
9 NOVEMBRE
La commémoration de la mort du Général
de Gaulle se déroulera place Charles de
Gaulle le lundi 9 novembre à 19h15.
11 NOVEMBRE
Chaque 11 novembre, l’histoire convoque
les Français et les appelle à se souvenir de
l’armistice signé le 11 novembre 1918. Le Maréchal Foch disait : « Les peuples cessent
de vivre lorsqu’ils cessent de se souvenir. »
Mercredi 11 novembre 2015
9h30 : place de Verdun, dépôt de gerbe
10h : messe en l’Église Sainte-Madeleine
11h : parvis de la Mairie, rassemblement et
départ pour le cimetière
Retour à la Mairie.
Avec le concours des Sapeurs-pompiers,
de l’Harmonie Big Band de Franconville, du
Comité de la Croix-Rouge, des Secouristes
de Franconville et du Souvenir Français. Des
porte-drapeaux et des responsables d’associations locales.
Conseils
de quartier
21 NOVEMBRE
Le conseil de quartier des Noyers de SaintEdme et la Maison de la Mare des Noues
organisent la Fête et le loto de l’automne
le samedi 21 novembre de 12h à 17h à la
Maison de la Mare des Noues.
- Entrée gratuite (sur inscription obligatoire
pour le loto avec le coupon ci-dessous)
Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Téléphone :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Nombre de personnes :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Date et signature : Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
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DU 1ER AU 31 DÉCEMBE 2015
Mairie
Prénom :
Dossier
Coupon à retourner à la Mairie de Franconville : service des Conseils de quartier ou à
la Maison de la Mare des Noues
Venez découvrir des spécialités sympathiques autour de produits de l’automne et
n’hésitez pas à en faire partager aussi. Jeux
de saveurs proposés.
• Trois catégories proposées :
- Halls d’immeubles - Balcons - Maisons
• Un gagnant par catégorie et par quartier
• Inscriptions jusqu’au 12 décembre :
- à l’accueil de la Mairie, Mairie annexe,
service Conseils de quartier
- par mail : [email protected]
•P
assage du jury : du 18 décembre 2015 au 02
janvier 2016 Renseignements : 01 39 32 67 26
Associations
14 NOVEMBRE
Concert « Les amies de la soul » le samedi 14
novembre à 20h30 à l’Espace Saint-Exupéry
(théâtre Jean Cocteau). Avec la participation
de deux talents franconvillois : 2 lycéens choisis
lors de l’audition à Cultura. Les 200 premiers
billets sont à 12€ en pré-vente à Cultura. Une
partie des bénéfices sera reversée à l’association Histoires de Ted (sensibilisation du public à
l’autisme). Ensuite l’entrée sera à 15 €.
>E
space Saint-Exupéry, 32 bis rue de la Station.
15 NOVEMBRE
Un bal country est organisé le dimanche 15 novembre de 14h à 19h à
l’Espace
Saint-Exupéry
avec le groupe Jesse N’Pat.
Entrée 12 euros. Réservations : 06 71 05 66 00.
> Espace Saint-Exupéry, 32
bis rue de la Station.
20 ET 21 NOVEMBRE
L’association Loisirs Amitié Culture organise une
Foire aux jouets et puériculture les 20 et 21 novembre au Centre socioculturel de l’Epine-Guyon.
Retrait des étiquettes le mardi 10 novembre de
14h à 19h, dépôt le jeudi 19 novembre de 10h à
19h, vente le vendredi 20 novembre de 14h à 19h
et le samedi 21 novembre de 10h à 17h30. Restitution le mardi 23 novembre de 14h30 à 19h.
> Centre socioculturel de l’Epine-Guyon,
2 rue des Hayettes. Tél. 01 34 15 88 06.
21 NOVEMBRE
Soirée orientale le samedi 21 novembre à
partir de 20h30 à l’Espace Saint-Exupéry
au profit de l’association Les Enfants du Nil.
Association Les Enfants du Nil Présidente : Suzanne Pironet 15 rue Tailhade
95130 Franconville
Tél. : (Répondeur) : 01 34 13 33 33.
Portable: 06 86 18 65 44.
> Espace Saint-Exupéry, 32 bis rue de la Station.
Ville pratique
21 NOVEMBRE
L’ASAPMH, association d’aide et de soutien
aux personnes malades ou handicapées organise un loto-gourmand le samedi 21 novembre de 14h30 à 17h30 à la Maison des
associations. Ouverture des portes à 14h.
> Maison des associations, 2 rue du Maréchal
Foch. Tél. 01 34 44 23 60.
DU 26 AU 29 NOVEMBRE
La Chambre de Métiers et de l’Artisanat du
Val-d’Oise organise du 26 au 29 novembre
dans ses locaux à Cergy un salon permettant de découvrir les richesses artisanales
de notre département. Vous y rencontrerez
une cinquantaine d’artisans d’art valdoisiens,
spécialisés en joaillerie, accessoires de mode,
décoration d’intérieur, ameublement…Le savoir-faire de nos artisans s’expose. Ce sera
« Noël avant l’heure » préviennent les organisateurs qui ont choisi cette année d’honorer avec les artisans présents Picasso. Entrée
libre et gratuite. Du jeudi 26 au dimanche 29
novembre, 10h-19 h.
> 1, avenue du Parc, 95 000 Cergy (parking gratuit). Renseignements au 01 34 35 80 37
28 ET 29 NOVEMBRE
L’Établissement Français du Sang organise
deux collectes dans notre commune :
• Samedi 28 novembre de 9h à 13h et de 14h
à 16h à la Maison des associations (2 rue du
Maréchal Foch, 01 34 44 23 60). Important :
le parking situé derrière la Maison des Associations est réservé dès la veille, par arrêté
municipal, à l’équipe de l’EFS pour lui permettre de décharger l’ensemble du matériel. Il est important de ne pas s’y stationner
car cela perturbe et retarde la collecte. Les
contrevenants s’exposent à une amende et
à l’enlèvement du véhicule.
• Dimanche 29 novembre de 9h à 13h30
au Centre socioculturel de l’Épine-Guyon
(2 rue des Hayettes, 01 34 15 88 06).
5 DÉCEMBRE
Dans le cadre du Téléthon 2015, un grand
dîner spectacle avec soirée dansante est
organisé par l’ADF le samedi 5 décembre à
19h30 à l’Espace Saint-Exupéry.
Informations et réservations : 06 77 61 11 68
6 ET 12 DÉCEMBRE
La Chorale « LA CROCHE CHŒUR » ouvre la
saison 2015/2016 avec deux concerts :
•D
imanche 6 décembre à 17h en l’Église
Sainte-Madeleine de Franconville sous
l’égide du Téléthon, accompagnée du Chœur
Lyrique « LA FORGE » de l’École de Musique
de St Leu La Forêt Entrée : Libre participation aux frais.
•S
amedi 12 décembre à 18h concert de Noël
en l’Église St Gilles de St Leu-La-Forêt
avec le Chœur Lyrique «LA FORGE» de
l’École de Musique de St Leu La Forêt (Entrée : 10 € - tarif réduit 5 € pour moins de
18 ans, étudiants, chômeurs).
Ville pratique
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Dossier
Actualités
21
Collecte de jouets
Du 1er au 30 novembre des collectes de jouets seront réalisées par les professionnels de Century 21 partout en France. À Franconville,
l’agence La Source immo se mobilisera au profit du Secours Populaire. Les habitants désirant participer à cette collecte peuvent déposer les
jouets au 112 rue du Général Leclerc. Renseignements : 01 34 44 20 00
L’INSEE nous informe
Les services de l’INSEE vont procéder, du 1er octobre au 17 décembre 2015, sur certains secteurs de la commune, à une enquête de contrôle
et de mise à niveau du Répertoire d’Immeubles Localisés (pour le recensement) afin d’améliorer la qualité des adresses.
Des agents recenseurs de l’INSEE se présenteront donc chez les particuliers au cours de cette période, merci de leur réserver un bon accueil.
La « Meilleure Apprentie de
France » est Franconvilloise.
Domiciliée à Franconville depuis trois ans, Linda Attalah 17 ans,
poursuit sa formation d’apprentie (Bac Pro Commerce 2e année)
à l’Institut des Métiers de l’Artisanat d’Eaubonne et à la librairie-papeterie « Page 2001 » à Saint-Leu-la-Forêt depuis deux ans.
Elle a obtenu cet été le titre de « Meilleure Apprentie de France en
vente-action marchande ». Après un succès aux épreuves départementales et régionales, elle a remporté les épreuves nationales
grâce à une réalisation de vitrine sur le thème des Oiseaux (thème
imposé par le concours). Le jury a apprécié cette réalisation originale avec un décor tout en origamis, protège-cahiers transformés
en feuilles, arbre en papier journal peint… « J’ai toujours aimé le
commerce, ça a toujours été ce que je voulais faire. J’ai bifurqué
vers l’apprentissage après ma seconde générale (baccalauréat) »
déclare Linda qui espère devenir plus tard « commerciale à l’international ». Envisage-t-elle de suivre l’exemple de son père chef
d’entreprise : « Non, je ne pense pas du tout à ça en ce moment,
je pense plutôt acquérir de l’expérience. » Pour l’heure l’environnement et le commerce des livres lui plaît bien.
Pharmacies de garde
SAMEDI 31 OCTOBRE
PHARMACIE TRUONG
58 avenues Georges V
Eaubonne
Tel: 01 39 59 18 98
DIMANCHE 1 NOVEMBRE
PHARMACIE RENAUD
5 rue du 8 mai
Sannois
Tel : 01 39 80 70 03
Numéros utiles
• SAMU 15
• SAMU Social 115
• Police Secours 17
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
• Pompiers 18
• Numéro d’urgence européen 112
SAMEDI 7 ET
DIMANCHE 8 NOVEMBRE
PHARMACIE PEYCLI
SAMEDI 21 ET
DIMANCHE 22 NOVEMBRE
PHARMACIE DURAND
14, bis rue de la république - Ermont
Tel : 01 34 15 77 03
67, rue du Général Leclerc - Eaubonne
Tel : 01 39 59 45 14
SAMEDI 14 ET
DIMANCHE 15 NOVEMBRE
PHARMACIE FANCHETTE
SAMEDI 28 ET
DIMANCHE 29 NOVEMBRE
10, place de la gare - Franconville
Tel : 09 77 78 51 62,
Centre commercial - Ermont
Tel : 01 34 15 30 30
PHARMACIE CORA
• Police nationale 01 30 72 61 50
• Violences femmes info 39 19
• Police municipale 01 34 44 04 80
• Allo enfance maltraitée 119
• SOS médecins 01 30 40 12 12
• Centre antipoison 01 40 05 48 48
•A
lcooliques Anonymes 09 69 39 40 20
(numéro cristal, appel non surtaxé)
• Urgences dentaires 01 30 75 42 15
• SOS Amitié 01 42 96 26 26
• Ordre des chirurgiens-dentistes
01 39 64 42 48
• SOS vétérinaires 08 36 68 99 33
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Actualités
Dossier
VOS MAIRES ADJOINTS ET VOS CONSEILLERS MUNICIPAUX
VOUS REÇOIVENT*
* Conseiller communautaire
Marie-Christine Cavecchi *
1er adjoint au Maire, communication, affaires
scolaires, restauration
Reçoit tous les jours sur rendez-vous :
01 39 32 66 13 (scolaire)
01 39 32 66 02 (communication)
Claude Bodin *
Transports, intercommunalité
Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 40
Sabrina Fortunato
Sports, associations
Permanence tous les jours
sur RDV : 01 39 32 67 14
Alain Verbrugghe
Urbanisme, PLU, habitat
Reçoit sur RDV sauf le samedi de 9 h à 11 h
au bâtiment administratif : 01 39 32 66 64
Eva Hinaux *
Affaires culturelles, École de musique,
associations
Permanence sur RDV : 01 39 32 66 06
Monique Merchie
Logement
Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 48
Roland Chanudet
Anne Cristallin
Xavier Dubourg
Service à la population : état civil,
cimetière, élections, recensement
Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 72
Suivi des actions éducatives Permanence le mercredi et samedi
matin sur RDV : 01 39 32 66 13
Catherine Moser
Franck Gaillard
Informatique, Numérique
Henri Fernandez
Entretien
Petite-enfance, enfance, jeunesse
Permanence le samedi matin
sur RDV : 01 39 32 66 82
Alexandra Sainten
Emmanuel Elalouf *
Roger Landry
Appel d’offres, commission de sécurité,
patrimoine
Reçoit sur RDV : 06 11 81 08 67
Florence Decourty
Centre de Santé
Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 29
Jean-Hubert Montout *
Maisons de proximité
Laurie Dodin
Personnel communal
Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 97
Joachim Cellier
Développement économique
Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 24
reçoit à la Maison des associations, sans rendez-vous, le 3e jeudi
de chaque mois de 18 h à 20 h en dehors des vacances scolaires.
Gérard Sébaoun, Député de la 4e circonscription
(Vivre à Franconville) : chaque 4e samedi du mois, sur rendezvous de 10 h à 12 h à la Maison des associations, pendant les
périodes d’ouverture. Tél. : 06 28 65 75 20.
Etat-civil
Claire Le Berre
Voirie, conseils de quartier
Reçoit le lundi sur RDV : 01 39 32 66 64 (voirie) et
01 39 32 67 26 (Conseils de quartier)
Affaires sociales
Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 88
Francis Delattre, Sénateur-Maire, reçoit en mairie
sur rendez-vous et en permanence libre le dernier vendredi du
mois à partir de 16 h en dehors des vacances scolaires.
Claude Bodin, Conseiller régional d’Île-de-France,
Environnement, gestion des déchets,
fourrière animale, hygiène
Reçoit tous les matins
sur RDV : 01 39 32 66 61
Françoise Gonzalez
Monique Mavel-Maquenhem *
• Sur le Marché du Mail : 7 et 21 novembre
Nadine Sense
Xavier Melki
Espaces verts, propreté ville
Centre technique municipal
Reçoit sur RDV : 01 39 32 66 64
Outre leur présence sur le terrain au quotidien où vous pouvez les
rencontrer selon leur délégation, les élus vous reçoivent sur rendez-vous.
➜ et d’autres permanences
Marie-Christine Cavecchi, Vice-présidente du
Conseil départemental du Val-d’Oise reçoit sur rendez-vous.
Sécurité
Reçoit sur RDV le samedi de 10 h à 12 h :
01 39 32 66 38
Sandrine Le Moing *
Ville pratique
Commerce, marchés forains,
marché de détail
Reçoit sur RDV : 01 39 32 67 24
Charles Souied *
Finances, budget
Reçoit le mardi et le jeudi de 9 h 30
à 12 h sur RDV : 01 39 32 67 28
Sortir
Bruno de Carli
Seniors
Permanence tous les samedis de 10 h à 12 h
sur RDV : 01 39 32 67 88
Bernadette Montalti
Jumelage, Médiathèque
Patrick Boullé
Office municipal des Sports
Reçoit tous les jours sur RDV :
06 35 16 31 78
NAISSANCES
13/08/2015
14/08/2015
16/08/2015
17/08/2015
18/08/2015
19/08/2015
21/08/2015
22/08/2015
23/08/2015
24/08/2015
27/08/2015
28/08/2015
30/08/2015
31/08/2015
01/09/2015
04/09/2015
05/09/2015
06/09/2015
07/09/2015
08/09/2015
09/09/2015
10/09/2015
11/09/2015
13/09/2015
Célian DUMONT REDOUTEY
Yusuf CEYLAN
Maxime LEROUX
Wassim FANDOUL
Liya EL AMRANI
Rosange ZOKLI-ANTHONY
Lucas HANIN
Clément LINARD
Nour SALMI
Abdulkadir HANKULU
Mastene BOUHANIK
Jules COJONDEVEL
Emma LAROUBI
Sonia ALLOU
Varon-Junior BATANTOU
Wendy ADUMOAH
Clémence LACROIX
Mayron RIVIERA
Sara BOUZIANE
Luna SERIEYS
Tania FONSECA
Giulia SERVAIS
Raphaël COMBET
Giulia KRÄTTLI
Younes KRID
Erell BRAHIMI
Izaan SAJJAD
Nathan CONSTANTIN
Jordan LéONARD
Enzo BOUTREAU
Jason MONDESIR
Lino ROTONDI-JANIN
Nahël BRANGER
Clarisse VERGER
Yoan DESBONNES PITON
Otro AGBOHOUN
Rym AZZOUZ
Victoria SERRALHEIRO AGULHA
Dylan BENTALEB
Maëlys LE PRIOL
Soann ALLYBUCCUS
14/09/2015 Amina BOUCIF
Anissa DEHMEJ
15/09/2015 Abdullatif ÇETINKAYA
23/09/2015 Malik THIOUB
MARIAGES
04/09/2015Hermann MOHAMAD
et Kouloud ZEBLI
05/09/2015Sylvain HARZO
et Brigitte GIBAULT
05/09/2015 Hugues DOUKOUA et
Arlette DZOUAVELE GNANGA
19/09/2015Kwame YEBOAH
et Jackie LOLO
26/09/2015Souleymane DEMBELE
et Béatrice MACCARRONE
DÉCÈS
27/08/2015 Andrée ROUSSEL née COAT
29/08/2015 Eveline LORIOT
née DUCREUX
29/08/2015 Camille BOU-AZIZ
née SNANEDJ
31/08/2015 Patrick LAGRANGE
03/09/2015 Geneviève PERRIER
née EULLIOT
05/09/2015 Colette REYNAUD née CAULO
06/09/2015 Gisèle CHAUFFAILLE
née BOISSY
12/09/2015 Jean-Claude LE PRIOL
14/09/2015 Monique QUINTIN
née AMICHOT
16/09/2015 André DELCOURT
16/09/2015 Marie-Laure TALOT
née DESCAMPS
19/09/2015 Jean Pierre MICHEL
20/09/2015 Régis CHANTOME
20/09/2015 Raymonde CORMONT
née PORTALIER
25/09/2015 Colette HEDE née BECHTER
27/09/2015 Roger LE MESTIC
Ville pratique
TRIBUNE LIBRE
>
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Dossier
Actualités
23
Franconville une ambition partagée
Les communes en danger !
Les élus sont confrontés à des réformes qui
mettent en péril les communes : la réforme
territoriale ou loi NOTRe (pour laquelle j’ai
voté contre) ; les réformes de la DGF et de la
péréquation, sans aucune précision chiffrée ni
simulation. La situation est préoccupante. Si
nous n’y prenons pas garde, c’est toute notre
organisation communale qui risque d’être profondément ébranlée. Et ce sont nos habitants
qui seront les premiers affectés.
Au surplus, nous nous heurtons à une politique incohérente et incompréhensible :
- Incohérence lorsque M. Sapin demande aux
collectivités de diminuer leur personnel alors
que l’État créé 60 000 postes de fonctionnaires sur le quinquennat !
- Incompréhension lorsque M. Sapin demande
aux collectivités de diminuer leurs frais de
fonctionnement alors qu’il refuse de lutter
contre la fraude sociale et rejette le principe
de maîtrise de la dépense sociale !
Des réformes qui mettent en péril les communes :
- La loi NOTRe votée le 16 juillet 2015 est le
dernier volet de l’acte III de la décentralisation. Ce dernier met en place une nouvelle organisation administrative et territoriale centralisée et coûteuse. En accordant presque
tous les pouvoirs aux métropoles et aux
régions, cette loi tend à faire disparaitre les
communes qu’elle regroupe dans des blocs
pour nous supérieurs à 200 000 habitants ;
elle transfère les compétences communales
au niveau supérieur et assèche les finances
locales. Les citoyens seront privés des services de proximité pourtant essentiels à la vie
familiale…
- La dotation globale de fonctionnement (DGF)
constitue de loin la principale dotation de fonctionnement de l’État aux collectivités territoriales. Devenue particulièrement opaque, sa réforme est nécessaire mais est-ce le bon timing
au moment de la baisse des dotations de l’État ?
Le contenu du projet de loi de finances (PLF)
pour 2016 était très attendu par les élus locaux,
nombreux à devoir faire face à une équation budgétaire difficile, voire parfois insoluble.
Pour le président du Comité des finances locales
(CFL), André Laignel, maire socialiste d’Issoudun, ce texte montre que : « les élus du bloc
communal n’ont pas été entendus sur le rythme
et le niveau de la baisse des dotations ainsi que
sur la réforme de la DGF », regrette-t-il, avant
d’ajouter : « Ce budget est dans le droit fil des
années précédentes et concourt, à son tour, à
l’affaiblissement des collectivités locales et en
particulier du bloc communal. »
Au final, ce texte qui s’appuie sur des données
économiques sorties tout droit du chapeau de
Bercy impose une nouvelle baisse de 3,67 milliards d’euros des dotations de l’État en 2016
qui viendra s’ajouter à celles de 2014 et 2015.
Voilà qui menace le fonctionnement normal de
nos services municipaux et assèche pratiquement tous nos projets d’investissements.
C’est justement cet investissement qui est l’objet
de toutes les attentions. « L’investissement des
collectivités nous préoccupe et, en 2015, nous
n’avons jamais vu un marché aussi atone ce qui
laisse présager très peu d’investissements au
final », remarque Jean-Sylvain Ruggiu, le directeur secteur public de la Caisse d’Epargne-BPCE.
Même la Cour des comptes le déplore ! Elle
qui stigmatisait hier un mauvais contrôle de la
masse salariale des collectivités territoriales,
s’inquiète aujourd’hui de l’accélération de la
baisse des concours financiers de l’État. Les
magistrats se sont rendus compte des conséquences des mesures gouvernementales qui
poussent de nombreuses municipalités à rehausser la fiscalité et surtout à devoir réduire
leurs investissements : « La Cour s’inquiète
tout particulièrement de la perspective d’une
baisse durable des investissements. » Revenus à la raison, les magistrats consentent aujourd’hui à dire que « l’accélération de cette
baisse est de nature, du fait de son ampleur,
à modifier le modèle d’équilibre financier des
collectivités. » De même, la Cour des comptes
reconnaît que la hausse de la masse salariale,
reprochée si violemment aux élus, a été provoquée pour moitié par des mesures décidées
à Paris. Par exemple : l’augmentation de l’indice des fonctionnaires de la catégorie C ; la
réforme des rythmes scolaires (qui coûte entre
350 et 620 millions aux collectivités !) ; la mise
aux normes d’accessibilité des bâtiments publics (720 millions !)…
Gérard Collomb sénateur-maire socialiste de
Lyon s’est même félicité : « Pour la première
fois, la Cour des comptes met enfin en lumière
la responsabilité de l’État dans la gestion des
collectivités. »
Voilà qui devrait nous consoler, mais l’heure
est trop grave pour cela. Aujourd’hui, ce sont
bien nos villes à l’échelle humaine qui sont menacées et avec elles, la proximité si précieuse
dans un monde de plus en plus dur.
Le 22 septembre, le conseil municipal a voté
plusieurs transferts de compétences de la commune vers l’agglomération.
La pertinence d’un transfert de compétence
repose, d’une part, sur le principe d’économies
d’échelle grâce à une logique de mutualisation
de services et d’achats ou, d’autre part, sur une
meilleure efficacité/qualité du service rendu aux
habitants pour un coût équivalent.
UN BON EXEMPLE : le transfert de l’éclairage
public que nous avons voté favorablement. La
mise en commun des systèmes des 15 communes
de l’agglomération permettra, grâce à un marché unifié, de réaliser les économies nécessaires
pour envisager les investissements lourds mais
Faire Front pour
Franconville
Vivre à Franconville
Les transferts de competence, c’est comme les chasseurs,
il y a les bons et les mauvais…
nécessaires à la refonte de l’éclairage en ville, ce
qui ne serait pas un luxe.
UN MAUVAIS EXEMPLE : la mise à disposition
des appareils de vidéosurveillance de Franconville au profit de l’agglomération, à laquelle nous
nous sommes opposés. Aujourd’hui, le dossier
est très mal ficelé : les gains financiers ne sont
pas du tout évalués et le meilleur service rendu
est totalement incertain. Par exemple, on nous
parle d’un visionnage continu sur le territoire
de l’agglo - afin de poursuivre les personnes
suspectées de délit, qui passeraient d’une ville à
l’autre - alors que pour le moment, les heures de
fonctionnement des sites de vidéosurveillance
ne sont pas du tout les mêmes. Quels seront
les horaires de fonctionnement demain, pour
quel coût supplémentaire pour l’agglo et donc
les contribuables ? La question n’a trouvé aucune réponse dans les débats.
A. Raisséguier (responsable du groupe),
J. Charrières-Guigno, S. Lamouri, J.C. Quivrin, Y.
Le Du, G. Chevalier, X. Duprat
www.vivreafranconville.fr
N.B. Pour les esprits chagrins de la majorité qui souhaitent nous caricaturer en « opposants à tout »,
nous leur rappelons que lors du conseil municipal
du 22 septembre, sur 26 délibérations nos votes ont
été les suivants : 20 pour, 3 contre, 2 abstentions,
1 délibération pour laquelle nous n’avons pas participé au vote. C’est vrai que cela fait de nous des
« opposants à tout », acharnés et irresponsables !
Accueil des immigres clandestins a Franconville : pour le FN, c'est NON !
François Hollande s'étant déclaré favorable à
l'accueil de 24 000 immigrés pour satisfaire
aux pressions des eurocrates de Bruxelles et
d'Angela Merkel, des maires UMPS, complices
pour imposer aux Français cette déferlante
migratoire, s'empressent de proposer à ces
clandestins des hébergements d'urgence.
Dans un exercice de travestissement des mots,
tous cherchent à tromper les Français en leur
faisant croire que ces migrants seraient des
« réfugiés temporaires » alors que chacun
sait qu'ils resteront sur le territoire national
au frais du contribuable local. Fidèles à leurs
engagements, notamment en ce qui concerne
les attributions de logements sociaux pour
lesquelles les Franconvillois doivent rester
prioritaires, les élus FN s'opposent à tout accueil d'immigrés supplémentaires dans notre
ville et exigent la reconduction de tous les
clandestins dans leurs pays.
Blog : fairefrontpourfranconville.wordpresse.com
Courriel : [email protected]
24
Actualités
Dossier
Sortir
Ville pratique
ÉDITION 2015 DES FOULÉES
Vétérans 1 F
Cadets G
1 Hamon Marie Line 2 Emonnet Carole 3 Boudillat Karine
1 Maguerre Florian 2 Asselin Boulle Pierre 3 Le Doze Tristan
Seniors H
Espoirs F
1 Jemmal Abdelghani 2 Herve Ghislain 3 Meyer Gérald
1 Roberjot Marjorie 2 Jegou Marine 3 Asselin Boulle Elodie
Espoirs H
Seniors H
1 Maguerre Geoffroy 2 Vilanova Thomas 3 Valli Yohan
1 Ait Moh Hassan 2 Mebrek Adbel Hakim 3 Heron-Grzywacz Cedric
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015Minimes G
1 Maguerre Thomas 2 Cottereau Nolan 3 Marechal Victor G
Seniors F
1 Miloud Flavia 2 Large Melanie 3 Gemberle Marylin
Ville pratique
Sortir
Dossier
Actualités
NOCTURNES DE FRANCONVILLE
Juniors H
Vétérans F
1 Bellandi Hugo 2 Brossier Julien 3 Gautiere Adrien
1 Lemoine Catherine 2 Kostioukevitch Antanina 3 Garnier Sylvie
Vétérans H
Vétérans H
1 Aichi Abdellatif 2 Libessart Patrice 3 Fonquergne Mehdi
1 Serouac Pierre 2 Ghiani Marc 3 Deregard Laurent
25
Départ & Podiums des poussins
Juniors H
1 Senac Clarence Franck 2 Guy Thibaud 3 Benkessiouer Souleyman
Départ & Podiums Des benjamins
Départ du 5 & 10 km
Seniors F
1 Roy Adeline 2 Brunault Nolwenn 3 Cassard Delphine
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
26
Actualités
Dossier
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Ville pratique
o 13 septembre
Accueil des nouveaux arrivants
o 19 septembre 2015
Masters de pétanque des Conseils de quartier
o 26 septembre
Le CMJ s’implique pour la cause animale : visite de la fourrière
départementale par des Conseillers municipaux jeunes en
compagnie de Nadine Sense et Franck Gaillard conseillers
municipaux et Pierrette Catusse.
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
o 03 octobre 2015
Portes ouvertes de l’AFGF, association de généalogie
o 03 octobre 2015
L’heure du conte à la Médiathèque
Ville pratique
Sortir
Dossier
Actualités
27
o 03 octobre 2015
Spécial Arts urbains à la Médiathèque
o 03 octobre 2015
Stage de danse à l’École de musique
o 06 octobre 2015
Vernissage de l’exposition : Les jardins du Comte d’Albon à Franconville
Franconville
le journal n° 217
novembre 2015
o C réation de jardin et potager
CO R L E T CO M M U N I CAT I O N
AGENCE CONSEIL
E N C O M M U N I C AT I O N É D I T O R I A L E
o T aille et élagage
o Aménagement d’espaces verts
oP
lantation
3, C HEMIN D E MO ND EVILLE
14460 CO LO MBELLES
T ÉL. 02 31 35 48 78
FAX 02 31 35 48 77
o Engazonnement
o Enrochement et rocailles
o Maçonnerie paysagère
o Abords de piscine et patios
o Arrosage
o Contrat d’entretien
LIBRAIRIE
o Nettoyage haute pression
des allées et terrasses
06 75 66 66 22
PONTOISE
Une ville au cinéma
Après la Seconde Guerre mondiale, la ville de Pontoise devient, avec la
possibilité de tourner en extérieur, le décor et l’archétype d’une petite
ville française. Depuis Toute la ville accuse (Claude Boissol, 1956) et
surtout La Verte Moisson (François Villiers, 1959), nombre de réalisateurs ont choisi Pontoise pour leurs tournages. Cette publication situe
non seulement Pontoise dans la fiction mais aussi dans la réalité, à
travers les actualités filmées, les journaux et émissions télévisés, et
dessine ainsi une histoire du cinéma à travers celui d’une ville : de
l’histoire des premières projections à celle de ses salles... Elle constitue une monographie originale, forcément précieuse aux historiens,
évocatrice d’un passé proche et inspiratrice pour les cinéastes.
PAPETERIE
GALERIE D’ART
BEAUX-ARTS
MUSIQUE
VIDÉO
LOISIRS CRÉATIFS
MULTIMÉDIA
Ouvert 7 jours/7 - 10h à 20h
Centre commercial Art de Vivre - Eragny
Tél. 01 34 30 48 00 - legrandcercle.fr
ÉVEIL
CADEAUX
> OFFREZ-VOUS
LA RÉFÉRENCE
PONTOISE
au fil des siècles sous le regard
des peintres et des photographes
1914-1918
La guerre au quotidien
à Pontoise et au front
La Ville de Pontoise et le musée Tavet proposent aux Pontoisiens
comme aux visiteurs de l’exposition « Pontoise au fil des siècles
sous le regard des peintres et des photographes », un catalogue
offrant de la manière la plus richement illustrée un regard sur les
diverses représentations de la ville à travers les siècles. Les Pontoisiens Louis Hayet, Gustave Loiseau, Luis Jimenez resteront fidèles à
la ville et, au début du XXe siècle, Octave Linet, Frédéric Cordey, plus
brièvement Maurice de Vlaminck et Maurice Utrillo, complèteront le
riche répertoire d’œuvres laissé par Pissarro, Gauguin et Cézanne,
donnant à Pontoise une notoriété internationale.
Le centenaire de la Grande Guerre est un moment de
commémorations nationales qui illustre l’importance du
traumatisme ressenti par l’Europe. L’exposition organisée
par la Ville de Pontoise au Musée Tavet-Delacour vous propose de découvrir la réalité de la vie quotidienne à Pontoise
et au front pendant la Grande Guerre. Ce catalogue est riche
d’illustrations nombreuses et de textes qui remettent en
perspective ce tournant de la vie européenne et l’implication des Pontoisiennes et Pontoisiens
Contact pour commande :
Conseil Graphique - 3, chemin de Mondeville -14460 Colombelles -Tél. 02 31 35 48 78 - [email protected]