Suez environnement

SUEZ ENVIRONNEMENT
1 RUE D’ASTORG
75008 PARIS, FRANCE
TEL +33 (0)1 58 18 50 56
FAX +33 (0)1 58 18 51 68
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« EMPREINTE ENVIRONNEMENTALE » DES SERVICES D’UNE COLLECTIVITE
PAR
SAFEGE
CONTEXTE
Le
développement
durable,
sujet
complexe au vu de la diversité des enjeux
qu’il aborde, fait l’objet, à l’heure actuelle,
d’une véritable prise de conscience par les
décideurs politiques.
La
demande
toujours
croissante
d’évaluation des politiques publiques
s’exprime de plus en plus par une
recherche d’outils de mesure, d’aide à la
décision
et la communication. Les
collectivités,
pour
une
amélioration
constante de leur empreinte, visent
aujourd’hui à quantifier leurs impacts et
les performances environnementales de
leurs services.
MISSION
Dans ce cadre, Safege s’est vu confier la
mission :
• de réfléchir à l’harmonisation des
approches développées au sein du
groupe Suez, afin de valoriser la
cohérence industrielle de celui-ci face à
l’enjeu du développement durable ;
• d’établir une méthode et un outil
d’évaluation
environnementale
des
services d’une collectivité, qui fasse
ressortir la notion de performance du
service, et mette en valeur les
réductions d’impact opérées par les
solutions technologiques du groupe.
Les services publics étudiés sont :
-
L’eau potable,
L’assainissement,
La propreté urbaine,
Les transports collectifs,
L’éclairage public,
L’énergie des bâtiments publics.
MISE EN ŒUVRE
Outils d’évaluation
Deux
outils
complémentaires
sont
développés au cours du programme de
recherche de manière à réaliser une
évaluation qualitative et quantitative de
l’impact environnemental du service
évalué : l’Outil « QuickScan » et l’Outil
complet.
L’outil « QuickScan »
L’outil « QuickScan » doit permettre de
réaliser
une
évaluation
globale
et
qualitative en un temps très court. Il
conduit à un pré-diagnostic visant à
mettre en lumière les grands axes de
travail pour une collectivité et ses
services.
L’outil complet : « Matrice de performance
des services »
L’outil complet est basé sur la méthode
d’analyse de cycle de vie (ACV). Celle-ci
donne le cadre méthodologique global de
l’outil, mais se révèle occulter certains
impacts fondamentaux
inhérents aux
services !
Les travaux menés par Safege visent donc
à enrichir les méthodologies actuelles
d’interprétation de l’ACV et à les inclure
dans l’outil. Il s’agit d’élargir l’éventail de
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quantification des impacts et de leur
interprétation.
Les
développements
concernent notamment :
-
Les
nuisances
(bruits,
atteinte au paysage…),
odeurs,
-
Les risques sanitaires spécifiques
(plomb,
substances
prioritaires,
bactéries, lixiviats…),
-
L’impact des prélèvements d’eau sur
les écosystèmes,
-
La contextualisation des analyses.
Application
concrète
l’agglomération du Grand Dijon
Tout au long de leur développement, les
outils sont appliqués à un cas pilote,
l’agglomération du Grand Dijon, en raison
de son engagement concret sur le sujet et
du très fort intérêt des parties prenantes.
Objectif de représentation agrégée
L’outil cherche aussi à mettre en regard
les résultats des services par rapport à
l’empreinte totale de la ville.
Evaluation
L’outil complet reprend le concept
central de l’ACV de la comparaison de
différents scénarios. Il permet ainsi de
confronter deux situations des services.
Suivant la volonté de la commune il est
possible de comparer :
-
la situation actuelle avec une
situation passée, afin de montrer les
améliorations dues aux dernières
stratégies de la collectivité,
-
la situation actuelle avec une
situation projetée, afin de réfléchir
sur les améliorations possibles et
progresser vers « la ville durable ».
Présentation des résultats
Ces outils sont développés pour présenter
une interface et des résultats similaires,
en évaluant les impacts engendrés sur :
-
La santé et la qualité de vie,
La biodiversité,
Le climat et les ressources.
Objectif de représentation par service
Situation actuelle de la collectivité
Nouveau système de tri
+1%
- 20 %
Empreinte
Climat
Empreinte
Biodiversité
Empreinte
Qualité de vie
Empreinte
Climat
Empreinte
Empreinte
Biodiversité Qualité de vie
sur
Eau
Assainissement
Énergie des
bâtiments publics
Propreté
Éclairage
public
Transports
collectifs
Empreinte
Climat
Empreinte
Biodiversité
Empreinte
Qualité de vie
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GREEN CUBES, IL Y A DE L’ENERGIE DANS L’EAU !
SUEZ ENVIRONNEMENT dévoile son offre GREEN CUBES pour une station
d’épuration devenue plate-forme environnementale, source d’énergie
Il y a de l’énergie dans l’eau. Véritable bouquet de solutions énergétiques, l’offre
Green Cubes révèle le potentiel énergétique durable de la station d’épuration et des
réseaux d’eaux usées et permet de réduire l’empreinte environnementale des activités
d’assainissement. En effet, les eaux usées qui contiennent des matières organiques
constituent des sources d’énergies potentielles à valoriser : énergie thermique
(récupération de calories), énergie hydraulique ou encore énergie issue de la valorisation
de la biomasse.
Parce que SUEZ ENVIRONNEMENT place l’innovation au cœur des enjeux du
développement durable, elle est aujourd’hui l’une des seules sociétés mondiales
capable de proposer des solutions technologiques complémentaires et performantes pour
répondre, aux côtés de l’ensemble des acteurs de la ville, au défi de la civilisation
durable. En particulier dans le métier de l’assainissement, SUEZ ENVIRONNEMENT
entend s’engager, concevoir et innover en proposant une évolution majeure du métier
de l’assainissement vers des solutions de valorisation énergétique et de valorisation de la
biomasse, solutions technologiques et durables adaptées aux besoins et à
l’ambition énergétique de chacun de ses clients.
S’ENGAGER. Avec Green Cubes, SUEZ ENVIRONNEMENT s’engage auprès de ses
clients à développer des solutions durables. Réduire les émissions de gaz à effet de serre,
améliorer la performance énergétique des installations, diversifier les sources d’énergies
en privilégiant la part des énergies renouvelables, recycler la matière sont autant de défis
que SUEZ ENVIRONNEMENT entend relever dans son offre Green Cubes.
Les métiers de SUEZ ENVIRONNEMENT sont en pleine mutation : toujours garant de la
protection de l’environnement dans les activités qui sont les siennes -l’eau et les déchetsSUEZ ENVIRONNEMENT, acteur mondial, veut s’affirmer demain comme un
gestionnaire innovant du potentiel énergétique des eaux usées
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CONCEVOIR. Pour SUEZ ENVIRONNEMENT, Green Cubes préfigure une évolution
majeure du métier de l’assainissement vers des solutions de valorisation énergétique et
de valorisation de la biomasse. Cette offre s’appuie sur une expertise reconnue dans la
conception et l’exploitation de stations d’épuration et de réseaux d’eaux usées.
Avec Green Cubes, SUEZ ENVIRONNEMENT permet non seulement aux opérateurs de
garantir une très haute qualité de traitement des eaux usées combinée avec une
performance énergétique optimisée des installations et des procédés de traitement.
Mais l’offre Green Cubes permet également de valoriser tout le potentiel énergétique de
la station d’épuration et des réseaux d’eaux usées qui alimentent les installations par
l’extraction du pouvoir calorifique des boues d’épuration et la récupération de chaleur des
eaux usées.
Optimiser les performances de leur station d’épuration, réduire les consommations,
atteindre l’autosuffisance énergétique, revendre l’énergie verte produite - dans le respect
des réglementations et obligations environnementales, sont autant d’opportunités que
SUEZ ENVIRONNEMENT propose à ses clients. Avec Green Cubes, SUEZ
ENVIRONNEMENT présente une plate-forme environnementale responsable,
dédiée aux enjeux et à l’ambition de chacun de ses clients pour le
développement durable.
INNOVER. Il n’existe que des solutions sur mesure, adaptées à chacun de nos clients.
Green Cubes est pour cela un bouquet de solutions alliant performances énergétique et
environnementale, pour permettre à nos clients de réaliser leur ambition énergétique et
développement durable en fonction de leurs besoins et des opportunités que peuvent
offrir leurs installations existantes :
- Réhabilitation d’installations existantes
- Modernisation des installations
- Amélioration des performances
Moins d’énergie fossile et plus de production d’énergie verte Green Cubes
s’appuie sur une méthodologie éprouvée qui repose sur la combinaison vertueuse
de plus de 60 solutions. Ces briques énergétiques constituent la « gamme 3+1»
-
Les produits à faible consommation énergétiques
-
Les produits de récupération d’énergie : thermique, hydraulique, cinétique…
-
Les produits de valorisation énergétique de la biomasse
+ Les recours à des énergies renouvelables externes : solaire, éolien, etc.
Les effluents n’étant plus considérés seulement comme un flux à dépolluer mais comme
une véritable ressource alternative source de matières et d’énergie, la station d’épuration
devient ainsi une plate-forme environnementale qui permet d’une part la sécurisation
en approvisionnement d’énergie de l’installation et d’autre part, un véritable choix sur la
meilleure alternative énergétique.
Avec Green Cubes, SUEZ ENVIRONNEMENT propose à ses clients de valoriser
l’ensemble des gisements de biomasse grâce à la maîtrise des techniques de digestion
(méthanisation), de co-digestion, de pyrolyse et de gazéification et ainsi permettre
l’accès à des sources d’énergies renouvelables, disponibles tout le temps.
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SAVOIR S’ADAPTER AUX EXIGENCES ET AUX AMBITIONS DE NOS CLIENTS :
CLIENT, UNE AMBITION, UNE SOLUTION.
UN
Des solutions innovantes adaptées aux enjeux de développement durable sont déjà une
réalité et répondent aux objectifs fixés suivants :
- Diminution de l’empreinte environnementale globale de l’installation : la
station d’épuration de la Feyssine, Communauté Urbaine du Grand Lyon, destinée à
traiter les eaux usées de 300 000 équivalents habitants du Grand Lyon. Cette installation
en cours de réalisation, combinera technologies adaptées et empreinte environnementale
réduite, grâce en particulier :
-
à l’installation de panneaux photovoltaïques pour produire de l’énergie verte,
-
à l’installation d’un échangeur pour récupérer/dissiper les thermies de l’eau traitée
en vue de chauffer les bâtiments en hiver et de les rafraîchir en été,
-
Au recours à des technologies de traitement économes en énergie.
Le contrat inclut par ailleurs une tranche conditionnelle, destinée à doter l’usine d’unités
supplémentaires de méthanisation et de séchage permettant une valorisation
énergétique et agricole des boues d’épuration.
- Valorisation matière et énergie multi-filières : l’usine Seine Amont (Valenton),
la première installation de séchage en France par sa capacité de traitement mettant en
œuvre des solutions de valorisation multi-filières. Les boues d’épuration séchées sont
d’une part après gazéification ou pyrolyse, destinées à l’auto-production d’énergie sur
site et d’autre part destinées soit à la fabrication d’un combustible de substitution non
fossile soit en fonction de leur qualité à la fabrication d’engrais organo-minéraux.
- Auto-suffisance énergétique : la station d’épuration d’As Samra - Jordanie ,
qui dessert la région métropolitaine d’Amman réalisée par Degrémont , incarne cette
nouvelle génération d’installation. Des turbines hydrauliques installées en amont et en
aval, ainsi que des moteurs à gaz alimentés par le biogaz de digestion, permettront de
produire 95% de l’électricité nécessaire au traitement. Conçue pour traiter les eaux usées
de 2,2 millions d’habitants, elle met en oeuvre des solutions techniquement avancées
tant pour le traitement des eaux que pour le traitement des boues. Elle permet de
restituer au milieu naturel une eau de grande qualité.
- « Gamme 3+1 » : Goslar – Allemagne, une étude de faisabilité actuellement en
cours, vise a évaluer, d’une part, la potentialité du fonctionnement autonome en énergie
de la station d’épuration et, d’autre part, l’élimination des boues d’épuration. Dans cette
étude, l’application et la combinaison des processus de production de chaleur et d’énergie
seront évaluées sur le plan technique et économique. Cette étude comprend :
l’optimisation énergétique ; la production de biogaz supplémentaire par la cofermentation des biomasses ; les énergies renouvelables (énergie solaire, éolienne,
récupération de chaleur des eaux). Les résultats de cette étude de faisabilité démontrent
que la mise en place d’un fonctionnement autonome en énergie est possible, et
conduiront prochainement à la réalisation d’une nouvelle installation industrielle.
- Récupération de chaleur des eaux usées : Degrés Bleus
Lyonnaise des Eaux, filiale de SUEZ ENVIRONNEMENT lance, pour la première fois en
France, Degrés Bleus un nouveau modèle de chauffage urbain qui utilise une énergie
renouvelable : les eaux usées. Un procédé adaptable à tous les types de situation :
bâtiments, réseaux de chaleur, etc. une innovation technologique Un procédé adaptable
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à tous les types de bâtiment. Ces eaux, du fait de leurs origines (salles de bains,
appareils électroménagers lave-vaisselle, lave-linge…) ont une température moyenne
comprise entre 11 et 17 °. Grâce à Degrés bleus, il est possible de récupérer les calories
de ces eaux usées pour chauffer des bâtiments.
La relation entre SUEZ ENVIRONNEMENT et ses clients change. Chaque situation appelle
une réponse spécifique et adaptée aux ambitions exprimées. Efficacité environnementale
et économique sont deux objectifs qui permettent aujourd’hui à SUEZ ENVIRONNEMENT
de proposer à ses clients une nouvelle approche des ressources. L’offre Green Cubes
qui conçoit la station d’épuration comme une plate-forme environnementale,
source d’énergie s’inscrit dans la construction des villes de demain, véritables systèmes
écologiques autonomes régulés localement et caractérisés par une empreinte
environnementale la plus faible possible afin de limiter l’impact global sur le climat
planétaire.
GREEN CUBES,
IL Y A DE L’ENERGIE DANS L’EAU
4/4
LYONNAISE DES EAUX
Direction de la Communication
Sophie Le Scaon, attachée de presse
11, place Edouard VII
75316 PARIS
TEL : 01 58 18 41 99
GSM : 06 45 63 95 09
FAX : 01 58 18 42 29
WWW.LYONNAISE-DES-EAUX.FR
DEGRES BLEUS® RECUPERE LA CHALEUR DES EAUX USEES
POUR CHAUFFER LES BATIMENTS
DEGRES BLEUS® permet d’utiliser les calories des eaux usées (comprise entre
11 et 17 °) pour chauffer des bâtiments.
DEGRES BLEUS® fonctionne grâce à un échangeur de
chaleur placé dans la canalisation d’eaux usées et à une
pompe à chaleur (PAC) installée dans les bâtiments. Ce
nouveau mode de chauffage peut être utilisé par les
communes, les intercommunalités, les copropriétés, les
gestionnaires de grands bâtiments (HLM, maisons de
retraite, hôpitaux). La PAC est un appareil réversible. En
été, elle peut être utilisée pour rafraîchir les bâtiments,
notamment les maisons de retraites et les hôpitaux.
DEGRES BLEUS® évite jusqu’à 60 % d’émissions de
gaz à effet de serre. Le procédé DEGRES BLEUS® est, en outre, économique à
l’installation. Son prix sera à préciser pour chaque installation, car il variera en
fonction du contexte urbain spécifique. Le retour sur investissement sera de
quelques années pour une durée de vie de l’échangeur de 30 ans. L’obtention de
subventions pourrait encore réduire le temps de retour sur investissement de
même que l’augmentation du coût des énergies fossiles.
DEGRES BLEUS® s’installe aisément dans de nombreuses villes à une condition :
le débit dans la canalisation doit être de 15l/s par temps sec ce qui
correspond à environ 8 000 à 10 000 habitants raccordés. L’installation peut
chauffer un seul bâtiment ou alimenter un réseau de chaleur.
Le procédé DEGRES BLEUS® s’inscrit dans la démarche de développement
durable de Lyonnaise des Eaux qui prévoit d’aider les villes à limiter leurs
émissions de gaz à effet de serre. Une installation de chauffage comme DEGRES
BLEUS® contribue aux objectifs climatiques et énergétiques des plans type Plan
climat des collectivités territoriales. Rappelons que l’Union européenne qui a fixé
comme triples objectifs d’ici 2020 de réduire de 20 % les gaz à effet de serre et
la consommation d’énergie et d’augmenter de 20 % l’utilisation des énergies
renouvelables.
L’échangeur est ici installé directement dans la canalisation.
ECONOMIE, DIVERSIFICATION, PRODUCTION
D’ENERGIE : SUEZ ENVIRONNEMENT AGIT A
TRAVERS TOUS SES METIERS
L’ENERGIE VERTE AU SERVICE DES ENGAGEMENTS DE NOS PARTENAIRES
Acteur du développement durable, SUEZ ENVIRONNEMENT souhaite réduire l’impact
environnemental de ses activités et promouvoir l’efficacité énergétique et le recours aux
énergies renouvelables.
INTEGRER LES ENERGIES RENOUVELABLES DANS LES USINES DE
TRAITEMENT D’EAU
Selon le contexte, Degrémont valorise les énergies renouvelables dans ses usines de
traitement des eaux pour produire de la chaleur ou du froid (solaire thermique, pompe à
chaleur, biogaz) et de l’électricité (hydraulique, éolien, solaire photovoltaïque, biogaz
avec cogénération).
La production locale d’électricité pourra être consommée au sein même de l’usine de
traitement des eaux ou être revendue pour tout ou partie dans le cadre d’un contrat avec
le gestionnaire de réseau.
Dans le cas d’installations de cogénération (biogaz de digestion de boues) le rendement
global des installations est optimisé par Degrémont en associant à la production
d’électricité, une production de chaleur qui peut être utilisée pour les besoins du procédé
(chauffage des digesteurs) mais aussi pour les besoins en chauffage et eau chaude des
bâtiments d’exploitation voire pour un réseau de chaleur situé à proximité.
ENERGIE EOLIENNE
Dans les installations où le potentiel éolien existe et le prix de l’énergie électrique est
élevé, une installation éolienne peut s’avérer pertinente. En partenariat avec les
différentes filiales du Groupe SUEZ, Degrémont est en mesure de proposer à ses clients
des solutions globales Eau + Energie.
L’exemple de Perth, Australie
100% des besoins en électricité sont couverts par la production d’éoliennes situées à 260
km de la station dans le parc d’Emu Downs (projet coopératif entre Griffin Energy et
Stanwell). Parmi les 48 éoliennes installées dans le parc, 35 sont utilisées pour alimenter
en énergie l’usine de dessalement construite par Degrémont, dont la production d’eau
potable s’élève à 140 000 m3/jour. La production d’électricité par l’énergie du vent sur
cette usine permet d’économiser l’émission de 200 000 tonnes par an de GES.
Les impacts positifs
-100% des besoins en électricité couverts par l’éolien
-Revente d’énergie sur le réseau
-Une économie de 200 000 tonnes de GES par an
-Diminution de la consommation d’énergie fossile
BIOMASSE BIOGAZ
Depuis de nombreuses années, Degrémont préconise la valorisation du biogaz en
combustible. Ce biogaz provient de la transformation, par digestion, des matières
volatiles (MV) des boues issues du traitement biologique des eaux usées.
A partir de ce biogaz on peut produire :
-de la chaleur en brûlant le biogaz dans une chaudière
-de l’électricité et de la chaleur en cogénération
La chaleur peut être utilisée pour maintenir la température des digesteurs, alimenter les
sécheurs en chaleur ou chauffer des locaux.
Impacts positifs :
-Transformation d’un déchet en énergie
-Contribution à la réduction d’émission de GES de la filière transport (volumes de
boues diminués)
-Diminution de la facture d’électricité
-Alimentation d’un réseau de chaleur
-Revente d’électricité au réseau
-Diminution de consommations d’énergie fossile
L’exemple de l’usine de Tripoli, Liban
L’usine de traitement des eaux usées de Tripoli au Liban a une capacité de 997 000 éq.
/hab
Volume des boues digérées : 3 digesteurs de 10 000 m3
Puissance électrique délivrée par la cogénération : 2 440 kWe
BIOMASSE BOUES SECHEES
Les boues séchées constituent un combustible alternatif aux carburants d’origine fossile
(pétrole, gaz, charbon) et leur pouvoir calorifique (PCI) est comparable à celui du bois.
Dans le cadre de la valorisation énergétique de boues, Degrémont propose par exemple
un procédé de gazéification pyrolyse.
De plus, les gaz et fumées produits lors de la gazéification des boues vont céder leur
chaleur et fournir jusqu’à 50% du besoin en énergie thermique pour le séchage des
boues
Impacts positifs :
-Contribution à la réduction d’émission de GES de la filière transport (volumes de
boues diminués)
-Pas d’émission de GES
-Diminution de la facture énergétique
-Diminution de la consommation d’énergie fossile
L’exemple de l’usine de Valenton, France
Capacité de traitement : 4 580 kg/h de boues séchées à 90% soit 110 t MS/ jour en
gazéification
Récupération de chaleur de la gazéification : 7 MWht/h, soit 60 GWht/an (soit 30% des
besoins des sécheurs)
ENERGIE HYDRAULIQUE
Dès que le site s’y prête (couplage débit et dénivelé important), Degrémont intègre le
turbinage des eaux brutes et des eaux traitées pour produire de l’énergie électrique.
Impacts positifs :
-Pas d’émission de GES
-Diminution de la facture d’électricité
-Revente d’électricité au réseau
-Réduction de la consommation d’énergie fossile
L’exemple de l’usine de As Samra, Jordanie
Les dénivellations, entre la ville d’Amman (station de prétraitement d’Ain Ghazal) et la
station d’épuration d’As Samra ainsi qu’entre la sortie du traitement et le rejet dans
l’Oued Duleil étant importantes, l’opportunité de réaliser un turbinage des eaux usées et
des eaux usées épurées a été saisie.
Turbinage eaux usées : Turbines Pelton
Débit : 2,5 m3/s
Hauteur de chute : 79,7 m
Production moyenne annuelle : 12 500 000 kWh
Turbinage eaux usées épurées : Turbines Kaplan
Débit : 4,6 m3/s
Hauteur de chute : 41 m
Production moyenne annuelle : 9 400 000 kWh
POMPES A CHALEUR
Les pompes à chaleur (PAC) permettent d’extraire l’énergie thermique contenue dans
l’air, le sol ou l’eau et de la transférer pour chauffer un bâtiment. Les PAC sont avant tout
des systèmes de chauffage des locaux d’exploitation des usines.
Les stations d’épuration disposent par l’eau traitée d’une source abondante et gratuite
d’eau qui peut parfaitement être utilisée après simple filtration comme source froide
d’une pompe à chaleur eau-eau.
L’eau produite par la pompe à chaleur est à une température de 45°C environ et peut
assurer le chauffage de l’ensemble des locaux d’une station, voire apporter un soutien de
température à une serre de séchage des boues en période hivernale.
Impacts positifs :
-Sécurité et diversification de l’approvisionnement
-Permet la réduction par 4 des émissions de CO2
-Diminution de la consommation d’énergie fossile
L’exemple de l’usine d’épuration des eaux usées de Métabief, France
D’une capacité de 11 000 éq. / hab, cette petite usine équipée de 4 Biofor comprend une
PAC qui permet d’alimenter le local d’exploitation en chauffage.
SOLAIRE PHOTOVOLTAÏQUE
Le solaire photovoltaïque est aujourd’hui une technologie mature. Le principe de
fonctionnement repose sur des cellules en silicium cristallin qui transforment l’énergie
solaire en énergie électrique. Le photovoltaïque peut être installé sur les bâtiments
tertiaires disposant d’une façade ensoleillée. Les modules peuvent s’intégrer
indifféremment sur la toiture, la façade, en verrière ou en brise-soleil.
10m2 => 1 000 kWh/an
Impacts positifs :
-Intégration à la conception de bâtiments à très basse consommation
-Opération valorisable dans le cadre d’une politique Haute Qualité
Environnementale de la collectivité
-Revente d’électricité sur le réseau
-Pas d’émission de GES
-Diminution de la consommation énergétique
SOLAIRE THERMIQUE
Degrémont utilise l’énergie solaire dans la serre Heliantis® pour sécher les boues. Conçu
pour traiter des boues déshydratées (siccité >15%), ce procédé produit un résidu sec
sous forme de granulé de siccité ajustable (de 45 à 80%) facile à manipuler et pouvant
ainsi être valorisé au sein des différentes filières de traitement final.
Impacts positifs :
-Contribution à la réduction d’émission de GES de la filière transport (volumes de
boues diminués)
-Pas d’émission de GES
-Diminution de la facture énergétique
-Diminution de la consommation d’énergie fossile
Pour évaporer 1 tonne d’eau contenue dans les boues il faut :
-1 000 kWht par séchage thermique
-100 kWhe par séchage solaire
L’exemple de Brumath, France
Capacité : 20 000 éq. / hab
Production de 650 t MS/an
2 serres Heliantis® de 100 m de long
Siccité finale : 60%
Destination des boues : valorisation agricole
FAIRTEC
38, AVENUE JEAN JAURES
78440 GARGENVILLE – FRANCE
TEL +33 (0)1 30 98 12 94
FAX +33 (0)1 30 98 12 50
WWW.FAIRTEC.FR
L’ENERGIE VERTE DE FAIRTEC
AU SERVICE DES ENGAGEMENTS DE NOS
PARTENAIRES
LE BIOVALIX : Unité de traitement des lixiviats en cogénération avec la
valorisation du biogaz
Le Biovalix développé par FAIRTEC permet d’optimiser la valorisation du biogaz issu des
Installations de Stockage des Déchets Non Dangereux de manière à produire de
l’électricité et de traiter les lixiviats du site.
Le procédé de traitement des lixiviats est composé d’un traitement biologique qui est
suivi d’une unité d’évaporation sous vide. Nous utilisons ainsi l’énergie de refroidissement
des moteurs de valorisation électrique du biogaz, qui est classiquement dissipée dans
l’atmosphère, pour alimenter l’unité de traitement de lixiviat.
Cette énergie est alors utilisée d’une part, au niveau du traitement biologique pour
maintenir une température de fonctionnement optimum et d’autre part, au niveau de
l’évaporateur pour fournir la quantité de chaleur nécessaire à l’évaporation de l’eau
contenue dans le lixiviat.
Les impacts positifs
- diminution du coût de traitement des lixiviats (jusqu’à 50%)
- suppression du coût de transport pour un traitement hors site, qui permet
d’éviter la consommation de gazole des camions, et le rejet de CO2 dans
l’atmosphère
- sécurité du traitement in situ
- gain économique grâce à la cogénération (0,03€ / kW produit)
Le Biovalix d’Allemant, France
La première mise en œuvre du Biovalix a été effectuée en septembre dernier sur
l’installation de stockage des déchets d’Allemant (site SITA Dectra / Travadec).
Ce site reçoit environ 140 000 tonnes de déchets par an et produit du lixiviat, cet
effluent liquide issu de la percolation de l’eau à travers les déchets. Cette unité, avec
un débit de 2m3 par heure, traitera un total de 16 000 m3 de lixiviats par an.
Le moteur de valorisation
du biogaz
L’évaporateur de lixiviats
QUALICOTE :
®
premier système opérationnel de prévision
de la qualité des eaux de baignade et de
gestion dynamique
SAFEGE, leader français de l’ingénierie de l’Eau et de l’Environnement et ACTIMAR,
référence dans le domaine de l’océanographie opérationnelle, unissent leurs savoirfaire pour proposer une solution innovante et performante d’aide à la décision pour
la gestion opérationnelle des zones côtières.
C
n 07 6
onstruite autour du modèle mathématique
SEAMER_3D, aujourd’hui sans égal en temps de
calcul, la solution QUALICOTE® intègre l’ensemble des éléments nécessaires à l’anticipation de la
qualité des eaux littorales. Cette solution s’appuie ainsi
sur les derniers travaux scientifiques dans le domaine, et
l’expérience acquise par chacun des partenaires depuis de
nombreuses années.
Permettant d’anticiper les ouvertures et fermetures de plage
avec un très bon degré de confiance et d’optimiser l’action
des gestionnaires pour limiter les risques de pollution,
QUALICOTE® permet aux collectivités de se conformer
aux dispositions de la nouvelle directive européenne sur la
gestion des eaux de baignade (Dir. 2006/7/EC).
Mer & Littor al
16
à quoi ça sert ?
QUALICOTE® est un outil de prévision, de gestion, de
communication, qui diffuse pour une plage ou une portion
de littoral, une information complète et précise sur l’évolution des conditions maritimes (vagues, marées, courants)
et de la qualité des eaux de baignade, et cela jusqu’à 48
heures. Le système offre aux collectivités la possibilité de
s’assurer préventivement de la bonne qualité de leurs eaux
de baignade et de diffuser des informations d’une richesse
inégalée à la population et aux professionnels de la mer.
un outil pour tous, des interfaces sur mesure
QUALICOTE® produit notamment des cartes dynamiques
des courants et de la qualité des eaux, des cartes synthé-
Interface de consultation des prévisions sur internet.
tiques du risque de pollution, ainsi que l’évolution sur
chacune des plages des conditions météorologiques, océaniques et des teneurs en germes.
Au moyen d’interfaces web conviviales et aisément configurables, le système QUALICOTE® s’adapte aux besoins
des utilisateurs, qu’ils soient institutionnels, professionnels,
ou grand public : gestion des ouvertures et fermetures de
plages, exploitation et gestion dynamique des réseaux, des
cours d’eau, surveillance maritime, conchyliculture, pêche
côtière, navigation, sports nautiques, …
Les prévisions de QUALICOTE® effectuées en temps réel,
sans intervention de l’utilisateur, sont consultables par
internet, par téléphone, à terre ou en mer, ...
Crédit photo : F. JAVEL
Publirédactionnel
Gestion
Environnemental
Par sa capacité de simulation en temps réel, le système
QUALICOTE® s’adresse également aux exploitants à
des fins de gestion des systèmes de régulation des flux
polluants (réseaux, bassins, stations) et d’optimisation
des moyens déployés pour gérer les épisodes de crise.
n Pour en savoir plus, vous pouvez contacter :
Pour SAFEGE : Sandra Andreu
Siège social - Parc de l’Ile - 15/27 rue du Port
92022 Nanterre Cedex
Tél. : 01 46 14 72 03
E-mail : [email protected]
Site : www.safege.fr
Pour ACTIMAR : Vincent Mariette
36 quai de la Douane - 29200 Brest
Tél. : 02 98 44 24 51
E-mail : [email protected]
Site : www.actimar.fr
n 07 6
Qui le met en oeuvre ?
Le paramétrage de QUALICOTE® est assuré par les
équipes expérimentées :
l de SAFEGE et son Centre International de Recherche
Appliquée à l’Hydroinformatique. Les experts de
SAFEGE sont intervenus sur la modélisation et la
gestion dynamique de nombreux réseaux d’assainissement, tels que ceux des villes de Bordeaux, Boulogne
Billancourt, Nice, Paris, sur la modélisation des flux
polluants tels que ceux observés en Seine, sur les modé-
lisations maritimes de près de la moitié du littoral
français pour le compte de collectivités, Conseils
Généraux, Agences de l’Eau.
l d’ACTIMAR, spécialisée en matière d’océanographie
opérationnelle. ACTIMAR, dont les effectifs sont pour
l’essentiel issus du monde de la recherche, travaille
sur de nombreuses applications de l’océanographie
opérationnelle, telles que la fourniture d’états de mer
pour la Marine Nationale, les compagnies pétrolières,
les compagnies de transport maritime.
17
Schéma du principe de fonctionnement de Qualicote
Mer & Littor al
Comment ça marche ?
Le point fort du système QUALICOTE® est de parvenir
en temps réel à coupler de multiples modèles mathématiques performants : prévision météorologique, hydrologie et hydraulique de cours d’eau, bassins versants,
réseaux et stations de traitement, prévision d’état de
mer, courantologie et dispersion marine. Ce système
peut en outre assimiler des données de mesure rapatriées en temps réel, comme des données radar ou des
mesures de qualité. Ce système est décliné en version
maritime alimentée par des données terrestres externes
ou en version intégrée, terrestre et maritime.
LYONNAISE DES EAUX
Direction de la Communication
Sophie Le Scaon, attachée de presse
11, place Edouard VII
75316 PARIS
TEL : 01 58 18 41 99
GSM : 06 4563 95 09
FAX : 01 58 18 42 29
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SIRENE®, DES STATIONS DE MESURE ET D’ALERTE POUR AMELIORER
LA QUALITE DE L’EAU ET PROTEGER LA BIODIVERSITE
Afin d’aider les collectivités à mieux comprendre et surveiller leurs rivières ou
leurs plans d’eau, Lyonnaise des Eaux leur propose d’installer différents appareils
de mesures de la qualité du milieu.
En effet, l’eau est un milieu vivant. Comme tout organisme, il a des défaillances,
avec parfois des baisses de régime. Un plan d’eau peut être pollué par des pluies
d’orage qui lessivent les sols (pollutions par des hydrocarbures, des produits
phytosanitaires, une contamination fécale…) ou voir son degré de salinité
augmenter par des apports d’eau de mer. Pour le comprendre et le soigner, il
convient de le brancher à des appareils de monitoring.
Ces appareils sont des stations de mesure et d’alerte, fixes ou mobiles, intitulées
SIRENE®. Accompagnés de courantomètres, ils analysent différents paramètres
: l’oxygène dissous, la turbidité, la salinité, etc. Les informations sont rapatriées
24h sur 24, en GSM ou en mode radio vers un ordinateur central.
Grâce à ces données, il est possible d’effectuer
différentes actions :
• construire
des
modélisations
du
fonctionnement de la rivière et du plan
d’eau afin de mieux comprendre à terme
l’ensemble du système.
• veiller au bon fonctionnement de
l’écosystème
en
repérant
les
dysfonctionnements afin de les résoudre
rapidement.
• alerter en cas de pollution et donc pouvoir
renseigner le plus rapidement possible les
utilisateurs de la rivière ou du plan d’eau
(pêcheurs,
conchyliculteurs,
sportifs,
baigneurs, industriels…).
Installées sur des bouées, les SIRENE® peuvent être
déplacées afin de mieux identifier les origines des pollutions.
La gestion active des milieux aquatiques aide les collectivités à appliquer la
directive sur l’eau qui fixe d’ici 2015 le retour au bon état écologique des
masses d’eau. Les suivis de mesures permettent d’orienter les politiques
publiques d’investissement, de justifier les dépenses et de mesurer le gain
environnemental des investissements.
Thau-Agglomération s’est dotée de la gestion active des milieux aquatiques et
les premiers résultats sont attendus pour février 2009. D’autres collectivités sont
en phase de tests.
LA REVEGETALISATION DES DOMAINES SKIABLES PAR TERRALYS
TERRALYS réalise des opérations de revégétalisation afin de préserver la montagne,
milieu naturel sensible, et refaçonner son paysage. C’est le cas notamment pour les
domaines skiables.
En montagne, l’urbanisation des domaines skiables peut entraîner une érosion des sols,
des modifications de la biodiversité et un déséquilibre des écosystèmes
L’Alpe d’Huez : revégétaliser pour mieux skier
Terralys, en partenariat avec Millet, a terminé la revégétalisation du domaine skiable de
l’Alpe d’Huez. 2500 tonnes de composts issus de la collecte des déchets verts ont été
utilisées pour recouvrir une partie du domaine.
Grâce à cette technique, la station de ski a constaté que les zones revégétalisées ne
nécessité plus l’utilisation de neige artificielle très consommatrice d’eau et d’électricité.
Par ailleurs, les déchets verts à l’origine de la fabrication du compost proviennent de la
collecte et du ramassage sélectif de la communauté de communes, ainsi que des apports
volontaires. Le compost est issu d’un processus de décomposition et de transformation
des déchets organiques biodégradables, d'origine végétale.
TERRALYS, s’est également chargé des pistes de ski olympiques à Turin en 2006 et a pris
en charge la revegétalisation des espaces verts et du domaine skiable de TIGNES avant
l’arrivée du tour de France en 2007
Les impact positifs
- Des économies d’eau et de CO2 :
La revégétalisation diminue l’utilisation des canons à neige, très consommatrice
- La préservation des ressources naturelles à travers :
La prévention l’érosion des sols
La protection du semis le semis
La croissance des plantes en favorisant l’humidité des sols
SUEZ ENVIRONNEMENT
1 RUE D’ASTORG
75008 PARIS, FRANCE
TEL +33 (0)1 58 18 50 56
FAX +33 (0)1 58 18 51 68
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L’épandage : un champ de valorisation
TERRALYS a adopté le DGPS, un GPS ultra précis pour améliorer la qualité des opérations
d’épandage. Le DGPS (Global Positioning System différentiel) est un système constitué
par un réseau de 24 satellites en rotation autour de la terre qui permet aux utilisateurs
de récepteurs d’obtenir leurs coordonnées (latitude et longitude) quel que soit le lieu où
ils se trouvent sur terre ou sur mer. La précision est aujourd’hui de l’ordre de 5 m. Le
DGPS permet d’intégrer les contours de champs, arpentés au préalable, et de visualiser
les passages d’épandage dans la parcelle.
Il permet d’obtenir une meilleure précision que le GPS classique. Un ordinateur embarqué
sur l’épandeur assure la traçabilité et enregistre en continu les épandages réalisés sur un
support informatique.
Ce système garantit un épandage dans le respect des programmes prévisionnels au
millimètre assurant ainsi une préservation totale des ressources en eau situées sous ces
parcelles.
TERRALYS en combinant avec des matériels d’épandage la technologie DGPS, améliore
la sécurité et la traçabilité de la filière de recyclage agricole et réduit le risque de
débordement sur les zones dites sensibles.
Une gestion environnementale des boues produites par Haagen Daazs
Dans le Nord de la France, 2 300 m3 de boues issues des stations d’épuration gérées par
la société Haagen Daazs on été épandue en utilisant la technologie DGPS dans le Nord de
La France.
A l’écran, la position de l’antenne est représentée par un tracteur qui se déplace dans la
parcelle. La zone épandue est représentée par une coloration verte qui s’affiche derrière
le tracteur.
LES IMPACT POSITIFS
- Protection des ressources en eau sur les zones sensibles grâce à un dosage optimal sur
les parcelles agricoles.
- Un bilan carbone nulle grâce à la réutilisation des boues en lieu et place de fertilisants
chimiques et d’eau pour l’irrigation.
- Des émissions de CO2 évitées : des économies importante de gasoil grâce à une
optimisation des trajets des épandeurs.
- Une circulation en toute sécurité même dans des conditions de brume et de visibilité
réduite.
SITA SUD
EUROPARC DE PICHAURY
1330 RUE GUILLIBERT DE LA LAUZIERE
13856 AIX EN PROVENCE – FRANCE
TEL +33 (0)4 42 99 12 74
FAX +33 (0)4 42 99 12 98
WWW.SITASUD.FR
RECYDRIVE®, UN NOUVEAU CONCEPT DE DECHETERIES,
CAPABLE DE REPONDRE AUX NOUVELLES EXIGENCES REGLEMENTAIRES.
Dans le cadre de la mise en place de la tarification incitative de la loi Grenelle 1, les
tonnages déposés en déchèterie devraient augmenter de 50 %. Et, pour répondre aux
objectifs de recyclage, les flux accueillis devraient être déclinés en 25 catégories. Les
déchèteries actuelles étant saturées et en mesure de distinguer seulement 5 ou 6 flux de
déchets. RecyDrive® est un modèle de déchèterie, nouvelle génération, capable de
répondre aux nouveaux objectifs en terme de recyclage.
Les RecyDrives® seront capables d’accueillir et de trier jusqu’à 25 types de déchets
différents, grâce à une configuration nouvelle de la circulation des véhicules et une
gestion spécifique de l’accueil des visiteurs et de leurs déchets.
Un sens de circulation unique pour les véhicules et un seul poste arrêt par véhicule
fluidifiera et sécurisera la circulation à l’intérieur de la déchèterie. Un agent, formé au tri,
accueillera chaque véhicule, l’aidera à décharger les déchets sur un chariot puis les triera
afin de permettre une meilleure valorisation. Les déchets, en dehors des déchets verts et
des gravats, seront stockés dans un bâtiment fermé et sécurisé.
Une recyclerie permettra également de réparer et de vendre certains déchets, vélos,
meubles… pour leur offrir une seconde vie.
Les impacts positifs :
- Facilite le tri pour les habitants et les sensibilise aux écogestes et aux
différentes filières de déchets existantes
- Sécurise le tri notamment pour les déchets les plus encombrants
- Assure un tri efficace et plus de valorisation des déchets
SITA SUD
EUROPARC DE PICHAURY
1330 RUE GUILLIBERT DE LA LAUZIERE
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SITA CRÉE LE 1ER SITE DEDIE A LA COLLECTE DES DECHETS EN TEMPS REEL
SITA développe en 2007 un site dédié à l’information sur la collecte des déchets en
temps réel pour la Communauté d’Agglomération de Valenciennes Métropole :
www.dechetsenligne.fr. pour accompagner son partenaire dans sa démarche
d’information et de lien avec les usagers. Un an après sa mise en ligne, le site est nominé
aux Prix de l'Innovation du Salon des Maires et des Collectivités Locales 2008 dans la
catégorie «Institutionnel, Finances, Services aux collectivités ».
Un service de proximité et d’échanges avec les usagers, accessible 24h/24
Ce nouveau service d’information en ligne permet aux 194 000 habitants concernés de
tout savoir sur la collecte de leurs déchets dans leurs communes : jours et horaires de
passage selon les types de déchets…
Des « Flashs infos » diffusent en temps réel les informations essentielles sur le
déroulement des collectes en cours : retard, report de collecte pour cause de travaux…
Pour toute perturbation entraînant un décalage des collectes de plus de 2 heures, SITA
s’engage a édité un « Flash infos ». En cas d’interrogation particulière, les riverains
peuvent contacter Netrel Collectivités, filiale de SITA Nord en charge de la gestion des
déchets de Valenciennes Métropole, depuis www.dechetsenligne.fr ou au 03 27 30 50 60.
Un guide pour renforcer les réflexes éco-citoyens
Que faut-il recycler ? Comment le recycler ? Pourquoi faut-il séparer les capuchons en
métal ou les bouchons en liège du verre ? Quels sont les idées préconçues et les pièges à
éviter ? Existe-t-il des solutions pour les artisans et commerçants ?… sont autant de
questions auxquelles www.déchetsenligne.fr répond. Pédagogique, l’outil est également
évolutif afin de relayer les nouveautés ou développer des conseils spécifiques pour les
commerçants, et répondre aux besoins de toute nouvelle collectivité-partenaire.
www.déchetsenligne.fr bénéficie d’un bon taux de notoriété
Un an après sa mise en service, une étude menée auprès des habitants de Valenciennes
Métropole
démontre
que
16%*
des
personnes
interrogées
connaissent
www.déchetsenligne.fr. Les Internautes ayant consulté les différentes rubriques
perçoivent le site : régulièrement actualisé pour 96%, utile pour 95%, complet pour 94%
et pratique pour 86%. Ils estiment également que le site permet de bien comprendre les
bons gestes de tri (87% d’entre eux) et qu’il « donne envie » de trier ses déchets (88%).
(*) : Sondage CSA – Etude n°0800596 – juin 2008
Les impacts positifs :
- Création d’un lien interactif entre les usagers et la Communauté de
commune de Valenciennes sur la problématique des déchets
- Amélioration de la qualité du tri pour une meilleure valorisation des
déchets ménagers
WWW.DECHÉTSENLIGNE.FR
NOMINE AUX PRIX DE L’INNOVATION
DU SALON DES MAIRES ET DES COLLECTIVITES LOCALES 2008
1/2
SITA SUD
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NOËL 08 : UNE COLLECTE HIPPOMOBILE POUR LES SAPINS DE NOËL EN JANVIER 09
Dans le cadre de son partenariat avec les Haras Nationaux, SITA France propose aux
collectivités une collecte spécifique : un ramassage des sapins de Noël avec une voiture à
cheval.
Inspirée par le test de la collecte hippomobile mis en place à Beauvais, SITA et les Haras
Nationaux conçoivent et dimensionnent cette collecte exceptionnelle et emblématique et
décident de la décliner à l’échelle nationale.
SITA met à disposition des collectivités, une collecte hippomobile dédiée aux sapins de
Noël. Une voiture de collecte, tirée par un ou deux chevaux, dirigée par un meneur
sillonnera les rues et ramassera les sapins de Noël déposés sur les trottoirs par les
habitants.
Cette collecte aura lieu une journée durant la deuxième quinzaine du mois de janvier. Les
sapins collectés seront emmenés sur la plate-forme de compostage la plus proche, pour y
être broyés et compostés.
SUR LE MODELE DE
LA COLLECTE HIPPOMOBILE DES DECHETS MENAGERS DE BEAUVAIS
Du 25 août au 30 septembre SITA a mis en place un pilote avec la ville et la
Communauté d’Agglomération de Beauvais (CAB) dont l’objet était de valider les
dimensionnements et les cahiers des charges de la collecte hippomobile des déchets
ménagers mis au point par SITA France et les Haras Nationaux :
Collecte du verre deux fois par semaine en porte à porte, dans des caissettes, auprès des
ménages du centre ville de Beauvais
Mardi : 10 km de collecte / 1 tonne de verre collecté (6,2km de trajet)
Mercredi : 12, 8 km de collecte / 1 tonne de verre collecté (5, 5 km de trajet)
Conformément au cahier des charges établi par SITA France et les Haras Nationaux :
le cheval et son meneur sont fournis par l’association Equiterra.
l’agent de collecte est un salarié de SITA.
Le véhicule testé est un modèle «Hippoville» d’Equiterra.
Le logement cheval se fait au centre équestre de Beauvais, à 1, 5 km du site SITA.
Le meneur conduit le cheval sur le site SITA, (la pente entre les 2 sites étant trop
forte pour que le véhicule puisse être attelé au centre équestre) et prépare l’attelage
pour démarrer la collecte. La collecte terminée, le déchargement est fait sur le site
SITA dans une benne à partir d’un quai de déchargement aménagé spécialement.
La benne est déchargée via un camion sur le centre de tri (toutes les semaines).
La collecte terminée, la voiture laissée sur le site SITA, le cheval retourne au centre
équestre avec son meneur. Le cheval est pansé, nettoyé et nourri par le meneur
L’objectif du pilote était de recueillir des données statistiques opérationnelles, des ratios
de productivités sur le territoire de la CAB, afin de préciser et valider les éléments établis
dans le cadre du partenariat SITA/Haras Nationaux.
Suivi détaillé de la collecte par GPS : point de collecte, distance, temps…)
Distribution d’un questionnaire de satisfaction auprès des habitants de Beauvais
durant le test
LYONNAISE DES EAUX
Direction de la Communication
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L’UNITE MOBILE DE TRAITEMENT DES ODEURS ET DES GAZ DES CANALISATIONS
Le curage des grosses canalisations d’évacuation des eaux usées (dits
émissaires) génère des nuisances olfactives. Afin de régler pour les riverains
cette gêne olfactive, Lyonnaise des Eaux a mis au point une unité mobile de
purification de l’air.
Dans les canalisations d’assainissement, des quantités de gaz s’accumulent au fil
des mois. Ils sont liés à la fermentation et à la dégradation des boues dans les
canalisations. Lors des opérations de curage, les engins de curage libèrent ces
gaz qui remontent en surface par les puits d’aération et peuvent provoquer des
nuisances olfactives pour les riverains. Ces gaz peuvent être également
dangereux pour les techniciens qui opèrent dans les réseaux.
Lyonnaise des Eaux a donc mis au
point
une
unité
mobile
de
purification de l’air issu des
canalisations.
En
surface,
à
l’entrée d’un puits d’aération, une
ventilation aspire l’air et l’envoie
vers une unité de désodorisation.
Le traitement de l’air s’effectue
alors par voie physico-chimique
en trois étapes : étage de lavage
alcalin ; étage de lavage oxydant
et élimination des composés
odorants grâce à du charbon actif
en grains.
L’unité se présente sous forme de skid modulaire, installé en une journée,
raccordement inclus. L’unité permet de garantir une concentration moyenne de
gaz inférieure aux valeurs moyennes d’exposition définies.
Le
Siaap
(Syndicat
interdépartemental
pour
l’assainissement de l’agglomération parisienne) utilise
pour la première fois cette unité sur un de ses
émissaires de 4,5 m de diamètre et d’une longueur
de 2,5 km, à Colombes (Hauts-de-Seine). Six milles
mètres cubes de boues seront ainsi évacués sans
nuisances pour l’environnement et la santé.
L’unité de désodorisation traite les nuisances olfactives liées aux
opérations de curage des canalisations
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PREVOIR®, UN OUTIL DE PREVISION STATISTIQUE POUR PLANIFIER
LE RENOUVELLEMENT DES CANALISATIONS D’EAU POTABLE
La durée de vie des réseaux de distribution d’eau varie en fonction de différents
facteurs : matériaux utilisés, trafic routier, nature du sous-sol… Une casse sur le
réseau oblige à couper l’eau à de nombreux habitants d’une commune et
entraîne divers dégâts comme la dégradation de la voirie. Eviter la casse en
anticipant le renouvellement des canalisations augmenterait le coût du service. Il
est donc nécessaire de planifier le renouvellement des canalisations. Lyonnaise
des Eaux propose PREVOIR® (Plan de renouvellement et de valorisation
optimisée des réseaux) qui permet à la collectivité de se fixer un objectif de
qualité de service (par exemple un indice linéaire de fuites sur canalisation) et
d’envisager les investissements nécessaires pour atteindre cet objectif.
PREVOIR®
avantages :
présente
plusieurs
• investir au bon endroit, au bon
moment
• mieux planifier les investissements
• garantir la qualité du patrimoine
• synchroniser les interventions sur les
canalisations et les travaux de voirie
La méthode PREVOIR® s’appuie sur un outil
de
prévision
des
défaillances
des
canalisations fondé sur l’utilisation de
modèles statistiques de vieillissement et de
gravité (modèles utilisés dans les domaines
de l'assurance, de l'épidémiologie et de la
fiabilité
industrielle).
A
partir
d’une
photographie du réseau à un instant donné
et du nombre de casses de canalisations
dans le passé, PREVOIR® évalue les
renouvellements.
Le
programme
de
renouvellement ainsi établi est affiné par la prise en compte d’une connaissance
locale du réseau qui n’est pas toujours modélisable.
L’intégration de cet outil de prévision dans le système d’information
géographique APIC permet à Lyonnaise des Eaux de visualiser les prévisions
directement sur une carte du réseau.
Bordeaux, Créteil ou encore les communes de la presqu’île de
Gennevilliers utilisent PREVOIR®. A Bordeaux (3 000 km de réseau), PREVOIR
a permis de contenir l’indice linéaire de casse entre 0,12 et 0,18 par km/an.
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ODOUCE®, UNE OFFRE DE DECARBONATATION POUR FOURNIR UNE EAU PLUS
AGREABLE A BOIRE ET PRESERVER LES RESEAUX DE DISTRIBUTION D’EAU
Le calcaire dans l’eau du robinet provoque l’encrassement des appareils
ménagers. Une résistance recouverte de 3 mm d’épaisseur de tartre, entraîne
une augmentation de la consommation électrique de 1 900 kWh/an, soit 70
euros. Le tartre réduit également la durée de vie des appareils électroménagers
de 25 à 30 %. Pour pallier ce désagrément, les ménages ont recours à des
solutions individuelles souvent onéreuses : l’utilisation de produits anticalcaire
coûte entre 45 et 50 euros par an pour un foyer de 4 personnes. L’usage d’un
adoucisseur d’eau entre 250 et 300 euros par an.
Lyonnaise des Eaux propose donc aux communes d’installer une solution
collective moins onéreuse : ODOUCE®, une unité de traitement du calcaire dans
l’usine de production d’eau potable. Cette solution permet également de réduire
la consommation des détergents et des produits anticalcaire à base de
phosphates et évite un renouvellement prématuré des canalisations.
La décarbonatation électrique est adaptée aux usines
de production d’eau dont le débit est inférieur à 300 m3/h.
Comment se déroule la décarbonatation ?
Pour choisir la technique la mieux adaptée au contexte, un diagnostic technique
préalable est nécessaire. Il prend en compte différents éléments : les enquêtes
de satisfaction clients, la qualité de l’eau à traiter et les objectifs de réduction de
dureté à atteindre, les volumes d’eau à traiter, les contraintes du site,
l’historique des incidents du réseau de distribution. Lyonnaise des Eaux procède
également à des tests de mesure du pouvoir entartrant des eaux brutes.
Quatre solutions pour réduire le calcaire
A partir du diagnostic, les collectivités ont le choix entre quatre solutions :
• la décarbonatation en décanteur à recirculation de boues consiste à
précipiter le calcaire à l’aide d’un réactif pour le faire ensuite décanter.
•
•
•
la décarbonatation catalytique en réacteur fluidisé permet la précipitation
du carbonate de calcium par l’ajout d’un réactif (chaux ou soude) qui
cristallise sous forme de billes autour de germes de silice introduits dans le
réacteur.
la décarbonatation électrique consiste à précipiter le carbonate de calcium
par électrolyse de l’eau.
la décarbonatation par résines échangeuses d’ions consiste à échanger des
ions de calcium avec des ions d’hydrogène qui vont se combiner avec les
anions de l’eau.
La commune de Yutz (Moselle) présente une eau très calcaire (entre 40 et 45
°f). Face aux réclamations des habitants elle a mis en service, en 2005, une
unité de décarbonatation en décanteur à recirculation de boues pour un surcoût
de 2 euros par mois et par ménage.
La commune de Saint-Just (Hérault) a opté, en 2001, pour une
décarbonatation électrique et la dureté de l’eau est passée de 40 à 30 °f. Les
habitants se sont débarrassés de leur adoucisseur d’eau.
Lors de l’électrolyse, le carbonate de calcium se fixe sur
les électrodes.
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AVIZ’EAU®, UNE OFFRE DE SERVICE POUR SUIVRE LES CONSOMMATIONS D’EAU
EN TEMPS REEL ET A DISTANCE, ET LIMITER AINSI LES FUITES
Lyonnaise des Eaux déploie un système innovant de gestion en temps réel des
consommations par télérelève : AVIZ’EAU®. A la différence du système actuel de
relève annuelle, la télérelève permet de faire remonter, automatiquement et en
temps réel, les index de consommation des compteurs d’eau.
AVIZ’EAU® présente de nombreux avantages :
Pour les usagers :
• Un
suivi
quotidien
des
consommations qui permet d’obtenir
des alertes rapides en cas de fuite.
• Une gestion facilitée des arrêts et des
transferts de comptes.
• Une
alerte
fuite
en
cas
de
surconsommation.
• La suppression des rendez-vous avec
les releveurs.
Lyonnaise des Eaux a équipé les 28 compteurs de la
rive gauche de Paris de la télérelève. L’information
est relayée jusqu’au central informatique par 219
antennes placées sur les toits.
•
•
•
•
•
Pour les collectivités ou les bailleurs :
• Un comptage individuel dans l’habitat
collectif.
• Un calcul fréquent du rendement de
réseau pour mieux cibler les actions de lutte contre le gaspillage d’eau.
Une sécurité face aux risques de retour d’eau dans le réseau.
Une gestion simplifiée et à la carte des parcs de compteurs professionnels
et en habitat collectif.
Des tarifications également adaptées aux collectivités touristiques.
La suppression des réclamations dues aux estimations.
La maîtrise des consommations entre les compteurs généraux et les
compteurs divisionnaires
Ce système innovant envoie par voie hertzienne le relevé de compteur vers un
système informatique central. A terme, il pourra être utilisé pour mesurer
également des consommations d’énergie.
A Villeneuve Loubet (Alpes-Maritimes), la copropriété des Hauts de Vaugrenier
a équipé ses 2 000 logements de compteurs équipés de la télérelève. Il n’y a
plus de gaspillage d’eau grâce à la détection des fuites et les charges d’eau sont
équitablement réparties. Le Syndicat Intercommunal des Eaux de
Communay et région (8 communes, Rhône) fait installer 8 000 compteurs.
L’OPHLM de Suresnes (Hauts-de-Seine) contrôle les consommations de ses
immeubles et surveille les débits de fuite éventuels. Les communes de
GrandMaison et Saint Vit (Doubs) ont également opté pour ces nouveaux
services.
Lyonnaise des Eaux a équipée les 28 000 compteurs de la rive gauche de Paris
avec de la télérelève. La ville de Paris est ainsi la première capitale équipée de ce
système. Un poste émetteur, installé en pied d’immeuble envoie l’information
vers 219 récepteurs placés sur les toits qui la relient jusqu’au système
informatique central. Les informations obtenues servent à établir la nouvelle
facture avec un historique des consommations sur trois ans.
Grâce à la télérelève, les consommateurs pourront bénéficier d’un relevé précis de leur
consommation.
LYONNAISE DES EAUX
Direction de la Communication
Sophie Le Scaon, attachée de presse
11, place Edouard VII
75316 PARIS
TEL : 01 58 18 41 99
GSM : 06 45 63 95 09
FAX : 01 58 18 42 29
WWW.LYONNAISE-DES-EAUX.FR
AVERTIR, UN DISPOSITIF DE DETECTION ACOUSTIQUE DES FUITES
ET D’ENVOI DES INFORMATIONS PAR GSM
Les fuites d’eau dans les réseaux de distribution d’eau représentent en moyenne
une perte de 20 % de l’eau produite. Lyonnaise des Eaux propose donc aux
collectivités un dispositif rapide et permanent de détection des fuites :
AVERTIR. AVERTIR est particulièrement adapté à la détection des fuites sur
l’écheveau de canalisations que constituent les réseaux des zones urbaines.
Des capteurs de détection acoustique équipés d’émetteurs GSM sont installés en
poste fixe sur le réseau de distribution d’eau de la ville. Le bruit provoqué par
une fuite située dans un rayon de 200 mètres est enregistré par les capteurs et
transmis en temps réel, par les émetteurs GSM, vers un logiciel d’analyse des
données.
Lyonnaise des Eaux a proposé à la ville de Dijon d’utiliser cette surveillance du
réseau de distribution d’eau. Deux cents capteurs acoustiques ont été placés sur
le réseau de distribution d’eau. En 2007, les économies d’eau déjà réalisées
sur le réseau de Dijon s’élevaient à 1,3 million de mètres cube. Les fuites,
invisibles, ont été repérées facilement et l’intervention pour les éliminer plus
rapide. AVERTIR est également déployé aujourd’hui à Auxerre (Yonne),
Chaumont (Haute-Marne), Chalon-sur-Saône (Saône et Loire), Laon (Aisne),
Maromme (Seine-Maritime).
Le capteur est introduit par la bouche à clé
Les autres méthodes de Lyonnaise des Eaux pour repérer les fuites
La technique du gaz traceur pour repérer les fuites des canalisations sans point
d’accès
Si les techniques de détection acoustique sont les plus répandues, elles ne
peuvent pas toujours être utilisées en raison de la nature du sol, du type de
canalisations et de la faible pression d’eau qui peuvent perturber la propagation
du bruit. La technique du gaz traceur pallie ces inconvénients. Elle consiste à
injecter un gaz inerte (sans danger) dans le réseau d’eau sous pression. Le gaz,
qui s’échappe à l’endroit de la fuite, est détecté à l’aide d’un spectromètre
analysant l’air du sol aspiré par une pompe à vide placée à la surface du sol.
Cette technique a été utilisée à Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence) sur
un réseau de 7 kilomètres de longueur ainsi qu’à Valréas (Vaucluse) et à Semuren-Auxois (Côte-d’Or).
SOUND PRINT SMARTBALL, un système de détection des fuites pour des réseaux
de grande longueur.
Lyonnaise des Eaux, en partenariat avec la société ADVITAM, spécialisée dans
l’inspection et la surveillance d’ouvrages civils, utilise la SMARTBALL. Elle permet
de localiser très précisément les fuites et de les quantifier. Cette nouvelle
technique de détection des fuites est particulièrement adaptée aux réseaux
urbains d’un diamètre supérieur à 800 millimètres. Un capteur acoustique, placé
au centre d’une balle en mousse est introduit dans la canalisation qui peut rester
en service. Transportée par l’eau, la balle enregistre l’ensemble des informations
relatives aux fuites. Grâce à sa forme ronde et à sa petite taille (65 millimètres
de diamètre), elle circule partout, y compris dans les vannes, et inspecte ainsi de
grands linéaires de conduites. À l’issue de l’inspection, les services de Lyonnaise
des Eaux récupèrent la balle et son capteur et peuvent analyser immédiatement
toutes les données enregistrées.
Des procédés qui étoffent l’offre de Lyonnaise des Eaux dans le domaine
de la recherche de fuites
Ces procédés innovants complètent l’ensemble des techniques utilisées par
Lyonnaise des Eaux pour traquer les fuites sur les réseaux comme l’auscultation,
la corrélation acoustique et la détection infrarouge.