fabricant et res d`instruments d mécanique métier

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fabricant et res d`instruments d mécanique métier
FABRIC ANT ET RESTAURATEUR
FABRIC ANT ET RESTAURATEUR
D’INSTRUMENTS DE MUSIQUE
D’INSTRUMENTS DE MUSIQUE
MÉC ANIQUE
MÉC ANIQUE
FABRIC AN T ET RESTA URAT
UR AT EUR
D’INST RUMEN TS DE MUSIQUE
MUS IQUE
MÉC
C ANIQUE
MÉTIER
Le métier de facteur restaurateur d’instruments de musique mécanique ne peut
être défini comme un seul métier ; il faudrait envisager plusieurs définitions pour
couvrir cette activité. Toutefois, son activité principale est celle de facteur
restaurateur en orgues à mécanique.
Le métier dee facteur et restaurateur d’orgues à mécanique peut être considéré
comme une spécialisation qui découle du métier de facteur d’orgues : il nécessite
la même formation initiale.
L’orgue « à mécanique » se définit comme l’instrument, en tout point, semblable
semblabl
à celui des églises ; pour la description des composantes de l’orgue à mécanique,
on peut se reporter à la fiche « Facteur et restaurateur d’orgues» et ramener les
proportions à celles des orgues conçus pour être transportables (et parfois,
simplifiées au
u point de devenir des portables). Mais le travail d’atelier sur
l’instrument est le même.
La différence vient du fait que le facteur d’orgue à mécanique doit fabriquer aussi
«l’organiste», l’automate lisant un programme musical pré établi. Il remplace le
clavier permettant de jouer la musique. Ce programme se présente soit sous la
forme d’un cylindre, soit d’une bande perforée (en carton, métal, ou papier) soit
d’un support mémoire informatique.
En effet, à la place de la console contenant les claviers, il
il existe différents
systèmes automates de lecture des programmes musicaux : la lecture des cylindres
d’orgue, la lecture des cartons ou papiers perforés et enfin la lecture informatique.
Le système à cylindre : un portant (appelé clavier) surplombe le cylindre
cylindre ; il est
muni de bascules à griffes lisant les picots et les ponts indiquant les notes sur le
cylindre ; ce qui a pour effet d’appuyer sur un pilote (longue tige) plongeant dans
le sommier jusqu’à la soupape qui s’ouvre sous son action et laisse passer
passe le vent
jusqu’aux tuyaux correspondant aux notes dans l’orgue.
Le système de lecture des supports perforés est :
- soit un système mécanique : un clavier de touches en métal fines et
serrées, à l’intérieur d’une boîte, lit les perforations du support carton et
ouvre des soupapes pour commander au vent de faire parler le ou les
tuyaux correspondant à la note. La touche peut aussi commander un
registre, une percussion, ou une figure animée.
- soit un système pneumatique : un lecteur lisse, couramment appelé flûte
de pan, lit les perforations d’un support en papier ou carton fin ouvrant
par dépression une soupape qui envoie le vent pour faire parler le ou les
tuyau correspondant à la note dans l’orgue. Ce système peut être très
simple et dans ce cas adapté aux orgues portatives n’ayant qu’un jeu de
tuyaux soit beaucoup plus sophistiqué, à double dépression et commander
de grandes
andes orgues de concert.
- soit un système informatique souvent superposé au lecteur traditionnel :
le support mémoire (carte à puce ou carte mémoire des ordinateurs de
poche) est lu par le lecteur approprié. Ainsi les électro-aimants
électro aimants reçoivent
l’impulsion et l’envoient à la soupape qui libère le vent vers le ou les
tuyaux d’orgue correspondant. Il devient facile de commander également
des registres ou autres fonctions.
Parallèlement à la fabrication de l’automate organiste, il faut aussi apprendre à
maîtriser
ser la programmation musicale de l’instrument ; une formation en
arrangement et en informatique musicale est utile, même si le facteur travaille en
étroite collaboration avec des musiciens arrangeurs.
En effet, chaque instrument est fait pour un certain répertoire
répertoire et possède son
univers sonore. Il va de soi qu’un orgue de manège n’est pas fait pour interpréter
«Le temps des cerises» ou, plus pointu, l’air entraînant de «Jolie Môme» va devoir
être arrangé différemment suivant qu’il est interprété pour l’orgue
l’orgue de rue en
accompagnement du chant ou par l’orgue de manège.
En amont de l’aspect artistique, existe aussi le travail de façonnage du carton en
livret et sa perforation. Si l’informatique supplée avantageusement à ce qui se
faisait de façon très fastidieuse
fastidieuse à la main jusque dans les années 1990, il n’en reste
pas moins que l’équipement représente un certain investissement financier.
Une bonne connaissance musicale précède la conception des orgues ; de plus, la
maîtrise de l’art du tuyautier, apporte au facteur d’orgues toute liberté pour créer
ou restaurer toute la variété des orgues à mécanique, riches en jeux. Bien que
celles ci utilisent une moins grande quantité de jeux que les orgues sacrées, on y
retrouve des jeux de bouche et des jeux d’anches ; les
es premiers, sont le plus
souvent en bois, mais parfois aussi en étain. Quant aux jeux d’anches (trombone,
trompette, clarinette) leurs pavillons ou leurs corps, souvent «en montre»,
utilisent le laiton, de façon à être décoratifs.
On note également certains
tains jeux particuliers à l’orgue à mécanique : le Piccolo,
sorte de Flûte à bec (lèvre en biseau et corps en laiton ou en bambou) et des
inventions : la Flûte Jazz munie d’une soupape à l’arrière du corps ou le
Baxophone (du nom de son créateur M. Bax) sonorités
onorités uniques créées pour les
orgues de danse en Flandres.
Le propos musical de l’instrument fait que le travail sur l’harmonie et la
puissance, est traité de façon spécifique ; les pressions utilisées sont différentes s’il
s’agit d’un orgue de manège, de salon ou de concert.
En ce qui concerne les travaux de restauration dans la facture instrumentale,
conserver sans rien faire d’irréversible tel est le mot d’ordre en matière de
sauvegarde comme pour toutes œuvres d’art. Certes, c’est une donnée
fondamentale
entale à respecter, réassortir les essences de bois, choisir des colles
permettant de futurs démontages pour l’entretien, remettre en état autant que
possible, la visserie ou utiliser des visseries de type ancien, en un mot, ne pas
dénaturer l’instrument. Toutefois, la question se pose de pouvoir remplacer à
neuf certaines parties techniques, consolidant la structure pour que l’instrument
puisse jouer à nouveau. En exemple évident, les sommiers du piano, ou dans un
orgue les tables de la soufflerie, ou compléter
compléter des tuyaux endommagés ou
manquants dans les jeux.
Plus délicat est de retrouver l’intégrité d’un orgue qui a été tronqué ou dénaturé
par des modifications exécutées pour raison d’économie de budget ou par des
personnes n’ayant pas la capacité de faire
faire les travaux à l’identique. Enfin, il y a
parfois nécessité de re-fabriquer
fabriquer au modèle des pans entiers d’orgue (exemple,
consoles avec percussions), disparus dans des avaries ou perdus lors de multiples
déplacements.
Une étude préalable, avec dessin et description
description détaillée des travaux, appuyée sur
un dossier photos ou une recherche documentaire, permet d’avancer en
restauration, dans le respect du travail initial. La mise en œuvre de ces moyens
actuels, facilite le suivi par le commanditaire.
Au final, la partie décorative apporte une valeur émotionnelle à l’orgue à
mécanique ; elle évoque son univers sonore, attraction et mystère d’un
divertissement ou préciosité d’un mobilier de salon. Pour parvenir à son effet, la
gaine de l’orgue doit être réalisée ou restaurée en liaison avec des sculpteurs,
(panneaux ou statuaire) et des peintres décorateurs ou des ébénistes marqueteurs
et vernisseurs.
Il existe une grande variété d’instruments «à mécanique» qui offre diverses
possibilités de spécialisation.
Certains
ins instruments ne sont plus des orgues mais des orchestrions alliant piano
et jeux d’orgues avec adjonction de percussions ; dans ce cas, à moins d’avoir en
complément, une formation de restaurateurs de pianos, il est préférable de faire
sous traiter la partie
artie piano par un professionnel.
Une autre catégorie d’instruments «à mécanique» appelée «organette» fonctionne
sur la base d’un orgue avec pour organe sonore des anches comme celles de
l’accordéon ; là encore, la fabrication ou restauration de ces instruments
instruments fait appel
à une formation complémentaire.
Pour la catégorie des boîtes à musique, il s’agit d’un mécanisme d’horlogerie qui
entraîne un programme musical sur cylindre picoté mettant en vibration un
organe sonore constitué d’un clavier de lames métalliques.
métalliques. A cette catégorie
s’apparentent les mécanismes d’horlogerie permettant de faire siffler des oiseaux
ou de programmer des figures automates (cf. fiche métier Fabricant et
restaurateur d’automates).
Source : Eve Chaillat, Philippe Crasse, Manufacture
Manufacture le Ludion à Toulouse.
FORMATIONS
FORMATION INITIALE
Il n’existe aucune formation spécifique mais le métier demande de vastes
connaissances qui peuvent se résumer ainsi :
Les bases : BEP/CAP menuisier ou ébéniste
Les fondamentales : la facture d’orgues (organier, tuyautier, mécanicien)
Les environnementales : arrangement et informatique musicale
Les optionnelles : réparateur de piano et accordéon
Il est important de signaler comme élément formateur indispensable,
indispensable, en plus de
l’école et de l’atelier, qu’il faut faire la tournée des grands musées d’Europe :
Utrecht en Hollande, « Van Speelklok Tot Pierement »
Rudesheim en Allemagne, «Mechanishes Musikkabinet»
Waldkirch en Allemagne, «Elztalmuseum»
Bruchsal en Allemagne,
emagne, Schloss Museum
Les Gets en France, Musée de Musique Mécanique
L’Auberson en Suisse, Musée des Frères Baud
Seewen en Suisse, «Musikautomaten
Musikautomaten Museum»
Museum
Ecouter des pièces exceptionnelles construites tout au long du XIXème siècle et
au début du XIXème par
ar les grands ateliers de l’époque, étudier leur composition
instrumentale, permet d’apprendre les différentes couleurs sonores appréciées à
travers les pays d’Europe.
Retrouvez toutes les adresses des organismes de formations initiales
et professionnelles continues dans les métiers d’art en consultant
notre base de données sur notre site Internet : http://www.instituthttp://www.institut
metiersdart.org/
Retrouvez le schéma des formations aux métiers d’art sur notre site
Internet : http://www.institut-metiersdart.org/
http://www.institut
Sur le site http://www.moveart.org/,
http://www.moveart
, retrouvez toutes les adresses
des centres de formations en Europe.
ENVIRONNEMENT
L’origine des instruments mécaniques remonte à l’antiquité où des fontaines à
automates émettent des sifflements grâce à quelques tuyaux d’orgues mis en
harmonie selon
lon les principes de Ktésibios et les « Raisons des forces mouvantes »
de Salomon de Caus.
Dès le Moyen Age, l’orgue à mécanique procède d’un croisement entre le carillon
des clochers, programmable pour les différents offices, «l’organo portatile » de la
Renaissance
enaissance et la vielle à roue. C’est au XVIIe siècle que des orfèvres de l’école
d’Augsbourg miniaturisent de tels instruments pour les introduire dans le socle
de pendules à complications, d’horloges et de pièces de prestiges ornant les tables
des rois et des princes.
Un siècle plus tard, les orgues à mécanique évoluent grâce aux progrès de la
notation et la bourgeoisie y accède : les orgues à mécanique habitent des
mobiliers précieux, secrétaires et cabinets. Plus accessible, la serinette amuse
nombre dee dames de la bonne société qui passent leur temps à apprendre des airs
à la mode aux oiseaux en cage venant des Iles Canaries.
Enfin les instruments de musique à mécanique connaissent leur apogée au XIXe
siècle ; tous les instruments sont automatisés, le violon, la harpe, le banjo,
l’accordéon et le piano dont l’engouement atteint toutes les couches de la société.
Cela se passe dans un foisonnement d’inventions qui caractérise l’esprit
industrieux du siècle. Des constructeurs fameux, les frères Limonaire mais aussi
Gavioli, Gasparini et Marenghi construisent de belles orgues «orchestre» pour
toutes circonstances, qu’ils caractérisent par le nombre de musiciens qu’elles
représentent.
La richesse des timbres de leurs jeux d’orgues n’a d’égale que la somptuosité
somptuo
de
leurs sculptures agrémentées de figures animées.
Le petit «portable» l’orgue de barbarie, comme on l’appelle
l’appelle en France, ou sa
cousine, l’organette à anches, n’est qu’une facette du monde merveilleux des
instruments de musique mécanique.
Tombés en désuétude
ésuétude depuis les années 30 à cause de l’aboutissement du
phonographe et jusque dans les années 60 où le Pick’up fait rage jouant des
rock’n’roll endiablés ou des slows sirupeux, il fait un come back dans les années 70
avec l’idée du retour aux sources mais
mais surtout l’intérêt des collectionneurs
américains pour tout ce qui retrace l’histoire des technologies. Ainsi, la majorité
du patrimoine européen se trouve parfaitement mise en valeur dans les immenses
collections privées américaines, suivies de près par
par les collectionneurs japonais
dans les années 1990.
Aujourd’hui, les entreprises fabriquant ou restaurant des orgues à mécanique
bénéficient d’une clientèle essentiellement privée. En effet, pour les restaurations,
la commande publique passant par les instances
instances culturelles telle la DRAC, la
région ou la commune est rare. Les restaurations se font à l’initiative des
collectionneurs ou particuliers ayant une pièce patrimoniale à sauvegarder.
Pour le fabricant, la clientèle privée se compose soit de professionnels
professionnels
(restaurants, forains ou gens du spectacle) soit de particuliers qui réalisent un
« rêve » et s’amusent en privé.
Deux courants divergents tentent de satisfaire à cette demande ; l’un entend
produire des organettes à anches au coût le plus bas possible,
possible, s’appuyant sur leur
approche marketing pour répondre à un besoin de consommation immédiat du
grand public ; l’autre, offre une large gamme de modèles d’orgues à tuyaux,
construits à la commande. On constate que le premier courant est vite rattrapé
parr les amateurs, qui, sous le couvert de leur passion, répliquent inlassablement un
instrument, de façon non professionnelle et donnent une vision étroite voire
erronée de ce métier.
La diversité de la demande permet au facteur d’orgue à mécanique de concevoir
concev
des projets intéressants ; des modèles de rue mais aussi de salon, de concert, de
danse, de manège, autant de compositions instrumentales différentes.
Le métier se pratique en équipe (trois à quatre personnes pour ce qui est de la
fabrication et restauration
auration d’orgues « à mécanique » ou d’orchestrions). Des
ateliers où une personne travaille seule, se spécialisent les uns dans les pianos
mécaniques, les autres dans les organettes. Il n’existe pas un seul atelier couvrant
tous les besoins au niveau de la
la fabrication comme de la restauration.
Toutes spécialités confondues, il existe moins d’une dizaine d’ateliers
professionnels, actuellement, en France.
Aujourd’hui, le challenge consiste à sauvegarder le savoir faire traditionnel et à
rester à la pointe de la technologie pour enrichir la tradition et réactualiser les
instruments.
Ainsi voit on se croiser la tradition de l’orgue à carton perforé avec le système du
support mémoire, carte à puce ou ordinateur de poche commandant l’orgue par
envoi de données en Bluetooth.
La tendance est à la mixité des technologies ; un orgue à cartons perforés
entraîné à manivelle, certes, mais aussi le même orgue, entraîné électriquement
par un moteur (invisible et silencieux) et programmé par un ordinateur portable
sur lequel
equel chacun peut composer sa musique. Cette tendance se vérifie également
à l’étranger et environ 40% de la production française part à l’export.
L’orgue à mécanique est un instrument acoustique programmable, le côté
acoustique est certainement ce qui rend
rend son charme intemporel. Instrument
dédié au divertissement et facilement accessible, il attire de nombreux musiciens
arrangeurs qui enrichissent son répertoire, l’ouvrent vers des courants lui
permettant de se renouveler. C’est au facteur de concilier étendue
étendue de la gamme,
richesse des timbres et mobilité, pour répondre à un nombre grandissant
d’artistes et d’amateurs.
SALONS ET MANIFESTATIONS
MANIFESTAT
Journées européennes des métiers d’art - JEMA,
Annuel, avril
Institut National des Métiers d’Art - 23, Avenue Daumesnil, 75012 Paris.
Tél. : 01 55 78 85 85. Fax : 01 55 78 86 17.
http://journeesdesmetiersdart.fr/
Les Journées Européennes des Métiers d’Art ( JEMA), initiées et coordonnées
par l’INMA, portent pour ambition la valorisation du patrimoine immatériel et
vivant. Elles fédèrent et mobilisent l’ensemble des acteurs du secteur. Les
professionnels des métiers d’art sont au cœur de l’événement : portes ouvertes
d’ateliers et de centres de formation, expositions, rencontres, démonstrations de
savoir-faire,
faire, circuits de découverte, etc. Elles ont lieu tous
ous les ans, le premier
week-end
end d’avril, pendant trois jours et dans toutes les régions de France.
Festival International de la musique mécanique
Biennal, années paires
Musée de la musique mécanique
74260 Les Gets.
Tél. : 04 50 79 85 75
Ce festival est organisé tous les deux ans depuis 1982, à l’initiative des fondateurs
du Musée de la musique mécanique des Gets. Un thème différent est choisi à
chaque fois.
Musicora à Paris,
Annuel,
22 rue Michelet,, 92100 Boulogne
Bou
Billancourt
Tél. : 01 73 30 00 40.
[email protected]
http://www.musicora.com
Créé en 1985 autour du baroque et du classique, ce salon international a intégré
le jazz puis les musiques actuelles.
Il rassemble à la fois : éditeurs, facteurs, formations, presse, conférence, ateliers et
concerts. Un thème est donné chaque année.
Salon international du patrimoine culturel à Paris,
Annuel, novembre,
Ateliers d’Art de France,
France 6, rue Jadin, 75017 Paris.
Tél. : 01 44 01 08 30.
[email protected]
http ://www.patrimoineculturel.com
Plus particulièrement consacré à l’l origine
origine aux restaurateurs, le salon du
patrimoine culturel s’est
est progressivement ouvert à tous les acteurs de la
conservation, de la restauration et de la mise en valeur du patrimoine mobilier et
immobilier. Environ 260 exposants, ateliers pédagogiques,
pédagogiques, conférences, remises de
prix.
SOURCES D’INFORMATION
D’INFORMATIO
ORGANISME
Association des Amis des Instruments et de la Musique Mécanique
(AAIMM)
4 bis boulevard Gallieni
94360 Bry sur Marne.
Tél. : 01 53 26 72 99.
http ://www.aaimm.org
Créée en 1975, cette association regroupe les passionnés d’instruments de
musique mécanique. Elle a pour buts de favoriser les rencontres, les échanges et la
diffusion à un large public.
LIEUX RESSOURCES
La Ferme des orgues (musée privé),
pr
2 rue de l’Hollebecque
Hollebecque 59181 Steenwerck
Tél. : 03 28 49 13 13.
[email protected]
http ://www.lafermedesorgues.com/
Anciennement Musée de la musique mécanique situé à Haubourdin, ce musée
privé possède des phonographes, des limonaires, des orgues de barbarie, des
pianos mécaniques, et un violon mécanique. Un atelier de restauration tenu par
Patrick Desnoulez peut également
égalem
être visité.
Musée de musique mécanique (musée privé).
12 Grande Rue, 72390 Dollon
Tél. : 06 45 40 78 45.
[email protected]
http ://musicmagic.fr
Ce musée possède environ
environ 200 instruments de musique mécanique en état de
marche, et couvrant la période de 1800 à 1960.
Musée de la musique mécanique des Gets (Haute-Savoie),
Savoie),
294 rue du Vieux Village,
Village 74260 Les Gets.
Tel : 04 50 79 85 75.
[email protected]
http ://www.musicmecalesgets.org/
Fondé en 1984 par une association, ce musée est le plus complet qui soit consacré
exclusivement aux instruments de musique mécanique,
mécanique, avec environs 400 pièces :
carillons, orgues de rue, orgues de manège, tableaux animés et automates,
accordéons et violons mécaniques, orchestrions, gramophones, etc.
Musée des arts et métiers (CNAM),
292, rue Saint-Martin,
Martin, 75141 Paris Cedex 03.
Tél. : 01 53 01 82 51.. Fax : 01 53 01 82 01.
www.arts-et-metiers.net/
metiers.net/
Ce musée présente un parcours divisé selon sept domaines : instruments
scientifiques, matériaux, construction, communication, énergie, mécanique
mécani
et
transports. Dans le domaine des arts mécaniques, on trouve quelques instruments
de musique, des automates ou des appareils pour perforer mécaniquement les
cartons.
Maison de la musique mécanique de Mirecourt (Vosges),
24 rue Chanzy, 88500 Mirecourt.
Tel : 03 29 37 51 13.
[email protected]
http ://musique-mecanique
mecanique-mirecourt.fr
Jusqu’en 1954, date de la mort du dernier facteur d’orgues de Mirecourt, cette
ville a été un lieu très important dans le milieu de la facture des instruments de
musique mécanique. La Maison de la musique mécanique souhaite faire
connaître ce patrimoine.
Musée de l’aventure du son (musée municipal)
Place de l’hôtel de ville, 89170 Saint-Fargeau.
Saint
Tél. : 03 86 74 13 06.
Ouvert de Mars à fin Octobre
[email protected]
http ://www.aventureduson.fr
Ce musée propose de découvrir l’histoire du son, à travers une collection très
complète de phonographes
PRESSE
Musiques mécaniques vivantes
Trimestriel de l’AAIMM
4 bis boulevard Gallieni, 94360 Bry sur Marne.
Revue de l’Association des amis des instruments et de la musique mécanique,
publiée depuis 1976.
SITES INTERNET
http ://www.musicamecanica.org/musica_mecanica/index.html
Ce site est dédié à la musique mécanique. On y trouve une liste des associations
et des musées par pays, ainsi que d’autres liens utiles sur les facteurs, les sites
internet etc.
http://www.leludion.com/
Site du Ludion, manufacture traditionnelle
traditionnelle de limonaires et orgues de barbarie,
fondée en 1976. On y trouve une rubrique sur la restauration d’instruments
mécaniques reprenant les étapes du travail du facteur d’orgues mécaniques.
www.orgues-de-barbarie.com
barbarie.com
Site de l’établissement Odin, manufacture d’orgues de Barbarie, présentant
notamment son travail en atelier.
Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif et ne sauraient
prétendre à l’exhaustivité.
POUR EN SAVOIR PLUS…
Consultez le Centre de ressources de l’Institut National des Métiers
d’art, une ressource unique sur les métiers d’art :
- Des bases de données documentaires sur l’actualité des métiers
d’art et des bases de données sur les formations, accessibles sur son
site internet.
- Un fonds documentaire spécialisé : revues, dossiers, ouvrages et
plus de 750 films sur ce secteur.
Institut National des Métiers d’art,
23 avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85
Ouvert du mardi au vendredi de 14 à 18 heures
[email protected]
france.org
http://www.institut
http://www.institut-metiersdart.org/
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