Vienne 1913

Transcription

Vienne 1913
Dossier de Présentation
Vingtième Théâtre
7, Rue des Plâtrières 75020 Paris
Réservations : 01 43 66 01 13
www.vingtiemetheatre.com
Influenscènes
présente
6
VIE ierre
JANâtre duvieLr 2010
Théau 24 Jan
R
Vienne 1913
Théâtre du Lierre
re
du
Fév
rier
201
0
Thé
3a
u7
âtre
FEV
Lier
RIE
R
22, Rue du Chevaleret 75013 Paris
Réservations : 01 45 86 55 83
www.theatredulierre.com
Le Nouveau Prétexte
17, Rue André Laurent
94120 Fontenay-sous-Bois
Tél. : 01 48 77 94 33
Mail : [email protected]
www.influenscenes.com
Vidéos sur www.influenscenes.caspevi.com
Contact Presse :
Cécile Abescat
Email : [email protected]
Tél. : +33 (0)6 27 62 07 23
Vienne 1913
Comédie dramatique
Alain Didier-Weill
Mise en scène
Jean-Luc Paliès
En bref
Distribution
Adolf : Miguel-Ange Sarmiento
Hugo : Philippe Beheydt
Freud : Jean-Luc Paliès
Molly : Bagheera Poulin
Gardien, Komandant, Hans, Baron, Klimt, professeurs,
Guido, pensionnaire Klein : Jean-Pierre Hutinet
Homme Mou, Père Johan, Hanish, Jung, Lieberman,
Lanz, pensionnaire Gruber : Alain Guillo
Baronne, Greta, Kreijbich, Père Kurtz :
Katia Dimitrova ou Claudine Fiévet
Didascalies, Lydie, Directrices, Olga :
Stéphanie Boré
~
Mezzos / Sopranos :
Estelle Boin et Geneviève Bottau
Musique sur verre : Jean-Claude Chapuis
~
Mise en scène, scénographie : Jean-Luc Paliès
Assistant à la mise en scène : Alain Guillo
Régie générale : Alain Clément
Aide régie : Jean-Luc Rossi
Lumières : Jean-François Saliéri
Création plastique /lustre : Odile O
Costumes : Emmanuelle Ballon /Sylvie Berthou
Photographies : Emile Zeizig
~
Avec le soutien de
La DRAC Île-de-France
Ministère de la Culture et de la Communication,
La région Île-de-France,
Le Conseil Général du Val-de-Marne,
La Ville de Paris, la SPEDIDAM, l’ADAMI
et Beaumarchais SACD.
Un jeune homme pauvre qui survit misérablement
dans un asile, étudie le dessin à l’école des BeauxArts de Vienne. Ce garçon, qui vient de fêter ses
vingt ans, rencontre un jeune homme, brillant,
beau, héritier de la célèbre aristocratie viennoise.
Mais voilà, ce jeune homme nanti a un dilemme qui
le ronge … il est antisémite. Le psychanalyste Jung
trouve alors très intéressant de l’envoyer consulter
son maître, Freud. Ces deux jeunes gens vont ainsi
se confronter, parallèlement et ensemble, à tous les
aspects de la société viennoise et se forger quelques
idéaux définitifs. Le jeune homme pauvre s’appelle
Adolf… Adolf Hitler et nous pensons d’un bout à
l’autre de la pièce à la suite de l’histoire…
Texte aux Editions des Crépuscules
Alain Didier-Weill
Médecin psychiatre et psychanalyste.
Il est membre de l’École freudienne de
Paris et conférencier au Séminaire
de Jacques Lacan (1975/1976/1980).
Il est le cofondateur de l’Association
Coût Freudien, de l’Inter Associatif
Européen de Psychanalyse et du
Mouvement Insistance. Il écrit pour le théâtre plusieurs pièces
publiées et jouées en France et à l’étranger, dont notamment Come
Back Dionysos à l’Hôtel du Nord en 2005, Jimmy au Théâtre du RondPoint en 2003, L’heure du thé chez les Pendlebury au Théâtre Sylvia
Montfort en 1992, Basse surveillance sur France-Culture en 1992, Le
banc sur France-Culture en 1981 et à Confluence en 1984, Pol au Théâtre de
la Gaîté Montparnasse en 1975 et au Théâtre du Rond-Point en 2002.
Mécène :
Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Remerciements : Yves Mikaeloff Antiquaires
Coproduction :
Fontenay-en-Scènes / Fontenay-sous-Bois
Coréalisation :
Espace Rachi, Théâtre des Halles,
Théâtre de Saint-Maur
4
VIENNE 1909/ 1913,
Quatre ans pour devenir... l’ histoire
En avril 1909, dans le parc du Prater, à Vienne, un jeune homme va passer la nuit de ses 20 ans sur un banc, seul
avec un chien errant, tandis qu’au loin la capitale de l’empire austro-hongrois brille de tous ses feux, en pleine
effervescence artistique, scientifique, politique.
Alors que Freud officie, cigare aux lèvres, et que Jung commence à rompre avec le fondateur de la psychanalyse,
le tout Vienne court à une exposition de Klimt, et les cercles et revues politiques bouillonnent d’idées explosives. Ultra nationalistes et marxistes contrebattent le libéralisme éclairé des Habsbourg, et l’antisémitisme se
faufile aussi bien dans les bas-fonds que dans la haute société ou chez les intellectuels militants.
D’années en années, jusqu’en 1913, on va croiser Adolf, ici ou là, dans un asile pour sans-abris ou dans un salon
d’aristocratique, dans une exposition de peinture ou dans une réunion politique, encore anonyme mais de plus
en plus affirmé dans ses partis pris et ses obsessions.
Quatre ans plus tard, il est prêt à devenir Adolf Hitler. Il ne manque plus que la grande guerre, qui réunira son
ressentiment et l’humiliation allemande, pour parachever le monstre qu’il s’est forgé là, de bric et de broc, en
autodidacte à la fois brouillon et rigide.
Ce Spectacle bénéficiant d’une écriture intelligente et d’une mise en scène très étonnante a été conçu comme
une sorte de symphonie concertante, qui orchestre brillamment le synchronisme complexe de la ville de Vienne vue comme un choeur: milieux sociaux, mouvements d’idées, création artistique, multiplicité des échanges
et des solitudes. Il est à la fois une évocation de l’esprit de la capitale autrichienne au début du XXème siècle et
une étude du Mal en formation...
Préambule par Alain Didier-Weill
J’ai écrit « Vienne 1913 » sous le coup d’un « trouble » vis-à-vis de cette courte période, 1910-1913, juste
avant la 1ère guerre mondiale, pendant laquelle se nouent à Vienne quelques-uns des fils qui vont se
révéler déterminants : on assiste en effet à la première grande scission de l’histoire du milieu analytique,
celle entre Freud et Jung.
Or le conflit entre Freud et Jung se produit au moment où, dans le milieu intellectuel viennois, se diffusent les idées de Chamberlain, et surtout de Wagner, que Hitler reconnaît comme son seul véritable «
maître », au sujet de « l’homme aryen ». Ce qui m’a intéressé, et j’ai suivi en cela plusieurs de ses biographes, c’est l’idée de ne pas faire du jeune Hitler une brute perverse et xénophobe. Le jeune Hitler a certes une culture traditionnelle et nationaliste, il est « amoureux » de la grande culture germanique, mais
il est révolté par le simplisme des idées racistes et antisémites. A partir de là, j’ai essayé de comprendre,
de penser, comment ce jeune homme « banal », assez perdu, animé d’une curiosité d’auto-didacte qui
lui fait lire, écouter, regarder ce qui se passe autour de lui, au sein d’une société elle-même en proie à
une grande confusion, en arrive à cette sorte d’illumination dont il est question dans « Mein Kampf »,
ou brusquement la réalité s’ordonne, autour d’une explication univoque, qui est l’antisémitisme. Je n’ai
absolument pas voulu psychanalyser Hitler. Le basculement du côté du mal demeure pour moi un mystère, que je veux laisser entier, sans chercher à le réduire par une explication psychanalytique.
Voici une pièce composée comme un rhapsodie-opéra où le personnage principal est une ville prise à
un moment historique d’une de ses apogées artistiques et culturelles. Cette ville est un choeur où se
côtoient le pire (le jeune Hitler, Hugo l’antisémite) et le meilleur (l’artiste Klimt et le psychanalyste
Freud), où en pleine scission entre Freud et Jung se propagent certaines « idées » de Wagner. Les
scènes alternent : brèves, longues, sérielles. Le contenu, toujours surprenant, parfois brillant, joue de
correspondances, provoque l’intelligence des reconnaissances et des évocations… Puisqu’on connaît
la (triste) suite de l’Histoire, on a peur de comprendre l’inavouable : au moment de la plus grande
intelligence peuvent jaillir (comme fécondés ?) les germes de la barbarie la plus vile : la xénophobie
paranoïaque. Vienne 1913 est un choeur symbolique qui, comme un phare, éclaire ces « détails » qui
appellent notre vigilance.
Jean-Luc Paliès
5
Jean-Luc Paliès, parcours
Une formation partagée entre la Sorbonne/Censier/Paris III dirigé par B.Dort
(avec Ryngaert, Banu, Bezace, Lasalle, Demarcy, Herlic…) et le Conservatoire
National Supérieur d’Art Dramatique dirigé par J.Rosner (avec Bluwal, Vitez,
Roussillon et Debauche).
Jeune comédien au TGP de Saint Denis ( dir. René Gonzalès) pour la mise
en scène de Jacques Lasalle des Fausses Confidences puis immédiatement
après, celle de Daniel Mesguisch de Tête d’Or de Claudel… puis au théâtre
du Miroir (Mesguisch) pour 3 pièces ( dont un Opéra de Ligeti, Le Grand
Macabre et le Roi Lear /Avignon 1981, puis à la Rose des Vents CAC de
Villeneuve d’Ascq/Nord (P.E Heymann/ ) pour 6 créations en 2 saisons
dont Macbeth adapté par D.Lemahieu ou En Attendant Godot ; rencontre
avec Louise Doutreligne …
En 1983, permanent au CDN du Limousin (Pierre Debauche) pour 3 créations
(Racine, Shakespeare…) et création de la Compagnie Influence à Limoges en
1985, avec Louise Doutreligne se réalisent après le succès de Teresada’ plus
de 7 spectacles en 4 ans (Petites Pièces Intérieures ; Croq d Amour à
Domicile)… En 1988 aborde l’Opéra et le musical avec l’Ensemble Baroque de
Limoges (Succès des Amants Magnifiques au Théâtre de l’Athénée, de Didon et Enée à Sylvanès)…
En 1990 associé de la Coupole Scène Nationale de Sénart qui co produit notamment Don Juan d’Origine
(également avec le CDN la Métaphore de Lille , le Festival d’Almagro et de Madrid, puis le Café de la Danse)… Ce
Spectacle très reconnu tournera pendant plus de 8 ans…Parallèlement : Belle et Folle aventure de l’opéra « Les
Contes d’Hoffmann » à la Salle Gaveau en 91…
A partir de 1994, Metteur en Scéne Associé au Moulin du Roc/ Scène Nationale de Niort qui co-produit la suite
des « Séductions Espagnoles» de Louise Doutreligne : Carmen la Nouvelle, Faust Espagnol, la Casa de Bernarda Alba
reprise au TEP et aussi une petite forme opéra ; « Périchole-Album » et les Théâtre au Pupitre Classique les 3M
(Molière, Marivaux, Musset)… Pendant cette même période la Compagnie Influence est associée en Seine et
marne au Théâtre Luxembourg de Meaux, puis au Château de Champs. Développe aussi un travail sur l’EPISTOLAIRE
au Théâtre (Vita Brevis, Le Paravent Indicret,Lettres Vénitiennes Secrétes, Lettres Intimes d’Elise M…) avec
notamment le Centre des Bords de Marne au Perreux , le Festival de Grignan et 3 Festivals en Avignon…
Depuis 2000, retour aux premiers objectifs de La Compagnie : se consacrer aux écritures et aux formes
contemporaines ( plastiques, vidéo, musicales…) attachement dès le départ à l’ aventure du Rond Point et
montage de plusieurs spectacles musicaux à Paris et à Avignon ( Graine d’Opéra, le Pantin de Goya, Lyric Ibéric,
Flamenco Vida de passion, Bandolero…) et création de la Parenthèse lieu dédié aux musiques du théâtre à
Avignon…
Et Artiste Associé aux Centres Culturels de Fontenay sous Bois, et au théâtre du Rond Point pour
les « Mardis Midis »… invention des Versions Pupitre (mise en Espace, Voix et musique de plus de cinquante
textes d’auteurs Vivants) une sorte de révélation de la « composition » des langages et des mémoires de l’écriture
contemporaine en cherchant « l’architecture » simple d’un dispositif intégrant et surèlévant l’adresse des
acteurs… et en conséquence Mises en scène « influencées musique » pour Vienne 1913, Sublim’Intérim, Le Mot
Progrès… et complétement « musicales » pour ça travaille encore et OpéraCabaret.
Participe également aux activités de l’Institut International du Théâtre de la Méditerranée (IITM) pour
Firmado Pombo Signé Pombo/ Dans la peau de Franco inspiré de Montalbán (clôture le Festival Madrid-Sur et
Théâtre du Lierre) et Fuera Fora Dehors pour Evora Lisbonne Seville, Madrid, Fontenay-sous-Bois…
Depuis 2003, membre du CA du Syndicat National des Metteurs en Scène, élu vice-président en 2007 et en
tant que auteur de mises en scène, Sociétaire de la SACD.
6
Comédiens, chanteurs et Musiciens
Philippe Beheydt
Comédien, auteur, metteur en scène, boursier de la Fondation Beaumarchais, du Centre National du
Livre. Dernièrement, il a joué dans La Boîte en coquillage dont il est l’auteur, Don Quichotte de Daniel
Guérin de Bouscal au Vingtième Théâtre et dans l’ensemble des Versions Pupitre d’Influenscènes depuis
2005. Auteur/metteur en scène associé au Théâtre du Méridien de Bruxelles.
Estelle Boin
Après une Maîtrise de Musicologie et un premier prix à l’Unanimité au CNR de Saint-Maur, elle participe
aux créations théâtrales et musicales : Anges & Démons (ms. Jean-Michel Fournereau, dir. Gildas
Pagier), Et vous nous oublierez (ms. Mylène Padoan), Les Amis de Monsieur (ms. Daniel Estève, dir.
Vincent Preciozo), Il était une fois… la Création du Monde (ms. William Mesguich). Elle co-écrit et
joue Très Cher Wolfgang et Tapage Vocal. Avec Jean-Luc Paliès : Graines d’Opéra, Le Pantin de Goya,
Signé Pombo... Depuis 2008, M. Pierre Cardin l’invite à participer aux spectacles : Don QuichotteJacques Brel, Festival de Lacoste 2008 et Espace Cardin, Feydeau Offenbach, Festival de Lacoste 2009
et Restaurant Maxim’s de Paris.
Stéphanie Boré
Artiste aux univers variés, Stéphanie Boré oscille entre théâtre, chanson et opéra. Intervient dans le
cadre de diverses lectures pour Influenscènes. Best of Mozart au Tambour Royal à Paris, et se produit
régulièrement dans les choeurs de l’Opéra de Saint-Étienne (Manon de Massenet, Roméo et Juliette
de Gounod, Carmen de Bizet, Orphée de Glück). Auteur-compositeur, elle interprète également ses
propres chansons au piano sous le pseudonyme de Siebel.
Geneviève Bottau
Soprano et violoniste, diplômée du CNT de Lyon, maîtrise de musicologie. Membre d’ensembles vocaux
(dir. Michel Piquemal, Jacques Mercier, Jean-Claude Casadesus, Yutaka Sado, Michel Plasson...),
titulaire dans l’Ensemble Vocal de la Madeleine (dir. Philippe Mazé), dans «Artistes en mouvement»
(dir. Michel Podolak) et dans «Figure Humaine» (dir. Denis Rouger). Plusieurs expériences scéniques
: Opéra-Eclaté (dir. Olivier Desbordes) et Opéra-Nomade... Soliste dans des oeuvres sacrées : Miserere
de Delalande, Les Vêpres de la Vierge de Monteverdi, Les Sept dernières paroles du Christ de Haydn ou
encore La Messe en Ut de Beethoven. Actuellement dans Il était une fois... la création du monde mise
en scène William Mesguich au Théâtre des Bouffes-Parisiens.
Jean-Claude Chapuis
Depuis 1992, Jean-Claude Chapuis a créé et recréé, au travers de son ensemble TransparenceS plus de
vingt instruments en utilisant l’ensemble des techniques verrières. Pour le Glassharmonica, le Séraphin,
l’Euphone, l’Aménocorde, le Clavicylindre, il s’agissait d’une renaissance après plus d’un siècle de sommeil.
Il a participé à plusieurs Versions Pupitre de Jean-Luc Paliès, notamment : Le Cerveau de l’auteur
roumain Vlad Zografi, Le lecteur à Gages de José Sanchis Sinisterra, La société des cendres de Marc
Dugowson.
Katia Dimitrova
Diplômée de l’Ecole nationale de musique de Sofia (Bulgarie). Elle fait ses études théâtrales en France
(CNR de Nice), travaille avec Joël Dragutin au théâtre 95 à Cergy Pontoise : Grande Vacances, Sens
Unique, Au pays de la Musique Perdue, La Nouvelle Vague et Petit voyage au bout de la rue. Avec Serge
Noyelle, au Théâtre de Chatillon : Le Dernier Quart d’Heure, La Boite à Supplices, Rêve de Gare. Dirigée
par Isabelle Starkier dans En pièces d’après Marivaux, Feydeau, et Pirandello ; par Antonia Malinova
dans Lueurs, d’après Tchekhov, joué en appartement ; par Sarah Sandre dans une comédie musicale
pour enfant, En voiture Simone écrite par Luc Tartar.
7
Claudine Fiévet
Joue entre autres Genet, Brecht, Marivaux, Racine, Shakespeare, Molière, Musset… pour le Théâtre
National de Strasbourg, les CDN de Lille, Lyon, Caen, Grenoble, Besançon, Toulouse, Saint-Étienne,
Limoges… Joue Deutsch, Wenzel, Chartreux, Lemahieu, Doutreligne, Lorca… pour le Festival d’Avignon,
les Scènes Nationales de Villeneuve d’Ascq, Melun-Sénart, Niort, Grenoble, pour Théâtre Ouvert,
T.E.P, Théâtre 13, et collabore aux Versions pupitre au théâtre du Rond-Point depuis 2001.
Alain Guillo
Etudes théâtrales à Censier. Elève de Daniel Mesguish. Ouvroir pour le théâtre à Chaillot. Travaille en
compagnie (Influence, Folle pensée, Notoire, Influenscènes). Intervenant à la M.G.I, à l‘A.D.A.C, au
Grand Bleu à Lille et au Cargo à Grenoble. Joue régulièrement pour le cinéma et la télévision (Klapish,
Assous...). Assistant à la mise en scène sur Le Pantin de Goya, Vienne 1913, Bandolero de Luis de la
Carrasca.
Jean-Pierre Hutinet
Ecole nationale de Strasbourg avec Hubert Gignoux, travaille avec Charles Jorris, Jacques Kraemer,
Bernard Sobel, Gabriel Garran, Jacques Lassale, Agathe Alexis, Odile Mallet, Sylvia Montfort, René
Loyon, Denis Chabroullet, Enrico Di Giovanni. Il travaille au cinéma sous la direction de José Giovanni,
Jean Marboeuf, Philippe Harel, Gille Paquet-Brenner...
Bagheera Poulin
Comédienne, auteur. Fonde avec Jacques Perdiguez et Paul Lazar la Cie MCT. Boursière du CNL, elle
réside à la Chartreuse et créé plusieurs de ses textes au sein du MCT. Elle travaille avec Catherine
Gandois dans ses chantiers « Les mots pour le dire » autour de son recueil titré « Celle qui va parler ».
Artiste associée de la Maison des métallos en 2007, elle développe le work in progress OPHELIE.
Actuellement, une série radiophonique en cours d’enregistrement avec Hermine Karagheuz, Jac Berrocal
et Ghedalia Tazartès… MCT créé Femmmes (3) de C.Rullier en 2009 à la Maison des métallos, suivi de
Pour Homme » et enfin Cher Hamlet.
Miguel-Ange Sarmiento
Chanteur, comédien, auteur, metteur en scène, producteur, aligne sur son parcours des expériences dans
le théâtre classique et d’avant-garde, dans les émissions de variétés, dans le cinéma et le théâtre musical.
Il joue au théâtre (Les Puritains de David Noir.), au cinéma (Les mille et une nuits de Agnès Varda, Le bal
des actrices de Maïwen Le Besco.), dans des téléfilms (Le dernier chant de Claude Goretta, Le camarguais
de William Gotesman.) et dans des comédies musicales (Les Années Tubes de Roger Louret, Mayflower
de Rédha.). Directeur artistique de M.A.S. Productions depuis 2001, il signe mises en scène et conceptions de spectacles musicaux en français, anglais, espagnol. Depuis 2002, il crée son propre répertoire
qu’il joue sur de nombreuses scènes en France et à l’étranger.
8
Influenscènes
Fondée en 1985 à Limoges par Jean-Luc Paliès et Louise Doutreligne; en convention avec
le Ministère de la Culture depuis 1989, associée aux Scènes Nationales de Sénart (90/93),
puis Niort (94/99), tout en s’implantant en Île de France à partir de 1995; conventionnée
par les départements de Seine et Marne puis du Val de Marne, notamment pour son
action au CDBM/Le Perreux (98/01); s’installe à Fontenay-sous-Bois en 2001, tout en
développant un partenariat original avec les EAT au Théâtre du Rond-Point (Les Mardis
Midi); conventionnée par la Région Île de France depuis 2006.
Se produit à Paris (Athénée, Atalante, Essaïon, Théâtre 13, Théâtre de l’Est Parisien, Café
de la Danse, Le Renard, Cartoucherie, La Pépinière, Espace Rachi, Le Lierre, Le RondPoint...) et régulièrement en Avignon (le Balcon, Les Halles, Le Chêne noir, Le Bélier, La
Parenthèse, L’Oulle); tourne en Europe (France, Espagne, Portugal, Roumanie, Suisse,
Belgique...).
Influenscènes est actuellement en convention pluriannuelle avec la Direction Régionale
des Affaires culturelles d’île de France du Ministère de la Culture (DRAC), le Conseil
Régional d’Île de France, le Conseil Général du Val-de-Marne et le Service Culturel de la
ville de Fontenay-sous-Bois/Fontenay-en-Scènes et soutenue pour ses créations par Les
Sociétés civiles (SACD, ADAMI, SPEDIDAM).
Vidéos des spectacles visibles sur le site
www.influenscenes.caspevi.com
Une Equipe permanente...
Direction artistique : Jean-Luc Paliès
Auteure associée : Louise Doutreligne
Administration : Lilian Josse
Communication : Cécile Abescat
Régie générale : Alain Clément
Aide Régisseur : Jean-Luc Rossi
9

Documents pareils