la compagnie Les Marches de l`été

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la compagnie Les Marches de l`été
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20
08
la compagnie Les Marches de l’été,
la compagnie des Trente-six ports
et le Centre Culturel du Piémont Oloronais
présentent
La dernière bande
Samuel Beckett
Mise en scène, scénographie et lumières : Jean-Luc Terrade
Avec : André Geyré
Cette fois
suivi de
Samuel Beckett
Mise en espace et voix : Jean-Luc Terrade
Avec : Daniel Strugeon
Atelier des Marches
20h45 du 11 au 15 novembre 2008
17 rue Victor Billon - 33110 LE BOUSCAT
05 56 17 05 77 - Fax : 05 56 17 03 83
Email : [email protected]
www.marchesdelete.com
La dernière bande
Samuel Beckett
Durée : 55 mn
Distribution
Mise en scène, scénographie et lumières :
Avec :
Costume :
Maquillage :
Jean-Luc Terrade
André Geyré
Fanny Mandonnet
Michèle Bernet
Construction décor :
Khang Nguyen
Prise de son et régie :
Karina Ketz
avec la collaboration de :
Benjamin Begey
La dernière bande est éditée aux Editions de Minuit
Coproduction :
Cie les marches de l’été,
Office Artistique de la Région Aquitaine
Centre Cuturel du Piémont Oloronais - Oloron-Sainte-Marie,
Cie des trente-six ports
« Au bord de l'écroulement, le vieux Krapp penché sur son magnétophone écoute la voix de celui qu'il fut. Il remonte ainsi à la bifurcation qui
a décidé de lui, une nuit de mars, ou il a choisi de sacrifier l'amour à « l'opus magnum » encore à venir, pour obéir au « feu » qu'il avait en lui.
Par bribes, c'est maintenant l'amour qui affleure, avec ses images : un lac, une barque, un couple… »
La dernière bande - 1958.
Samuel Beckett
La dernière bande
La dernière bande
Description de l’homme Krapp
Krapp, vieil auteur sans succès, amoureux des femmes et du vin, fait retour sur son passé. Il se
met à l’écoute de ce que, pendant trente ans, il a consigné de sa vie sur son magnétophone, en une
sorte de journal magnétique dans l’espoir d’une réponse peut-être, et afin d’enregistrer... la dernière
bande ?
« Assis à la table, face à la salle, un vieil homme avachi : Krapp.
Pantalon étroit, trop court, d’un noir pisseux. Gilet sans manches d’un noir pisseux, quatre vastes poches. Lourde
montre d’argent avec chaîne. Chemise blanche crasseuse, déboutonnée au cou, sans col. Surprenante paire de bottines,
d’un blanc sale, du 48 au moins, très étroites et pointues. Visage blanc. Nez violacé. Cheveux gris en désordre . Mal
rasé.très myope ( mais sans lunettes). Dur d’oreille.Voix fêlée très particulière. Démarche laborieuse . »
C’est bien naturellement du côté de l’univers du clown que cela se situe. Avec des objets disproportionnés (les chaussures, les livres, la montre), la banane et la peau de banane qui fait chuter …
La scénographie sera traitée dans une déclinaison de gris, en référence au cinéma noir et blanc
(Buster Keaton) et également avec celle de Giacometti.
Jean-Luc Terrade / Notes d’intention
/ Rencontres...
C’est avec Jackie Challa , directrice du Centre Culturel d’Oloron-Ste Marie, qui programme et soutient le travail de Jean-Luc Terrade régulièrement depuis plusieurs années, qu’est né ce projet.
“Seuls les mots rompent le
silence, tout le reste s’est tu.
Si je me taisais je n’entendrais plus rien. Mais si je
me taisais les autres bruits
reprendraient, ceux auxquels les mots m’ont rendu
sourd, ou qui ont réellement
cessé.”
“Jackie désirait qu’un jour, André Geyré et moi-même nous rencontrions autour d’une création, et
plus particulièrement autour de l’écriture de Samuel Beckett. Et André Geyré souhaitait travailler
sur “La dernière bande“ !
Avec cette proposition, il m’est apparu que “me pencher”, comme le fait le personnage , sur cette
“dernière bande” était un déroulement logique dans mon parcours de metteur en scène et dans ce
compagnonage que je mène depuis longtemps avec l’œuvre de Beckett.
Dans les années 80, dèja, j’avais mis en scène deux spectacles de théâtre gestuel ( “Silence Ecrit” et
“Gouttes de silence”) à partir de l’univers et de l’écriture de Samuel Beckett (Nouvelles pour Rien,
Bing , l’Innommable, Cette fois).
En 2002, cinq textes avaient été créés “Berceuse”, “Pas moi”, “Fragments de théâtre 2”, “Cette
Samuel Beckett
La dernière bande
fois” et “Solo”.
Enfin, au cours de la saison 2008-2009, je mettrai en scène “Oh les beaux jours”, avec une des
comédiennes de la compagnie, Babeth Fouquet. A noter que cette pièce pourra être présentée avec
la reprise de “Berceuse” interprétée par Martine Lucciani.
« Au bord de l’écroulement, le vieux
Krapp penché sur son magnétophone
écoute la voix de celui qu’il fut. Il
remonte ainsi à la bifurcation qui a
décidé de lui, une nuit de mars, où il a
choisi de sacrifier l’amour à « l’opus
magnum » encore à venir, pour obéir au
« feu » qu’il avait en lui. Par bribes, c’est
maintenant l’amour qui affleure, avec ses
images : un lac, une barque, un couple… »
…Ici je termine cette bande. Boîte –
(pause) – trois, bobine – (pause) –
cinq.(Pause) Peut-être que mes meilleurs
années sont passées. Quand il y avait
encore une chance de bonheur. Mais je
n’en voudrais plus. Plus maintenant que
j’ai ce feu en moi . Non, je n’en voudrais
plus .
Krapp demeure immobile, regarde dans
le vide devant lui . La bande continue à
se dérouler en silence.
“La dernière bande”
Beckett ! Toute son œuvre ne raconte que la marge, la vieillesse, la fin !
Avec mes propres créations et les mises en scène d’auteurs tels que Pasolini, Duras, Sade, Lagarce,
Genet, Guyotat, pour n’en citer que quelques uns, ce sont toujours des figures marginales qui sont
présentées, travaillées.
A travers ces pièces, ces œuvres dont j’ai fait théâtre, c’est la sexualité de ces figures et son questionnement qui prenait une place importante. Une grande différence avec l’univers de Beckett, où ce
thème n’est pas central, tout au plus traité avec dérision.
En revanche, la mort (donc la vie) avec laquelle «joue» sans arrêt Beckett, est toujours présente chez
ces auteurs (comme chez tous les grands auteurs d’ailleurs !). C’est aussi un des fondements de mon
travail tout comme la notion d’échec, omniprésente chez Beckett.
C’est aussi la thématique de la vieillesse qui traverse les textes de Beckett, thématique qui jusqu’à
présent ne « pouvait » ou « ne devait » pas être présente dans mon travail ou alors qu’en négatif.
Ce n’est plus le cas avec la création en 2007 de “Au bord de mes/nos ténèbres” sur la notion du
temps et de son usure sur nos corps (charnels et sociaux) et nos pensées.
Vieillesse qui ne veut pas dire abandon, bien au contraire, mais vitalité , bagarre, et bonne dose d’humour sur soi !
« C’est presque toujours un humour noir : acharné à la réduction de l’espoir, l’humour doit être
mesuré par la même transcendance qui empêche l’homme de sombrer dans l’abrutissement de la
douleur, le langage dans la complaisance du pathétique ».
Humour fait de calembours, de jeux de mots, de clowneries….
Beckett nous parle au plus près de ce qui nous habite, nous embarque au plus profond de l’individu, de sa solitude, en travaillant et en retravaillant la forme. Le cœur de son travail, le secret de sa
vitalité, c’est l’écriture ; les mots deviennent le but même de l’œuvre ; c’est le triomphe du langage
dans un termps où l’on cherche à le nier, à le réduire à néant, à l’heure de la supprématie de l’image.
C’est aussi une recherche de toute une vie de vouloir se taire et de ne jamais le pouvoir…, le vouloir !
Jusqu’au dernier souffle !...
Samuel Beckett
La dernière bande
André Geyré / notes d’intentions...
« Tu me demandes quelques lignes sur mon désir de comédien de travailler «La dernière bande»
de Beckett.
Je dirais plutôt «sur mon désir de jouer cette partition». Car ce qui me vient spontanément à l’esprit
en songeant au théâtre de Beckett, c’est l’aspect profondément ludique de sa démarche ; une
démarche au fond très simple et qui, je pense, prend sa source dans l’esprit d’enfance.
J’aime ici cette voix qui se met en jeu, qui se joue d’elle-même et des autres.
J’aime cette jubilation secrète qui parcourt toutes ces bribes, tous ces fragments de phrases.
Certes, la gravité et l’émotion sont toujours là, mais aussi le plaisir des mots, des mots qui font mouche, le plaisir de la langue juste, avec au bout la beauté du poème.
Un cadeau pour un acteur.
Et quelle admirable partition !...»
André Geyré - Juillet 07
Jackie Challa : provoquer
une rencontre autour de Beckett
La parole de Beckett me paraît aussi indispensable que le pain quotidien. Faut-il encore trouver les
artistes qui sachent donner une voix/voie à cette pensée poétique.
Ma rencontre avec Jean Luc Terrade se fit autour de son spectacle sur Sade : précision, force, sensibilité, souffle poétique sont les mots qui me reviennent pour caractériser ce magnifique moment.
Emue et bousculée, j’ai suivi son travail et j’ai découvert qu’il avait la même justesse avec l’écriture
de Samuel Beckett.
Une lecture publique d’André Geyré m’a fait découvrir Valère Novarina : puissance de la parole,
souffle de la langue, jeu subtil entre humour et gravité. J’étais encore une fois bousculée et curieuse
d’en savoir un peu plus sur cet acteur-lecteur tellement à l’aise dans cette langue pourtant si novatrice.
J’ai proposé à Jean Luc Terrade de mettre en scène « La dernière de bande » de Samuel Beckett
avec André Geyré dans le rôle de Krapp. Ils ne se connaissent pas mais ils ont en commun un
auteur majeur qui les accompagne dans leur vie d’artiste.
Pour toutes ces raisons, je crois sincèrement que ce projet est une proposition artistiquement juste.
Jackie Challa
Biographies
Metteur en scène
Jean-Luc Terrade
Son parcours se confond étroitement avec celui de la compagnie Les marches de l’été.
A Paris, jusqu’en 1991, il met en scène principalement des auteurs contemporains (Pinget, Deutsch,
Genet, Beckett, F. Zorn…. ) ainsi que des œuvres originales sans texte où le langage des corps des
acteurs est en première «ligne», il se «frotte» à l’écriture chorégraphique avec le Théâtre du
Mouvement et avec Francesca Lattuada.
Il arrive en Aquitaine en 1991, à Sarlat (Dordogne) puis à Bordeaux en 1994 où il est co-fondateur
du TNT-Manufacture de Chaussures. Il s’installe au Bouscat (l’Atelier des marches) en 2000.
Il travaille sur des textes de Lagarce, Beckett, Sade, Duras, Müller, Büchner, Guyotat, mais aussi
Feydeau, Marivaux et Molière.
Il poursuit également son travail de création sur le langage des corps (« Quelques petits riens » et
« Au bord de mes / nos ténèbres » créé à Novart/Bordeaux 2006, “Le Modèle de Molinier” solo
chorégraphique (avec Sylvain Méret) créé en 2005 et programmé depuis, notamment à Londres
au Mime Festival, au Festival Bellones Brigitines à Bruxelles, à la Fundition à Bilbao et à la Biennale
de danse du Val de Marne).
Depuis 2004, il organise et dirige le Festival pluridisciplinaire des formes courtes : Les Rencontres
du court – 30’’30’ (manifestation pluridisciplinaire réunissant une vingtaine de spectacles courts sur
dix jours).
Pour Jean-Luc Terrade, il n’y a pas de différence dans le travail, que le vecteur soit le langage du
corps ou qu’il soit le langage des mots : « Les mots emportent tout, tirent, tout, sans les mots la
mort est là , mais il y toujours les mots, ils n’en finissent plus comme dans le travail de corps qui ne
cesse de vivre et de respirer, même dans le moindre geste et dans l’économie de moyens… »
Biographies
Comédiens
André Geyré
« Chemin de vie….
Chemin emprunté voici plus de cinquante ans sur les bancs d’un collège avec des lectures à voix
haute dans un réfectoire soumis au silence.
Conservatoire à Bordeaux : chant et comédie.
Service militaire ; là aussi le théâtre – Molière joué devant des artilleurs hilares !
Passages éphémères dans la capitale... Et ensuite la longue aventure de la « décentralisation »,
notamment à Bourges, auprès de Gabriel Monnet, pour les premiers pas de la Maison de la culture. L’hexagone sillonné du nord au sud, de l’est à l’ouest avec les rôles du répertoire classique, les
rôles contemporains chez Ionesco, Adamov, Obaldia, Brecht, et surtout Beckett qui change alors
radicalement le regard et vous fait respirer autrement.
Ces dernières années à Pau : un lieu, lieu de lectures et de petites formes, toujours en compagnie
des poètes : Kafka, Michaux, Blanchot, Artaud, Char, Novarina …
Mais aussi régulièrement au Théâtre du Fenouillet dans la Drôme : «Johan Padan» de Dario Fo –
spectacle à deux voix joué sur les places publiques et chez l’habitant.
Présentement – en 2007 – une autre création : « Bonbon, Bartolo et Zalamite » de l’écrivain algérien AbdelKader Djemaï , un autre duo avec Sylvain Bauguil et qui s‘apprête à partir sur les routes...»
Daniel Strugeon
Il se forme auprès de Y. Sevasticouglou, à l’École nationale du cirque A. Fratellini,
Il rencontre Jean-Luc Terrade en 1983 qui l’a dirigé depuis dans une dizaine de spectacles ; il joue
également pour Fabrice Dugied, Jean-Pierre Chérès, Louis Morand, Matthew Jocelyn, Véronique
Widock, Olivier Maltinti, Pascale Bonnet. ; stages AFDAS et travaux avec S. Maurice, J.-Cl. Fall, J.P. Roosfelder, P.-A. Villemaine.
Il assure par ailleurs la direction artistique du Théâtre du Canal de 1990 à 2001 (mises en scène de
Beckett, Racine, Godard, Visdeï), puis celle du Théâtre du Large depuis 2002 (Beckett, Racine,
Lagarce) ; il dirige des ateliers de formation théâtrale de 1990 à aujourd’hui.
Il a participé fin 2006 à la création de « Au bord de mes/nos ténèbres » spectacle de Jean-Luc
Terrade.
En 2008, on l’ a retrouvé dans la reprise des « Femmes Savantes » de Molière (mise en scène de
Jean-Luc Terrade)
Samuel Beckett
La dernière bande
“Entre un homme qui se dépouille de mots en parlant”
Valère Novarina
Citations...
“Je suis obligé de parler. Je ne me tairai jamais. Jamais. » L’obligation est énigmatique. Elle le
restera, jusqu’à la fin de l’œuvre de Beckett. Si l’on s’en tient à la première phrase, Je suis
obligé peut nous sembler limpide. C’est la condamnation au langage que le vingtième siècle nous a forcé à entendre. L’homme dans le langage, comme l’écrit Benveniste, qui
précise benoitement que le « je » n’a d’autre réalité que le discours . Le « parlêtre »,
selon Lacan, qui aime à emboutir les mots, l’être humain auquel parler enlève de l’être,
défait, détricoté par sa condamnation au langage, qui n’attend pas sa naissance : entrée
dans le royaume d’une entière déréliction. La seule faute, diront les parleurs de Beckett,
c’est de naître.”
Alain Badion (Beckett)
“… Mais comment lire ces textes sans entendre que Beckett nous parle et que l’Autre
qu’on peut écrire avec une majuscule, l’Autre, c’est nous. De là aussi, le rire. Pas des
éclats de rire, comme au théâtre, mais une sorte de rire continu qui rebondit, comme
un caillou roulé dans une rivière.”
Marie Depussé ( Beckett corps à corps)
“Le moi est mort, l’acteur le sait : il apparaît pour un autre, et c’est lui-même.
Inintérieur est l’acteur vrai !”
Valère Novarina
Cette fois
Cette fois
Samuel Beckett
Durée : 20 mn
Mise en espace et voix :
Avec :
Son :
Costume :
Maquillage :
Distribution
Jean-Luc Terrade
Daniel Strugeon
Karina Ketz
Fanny Mandonnet
Michèle Bernet
“Cette fois”... un vieux visage blême semble écouter des bribes d’une seule et même voix, la
sienne, relatant sans discontinuer trois souvenirs “distincts”. Et toujours une seule et même
question : “quand c’était”
“Cette fois” est un travail sur ce “flot ininterrompu de mots et de larmes...” - dont parle l’auteur, sur le murmure, le soliloque. Le dialogue “extérieur”, ici, ne peut plus exister, et d’ailleurs
parler à qui ? A qui d’autre qu’à soi-même ?
Contraste de la liberté, de la mobilité des mots avec le visage immobile, seul un clignement
d’yeux par moment.
“cette fois où tu es retourné
cette dernère fois voir si elle était
là toujours la ruine où enfant tu
te cachais quand c’était...journée
grise avec le 12 jusqu’au bout de
la ligne et de là à pied mais
non...”
“La dernière bande” (1958) et “Cette fois”(1974), deux textes écrits à 16 ans d’intervalle qui
se répondent comme en écho. Pour Beckett, toujours la même obstination : dire pour tenter
de parvenir au bout des mots, au silence, tenter d’en finir... avec le théâtre aussi. Ou alors d’en
arriver à l’essentiel.
C’est toujours le même personnage qui est là, qui parle, car dans toute l’œuvre de Beckett, c’est
son alter ego qui s’exprime, un autre lui-même. Nous retrouvons donc ce même personnage
à deux moments de sa vie qui pourraient ne pas être si éloignés !... A la recherche du temps...
de l’enfant, de l’amoureux, de l’écrivain, du clochard....
Si la scénographie de “la Dernière bande” se décline en noir et blanc, celle de “Cette fois”
prend le parti de la couleur.
Conditions financières
La dernière bande et Cette fois
1 représentation : 2 500 € HT
+ transport décor + transport et défraiements 5 personnes
Calendrier de création et de diffusion
Création et première diffusion
11 au 15 novembre - Atelier des Marches - Le Bouscat dans le cadre de Novart 2008
24 et 26 janvier 2009 - Centre Culturel du Piémont oloronais - Oloron-Ste Marie (64)
27 janvier 2009 - Scène de Pays d’Orthez (64)
30 janvier 2009 - Les Découvertes - Biarritz (64)
4 février 2009 - la Centrifugeuse - Université de Pau (64)
28 février et 1er mars 2009 - Théâtre du Fenouillet - Saint-Gervais-sur-Roubion (26)
Une autre texte de Beckett
“Oh les beaux jours” :
Après la création de “La dernière bande”, Jean-Luc Terrade dirigera Babeth Fouquet et Daniel
Strugeon dans un autre texte de Samuel Beckett “Oh les beaux jours”.
Création et diffusion à partir du dernier trimestre 2009.
Dossier du spectacle sur simple demande.
Contacts
Production et diffusion
Cie Les marches de l’été - 17 rue Victor Billon - 33110 LE BOUSCAT - 05 56 17 05 77
Marion Pouget - 06 75 48 33 39 - [email protected]
Cie Les marches de l’été
Direction artistique : Jean-Luc Terrade
17 rue Victor Billon - 33110 LE BOUSCAT
05 56 17 05 77 - Fax : 05 56 17 03 83
Email : [email protected]
www.marchesdelete.com
La compagnie Les marches de l’été est conventionnée par le
Ministère de la Culture / DRAC Aquitaine - et subventionnée
par le Conseil Régional d’Aquitaine, le Conseil Général de la
Gironde, le Ville de Bordeaux, la Ville du Bouscat

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