Recommandations pour la rédaction de brèves dans la lettre

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Recommandations pour la rédaction de brèves dans la lettre
Recommandations pour la rédaction de brèves dans la
lettre électronique Esc@le.
Vous trouverez ci-dessous les recommandations pour la rédaction d’une brève dans le cadre de la
lettre Esc@le, lettre d’information électronique diffusée par le Pôle-relais zones humides de
l'Atlantique, de la Manche et de la mer du Nord.
Format du document : Word
Taille de la brève : 6 à 8 lignes maximum
Mettre le contact (personne à contacter au sujet de la brève), sa fonction, sa structure /n° de
tel/fax, email.
Ajouter des liens hypertextes au besoin en bas de la brève. (ex : renvoi vers de la
documentation à télécharger, ou sites web à consulter sur un projet)
Ne pas oublier de nous joindre des images/photos pour illustrer cette brève. Il est préférable
de ne pas les intégrer à la partie rédigée, mais de les envoyer à part sous format .jpg ou .gif.
Nous préciser le crédit photo (auteur à afficher) et la légende de la photo.
Pour les éventuelles pièces à télécharger (ex : programme de colloque, rapport…), nous
transmettre :
- si des liens hypertextes existent déjà pour ces pièces à télécharger (vers votre site Internet
par exemple), nous transmettre de préférence ces liens.
- si le document n’est pas disponible sur un site Internet, vous pouvez nous l’envoyer par mel
à l’adresse suivante : [email protected]
Pour toute autre information, veuillez contacter :
Christelle Boucard
Chargée de mission
Documentation - édition
Forum des Marais Atlantiques
Quai aux Vivres BP 40214
17304 Rochefort sur Mer
Ligne directe : 05 46 87 80 36
Fax : 05 46 87 69 90
Email : [email protected]
Exemple de brève pour la lettre Esc@le
(s’en inspirer pour votre brève)
Brève
Titre : SEACASE - projet de recherche sur l’aquaculture.
Un groupe de chercheurs et d’ingénieurs de cinq pays européens (Portugal, Espagne, France, Italie et
Grèce) a coopéré durant trois années dans un projet cofinancé par la commission européenne, pour
évaluer la durabilité de l’aquaculture extensive et semi-intensive en zone humide littorale.
En savoir plus
En cliquant sur le lien « en savoir plus », le lecteur aura accès au site internet qui
présente le contenu détaillé du projet.
Soit pour cet exemple :
http://www.forum-marais-atl.com/seacase.html
SEACASE : Un projet de recherche sur l’aquaculture durable des
zones humides littorales du sud de l’Europe
Un groupe de chercheurs et d’ingénieurs de cinq pays européens (Portugal, Espagne, France,
Italie et Grèce) a coopéré durant trois années dans un projet cofinancé par la commission
européenne, pour évaluer la durabilité de l’aquaculture extensive et semi-intensive en
zone humide littorale.
Le déclin des stocks de poissons nécessite de se tourner vers
des ressources alternatives. En effet, la plupart des stocks
européens sont sur-pêchés (environ 81% des ressources
connues). A cela s’ajoute une forte demande en mollusques
(huître, moules, palourdes, etc.) et crevettes.
Valliculture, Italy - Source ICRAM
L’aquaculture intensive s’attache depuis deux décennies à
pallier ces besoins. Néanmoins l’amélioration des méthodes
extensives et semi-intensives peut appuyer une aquaculture
plus respectueuse, en améliorant également sa rentabilité.
Le but du projet SEACASE a été de développer des outils pratiques pour améliorer la
compétitivité et la productivité des pratiques extensives et semi-intensives, en vue de
conduire à une meilleure durabilité et rentabilité de celles-ci. Pour leur donner toute leur
place, ces productions spécifiques de poissons mollusques et crevettes doivent aussi pouvoir
bénéficier d’une meilleure image vis-à-vis du public.
En offrant notamment des conditions de vie et d’habitat plus
conformes à des conditions naturelles, ces pratiques
garantissent des conditions de bien être ainsi qu’une
alimentation plus proche des régimes naturels (avec
supplémentassions selon le cas). Un des objectifs qu’a atteint
SEACASE a été de trouver des marqueurs de qualité pour
différencier et créer une valeur ajoutée à ces produits visà-vis des productions intensives. Le projet a également
Pisciculture extensive - Cadix Source FMA
développé des codes de bonnes pratiques aquacoles
susceptibles de soutenir des certifications de qualité pour ces productions. Une synthèse et des
propositions ont été formulées dans ce sens.
Le projet SEACASE a été piloté par des chercheurs du
Centre des Sciences Marines de l’Algarve (CCMAR –
Portugal), mais des équipes françaisesavaient en charge
trois des six thèmes du projet :
- l’Ifremer (laboratoire de Bouin, laboratoire de Nantes)
et le le CREAA (Centre Régional d’Expérimentation et
d’Application Aquacole de Poitou Charentes) : étude de marqueurs de qualité qui pourraient
différencier des produits issus de l’aquaculture extensive et semi-intensive, de ceux issus de
l’aquaculture intensive ;
Pisciculture extensive : Lagon d’Agrilos Grèce
- Université de Bretagne Occidentale (Brest) : analyse socio-économique des systèmes de
production, complétée par une évaluation du potentiel relatif aux bénéfices et aux coûts non
marchands, incluant les aspects sociaux et patrimoniaux ;
- le Forum des Marais Atlantiques : état des lieux des pratiques de culture extensives et
semi-intensives (poissons, crevettes et mollusques bivalves) dans les zones côtières d’Europe
du Sud. Les autres pays ont hébergé également des sites expérimentaux où se sont déroulées
des études fondamentales, appliquées et comparatives (méthodes d’élevage, nutrition, bienêtre, croissance, qualité des produits, inventaires des pratiques, études économiques,
cartographie des zones de production, etc.).
En promouvant ce type d’aquaculture, le projet a fourni des
outils d’aide à la décision pour la gestion côtière pour ces
zones humides d’intérêt environnemental particulier. Il
s’est focalisé sur l’importance particulière de ces zones dans
une production aquacole de qualité supérieure, susceptible de
fournir des emplois. Ces marais naturels et aménagés
hébergent une biodiversité considérable, et sont d’importance
majeure pour l’éducation à l’environnement et l’écotourisme.
Olhão, Portugal - Source IPIMAR
Contact : Loïc Anras, Responsable eau & milieux aquatiques, email, tél
Lien vers site Internet : http://www.forum-marais-atl.com/seacase.html
Crédits Photos : Loïc Anras /Forum des marais atlantiques
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