D o s s ie r d e p re s s e

Transcription

D o s s ie r d e p re s s e
Dossier de presse
La Fabrique est un nouveau lieu culturel à Nantes, unique en son genre, ouvert aux
artistes et à tous les curieux qu'ils soient petits ou grands. Lieu de création, de
l'expérimentation de nouvelles pratiques artistiques, scènes de spectacle, lieu de vie...
Lancement le 30 septembre 2011
Contact presse
Claudine Colin Communication
Tél : 01.42.72.60.01
Mèl : [email protected]
Sommaire
La Fabrique, un grand projet pour Nantes
p 3-7
Un nouvel outil de rayonnement pour la ville de Nantes
Un nouveau lieu pour une culture vivante
Une démarche innovante
Les acteurs et le financement
Le 1% artistique
Le projet architectural
p 8-10
Les premiers occupants de la Fabrique
p 11-16
Une gouvernance collective
Trempolino
Stereolux
Apo33
Microfaune
Mire
La Fabrique au cœur du Quartier de la création
p 17
Visuels libres de droit
p 18
Informations pratiques
p 19
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LA FABRIQUE, UN GRAND PROJET POUR NANTES
Un nouvel outil de rayonnement culturel à Nantes
Le projet de la Fabrique s’inscrit dans la volonté de la municipalité de soutenir l’émergence
artistique, les nouvelles formes de création et de prendre en compte les attentes des
artistes et des créateurs. L’enjeu de la Fabrique est de permettre à ces expériences qui
représentent aujourd’hui une dynamique culturelle innovante de se développer dans les
meilleures conditions.
Cette démarche fait partie intégrante d’une politique globale qui a pour objectif d’apporter des
solutions adaptées à la multiplication des initiatives artistiques, à la nécessité d’accompagner et de
valoriser les cultures émergentes, à la volonté d’apporter des réponses collectives favorisant l’intérêt
général et à la constitution de réseaux culturels à l’échelle locale, nationale et internationale.
La création prend ses quartiers sur l’Ile de Nantes
La Fabrique s’inscrit dans la dynamique d’un double projet :
Un projet global d’aménagement
La Fabrique s’inscrit dans la dynamique de transformation urbaine de l’île de Nantes. Ce territoire de
337 hectares situé au cœur de la métropole fait l'objet d'un grand projet guidé par le développement
culturel, économique et social de la métropole Nantes Saint-Nazaire. La requalification des anciens
sites portuaires et industriels est l’une des composantes majeures de cette transformation. Après la
mise en place des Machines de l’île en 2007 dans les Nefs, l’implantation de la Fabrique sur le site des
anciens chantiers navals est une nouvelle illustration de cette dynamique.
Un projet économique dans le projet d’aménagement
La Fabrique est intégrée au sein d’un pôle d’économie créative développé autour de plusieurs formes
d’activités :
- Les activités artistiques (arts visuels, arts de la scène, patrimoine)
- Les industries culturelles (édition, cinéma et vidéo, jeux et loisirs, etc.)
- Les industries créatives (mode, design, publicité, etc.)
La SAMOA, Société d’Aménagement de la Métropole Ouest Atlantique, assure la maîtrise d’ouvrage du
projet de l'île de Nantes depuis 2003 et a reçu en 2011 un mandat pour la création, l’animation et le
développement du cluster du Quartier de la création de l’île de Nantes.
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Un nouveau projet pour une culture vivante
Un projet au service des projets
La Fabrique est un ensemble d’espaces destiné aux artistes et aux structures de production,
d’accompagnement et de diffusion locales, nationales et internationales qui ont besoin d’outils de
création et d’accompagnement pour réaliser leurs projets artistiques. Il s’agit d’un lieu
transdisciplinaire ouvert à tous les publics et accueillant toutes les formes d’émergence.
Un projet co-élaboré
La Fabrique a été imaginée et élaborée en liens étroits avec des acteurs culturels nantais afin
de répondre au mieux à leurs besoins en matière de production et de création. Ainsi, cinq associations
nantaises, Apo 33, Microfaune, Mire, Songo (Stéréolux, ex-Olympic) se sont investies avec la Ville pour
donner naissance à ce projet dans toutes les phases de sa réalisation.
Un projet de proximité culturelle
Construite à l’initiative de la Ville de Nantes, La Fabrique s’inscrit dans une démarche de proximité
culturelle et artistique, d’aménagement du territoire et de mise en réseau des acteurs culturels. Ainsi,
d’autres « Fabriques » verront le jour dans les différents quartiers de la Ville, à l’image de la Fabrique
des Dervallières qui a ouvert ses portes en décembre 2009.
La Fabrique des Dervallières
Installée au cœur quartier dans les locaux de l’ancienne école primaire, la Fabrique des Dervallières
a ouvert ses portes en 2009.
Elle abrite des espaces de création et d’expérimentation ouverts aux
associations, collectifs ou artistes locaux, nationaux ou internationaux,
avec l’ambition de favoriser une véritable inscription culturelle et artistique
dans le quartier.
Elle entend ainsi favoriser l’émergence de projets culturels et inviter à toutes les formes de
métissages ou de synergies les disciplines artistiques et les acteurs culturels présents sur le
quartier.
Cette fabrique héberge des associations culturelles du quartier (La Luna pour les arts plastiques
et Rapacité pour la musique rap -qui développent des projets artistiques et de formation en lien avec
le quartier-, une pépinière d’associations culturelles gérée par Trempolino (Fragil, Frasques, Cie
Quidam, VIA, Spoutnik Théâtre Production, Atelier Flexible), le collectif YOLK (Collectif de musiciens
de jazz et label reconnu nationalement) et des artistes, des associations ou des collectifs en
résidence.
Outils :
• un espace de 100m² pour des résidences de création de courte durée (de 1 jour à 1 mois)
• 3 salles de 54m² pour des résidences de création de longue durée (de 1 mois à 1 an)
• 1 studio d’enregistrement
• des bureaux (pépinière associative)
• des ateliers
• des espaces communs de convivialité (cantine, salle de réunion …)
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Une démarche innovante
Expérimentation artistique
Lieu laboratoire par essence, la Fabrique donne à voir l’art sous toutes ses formes. La Fabrique
attache une importance majeure à l’expérimentation comme méthode de création artistique et
comme mode de construction et de développement des projets.
Les pratiques et fonctions de la Fabrique
MUSIQUES ACTUELLES / MULTIMEDIA / ARTS VISUELS / ARTS VIVANTS / CINEMA /
EXPERIMENTATION ARTISTIQUE / DIFFUSION / FORMATION / CREATION /
Un réseau d’acteurs en France et à l’étranger
Par sa dimension locale affirmée, la Fabrique s’inscrit dans le dynamisme associatif et créatif
nantais. Au-delà des formes artistiques, des modes de production, des territoires d’actions, des
expériences et des parcours, elle rassemble avant tout un réseau d’acteurs. Par son caractère
novateur et son rayonnement, elle entend mener un rôle actif dans le développement des
coopérations artistiques à l’échelle internationale.
L’éthique du projet
La Fabrique s’engage pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles
dans l’esprit des textes de l’UNESCO et de l’Agenda 21 pour la Culture.
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Les acteurs et le financement
LA FABRIQUE
Maîtrise d’ouvrage : Ville de Nantes (Mandat SAMOA)
Maîtrise d’œuvre : Agence TETRARC Architectes
Durée des travaux : 25 mois
Mise en service : septembre 2011
Coût global de l’opération :
27,9 M€ TTC
Ville de Nantes :
18 310 976 €
Région des Pays de la Loire :
2 508 361 €
Conseil général de Loire-Atlantique :
2 080 663 €
Etat :
2 M€ dans le cadre du Plan de relance
Feder :
2 M€
Nantes Métropole :
1 M€
Le 1% ARTISTIQUE
Livraison : août 2011
Coût global de l’opération :
140 000 € TTC
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Le 1% artistique
Le projet "Shake, baby, shake" de Mickaël Sellam
L'obligation de décoration des constructions publiques, appelée « 1% artistique » est une
procédure spécifique de commande d'œuvres d'art à des artistes. Elle impose aux maîtres
d'ouvrages publics de réserver un pour cent du coût de leurs constructions pour la commande
ou l'acquisition d'une ou plusieurs œuvres d'art spécialement conçues pour le bâtiment
considéré.
Une œuvre artistique en cohérence avec la Fabrique
Dans le cadre de la construction de la Fabrique, l’opération du 1% artistique a pour but d’afficher la forte
ambition culturelle du projet, de soutenir la création et les formes émergentes en croisant les formes
artistiques. 46 candidats ont proposé leur dossier au comité artistique présidé par Jean-Louis Jossic,
Adjoint en charge de la culture à la Ville de Nantes. Ce comité a choisi à l'unanimité l'œuvre
contemporaine de Mickaël Sellam "Shake, baby, shake". Cette œuvre artistique sera permanente et sera
livrée fin août 2011.
Un projet contemporain innovant
Le projet de Mickaël Sellam pour la fabrique a pour objectif de rendre sensible, lisible, les différentes
expressions de joie musicale exprimées lors des concerts dans la salle 1200 et les confronter de manière
radicale au bâtiment B. Suspendu au dessus du public de la salle 1200, un système d’observation, de
capture est orienté et concentré sur l’activité du public (caméra thermique, microphone parabolique…).
Ces informations sont ensuite converties et transformées (logiciel spécifique) pour devenir une pulsion
rythmique, un indice d’ambiance qui sera actionné par une machine étrange placée devant le bâtiment B.
Cette sculpture « Shake Baby Shake » composée d’un piston massif détermine les mouvements d’un
vérin de la largeur d’un disque 45 tours qui s’approche et percute la surface de la paroi en fonction de
l’intensité de l’activité de la salle de concert. Cette machine est entièrement réalisée avec des matériaux
de machines outils professionnelles (2m par 1m60) et reflète largement la mémoire du site des chantiers
et la dimension technologique dévolue au quartier. Ce projet est d’une grande créativité, poétique et fort
à la fois.
L'artiste Mickaël Sellam
Né en 1975, Michaël Sellam, vit et travaille à Paris. Michaël Sellam met en évidence l’omniprésence de la
technologie et son emprise sur l’homme. Ces univers sont en général mêlés pour créer, à la manière d’un
conte, une synthèse du monde réel et des environnements parallèles issus de l’Internet et du paysage
audiovisuel. Il multiplie les références au monde des loisirs populaires avec un intérêt particulier pour les
pratiques amateurs et les formes de sous culture et de contre-culture. Il a largement intégré l’utilisation
de l’informatique et des nouvelles technologies et s’appuie sur ces instruments techniques en les mixant
aux pratiques populaires pour produire des rencontres monstrueuses et distordues.
Le comité artistique
Le comité artistique a été présidé par Jean-Louis JOSSIC. Il associe l'Etat représenté par le
service des Arts Plastiques de la DRAC Pays de la Loire (Claire Nedellec), des personnalités qualifiées
dans le domaine des arts visuels (Pierrick Sorin, Jean-François Courtillat, David Moinard, Pierre-Jean
Galdin), le maître d'ouvrage (Marie Chapelain), l'architecte (Michel Bertreux) et les utilisateurs (Vincent
Priou).
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LE PROJET ARCHITECTURAL
Au carrefour des boulevards Léon-Bureau et Prairie-aux-ducs, la Fabrique est un ensemble
architectural dont la maîtrise d’ouvrage a été déléguée par la Ville de Nantes à la SAMOA et la maîtrise
d’œuvre confiée à Michel Bertreux, Agence Tetrarc Architectes. Le projet prévoit deux bâtiments : le
premier (bâtiment A), dans son aspect post-industriel, symbolise l’esprit des chantiers. Le deuxième
(bâtiment B), s’érige comme une machine de lumière, véritable point de repère dans la collection des
objets brillants posés sur l’île de Nantes.
Bâtiment A / 4 900 m2
Le long du boulevard Léon-bureau, posé parallèlement aux Nefs, un grand bâtiment dans l’esprit des
hôtels industriels abrite entre autre le projet de l’association Songo. Ainsi, deux salles de spectacles
respectivement de 1200 et 400 places permettront l’accueil en diffusion de nombreux groupes et
artistes musiciens dans une ambiance plutôt futuriste.
La salle Maxi permet l’accueil de projections vidéo, elle comporte 270 places assises agencées en
balcon, avec la possibilité d’ajouter 278 places assises en parterre (gradin amovible) et des places
assises pour les handicapés (environ 20).
La salle Micro, qui prévoit une jauge de 200 à 400 places, est plus particulièrement destinée aux
projets de diffusion associatifs.
Un espace de 140 m2 d’expérimentation artistique : la Plateforme Intermedia située à
l’étage supérieur et accessible de manière autonome, accueille l’expérimentation et la recherche
autour du son et du multimédia. Des expositions seront proposées régulièrement dans ce lieu ouvert
au public.
Outre les espaces techniques, les espaces artistes et ceux de coordination, au dernier étage, un
plateau de 300 m2 accueille la création et l’expérimentation multimédias.
Le hall d’accueil (350m2) est aussi un lieu convivial de type bar-brasserie ouvert en journée.
Bâtiment A
- 2 salles de diffusion Maxi et Micro de 1200 et 400 places : concerts, créations
et répétitions, spectacles transdisciplinaires, projections, performances
- 1 centre de création et d’expérimentation multimédia
- 1 espace multimédia de création-monstration (expositions)
- 1 bar - brasserie
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Bâtiment B / 2 300 m2
Derrière les Nefs, à l’angle du boulevard Léon Bureau et du boulevard de la prairie aux ducs,
se situe le Bâtiment B de la Fabrique, cube métallique posé sur l’ancien Blockhaus et qui se
déploie sur 7 étages.
Ce bâtiment héberge les activités de Trempolino. Au rez-de-chaussée, le blockhaus abrite le
hall d’accueil avec un bar, une petite scène pour les show-cases et performances, ainsi
qu’une mezzanine pour l’information ressources.
Une terrasse sert de lieu d’accueil au bus MAO de Trempolino, espace de travail célèbre qui a
sillonné le département et les quartiers de Nantes.
5 étages de studios de répétition, de formation et d’enregistrement permettent l’accueil de
nombreux musiciens et artistes.
Bâtiment B
- 16 studios de répétition et de création, dont 6 studios de formation
- 1 studio d’enregistrement et de postproduction
- 1 centre d’informations ressources
- 1 espace d’accueil, de rencontres, de débat et de conférence
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Jardin C / 300 m2
Au bout des Nefs, à côté du bâtiment B et le long du boulevard de la prairie aux ducs, se
situe l’emprise d’un projet de jardin expérimental développé par l’association Mire.
Mire propose un projet expérimental ouvert aux habitants, aux associations de l’île et aux
artistes. Il s’agit de développer un espace-lieu provisoire d’expérimentation et de
construction collective sur la thématique des jardins et de la nature autour de deux axes :
• une création partagée impliquant les habitants du quartier, les associations, le SEVE et les
équipes de quartiers : constituer un groupe de pratique et de réflexions, dit « brigade
verte », qui participerait à des projections (Land Art), des conférences (histoire &
problématiques des jardins), des formations (esthétique du jardin, dépollution,…), des visites
(Crapaudine, ….). Les différents ateliers doivent conduire à la co-construction d’un jardin,
d’un cabinet de curiosité et d’une clôture.
• la présentation d’une création artistique « Time after, un paysage numérique en temps
réel » de Chris Welsby dans un container mobile (artiste canadien accueilli en résidence
d’artiste). Création artistique qui explore les interactions entre l’image en mouvement, les
paysages et les phénomènes naturels, interroge l’image comme révélateur d’un territoire.
Véritable laboratoire des imaginaires, le projet de Mire s’inscrit dans une volonté de porter
l’expérimentation au sein de la Fabrique.
Jardin C
- 1 jardin en expérimentation
- 1 container mobile, espace d’accueil de créations artistiques et d’ateliers
« Les gens se demanderont comment un jardin peut être art, pour moi l’art n’est pas tellement un
produit, c’est plutôt un processus. L’art « se développe » d’un connu vers l’inconnu. L’art prend la
responsabilité de l’énergie sous une forme appropriée. » Maryanne Caruthers-Atkin. Citation tirée de
Overlay de L. Lippard, 1983
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LES PREMIERS OCCUPANTS DE LA FABRIQUE
Une gouvernance collective
La Fabrique a été imaginée en concertation avec des acteurs culturels nantais afin de
répondre au mieux à leurs besoins en matière de production et de création. Ainsi, et
particulièrement cinq associations nantaises, Apo 33, Microfaune, Mire, Songo (Stéréolux) et
Trempolino se sont investies aux côtés de la Ville de Nantes pour donner naissance à ce
projet dans toutes les phases de son élaboration. Une gouvernance collective innovante est
expérimentée et permet de défendre et de garantir la diversité des projets accueillis. Il n’y a
donc pas de direction artistique unique, mais un comité composé des associations de la
Fabrique et de la ville de Nantes pour porter la philosophie du projet.
Le projet de gouvernance trouve tout son sens dans la volonté de partager des valeurs
éthiques que la pratique de la Fabrique veillera à mettre progressivement en place. Ces
valeurs se réfèrent aux principes des droits culturels et visent à renforcer les libertés des
acteurs dans le respect des règles communes de solidarité et de démocratie. Il s’agit d’une
démarche éthique qui est engagée au sein de la Fabrique et de son réseau de Laboratoire(s)
Artistique(s).
Les objectifs d’une gouvernance collective
Créer les conditions de la réalisation des enjeux des Fabriques,
Poser une organisation des acteurs démocratique et participative,
Définir et organiser les instances pertinentes de réflexion et de décision entre les
acteurs, les services des collectivités, les élus.
Définir de manière transparente des critères et des décisions d'attribution des
espaces des Fabriques aux structures et artistes du territoire (cahiers des charges),
Assurer une animation et une mise en réseau dynamique des acteurs, des
compétences et des projets accueillis,
Installer un espace d'échange et de discussion pour générer des projets collectifs,
Produire collectivement des réflexions et des propositions pour mettre en œuvre des
pratiques innovantes dans le champ du culturel et des politiques publiques
(développement local, interface sociale culture, économie et initiatives culturelles,
gouvernance citoyenneté…),
Évaluer l'application des critères d'attribution et des objectifs du projet du réseau de
la Fabrique.
Les chantiers prospectifs
L’objectif des chantiers prospectifs est de proposer des groupes de travail et de réflexion à
visée prospective, sur des fonctions de la Fabrique ou sur des thématiques transversales, au
service des projets et de l’intérêt collectif. La démarche se veut très ouverte et souple sur la
manière de traiter les sujets, pouvant aboutir sur des séminaires de travail, des études, des
formes d’actions collectives et expérimentales, ou toutes sortes d’actions permettant de
produire de l’analyse et de l’intelligence collective.
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Trempolino
Présentation de l’association
Créée en 1990, à l'initiative des partenaires publics et des acteurs des musiques actuelles, Trempolino
accompagne les artistes, les musiciens, les organisateurs de concerts, les labels, les développeurs
dans la mise en œuvre de leurs projets. Après vingt années d'actions et d'expérimentations réussies,
l’installation à La Fabrique permet à l’association de rester tournés vers l'innovation tout en basant son
projet sur une charte éthique culturelle et des principes d’économie solidaire.
Pour Trempolino, La Fabrique est un espace de rencontre où se croisent, se confrontent, se
construisent et s'exposent des histoires artistiques multiples. C'est un lieu de projets et d'initiatives qui
favorise l'émancipation des personnes, qui porte une vision globale des pratiques au coeur des enjeux
artistiques, sociaux et économiques. C'est un projet qui contribue au vivre ensemble et à un
développement harmonieux du territoire.
Le projet de Trempolino pour La Fabrique
Soutenir les pratiques artistiques en interaction avec les territoires
En quête permanente de croisements entre culture et société, Trempolino accompagne la diversité
des pratiques musicales (apprentissage, expérimentation…) et permet différentes formes de
transmission et de présentation, par la mise en oeuvre de dispositifs d'accompagnement et d'espaces
adaptés : studios de répétition et d'enregistrement, ateliers de pratique musicale, actions de territoire.
Soutenir les initiatives et leur réalisation
Ce soutien permet aux opérateurs culturels de mieux cerner leur environnement et d'acquérir des
compétences, en même temps qu'une meilleure structuration de leurs projets artistiques. Ces
dispositifs favorisent la mutualisation de moyens et le développement de coopérations via notamment
un centre régional info-ressources musiques actuelles et spectacle vivant (médiathèque, librairie), des
dispositifs d'aide à l'économie des projets, des conférences, des forums-infos…
Soutenir la structuration professionnelle par la formation et l'insertion
La formation à destination des artistes, des techniciens et des opérateurs culturels, favorise les
parcours individuels et collectifs par l'acquisition de connaissances. Au-delà de la formation, l'insertion
construit la relation entre les artistes et les professionnels en exercice. Trempolino propose
notamment : des stages modulaires de formation continue, des formations internationales, des
formations universitaires et des dispositifs de valorisation sur des rendez-vous nationaux importants
(TransMusicales de Rennes, Printemps de Bourges).
Trempolino à La Fabrique, c'est :
600 musiciens qui répètent dans nos locaux, 300 personnes inscrites dans les ateliers instrumentaux,
60 groupes accompagnés dans les ateliers de pratique de la scène, 500 stagiaires inscrits dans une
formation artistique, technique ou liée aux métiers du spectacle, 30 associations ou entreprises pour
lesquelles nous mettons des locaux administratifs à disposition, 20 groupes régionaux accompagnés
chaque année sur des salles de concerts ou des festivals.
C'est aussi : Plus de 500 personnes accompagnées en rendez-vous conseil sur l'ensemble des
problématiques du secteur culturel, 30 conférences, séminaires autour de l'histoire, la structuration et
l'économie du secteur culturel, 35 showcases pour des sorties de disques, des mises en avant
d'artistes et de labels, 45 cartes blanches et performances artistiques, Tohu Bohu (magazine régional
d'information), des rendez-vous sur le territoire en lien avec des collèges, des quartiers.
www.trempo.com
Contact : Vincent Priou - Benjamin Reverdy
Tél : 02.40.46.66.33
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Stereolux : de la flamme Olympic à l’ère numérique
Présentation de l’association
Stereolux, c'est le projet porté par une association - Songo – qui a géré L'Olympic et son
projet artistique et culturel de 1995 à mai 2011.
Stereolux travaille dans les secteurs des musiques actuelles et des arts numériques tant au
niveau de la diffusion de ces disciplines qu'en terme de soutien à la création (résidences
d'artistes), d'ateliers de pratiques artistiques (scolaires et pour tous) et de soutien aux
initiatives locales.
A la Fabrique, Stereolux disposera d'espaces qui lui permettront de développer un projet fort
en direction des musiques actuelles et des arts numériques. Stereolux proposera en
permanence des activités de diffusion (concerts, spectacles, installations, performances
multimédias, net-art, mapping etc..), l’accueil d'artistes pour des créations, des ateliers
scolaires mais aussi pour tous, la mise à disposition des salles, des labos multimédias et le
soutien aux initiatives dans les domaines des musiques actuelles et des arts numériques.
Stereolux, c'est la flamme Olympic chère aux Nantais qui continuera de briller avec des
propositions artistiques innovantes, originales mais accessibles, et qui, nous le souhaitons
ardemment, inciteront à venir s'y réchauffer !!
Le projet de Stereolux pour La Fabrique
Voici 2 projets en cours qui seront présentés lors de Scopitone 2011. Ils illustrent les
pratiques émergentes et l'expérimentation qui sont le « quotidien » de La Fabrique.
- White Box sur le projet Naexus (co-production Elektra / Stereolux / Ecole Nationale
Supérieure d'Architecture de Nantes). Le duo canadien purform produit des oeuvres
audiovisuelles numériques conçues comme des expériences sensorielles complètes. A
l'initiative de Scopitone / Stereolux, leur traitement de l'image et du son alimente une
collaboration avec l'école d'architecture de Nantes pour pousser dans ses retranchements un
dispositif de projection hémisphérique dont le nom semble sortir de Star Trek : « Naexus ».
- Création Visual System pour Scopitone (installation conçue comme un dispositif global
réparti dans tout le bâtiment, à la croisée de l'architecture, de l'art, du design) : voir ici
http://www.digital-slaves.com/index.php/project/Visual-System
Les prochains événements
Scopitone du 12 au 16 octobre
Seun Kuti le 28 octobre
General Elektriks le 16 novembre
Metronomy le 12 novembre
www.olympic.asso.fr
Contact : Eric Boistard - Marieke Rabouin
Tél : 02.51.80.60.80
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Apo33, la vision du sonore
Présentation de l’association
Fondée en 1997 par Julien Ottavi, APO33 est une association gérée par des artistes professionnels
privilégiant la pratique intermédia de façon transdisciplinaire. En croisant arts expérimentaux, art
sonore, arts numériques, et créativité sociale et théorique, APO33 est ainsi un véritable laboratoire
artistique, technologique et théorique.
APO33 développe des projets collectifs et collaboratifs divers alliant recherche, expérimentation et
intervention dans l’espace social. S’inscrivant dans la continuité des dynamiques ouvertes par le
mouvement des logiciels libres, APO33 cherche à explorer de nouveaux modes de production et de
diffusion artistiques et créatifs. Ainsi, APO33 organise le festival ElectroPixel, festival d'art numérique
expérimental proposant un espace croisé à la fois pour des programmeurs, des inventeurs de tout
bord et des artistes (audio, visuel, musique, art plastique, interactif) utilisant les nouvelles
technologies dans leur création.
Artistes, théoriciens, chercheurs et amateurs sont invités à expérimenter de diverses façons :
expositions, soirées live, concerts, performances, installations, conférences, rencontres et ateliers
locaux (Ville de Nantes, Département, Région), nationaux et internationaux.
D’autre part, APO33 interroge les transformations actuelles des pratiques artistiques et culturelles,
conséquence des réappropriations et usages des Technologies de l'information et de la
Communication. Ce questionnement conduit l’association à travailler aux marges du champ culturel
pour explorer les passages et croisements qui peuvent s’opérer entre la création et d’autres disciplines
ou pratiques sociales (activisme politique, médiation ou action sociale, sciences dures et sciences
humaines, urbanisme, écologie, économie).
Le projet d’Apo33 pour La Fabrique
Pour la Fabrique, APO33 proposera la PLATEFORME INTERMÉDIA, une sorte de corrélation
entre l'art sonore et visuel.
Apo33 développe à partir de cette année une série de résidences d'artistes et chercheurs (3
résidences de deux à trois semaines et une dizaine de mini-résidences de courte durée), penseurs en
lien avec les projets de diffusion, de recherche et de création de l'association (Archipelagos, Les
visions du sonore, Pixel festival). Cela permet à des artistes en émergences (sortie d'école d'art, école
d'architecture... mais aussi des artistes non couverts par les médias classiques de l'art contemporain
ou utilisant des médias peu diffusés comme le son ou le numérique) d'approfondir un travail in situ
dans un contexte d'espace expérimental modulaire (exposition, workshop, concerts, intervention,
transdisciplinaire, conférences...) avec des retours critiques et de l'aide sur leur travail par des artistes
expérimentés du collectif.
L’association APO33 n’est pas reconnue du grand public. Elle attire les artistes, professionnels de l’art
et tous les amateurs de l’art sonore en général et espère, au sein de la Fabrique, élargir son champ
d’activité afin de toucher un plus large public et ainsi faire valoir sa vision du sonore tant au niveau
local que national.
Les prochains événements
Grande rétrospective sur 100 ans d'art sonore et de pratique audio novatrice avec
l’intervention notamment de Fluxus (Ben Patterson), Michel Chion et Eliane Radigue (cinéma et
musique concrète), du courant minimalisme américain en la présence de Phill Niblock et de Tony
Conrad, ou les performances d'Alvin Lucier (brain waves, réseau neural), de l'artiste anglais Keith
Rowe ou l'artiste suisse Christian Marclay.
www.apo33.org
Contact : Sophie Gosselin
02.51.89.47.16.
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Mire
Présentation de l’association
Association de cinéma expérimental et d’image en mouvement, Mire développe son projet autour de
la diffusion, de la mise à disposition d’un laboratoire de pratique cinématographique et de la mise en
place d’actions culturelles.
Nous avons pour objet de promouvoir l’image en mouvement expérimentale de sa fabrication à sa
diffusion : de la fabrique historique du cinéma et de la vidéo à la création contemporaine, prolongée
par les nouvelles technologies.
Nous réfléchissons cette pratique de l’image en ménageant des points de contacts avec d’autres
domaines artistiques et culturels pour créer des résonances, des prolongements et contextualiser la
nature des propositions et des engagements.
Le projet de Mire pour La Fabrique
Faire découvrir la pratique expérimentale de l’image, en créant des accès à ces propositions auprès
d’un public diversifié, au travers des actions suivantes :
#Diffusion, projection : Les Petits Programmes (petites séances thématiques d’une heure – rendezvous réguliers au Cinématographe), Les Projections nomades (projections contextuelles qui tentent de
mettre en échos le propos artistique et l’espace qui l’accueille).
#Lunching with… La cuisine comme territoire d’échange, de partage et de fabrication. Lors d’une
invitation d’artiste, Mire propose un repas thématique.
#Le laboratoire, de l’argentique au numérique : Le laboratoire de Mire est un des cinq
laboratoires associatifs DIY (Do It Yourself) de cinéma qui existe en France. Lieu de formation, de
partage des connaissances et de rencontres humaines et artistiques, le laboratoire de Mire est avant
tout un atelier d’artistes et un véritable outil de production artisanal et peu coûteux (100% pur DIY).
# L’EMA, Emerging Media Artist : Depuis 2006, Mire apporte chaque année un soutien matériel à
un artiste utilisant le Labo. Ce soutien est le résultat d’une rencontre particulière avec un travail
artistique.
#Les « Ecrans-Test » : ils sont à l’initiative des adhérents qui souhaitent présenter publiquement
leur travail artistique dans une démarche de rencontre et d‘échange, afin de confronter les regards et
de croiser les réflexions.
#Ateliers, formations, conférences : le cinéma expérimental fournit des outils pédagogiques qui
permettent d’intégrer par la réappropriation de ses attitudes, des éléments pour réfléchir et analyser
l’image. Ces propositions prennent la forme d’ateliers de pratique artistique et cinématographique, de
conférences et de rencontres suivant les collaborations.
#Action culturelle de proximité : les actions artistiques de Mire prennent place dans l’espace
public et avec le public. Le contexte ainsi investi donne sens au projet artistique.
# Résidence, projet spécifique, invitation : ce module s’offre à des artistes ou collectifs en vue
d’une création qui interroge les pratiques de l’image en mouvement.
#Espace Ressources : cet espace est ouvert aux adhérents. Il correspond à l’identité de mire qui se
réfère aux pratiques expérimentales de l’image.
Les prochains événements
Création du Jardin C
Time After, Nantes de Chris Welsby - Inauguration le 30 septembre 2011 - Jardin C
Mire invite Chris Welsby à réaliser son projet Time After, Nantes dont la dimension artistique interroge
l’image comme révélateur d’un territoire, révélateur d’un paysage urbain où subsiste un reste de
« nature ». Chris Welsby est un artiste canadien d’origine anglo-saxonne très engagé dans la relation
entre l’art, l’environnemental et les phonèmes naturels.
En 2010, Time After a bénéficié de l’aide de la DRAC des Pays de la Loire, avec le dispositif DICAM,
Dispositif d’Innovation et de Création Artistique Multimédia.
www.mire-exp.org
Contact : Miles Mac Kane
Tél : 02.40.89.78.07
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Microfaune
Présentation de l’association
L’absence de lieu véritablement adapté constitue une difficulté majeure pour nos associations. Conscient
de cet enjeu commun, Microfaune représente avant tout un tissu associatif dynamique qui a besoin d’un
lieu d’expression, pensé pour encourager la pratique et la découverte de microcultures musicales.
Le projet de Microfaune pour La Fabrique
En 2004, Microfaune est invité à prendre part à la préfiguration du projet « la Fabrique », futur espace
d’expérimentation, de formation, de diffusion et de ressources, dédié aux pratiques émergentes, au
multimédia et aux musiques actuelles, et intervient plus précisément lors de consultations concernant la
mise en place d’une salle associative de diffusion de 250 places.
Ce projet, appelé « bâtiment C », est un espace modulable et autonome, pouvant fournir aux acteurs
locaux une prestation technique et un coût de location adapté, afin de les soutenir dans la diffusion de
courants émergents. Lieu de diffusion transdisciplinaire, accueil de résidence, espace de travail axé vers
la création et l’expérimentation, ce projet de salle associative est pour le moment en stand-by. Nous
travaillons donc avec les autres acteurs de la Fabrique sur l’intégration de ce projet dans les murs de la
future salle Micro (400 places), gérée par Stéréolux.
Les prochains événements
Les associations membres, Cinétic, The Brain et Yamoy ont déjà un passé important de
programmateur/organisateur de soirées avec dj’s et concerts, diffusant des esthétiques musicales
variées. Elles travaillent également ensemble sur des programmations communes depuis 2004.
Rick Hopkins (UK) ; Playdoh (France) ; Phagz (France) ; Microfilm (France) ; Rome Buyce Night
(France) ; Just a Fire (USA) ; Nueva Vulcano (Espagne) ; Dick Voodoo (France) ; Dash (Bruxelles) ;
Kap Bambino (France) ; Vive le Rouge (France) ; The Soft Rider (Bruxelles) ; Gamaboy (France) ;
Poney Club (France) ; Feraillus (France) ; The National (USA) ; Jeans Team (Allemagne) ; Dat Politics
(France) ; Millimetric (France) ; Depth Affect (France) ; Radikal Satan (France) ; Trace2pneu
(France) ; UM (UK) ; Electric Rescue & D’Jedi (France) ; The Georges Habitbol Brothers (USA).
Les associations membres
The Brain
The Brain est une association qui programme, notamment dans le cadre du collectif associatif
Microfaune, des groupes émergents nationaux ou internationaux depuis 2003. C’est également un duo
mixte de djs selectors à l'origine de l'émission radio éponyme, diffusée sur une quinzaine de radios en
France, Belgique, Allemagne et Canada et sur Internet.
Cinétic
Cinétic est une association pluriculturelle, activiste de la scène électronique depuis plus de 10 ans.
Basée à Nantes, nous nous occupons principalement de production d’évènements et de
développement d’artistes.
Yamoy
Créée en 1999 par une dizaine de passionnés de musiques indépendantes, l’association Yamoy’ organise
principalement des concerts. De nombreux styles sont appréciés : rock, pop, folk, musiques
électroniques, expérimentales ou contemporaines, hip-hop, jazz… L’idée est d’offrir une place aux jeunes
talents et aux artistes qui présentent une vraie démarche artistique. Les activités annuelles de
l’association comprennent une édition du festival SOY, l’organisation de concerts et de soirées de
projection de courts-métrages. Sa politique de programmation lui est propre : favoriser la découverte de
musiques indépendantes en invitant des artistes « rares », drainer des publics extérieurs à la ville et
participer ainsi à la valeur artistique de Nantes et de sa métropole.
Contact : Gabriella Aubineau
Tél : 06.88.79.35.63
Mail : [email protected]
www.facebook.com/pages/Nantes-Nantes-France/Microfaune/204321302924737
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LA FABRIQUE AU COEUR DU QUARTIER DE LA CRÉATION
Le quartier de la création s’inscrit dans le projet global de métamorphose de l’île de
Nantes : une réflexion urbaine sur 350 ha au cœur de la métropole nantaise pour y
développer logements, activité économique, espaces publics, tournés vers le fleuve et
intégrant le passé industriel de l’île. Un projet dont l’attractivité est un atout considérable
et indispensable, pour concentrer sur un même site des savoirs scientifiques, intellectuels
et artistiques, mais aussi des compétences économiques.
Economie de la connaissance
Le cluster du Quartier de la création est au service d’une ambition forte : faire émerger un pôle
d’excellence européen sur les industries créatives et culturelles, orienté sur les modes de vie et l’écoconception/éco-design. Il s’agit de favoriser le développement de nouvelles formes d’activités et de
contribuer à l’émergence d’un modèle de croissance innovant, issus de la rencontre entre artistes,
chercheurs, étudiants, entrepreneurs... et fondés sur la transdisciplinarité.
Pôle de recherche européen
Le cluster du Quartier de la création participera à l’émergence et au développement d’un pôle de
recherche européen en lien avec les industries créatives ; ce travail est piloté par l’Université de
Nantes. Il contribuera également à la structuration d’une offre de formation et de qualification globale
de haut niveau, en favorisant les collaborations entre les établissements d’enseignement supérieur
présents sur le territoire, ainsi qu’à la mise en place de formations spécifiques et à la dispense de
diplômes de référence en co-habilitation.
Parallèlement, le cluster du Quartier de la création poursuivra les actions engagées dans le cadre du
centre de ressources Nantes Création afin de soutenir le développement économique des entreprises
créatives et encourager les projets collaboratifs.
Activités des industries créatives et culturelles
- Industries culturelles : édition, cinéma et vidéo, logiciel interactif de loisir ;
- Industries créatives : design, architecture, publicité, mode et leurs activités associées ;
- Activités artistiques : arts visuels, patrimoine, arts du spectacle.
Les chiffres clés de l’économie culturelle
6 millions de personnes travaillent dans ces secteurs en Europe pour un chiffre d’affaires de près de
700 milliards d’euros, avec un taux de croissance supérieur à 10% par an. Dans la région des Pays de
la Loire, ce secteur représente 3 200 emplois directs dans plus de 3 800 établissements.
Le Quartier de la Création à
l’horizon 2015
+ de 90 000 m² d’activités
+ de 4 000 étudiants
+ de 1 000 emplois directs et
indirects sur l’île de Nantes
+ de 100 chercheurs
Plus d’informations sur les projets de l’Île de
Nantes www.iledenantes.com/fr/
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INFORMATIONS PRATIQUES
La Fabrique, laboratoire(s) artistique(s) sur 3 sites :
Île de Nantes
Adresse : A l'angle des boulevards Léon Bureau et Prairie aux Ducs
Comment venir à La Fabrique ?
Accès par le Tramway 1 - arrêt Chantiers Navals
Contact : Marie Chapelain, chargée de mission à la Direction du développement culturel de
la Ville de Nantes, coordinatrice du projet.
Mèl : [email protected]
Tél : 02 40 41 65 71
Dervallières-Zola
Adresse : 19 rue Jean Marc Nattier 44100 Nantes
Chantenay-Bellevue
Adresse : 30 place Jean Macé 44100 Nantes
Ce lieu est équipé d’une scène fixe et sera dédié aux résidences artistiques à la répétition et
à l’expérimentation.
Site Internet : www.lafabrique.nantes.fr
"Découvrez la programmation de l'inauguration"
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