les professionnels du nautisme bas-normands au Nautic 2014

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les professionnels du nautisme bas-normands au Nautic 2014
REVUE DE PRESSE NAUTISME NORMANDIE2
EXTRAITS
Sélection réalisée pendant le Salon Nautique de Paris (6 au 15 décembre 2014)
Une seconde vie pour Wrighton (VLYD)
Deux entrepreneurs, Thierry Bocquet et Patrick Fallot, avec l’aide du fondateur Richard Wrighton et de
l’architecte naval Vincent Lebailly, ont racheté les moules des modèles 265, 30 et 36. Les repreneurs
souhaitent ouvrir un nouveau site de fabrication près de Caen avec comme objectif une dizaine de
bateaux par an. Source : Le Marin, Spécial industrie nautique, décembre 2014.
Axe Sail s'installe à Chantereyne
L’entreprise Axe Sail, crée par Axel Gadbin, est implantée depuis cet été sur le port de Cherbourg.
L'activité principale de l'entreprise : voilerie (intégration au réseau X Voiles), gréement et sellerie. Elle
fait travailler trois personnes, le dirigeant, un maître voilier et un technicien pour le gréement qui a aussi
une fonction commerciale. Axe Sail a également pris la concession de J Composites pour proposer à ses
clients des bateaux soignés, solides et performants. Axel Gadbin travaille aussi à l'organisation de la
venue de l'European J 111 en août 2015 à Cherbourg, ou une quinzaine de bateaux seront engagés.
Source : La Presse de la Manche, 12/12/2015.
L’architecte naval Vincent Lebailly dessine l’avenir des voiliers Bi-loup
Vincent Lebailly souhaite relancer en Normandie la construction des célèbres voiliers biquilles Bi-loup :
"j’ai envie de travailler sur ces bateaux sur lesquels j’ai appris à naviguer. Ce sont de bons voiliers pour la
balade en mer, robustes et confortables, qui ont la particularité de pouvoir s’échouer grâce à une
double quille", explique l’architecte naval. La nouvelle gamme dessinée par VLYD, le Bi-Loup 36, pourrait
être construite en Normandie : "Nous avons en Basse-Normandie toutes les infrastructures et le savoirfaire nécessaires à la construction de voiliers en composites". Source : Calvados Nautisme, décembre
2014. Lire cet article sur Calvados Nautisme
Les femmes de retour dans les voiles (Cherbourg Voiles)
Longtemps profession féminine, le métier de voilier s’est aujourd’hui masculinisé. Mais depuis quelques
années, les femmes font leur retour dans la voile à l’image de Pamela Lécrivain, 32 ans, qui a choisi la
profession de voilière. Elle est employée chez Cherbourg Voiles, entreprise située sur le port
Chantereyne à Cherbourg et spécialisée dans la conception et la réparation, en passant par la fabrication
et la pose de voiles. Seule voilière à Cherbourg, elle profite de sa passion : « Une voile dans les mains,
c'est comme être en mer même à quai ». Source : La Manche Libre, 13/12/2014
La belle relance de Garcia Yachting
Racheté en 2010 par le groupe cherbourgeois Grand Large Yachting, le chantier de Condé-sur-Noireau
confirme son redressement avec le lancement de l’Exploration 45, développé avec le navigateur Jimmy
Cornell et déjà élu "Best Boat 2015" par la revue Sail. Le chantier en a déjà vendu six unités et deux
commandes du grand frère de 52 pieds ont été effectuées. Pour son prévisionnel 2015, Garcia Yachting
a inscrit la mise en production de cinq autres Exploration 45 : "Les voyants sont plutôt orientés au vert.
La conjoncture reste tendue et notre segment de marché est une petite niche. Pour réussir il faut réunir
quelques paramètres essentiels comme l'adaptation aux attentes de la clientèle", explique le directeur
Benoit Lebizay. Source : Calvados Nautisme, décembre 2014. Lire cet article sur Calvados Nautisme
Entrepreneurs conquérants : Arnaud Lample, Shoreteam
Spécialiste des matériaux composites, l’entreprise Shoreteam est désormais reconnue à l’international,
principalement sur les marchés du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. "On intervient sur des
missions ponctuelles, de six mois à deux ans", précise Arnaud Lample, gérant et directeur général de la
société. Shoreteam emploie 18 salariés et réalise un chiffre d’affaires d’un million d’euros. Source :
www.connexions-normandie.fr, 11/12/2014. Lire cet article sur Connexions-Normandie
Entrepreneurs conquérants : Antoine Brugidou, fondateur d’Iguana Yachts
L’entreprise Iguana Yachts basée à la pépinière Norlanda à Caen prospère sur le marché du luxe dans les
pays émergents : "aujourd’hui, l’entreprise n’est viable qu’à l’international. Mais notre présence
commerciale est jeune : plus on s’expose, plus on se vend. D’ici un an, on pense doubler le chiffre
d’affaires et faire nos premières ventes en France", estime Alain Brugidou, patron et fondateur du
chantier. L’entreprise qui compte six salariés a réalisé un CA d’un million d’euros entièrement à l’export.
Source : Connexions-normandie, 11/12/2014. Lire cet article sur Connexions-Normandie
Le Dufour 350 d'Ariès AMS Marine
Frédéric Huet, aux commandes du Chantier ARIES AMS Marine installé sur le port Chantereyne, a repris
la concession de la marque Dufour il y a un an. "Ce sont des bateaux 100% français, construits à la
Rochelle. On le sent au niveau de la finition et des équipements" dit-il. Le 350, avec une habitabilité
importante pour un bateau de 10 mètres, est conçu avec une coque à bouchains et un mât long. Pour la
facilité des manœuvres, il y a un grand pan de voilure et un foc auto-vireur. Le Dufour 350 est disponible
à partir de 115 000 €. Source : La Presse de la Manche, 13/12/2014.
Le Zodiac Pro 550 d’AC Nautisme
Sur le Nautic, l’entreprise AC Nautisme, installée sur le port Chantereyne à Cherbourg et
concessionnaire Zodiac, présente le Zodiac Pro 550 : il y a un vrai marché pour ce type de bateaux dans
le Cotentin. Ils sont très polyvalents, correspondant aussi bien à la pêche, la plongée qu'à la balade en
mer. Ils sont aussi très stables, ce qui est sécurisant", assure Isabelle Philippe, responsable d’AC
Nautisme. Le modèle mis en avant coûte environ 21 000 euros prix salon : et nous avons des
financements en LOA qui permettent de gagner de l’argent". Source : La Presse de la Manche,
11/12/2014.
Le Trawler 34 du Chantier Naval Chantereyne
Franck Leclerc, patron du Chantier Naval Chantereyne, parle de la gamme Swift Trawler développée par
Bénéteau : "Nous avons vendu plusieurs de ces bateaux à Cherbourg. C'est une vraie résidence
secondaire... Le modèle de 34 pieds (11 mètres) est un bateau très marin... sécurisant, rassurant et très
habitable aussi." La motorisation de 450 CV permet d'atteindre les 25 nœuds, et la consommation est
assez basse si l'on ne pousse pas dans les tours. Ce bateau est proposé à 300 000 €. Source : La Presse
de la Manche, 13/12/2014.
Le Marlin 755 de Carteret Marine
Robert Séhier, le patron de Carteret Marine, est présent sur le stand Jeanneau du Nautic où il présente
le Merry Fisher 755 Marlin : le chantier vendéen renouvelle cette gamme depuis deux ans. Le 755 plaît
beaucoup. Nous en avons d’ailleurs vendu plusieurs à Carteret". De 7.25m de long, le bateau est
polyvalent avec même une possibilité de couchage et bien adapté pour la pêche : "Tout équipé, c’est un
modèle vendu 55 000 euros. Et il est parfaitement adapté au port à sec qui va ouvrir à Carteret", précise
Robert Séhier. Source : La Presse de la Manche, 11/12/2014.
Le Zeppelin 16 VPro de Cotentin Nautic
L’équipe de Cotentin Nautic, concessionnaire à Saint-Vaast La Hougue des marques B2 Marine,
Ocqueteau et Quicksilver notamment, s’est arrêtée cette année sur le stand Zeppelin, fabriquant de
semi-rigides implanté en Pays de Loire : "ce sont des bateaux que nous vendons très bien. Le 16 VPro est
un bateau rapide, facile à mettre à l'eau, et sa largeur, 2,50 mètres, le rend plus stable qu’un pêche
promenade traditionnel", explique Michel Traisnel. Le bateau coûte entre 25 000€ et 35 000€. Source :
La Presse de la Manche, 10/12/2014.
Le Flyer 7 de Côte des Isles Plaisance
Le patron de Côte des Isles Plaisance présente au Nautic le Flyer 7 de Bénéteau : "c'est un bateau idéal
pour Carteret, pour aller rapidement aux îles anglo-normandes. Et il est parfait pour le port à sec qui va
ouvrir en début d'année". Le Flyer 7 est proposé à partir de 54 000€ avec deux moteurs. Source : La
Presse de la Manche, 10/12/2014.
Depuis Portbail, Cubisystem séduit le monde
Depuis près de 3 ans, l’entreprise basée à Portbail construit un cube flottant en polyéthylène extrudé et
soufflé, 100 % recyclable, assemblable à l’infini. Les cubes sont utilisés pour des aménagements
portuaires, des pontons, des bases nautiques, mais intéressent également les travaux publics et les
fermes aquacoles. D’autres utilisations plus originales sont également possibles : docks flottants, pour
délimiter une piscine en mer, pour servir de barrage antipollution, ou encore supporter un hélicoptère.
Ces cubes ont ainsi fait le tour du monde passant par la Martinique, Dubaï, Singapour ou Hong-Kong :
"nous réalisons plus de 70 % de notre chiffre d’affaires à l’étranger", observe Anne Dupont, la
responsable administrative. Si la concurrence s’est développée Cubisystem garde une longueur d’avance
grâce à la qualité de ses produits, l’entreprise est notamment certifiée Veritas et ISO 9001, et ses
services : "nous étions les premiers sur ce marché. Ce qui fait toujours la différence, c’est la qualité et la
solidité des produits, l’expérience et le savoir-faire". Source : La Presse de la Manche, 11/12/2014.
Mecanorem : quand le nautisme va, tout va
Comme chaque année, l'entreprise valognaise est présente au Salon nautique de Paris. Les difficultés
liées aux dégâts subis en mars 2013 (700m2 de toit se sont effondrés) ont été surmontées et Alain
Planchenault est très satisfait de ce début de saison...: "nous pouvons considérer qu'à ce jour nous
avons déjà rempli nos objectifs pour 2015". Sur son stand au Nautic, l'entreprise propose une
nouveauté, une série de porte-bateaux possédant un éclairage à Led : "c'est une plus grande fiabilité,
résistant et une plus grande puissance d'éclairage. L'entreprise possède trois marchés distincts : "Le
porte-bateau qui représente 55 % de l'activité, le matériel portuaire qui offre une belle perspective de
développement et l'utilitaire. Le matériel portuaire, avec nos chariots hydrauliques pouvant déplacer
des bateaux de 40 tonnes, est plutôt bien placé, malgré la concurrence redoutable des Italiens. À
l'export vers l'Espagne ou la Suède, nous avons réalisé de beaux marchés. Depuis cet été, nous avons
vendu une douzaine de chariots hydrauliques". Dans ce matériel, Mécanorem fait du sur-mesure, entre
autres pour des catamarans : "dans la réparation portuaire, les demandes sont nombreuses et toujours
spécifiques. Pour certains chariots hydrauliques, il nous faut des délais de 7 mois. En revanche, pour du
standard, 3 à 6 semaines sont nécessaires et, pour de l'utilitaire de base, entre 72 heures et 10 jours de
fabrication". Source : Ouest-France, 12/12/2014. Lire cet article sur Ouest-France
Le premier Nautic des Normands réunifiés !
Cette année sur la Nautic, on ne parle plus de Basse ou de Haute-Normandie mais bien d'une seule et
même Normandie. Plusieurs ports normands sont ainsi présents sur le salon comme Le Havre, Deauville,
Caen, St-Vaast, Cherbourg, Diélette, Carteret ou Granville. Source : La Manche Libre, 13/12/2014.
Le groupe Wichard conforte Facnor et Sparcraft
Un an et demi après leur reprise par le groupe Wichard, les entreprises Facnor et Sparcraft ont retrouvé
des vents porteurs avec l’exportation comme vecteur de croissance : "l'envie est là. Nous l'avons
vraiment senti sur les derniers salons internationaux, à Amsterdam en particulier. Et ce sont nos clients
qui le disent. Nous sommes dans une spirale vertueuse", estime le président du groupe Wichard, JeanClaude Iboz. Fabricant de mâts de et de bômes, Sparcraft a été choisi pour équiper le CNB 76, le
Jeanneau 64, des unités d’Outremer, de Lagoon et d’un chantier coréen. De son côté Facnor a équipé un
tiers de la flotte de la Route du Rhum. Avec un marché qui reste très compliqué en France et en Europe,
l''exportation est donc pour nous un vecteur de croissance, et nous pouvons nous appuyer sur un réseau
très solide de distributeurs", observe Jean-Claude Iboz. Source : La Presse de la Manche, 10/12/2014.
A Ouistreham, il crée de la voile sur mesure (Voilerie Manche Innovation)
Voilerie Manche Innovation basée à Ouistreham participe au Nautic de Paris. Créée il y a deux ans, la
société commence à faire parler d’elle dans le domaine de la voile avec un fonctionnement à la
commande qui mise sur la qualité et le sur-mesure : "je ne fabrique rien à l'avance. C'est de l'artisanat,
du sur-mesure 100% made in France. Nous ne sommes pas une société boîte à lettres, qui commande
ses modèles en Chine", explique Adrien Vergnot, co-gérant de l’entreprise. Les clients sont multiples : "il
y a des écoles de voile, des particuliers ou des concurrents de la Route du Rhum. Sur l'édition 2014, j'ai
équipé le Class 40 Obportus 3 d'Olivier Roussey". Le prix des voiles varie donc : de 200€ pour un
optimisme à 18 000€ pour un voilier de course. La petite entreprise se porte plutôt bien avec un chiffre
d’affaires de 270 000€ même si son co-gérant concède : "nous n'avons plus de visibilité au-delà de six à
huit mois. Les habitudes des clients ont changé, les commandes se font sur des délais plus courts".
Source : Ouest-France, 10/12/2014. Lire cet article sur Ouest-France. Voir la vidéo en ligne
Le groupe Grand Large Yachting poursuit sa croissance
Le groupe Grand Large Yachting et ses trois chantiers, Allures Yachting, Outremer et Garcia, collectionne
les récompenses depuis 2005. L'Exploration 45, développé avec le pape de la grande plaisance Jimmy
Cornell, arbore la mention « Best Boat 2015 » décernée par la revue américaine Sail. Le groupe vient de
remporter récemment le trophée des entrepreneurs de la Manche et mise sur un positionnement de
niche et l’innovation : "entre les différents chantiers, quatorze ingénieurs et architectes navals
travaillent sur des développements qui nous permettent de bénéficier d'un soutien d’Oseo et de la
Banque publique d'investissement", explique Stéphan Constance, Président du Groupe.
L’avenir s’annonce radieux pour le chantier : "en fait, nous avons, avant le Salon de Paris, le meilleur
carnet de commandes que nous ayons eu depuis 2008". Les ventes à l’export représentent 2/3 d’un
chiffre d’affaires en constante augmentation : "au niveau du groupe, le chiffre d'affaires consolidé était
de 12,38 millions d'euros en 2013, il est de 15,5 millions en 2014 et nous devrions atteindre 20 millions
l'an prochain". Source : La Presse de la Manche, 09/12/2014.
Nautic : Facnor mise sur l'accastillage de luxe
Pour gagner de nouveaux marchés, l’entreprise installée à Saint-Vaast La Hougue innove et axe sa
production vers l’accastillage de luxe, en voie de développement explique Dominique Yvon, son
directeur : "nous avons créé un emmagasineur de voile plus léger en carbone. Il est aussi plus technique
avec des prix qui vont de 500 € à plus de 50 000 €. Nous avons axé sur le design. La vente des bateaux
de luxe est à la hausse, nous axons nos produits dans cette direction". Au Nautic, Facnor sera présent
sur un stand de 140m². Source : Ouest-France, 06/12/2014. Lire cet article sur Ouest-France
Le Sun Odyssey 349 de Cherbourg Plaisance
Au Nautic de Paris, Bruno Archambeaud, patron de Cherbourg Plaisance, concessionnaire Jeanneau,
présente le Sun Odyssey 349, un voilier de 10 mètres avec une quille relevable : "c'est la quille qui fait
lest, le centre de gravité du bateau est donc très bas et le bateau est ainsi très efficace au près". Le Sun
Odyssey 349 est disponible en version deux ou trois cabines à 130 000€ tout équipé. Source : La Presse
de la Manche, 08/12/2014.
La filière nautique ne manque pas d'idées
Créateur d’Iguana Yachts, Antoine Brugidou a remplacé en avril dernier Stéphan Constance à la tête de
la F2N, la Filière Nautique Normande. Elle regroupe une centaine de professionnels du nautisme
représentant un chiffre d'affaires cumulé de 108 millions d'euros et plus d'un millier d'emplois directs.
La F2N cherche à "mobiliser davantage les pouvoirs publics, aider l'innovation et le développement"
avec l’ambition de "développer de véritables pôles de développement économique", souligne son
président, sur le stand de l'Association au Nautic. Pour cela, la F2N a développé diverses stratégies en
fonction des territoires. Au niveau de l’activité des entreprises, Antoine Brugidou constate : "les
constructeurs de la région ne s'en sortent pas trop mal grâce à des choix marqués, une différenciation
sur des marchés de niche et des ventes tournées sur l'exportation". Même constat pour l’accastillage ou
l’équipement avec des entreprises réputées comme Facnor, Karver ou Mécanorem. En revanche, "c'est
beaucoup plus difficile pour les concessionnaires, avec des ventes en France qui peinent à redécoller".
Source : La presse de la Manche, 08/12/2014.
Bertrand Maurice construit des bateaux sur mesure (BM Soudure)
Depuis une dizaine d'années, Bertrand Maurice conçoit et fabrique des petits bateaux de plaisance en
aluminium, "toujours en concertation avec le client". Installé à Sommervieu, ce chaudronnier dessine
lui-même la coque et soumet les plans à un architecte naval, "pour valider les études de stabilité".
Depuis 2004, il a construit une vingtaine de bateaux de plaisance de 5 à 7 mètres et un fileyeur de 10 m,
pour un pêcheur de Port-en-Bessin. Source : Ouest-France, 01/12/2014. Lire cet article sur ouest-france
Facnor : ça roule pour l'enrouleur normand au Nautic
Chaque année, l'entreprise Facnor, basée dans le Val-de-Saire, est présente au Nautic de Paris. En 30
ans, la petite entreprise (23 personnes dans la Manche) est devenue leader dans son domaine :
l'enrouleur de voiles. Aujourd'hui, FACNOR mise sur les emmagasineurs, dont le Flat DECK, adopté par
les plus grands navigateurs dont le manchois Halvard Mabire. Source : France 3 Basse-Normandie,
5/12/2014. Lire cet article sur FR3 Basse-Normandie. Voir la vidéo Facnor
Cherbourg et Granville en force à Paris
Une vingtaine d'entreprises, de collectivités ou de structures portuaires de la Manche seront présentes
au Nautic : Allures yachting, Ariès AMS marine, Cap Anglo, Cap West, Cubisystem, Dazibao marine,
Guides du grand large, Esprit grand large, Facnor, Grand large yachting, Centre régional de nautisme de
Granville (CRNG), Grune sec, Saint-Vaast marine, Vedettes Jolie France, JMC diffusion, Les invités du
vent, Manche tourisme, Conseil général de la Manche, Obs mam, Mecanorem, Voilerie Granvillaise, les
ports de Cherbourg, Diélette, Saint-Vaast, Granville et Portbail. Source : Ouest-France, 06/12/2014.
Le Humber 6.30 de Saint-Vaast Marine
Saint Vaast Marine vient d’élargir son offre en présentant au Nautic de Paris le semi-rigide britannique
Humber 6.30. "Le Humber correspond très bien à une clientèle de pêcheurs, ou des plongeurs
pratiquant la pêche sportive. Rapide, le bateau permet d'aller facilement d'un spot de pêche à l'autre",
détaille Pierre Legravrand, gérant de Saint Vaast Marine. Source : La Presse de la Manche, 08/12/2014
Cotentin Nautic prépare le salon parisien
Sylvette et Michel Traisnel ont créé cette structure de vente de bateaux, moteurs, accastillage il y a 10
ans. "Nous travaillons avec des marques françaises et sommes adhérents au réseau Uship depuis 2012
auquel un magasin est dédié sur le port de St-Vaast". En plus de la vente et réparation de matériel,
Cotentin Nautic propose un grand espace pour l'hivernage des bateaux et des services de grutage.
L'équipe de neuf salariés en CDI de Cotentin Nautic a convié comme chaque année sa clientèle autour
d'un pot de l'amitié. L'entreprise mise sur la qualité d'accueil, d'écoute et de conseil et sera présente au
Nautic sur les stands des constructeurs des marques que l'entreprise propose à la vente. Source : La
Presse de la Manche, 22/11/2014.
Les entreprises nautiques du Val-de-Saire au Nautic de Paris
Trois entreprises saint-vaastaises seront présentes au Nautic de Paris :
Saint-Vaast Marine, installée depuis 2008 dans la zone de la Corderie, et dirigée par Pierre Legraverand,
vend répare et entretiens bateaux et moteurs de plaisanciers et de professionnels. Pour sa 4ème année
en tant qu'exposante, l'entreprise sera sur un stand de 90m2. Le chef d'entreprise, qui expose sur 4 à 5
salons du Grand Ouest précise : le Nautic représente "25 % du chiffre d'affaire annuel et 25 % en terme
de prises de contact. Cela nous permet de vendre 50 % de nos navires hors du département." Pour
Saint-Vaast Marine, "les deux dernières années ont été bonnes pour les ventes qui ont enregistré une
progression d'environ 25 %."
Cotentin Nautic, depuis dix ans sur 6 000 m2 de terrain dans la zone du Pont des Bernes, mais également
installée sur les quais avec Uship, magasin d'accastillage et de matériel. L'entreprise dirigée par M. et
Mme Trainsel, compte neuf employés et va obtenir la Charte Qualité de service (engagement volontaire
pour fidéliser la clientèle via la qualité d'accueil et de service). L'entreprise sera présente, avec cinq
personnes, au Nautic de Paris sur les stands des marques qu'elle propose. Source : Ouest-France
Cherbourg, 02/12/2014.
Ouistreham. Un centre nautique de 2,6 millions en projet
Un centre nautique devrait être construit sur l’avant-port pour remplacer l'actuel club de voile et créer
une base nautique à dimension régionale. : J'ai récupéré le projet qui était déjà existant mais avec
quelques changements. Et nous sommes en discussion avec la fédération de voile pour en faire une
école de voile régionale", explique Romain Bail, maire de Ouistreham. Source : Ouest-France,
08/12/2014. Lire cet article sur Ouest-France
Normandie : en stand-by
Selon André Widehem, qui préside la filiale normande de la Fédération Française des Ports de Plaisance
(FFPP) : "Les seize adhérents de l’union des ports de plaisance du nord-ouest se portent plutôt bien". En
effet, la campagne touristique 2014 a été avec 60 000 nuitées hôtelières, bien meilleure que la
précédente. Autre motif de satisfaction, les 6 à 8 millions d’euros injectés chaque saison dans
l’économie locale selon les résultats d’une étude. Seul ombre au tableau, la mise en stand-by de certains
projets d’extension. Source : Le Marin, Spécial industrie nautique, décembre 2014.

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