Coliques
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Coliques Comment identifier les signes précurseurs d’une colique Les coliques sont un sujet délicat que tous redoutent d’avoir vivre un jour. Il faut pourtant en parler car il est primordial de savoir reconnaître les signes primaires des coliques chez les chevaux. Ce problème de santé est grave au point d’entrainer la mort du cheval s’il n’est pas soigné à temps. Cet article met donc en lumière ce qu’est une colique et comment identifier si son cheval en souffre. Il y existe trois types de coliques distinctes: Colique flatulente Indice : abdomen enflé – ruades violentes – le cheval mord son abdomen – sa queue se déplace rapidement – sa langue est épaisse et recouverte de blanc pâteux – respiration très rapide Impaction Indice : fumier sec et dur – aucun son dans l’abdomen, comme inerte – mouvement de l’estomac réduit – douleur intermittente avec période de somnolence – inconfortable et comportement anxieux – les oreilles bougent vite par moment Indice : période de douleur chronique et douloureuse – un son digestif lourd et fréquent Spasmodique dans l’abdomen – roulades au sol et grattage – le cheval se regarde l’abdomen – le cheval se couche et se lève fréquemment Indépendamment du type de coliques, il existe des indications comportementales qui permettent de reconnaître un cheval aux prises avec des coliques : Violentes ruades ; Morsures à l’abdomen ; Balancement rapide de la queue ; Langue pâteuse et blanche ; Respiration accélérée ; Tête basse ; Roulades au sol ; Oreilles et yeux piteux ; Refus de manger ; Refus de bouger ; Agressivité ; Anxiété Toute cette information vous permettra de mieux observer votre cheval et d’identifier rapidement les symptômes précurseurs d’une colique. Une identification rapide des symptômes permet de prendre les actions nécessaires pour aider son cheval à passer au travers cette indisposition. Vaut mieux prévenir que guérir ! Quelques-uns des éléments clés pour la prévention des coliques sont la bonne gestion alimentaire, l’observation de l’environnement, la régularité des heures d’alimentation et la qualité des aliments. De plus, l’observation du comportement du cheval est un excellent indice de son état émotionnel et physique. Voici des règles importantes à suivre pour assurer la bonne santé de votre cheval : des heures précises de repas pour réguler les enzymes gastriques; de l’eau fraîche à volonté car le cheval doit boire entre 25 et 35 gallons d’eau par jour ; du foin sec de qualité sans poussière ni pourriture; du foin récolté dans la région proche si possible en raison des sols et des fleurs environnant; des grains les plus naturels possibles pour sa moulée et en faible quantité car le cheval est herbivore non pas granivore. Il est également important d’observer le comportement du cheval pour minimiser le stress, l’inquiétude et l’angoisse qui peuvent perturber la digestion. La posture du cheval fait également partie des observations importantes. Tout comme sa vigueur dans le mouvement, l’expression de ses yeux et de ses oreilles, son niveau d’éveil et de réaction aux stimuli. Enfin, on devrait regarder avec attention les selles, le plus souvent possible pour détecter des anomalies. La quantité, la couleur, la texture et la senteur sont des pré-symptômes de coliques. L’observation est donc essentielle afin d’éviter les douleurs graves de coliques. Les symptômes de coliques chez le cheval sont variés. Lorsque la lèvre inférieure est exagérément flasque, cela peut être un signe de faiblesse de sa rate. La carence énergétique de la rate se traduit par une multitude de problèmes, généralement imputables à une mauvaise assimilation des aliments. Cela apparaît nettement en cas de mauvais transit intestinal, mais aussi, de manière générale, en cas de problèmes digestifs qui peuvent provoquer des diarrhées ou des coliques. La principale fonction de l’estomac est la décomposition et la maturation des aliments. Normalement, l’énergie de l’estomac descend et la nourriture est transportée à l’intestin grêle. La remontée de l’énergie de l’estomac entraîne, chez le cheval, un tic à l’appui (par exemple, un cheval qui fait des rots). S’il s’agit d’un trouble de comportement, on ne peut le limiter que de façon temporaire. L’estomac parle ! Entre 7 et 9 heures du matin, il est plus actif. Si le cheval est sur le point de développer des coliques, ses émotions d’inquiétudes et d’anxiété seront exacerbées. Le cheval pourrait avoir une mine piteuse et triste. Tout entraînement rigoureux ou mal peut provoquer une tension dans la commissure des lèvres et des tensions musculaires qui sont signe de fatigue. Le cheval devient à risque d’une colique spasmodique. Toute petite colique peut être éliminée avec des soins holistiques, des massages, de l’accupression, des plantes médicinales et de l’homéopathie. Ces traitements peuvent aussi s’avérer très efficaces pour éliminer le stress récurant. Pour en savoir plus ou pour des soins holistiques n’hésitez pas à nous contacter par notre site internet au www.ecurieroyale.com ou directement au (1) 819-569-0505.