Notice InflammaDry - Rapid Pathogen Screening, Inc.
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Notice InflammaDry - Rapid Pathogen Screening, Inc.
Notice InflammaDry® REMARQUE : Ne pas jeter cette notice. Chaque boîte distributrice contient un (1) exemplaire de la notice. Des exemplaires supplémentaires de la notice peuvent être obtenus à la page des téléchargements à : www.RPSdetectors.com IK V D YX l2 5: v 1 4: UTILISATION InflammaDry est un dosage immunologique rapide pour la détection in vitro visuelle et qualitative de niveaux élevés de protéine MMP9 dans le liquide lacrymal des patients suspectés d’être atteints du syndrome des yeux secs. InflammaDry est prévu pour faciliter le diagnostic des yeux secs conjointement à d’autres méthodes d’évaluation clinique. Ce test est prévu pour un usage professionnel sur place dans les centres de soins de santé. Conserver entre 25 °C (77 °F) et 4 °C (39 °F). Pour usage diagnostique in vitro. À usage externe. Tenir hors de portée des enfants. Les signes cliniques du syndrome des yeux secs comprennent une coloration de la cornée et une réduction du temps de rupture du film lacrymal (Tear Break Up Time, TBUT). Dans de nombreux cas, un test de Schirmer est réalisé pour confirmer la présence d’une production lacrymale réduite.1 D’autres tests pour le syndrome des yeux secs, qui mesurent l’osmolarité lacrymale ou la lactoferrine, sont également disponibles. Le syndrome des yeux secs implique la relation entre le volume lacrymal produit, la vitesse d’évaporation lacrymale et la présence ou l’absence d’inflammation. Les métalloprotéinases matricielles (matrix metalloproteinases, MMP) sont des enzymes protéolytiques produits par les cellules épithéliales atteintes à la surface oculaire. Plus particulièrement, la MMP-9 est un marqueur inflammatoire non spécifique démontré comme étant systématiquement élevé dans les larmes de patients avec les yeux secs.3-19 Des études ont montré des taux plus élevés de MMP-9 chez les patients atteints d’un syndrome des yeux secs plus grave, et ces taux correspondent aux constatations des examens cliniques et à la sensibilité au contraste.4 L’identification d’une inflammation de la surface oculaire à l’aide de mesures objectives peut avoir un impact considérable sur l’algorithme thérapeutique pour le syndrome des yeux secs. Étude Taux moyen de MMP-9 (ng/ml) Écart type (ng/ml) Plage supérieure (ng/ml) Résultats obtenus en 10 minutes Le diagnostic clinique du syndrome des yeux secs comprend l’interprétation d’une combinaison de signes et de symptômes.1 Le médecin demande habituellement au patient de signaler toute sensation de brûlure, picotement, inconfort, larmoiement, sensation à corps étranger et fluctuation de la vision. L’indice des maladies de la surface oculaire (Ocular Surface Disease Index, OSDI) a été développé pour cibler et quantifier les symptômes les plus couramment associés au syndrome des yeux secs. C’est un outil normalisé utilisé pour dépister les patients souffrant du syndrome des yeux secs dans le cadre d’études thérapeutiques sur les yeux secs.1-2 Taux normal de MMP-9 dans les larmes Contrôle normal Actuellement, le diagnostic du syndrome des yeux secs est fondé sur l’examen clinique et appuyé par des analyses auxiliaires. Acera et al3 18 23,6 17,4 41,0 Chotikavanich et al4 16 8,4 4,7 13,0 Solomon et al5 17 7,2 2,1 9,0 Leonardi et al6 10 10,5 0,2 11,0 Lema et al7 20 6,9 1,4 8,0 Honda et al8 28 22,7 14,0 37,0 Markoullie et al9 38 11,6 15,2 S.O. Total/Moy./Plage 147 12,9 - 41,0 PRINCIPES DE LA PROCÉDURE Le test InflammaDry emploie la technologie Direct Sampling Micro-Filtration (microfiltration sur prélèvement direct). Si elle est présente dans l’échantillon lacrymal, la MMP-9 est capturée entre les anticorps monoclonal et polyclonal spécifiques de la MMP-9 à une concentration de 40 ng/ml et plus. RÉACTIFS ET MATÉRIEL Matériel fourni Le kit du test InflammaDry comprend deux (2) sachets en aluminium qui contiennent le matériel suivant et un (1) flacon de tampon : Flacon de tampon Préleveur d’échantillon (A) Cassette test (B) MMP-9 dans les larmes La MMP-9 est un marqueur inflammatoire non spécifique démontré comme étant systématiquement élevé dans les larmes de patients avec les yeux secs. Chez l’homme, le taux normal de MMP-9 (ng/ml) dans les larmes se situe dans une plage de 3 ng/ml à 40 ng/ml.3-8 Le préleveur d’échantillon (A) est un composant stérile sous emballage séparé qui peut être facilement assemblé sur la cassette test (B). De plus, la cassette test (B) garantit un transfert correct de l’échantillon sur la bandelette de dosage à écoulement latéral. • Minuteur • Gants • Matériel de contrôle qualité (voir la section sur Le syndrome des yeux secs est une affection très courante qui est souvent sous-diagnostiquée. La gravité du syndrome des yeux secs peut varier, allant de symptômes épisodiques d’inconfort oculaire à un état chronique nécessitant une intervention thérapeutique. Il est reconnu que les mécanismes inflammatoires sont une cause sousjacente du syndrome des yeux secs chroniques.1,4 Les taux élevés de MMP-9 détectés chez les patients atteints d’un syndrome des yeux secs modéré à grave correspondent aux constatations des examens cliniques. Dans le syndrome des yeux secs, une altération fonctionnelle de la barrière épithéliale cornéenne est la cause d’irritation oculaire et de morbidité visuelle. La MMP-9 semble avoir un rôle physiologique dans la régulation de la desquamation épithéliale cornéenne. L’activité accrue de la MMP-9 dans les yeux secs contribue potentiellement à l’altération fonctionnelle de la barrière épithéliale cornéenne, à la desquamation épithéliale cornéenne accrue et à l’irrégularité de la surface cornéenne.16 Le test InflammaDry détecte les taux élevés de MMP-9 de 40 ng/ml ou plus dans les larmes pour confirmer un diagnostic de syndrome des yeux secs. 1 2 3 RÉSUMÉ ET EXPLICATION DU TEST Le syndrome des yeux secs ou syndrome de dysfonctionnement lacrymal, selon la définition du Dry Eye WorkShop (DEWS), est une affection multifactorielle de la lacrymation et de la surface oculaire qui produit des symptômes d’inconfort, des troubles visuels et une instabilité du film lacrymal, avec un endommagement potentiel de la surface oculaire. Il s’accompagne d’une inflammation de la surface oculaire et d’une osmolarité accrue du film lacrymal.1 Il est reconnu que l’inflammation est une cause sous-jacente du syndrome des yeux secs chroniques.1 5. Tous les prélèvements doivent être considérés comme potentiellement dangereux et manipulés comme un agent infectieux. Des méthodes correctes doivent être établies pour la manipulation et l’élimination conformément aux réglementations locales, d’état et fédérales. 6. Porter des gants jetables lors de la manipulation des échantillons et se laver les mains après avoir terminé le test. 7. Le test InflammaDry et le flacon de tampon sont tous deux à usage unique. Ne pas les réutiliser avec plusieurs prélèvements. 8. Le test InflammaDry nécessite une lecture visuelle du résultat. Les utilisateurs ayant un problème de perception des couleurs ne doivent pas interpréter le résultat du test. 9. L’interprétation du résultat nécessite un lieu bien éclairé. 10. Ne pas utiliser le même test InflammaDry chez plusieurs patients. 11. Le test InflammaDry doit être réalisé avant l’administration d’anesthésiques oculaires et de colorants topiques, et avant d’effectuer le test de Schirmer. Conserver le test InflammaDry entre 25 °C (77 °F) et 4 °C (39 °F). Le test InflammaDry et le tampon sont stables jusqu’aux dates de péremption indiquées sur leur emballage externe et leur conditionnement. PROCÉDURE DE TEST I. Préparation du test 1. Vérifier la date de péremption sur tous les emballages. S’assurer qu’aucun des sachets en aluminium n’est endommagé. Ne pas utiliser si les sachets en aluminium sont endommagés. 2. Déchirer chaque sachet en aluminium au niveau de la perforation indiquée et en retirer le contenu. Ne pas toucher le buvard de prélèvement stérile (C) avant de prélever l’échantillon du patient. Buvard de prélèvement (C) Corps de la cassette test (D) Fenêtre de transfert d’échantillon (G) AVERTISSEMENTS ET MISES EN GARDE 1. Exclusivement pour usage diagnostique in vitro. 2. Conserver la cassette test et le préleveur d’échantillon dans leur sachet en aluminium jusqu’au moment de les utiliser. 3. Le matériau en Dacron® utilisé dans le buvard de prélèvement peut provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes. 4. Ne pas utiliser le test InflammaDry si la date de péremption est dépassée. Embout absorbant (E) avec capuchon protecteur (F) Fenêtre de résultat (H) II. Réalisation d’un prélèvement 1. Localiser le buvard de prélèvement (C) sur la face inférieure du préleveur d’échantillon (A). 2. Si un anesthésique oculaire ou un autre médicament topique a été administré à l’œil, attendre au moins deux (2) heures avant de réaliser le prélèvement. Abaisser délicatement la paupière du patient pour exposer l’intérieur de la paupière inférieure (conjonctive palpébrale). 4 2. I m m e r g e r l ’ e m b o u t absorbant (E) dans le flacon de tampon pendant au moins 20 secondes, en veillant à ne pas tordre l’embout absorbant. 3. Retirer l’embout absorbant (E) du flacon de tampon, replacer le capuchon protecteur (F) et placer le dispositif de test à l’horizontale sur une surface plane pendant 10 minutes. V. Lecture et interprétation des résultats REMARQUE : Ne pas interpréter les résultats du test avant la fin de la période de développement de 10 minutes. Une vague de liquide violet peut être visible parcourant la fenêtre de résultat (H) pendant l’exécution du test. CONSERVATION ET STABILITÉ Matériel requis, mais non fourni les contrôles externes) 3. Tamponner délicatement le buvard de prélèvement six à huit (6-8) fois à plusieurs emplacements le long de l’intérieur de la paupière inférieure (conjonctive palpébrale). Pour assurer le prélèvement d’un volume lacrymal suffisant : • Tamponner le buvard de prélèvement dans le sens temporal à nasal le long de la conjonctive palpébrale. • Relâcher la paupière tous les deux à trois (2-3) tamponnements pour que le patient puisse cligner. • Après six à huit (6-8) tamponnements, laisser le préleveur d’échantillon reposer contre la conjonctive palpébrale nasale inférieure pendant cinq (5) secondes de plus. • Tamponner lors du prélèvement. Ne pas essuyer. Dans les cas plus graves du syndrome des yeux secs, des tamponnements supplémentaires peuvent être nécessaires pour humecter le buvard de prélèvement. Une fois qu’il est saturé de liquide lacrymal, le buvard devient brillant. En fonction du volume et de la composition lacrymale, le buvard peut être de couleur blanche ou tacheté de rose. III. Assemblage du dispositif de test 1. Localiser la cassette test (B), qui comprend le corps de la cassette test (D) et le capuchon protecteur (F). Retirer le capuchon protecteur (F) du dispositif de test. La cassette test ouverte doit être utilisée dans un délai maximum d’une (1) heure. 2. Assembler le dispositif de test en plaçant délicatement le buvard de prélèvement (C) du préleveur d’échantillon (A) dans la fenêtre de transfert d’échantillon (G) du corps de la cassette test (D). 3. Appuyer fermement aux endroits indiqués jusqu’à ce que le dispositif de test soit solidement assemblé. Un double clic signifie que le dispositif de test est correctement assemblé. 5 Résultat non valide Si une ligne BLEUE n’apparaît pas, il est possible que le test ne soit pas valide. Immerger à nouveau l’embout absorbant (E) dans le flacon de tampon pendant 10 secondes de plus. Si une ligne BLEUE n’apparaît toujours pas, jeter le test et tester de nouveau le sujet en répétant le prélèvement oculaire avec un nouveau kit de test InflammaDry. NE PAS faire état des résultats de test non valides. Bien que le test ne nécessite que 10 μl de liquide, si un deuxième prélèvement est requis, des tamponnements répétés peuvent réduire la quantité de liquide lacrymal disponible pour le prélèvement d’un échantillon adéquat. Chaque prélèvement supplémentaire peut réduire ou altérer la charge en antigène MMP-9 transférée au dispositif de test. Si un deuxième prélèvement est nécessaire, celui-ci peut être répété 60 minutes plus tard. POSITIF NÉGATIF Lorsque le fond de la fenêtre de résultat (H) est blanc et que 10 minutes se sont écoulées, le test peut être lu avec précision. Si le fond de la fenêtre de résultat présente une vague de liquide strié ou si le test est négatif après 10 minutes, attendre 5 à 10 minutes de plus pour le développement avant de procéder à l’interprétation. Le test doit être lu dans un délai de six (6) heures après la fin du test. Après cette période de temps, il est possible que les résultats changent. Une interprétation visuelle précise nécessite l’observation dans un lieu bien éclairé. Les résultats du test sont indiqués par deux (2) lignes qui apparaissent dans la fenêtre de résultat (H) : la ligne de contrôle et la ligne de résultat. La ligne de contrôle apparaît sous la forme d’une ligne BLEUE dans la zone de contrôle. La ligne de contrôle indique que l’application et la performance du test sont correctes ; elle doit être visible pour confirmer la validité du test. Résultat positif La présence simultanée d’une ligne BLEUE dans la zone de contrôle et d’une ligne ROUGE dans la zone de résultat indique un résultat positif. Une ligne ROUGE irrégulière ou incomplète est due à une distribution irrégulière du liquide lacrymal sur le buvard de prélèvement (C). Même si la ligne ROUGE est de couleur pâle, incomplète (ne couvrant pas toute la largeur la bandelette de test) ou de couleur irrégulière, le résultat doit être interprété comme positif. Un résultat positif indique un taux de MMP-9 de 40 ng/ml ou plus. Les résultats doivent être évalués à la lumière de toutes les données cliniques et d’analyse disponibles. Si les résultats ne correspondent pas à l’évaluation clinique, il convient de réaliser des tests supplémentaires. IV. Exécution du test 1. Ouvrir le flacon de tampon. Les résultats doivent être évalués à la lumière de toutes les données cliniques et d’analyse disponibles. Si les résultats ne correspondent pas à l’évaluation clinique, il convient de réaliser des tests supplémentaires. Résultat négatif La présence d’une ligne BLEUE seulement dans la zone de contrôle indique un résultat négatif. Un résultat négatif indique un taux de MMP-9 <40 ng/ml. 6 NON VALIDE CONTRÔLE QUALITÉ Le test InflammaDry est doté de contrôles procéduraux intégrés (voir ci-dessous). Pour le contrôle qualité quotidien, RPS recommande de consigner chaque jour la vérification de ces contrôles procéduraux internes pour le premier échantillon testé. Contrôles procéduraux Un dispositif InflammaDry non utilisé comporte un indicateur d’écoulement violet sur la bandelette de test dans la fenêtre de transfert d’échantillon (G). Le dispositif non utilisé comporte également deux (2) lignes orange pâle dans la fenêtre de résultat (H). Si le test est valide, une ligne BLEUE apparaît dans la zone de contrôle. L’apparition de la ligne de contrôle indique l’application correcte du volume d’échantillon adéquat. La ligne de contrôle doit apparaître pour qu’un test soit considéré comme valide. Si la ligne de contrôle n’apparaît pas, interpréter le test comme non valide et le refaire en répétant le prélèvement oculaire avec un nouveau kit de test InflammaDry. NE PAS faire état des résultats de test non valides. Répéter le test après un délai de 60 minutes. 7 Notice InflammaDry® Une vague de liquide violet peut être visible parcourant la fenêtre de résultat (H) pendant l’exécution du test. Lorsque le fond de la fenêtre de résultat (H) est blanc et que 10 minutes se sont écoulées, le test peut être lu avec précision. Si le fond de la fenêtre de résultat présente une vague de liquide strié ou si le test est négatif après 10 minutes, attendre 5 à 10 minutes de plus pour le développement avant de procéder à l’interprétation. 7. L’exécution du test dans un environnement dont la température est de 45 °C ou plus, et avec un niveau d’humidité de 60 % ou plus, risque d’augmenter la sensibilité et de produire un résultat faussement positif. 8. Le test InflammaDry doit être réalisé avant l’administration d’anesthésiques oculaires et de colorants topiques, et avant d’effectuer le test de Schirmer. 9. Un examen biomicroscopique à lampe à fente est nécessaire pour exclure les patients présentant une inflammation intraoculaire active. 10. Les patients avec des antécédents de port de lentilles de contact ou de chirurgie oculaire récente n’ont pas été pas étudiés ; aucune donnée ne soutient les revendications de sécurité et d’efficacité dans ces populations. Contrôles externes Les contrôles externes InflammaDry sont disponibles directement auprès de RPS. Les contrôles externes InflammaDry se composent de deux (2) flacons (un contrôle positif contenant de la protéine recombinante MMP-9 et un contrôle négatif) et d’un diluant. Des tests des contrôles externes InflammaDry doivent être effectués avec chaque nouveau lot, chaque nouvelle livraison et tous les 30 jours. La limite de détection pour le test InflammaDry a été déterminée comme étant de 40 ng/ml par une série de dilutions de MMP-9 humaine dans des larmes humaines. RÉACTIONS CROISÉES Différents pathogènes oculaires infectieux issus de cultures cellulaires ainsi que des enzymes oculaires importants ont été appliqués en laboratoire afin de déterminer des réactions croisées potentielles avec le test InflammaDry : • Staphylococcus aureus • Staphylococcus aureus résistant à la • • • • • • • VALEURS ATTENDUES Consulter la notice des contrôles externes pour obtenir des instructions sur la manière d’utiliser les contrôles externes. Les contrôles externes ont une date de péremption individuelle indiquée sur chaque emballage. NE PAS les utiliser au-delà de la date de péremption. LIMITATIONS • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Les résultats cliniques sont résumés ci-dessous : Critères critiques N=206 InflammaDry 7 + - + 121 4 - 22 59 Valeur P Sensibilité 85 % (121/143) IC à 95 % [78,7-90,5] P <0,0001 Spécificité 94 % (59/63) IC à 95 % [87,6-99,7] P <0,0001 Concordance globale 87 % (180/206) IC à 95 % [82,9-91,9] Valeur prédictive positive 97 % (121/125) IC à 95 % [93,7 %-99,9 %] Valeur prédictive négative 73 % (59/81) IC à 95 % [63,2 %-82,5 %] 9 8 10 1. Definition and Classification of Dry Eye. Report of the Diagnosis and Classification Subcommittee of the Dry Eye Work Shop (DEWS). Ocular Surface 2007;5:75-92. 2. Schiffman RM, Christianson MD, Jacobsen G, et al. Reliability and validity of the Ocular Surface Disease Index. Arch Ophthalmol 2000;118(5):615-621. 3. Acera A, Rocha G, Vecino E, et al. Inflammatory markers in the tears of patients with ocular surface disease. Ophthalmic Res. 2008 Oct; 40(6):315-21. 4. Chotikavanich S, de Paiva CS, Li de Q, et al. Production and activity of matrix metalloproteinase-9 on the ocular surface increase in dysfunctional tear syndrome. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2009 Jul; 50(7):3203-9. 5. Solomon A, Dursun D, Liu Z, et al. Pro- and anti-inflammatory forms of interleukin-1 in the tear fluid and conjunctiva of patients with dry-eye disease. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2001;42(10):2283-92. 6. Leonardi A, Brun P, Abatangelo G, et al. Tear levels and activity of matrix metalloproteinase (MMP)-1 and MMP-9 in vernal keratoconjunctivitis. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2003;44(7):3052-8. 7. Lema I, Sobrino T, Durán JA, et al. Subclinical keratoconus and inflammatory molecules from tears. Br J Ophthalmol. 2009;93(6):820-4. 8. Honda N, Miyai T, Nejima R, et al. Effect of latanoprost on the expression of matrix metalloproteinases and tissue inhibitor of metalloproteinase 1 on the ocular surface. Arch Ophthalmol. 2010;128(4):466-71. 9. Markoulli M, Papas E, Cole N, et al. The effect of contact lens wear on the diurnal profile of matrix metalloproteinase-9 and its inhibitor in the tear film. Poster presented at the 6th International Conference on the Tear Film and Ocular Surface: Basic Science and Clinical Relevance. Florence, Italy. 24 Sept 2010. 10.Hadassah J, Bhuvaneshwari N, Rao U, et al. Evaluation of succinylated collagen bandage lenses in corneal healing by the expression of matrix metalloproteinases (MMP-2 and MMP-9) in tear fluid. Ophthalmic Res. 2009;42(2):64-72. Merck, Trusopt Vistakon, Iquix Vistakon, Quixin Wilson, proparacaïne Attention : Les médicaments ophtalmiques topiques sont disponibles en différentes formulations, dont certaines (à savoir, gels, pommades, etc.) peuvent persister plus longtemps que d’autres sur le film lacrymal. Il convient donc de faire preuve de précautions lors de l’utilisation du test InflammaDry chez un patient susceptible d’être traité par ces médicaments, car certains médicaments peuvent produire des résultats erronés s’ils sont présents sur la surface oculaire. De plus, certains médicaments peuvent produire des résultats erronés s’ils sont utilisés juste avant la réalisation d’un prélèvement. Si un anesthésique oculaire ou un autre médicament topique a été administré à l’œil, attendre au moins deux (2) heures avant de réaliser le prélèvement. Alcon, Alcaine Alcon, Azopt Alcon, Econopred Alcon, Nevanac Alcon, Pataday Alcon, Systane Alcon, Tobra Dex Alcon, Travatan Alcon, Vigamox Allergan, Acular LS Allergan, Alphagan Allergan, Combigan Allergan, Elestat Allergan, FML Allergan, Lastacaft Allergan, Lumigan Allergan, Optive Allergan, Pred Forte Allergan, Refresh Liquigel Allergan, Refresh Tears Allergan, Zymar AMO, Blink Tears AVS, Thera Tears Bausch + Lomb, Alrex Bausch + Lomb, Lotemax 11.Sobrin L, Liu Z, Monroy DC, et al. Regulation of MMP-9 activity in human tear fluid and corneal epithelial culture supernatant. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2000; 41(7):1703-9. 12.Afonso AA, Sobrin L, Monroy DC, et al. Tear fluid gelatinase B activity correlates with IL-1alpha concentration and fluorescein clearance in ocular rosacea. Invest Ophthalmol Vis Sci. 1999; 40(11):2506-12. 13.Oh JY, In YS, Kim MK, et al. Protective effect of uridine on cornea in a rabbit dry eye model. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2007;48(3):1102-9. 14.Pflugfelder SC, de Paiva CS, Tong L, et al. Stress-activated protein kinase signaling pathways in dry eye and ocular surface disease. Ocul Surf. 2005;3(4 Suppl):S154-7. 15.Luo L, Li DQ, Corrales RM, et al. Hyperosmolar saline is a proinflammatory stress on the mouse ocular surface. Eye Contact Lens. 2005;31(5):186-93. 16.De Paiva CS, Corrales RM, Villarreal AL, et al. Corticosteroid and doxycycline suppress MMP-9 and inflammatory cytokine expression, MAPK activation in the corneal epithelium in experimental dry eye. Exp Eye Res. 2006 Sep; 83(3):526-35. 17.Luo L, Li DQ, Doshi A, et al. Experimental dry eye stimulates production of inflammatory cytokines and MMP-9 and activates MAPK signaling pathways on the ocular surface. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2004;45(12):4293-301. 18.Pflugfelder SC, Farley W, Luo L, et al. Matrix metalloproteinase-9 knockout confers resistance to corneal epithelial barrier disruption in experimental dry eye. Am J Pathol. 2005;166(1):61-71. 19.Li DQ, Chen Z, Song XJ, et al. Stimulation of matrix metalloproteinases by hyperosmolarity via a JNK pathway in human corneal epithelial cells. Invest Ophthalmol Vis Sci. 2004;45(12):4302-11. 20.Market Scope. Report on the Global Dry Eye Market. St. Louis, Mo: Market Scope, 2004. 21.Multi-sponsor surveys, Inc. Gallup study of dry eye sufferers. Princeton, NJ, 2006. 22.Schaumberg, DA, Buring JE, Sullivan DA, et al. Hormone replacement therapy and dry eye syndrome. JAMA 2001;286:2114-2119. BIBLIOGRAPHIE Médicaments interférents : • • • • Les médicaments oculaires suivants ont été testés pour leur interférence avec le test InflammaDry et n’ont montré aucune interférence. Pour contrôler la spécificité, le médicament non dilué a été appliqué sur le buvard de prélèvement. La sensibilité a été contrôlée avec des mélanges 1:1 de protéine MMP-9 recombinante dans des larmes humaines au seuil de concentration et du médicament en question. Dans sept (7) centres cliniques, la sensibilité et la spécificité du test InflammaDry ont été comparées à l’évaluation clinique, telle que définie par les critères de diagnostic couramment utilisés pour les yeux secs, qui se composent d’une combinaison d’antécédents cliniques nécessaires exprimés par un score OSDI ≥13, et la présence d’un test de Schirmer réduit <10, d’un TBUT réduit <10 et d’une coloration kérato-conjonctivale. Des sujets de contrôle sains ne présentant aucun signe ni symptôme des yeux secs ont également été testés et ces patients avaient un score OSDI <7, un test de Schirmer ≥10, un TBUT ≥10 et aucune coloration kérato-conjonctivale. Bausch + Lomb, Zylet Falcon, sulfate de gentamicine Falcon, sulfate de polymyxine B Falcon, timolol Inspire, AzaSite Ista, Bepreve Ista, Xibrom Medpoint, Optivar Novartis, GenTeal Novartis, Voltaren Novartis, Zaditor Pfizer, Visine Pfizer, Xalatan Sigma-Aldrich, IgA humaine (1 mg/ml) Sigma-Aldrich, lactoferrine humaine (1 mg/ml) Sigma-Aldrich, transferrine (1 mg/ml) Vistakon, Betimol Cependant, les médicaments suivants montrent des résultats faussement positifs ou faussement négatifs ; les patients ne doivent donc pas être testés par InflammaDry si les médicaments suivants ont été administrés aux yeux dans les deux (2) heures précédant le test InflammaDry. SUBSTANCES INTERFÉRENTES CARACTÉRISTIQUES DE PERFORMANCE 1. La MMP-9 est un indicateur non spécifique de la présence d’inflammation. Un résultat de test positif ne doit pas être utilisé comme seule justification pour le traitement ou d’autres décisions thérapeutiques. 2. Les patients qui présentent un syndrome des yeux secs aquo-déficients grave et qui produisent un volume d’échantillon inférieur à 6 µl risquent d’obtenir un résultat faussement négatif. 3. Le test InflammaDry ne doit pas être utilisé dans les 20 minutes suivant un test de Schirmer, car ce dernier risque de stimuler la dégranulation de la MMP-9 et produire un résultat faussement positif. 4. Une chirurgie ou infection oculaire récente peut entraîner un taux élevé de MMP-9 et produire un résultat faussement positif. 5. Certains médicaments comme les corticoïdes topiques ou oraux, la cyclosporine, la tétracycline et l’azithromycine topique sont connus pour leur activité inhibitrice des métalloprotéinases. L’utilisation de ces médicaments peut entraîner des résultats faussement négatifs. 6. Les résultats obtenus avec ce dosage, particulièrement en cas de lignes de test atténuées qui sont difficiles à interpréter, doivent être utilisés conjointement aux autres informations cliniques dont dispose le médecin. méticilline (SARM) Moraxella catarrhalis Haemophilus influenzae Staphylococcus epidermis Streptococcus pneumoniae Pseudomonas aeroginosa Métalloprotéinases matricielles : 1, 2 et 3 Inhibiteur tissulaire des MMP : MMP-1, MMP-2 Tous les isolats étaient issus de cultures de prélèvements humains. La concentration des suspensions était de 500 000 à 1 500 000 micro-organismes (virus, bactéries) par ml de surnageant. Aucune ligne de test positive ne s’est développée, et aucune réaction croisée ne s’est produite pour ces espèces quand 10 µl de la suspension de culture ont été testés. Aucun enzyme oculaire n’a provoqué de réaction croisée. La prévalence du syndrome des yeux secs augmente avec l’âge, et le syndrome est bien plus fréquent chez les femmes. D’autres facteurs de risque incluent certains médicaments, les maladies inflammatoires auto-immunes, le port de lentilles de contact, la chirurgie LASIK et réfractive, et la ménopause.1 Quand les résultats de contrôle corrects ne sont pas obtenus, répéter le contrôle de test ou contacter RPS au +1.941.556.1850 avant de procéder au test chez des patients. 8 LIMITE DE DÉTECTION La prévalence du syndrome des yeux secs est de 5 à 30 % chez les personnes âgées de plus de 50 ans, et il est estimé que la maladie affecte 21 millions de personnes aux États-Unis.1, 20-21 Une enquête nationale chez 2 003 personnes a trouvé que près de 40 % d’Américains souffrent de symptômes liés aux yeux secs, qui peuvent inclure : sécheresse, sensation de brûlure, irritation, vision trouble, sensation à corps étranger et larmoiement.1, 22 Pour commander des contrôles externes, consulter la section de cette notice relative aux informations de commande et aux coordonnées. • • • • • • • • • • • • • • • • • ÉTUDE DE REPRODUCTIBILITÉ Les échantillons ont été préparés dans du tampon de stabilisation avec de la protéine MMP-9 purifiée. Huit (8) échantillons, comprenant des échantillons faiblement positifs et faiblement négatifs ainsi que des contrôles positifs et négatifs, ont été testés. 160 tests au total ont été réalisés par des techniciens de laboratoire et interprétés par un personnel hors laboratoire pendant 20 jours consécutifs. La précision inter-dosage dans la capacité du personnel hors laboratoire à détecter les échantillons positifs et négatifs était de 100 %, bien que leur interprétation de la puissance du signal variait pour les échantillons faiblement positifs. INFORMATIONS DE COMMANDE ET COORDONNÉES hRPS-ID-20-U InflammaDry, pack de 20 hRPS-DESTD Contrôles externes InflammaDry IK 11 l2 5 1 4: Pour la liste des brevets américains, consulter : www.RPSdetectors.com/patents Coordonnées et assistance technique M Fabricant et mandataire pour les États-Unis Rapid Pathogen Screening, Inc. 7227 Delainey Court • Sarasota, FL 34240 États-Unis t : 1.941.556.1850 • f : 1.941.556.1851 [email protected] RPSdetectors.com P Mandataire pour l’Europe MT Promedt Consulting GmbH Altenhofstr. 80 D-66386 St. Ingbert Allemagne t : 49.6894.58.10.20 • f : 49.6894.58.10.21 www.mt-procons.com La reproductibilité d’un lot à l’autre a été testée avec trois (3) différents lots du test InflammaDry. Aucune variabilité parmi les trois (3) lots n’a été observée en les testant en triple à sept concentrations différentes de protéine MMP-9 allant de 0 à 160 ng/ml. 9 V D YX SPEC-MKT-067.0-FR Date de prise d’effet : mai 2014 10 12 11 13 12 14 16