Visites aux urgences qui pourraient être prises en charge ailleurs
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Visites aux urgences qui pourraient être prises en charge ailleurs
DESCRIPTION DE L’INDICATEUR Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Division de la gestion de l’information et de l’investissement pour le système de santé Direction de l’analytique en matière de santé NOM DE L’INDICATEUR RNI VISITES AUX URGENCES QUI POURRAIENT ÊTRE PRISES EN CHARGE AILLEURS NUMÉRO D’IDENTIFICATION DE L’INDICATEUR RNI 21 DATE DE LA DERNIÈRE RÉVISION (JJ-MM-AAAA) 2011-11-08 D’AUTRES NOMS POUR CET INDICATEUR Visites aux urgences pour des affections qui pourraient être traitées dans d’autres milieux de soins primaires DESCRIPTION DE L’INDICATEUR Taux normalisé selon l’âge de visites aux urgences (salle des urgences et centre de soins d’urgence) pour des affections qui pourraient être traitées dans d’autres milieux de soins primaires, pour 1 000 habitants. Description détaillée de l’indicateur Faire un «X» dans la case CET INDICATEUR SOUTIENTIL UNE ENTENTE DE RESPONSABILISATION? Entente Entente de rendement ministèreRLISS (ERMR) ANNÉE : Entente de responsabilisation en matière de services multisectoriels (ERS-M) ANNÉE : Pour plus d’informations sur cet indicateur, s’il vous plaît contactez [email protected] Faire un «X» dans la case Entente Entente de responsabilisation en matière de services hospitaliers (ERS-H) ANNÉE : Entente de responsabilisation en matière de services liés aux soins de longue durée (ERS-SLD) ANNÉE : Page 1 sur 4 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Division de la gestion de l’information et de l’investissement pour le système de santé Direction de l’analytique en matière de santé CALCUL SOURCE DES DONNÉES Nombre normalisé selon l’âge de visites aux urgences pour une conjonctivite, une cystite, une otite moyenne et une infection des voies respiratoires supérieures (par exemple, rhume simple, sinusite ou amygdalite aiguë ou chronique, pharyngite aiguë, laryngite or trachéite, et autres infections des voies respiratoires supérieures), multiplié par 1 000. Système national d’information sur les soins ambulatoires (SNISA), Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) Inclure : NUMÉRATEUR 1. Les visites non planifiées dans les salles des urgences et dans les centres de soins d’urgence. CRITÈRES D’INCLUSION ET D’EXCLUSION 2. Les critères de sélection spécifiques : Codes CIM-10-CA : A740, B309, H100, H101, H102, H103, H104, H105, H108, H109, H130, H131, H132, H133, N300, N301, N302, N303, N304, N308, N309, N330, N390, H650, H651, H652, H653, H654, H659, H660, H661, H662, H663, H664, H669, H670, H671, H678, J00, J010, J011, J012, J013, J014, J018, J019, J028, J029, J038, J039, J040, J041, J060, J068, J069, J310, J311, J312, J320, J321, J322, J323, J324, J328, J329, J350, J351, J352, J353, J358, J359, J399. Exclure : 1. Les personnes âgées de moins d’un an ou de 74 ans et plus. 2. Les visites aux urgences débouchant sur une hospitalisation. 1. Les personnes présentant un niveau de priorité I, II ou III (réanimation, urgent ou très urgent) sur l’Échelle canadienne de triage et de gravité pour les départements d’urgence (ÉTG). DÉNOMINATEUR 2. Les visites planifiées aux urgences. CALCUL Les personnes âgées de 1 à 74 ans. Les données sont normalisées selon l’âge de la population canadienne en 1991. SOURCE DES DONNÉES Estimations et projections démographiques, Statistique Canada et ministère des Finances de l’Ontario. Pour plus d’informations sur cet indicateur, s’il vous plaît contactez [email protected] Page 2 sur 4 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Division de la gestion de l’information et de l’investissement pour le système de santé Direction de l’analytique en matière de santé GÉOGRAPHIE ET CALENDRIER CRITÈRES D’INCLUSION ET D’EXCLUSION 1. Les personnes de moins d’un an ou de 74 ans et plus. MOMENT ET FRÉQUENCE DE DIFFUSION Moment et fréquence de la diffusion des données Par exemple, soyez aussi précis que possible.~... ~.. Les données sont publiées tous les ans à la mi-mai NIVEAUX DE COMPARABILITÉ Niveaux géographiques de comparaison TENDANCE Années permettant de dégager une tendance LIMITES Limites spécifiques RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES Exclure : Les données définitives par exercice financier sont disponibles annuellement (généralement en septembre); les données provisoires sont mises à jour trimestriellement. Les données sont disponibles au niveau du RLISS et de la province. Elles sont également disponibles pour les autres niveaux géographiques, y compris le code postal. Les données utilisant les codes de la CIM-10 sont disponibles à partir de l’exercice 2002-2003 (les données antérieures à cette période peuvent être incomplètes). Il peut exister des problèmes de qualité en ce qui concerne les données d’années antérieures. Les affections sélectionnées pour cet indicateur sont considérées comme courantes et fréquentes. Si de multiples affections sont diagnostiquées pendant la visite aux urgences, on choisit le diagnostic/l’affection à l’origine de la plus grande utilisation de ressources comme étant le problème le plus important sur le plan clinique pour la visite. COMMENTAIRES Renseignements supplémentaires sur le calcul, l’interprétation, la source des données, etc. RÉFÉRENCES URL de toute référence importante : par exemple, Le diabète au Canada, HTTP://..... D’après les estimations, au moins 50 % des visites aux urgences ne présentent pas de caractère urgent si l’on se réfère aux lignes directrices et aux critères médicaux. Une diffusion appropriée de l’information pourrait réduire le nombre de visites aux urgences qui ne présentent pas de caractère urgent, car elle permettrait aux patients de mieux connaître les ressources disponibles dans leur collectivité. Les stratégies visant à dévier les patients non urgents pourraient ne pas améliorer la qualité des soins reçus ou réduire les coûts globaux et pourraient exercer une pression supplémentaire sur l’aspect des soins communautaires du système de santé. 1. Altmayer, C.A., Ardal, S., Woodward, G.L., et Schull, M.J. (2005). Variation in emergency department visits for conditions that may be treated in alternative primary care settings. Journal canadien de la médecine d’urgence, 7 (4): 252-256. 2. Chan, B.T.B., Schull, M.J., et Schultz, S. (2001). Emergency Pour plus d’informations sur cet indicateur, s’il vous plaît contactez [email protected] Page 3 sur 4 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Division de la gestion de l’information et de l’investissement pour le système de santé Direction de l’analytique en matière de santé department services in Ontario 1993-2000. Toronto : Institut de recherche en services de santé. 3. Coleman, P., R. Irons, et J. Nicholl. (2001). Will Alternative Immediate Care Services Reduce Demands for Non-urgent Treatment at Accident and Emergency? Emergency Medicine Journal, 18: 482-487. 4. Guttman, N., Zimmerman, D.R., et Nelson, M.S. (2003). The Many Faces of Access: Reasons for Medically Non-urgent Emergency Department Visits. Journal of Health Politics, Policy and Law, 28(6):1089-1120. 5. Schull, MJ, Kiss, A., Szalai, JP. (2006) ‘The Effect of LowComplexity Patients on Emergency Department Waiting Times’ Annals of Emergency Medicine 22. 6. Afilalo, J., Marinovich, A., Afilalo, M., Colacone, A., Léger, R., Unger, B., et Giguère, C. (2004). Nonurgent Emergency Department Patient Characteristics and Barriers to Primary Care Academic Emergency Medicine 11, 12 7. Institut canadien d’information sur la santé (2005) Comprendre les temps d’attente dans les services d’urgence : Qui sont les utilisateurs des services d’urgence et quels sont les temps d’attente? Ottawa. Trouvé le 20 septembre 2006 sur : www.cihi.ca/cihiweb/dispPage.jsp?cw_page=PG_451_F&cw_ topic=451&cw_rel=AR_1266_F Pour plus d’informations sur cet indicateur, s’il vous plaît contactez [email protected] Page 4 sur 4