1st WA collective workshop 2007

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1st WA collective workshop 2007
EC Contract No. 003711
Ecosystems, Societies, Consilience and the Precautionary Principle:
Development of an assessment method to establish the societal cost of best
fishing practices and efficient public policies
First WA collective workshop,
22-26 January 2007, Dakar
Report
Lundi 22 Janvier 2007
Mots de bienvenue de Moustapha Dème
Tour de table des 12 participants: Présentation individuelle
Choix des rapporteurs
Alkaly Doumbouya AD
Lundi
Pierre Morand PM Mardi
Aliou Sall
AS
Mercredi
Ibrahima Diallo ID Jeudi
Raoùl Fernandes RF Vendredi
L’agenda de la rencontre a été aménagé pour introduire une séance d’alimentation et de mise
à jour des informations et travaux des équipes sur le site ECOST.
Information : F. Laloé ne pourra pas participer à cette rencontre par suite de calendrier
Objectifs de la rencontre
• Définition des études de cas avec des critères bien précis
• Identification des données à collecter et à structurer
• Rapport financier
• Plan de travail annuel
• Conférences, participation aux conférences
• Publications à l’échelle régionale
Pierre a rappelé que les publications (au moins 4 publications par équipe nationale d’ici la fin
du projet) demeurent le critère d’Evaluation de la performance des équipes.
Aspects pratiques discutés
Possibilités de Financement des PhD après la fin du projet :
Pour l’UE, bailleurs de fonds, le projet est censé être clos en septembre 2009. Donc tout
aspirant doit avoir fini sa formation d’ici juin/ juillet 2009. Autrement, il faudra trouver les
financements complémentaires. Ce qui est possible :
Au niveau EU
- avec le programme ERASMUS de l’UE (voir site : www. cordis.lu)
- avec plusieurs autres Appels d’Offre à explorer pour contacter les équipes dirigeantes
et faire des propositions de collaboration
Avec d’autres sources que fonds européens, comme :
- International Sciences fondation
- Coopération française : Ambassade de France, FSP/ AFD (P. Tous)
Révision de la liste des PhD de la Région :
• Sénégal = 3 aspirants :
MD PhD en Economie à Montpellier,
AS PhD en Sociologie à Saint louis
Madabel Diop – Master en Economie à l’UCAD
• Guinée Bissau = 4 aspirants :
- RF en Sociologie à Lisbonne
- Aissa Regalla (AR) – Stage à Dakar 2006/ 07 puis Master 2 en Ecologie en 2007/ 2008
(inscription à discuter avec Tito) : présence nécessaire à Sète en fin février 07 et mise à jour
du modèle Bissau avant avril 2007 en Chine.
- Herculano : voir à Dakar auprès de Mikael (VISN français) pour la plate-forme
d’informations pour les couches de cartes et définir le format de GIS régional. Contacter à cet
effet Mrs Paul Siegel du WWF pour les cartes de zones de biodiversité réalisées dans le cadre
de l’écorégion, M. Soumah de Guinée, Khady Sané et CSE du Sénégal pour les cartes de
zones de pêche)
- Joaozinho Incuca, Economie à l’Université Nova de Lisbonne
- Virginia Pires : à voir si elle a le temps de s’y consacrer dès maintenant
Il a par ailleurs été demandé à la Guinée Bissau de :
1- boucler le planning de travail pour 2007 cette semaine pour Aissa et Herculano.
2- définir des études de cas et les données spatiales nécessaires pour le SIG avant la fin de
semaine
• Guinée = 3 aspirants
- Ibrahima Diallo en Ecologie : Master2 en juin 2007 et PhD à continuer immédiatement
- Makhissa Sylla pour le Master en Sociologie à Saint Louis (inscription octobre 2007)
- Kopé pour le PhD en Economie à Brest (inscription et moyens complémentaires en octobre
2007)
Equipements :
Il a été demandé au Coordonnateur ECOST de Guinée Bissau d’acheter des microordinateurs
portables pour Aissa (Ecology), Herculano (SIG) et pour lui-même et à Alkaly Doumbouya,
Coordonnateur ECOST en Guinée de payer également un portable.
Rapports financiers
Il a été rappelé que la Guinée Bissau doit envoyer d’urgence ses propositions de Finance 2006
et les rappels mensuels 2006 et financiers doivent être livrés au plus vite par tous.
Coordination du module écologie en AO
Les participants ont été informés et ont approuvé les réflexions en cours pour le transfert de la
coordination de la Région Afrique du volet « Ecology » de l’ENSAT de Toulouse (avec
Jacques Moreau) à l’ENSAR (avec D. Gascuel). Ce qui faciliterait l’intervention de Maria
Ching qui y sera basée également. D Jouffre, l’encadreur de Ibrahima Diallo et Tito de
Morais, encadreur de Aissa Regalla, en seront informés.
Budget prévisionnel « Personnel » à faire par équipe jusqu’à la fin du projet. Il a été rappelé
que les fonctionnaires ne doivent pas émarger dans ce document
Participation aux Conférences :
Une faible participation à des conférences et ateliers en relation avec l’objet du projet a aussi
été soulignée. Il est souhaité que les participants s’enrichissent d’avantage des expériences de
ces rencontres et de parler de ECOST.
Pierre a rappelé certaines dates de rencontres qu’il a placées sur le site du projet qu’il nous
invite à visiter régulièrement comme Eco Summit 22 – 27 mai 2007 en Chine (Economie et
Ecology), Conferences for human society à Rio de Janeiro en sept. 2007
A cet effet, les responsabilités ont été confiées à :
Alkaly pour alimenter/ animer le site ECOST avec toutes les rencontres scientifiques de la
sous-région, y compris le volet PRCM, CCLME, CSRP.
Moustapha Deme : pour la préparation en 2008 d’un numéro spécial de la revue de l’ISRA
avec 10 – 15 papiers
Mardi 23 janvier
Le matin : étude des études de cas (case studie)
Après midi : définition de la mise en forme
M. Dème propose de discuter des critères des cas d’études. P. Failler rappelle que les critères
pour sélectionner les études de cas avaient été définis dès décembre 2005 et reprécise qu’un
cas d’étude (case study) correspond à un métier. Selon P. Morand, le métier est sans doute le
cœur du case study, mais toutes les variables pertinentes pour le modèle ne se raccrochent pas
au métier, donc pas directement au case study. Le case study n’est donc pas le seul objet : il y
a quelque chose de plus large autour : est ce le pays ?
Pour P. Failler, le cœur de la définition correspond aux tableaux de volume et de valeur des
captures, par espèces (ou groupes d’espèces) et par années. On prend une ligne (ou un groupe
de lignes) qui représente une grosse part de la valeur totale du tableau.
Dans le tableau croisé espèces x fleet x années, on ne remplit que pour les cas d’études
pressentis.
Alkaly estime que la connaissance du milieu aurait permis de délimiter les cas d’étude mais
grâce aux tableaux, les choix fait peuvent être justifiés.
La difficulté réside, surtout en Afrique du fait de la multiplicité des engins de pêches, des
espèces ciblées, dans le choix et la définition des cas d’étude.
2 ou 3 études de cas par pays seront retenues. Idéalement, il faudrait que cela fasse 75% de la
valeur des captures du pays. Mais dans certains pays, la somme des valeurs de capture des 2
ou 3 métiers dominants ne fait pas 75%.
Un métier se définit au croisement « flotte x engin x espèce », c’est-à-dire que c’est un, deux
ou trois types de bateaux proches qui ciblent une espèce ou un groupe d’espèces voisines
au moyen d’un engin ou de quelques engins de même type.
C’est donc un agrégat à faire dans un espace à trois dimensions.
M. Dème précise que les tableaux « flotte x espèce » devront être produits et envoyés avant la
réunion en Chine en aboutissant au tableau 7.
Au final, les métiers sensu stricto (type bateau x type engin x espèce de poisson) et les
agrégats de métier (regroupement de 1 à 3, 4, 5.. métiers proches) peuvent être définis.
• Présentation d’Aliou Sall sur l’approche sociologique au Sénégal.
• Présentation de Raoul sur la méthode définie à Amsterdam (enquête de job
satisfaction):
Le questionnaire est développé autour de quatre thèmes :
•
•
•
•
Sécurité alimentaire
Equité
Genre
Lutte contre la pauvreté
Une discussion s’engage sur la validité de la méthode proposée par Marteen pour l’évaluation
quantitative du job satisfaction. Les questions posées portent sur la plus ou moins bonne
adaptation de cette méthode au contexte africain. Raoul insiste sur le fait que les résultats des
enquêtes menées selon une telle approche doivent être analysés de façon « culturellement
contextualisée ». La sélection des études de cas dans l’environnement national permet de
définir la boîte « production ».
Pour un pays donné, la boîte « production » contient les différents métiers sélectionnés pour
ce métier.
Schéma de flux :
Production - transformation – mise en marché – marché de destination finale
Connexion du modèle de filière (flux) au modèle ECOST.
Il faudrait passer des schémas conceptuels au modèle de données.
Pour avoir les données sur les marchés de destination finale, il faut aller sur
www.globefish.org (fait par la FAO)
Chaque pays doit faire la description des filières produits qui sont basées sur les cas d’étude
(les agrégats de métiers choisis). (voir le site www.unep.ch qui donne des infos sur les
politiques publiques en matière de pêche, avec notamment le document PNUE sur la
Mauritanie qui montre comment faire un schéma de flux)
Mercredi 24 février
Session sur la plate forme d’information
La session est animée par Pierre MORAND, Casimir COMPAORE et Michael GRAS.
Pierre MORAND commence par les aspects et problèmes suivants:
Les objectifs de la plateforme sont: a – définir des accords sur l’utilisation des
données du projet ECOST (D.2.0); b – construire une plateforme d’information en 3
étapes: b.1- réaliser un inventaire préliminaire des données disponibles (D.2.2); b.2 –
spécifier les informations nécessaire pour faire fonctionner les modèles (D.2.1) b.3 –
rassembler les séries de données disponibles et les organiser et finalement c – rendre
ces données accessibles à l’ensemble de la communauté scientifique
Les résultats attendus, les raisons et les intérêts d’avoir une base de données au sein d’ECOST
(The Demo) sont décrit ci-après : a – les équipes nationales et l’équipe d’ECOST en charge
de l’animation de cette plate forme sont précisés. Alors que les groupes de recherches
internationaux doivent fournir les données disponibles, les gestionnaires et les coordonnateurs
de la plate forme sont en charge de la diffusion et la gestion des données. Un rappel doit être
fait sur la nécessité de distinguer les données publiques et les autres données. b – la base de
donnée fournit des informations, un inventaire préliminaire des données a cependant été
réalisé (D.2.2); comme rappeler, un document sous format PDF est déjà sur le site web c - la
plate forme facilite la présentation des acteurs du projet ECOST et le flux d’informations d enfin la plate forme contribue à une meilleure visibilité du projet
Une question essentielle a été posée : les personnes fournissant les données ne sont-ils que
des “fournisseurs de données” ? Qu’obtiennent-ils en contre partie? Quel est l’intérêt et les
conséquences de fournir des données ?
Cette préoccupation a amené des précisions sur ce sujet: a – en fournissant des données, les
équipes de recherche nationale ont une visibilité sur le niveau international; b –ces équipes
nationalles seront amenées à travailler et valoriser leur propres modèles.
D’autres précisions sont faites: a – l’ensemble des données n’appartient pas au centre
national; b – les données ne sont pas toujours collectées sous forme de données brutes c – cela
permet la valorisation des connaissances des experts.
Pour les études de cas à venir, il est fortement recommandé d’envoyer ces questionnaires à
temps
Casimir COMPAORE a réalisé une présentation sur les enquêtes préliminaires
effectuées et présente le modèle défini.
Concernant l’inventaire préliminaire (WP2), les données rassemblées donnent des
informations concernant les différents partenaires. Ceci permet d’évaluer la participation et
l’implication des différentes équipes dans ce projet. Celles-ci sont disponibles directement
sur le site web et non plus sous format word. A travers les différents items à remplir, il est
maintenant possible d’avoir une idée sur le niveau de connaissance scientifique : exemple du
travail effectué sur les AMP.
Avantage de cette démarche : menu déroulant ; exemple du Vietnam avec les choix de
réponse.
Un modèle est présenté: celui-ci vient juste d’être construit. Le problème de la nomenclature
est spécifié. Il est demandé à Pierre de travailler avec Hoaran sur cet aspect là. L’objectif est
de mettre en forme une nomenclature classique de référence. Casimir est attendu pour
travailler sur ce modèle. Une description des données pour chaque métier doit être faite ainsi
que sur la « boîte de production ». Dans une semaine, Hoaran enverra une liste de variables
requises. Pierre insiste sur le colloque de Cantoon, qui représente la date pour laquelle
l’ensemble des tableaux devront être remplis entièrement par l’ensemble des équipes. Il
suggère de fournir un papier sur le contenu général du modèle écologique.
Michael GRAS, a présenté le modèle qu’il a développé pour le GIS. Le problème central
est d’envisager la collaboration avec le projet ECOST. Le modèle semble s’inscrire dans les
objectif du projet néanmoins certaines questions subsistent: a – N’y a t-il pas un risque de
duplication avec ce qui a déjà été fait quelque part ailleurs? b – Ecost va t-il produire ses
propres donnés? Pour certaines choses, il semble que le travail a déjà été réalisé auparavant,
par exemple en biodiversité et sur les écosystèmes. C’est pour cette raison qu’ECOST ne doit
pas faire de redite mais le plus important est de permettre de créer des liens entre les divers
partenaires
The following statement was made:
Une évaluation des besoins du projet est requise
Une définition Claire des termes de référence doit être faite. Un groupe de travail
composé par Herculo, Pierre et Michael est mis en place; ce groupe ad hoc sera
coordonné par Herculo. Ce dernier devra: a – organiser les “couches de base” en
collaboration avec Pierre et Michael; b - contacter l’ensemble des participants d’Ecost
dans le but d’identifier les besoins; c – Alfredo peut être contacté pour aider Herculo
Un questionnaire qui sera mis en ligne est en train d’être élaboré
Jeudi 25 février
Cette journée a été consacrée :
1- Aux présentations des cas d’études des trois pays de la sous région (voir portal
Ecostproject) : Guinée Bissau par Raoùl Fernandes; Sénégal par Moustapha Dème et
Guinée par Alkaly Doumbouya
2- A l’intervention de Mr BA Moctar sur la problématique des avis scientifiques de la
recherche. A cet effet, 4 questionnaires ont été adressés à l’Administration, la
profession, la recherche et les personnes ressources du secteur de la pêche. Il a été
retenu de mettre les questionnaires sur le site ECOST, afin aussi de permettre son
remplissage en ligne.
3- A l’information donnée par Pierre Failler sur la formulation en cours du projet
Ocean15 en relation avec la Réhabilitation des écosystèmes prônée au Sommet de
Johannesburg.
4- A la discussion sur l’identification et le choix des métiers, une démarche a été décrite
et mise également sur le site ECOST (voir Framework).
Vendredi 26 février
• 9-10 h – Visite au port de pêche de Hann
• 10 h 30 – 13h00 – Analyses des disciplines
Ecologie : Collaboration avec IRD
1 - Collaboration avec Didier Jouffre : Présentation de DJ sur les domaines d’intérêts :
- les ressources démersales de l’Afrique de l’Ouest
- Programme poulpe en Mauritanie
- unité ressources démersales et pas seulement pulpe
- projet ISLNM
- approches éco-systémiques et évaluation du stock autre que les pulpes et les crevettes
- relation avec la Guinée pour l’encadrement du stage d’Ibrahima Diallo ;
- définition des indicateurs pour l’approche éco-système et l’approche
indicateurs trophiques
indicateurs et
Pour PF, l’intérêt d’ECOST est d’avoir une meilleure représentation de l’écosystème pour
mieux l’articuler avec les indicateurs socio-économiques.
DJ demande ce que le modèle Ecopath peut donner à l’approche indicateurs et inversement.
Ils attendent la réunion de Sète pour mieux connaître les liaisons avec le modèle
Ecopath pour le paramétrage de certains indicateurs. Un protocole doit être fait pour que la
démarche indicateur puisse être rapportée à la Guinée. Pour l’approche indicateur, il y a une
coopération inter-régionale qui pourra être appliquée à la Guinée-Bissau pour mieux
effectuer les études comparatives des écosystèmes.
P.F précise que le modèle fonctionne bien en Asie et aux Caraïbes mais pour les cas d’étude
en Afrique cela ne fonctionne pas. Une proposition est faite par DJ quant aux données
écologiques car lui-même travaille sur le modèle de la Guinée en lien avec le programme
Instan./ partie indicateurs.
ID présentera son MASTER en mai, s’inscrira en septembre en doctorat.
DJ rappelle l’intérêt de participer à la conférence de Sète. P.F précise qu’il faut contacter
Villy Christensen pour le programme de cette réunion.
P.F rappelle le travail à faire :
- un bilan par pays pour bien préciser ce qui a été fait et ce qu’on doit faire
- en fin 2007, un « spécial issue » dans une revue scientifique avec les spécialisations de
chaque pays doit être envisagé
- une idée des indicateurs pour l’Afrique de l’Ouest et la Guinée
Tout ce qu’on fait doit être publié dans une revue scientifique. On travaille avec le stock
zéro. Il faut travailler directement sur le portail : dès que des données et informations sont
disponibles, il faut les mettre sur le portail.
Louis précise que son unité travaille sur la région Sénégal mais qu’il s’intéresse à la GuinéeBissau. Une harmonisation avec l’ISRA pour les indicateurs doit être envisagée. C’est luimême qui encadre la thèse de Mme Villanoueva avec qu’ils procèdent au changement du
modèle fait pour le Saloum. Désormais, l’unité a la possibilité d’associer Aissa Regalla dont
l’inscription n’a pas été possible cette année. L’unité a manifesté son intérêt à intégrer le
travail d’Ibrihama et de focaliser son intérêt sur la Guinée Bissau. L’opportunité est aussi
ouverte pour l’Ile Tristao.
A. Doumbouya précise que le financement existe mais à cause des difficultés du pays les
partenaires risquent de se décourager.
P.Failler annonce qu’il faut régler le recrutement d’A.Regala entre les mois d’octobre et
novembre : il est nécessaire qu’elle s’inscrive pour un master 2. Elle doit travailler sur la
partie écologie et fournir des informations pour que les écologues puissent monter le modèle
EcoPath pour la Guinée-Bissau. Il serait souhaitable qu’A.Regala participe à la réunion de
Sète pour travailler avec l’équipe et que tout soit livré à la Guinée Bissau. Un appui
supplémentaire est nécessaire pour la GB. Il faut connaître la disponibilité de Mme
Villaneuve.
A. Doumbouya s’interroge sur le master à Dakar. L.Tito de Morais dit qu’il n’y avait pas de
DEA d’écologie mais en revanche un Doctorat Sciences de la Nature et de la Vie –
Biodiversité et éco-système. Un autre doctorat se met en place mais toutes les informations ne
sont pas encor disponibles.
Selon P. Failler, d’autres possibilités doivent être envisagées par exemple, Rennes. Le plus
important est d’avoir une connaissance de ce qu’il faut faire.
Louis précise qu’un autre écologiste sera engagé à partir de février pour la Guinée Bissau.
Alkaly rappelle que la collaboration avec L. Tito de Morais se passe bien. L’équipe de GB
pourra faire travailler une semaine ici à Dakar avec lui et travailler avant d’arriver à Sète.
Néanmoins, il faut fournir les documents déjà existants. P.F. s’est engagé à fournir toutes les
copies (liste de 70 documents). Sylvain Lafrance a achevé un travail important.
LT signale que l’école doctorale se met en place en Dakar. Les Master associés vont de même
se mettre en place.
LT se propose de guider la thèse. Il pourra faire un cours de formation sur la modélisation et
parallèlement faire le point sur le modèle ECOPATH. L’accueil est possible auprès des
unités.
Aissa pourra venir du 19 au 23 à Dakar et et du 23-27 à Sète –France.
AR propose une collaboration avec Ibrahima. D’ici la réunion de Sète, la collaboration doit
être planifiée.
Pour rendre cette collaboration viable, Ibrahima pense qu’il faut que la GB puisse participer
aux réunions d’Accra. PF signale qu’AR doit travailler sur les îles Bijagos en collaboration
avec Tito et les autres parties du pays. Il manifeste sa joie pour collaborer avec IRD.
14h30 – 17 h.
-
Travaux pratiques sur le portail.
Elaboration du budget – Personnel de l’équipe Ecost par pays.
-
Groupe Sociologie
Présentation des principales activités à développer dans les trois mois à venir :
Organiser le réseau sous-régional : il faut désigner le sociologue de l’équipe
de la Guinée ;
Préparation d’une réunion à Dakar de l’équipe sociologie de l’Afrique de
l’Ouest (début mars)
Elaboration d’un plan d’exécution de l’enquête JOB satisfaction pour la
sous région et sa mise en exécution
renforcement des contacts avec Maarten pour la coordination globale ;
Préparation d’un rapport préliminaire
Préparation de deux papiers pour Canton et pour Amsterdam. Aliou
travaille sur les valeurs avec P. Collet. Ils peuvent préparer un papier
pour une revue scientifique
▄
-
Economie
- Visites et coordination avec la Guinée-Bissau et la Guinée ;
- Travail sur le profil de production
- Établissements de coûts des différents éléments de la filière ; Construction du framework
pour la filière
- Préparation de la présentation à Canton.
-
Fin de l’Atelier.