Ce mois-ci: - Adoption Chats Sans Abri
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Ce mois-ci: - Adoption Chats Sans Abri
575 chemin de la Canardièr Québec, Québec G1J 2B5 (418) 522-7700 e www.centreacsa.com Trouvez le bonheur par minous! www.centreacsa.com Photo & Foyer: Nadina Gafoor Février 2016 - Vol. 4 No. 9 Ce mois-ci: Trait de chat Souper spaghetti Entrevue La belle Prunelle Chronique Belle-Griffe Chat s’adopte Février 2016 ACSA c’est chat… Adoption Chats Sans Abri (ACSA) est un refuge qui vient en aide aux chats errants. Nous les recueillons et en prenons soin, pour ensuite les rendre disponibles à l’adoption dans de bons foyers qui sauront les aimer à leur juste valeur. Tous nos chats sont vermifugés, vaccinés et stérilisés avant de quitter le refuge. Nous ne recevons pas de subvention, donc nos revenus proviennent de dons du public (reçu de charité sur demande pour les dons de plus de 20 $), de la vente de produits à notre boutique, de ristournes des Coop IGA, de levées de fonds et de l’adoption de nos petits pensionnaires. Nous n’utilisons pas l’euthanasie, sauf dans les cas extrêmes, donc euthanasie dite de compassion. Certains chats attendent une famille plus longtemps que d’autres, ainsi, ils demeureront au refuge ou seront placés dans des foyers d’accueil en attendant leur famille idéale. Il est possible de devenir membre de l’organisme pour la modique somme de 15 $ par année. Vous pourrez profiter de rabais sur la nourriture et litière. En achetant chez nous, vous contribuez au financement de l’organisme. Pour en savoir plus, venez nous visiter au 575, chemin de la Canardière, ou bien jetez un coup d’œil sur notre site internet www.centreacsa.com. Nous sommes également sur Facebook. Photo : Steeve Maltais pour ACSA Heures d’ouverture : Jeudi et vendredi : 12 h à 20 h Samedi et dimanche : 12 h à 17 h - Vous ne pouvez regarder un chat endormi et être tendu. (Jane Pauley) Trait de chat Par Hélène Arcand-Côté Bonne Année 2016 à tous! J’espère que la pause du temps des Fêtes vous aura fait le plus grand bien. Au refuge, les journées ont été très occupées depuis la dernière parution du bulletin. Le Marché de Noël a eu lieu le 5 décembre et nous y avons eu un record d’affluence, ce qui augure bien pour l’an prochain, d’autant plus que les locaux disponibles seront encore plus grands. Et les adoptions vont bon train au refuge. En une semaine seulement, 19 chats ont été adoptés, ce qui ne s’était jamais vu. Notre mission demeure d’en sauver le plus grand nombre, tout en continuant de maintenir nos standards de soins et nos critères d’adoption. Des chats heureux dans le meilleur foyer possible afin que tout le monde y trouve son compte. Continuez donc à parler de nous, non pas seulement auprès de ceux qui ont des chats à placer, mais surtout à ceux qui désirent adopter. Et si vous connaissez des familles qui ont un petit félin qui vit auprès d’eux, n’hésitez pas à leur parler d’ACSA pour la vente de nourriture et litière, cela nous aide grandement dans le financement de notre organisme. Longue vie à ACSA! Votre aide nous est très précieuse. Photo : Steeve Maltais Entrevue avec Isabelle Leblanc Par Joanne Duplain Suivez-moi et faisons plus ample connaissance avec Isabelle Leblanc, fière partenaire d’Adoption chats sans abri. JD : Bonjour Isabelle. Merci de m’accorder cette entrevue. Vous êtes impliquée comme partenaire depuis combien d’années? Isabelle : J’ai commencé à soumettre des projets qui ont été transmis au conseil d’administration par l’entremise d’Hélène Arcand-Côté depuis au moins 2012, si ma mémoire est bonne. JD : Par curiosité, est-ce qu’il y a quelque chose ou un événement qui vous a fait choisir le métier d’artiste-peintre, ou est-ce un hobby? Isabelle : Je suis une artiste pluridisciplinaire. Dès mon tout jeune âge, j’ai toujours eu un crayon de couleur ou un pinceau dans les mains. Poussée par la création, j’ai étudié la mode féminine au CÉGEP et n’ayant pas trouvé de travail qui correspondait à mes attentes dans ce domaine, je me suis dirigée, un an plus tard, en communication graphique à l’université. L’étape de la peinture est arrivée en 2007, pendant l’absence de mon conjoint en mission à l’étranger. Afin de réduire le stress de cette absence, j’ai décidé de sortir mes pinceaux et j’ai commencé à peindre. Quand une collègue a montré de l’intérêt pour une de mes premières œuvres, c’est là que j’ai effectué un changement de carrière, pour me diriger vers les arts visuels et la culture. J’ai décroché un poste de coordonnatrice dans une Maison de la culture. Je suis une fille de défi... quand je n’en ai plus, je m’en crée! JD : Comment avez-vous appris l’existence d’ACSA, qu’est-ce qui vous a amenée à vous y impliquer et depuis quand? Isabelle : Sincèrement, je ne m’en souviens pas. En 2008, j’avais adopté un chaton, Pinotte, d’une dame qui ramassait les chatons dans sa rue et veillait à les faire adopter. Par la suite, cela a réveillé en moi le désir d’adopter un 2e chat et j’ai commencé à regarder sur Internet ce qui se faisait. J’ai décidé de m’impliquer auprès de la SPA de Québec en offrant un tableau pour leur encan annuel et en poursuivant mon implication en vendant des cartes que j’avais produites au profit de la SPA. J’apportais aussi avec moi lors de mes expositions une boîte pour ramasser les dons en échange d’une mini-carte. Un peu plus tard, dans mon cheminement personnel, j’ai cherché une autre cause animale ailleurs dans la région. Ayant développé une allergie aux chiens, je savais qu’il fallait que ce soit uniquement une implication auprès des chats et je pense bien que c’est là que j’ai découvert ACSA, soit en 2011 ou 2012. J’aime beaucoup les gens de terrain et, au refuge, j’ai senti la passion des bénévoles et de l’équipe en place et cela a rejoint mes valeurs. On sent que l’argent va à la bonne place et que les personnes présentes le sont pour la bonne cause. JD : Pouvez-vous nous renseigner sur les gestes que vous avez posés pour aider le refuge et nous donner une petite idée du nombre d’heures que cela a pu représenter pour chacune des activités que vous avez initiées? Isabelle : En 2012, il y a eu un encan bénéfice pour deux causes (dont ACSA) présenté au Centre d’affaires Maizerets. J’ai toujours une boîte pour ramasser les dons pour ACSA lors d’événements ou expositions où je suis présente, en échange d’une mini-carte imprimée gratuitement par un imprimeur voulant faire sa part lui aussi! Après avoir réalisé des expositions au Centre d’affaires Maizerets, on a lancé le Marché de Noël avec Lucille, en utilisant notre réseau de contact d’artistes. Pour ce qui est des « doudounes », j’avais acheté une petite poupée miniature faite en Asie et je m’en suis inspirée pour les créer. J’avais du temps et du tissu à ma disposition, mais ce que je ne savais pas c’est que chacune de mes doudounes me prendrait au moins une heure à fabriquer si ce n’est pas plus! En janvier 2013, j’ai aussi eu l’idée de ramasser l’argent Canadian Tire, car en échange, le refuge peut ainsi obtenir de la litière, des produits de nettoyage, etc. Saviez-vous qu’en moins de trois ans, plus de 1 000 dollars ont ainsi été amassés? Maintenant, les gens accumulent leur argent Canadian Tire sur une carte, mais cela peut aussi être transféré sur la carte qu’ACSA aura… [NDLR : plus de détails à venir prochainement]. L’événement le plus récent, fut les « Artistes mécènes », un regroupement de cinq artistes en arts visuels. Nous nous sommes engagés à verser une part de la vente de nos tableaux (et, dans mon cas, de produits dérivés également) à une cause qui nous tient à cœur, donc cinq causes différentes au total. Ma cause est le refuge, mais j’avoue avoir regardé pour trouver une cause impliquant la zoothérapie, pour que les gens se rendent compte de l’importance de l’apport de l’animal chez l’humain. JD : Avez-vous encore d’autres activités ou projets à proposer au refuge? Isabelle : Rien pour le moment, je n’ai rien de planifié, mais il est vrai que j’y vais par inspiration! Les projets s’amènent quand ils se pointent le bout du nez dans mon quotidien. C’est vraiment comme une boîte à surprise, je ne me sens pas obligée et cela Entrevue avec Isabelle Leblanc (suite) vient vraiment du fond du cœur, de la spontanéité, et je suis bien là-dedans. JD : Auriez-vous un conseil à donner aux personnes qui aimeraient s’impliquer, mais qui n’osent pas? Isabelle : Premièrement, trouvez une cause. Allez-y en tenant compte de vos forces et du temps que vous pouvez allouer. Au besoin, ne participez qu’à une seule activité. Il ne faut pas oublier que les petites implications et les petits dons s’accumulent. Il faut être conscientisé au fait qu’il n’est pas nécessaire de faire de grosses affaires, c’est plutôt l’accumulation de tous les petits gestes qui fait la différence. Un petit exemple personnel : lors d’une récente fête familiale, l’invitation signalait que tous devaient apporter leur argent Canadian Tire pour en faire profiter ACSA. Au cours de la soirée, chaque personne présente devait donner 2 $ lors d’un petit jeu. Ma cousine, gagnante de la cagnotte d’une vingtaine de dollars, a plutôt décidé de remettre toute la somme au refuge, au lieu de la garder pour elle-même, puisqu’elle avait oublié son argent Canadian Tire. Le but était atteint : toutes les personnes sur place ont été conscientisées aux besoins du refuge et le plus drôle, c’est que je n’ai pas eu à demander à ma cousine, elle a spontanément donné sa cagnotte! JD : Y a-t-il un sujet dont vous aimeriez que l’on parle maintenant ou que vous aimeriez que l’on traite dans une prochaine publication? Isabelle : Il faut parler du bien-être apporté par l’animal, en lien avec la zoothérapie. Pour sensibiliser les gens au bien-être animal par celui apporté par les animaux aux humains. JD : Par curiosité, avez-vous des animaux à la maison? Isabelle : J’ai la chance d’avoir une grande famille à poils : Pinotte, chatte domestique qui a 8 ans; Bono, persan de 6 ans ayant un caractère très particulier, adopté à la SPA; Roméo, bengale de 5 ans, adopté lui aussi à la SPA un jour où j’allais simplement y acheter une cage de transport usagée, je suis tombée sous son charme, d’où son nom! Monsieur Sardine, persan noir et blanc arrivé très maigre et mal en point dans la cour, en juin il y a 5 ans; d’ailleurs ce fut le seul chat errant qu’on ait vu dans le quartier en 8 ans! On ne devait que le soigner et faire le nécessaire pour qu’il puisse être adop- Par Joanne Duplain té… mais on a eu un coup de cœur et on a décidé de le garder! Bernadette, une chihuahua (à tête pommée) adoptée il y a un an à l’Arche de Kathleen (avant son arrivée à l’Arche, elle était destinée à être reproductrice, mais l’accouchement de sa première portée s’est mal déroulé). Elle a maintenant 4 ans, ne joue pas et a continuellement besoin d’être stimulée, parfois même pour s’alimenter. Elle ne pourra jamais vivre en présence d’un autre chien, même un bébé chihuahua. Son anxiété viendrait malheureusement anéantir les progrès réalisés. Finalement, je suis récemment devenue famille d’accueil pour le refuge Adoption Lapins Sans Abri. Comme je ne peux entrer de nouveaux chats dans la maison j’accueille un lapin à la fois, le temps qu’il se trouve une famille pour la vie. J’en suis à deux lapins. JD : Isabelle, quel serait votre mot de la fin? Isabelle : C’est le devoir de chacun de redonner et c’est accessible à tous. Mon souhait : que les gens s’impliquent en toute humilité à la hauteur de ce qu’ils peuvent donner, peu importe la cause. Ils se rendront compte à quel point ils peuvent faire une différence. Pour ma part, c’est ACSA et la cause animale et, avec mes petites implications, j’espère que cela fait une petite différence. JD : De tout cœur, merci Isabelle, pour l’entrevue….. JD : Chut! Vous me connaissez… je ne peux terminer mon entrevue sans vous dévoiler une petite confidence… Avant que je ne quitte Isabelle et ses protégés, elle m’a parlé de son chat, Monsieur Sardine, qui est la vedette principale d’une vidéo de moins de trois minutes que l’on trouve sur YouTube et où Roméo a le rôle de soutien et Bernadette y fait une courte apparition avant de disparaître par magie! Elle est fière, [et avec raison!], de ses chats dans la vidéo intitulée « Le magicien » que vous pourrez visionner en tapant « Faireset le magicien ». Pour votre information, cette vidéo a déjà été vue au moins 412 000 fois et a généré plus de 500 commentaires à ce jour. Bon visionnement! Photos : Joanne Duplain Par Roxanne Bergeron Chronique Belle-Griffe J’aimerais vous parler aujourd’hui des différentes matières utilisées dans les bacs à litière. Selon les spécialistes en comportement félin, l’invention du siècle en ce qui a trait aux félins, c’est la litière agglomérante. Plus propre, plus économique puisqu’on jette seulement ce qui est souillé, c’est ce qui se rapproche le plus de la litière naturelle du chat qui serait de la terre ou du sable. Le secret de la litière agglomérante est d’en mettre un bon fond, environ 3 à 4 pouces, et de la nettoyer au moins une à deux fois par jour. Si vous achetez une ‘’ bonne’’ litière qui agglomère bien, vous n’avez qu’à en rajouter une fois par semaine, et la changer au complet 2 à 3 fois par année. Ça vaut parfois la peine de payer un peu plus cher et de la changer au complet moins souvent. Il existe aussi d’autres types de litière, dont la bonne vieille litière d’argile qu’il faut changer au complet une fois par semaine. Il y a aussi la litière ‘’magic’’ qui n’est pas agglomérante mais qui dure environ 3 semaines. Il y a maintenant la litière de silice qui a l’avantage de ne pas avoir de poussière, mais attention, ce n’est pas tous les chats qui aiment ça. Il existe une nouvelle litière biodégradable qui est faite de pin, qui semble bien absorber les odeurs, et qu’on peut jeter dans la toilette, mais elle est assez coûteuse. Il y a également la litière de papier journal compressé et recyclé. Mais ce n’est pas tous les chats qui aiment la texture. Les gens ont tendance à acheter la litière qu’ils préfèrent, mais c’est important que le chat soit d’accord avec votre choix. Il ne faut, en aucun cas, que le chat se retienne parce qu’il n’aime pas sa litière. Il pourrait faire ses besoins à des endroits inappropriés, ou pire, causer des dommages à sa santé. Selon les spécialistes, il n’est pas recommandé d’acheter de la litière parfumée, ou de rajouter des parfums dans celle-ci. Si vous trouvez que les odeurs vous plaisent, ce n’est peut-être pas le cas pour le chat qui gratte avec le nez à 2 pouces de la litière. En bref, il faut voir ce que le chat préfère, et ce qui est le plus pratique pour vous. Souper spaghetti Par Hélène Arcand-Côté Notre très attendu souper spaghetti aura lieu cette année le samedi 27 février, au Centre Monseigneur-Marcoux, 1885, Chemin de la Canardière à Québec. Plus grande salle et plus de commodités nous y attendent. Comme grande nouveauté, nous y tiendrons un encan silencieux et nous créerons pour l’occasion un évènement sur notre page Facebook afin de vous présenter les articles qui y seront présentés. Ramassez donc votre argent, il y aura de belles aubaines à réaliser, tout en permettant au refuge de se financer. Il sera possible de faire les paiements pour l’encan par carte de crédit, par chèque ou en argent. Déjà, en vente au refuge, vous pourrez également, le soir du souper, acheter des billets pour participer au tirage d’un magnifique arbre à chats, construit spécialement pour Adoption Chats Sans Abri par la très généreuse Martine Costin. C’est une pièce unique et de construction très solide avec des matériaux non toxiques. De plus, 100% de la vente des billets ira au profit du refuge. Nous espérons vous y voir en grand nombre. Nos merveilleux bénévoles se font déjà un plaisir de vous y rencontrer. Photo : ACSA Photo : Marie-Josée Beaudoin La belle Prunelle! Par Hélène Arcand-Côté Il y a des hauts et des bas dans la vie d’un refuge. Et quand un chat qui est avec nous depuis 3 ans se fait adopter, je peux vous dire que notre motivation remonte d’un cran! Ce fut le cas lorsque, juste avant Noël, notre belle Prunelle a enfin trouvé sa famille pour la vie. une vague déferlante d’amour pour elle et les partages de son histoire ont suscité un intérêt grandissant. Plusieurs personnes sont venues la visiter, mais la majorité avait déjà des chats à la maison, ce qui n’était pas l’idéal pour elle car elle préférait vraiment être le seul chat du foyer. Prunelle a été apportée chez un vétérinaire pour se faire euthanasier car elle était gestante. La vétérinaire qui siège sur notre conseil d’administration, Dre Anke Juehnichen, a réussi à convaincre les gens de lui laisser Prunelle afin qu’elle puisse accoucher dans un foyer tranquille, en promettant que chatons et maman trouveraient tous un foyer aimant. L’adoption des chatons s’est faite sans problème, mais celle de maman Prunelle a été plus compliquée. Après avoir passé 3 ans dans un foyer d’accueil parce qu’elle avait de la misère à s’habituer à la vie de refuge, nous avons décidé de rapatrier Prunelle chez ACSA pour lui offrir plus de visibilité. Un couple au grand cœur s’est présenté le samedi 5 décembre dernier, et ce fut le coup de foudre. Ils ont pris le temps de bien la connaître et de s’informer sur son caractère. Ils ont vu au-delà de son âge (5 ans), un fait qui freine plusieurs adoptants. Mais Prunelle a un grand potentiel. Elle a connu l’abandon et apprécie qu’on prenne du temps pour elle. Nous pensions qu’elle prendrait plusieurs jours avant de s’habituer à son nouveau foyer, mais cela s’est fait très rapidement. Elle est maintenant pleinement à l’aise. Prunelle est enfin comblée et elle le mérite pleinement. Pour voir des photos de Prunelle dans son nouveau foyer, vous pouvez consulter le site Facebook d’ACSA. Lorsque nous avons publié l’annonce sur Prunelle, via Comme toute chatte qui se respecte, Prunelle a mainnotre site Facebook, son histoire a touché le cœur de tenant pris le plein contrôle de son nouveau foyer! plusieurs sympathisants. Nous avons vraiment senti Photo: ACSA Montage : Steeve Maltais Chat s’adopte Par Hélène Arcand-Côté Photo : Steeve Maltais Don Juan On m’a appelé Don Juan car on a tout de suite vu que j’étais un charmeur. Avec toute la modestie que je possède, je dois avouer que c’est vrai. Je suis le chat parfait pour une famille qui recherche un félin gentil et affectueux, avec ou sans enfants. J’ai eu un début de vie difficile à l’extérieur et il était temps qu’on me rentre chez ACSA. J’étais plein de nœuds et il a fallu qu’on me fasse un bon toilettage, mais maintenant mon poil a repoussé et je suis splendide et en pleine forme. Même si j’ai le sida félin, il n’y a aucun problème à m’adopter car la maladie ne se transmet pas aux humains. Et comme je n’irai pas à l’extérieur, pas de risque d’attraper des rhumes et autres virus qui attaqueraient mon système immunitaire. Mon espérance de vie est donc la même que pour les autres chats. Demandez une visite dans mon foyer d’accueil et je saurai vous enjôler avec mon caractère extraordinaire. Vous ne voudrez plus d’un autre félin après m’avoir rencontré. Tarifs : Chaton (- de 6 mois) : 150 $ Chat adulte (+ de 6 mois) : 125 $ (Stérilisé, vacciné et vermifugé) Pour faire un don en ligne, rendez vous au : www.centreacsa.com Pour faire un don ou devenir membre par la poste : SVP Faire votre chèque au nom de ACSA. Nom : Carte de membre : Adresse : Carte valide 1 an : 15 $ Ville : Elle donne droit à un prix spécial sur la nourriture et la litière qui sont en vente au refuge et à la réception automatique du bulletin par courriel. Tél. : Je veux devenir membre (don de 15$ minimum) Montant : Code postal : Courriel : Reçu pour fin d’impôts Aidez-nous à poursuivre notre mission, affichez votre carte d’affaires ici! Contactez-nous pour connaître les modalités 418 522-7700 [email protected] 575, chemin de la Canardière, Québec, Québec G1J 2B5 Téléphone : 418 522-7700 [email protected] • www.centreacsa.com