CONSEIL MUNICIPAL - Site officiel de la mairie d`Eguilles
Transcription
CONSEIL MUNICIPAL - Site officiel de la mairie d`Eguilles
CONSEIL MUNICIPAL 41ème séance du Lundi 30 septembre 2013 Procès - Verbal La séance publique est ouverte à 19h05, et présidée par Monsieur François POTIE – 1er Adjoint au Maire en exercice, Monsieur François POTIE propose au Conseil la désignation de Madame Sabrina MARCHESSON, en qualité de secrétaire de séance. Il est procédé à l’appel par Monsieur Georges HECKENROTH : Pouvoirs : Absents : R. DAGORNE donne pouvoir à F. POTIE - J. LERISSEL donne pouvoir à Ch. GRAZIANO – A. DORETTI donne pouvoir à D. TESTAGROSSA – C. VILLALONGA donne pouvoir à S. MARCHESSON - B. COLSON donne pouvoir à N. BAUCHET – S. JURAMY donne pouvoir à J. BOURIAUD C. CARACENA – B. VIDAL (jusqu’à la Qt n°1) - Soit 21 présents, et 06 pouvoirs, 2 absents, 27 membres sont donc présents ou représentés au terme de cet appel et à l’ouverture de la séance ; le quorum étant atteint, l’assemblée peut donc valablement délibérer. Monsieur François POTIE rend compte au Conseil Municipal de l’usage fait de la délégation permanente votée par la délibération n° 2008/005 du 1er Avril 2008 et des Décisions du Maire prises et visées par le contrôle de légalité depuis la dernière séance du 04 juillet 2013. N° 063 N° 064 N° 065 02/07/2013 04/07/2013 15/07/2013 Tarifs Accueil Jeune – actualisation des tarifs MAPA – confortement du mur sur chemin de Fabrègues à Eguilles Cuisine de l’école de Surville – Agrandissement du Réfectoire – phase D.E.T. N° 066 N° 067 N° 068 N° 069 16/07/2013 16/07/2013 23/07/2013 30/07/2013 MAPA – réfectoire surville (annule et remplace 056) Travaux d’étancheité – Ecole Maternelle Surville Intervention d’une diététicienne – année scolaire 2013/2014 Marché A Procédure Adaptée de construction d’un court de tennis et d’un mur d’entraînement en béton alvéolaire N° 070 N° 071 02/09/2013 03/09/2013 N° 072 N° 073 09/09/2013 10/09/2013 Entretien hygiène avec Provence Nuisibles – PIGEONNIER AIR LIQUIDE – Convention de mise à disposition d’emballages de gaz Mapa Réseau landons avenant 1 Convention d’intervention dans le cadre des activités périscolaires - Récréason p. 1/8 N° 074 10/09/2013 N° 075 10/09/2013 N° 076 N° 077 10/09/2013 10/09/2013 N° 078 19/09/2013 N° 079 19/09/2013 Convention d’intervention dans le cadre des activités périscolaires – le Cerf Volant Convention d’intervention dans le cadre des activités périscolaires – Gymnastique du Pays d’Aix Contrat de location d’une batterie pour véhicule électrique MAPA – extension du réfectoire et rénovation cuisine de Surville – avenant n°1 – Lot n°4 Tarif dérogatoire des repas des élèves d’EGUILLES scolarisés à AIX – EN – PROVENCE dans les cantines gérées par sa Caisse des Ecoles ; Proposition d’étude – Plan de circulation du Pôle d’Activités des Jalassières à EGUILLES Le Conseil Municipal lui donne acte de ces informations. Monsieur François POTIE propose l’adoption du procès verbal de la 40ème séance du 04 juillet 2013 : Monsieur Jacques LEBRIS : « nous avions demandé le prix de location des ALGECO à l’Ecole de SURVILLE et le prix de location des modules PORTAKABIN installés à Saint Martin, nous n’avons pas eu de réponse, et nous n’approuverons pas le P.V. qui n’en fait pas mention » Monsieur Salvator DI BENEDETTO : « Nous avions aussi demandé le coût de construction et le coût d’entretien du pigeonnier et, là aussi, nous n’avons pas eu de réponse ». Monsieur François POTIE : « Pour les modules de Saint Martin, 130.000 € je crois, la location était impérative pour pouvoir travailler dans les groupes scolaires et surtout à SURVILLE en travaux pour la nouvelle cuisine et l’extension du réfectoire, le CROS étant aussi en travaux pour la réfection des peintures des classes » Monsieur Salvator DI BENEDETTO : « C’est bien cher tous ces frais, et ce centre aéré aurait certainement pu rester au CROS, sans avoir à le transférer à Saint – Martin, alors que les travaux n’y sont pas faits et que les questions de sécurité ne sont pas réglées ». Suite à ces observations, il est procédé au vote : à l’unanimité des suffrages exprimés : Pour Abstention Contre 24 03 Mrs LE BRIS – DI BENEDETTO –TOURGON 00 LE CONSEIL MUNICIPAL PROCEDE A L’EXAMEN DES QUESTIONS A L’ORDRE DU JOUR – VOTE DE L’URGENCE : RAPPORTEUR : FRANCOIS POTIE Vu la convocation du Mardi 24 Septembre pour la séance du Lundi 30 Septembre 2013 ; Vu l’arrêt du Conseil d’Etat du 12 Juillet 1955 « élection du maire de Mignaloux – Beauvoir » recueil Lebon 1955 page 412, précisant que le calcul du délai de convocation du conseil ne comprend ni le jour de la convocation ni le jour de la séance. Afin qu’il ne subsiste aucune ambiguïté quant – à un délai de 5 jours francs du Mercredi 25 Septembre au Dimanche 29 Septembre inclus, comportant un jour férié. p. 2/8 Monsieur Aimé TOURGON : « on n’était pas obligé de voter l’urgence, le délai de 5 jours étant respecté, même avec un dimanche ». Le Conseil Municipal approuve le vote de l’urgence et accepte de débattre et vote par application de l’article L 2121-12 du C.G.C.T. afin qu’aucun vice de forme ne puisse être invoqué quant – aux conditions de réunion de l’assemblée délibérante. Vote à l’unanimité des suffrages exprimés : Pour 27 QUESTION 01 : TAXE FONCIERE SUR LES PROPRIETES NON BATIES AVEC MAJORATION DE LA VALEUR LOCATIVE CADASTRALE DES TERRAINS CONSTRUCTIBLES – EXONERATION DE TOUS LES TERRAINS CONSTRUCTIBLES SITUES SUR LA COMMUNE D’EGUILLES RAPPORTEUR : FRANCOIS POTIE Monsieur François POTIE demande à Monsieur Jan ROUZEAU, directeur général des services d’exposer, sur un plan technique, le contexte et l’impact de la réforme fiscale majorant la base d’imposition des terrains constructibles non bâtis passibles de la taxe sur le foncier non bâti. Monsieur Jan ROUZEAU : « Il faut tout d’abord se reporter à la délibération n° 2013/043 du 10 Avril 2013 qui portait sur le vote des 3 taxes locales perçues par le commune (Taxe d’Habitation, Taxe sur le Foncier Bâti, et Taxe sur le Foncier Non Bâti) quant – à leurs bases et à leurs taux (restés inchangés en 2013) : Fiscalité Directe Locale Taxe d’Habitation Taxe sur Foncier Bâti Taxe Foncier Non Bâti Total 3 taxes Base réelles 2012 9.896.085,00 € 7.742.003,00 € 80.308,00 € Taux 2012 constants en 2013 19,00 % 22,70 % 42,12 % Bases estimées 2013 10.231.000,00 € 7.981.000,00 € 79.400,00 € Produits 2013 attendus (à taux constants) 1.943..890 € 1.811.687 € 33.443 € 3.789.020 € Pour la Taxe sur le Foncier Non Bâti en cause, ses bases très faibles, selon des évaluations par l’administration fiscale qui remontent à 1970, alors qu’EGUILLES était fondamentalement rurale, se traduisent par des taux élevés, mais pour un rendement qui produit très peu : taux moyen départemental 2012 de 45,42 % et taux plafond de 121,98 % pour un produit attendu en 2013, tous contribuables confondus, et sur 3.400 hectares, de 33.443 €, là ou la taxe d’Habitation aboutit à un produit de 1.943.890 €. Les taux votés à EGUILLES sont inférieurs à la moyenne, et près de 3 fois en dessous du plafond. La réforme DUFLOT consiste donc, sur la base d’un « cavalier budgétaire » : l’article 82 de la Loi de Finances pour 2013, à intercaler un système de majoration entre cette base foncière faible évaluée depuis 1970 par l’administration fiscale, et les taux relativement élevés votés depuis par les communes, mais à rendement faible. Cette majoration de 5 € le m² pour 2014 et 2015, passera à 10 € en 2016, et a donc un effet de levier considérable, à titre d’exemple un terrain de 4.000 m² fiscalisé à 35 € de T.F.N.B. en 2013 passerait à plus de 6.750 € en 2014 et 2015 et plus de 13.500 € en 2016. Cette majoration a également un impact sur la part qui va aux départements et aux régions. Le texte ne comporte pas de mesures transitoires ni de dérogations. p. 3/8 La situation particulière des terrains constructibles non bâtis n’est pas examinée plus en détail : • • • • quant – aux indivisions (successions en cours notamment celles impliquant des mineurs, parties communes des lotissements…) ; quant – aux réserves foncières des communes ; quant – aux terrains ayant fait l’objet de permis de construire et dont les constructions restent en attente de prêts ou sont en cours ; quant – aux terrains visés par des baux à construction, ainsi qu’à un raisonnement à l’unité foncière, et non à la parcelle (lorsqu’un ensemble constructible est constitué d’une parcelle bâtie et d’une ou plusieurs parcelles non bâties..) ; La portée réelle de cette réforme, qui n’a pas été vue par les parlementaires et débattue en tant que telle, a été mise en évidence par un Maire de l’Oise, lequel a interpellé l’Union des Maires et lancé une pétition au niveau National. Un décret d’application de cette Loi de Finance n° 2013-392 du 10 Mai 2013 a été pris, puis une circulaire ministérielle du 26 juillet 2013, enfin nous avons reçu un courriel de la Direction Régionale des Finances Publiques le Lundi 23 Septembre 2013 à 16 heures 35, pour tout vote en matière de fiscalité locale qu’il était donc impératif de voter avant la date butoir du 1er Octobre. Enfin, avec l’effet des lois sur la Métropole de Marseille et le projet de Loi Amélioration du Logement et Urbanisme Rénové déposé par Madame Cécile DUFLOT sur le bureau de l’Assemblée Nationale le 27 Juin 2013, qui prévoient un transfert « de plein droit » vers l’intercommunalité, les communes vont se trouver privées de la compétence « urbanisme » (compétence en matière de P.L.U. dit le texte, ce qui englobe les Plans d’Occupation des Sols) et des ressources s’y rapportant, il s’agit donc d’un mécanisme dont la commune ne percevrait plus les fruits au-delà de 2014. Plusieurs communes du Pays d’Aix ont estimé qu’il était trop difficile de voir instaurer cette taxe en l’état, ont hésité entre le vote d’une exonération et celui d’une majoration limitée à 1 centime du m², et finalement ont voté une mesure générale d’exonération : AIX, BOUC BEL AIR, TRETS, MEYREUIL, LES PENNES MIRABEAU, MIMET, FUVEAU….En effet une majoration à 1 centime du m² aurait été contre – productive vis – à – vis des services des impôts. La commune d’EGUILLES est également concernée, en tant que contribuable, pour ses réserves foncières (terrains FRANCH, DOF, CLEMENT….) Le mécanisme de l’article 82 de la Loi de Finance pour 2013 suscite aujourd’hui de très sérieuses réserves constitutionnelles, et surtout, l’Etat a sommé les Maires de dresser des listes de contribuables, et ceux – ci ont estimé que ce n’était pas leurs rôle et qu’ils ne disposaient pas d’informations en temps réel, les matrices cadastrales et fichiers VisDGI (état des rôles d’impositions) ayant jusqu’à plus de 12 mois de décalage par rapport aux transactions enregistrées aux hypothèques. » Monsieur Jacques LEBRIS : « On peut bien sûr discuter de la procédure et de la forme adoptée pour cette réforme, cependant, le point de vue budgétaire de cette fiscalité n’est pas le premier objectif, l’essentiel demeure de libérer du foncier, relancer l’offre immobilière et freiner la spéculation. Par ailleurs le dispositif instauré par la Loi va donner lieu à des décrets d’applications, les imprécisions évoquées seront donc réglées par la voie règlementaire et les services fiscaux. Sur le fonds il s’agit donc d’une fiscalité incitative pour densifier le bâti et urbaniser les zones d’habitat diffus, et c’est bien dans le rôle du gouvernement et d’une Loi de Finances ». Monsieur Vincent OLIVETTI : « Des parents propriétaires d’un grand terrain et qui en réservent des parcelles pour faire construire une maison pour leurs enfants n’auraient donc plus qu’à payer ? C’est une atteinte intolérable au droit de propriété ! » p. 4/8 Monsieur François POTIE : « La taxe ne serait plus encaissée au bénéfice des communes, mais par l’Etat pour le compte des intercommunalités compétentes en matière de P.L.U. c’est donc une nouvelle atteinte aux finances des communes » Monsieur Vincent OLIVETTI : « On va aboutir à une inégalité flagrante des citoyens devant la Loi et l’impôt, par exemple un terrain de même surface et même constructibilité ne sera pas imposé de la même façon selon qu’il est sur EGUILLES, ou sur VENTABREN et COUDOUX. » Monsieur Aimé TOURGON : « Un terrain agricole avec une construction à usage agricole et une surface importante non bâtie serait également visé ? » Monsieur Jacques LEBRIS : « Je remarque que cette Loi de Finances pour 2013 n’a pas été déférée au Conseil Constitutionnel, et donc que le Conseil ne l’a pas examinée sur le fonds, il ne pourrait donc plus le faire que dans le cadre d’une Question Prioritaire de Constitutionnalité, si une mesure d’application était attaquée, et si cette question lui était posée ». Monsieur Salvator DI BENEDETTO : « On ne peut pas continuer avec une telle pression foncière et un tel manque de logements, or ce texte parait correspondre à des situations foncières tendues, comme c’est le cas chez nous, et y répondre pour rendre davantage de constructions possibles ». Monsieur Aimé TOURGON : « Il est quand même étonnant de remettre en cause aujourd’hui une Loi qui a été votée par les députés et par les sénateurs, et promulguée ! Il n’est plus possible aujourd’hui de revenir dessus, et pas en Conseil Municipal ! Et quant - au parlement, on ne peut pas dire que personne n’a rien vu ! » Monsieur Jacques LEBRIS : « Si la commune d’EGUILLES avait adopté un Plan Local d’Urbanisme elle aurait pu gérer au mieux ce type de problèmes, parce que nous aurions pu nous déterminer plus précisément sur l’orientation des espaces bâtis urbains et naturels non bâtis. Par ailleurs, dans la délibération, nous ne sommes pas certains qu’il faille lister les zones de la commune ». L’exposé du rapporteur entendu, le Conseil Municipal, DECIDE : d’exonérer tous les terrains non bâtis et constructibles situés en zones Urbaines A, B, C, D et E , aux zones NA et variantes INAb, c, INAE a et b, et toutes les zones NB du Plan d’Occupation des Sols de la commune d’Eguilles, dans les conditions prévue à l’article 1396 du Code Général des Impôts. Vote à l’unanimité des suffrages exprimés : Pour Abstention Contre 25 03 00 M. J. LEBRIS – S. DI BENEDETTO – A. TOURGON Monsieur Bernard VIDAL entre en séance Soit 22 présents, et 06 pouvoirs, 1 absent, 28 membres sont donc présents ou représentés. QUESTION N° 02 : DEMANDE D’AIDE DE LA COMMUNAUTE DU PAYS : REVISION DU PLAN DE FINANCEMENT DES TRAVAUX DE CONSTRUCTION DE L’A.L.S.H. DE ST – MARTIN RAPPORTEUR : FRANCOIS POTIE Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, décide : • d’approuver le plan de financement du projet révisé comme suit, en sollicitant la C.P.A. : p. 5/8 Dépenses : libellé Travaux Maîtrise d’oeuvre Total : Dépenses : montant 970.000 € H.T. 130.000 € H.T. 1.100.000 € H.T. Recettes : libellés et % Conseil Général 13 Conseil Régional P.A.C.A. C.P.A. Commune d’EGUILLES Total : Recettes : montants 336.320 € 45.375 € 359.152 € 359.153 € 1.100.000 € Soit les taux de couverture suivants : • Conseil Général 13 : 30,57 % • Conseil Régional P.A.C.A. : 4,13 % • C.P.A. : 32,65 % • Commune d’EGUILLES : 32.65 % -----------------TOTAL : 100,00 % Monsieur Salvator DI BENEDETTO : « Le centre aéré était installé jusqu’en 2011 au Cros, en 2012 il est allé à SURVILLE, il pouvait revenir dans une école en 2013, tout cela a coûté bien cher et de façon prématurée ». Monsieur François POTIE : « Les écoles étaient en travaux cet été : cantine et réfectoire à Surville, peinture et étanchéité au Cros, il fallait assurer le service pour 130 enfants ». Monsieur Jacques LEBRIS : « Toujours le même problème avec Saint Martin, même si le site est exceptionnel, on y a fait une grosse acquisition à plus d’1,6 millions d’€uros, puis on y fait des travaux pour 1,1 millions d’€uros, alors que pour le même prix on aurait sans doute trouvé un site plus près, mais surtout on reste dans un massif boisé classé sous plan préfectoral et fermé l’été certains jours ». Monsieur Vincent OLIVETTI : « Ces opérations ont été validées par les pompiers du S.D.I.S. 13, et j’y ai assisté lors des commissions de sécurité, par la jeunesse et les sports et j’y ai fait ma carrière, la Caisse d’Allocations Familiales, le Conseil Général ont validé nos projets et les financent, la bastide est en terrain dégagé, au vent il y a des oliveraies, c’est en zone blanche et non verte sur la carte d’aléas, par ailleurs l’accès par le chemin de Saint Martin est goudronné et on peut s’y croiser, il y a une piscine et une citerne d’eau à proximité, le site est patrouillé par le Comité Feu et la Protection Civile, surveillé par la vigie, on y fait de gros travaux de débroussaillement et forestiers ; nous avons largement de quoi mettre les personnes à l’abri, nous le faisons d’ailleurs lors des orages, alors arrêtons de dire qu’on créé un risque pour nos enfants ! » Monsieur Jacques LEBRIS : « Mais le massif est fermé par grand vent ». Monsieur Jean Louis MAS : « Pour les promeneurs, pas pour les ayants droits, or les familles et enfants qui fréquentent nos structures sont des ayants droits, et sont dans la même situation que les riverains, sinon les habitants de Raster et de la Fontaine de Fabrègues ne pourraient même plus entrer ou sortir de chez eux. Nous avons même un courrier du Préfet sur cette dérogation ». Monsieur Vincent OLIVETTI quitte la séance Soit 21 présents, et 06 pouvoirs, 2 absents, 27 membres sont donc présents ou représentés. Vote à la majorité des suffrages exprimés : Pour Abstention Contre 22 02 02 M. B. VIDAL – A. TOURGON M. J. LE BRIS – S. DI BENEDETTO p. 6/8 QUESTION N° 03 : DECISIONS MODIFICATIVES BUDGETAIRES RAPPORTEUR : FRANCOIS POTIE Monsieur Vincent OLIVETTI entre en séance Soit 22 présents, et 06 pouvoirs, 1 absent, 28 membres sont donc présents ou représentés. Le Conseil Municipal, DECIDE : d’approuver le schéma d’écritures de la D.M. n° 02 du budget général, D.M. n° 01 du budget annexe de production d’électricité photovoltaïque selon les deux tableaux comptables ci-après : p. 7/8 Vote à l’unanimité des suffrages exprimés : Pour Abstention Contre 23 04 00 M. J. LE BRIS – S. DI BENEDETTO -B. VIDAL – A. TOURGON QUESTIONS DIVERSES : échange d’informations. Monsieur Daniel SUZAN : « Concernant le stationnement dans la zone des Jalassières, il y a de plus en plus de problèmes, et quels sont les projets ? » Monsieur François POTIE : « Il est prévu un plan actuellement à l’étude, et de délimiter un maximum d’emplacements, le problème c’est que les implantations d’entreprises sont privées, qu’elles sont clôturées et fermées, le plus souvent donc les visiteurs se garent sur les trottoirs ou en demi – chaussée ce qui gêne le trafic surtout des bus et camions » Monsieur André BORDET : « C’est également un des problèmes vus par le S.C.O.T. de la C.P.A. laquelle a prévu un parking pour desservir la tête de ligne de transports en communs et inciter les personnes à rejoindre la zone sans recourir systématiquement à la voiture ». LA SEANCE EST LEVEE A 20h00 – p. 8/8