États-Unis, Postdam - TEYSSIER, Mélody - 2011x

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États-Unis, Postdam - TEYSSIER, Mélody - 2011x
REGION RHONE-ALPES
Rapport de fin de séjour :
Clarkson University à Potsdam
Explo’ra Sup : bourse de mobilité internationale étudiante de ma région Rhône-Alpes
Melody Teyssier
11/08/2011
Logement : L’université impose aux étudiants étrangers de loger sur le campus, ce qui est très
pratique. Il y a plusieurs types de logement mais pour nous, ils donnent le choix entre 3 lieux :
riverside, townhouse et woodstock (ce dernier est détruit cette année). Ce sont des petites
maisons de 4 personnes avec deux chambres de 2, une petite cuisine, une petite salle de bain
et un salon assez spacieux. L’université s’arrange pour mettre au maximum deux étudiants
étrangers (de nationalités différentes) dans une même maison pour les mixer avec deux
étudiants américains. Les étudiants américains aménagent l’appartement généralement avec
des canapés, un micro-onde et toute la vaisselle (car elle n’est pas fournie). Ils n’y a aucun
problème à ce que les étrangers utilisent leur vaisselle et tout ce qu’ils ont ajouté (souvent une
télé…). Les logements coûtent entre 3200 et 3500 dollars (riverside est le plus cher mais le
meilleur logement, townhouse est très bien aussi) pour le semestre. Ils envoient un papier
avant notre arrivée pour nous demander de payer par virement mais en fait, presque tout le
monde paye une fois arrivé. C’est ce que j’ai fait. J’ai payé en partie en liquide que j’avais
changé en France et en partie par un virement. Tous les moyens de paiement sont acceptés, ils
sont très flexibles.
Argent : Le meilleur système est d’avoir un compte en banque chez HSBC en France car le
retrait dans un distributeur HSBC est sans frais/commissions et il y en a partout aux EtatsUnis mais surtout aussi sur le campus. Je n’ai pas fonctionné comme ça car j’avais un compte
chez BNP-Paribas qui a un accord avec Bank of America (aucune commission) et qui m’avait
assuré qu’il y en avait partout aux USA. Je me suis rendue compte en arrivant à Potsdam que
la plus proche B of A était à 100 miles. J’ai voulu ouvrir un compte chez HSBC sur place car
on m’avait dit que l’ouverture d’un compte là-bas était très simple mais ils ont modifié la
procédure et c’est tellement compliqué maintenant que je le déconseille. J’ai donc fonctionné
au liquide durant toute la durée du séjour et je retirais de l’argent dans une B of A lors de mes
week-ends dans d’autres villes. Pour les paiements au restaurant, attention, je conseille de
n’utiliser que du liquide car le paiement par carte n’exige pas de code PIN et ils emmènent la
carte avant de vous la rendre. Beaucoup de personnes s’aperçoivent ensuite que leur compte
est débité pour des paiements qu’ils n’ont pas effectués. Donc il faut être très prudent si l’on
paye par carte.
Santé : Les universités (d’origine et d’accueil) exigent que l’on ait une couverture sociale
avant de se rendre à l’étranger. Ils demanderont donc une preuve de couverture avant le
départ. Pour ma part, j’ai souscrit au pack international de la LMDE en complément de ma
couverture sociale en France. Ce pack couvre tous les frais médicaux et de rapatriement. Il
coûte 38 euros par mois passé à l’étranger et répond à toutes les exigences de l’université
d’accueil. Je n’y ai eu recours que pour un remboursement de médicaments prescrits par le
médecin. En effet, je n’ai pas eu de frais de médecin car il y a un médecin sur le campus
(présent presque tous les jours) et sans frais. Il suffit de prendre rendez-vous, c’est assez
rapide. Le médecin m’avait donc prescrit des antibiotiques qui me sont remboursés. Dans le
cas d’une hospitalisation, il y a toute une procédure à suivre. Il faut donc lire et relire les
documents envoyés par l’organisme qui s’occupe de cela (un partenaire de la LMDE dans
chaque pays ; ectvs pour les USA).
Télécommunications : J’avais un forfait de téléphone portable en France que j’ai tenu à
conserver. Il fonctionnait à l’étranger même si les appels et les sms coûtaient bien plus chers.
J’utilisais donc mon numéro français pour joindre les autres. Certains américains me
joignaient par sms sur celui-ci bien que cela leur coûte plus cher, la plupart n’y voyaient pas
d’inconvénients. Mais pour les autres, j’avais un téléphone américain (tracfone). Je l’ai acheté
à Walmart pour 10 dollars et j’ai acheté une carte (comme une mobicarte) de 20$ pour 120
minutes. Le décompte se fait en minute et non en argent. Un sms coûte 0,30 minute. Une
chose très importante à savoir est que les américains payent quand ils appellent ou envoient
un sms mais également quand ils reçoivent un appel ou un sms. Pour résumer, lorsque
j’envoyais un sms, cela coûtait 0,30 minute et c’était la même chose si j’en recevais un. Le
prix est le même que l’on appelle ou que l’on reçoive un appel. C’est pourquoi je devais avoir
du crédit sur mon portable américain si je voulais recevoir des appels ou sms. Du coup, la
plupart des contacts se faisaient par facebook car le crédit de téléphone diminue très très vite.
Un petit conseil tout de même : mon portable français s’est avéré très utile lorsque j’ai voyagé
au Canada (juste à côté) et au Mexique car le téléphone américain ne fonctionne plus une fois
à l’étranger et les autres étudiants étrangers n’avaient donc plus aucun moyen de se joindre
une fois en dehors des USA.
Vie universitaire : En tant qu’étudiant étranger, nous devons choisir 5 cours mais Grenoble
n’en exige que 4 de 3 crédits chacun. Une liste est envoyée avant le début des cours et nous
devions choisir 4 cours dans la liste. Le choix n’était pas très grand mais j’en ai choisi 4. Une
fois sur place, j’ai appris que l’on pouvait choisir dans la liste complète des cours de
l’université et que nous pouvions tester plusieurs cours avant le choix définitif. Jusqu’à début
février, il est possible de changer de cours. Le responsable de programme est très arrangeant,
j’ai par exemple pu intégrer un cours qui affichait complet grâce à lui. J’ai donc choisi des
cours en lien direct avec ma spécialisation en finance. En tant qu’étudiante en dernière année,
j’avais la possibilité de suivre des cours du niveau « undergraduate » (équivalent bac +4) et
« graduate » (équivalent bac +5-6). Ces derniers sont bien plus difficiles et exigent davantage
de travail. Les méthodes d’enseignement changent d’un niveau à l’autre. Mais dans les deux
cas, le travail personnel est très important. Il y a énormément de lectures. Les livres coûtent
d’ailleurs très chers mais on peut trouver des bonnes affaires sur internet ou en location, mais
il est aussi possible de partager les frais avec une autre personne dans les mêmes cours. A
noter que les versions « internationales » qu’on trouve beaucoup sur internet coûtent bien
moins chères. En fait, seule la couverture change donc ce n’est pas un problème du tout. Les
cours durent 1h15. Chaque cours choisi a lieu deux fois par semaine (lundi-mercredi ou
mardi-jeudi) à la même heure. Certains sont le vendredi mais très peu. Les professeurs sont
très à l’écoute, pas trop difficile dans la notation si le travail est correct. La participation est
importante aux USA mais moindre dans les cours de finance.
Vie quotidienne :
Temps : J’ai passé le second semestre à Potsdam (de janvier à avril). C’était donc l’hiver et au
nord des Etats-Unis, à la limite du Canada donc il fait très froid. Le minimum qu’on ait pu
atteindre était -36°C et la température monte rarement au-dessus des 5°C sauf vers le mois
d’avril mais il neigeait encore de temps en temps en avril. Il faut prévoir des vêtements
chauds, écharpe, gants et bonnet ou protège-oreille indispensable. L’avantage est que, certes il
neige presque tous les jours, mais il ne pleut presque jamais. Ce temps n’empêche pas les
gens de vivre. Certains font des barbecues en extérieur (ils sont devant chaque maison à
Riverside), les sorties ski (à environ 1h du campus) sont courantes, il y a des soirées luges
organisées sur une grande pente du campus. Du jeudi au dimanche, les étudiants sortent boire
et danser dans les pubs du coin, très sympathiques et peu chers, à 15min à pieds. Le froid ne
décourage personne.
Transports : les transports en commun dans cette petite ville sont inexistants et même si la
ville est très petite, les distances restent assez grandes. Il y a quelques magasins à proximité,
accessibles à pieds en cas d’urgence mais sinon, les principaux magasins sont Walmart et
Price Chopper, ouverts 24h/24, où les prix sont raisonnables. Les produits sont cependant très
différents de la France, il faut s’y habituer. Pour se rendre dans ces magasins, il faut une
voiture. Les étudiants américains ont tous une voiture et sont toujours prêts à vous y
emmener. La plupart du temps, ce sont les colocataires qui nous y emmènent. Pour moi,
c’était l’une de mes deux colocataires américaines ou bien ma « marraine » ou des amis
rencontrés tout au long du semestre.
Equipement : Lorsque l’on arrive le premier jour à Clarkson, plusieurs étudiants volontaires
nous ont emmenés à Walmart pour acheter le nécessaire. Ils savent bien qu’en venant en
avion, nous n’avons aucune nourriture, ni champoing/savon, et équipement pour dormir. En
effet, les chambres sont vides, nous devons nous procurer nous-mêmes les draps, couvertures,
coussins… Pour ma part, j’avais emmené un drap et une taie d’oreiller. Il se trouve que ma
colocataire m’avait laissé un oreiller donc je n’ai acheté qu’une couette à walmart pour 20$.
J’avais également acheté une couverture chauffante à 30$ car dans certaines chambres, il fait
extrêmement froid donc ma colocataire avait ses 4 couvertures tandis que moi, j’ai préféré la
couverture chauffante.
Comment se rendre à Clarkson University à Potsdam ? J’ai opté pour un vol de Lyon à
New-York (avec une correspondance), puis j’ai pris un car de nuit pour me rendre à Potsdam
(10h de bus). J’ai opté pour cette solution car je savais que j’allais voyager après la fin des
cours et un retour de New-York était le plus pratique et la solution la plus économique. Mais
beaucoup d’étudiants prennent un vol jusqu’à Syracuse puis prennent le bus (3h) pour se
rendre à Potsdam. Le prix du bus est remboursé par Clarkson.
Loisirs : Le campus est petit pour un campus américain d’après ce que l’on me disait mais
c’est pourtant très grand ! Il offre une salle de sport pour les étudiants avec de nombreuses
machines et plusieurs salles pour s’étirer ou autres. Il y a également une piscine olympique
chauffée, des tables de ping-pong, un terrain de basket-ball et un terrain de course (tout cela
en intérieur vu le temps). Tous ces équipements sont accessibles gratuitement avec la carte
étudiante. L’université organise, dans le bâtiment principal, des événements tous les 15 jours
le vendredi et le samedi : spectacles de magie, de musique, de comiques… Sont à disposition
également des instruments de musique pour ceux qui veulent pratiquer le piano, la guitare,
etc. On peut aussi emprunter des jeux de wii ou playstation à utiliser dans la salle multimédia.
Plusieurs fois dans le mois, il y a des matchs de hockey sur glace. C’est très impressionnant et
c’est l’événement qui rassemble tous les habitants de la ville. La ville de Potsdam propose
aussi quelques activités : il y a un cinéma avec les derniers films à l’affiche. Prix spécial pour
les étudiants le mardi (4$). Il y a un bowling où l’ambiance est très sympa et plusieurs
excellents restaurants. Par contre, il n’y a pas de place pour le shopping. Je suis allée une fois
dans un grand centre commercial à environ une heure de Potsdam ; c’est une de mes
colocataires qui m’a emmenée un week-end.
Contacts/rencontres avec les américains : Avant d’arriver à Clarkson University,
l’administration nous attribue ce qu’ils appellent un « buddy ». C’est une sorte de parrainage
par des étudiants américains qui ont eux-mêmes effectué un semestre à l’étranger et qui se
portent volontaires pour accompagner les futurs étudiants étrangers. C’est ainsi que je suis
entrée en contact avec ma « buddy » avant mon départ. Une fois arrivée à Clarkson, elle m’a
recontactée et nous nous sommes rencontrées. Très peu d’étudiants sont restés en contact avec
leur « buddy ». Pour ma part, j’ai eu la chance de m’entendre particulièrement bien avec la
mienne et qu’elle veuille vraiment créer des liens. C’est ainsi que l’on se voyait au moins trois
fois par semaine et qu’aujourd’hui, même après mon retour en France, nous avons gardé le
contact et échangeons des mails régulièrement. Pour en venir aux rencontres avec les
américains, je dirais que c’est très facile. Encore faut-il vouloir rencontrer des américains car
il est très facile de rester entre étrangers. En effet, la semaine où l’on arrive à Clarkson, les
américains ne sont pas encore revenus de vacances. Ils arrivent la semaine suivante. Par
conséquent, tous les rassemblements organisés par l’administration et certains étudiants
américains se font avec les autres étudiants étrangers venus pour le semestre. L’administration
nous apporte des informations concernant tout ce qui est administratif (des rappels sur le visa
entre autres), les différences culturelles et les particularités des américains avec les choses à
faire et à ne pas faire… Puis les étudiants américains organisent des jeux et des goûters pour
que l’on apprenne à se connaître. A ce moment-là, nous rencontrons que des étudiants
étrangers. Pendant plusieurs jours, nous restons ensemble et nous nous faisons des amis. C’est
pourquoi beaucoup finissent par rester entre eux et ne rencontrent personne. Personnellement,
j’avais décidé bien avant mon départ que le but de cet échange était de rencontrer des
américains et de pratiquer mon anglais autant que possible. C’est pour cela que lorsque mes
deux colocataires américaines sont arrivées, j’ai immédiatement fait leur connaissance.
Encore une fois, j’ai eu la chance qu’elles soient très ouvertes et qu’elles m’aient emmenée,
dès le début, à toutes leurs soirées où elles m’ont présentées leurs amis. Les américains,
contrairement à ce que l’on pourrait penser, sont très curieux et accueillants. Ainsi, là où je ne
connaissais personne, je discutais avec tout le monde. J’ai rencontré beaucoup de gens comme
ça, des amis de mes colocataires mais pas seulement. Les pubs de la ville sont fréquentés
presque exclusivement par des étudiants de Clarkson. De cette manière, je me suis faite mes
propres amis. Après deux semaines, j’avais déjà tout un cercle d’amis et c’était à mon tour
d’inviter mes colocataires aux soirées où j’étais invitée. J’ai conservé de forts liens avec mes
colocataires (américaines mais aussi celle de Hong-Kong avec qui je m’entendais
particulièrement bien). Il y a une grande part de chance de ce côté-là car tous ne sont pas très
avenants mais normalement, si l’on se comporte bien, il n’y a pas de raisons que ça se passe
mal.
Bilan et suggestions :
Je garderai un merveilleux souvenir de ce semestre aux Etats-Unis. Les cours étaient très
instructifs et ont parfaitement complété ma formation. Etant spécialisée en finance, j’ai pu
aborder des aspects financiers avec un nouveau point de vue. J’ai également pu me
familiariser avec les bilans et comptes de résultats anglo-saxons dont les normes diffèrent des
normes françaises. Mais au-delà des cours, je retiendrai l’expérience humaine. J’ai pu
rencontrer des personnes venant du monde entier, partager de nombreuses conversations,
tester de nouvelles cuisines…
Par contre, avant de partir, il est vrai que j’ai rencontré quelques difficultés relatives à la
quantité de papiers à remplir et à retourner. Les indications n’étaient pas toujours très précises
et il a fallu se débrouiller seuls sur certains points. L’école ne nous explique pas les
différences entre les visas. Un numéro étudiant est demandé sur plusieurs formulaires alors
que nous n’en avons connaissance que plus tard (une fois que tous les papiers ont été
envoyés). Les bulletins des années précédentes sont demandés. Certains remontent jusqu’à la
classe prépa. Ceux-ci m’avaient été demandés par l’administration de Grenoble EM mais j’ai
refusé de les fournir. Il se trouve que ceux-ci n’étaient pas utiles mais la responsable des
échanges internationaux n’était pas au courant et me les avait demandés uniquement car
d’autres les avaient donnés. L’arrivée à Clarkson se passe sans aucun problème. Nous
sommes très entourés, bien accompagnés dès le début et ce, jusqu’à la fin.
Avant de partir, j’étais en contact avec un ami de mon école qui était allé à Clarkson l’année
précédente. Il m’avait donné quelques conseils mais j’avais également lu les rapports des
autres étudiants qui étaient allés à Clarkson. Ces rapports sont très utiles, ils nous permettent
d’être préparés à ce qui nous attend là-bas.
Donc si j’ai quelques conseils à donner, au-delà de ceux que j’ai déjà mentionnés dans les
rubriques ci-dessus, ce seraient ceux-ci :
1) Choisir le visa F-1 : ce visa est valable jusqu’à 60 jours après la fin des cours (ce qui
signifie que l’on peut encore voyager dans le pays pendant 2 mois). Le visa J-1 n’est
valable que 30 jours par contre, il fonctionne si vous voulez faire un stage ou avoir un
petit job en parallèle mais seulement dans la limite de la durée du séjour. Je pense que
ce n’est pas très utile et qu’il vaut mieux profiter pleinement de l’expérience étudiante.
2) Aller à la rencontre des américains plutôt que de s’enfermer avec d’autres français.
Créer des liens avec les colocataires, les « buddy »…
3) Pour aller à Potsdam, ne pas prendre un avion qui aille à Montreal. C’est bien trop
compliqué pour se rendre à Potsdam même si vous verrez que Montreal est plus
proche que Syracuse. Eviter les correspondances au Canada.
4) Attendre d’avoir tous les papiers d’acceptation, visa, etc, avant de commander le billet
d’avion.
5) L’école vous dira que vous devez arriver tel jour précisément. En réalité, il est possible
d’arriver plus tard car les cours commencent une semaine après mais l’accueil du
début est très enrichissant, vous met dans le bain donc je vous conseille d’y être si
vous pouvez.
6) Commencez à remplir les papiers dès que vous les recevez et prenez rendez-vous chez
le médecin rapidement car c’est ce qui prend le plus de temps. Il faut au moins 3
rendez-vous tellement c’est compliqué. Il y a de nombreux vaccins à faire, test de la
tuberculose… Tout ceci prend du temps. Un papier vous demande de choisir vos cours
sur le site internet, ne perdez pas de temps. Ce ne sont pas les cours qui vous seront
proposés. Une liste vous parviendra par mail bien plus tard et comme je le disais
précédemment, cette liste est très incomplète. Vous pourrez choisir vos cours une fois
là-bas, c’est ce que tout le monde fait. Lorsque vous ne comprenez pas ce qui vous est
demandé ou que vous n’avez pas l’information, laissez un vide. Si ça pose un
problème, ils reviendront vers vous mais souvent, ils ne regardent pas. Au niveau de la
couverture médicale par exemple, ils demandent des précisions sur une fiche alors que
vous avez jusqu’à votre départ pour en choisir une. Donc laissez un vide ou mettez ce
que vous pensez que vous prendrez mais vous pourrez toujours changer d’avis.
7) Voyagez autant que possible. Le Canada est juste à côté. Il est très facile de trouver
des américains prêts à vous emmener à Ottawa ou Montréal même si la plupart des
étrangers louent une voiture et y vont par leurs propres moyens.
Personnellement, j’ai vécu les 6 meilleurs mois de ma vie donc je n’ai aucune amélioration à
proposer hormis un meilleur accompagnement avant le départ.

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