Télécharger - As

Transcription

Télécharger - As
B
O
O
K
Pauline ROGEZ
06.58.38.00.59
[email protected]
Rédaction
Éditorial rédigé pour le dossier de presse Tape à l’œil, collection
Automne-Hiver 2013
Comment être écolo au bureau ?
Voici quelques gestes simples qui vont faire du bien à la planète !
Un salarié parcourt en moyenne 15 kilomètres par jour pour aller travailler. Autrement dit, 6 000
kilomètres par an ! Des milliers de tonnes de CO² sont ainsi émises par nos déplacements chaque jour.
Pour réduire votre impact sur l’environnement, optez plutôt pour le covoiturage ou, mieux encore, pour
les transports en commun. En effet, en prenant le bus, vous rejetez trois fois moins de CO² qu’en voiture !
Enfin, pour les plus courageux, n’hésitez pas à effectuer le trajet en vélo, à pied ou même en roller ! Vous
brûlerez ainsi plus de calories que de combustibles fossiles !
Une société de 200 personnes utilise plus de 60 000 gobelets en plastique par an ! Sachant qu’un
seul de ces verres met plus de 100 ans à se dégrader dans la nature s’il n’est pas recyclé, ça vaut le coup
de prendre une tasse individuelle, vous ne trouvez pas ? Boudez donc la machine à café qui ne distribue
que des gobelets en plastique et aménagez un petit coin café dans l’openspace !
Un salarié imprime en moyenne 35 pages par jour ce qui représente 80 kilos de papier par an.
C’est beaucoup trop ! Surtout quand on sait que près de 24 % des pages imprimées ne sont jamais
utilisées et finissent à la poubelle ! Au total, 1,2 million d’arbres sont sacrifiés chaque année pour rien !
Dans la mesure du possible, n’imprimez que ce qui est nécessaire et véritablement indispensable, de
préférence en recto verso. Le cas échéant, pensez à utiliser le verso de vos documents comme papier
brouillon avant de les jeter !
D’ailleurs, pensez à adopter le tri sélectif. En effet, 80 % des déchets de votre corbeille de bureau
peuvent être recyclés ! Il vous suffit seulement de penser à bien jeter vos papiers dans une poubelle
spécifique qui ne contiendra rien d’autre ! Une tonne de papier recyclé, c’est 3 millions de litres d’eau,
5 000 kWh, 550 kilos de CO² et 17 arbres d’économisés !
N’oubliez pas non plus de recycler vos cartouches d’encre. En effet, nous consommons chaque
année 40 millions de cartouches mais nous ne les recyclons pas. Pourtant, les cartouches usagées
représentent tous les ans 60 000 tonnes de déchets !
Enfin, même si vous êtes pressés de rentrer chez vous à la maison le soir venu, prenez le temps
d’éteindre complètement votre ordinateur au lieu de le laisser inutilement en mode veille. De la même
manière, n’oubliez pas d’éteindre la lumière en quittant la pièce. Une heure d’éclairage en moins, c’est
jusqu’à 100 kWh économisés !
Et pour faire rimer écolo avec rigolo, n’hésitez pas à suivre les aventures de Marguerite Verdier
(http://www.planete-bureau.fr). Fraîchement nommée Responsable Développement Durable, elle est
chargée de convaincre en interne ses collègues d’ « éco-travailler ». Et c’est loin d’être gagné !
Article publié le 5 juin 2012 sur le blog L4M
www.blog.l4m.fr/emploi-et-stage/comment-etre-ecolo-aubureau-1734
La semaine dernière, un épais manteau blanc est venu semer la zizanie dans la région
bouleversant ainsi, en quelques minutes seulement, nos vies bien établies. Mais avez-vous déjà
entendu parler des Nénetses ? 42 000 personnes vivant à longueur d’année sur les sols gelés de
la toundra sibérienne, l’un des 30 peuples du Grand Nord – tous plus ignorés les uns que les
autres – qui résistent (très mal) à la pression d’un gouvernement russe avide d’y puiser gaz et
pétrole. On nous parle de mondialisation, de distances qui s’amenuisent, de standardisation des
modes de vie, de goûts formatés par quelques marques dominantes. Soit.
Le ruissellement de l’eau sous la glace. Le crépitement du feu. Le sifflet du lasso dans l’air
gelé. Rien n’empêche de rester curieux, sensible à des réalités différentes et pourtant
nécessaires. C’est ça aussi s’ouvrir aux autres et chez L4M, on pense sincèrement que c’est grâce
à cela que vous pourrez, même face à un recruteur, briser la glace !
[Newsletter du 12 mars 2012 : www.l4m.fr/newsletter/2012/03_12/newsletter_12_03_2012.html]
« Je vais vous dire quelque chose : je trouve toujours choquant et blessant de s’arroger
le monopole du cœur. Vous n’avez pas, monsieur Mitterrand, le monopole du cœur. Vous ne
l’avez pas… » En prononçant ces quelques mots dans une émission télévisée le 10 mai 1974,
Valéry Giscard d’Estaing interrompt calmement son adversaire. Le regard de François Mitterrand
se trouble. 9 jours plus tard, VGE remporte l’élection présidentielle avec 426 000 voix d’écart.
En politique comme ailleurs, la maîtrise des mots est un art aussi admirable que rentable.
Faire rire ou pleurer, convaincre ou persuader mais aussi se défendre ou se vendre : le mot peut
tout. Il dit un peu qui nous sommes et beaucoup de ce que nous cherchons. Que vous rédigiez
une lettre de motivation ou que vous vous présentiez face à un recruteur, chaque mot aura son
importance et influencera la perception que votre interlocuteur a de vous. N’oubliez pas que
quelques mots seulement peuvent faire toute la différence. À vous de trouver les bons…
[Newsletter du 9 avril 2012 : www.l4m.fr/newsletter/2012/04_09/newsletter_09_04_2012.html]
Éditoriaux rédigés pour les newsletters L4M, envoyées tous les 15 jours aux 65 000 abonnés du site.
Contrainte : Ne jamais faire de l’emploi le sujet principal de l’éditorial (thématique réservée aux
dernières lignes)
Les séries policières, coupables de mensonges ?
De celui qui recueille les indices sur la scène de crime à celui qui les analyse au laboratoire, un
large éventail de possibles s’ouvre à vous si vous souhaitez vous orienter vers les métiers du crime. Il faut
dire, en effet, que de plus en plus de professions sont amenées à intervenir dans le suivi et la résolution
d’affaires criminelles : médecin légiste, technicien de la police scientifique, expert en balistique ou encore
scénariste de série policière.
Popularisés par la diffusion massive de séries télévisées, ces métiers connaissent actuellement un
véritable engouement. Le crime n’a peut-être jamais été autant banalisé et esthétisé qu’aujourd’hui, pour
le rendre montrable mais surtout supportable aux yeux de spectateurs qui en redemandent sans cesse.
Pourtant, la réalité est bien différente de ce que nous en montre le petit écran.
Loin de l’image véhiculée par une série américaine telle que Monk, les détectives privés français
ne sont absolument pas concernés par les affaires criminelles. En effet, ils travaillent essentiellement pour
le compte de clients qui les engagent afin d’obtenir des renseignements d’ordre privé, commercial ou
industriel. D’ailleurs, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à faire appel à ces agents privés,
notamment pour repérer les fraudes ou lutter contre l’espionnage industriel.
Vous rêviez d’être le futur Patrick Jane ( Le Mentaliste) ou la future Samantha Waters (Profiler)?
Vous vouliez donc être profiler ? Sauf que ce métier n’existe pas en France…. Rassurez-vous, une
formation équivalente est proposée depuis 2009 par la Direction des Sciences Comportementales (DSC)
de la Gendarmerie Nationale. Néanmoins, les places sont extrêmement rares puisque la Gendarmerie
Nationale ne compte que 4 binômes d’analystes comportementaux dans ses effectifs.
De même, les Experts vous induisent constamment en erreur. Contrairement à ce que vous voyez
plusieurs soirs par semaine à la télévision, l’expert n’est pas un officier de police judiciaire. Dès lors, il ne
participe pas à l’enquête, ne mène aucun interrogatoire et n’a pas d’arme de service. En revanche, la
grande quantité de travail administratif qu’il est amené à effectuer n’est jamais mentionnée…
La France est le seul pays où la médecine légale n’est pas intégrée aux forces de police.
Contrairement à ce que l’on peut voir dans Bones, le médecin légiste est donc un expert indépendant. De
la même manière, les confusions autour de ce métier sont nombreuses et la majorité des spectateurs ne
se doutent pas qu’une large partie du travail concerne les vivants. En effet, le légiste est aussi sollicité
pour examiner les victimes d’agression pour rassembler des preuves.
Vous pensiez être incollables sur le quotidien d’un technicien de la police scientifique après avoir
regardé R.I.S. Police Scientifique ? Pour commencer, sachez que les techniciens ne peuvent pas participer
à l’enquête : ils se contentent de recueillir des preuves scientifiques et objectives. D’ailleurs, ils sont en
permanence couverts des pieds à la tête pour préserver les indices et non pas en tenue civile. Enfin, les
résultats sont très longs à obtenir, même pour une simple empreinte digitale, dans la mesure où il n’y a,
en tout et pour tout, que cinq laboratoires de police scientifique en France.
Procédure, hiérarchie, chronologie de l’enquête, les séries piétinent les principes les plus basiques
du quotidien de la police. Même si elles ont force de loi aux yeux des spectateurs, il faut
malheureusement admettre que toutes les affaires de la vie réelle ne peuvent pas être résolues au terme
de l’épisode.
Dossier thématique sur les métiers du crime rédigé pour L4M.fr (janvier 2012)
www.l4m.fr/emag/dossier/carrieres-7/les-metiers-crime-9965
En 1983, Antoine Smeyers exerce ses fonctions de policier à l’aéroport d’Orly lorsqu’une vague
d’attentats assez meurtrière frappe le pays. Le déclic s’opère véritablement à 14h10, le 15 juillet 1986,
quand une bombe explose au comptoir de la Turkish Airlines dans la zone 2 de l’aéroport. Un an plus
tard, après avoir suivi une formation en partie dispensée par les démineurs de la sécurité civile de Paris, le
jeune policier retire définitivement son uniforme et intègre aussitôt le centre de déminage d’Arras.
Une carrière explosive…
Après vingt-cinq ans de carrière, Antoine Smeyers ne compte plus le nombre d’interventions
effectuées. Il faut dire que, dans la région, le travail ne manque pas : « on reçoit en moyenne entre 2 000
et 2 500 demandes de ramassage par an ce qui représente environ 150 tonnes de munitions qu’il faut
évacuer puis transporter sur un terrain militaire en vue d’une destruction en toute sécurité ».
Même si plus de 200 tonnes d’explosifs en tous genres ont encore été récoltés dans la région par
les différentes équipes du centre de déminage d’Arras l’an dernier, « chaque cas est particulier et chaque
intervention est totalement différente de la précédente. » Le métier nécessite en effet une véritable
faculté d’adaptation ce qui explique notamment qu’une intervention commence systématiquement par
« une analyse approfondie de la situation. On ne fait jamais rien sans s’être concertés avec notre binôme.»
Déminer n’est pas jouer
Pour les démineurs, le risque zéro n’existe pas. En effet, il ne faut jamais perdre de vue que ces
explosifs ont été conçus pour tuer : « même après de longues années passées sous terre, un obus, une
mine ou une grenade sont aussi dangereux qu’au premier jour » explique-t-il. Ainsi, au contact d’une
munition de guerre ou d’un engin explosif, impossible de tricher.
Ce qui fait la force d’un démineur, c’est le juste équilibre entre l’assurance d’une technicité
parfaitement maîtrisée et le détachement face aux risques. Comme l’explique le démineur, « il ne s’agit
pas de banaliser le danger mais simplement de mieux l’appréhender ». Antoine Smeyers reste en effet
très pragmatique : « quand on arrive sur un lieu d’intervention, les gens nous accueillent souvent comme
leurs sauveurs. Mais nous ne sommes pas des surhommes ! C’est vrai que l’on exerce un métier assez
particulier mais il faut savoir rester humble ! »
Après vingt-cinq ans de bons et loyaux services, l’heure de la retraite approche à grands pas.
Même s’il avoue en rigolant qu’il a quelquefois mal aux articulations en descendant du 4x4, il ne compte
pas raccrocher tout de suite et envisage même de prolonger sa carrière aussi longtemps que possible.
D’ailleurs, ce passionné entend bien poursuivre sa mission de formation auprès des nouvelles
recrues. « J’ai vraiment envie de partager mes compétences avec de jeunes collègues. D’ailleurs, si je
n’avais qu’un seul conseil à leur donner, ce serait de ne pas s’emballer. Il faut savoir prendre le temps
d’analyser une situation avant de foncer tête baissée ! C’est bien de prendre des initiatives mais rien ne
vaut l’expérience des anciens ! »
Interview rédigée sous forme de portrait pour L4M.fr (avril 2012)
www.l4m.fr/emag/interview/armees-236/demineur-10369
Nouveaux recrutements prévus chez Apple : la pomme a la pêche !
Après 350 embauches au QG l’an dernier, Apple continue d’embaucher à un rythme effréné. Le
siège européen du groupe basé à Cork en Irlande du Sud devrait en effet accueillir de nouveaux
collaborateurs.
Au total, 500 embauches sont prévues dans les 18 prochains mois comme l’a confirmé Alan Hely,
responsable de la communication chez Apple Europe. Ces nouvelles recrues devraient notamment venir
prêter main forte aux 2 800 employés déjà en poste et renforcer les équipes sur le back-office (support
technique, ventes en ligne, finances) et sur la chaîne d’approvisionnement. Même si la firme américaine
est implantée à Cork depuis plus de 3 décennies, un nouveau bâtiment devrait sortir de terre en fin
d’année pour accueillir les nouveaux collaborateurs.
Cette annonce a été immédiatement saluée par Richard Burton, ministre de l’entreprise et de
l’innovation : « il s’agit là d’un énorme coup de pouce à notre pays » a-t-il déclaré. Il faut dire, en effet,
qu’Apple emploie à lui seul 47 000 salariés dans le monde et se déclare à l’origine de la création de
514 000 emplois si l’on prend en compte l’ensemble des sous-traitants et des intermédiaires plus ou
moins directs.
[www.l4m.fr/emag/info/actualite-emploi-1/nouveaux-recrutements-prevus-chez-apple-pomme-a-peche-10418]
Le papier peut-il disparaître des bureaux ?
Moins d’imprimantes dans les bureaux ? De plus en plus d’échanges par mail ou par téléphone ?
Les archives remplacées par des dossiers numérisés ? L’heure de la fin du papier est-elle venue dans les
entreprises ?
Réduire la consommation de l’imprimé représente un enjeu écologique évident mais pas
seulement : utiliser moins de papier, c’est aussi disposer de plus de place. En effet, le papier occuperait
jusqu’à 15 % des surfaces de travail ! A l’instar de Microsoft France, certaines entreprises ont déjà saisi la
tendance du zéro papier.
Pourtant, les gaspillages sont encore légions dans les bureaux. D’après l’étude « un bureau sans
papier, rêve ou réalité ? », 77 % des factures électroniques des entreprises interrogées seraient imprimées
avant d’être à nouveau scannées, la plupart du temps simplement pour apposer une signature en bas de
page. Mais ce n’est pas la seule aberration relevée par l’enquête : 20 % des organisations scanneraient la
majorité de leur courrier entrant avant de le distribuer virtuellement à ses salariés. Or, pas moins de 45 %
de ces documents étaient, à l’origine, numériques !
Courriers, notes sur feuilles volantes, factures,… la paperasse s’empile rapidement et il devient très
vite impossible de mettre la main sur le document recherché en temps et en heure. Alors pourquoi ne pas
imaginer un bureau zéro papier ?
[www.l4m.fr/emag/info/actualite-emploi-1/le-papier-disparaitre-bureaux-10177]
Articles rédigés sur le modèle des dépêches AFP pour le fil info L4M.fr
Article rédigé pour la rubrique Environnement de Démarrez, journal intégralement
réalisé par les élèves de la promotion 2011-2012 du Master Métiers de la Rédaction.
Je t’écoute – Federica De Paolis
Après avoir parcouru le monde, Diego revient en Italie et loge dans l’appartement qu’il
partageait autrefois avec sa sœur Sonia. Il se rend très vite compte qu’un dysfonctionnement
survenu sur sa ligne lui permet d’écouter, à leur insu, toutes les conversations téléphoniques de
ses voisins. Il s’engouffre alors dans leur intimité et découvre tous leurs secrets : leurs malheurs
et leurs souffrances mais surtout leurs mensonges et leurs trahisons.
Pourtant, dans ce roman, il ne s’agit pas uniquement de voyeurisme : Diego fait l’effort
d’aller à la rencontre de ses voisins, fait tomber les barrières qui se dressent entre eux, et tisse
avec eux des liens très forts. On est touché par la sincérité des histoires vécues par chacun
d’entre eux : le cancer de Marta, l’anorexie de Giulia, les infidélités de Stefano, la fausse-couche
d’ Agnese … Ici, les personnages ne sont pas des héros, ils se contentent d’être et de vivre.
Anaïs ou les Gravières – Lionel-Edouard Martin
Paradoxalement, Anaïs, l’héroïne du roman, est totalement absente. Et pour cause : elle
est morte, assassinée. Le narrateur, un journaliste insomniaque rongé par le décès de sa femme,
essaye de rompre la morosité qui le gagne en reprenant l’enquête. Son récit nous plonge, dans
un incessant va-et-vient entre passé et présent, au cœur d’un univers fait de barres HLM et de
grisaille.
Malgré une apparente inscription dans le genre policier, le sujet principal du livre n’est
pas le meurtre. Anaïs, une lycéenne de 17 ans assassinée. On ne sait pas comment, on ne saura
jamais par qui. On comprend alors que la résolution de l’énigme se montre plus qu’elle ne
s’énonce : il ne s’agit pas de trouver un meurtrier mais d’effleurer la vie de la victime, de trouver
ce qui se cache derrière le fait divers.
Sur son chemin, le narrateur croise surtout la vie. Dès lors, il ne s’agit plus de raconter ou
d’imaginer une histoire, mais bel et bien de donner du sens aux mots. Une langue riche se
déploie, très vite balayée par l’accumulation de séquences brèves. Associée à une ponctuation
très sèche, la nervosité des phrases plonge le lecteur dans une sensation de malaise profond.
Parfois, le style est tellement haché qu’on est presque tenté de lire le texte à haute voix. Malgré
les nombreuses ellipses, la langue reste imagée, souvent rugueuse mais toujours efficace.
Chroniques rédigées pour Libfly.com, bibliothèque communautaire en
ligne.
Relations presse
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – mai 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (mode masculine)
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – mai 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (mode féminine)
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – avril 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (mode féminine)
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – mars 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (mode féminine)
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – février 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (mode féminine)
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – janvier 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (décoration/petite enfance)
Communiqué de presse réalisé pour Pressconcept – février 2013
Envoyé à une sélection de journalistes cibles (décoration/design)
Communiqué de presse réalisé en mars 2012 pour L4M.fr en vue de la tenue du
salon « 24 Heures pour l’Emploi » au Stade du Hainaut de Valenciennes le 24 mai
2012.
Pauline Rogez (22 ans)
58, résidence Lénine – 59113 Seclin
Tél. : 06.58.38.00.59
Mail : [email protected]
Rédactrice web
Assistante de communication
Disponible de suite
Titulaire du permis B - Véhicule personnel
Formation
Compétences
2011/2013 : Master Métiers de la Rédaction –
Mention « très bien », major de promotion
Université Charles de Gaulle (Villeneuve d’Ascq)
2008/2011 : Classe Préparatoire aux Grandes
Ecoles - Section littéraire, spécialité Lettres
Modernes - Lycée Faidherbe (Lille)
Juin 2008 : Baccalauréat général Série L avec
mentions « très bien » et « anglais européen »
 Maîtrise des techniques rédactionnelles
et des normes typographiques
Langues :
 Anglais courant (lu, écrit, parlé)
 Allemand (scolaire)
Informatique :
 Maîtrise du Pack Office
 Photoshop et In Design
 HTML, CSS et XML (notions)
 Utilisation régulière de Wordpress
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
Janvier 2013 – juin 2013 : PressConcept, agence de relations presse spécialisée dans le placement de produits
Assistante attachée de presse (stage)




Conception-rédaction de supports (newsletters, communiqués de presse, dossiers de presse) à
destination des journalistes pour les budgets mode (homme, femme, enfant), luxe et nouvelles
tendances de l’agence (727Sailbags, Grain de Malice, Loriblu, Manas ou encore Tape à l’œil)
En charge des partenariats blogueurs (veille active, prise de contact, mise en place de partenariats,
dotation de produits, organisation de jeux concours, suivi des parutions…)
Relances téléphoniques quotidiennes, mise à jour des différents fichiers presse, suivi des
retombées, réalisation de press book en vue des reporting client
Missions secondaires : gestion des envois et des retours shoppings, shoots des collections en
nature morte, gestion et actualisation du site internet de l’agence…
Janvier 2012 – mai 2012 : Looking for mission - L4M.fr, site internet dédié à l’emploi et au recrutement
Rédactrice web, chargée de communication (stage)



Rédaction de fiches métiers et de dossiers thématiques, réalisation d’interviews, préparation d’une
newsletter bimensuelle (création du chemin de fer et rédaction des contenus), recherche et veille
active en vue de la rédaction de brèves pour un fil info
Gestion et animation du blog (référencement, rédaction et mise en ligne des contenus, modération
des commentaires, relai sur les réseaux sociaux…)
Participation à la rédaction de communiqués de presse et de dossiers de presse à destination des
journalistes, conférences de presse, suivi des retombées, dossiers bilans, présence sur les salons de
recrutement, participation événementielle à l’organisation des salons organisés par L4M
Juillet - août 2008 : Univers Plongée - Conceptrice-rédactrice (CDD)

Conception-rédaction de fiches descriptives (français et anglais) pour le site du magasin
Autres : Nafnaf (groupe Vivarte) - Conseillère de clientèle
Juillet 2013 – mars 2014 (CDD)
Mai – décembre 2012 (emploi saisonnier puis contrat étudiant)
Juillet – décembre 2011 (emploi saisonnier puis contrat étudiant)