Le dentiste ? Pas vu… Oh la rhubarbe ! Pour bronzer en sauvant sa

Santé
Air de familles
Page réalisée par Myriam Bru
Oh la rhubarbe !
En confiture, en compote ou en garniture de tarte, la rhubarbe fait merveille, à condition d’être largement sucrée ! Eh non, ce n’est pas un fruit,
mais un légume, originaire du Tibet, qui est réputé pour sa richesse en
fibres, d’où son intérêt pour le transit intestinal. Il ne faut toutefois pas en
abuser en cas de colites néphrétiques car elle contient de l’oxalate qui
favorise les calculs.
Il y a deux sortes d‘ “Oenobiol” : l’intensif, composé d’un extrait de tomate, de
tagète, de sélénium et de vitamine E,
destiné aux peaux normales et hâlées,
et l’intensif antirides, renforcé en zinc
et vitamine C, conçu pour les peaux
matures dont il renforce l’élasticité.
Une capsule par jour, avant, pendant et
après la période d’exposition solaire.
L’Intensif : 22,40 euros et l’Intensif
antirides : 24,45 euros.
de la
population
souffre de toux chronique ou persistante
(c’est-à-dire qui résiste
à deux semaines de
traitement), très invalidante pour la vie sociale.
Des chercheurs de la
Cough Clinic de Hull, en
Angleterre, ont observé
que la théobromine,
contenue en grande
quantité dans le chocolat noir, permettait de
l’apaiser en diminuant le
réflexe qui provoque la
toux. Une barre par jour
suffit. Elle est pas belle,
la vie ?
Certains effets
secondaires peuvent tuer
Delphine Maillard a vu sa vie se transformer en cauchemar. Après avoir avalé
quelques cachets d’Ibuprofène, un antiinflammatoire bien connu, pour soigner
sa migraine, elle a vu littéralement fondre
son épiderme. Sa sœur raconte, dans un
livre qui se lit comme un roman, le parcours terrible de cette jeune maman qui a
survécu au syndrome de Lyell en gardant
de terribles séquelles.
“Les médicaments m’ont tuée”, Élise
Maillard, éd. Albin Michel, 195 p., env.
17 euros.
PHOTONEWS
10%
BELGAIMAGE
Pour bronzer
en sauvant
sa peau
Ça vous
chatouille ?
R
ien que d’y penser, on parie que vous
sentez, insidieuse, une petite démangeaison du cuir chevelu? Les poux sont
attachants, contagieux et surtout prêts à se
faire des milliers d’amis de tout âge, race,
milieu social ou religion – excepté peut-être
celles qui exigent que l’on se rase la tête tous
les jours–, car quelques millimètres de cheveux suffisent au pou pour s’installer… Et une
fois en place, ils y restent jusqu’à l’application
d’un traitement efficace, minutieux et généralisé: cheveux de tous, mais aussi bonnets,
écharpes, doudou, peluches, vêtements,
literie, siège auto, canapé…
P
as de miracle, les seuls produits qui
fonctionnent de manière avérée sont
à base de Malathion, à partir de 2
ans, Perméthrine, à partir de 6 mois et
Diméthicone, dans les soins qui étouffent les
poux. Mais aucun de ces traitements n’est
réellement efficace si on n’a pas appliqué
le protocole suivant: soin (selon la notice),
passage du peigne anti-poux tous les deux
ou trois jours pour supprimer les lentes et à
nouveau un soin après une semaine (suivi
bien sûr du passage du peigne.) Si les poux
résistent après deux applications du même
soin, on conseille de changer d‘actif.
I
mparable: le peigne à poux possède des
dents très fines et rapprochées pour bien
retenir les poux et décoller les lentes. On
peut l’utiliser comme moyen de traitement
unique ou en complément d’un produit. Il
existe une version électrique vendue en pharmacie, qui tue les poux, mais pas les lentes.
Enfiler une compresse de gaze imprégnée de
vinaigre ou d’huile d’amande douce dans les
dents du peigne facilitera le décrochage des
lentes. Il faut passer le peigne régulièrement,
jusqu’à disparition des poux et des lentes.
On n’attaque pas sa peau au bazooka,
surtout quand elle a tendance à être
très sèche. Dans ce cas, l’huile nettoyante Xémose, à l’eau thermale
d’Uriage, permet de façon efficace et
agréable de lutter contre les méfaits
de l’eau calcaire, en déposant un léger
film protecteur sur la peau, qui l’hydrate et l’apaise aussitôt. Ne contient ni
parfum ni conservateur.
Xémose, huile nettoyante apaisante
d’Uriage. Prix : 16,10 euros pour
400 ml.
PHOTOS: DR
Retrouver
une peau
de bébé
Sophie Schneider.
Le dentiste ?
Pas vu…
A
u cours de leur étude sur les coûts des soins dentaires, les
Mutualités Libres ont constaté qu’en cinq ans, 25 % des affiliés n’ont eu aucun contact avec un dentiste ; 31 % consultent
leur dentiste chaque année ou au moins quatre années sur cinq.
Anne Pochet.
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