Décembre 2013 - Vivre et Vieillir Chez Soi

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TRES BONNES FÊTES A TOUS
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l'association en prenant votre adhésion
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Adresse : Vivre et Vieillir Chez Soi
Maison du canton
05120 L'Argentière-La-Bessée
Adhésion annuelle 2014 : 10 euros
Une carte de membre vous sera délivrée.
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AIMER,…
Aimer, C’est le don d’une partie de soi ;
C’est apporter un « PLUS » avec ses pensées et
son cœur ;
C’est savoir apprécier ce qui est beau ;
C’est accepter les différences ;
C’est avoir la faculté de donner à la beauté sa
vraie grandeur ;
C’est aussi pouvoir partager « peine » et
« souffrance » ;
C’est combattre le découragement pour le
remplacer par des forces morales nouvelles ;
C’est communiquer avec la solitude et l’ennui ;
Partout où nous irons sur cette petite planète
« Terre », nous rencontrerons des êtres qui nous aiment.
Pour tous les proches qui nous quittent, ne les oublions
pas, aimons les !
Georges G.
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AU SECOURS !
« ESPECE EN VOIE DE DISPARITION »
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La langue française est un vaste champ jonché de petites fleurs qui
s’appellent ‘‘lettres’’.
Chacun y prend des petites parcelles. Ce sont des phrases. On y plante
des livres, des textes, des poèmes… Suivant les besoins et l’inspiration du
cultivateur. Toutes ces petites fleurs forment de jolis bouquets.
Pour que ces bouquets ne se fanent pas, il est urgent de détruire tous les
vilains insectes qui les rongent : les verlans, les SMS, les non-sens, les
vulgarités… et ne pas chercher à l’étranger des mots que l’on peut très
bien inventer nous même.
Il paraît que la langue française doit rajeunir et se modifier. Mais ça,
elle peut le faire toute seule sans emprunter. Elle est suffisamment riche ou
elle va tomber en faillite.
Ce serait dommage, elle est si belle !
Parlons français.
Huguette
Silencieuse Forêt
ô farouche et grandiose forêt,
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Tes clairières sont fraîches, spacieuses ;
Il y fait bon marcher et respirer
Mais, tes nuits sont noires, silencieuses !
Les hauts troncs de tes arbres séculiers,
Témoins muets de scènes pastorales,
Se dégagent, tels de puissants piliers
Et soutiennent tes vertes cathédrales.
Au petit jour, de cette frondaison,
Filtre un rayon de lumière profuse
Qui habille toute la feuillaison
D’une clarté féerique et diffuse.
Et par moments, du dessous des halliers,
Un lourd parfum d’humus, fort et sauvage,
Monte du sol vers mes sens éveillés
Et m’enivre comme un riche breuvage.
A mon abord, pourquoi cette beauté,
Si vivante, devient profonde silence
Qui, dans ces lieux pleins de sérénité
Pourrait avoir un nom : doute et vigilance !
Georges P.
RECETTES : de l’entrée au dessert
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CHAMPIGNONS FARCIS AU FROMAGE
FRAIS
Pour 4 personnes : 12 gros champignons de Paris
2 tranches de jambon blanc
1 cuillère à soupe de persil hâché
2 carrés de fromage frais Gervais
Jus de citron, paprika, sel, poivre
Préparation :
Nettoyer les champignons. Détacher les pieds des
chapeaux et faire blanchir durant 2 minutes les chapeaux à
l’eau salée et citronnée. Les rincer et les essuyer.
Sécher les pieds, et les hacher avec le jambon. Ajouter
le fromage écrasé, persil, sel et poivre. Bien mélanger.
Farcir les chapeaux de cette préparation. Les
saupoudrer de paprika et disposer dans un plat sur un lit
de salade.
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TOURTE AUX CHOUX
La tourte aux choux se faisait par tradition dans la vallée
de la Vallouise-Pelvoux lorsque le four du village était
allumé. Elle se dégustait lors d'un repas partagé autour du
four.
Comment la préparer ?
1. Préparer une pâte à pain avec de la farine, du sel, de
l'eau et de la levure de boulanger. Former une boule
et la laisser gonfler au chaud, couverte pendant deux
heures.
2. Laver le chou, le sécher et le hacher finement.
Puis faire revenir les lardons avec les oignons et enfin
le chou.
Étaler la pâte et la déposer dans un plat.
La garnir des lardons, oignons et choux revenus
Arroser d'huile ou margarine
Saler et poivrer
Recouvrir d'une deuxième pâte, la piquer
La laisser reposer
Enfourner pour ¾ d'heure à four chaud
variante : il est possible d'ajouter des pommes de terre
crues taillées en fines rondelles.
Cette tourte peut se faire en dessert avec des pommes
Raymonde
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GRATIN D’AUTOMNE
Pour 4 personnes : 2 poires
1 pomme
2 clémentines
1 kiwi
le jus d’une orange
1 gousse de vanille
1 cuillère à soupe de sucre glace
Préparation :
Eplucher les fruits. Couper les poires et la pomme en
fines lamelles, le kiwi en rondelles et détacher les
croissants de clémentines. Disposer le tout dans un plat à
gratin.
Ouvrir la gousse de vanille, en sortir les grains et les
mélanger avec le jus d’orange. (On peut remplacer la
gousse de vanille par un sachet de sucre vanillé).
Verser ce mélange sur les fruits. Saupoudrer de sucre
glace.
Placer sous le grill du four quelques minutes jusqu’à
coloration.
Servir chaud.
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EN RIRE OU EN SOURIRE
Etant depuis peu à l’hôpital dans un fauteuil roulant, un
jeune ami vint me sortir pour aller à la poste de mon
quartier faire des papiers. Devant le guichet j’écartai les
cale-pieds de mon fauteuil pour me mettre debout en me
tenant et prendre les papiers à remplir. Il me dit :
« Encore, toi, tu as de la chance, tu peux te mettre debout
et te servir de tes bras, ‘y en a ils n’ont même pas
ça ! » !!!!!!!!!!!!!!!
DUR DUR l’apprentissage d’handicapé en fauteuil roulant.
Plus tard, en me promenant dans les couloirs, je m’arrêtai
lire les consignes en cas d’incendie : « …ne prenez pas
l’ascenseur, dirigez-vous vers les escaliers.. »
Je pensai aussitôt : et nous (les fauteuils roulants) qu’estce-que l’on fait ? Je restai perplexe.
Voulant nous rendre dans le jardin jouxtant la cafétéria,
avec ma fille et son bébé, nous nous trouvâmes devant
deux marches à descendre. Ma fille trouva vite comment
faire. Mais moi seule ? je restai souvent devant la porte à
humer l’air du dehors. J’eu très souvent des propositions
d’aide pour sortir que je déclinai chaque fois : et si je ne
trouvais personne pour rentrer ?
Ah ! la machine à distribuer des boissons chaudes : je
l’appris à mes dépends, surtout bien viser la fente où
mettre les pièces –et même ramasser la monnaie- car les
pièces une fois tombées, on ne peut plus les ramasser. Il
ne reste plus qu’à attendre le passage d’une âme
charitable, ou faire comme le petit poucet.
Et le gobelet de liquide brûlant ? En le tenant je ne pouvais
plus bouger mon fauteuil, car là, il me fallait mes deux
mains. Il ne me restait plus qu’à attendre.
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Arrivée ici dans un grand centre de santé, je découvris un
autre aspect que l’hôpital. Beaucoup plus de convivialité,
de grands balcons sur de beaux paysages,
de longs
couloirs sur plusieurs niveaux, de quoi se perdre au début.
Pareil pour arriver au restaurant et là une bande de joyeux
drilles qui plaisantaient et riaient. Quand je repartais de la
table, ils me disaient quelque chose comme : « attention !
Nicole, n’attrapez pas un PV pour excès de vitesse ! » Puis
bien souvent, l’un deux me raccompagnait jusqu’à
l’ascenseur ou ma chambre. Même un serveur s’y mettait
pour me pousser au bout du palier, en me disant : » après
je n’ai plus le droit ». Faut dire que j’étais une des
dernières personnes à sortir tellement j’étais lente à
manger.
Ma fille venait avec son petit, qui n’avait pas deux ans, et
s’écriait dès l’entrée de l’établissement et tout le long des
couloirs : « mamie mamie mamie…… »
Puis un jour allant dans une grande ville avec sa maman, il
vit un adolescent dans un fauteuil roulant et s’écria de
même : « mamie mamie… »
Plus tard, le petit ayant grandi, voulu pousser mon fauteuil
même dehors et même dans les descentes ! Chez moi,
alors que j’avançais dans ma salle à manger, il disait : «
plus vite mamie, plus vite »
A propos d’un médicament très onéreux qui prolonge(rait)
la survie de deux mois des patients comme moi, je dis au
neurologue : « je ne suis pas à deux mois près, vous
savez ». Que sont deux mois de plus ou de moins dans la
vie ? Et j’en profitai pour lui dire ce que je ne voulais pas.
J’ajoutai : « même la VNI (ventilation non invasive) je ne
la supporterais pas, car je suis claustrophobe » il me
répondit : « évidemment ça n’arrange rien ! ».
Deux ans après, je retournai dans le grand centre de
rééducation pour une fracture du fémur au niveau du
genou : trois mois sans pouvoir prendre appui sur le pied,
la galère, quoi ! Comme le médecin s’inquiétait de voir que
j’avais perdu du poids, je lui dis : « normal, on vient de
m’enlever l’attelle »
Et mon petit-fils, lui, dit que je n’avais pas un bon hôpital,
puisque je n’étais pas guérie ; Lui quand il était allé à
l’hôpital (aux urgences pour des points de suture) il était
ressorti vite et guéri. Ah ces petits !
Dernièrement nous parlions avec mon aide de crémation,
heureusement possible à Gap maintenant, car avant il
fallait aller loin hors département. Elle me dit : « le
crématorium est tout neuf, et il est beau…. » je répondis :
« oh moi, vous savez……. » nous avons ri toutes les deux.
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Comment fabriquer
des pompons en laine ?
Matériel
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Une paire de ciseau
Un feutre
Du carton (ici, deux assiettes en carton)
Deux verres de différentes tailles ou un compas
De la laine
Tracer à l’aide du plus grand verre un cercle. Puis, un
deuxième cercle dans le premier avec le plus petit verre.
Découpez l’anneau de carton que vous avez tracé comme
sur l’image.
Servez-vous de cet anneau pour en tracer un à l’identique
sur le deuxième carton ou assiette.
Mettre le deux anneaux l'un sur l'autre et les entourer de
laine .
Puis, faire passer les ciseaux entre les deux morceaux de
carton pour découper la laine.
Un conseil mettre votre doigt dans le trou du pompon pour
faciliter le découpage. Après, prendre un bout de laine et
l’enrouler entre les deux morceaux de carton .
Faire un nœud bien serré.
Une fois que le nœud tient bien, on peut enlever le carton.
Et voilà un pompon multicolore !
Petit truc : Pour créer des pompons multicolores
Utilisez plusieurs couleurs.
Vous pouvez soit enrouler les brins de chaque couleur tous
ensemble soit les enrouler par zone de façon à créer des
motifs.
Cette fiche est pour Renée qui m'avait demandé comment
faire des pompons
cathy
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