pacamambo - Anne Jeanvoine

Transcription

pacamambo - Anne Jeanvoine
La Carambole Mûre
présente
PACAMAMBO
de Wajdi Mouawad
Mise en scène
Hervine De Boodt
Spectacle tous publics à partir de 8 ans
Dos
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P
PACAMAMBO
S o m m a i re
Historique
................................. p.3
L’histoire
................................... p.4
L’Auteur
...................................... p.5
La Metteuse en scène.......... p.6
Décryptage
.............................. p.7
Le mot d’Hervine ...................
p.8
Les Comédiens
........................ p.9
La Technique
............................ p.11
Historique de La Carambole Mûre
De Boodt Frère & Sœur
Hervine
Une démarche amoureuse dans un parcours classique d’écoles et de formations
professionnelles théâtrales, sans carriérisme, lui ont permis de mûrir altruisme
et générosité dans son travail.
Il était temps de les mettre au service de
ses propres idées !
Gwenaël
Minutie et perspicacité acquises au fil
d’une démarche originale, majoritairement
autodidacte, riche d’expériences dans la
poésie et l’écriture, la marche à pied, et le
théâtre de rue lui permettent aujourd’hui
d’aller à l’essentiel sur les propositions de
créations de sa sœur.
Il fallait bien qu’un jour frère et sœur se retrouvent Le théâtre naît de la vie…
dans une même compagnie.
C’est pourquoi, avant de s’adresser exclusivement
En août 2004, LA CARAMBOLE MÛRE naît avec aux adultes, Hervine et Gwenaël ont monté trois
l’idée de faire se caramboler, comme au billard, les spectacles « jeune public ».
imaginaires de la vie quotidienne et ceux de la reDans Fanfare, Madras…, ils font sauter le verrou
présentation cosmogonique.
En effet, la richesse ne procède pas du dévelop- entre la vie et la mort.
pement d’un même système, mais de l’émulation Dans Trois contes à poils et à écailles, ils convoquent, dans l’universalité de l’ombre et de la luentre plusieurs.
mière, le patrimoine des vieilles histoires et le farfelu
La création nécessite un climat favorable au foison- débridé de l’enfance.
nement des imaginations sans lesquelles la vie ne Dans Pacamambo, ils explorent à nouveau leur
peut s’exprimer en toute liberté.
thème de prédilection - la mort - à travers l’amour
d’une fillette pour sa grand-mère.
La carambole est aussi un fruit exotique, à l’origine
un peu fade. Celui qui la cueille doit être patient car Quant aux projets qui suivront, ils tiennent à leur réc’est du temps et de la chaleur que naîtront ses dé- server cette même ouverture. Il ne s’agit pas seulement de répondre à l’attente du public mais encore
lices… Ce sera l’histoire de cette compagnie !
de la faire évoluer.
L’écriture contemporaine, les partis pris inventifs de
mise en scène, la diversité des scénographies, se
doivent d’évacuer les tendances au nombrilisme qui
caractérisent généralement le travail de l’artiste et
l’attitude de l’individu dans le monde d’aujourd’hui.
Faire une œuvre, c’est aussi s’ouvrir aux autres !
L’histoire
Julie, une petite fille de dix ans, a été retrouvée après une disparition de trois semaines.
Le psychiatre l’interroge pour comprendre
pourquoi elle s’est cachée avec son chien au
pied du cadavre de sa grand-mère, dans la
cave de celle-ci.
Et pourquoi ne veut-elle rien dire ?
Sa grand-mère lui a légué dans la mort le
rêve de Pacamambo.
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L’Auteur
Wajdi Mouawad est diplômé de l’École Nationale de Théâtre du Canada en 1991.
De 1990 à 1999, il codirige avec Isabelle Leblanc la compagnie Théâtre Ô Parleur et crée
à Montréal de nombreuses mises en scènes et adaptations.
En 1998, sa création Willy Protagoras enfermé dans les toilettes est élue meilleure production montréalaise par l’Association Québécoise des Critiques de Théâtre.
De 2000 à 2004, il dirige le Théâtre de Quat’Sous à Montréal et en 2005, il fonde avec
Emmanuel Schwartz les compagnies de création Abé carré cé carré à Montréal, et Au
carré de l’hypoténuse en France.
Il a adapté différentes œuvres pour la scène, telles que Don Quichotte de Cervantès et
Trainspotting d’Irvine Welsh.
Il a été lauréat du Prix littéraire du Gouverneur général du Canada dans la catégorie
théâtre en 2000.
En 2002, le gouvernement français lui décerne le titre de chevalier de l’Ordre des Arts et
des Lettres pour l’ensemble de son œuvre.
Il fait un premier essai au cinéma en 2004 en écrivant le scénario et en réalisant le film
Littoral tiré de sa propre pièce.
En 2005, le Molière du meilleur auteur francophone de théâtre lui est attribué pour la
pièce Littoral mise en scène par Magali Leiris avec Renaud Bécard, mais il le refuse afin
de dénoncer les théâtres sans comité de lecture et les directeurs de théâtre qui jettent
les manuscrits.
En 2006, à Chambéry, il crée Forêts qui, après Littoral et Incendies, constitue le troisième
volet d’une quadrilogie sur le thème de la transmission et de l’héritage. Le dernier volet,
Ciels, sera présenté en 2009 au festival d’Avignon dont il sera également l’artiste associé
en 2009.
Depuis septembre 2007, Wajdi Mouawad occupe le poste de directeur artistique du
Théâtre français du Centre national des Arts du Canada à Ottawa. Après la création de
Pacamambo en 2000, il renoue avec le théâtre pour la jeunesse : son texte Assoiffés mis
en scène par Benoît Vermeulen du Théâtre Le Clou (théâtre de création pour adolescents), est créé en 2007.
Durant la saison 2007-2008, il travaille en collaboration avec l’Espace Malraux, à Chambéry, où il crée notamment Seuls, présentée en 2008 au Festival d’Avignon. Incendies est
en cours d’adaptation pour le cinéma par Denis Villeneuve.
En 2008, il répond à une commande de Dominique Pitoiset sur la Thébaïde et livre Le
soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face joué au T.N.B.A et au Théâtre de la Ville
de Paris avec Nadia Fabizio (Cadmos), Nicolas Rossier (Oedipe) et Philippe Gouin (Laïos)
En 2009, il est l’artiste associé au Festival d’Avignon et reçoit le Grand prix du Théâtre
(Académie française) pour l’ensemble de son œuvre dramatique.
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La Metteuse en scène
Hervine De Boodt, auteure en 1997 d’une pièce à quatre mains, Cave Canem, a suivi une
formation de comédienne au cours Claude Mathieu et à l’Atelier du Théâtre du RondPoint.
Elle a joué sous la direction de Jean-Louis Benoît, Daniel Berlioux dans Le personnage
combattant de Jean Vauthier, Anne Benoît dans La jalousie du barbouillé et Les fâcheux,
Jean-Louis Jacopin dans Arrêt facultatif et Trahisons de Pinter.
En 1998, elle intègre la Compagnie Florian Sitbon pour y interpréter Erstling dans Le parc
de Botho Strauss, Clytemnestre dans Les mouches, Adriana dans Maricela (spectacle
jeune public)…
Elle a également joué 3 rôles dans Top girls de Caryl Churchill mis en scène par Fabienne
Rocaboy, Lady Chatterley dans L’amant de Lady Chatterley mise en scène par Joël Lagarde, Ange dans Le roi d’Islande de Jean-Pierre Milovanoff mise en scène par Dominique Nimsgern, Margarine dans La grève des fées mise en scène par Pauline Bureau
(spectacle jeune public), le Shaga dans Le Shaga de Duras mise en scène par Claire de
Luca et Jean-Marie Lehec.
Elle a été la statue du cimetière dans Don Giovanni mise en scène par Philippe Arlaud à
l’Opéra Comique en 1999, et participé à plusieurs opéras à Lyon, Paris et Massy.
Au cinéma, elle a tourné dans La nouvelle Eve de Catherine Corsini et Madame Verdoux
de Jean-Luc Raynaud, ainsi que dans divers courts-métrages.
Elle travaille régulièrement pour les fictions de France-Culture tout en animant des ateliers théâtre.
En 2004, elle décide de créer avec son frère sa propre compagnie. Ses pensées trouvent
une terre : La Carambole Mûre naît. Elle écrit, joue et met en scène Fanfare, Madras… et
Trois contes à poils et à écailles qui tourneront en Avignon, à Paris et en province.
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Décryptage
Pacamambo est composé de dix scènes.
Sc. 1
Sc. 2
Sc. 3
Sc. 4
La première scène se déroule chez le psychiatre. Celui-ci réussit enfin à faire parler Julie
sur ce qu’elle a vécu pendant sa « disparition ».
Flash-back chez Marie-Marie qui meurt dans la scène 2, en présence de Julie et de son
chien, Le Gros. C’est la lune qui se fait passeuse de la vie à la mort. Durant cette scène
phare, où Marie-Marie quitte le sol et les meubles s’envolent, nous soulignerons le fantastique poétique par le biais d’une projection d’effets spéciaux tournés sur fond bleu.
Julie confie à son chien qu’elle va obliger la Mort « à venir poser son gros cul rond » chez
eux. Marie-Marie reste vivante pour Le Gros à qui elle demande d’aider Julie à aimer la
vie.
Retour chez le psychiatre, qui questionne Julie sur Pacamambo, « le Pays de l’empathie
générale » et sur sa volonté de rencontrer la Mort.
Sc. 5
De nouveau dans la chambre de Marie-Marie, Julie découvre les bouteilles de parfum
dans le troisième tiroir de la commode. C’est elles qui conduisent à Pacamambo. Julie en
verse une sur elle et Le Gros. La frontière entre le cabinet du psychiatre et la chambre de
Marie-Marie disparaît. Celui-ci amène Julie à la confidence du transport du cadavre de
sa grand-mère dans la cave de l’immeuble.
Sc. 6
Julie maquille Marie-Marie pour lui redonner vie. Celle-ci lui parle de Pacamambo mais
Julie ne peut pas l’entendre. Le Gros, de plus en plus incommodé par l’odeur du cadavre
de la grand-mère, perd ses repères : peut-être est-ce lui et Julie qui sont morts et MarieMarie qui est vivante…
Sc. 7
Le psychiatre interroge Julie sur sa conscience de la gravité de ses actes : la première
semaine, Julie a attendu que la Mort vienne en vidant une bouteille de parfum sur le
visage de sa grand-mère à chaque fois que l’odeur revenait et en la remaquillant lorsque
les couleurs s’en allaient.
Sc. 8
Le Gros - « La Vie » - à ses côtés, Julie commence à entrevoir Pacamambo jusqu’au jour
où elle décide de fermer les yeux de sa grand-mère.
Sc. 9
La Mort peut enfin faire son apparition. Révoltée à son arrivée, Julie s’habitue rapidement à sa présence paisible et évoque avec elle Pacamambo.
Sc. 10
« Aimer jusqu’à la mort », c’est ainsi que l’on trouve le chemin qui mène à ce pays.
7
‘‘P
acamambo est un texte d’une grande subtilité qui aborde le
difficile sujet de la mort.
L’héroïne, Julie, assiste en effet à la mort de sa grand-mère et reste
près du cadavre avec la seule compagnie de son chien, Le Gros,
pendant dix-neuf jours avant d’être retrouvée et confiée à un psychiatre qui l’aidera à mettre en mots cette expérience, à surmonter
ce traumatisme.
A la lecture de la pièce, j’ai été conquise par l’expérience fantasmagorique que traverse Julie : de lectrice, je suis passée tour à tour
spectatrice, metteuse en scène, actrice et scénographe de Pacamambo. Quand ce genre d’alchimie se produit, cela présage de
belles surprises pour une création !
Après Fanfare, Madras…, je souhaitais revenir sur le thème de la
mort, et plus particulièrement sur la représentation que les enfants s’en font. Pacamambo est une vraie mine dans laquelle nous
allons pouvoir, grâce à la richesse et à la singularité des personnages, fouiller, transmettre et porter à la réflexion :
Quelle est la nature de Pacamambo ? Au-delà, lieu de liberté ou
de tolérance ? « Pacamambo, pays où l’on devient le corps de ceux
qu’on aime », « Pacamambo, pays où l’on n’arrive jamais ».
Quel est le message de la grand-mère, Marie-Marie, quand elle
« dit » à Julie : « Tu m’asperges de ton amour » ? Un message de vie
et de bonheur : « Retourner à la lumière »
Qu’est-ce que la mort ? Est-elle toute puissante ? « Une évidence
de la vie », universelle, qui prend les corps mais pas le reste. « Il
y a des choses que moi, la Mort, je ne pourrai jamais emporter : le
souvenir, l’amour et l’amitié ».
‘‘
Hervine De Boodt
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Les Comédiens
Hervine De Boodt : Marie Marie (cf. pages précédentes)
Gwenaël De Boodt : Le psychiatre / La mort / La lune
Poète et homme de théâtre, navigue loin des écoles et des
forteresses en autodidacte tantôt fulgurant, tantôt pénétré de
lenteur.
Dans les années 80, à Rennes, il pêche au large sur l’Oiseau
Noir, un journal de poésie, et pilote avec Didier Lahaye le marionnettique Locamonstre.
D’une éphémère escale chez Gustave Parking, il plonge avec
Proscenium dans le décor et la machinerie au fil du Grand Huit
et du Théâtre de l’Arpenteur.
Les années 90 le voient alors fendre les rues de ses échasses
à la barre de la Cie Arpion Céleste dix ans durant, jusqu’à la mise en pont par P.A. Sagel
d’un Grand Malade Imaginaire qui ira au Québec.
Entre ces folles campagnes, il fait du cabotage pour jouer Brecht et Beckett avec le
Théâtre sans Raison, puis Giraudoux avec la Cie Florian Sitbon. Il sillonne aussi l’Europe
dans l’ Oceano Satanas de la Cie Jo Bithume, mis en vague par Dominique Menut.
Le second millénaire le porte en solitaire sur la scène de la poésie. Il publie la pièce Thésée aux Iles en 2001 chez l’Harmattan, des poèmes dans Poésie1 / Vagabondages, des
chroniques dans Hermaphrodite, commet de nombreuses chansons et « traverse l’Europe à pied avec sa quéquette et sa paperasse de poète » (Fernando Arrabal, El Mundo,
Nov. 2004).
D’une résidence d’auteur en Transylvanie au Festival Teranova, il jalonne ses passages en
Bretagne, à Paris, en Lorraine et ailleurs d’innombrables lectures publiques. Convaincu
enfin d’hérésie grâce à une Evangile des Quenouilles qu’il écrit, met en scène et joue
avec la Cie Entr’act, il s’est envolé, en 2005 et 2006, pour des ateliers de poésie à Hong
Kong. Il part en résidence à Grenade en novembre 2009 pour la création de La Taille de
l’Homme, pièce de théâtre-cordonnerie, Cie les Oiseaux de Passage, avec Jean-Louis
Fouassier.
Il dirige actuellement La Station-Théâtre à La Mézière (35).
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Anne Jeanvoine : Julie
Anne rencontre la scène avec la danse classique qu’elle pratique pendant de nombreuses années avant de se former à
l’art dramatique au cours Simon.
Son parcours professionnel, enrichi de rencontres avec des
metteurs en scène et des comédiens d’horizons très différents, lui permet de multiplier les expériences, et de choisir
un théâtre corporellement engagé, qui va à la rencontre du
public où qu’il soit : théâtre institutionnel comme le théâtre
du Gymnase ou le théâtre du Lucernaire, théâtre de rue avec
la compagnie dirigée par Aurore Guitry et ses adaptations
modernes de Molière et Shakespeare, spectacles pour enfants
dans les villages de France, théâtre politique et philosophique
dans les lycées de la région parisienne avec Les Justes d’Albert Camus…
Si les pièces qu’elle interprète s’étendent sur un large registre, de la comédie contemporaine avec Abécédaire d’une femme parfaite d’Annelise Uhlrich à Teatr de Boulgakov, en
passant par J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce
et le spectacle musical pour enfants, elle s’y investit toujours avec la même fervente envie et la même passion.
« … Et j’entre dans la fosse aux lions / C’est ma vie, c’est ma déraison / J’ai peur / Mais
j’avance quand même / Car j’aime… »
- Barbara Parallèlement, elle continue à se former, auprès de coaches comme Jack Waltzer, JeanMichel Steinfort ou Cécile Bonardi pour le chant. Confronter, multiplier, approfondir les
expériences, les rencontres scéniques, s’attarder en bonne compagnie, pour affûter l’instrument de travail que tout comédien est à lui-même, ne pas fuir le doute.
Voilà comme elle conçoit son métier de comédienne.
Pierre Pirol : Le Gros
Au théâtre, il a joué Molière, Giraudoux, Cocteau, Arrabal,
Dostoïevski, Allais, Satie, Voltaire, Euripide, Daudet, Maeterlinck, Sade, Schulz, Jarry...
A la télévision, Il tourne avec Marion Sarraut, Dirk Sanders,
Jean-Daniel Verhaeghe, Hervé Baslé, Christophe Izard, Hervé
Hadmar, Bernard Dumont, Sylvie Ayme....
Il a également été le directeur artistique de la Cie petits
poids de 1990 à 2000. Il crée avec la ville de Chelles et le
Conseil général de Seine et Marne le 1er festival d’auteurs
contemporain.
Il a eu le plaisir de participer en tant que comédien et metteur en scène à l’aventure Des Visiteurs du Noir, direction
Pascal Parsat.
De 2001 à 2005, il s’occupe du fonctionnement artistique de la compagnie de théâtre
de rue Turbul.
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LA VIDEO
De ses origines basques et hongroises, LAURENT JARRIGE a hérité le goût des marches
des frontières, et la diversité de ses activités s’il faut les résumer, trouve sa cohérence
dans les doubles figures du métissage et du feu dans ses clopes. Dès l’adolescence, s’il
a voulu apprendre la musique, il n’a pas été séduit par l’académisme et c’est en auditeur
libre qu’il a suivi des cours de chant au conservatoire. De la musique découle la poésie,
mais il se tourne encore vers la vidéo. La France est la patrie du cinéma, c’est pourquoi
c’est en Inde qu’il parfait son apprentissage. Il se détache du carcan des disciplines pour
assumer l’impureté de ses désirs créatifs au sein de Bayonne Arrive qu’il a créé en 2004
; sa reliure cinématographique emprunte autant au cinéma le plus vulgaire qu’à l’avant
garde : des personnages classiques hors de dialogues qui ont leur propre langue. Il vient
d’achever cette année son premier long métrage.
LA LUMIERE
XAVIER VISSEQ, malgré son jeune âge, a travaillé en tant que régisseur son et lumière et
créateur lumière, pour la Comédie Saint-Michel, à Paris, le Festival Quand je pense à Fernande, au Théâtre de La Mer de Sète, la Compagnie Le Zinc Théâtre, le concert d’Agathe
Ze Bouze à Gignac, la Compagnie Epsedance, l’Orchestre Staff de Toulouse et la salle de
concert Antirouille de Montpellier…
LES COSTUMES
MARION DERRIEN, plasticienne, n’a pas attendu d’être diplômée des Beaux –Arts de
Rennes en 2002 pour travailler dans le monde du théâtre. Dès l’an 2000, elle crée les accessoires et les décors ainsi que quelques costumes des 70 participants au spectacle de
rue Journal Télévisé du carnaval de Montluçon. Réalisant la même année plusieurs autres
décors et accessoires, elle expose aussi, en de diverses occasions et encore aujourd’hui,
ses travaux de recherches picturales et spatiales.En 2002, elle illustre Augustes Pédales,
un récit de voyage de G. De Boodt. En mars 2003, elle scénographie à Rennes une randonnée-spectacle entre espace urbain et campagne. Au cours d’un voyage à pied de
sept mois entre Saint Malo et Roumanie, elle constitue un carnet de voyage qu’elle exposera ensuite à Sibiu, Rennes, Montluçon et Nancy. Depuis son retour, Marion Derrien
travaille à la création de tous les décors et accessoires de la Cie Entr’act de Montluçon.
Elle a créé les costumes du seul en scène de Delphine Orléach, Des hématomes dans la
chaufferie.
AXEL BOURSIER a créé les costumes des spectacles Alice et la baguette magique de Sébastien Castro, Chien et bébé de Pierre Gripari, Grasse matinée mis en scène par Thomas
Le Douarec, Le bossu de Notre-Dame de Olivier Soliveres, Les deux timides de Labiche,
Léonie est en avance mis en scène par Christine Bonnard, Show case woman shot de
Karine Dubernet…
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