dans la presse en 2013

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dans la presse en 2013
Dans la Presse en 2013
Table des matières
Présentation du séjour humanitaire au Maroc organisé par le Service de Prévention Spécialisée p.4
Les résidants du Foyer de Vie Chantournelle participent à une journée initiation à la pratique du bowling classic p.5
L’Espace Socioculturel participe à l’exposition «Du noir et blanc à la couleur» p.6
Vœux et remise des médailles du travail de l’Acodège p.7
Concert de l’Opéra de Dijon à l’ESAT Acodège de Marsannay La Côte p.8
Article citant le projet de structure avec l’Acodège à la ferme du Hameau p.11
L’Espace Socioculturel participe à un défilé de prêt-à-porter p.13
L’IME de Jour Les Colibris met en place la récupération des bouchons p.14
L’Espace Socioculturel participe à un défilé de prêt-à-porter p.15
Le Foyer de Vie Chantournelle participe à un tournoi de ping-pong p.17
L’Espace Socioculturel participe au carnaval de Quetigny p.18
Mise à disposition d’un local Acodège au profit de l’Association Café pass’Age p.19
Partage et échange entre les jeunes du groupe de 6e de la catéchèse et les résidants du Foyer de Vie Chantournelle p.20
Article sur un partenariat du Foyer de Vie Chantournelle p.21
Partenariat de l’Espace Socioculturel avec l’association Dijon Aïkikaï p.22
L’ESAT Acodège participe à l’opération «Du sourire à l’œil» p.23
Partenariat du Service de Prévention Spécialisée p.24
Le Foyer d’Accueil Médicalisé Vesvrotte et l’IME de Jour Les Colibris participent à une animation régionale du Judo-Club dijonnais
p.25
Une quinzaine de jeunes accueillis au Foyer d’Accueil Médicalisé Vesvrotte et à l’IME Les Colobirs sont licenciés au Judo Club
dijonnais p.26
La Résidence Herriot (CHRS) et son projet Embarcadère au sein du café associatif l’Embarcadère p.27
Le Foyer de Vie Chantournelle participe au T’rail du Tacot p.28
L’équipe Herriot-Embarcadère (Résidence Herriot CHRS)organise une dégustation au café associatif l’Embarcadère p.30
Les Colibris ont participé à la Fête de l’Enfance et la Famille de Chevigny Saint Sauveur p.32
Le Service de Prévention Spécialisée participe au Marché écocitoyen de Longvic p.33
L’AEMO (Service d’Action Éducative en Milieu Ouvert) participe aux Recherches-actions collaboratives p.34
Le Service de Prévention Spécialisée participe à la Bonbis’Cup p.38
Le Foyer d’Accueil Médicalisé Vesvrotte et l’IME de Jour Les Colibris participent à la journée organisée par le Judo-Club dijonnais
p.39
L’Espace Socioculturel participe à Grésilles en fête p.40
Rencontre Handisport de plusieurs établissements Acodège p.41
Le Service de Prévention Spécialisée cité par un jeune accueilli à l’hôtel des cœurs cabossés p.42
Reportage vidéo sur la Journée Associative Acodège p.44
L’IME de la Montagne Sainte Anne, l’IME TED, le SESSAD Centre Aurore interrogés sur le sujet des listes d’attente dans les structures pour jeunes handicapés p.45
L’Assemblée Générale de l’Acodège p.48
Le Service de Prévention Spécialisée participe à l’organisation de la fête de la musique de Quetigny p.49
Participation du Service de Prévention Spécialisée à la Bonbi’s Cup p.50
Participation du Service de Prévention Spécialisée à la fête de la musique de Quetigny p.51
Programme d’été de l’Espace Socioculturel p.52
Mise à disposition d’un local Acodège au profit de l’Association Café pass’Age p.53
Le Service de Prévention Spécialisé présente son activité lors de la fête du quartier Guynemer-Parc p.54
Reportage vidéo sur l’Association Café pass’Age qui bénéficie de la mise à disposition d’un local Acodège p.55
Action effectuée dans le cadre d’un stage à l’ESAT Acodège (Établissement et Service d’Aide par le Travail) p.56
Concert de Melting Potes pour les portes ouvertes de l’ESAT Acodège (Établissement et Service d’Aide par le Travail) p.57
L’Espace Socioculturel participe au Festival Dièse p.58
L’Espace Socioculturel présente la rétrospective de la saison écoulée p.60
Le Service de Prévention Spécialisée participe à un projet avec les Scouts de Chenôve p.62
Concert de Melting Potes pour les portes ouvertes de l’ESAT Acodège (Établissement et Service d’Aide par le Travail) p.64
Le Foyer de Vie Chantournelle reçoit un chèque de l’association sportive de course à pied Les Escargots 21 p.66
Soirée musicale des Poètes de l’amitié à l’Institut Médico-Éducatif de la Montagne Ste Anne p.67
Concert de Melting Potes pour les portes ouvertes de l’ESAT Acodège (Établissement et Service d’Aide par le Travail) p.68
Le Service de Prévention Spécialisée participe au CLAS p.70
Le Service de Prévention Spécialisée participe au Triathlon de Bous en Allemagne p.71
Le Service de Prévention Spécialisée dans le cadre d’un projet avec les parents p.72
Le Service d’Accompagnement à l’Insertion Professionnelle (SAIP) de l’Acodège et l’AFPA signent une convention pour mettre
en place un dispositif de formation qualifiante p.73
Le Centre Éducatif Renforcé participe au chantier de la Ferme du Leuzeu p.75
Cocktail convivial préparé par l’ESAT Acodège. (Établissement et Service d’Aide par le Travail) p.77
p.78
L’Institut Médico-Éducatif de Jour Les Colibris participe au 7ème Forum des associations de Chevigny St Sauveur Conférence de presse de La Vapeur reçu par l’équipe de l’Embarcadère-Herriot (Résidence Herriot CHRS) p.80
Embauche au GIE Les Ateliers de Bourgogne dont L’ESAT Acodège fait partie p.82
L’ESAT Acodège, l’IME Charles Poisot et le Service de Prévention Spécialisée participent à la 3ème édition du Grand prix départemental de caisses à savons p.83
Le Service de Prévention Spécialisée de l’Acodège participe au tournoi de football inter-regional organisé à la Chartreuse p.84
L’ESAT Acodège, l’IME Charles Poisot et le Service de Prévention Spécialisée participent à la 3ème édition du Grand prix départemental de caisses à savons p.85
Mme Geneviève Avenard, Directrice Générale de l’Acodège, honorée pour son engagement et ses nombreuses actions personnelles et professionnelles dans le secteur social et médico-social p.86
Rendez-vous hebdomadaire des résidents du Foyer de Vie Chantournelle au centre équestre «Mountain Farm» p.87
L’ESAT Acodège, l’IME Charles Poisot et le Service de Prévention Spécialisée participent à la 3ème édition du Grand prix départemental de caisses à savons p.89
Mme Geneviève Avenard, Directrice Générale de l’Acodège, honorée pour son engagement et ses nombreuses actions personnelles et professionnelles dans le secteur social et médico-social p.90
L’Acodège soutient «Du sourire à l’œil» p.91
Les membres du club handi judo de l’IME de la Montagne Ste Anne, de l’IME Charles Poisot et de l’ESAT Acodège participent à la
journée Handy’ Trophées 2013 p.92
Le Service de Prévention Spécialisée participe à la deuxième édition du forum jeunesse «Regarde ce que je sais faire» à Quetigny
p.94
Le Service de Prévention Spécialisée participe à la deuxième édition du forum jeunesse «Regarde ce que je sais faire» à Quetigny
p.95
L’Acodège soutient l’École Handigolf p.96
Le Sas participe à la semaine bleue p.97
L’Acodège soutient l’École Handigolf p.98
L’Acodège citée dans le cadre de son partenariat avec le club de Boxe Thaï : le Tiger’s Den p.99
L’Association des Bouchons a financé l’achat de 4 vélos qui seront utilisés dans le cadre des activités de soutien de l’ESAT Acodège p.101
L’Espace Socioculturel de l’Acodège participe au projet de Lightgraph p.102
L’Acodège soutient l’École Handigolf p.103
L’Association des Bouchons finance un équipement d’une salle de luminothérapie pour l’IME la Pyramide p.104
Des résidants du Foyer de Vie Chantournelle participent au défilé présentant les dernières réalisations des élèves du CFA de
Longvic p.105
Les 20 ans du Foyer de Vie Chantournelle inscrits au calendrier des fêtes et animations de la ville de Gevrey-Chambertin p.106
Des résidants du Foyer de Vie Chantournelle participent au trophée culinaire pour les personnes en situation de handicap p.107
Les travaux commencent pour les futurs nouveaux logements qui viendront compléter l’offre des Résidences Acodège p.108
L’Acodège Judo Club prend ses quartiers au gymnase Gambetta de Chenôve p.110
Des résidents du Foyer de Vie Chantournelle participent au trophée culinaire pour les personnes en situation de handicap p.112
Des résidants du Foyer de Vie Chantournelle participent au trophée culinaire pour les personnes en situation de handicap p.114
Le Conseil général de Côte d’Or soutient financièrement le Service de Prévention Spécialisée de l’Acodège p.115
Le Foyer de Vie Chantournelle participe à l’épreuve des 4 Heures de nage p.116
Le Foyer de Vie Chantournelle et le Foyer d’Accueil Médicalisé Vesvrotte participent à l’épreuve des 4 Heures de nage p.117
Annonce du traditionnel Marché de Noël de l’Espace SocioCulturel p.119
Les résidants du foyer Chantournelle de Gevrey-Chambertin fabriquent les porte-clés qui sont mis en vente pour récolter des
fonds p.120
Voo TV est venu au traditionnel Marché de Noël de l’Espace SocioCulturel p.121
Pose de la première pierre des travaux de restructuration de l’IME Montagne Sainte Anne et de l’IME La Pyramide p.122
Reportage sur l’association «Les Doigts Qui Rêvent» et sur le chantier d’insertion Les Ateliers Pour Voir p.124
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2013 01 03
JEUNESSE
Chenôve : balade en images au Maroc
Une exposition photographique était proposée au public.
Photo Frédéric Vaussard
Les sept jeunes étant partis au Maroc durant dix jours, dans le cadre du projet mis en place par le service
de prévention spécialisée de l’Acodège, ont organisé une soirée de restitution à la MJC. Le directeur adjoint
de la structure, Marc Kanhye, les a accueillis, en présence de Pascale Lienard, directrice de l’Acodège, et de
Marie Dhelens, chef de service. Une partie de ces jeunes étaient présents à cette soirée, qui a pris la forme
d’une exposition photographique, de la projection d’un film de 12 minutes réalisé sur place et d’un échange
en présence des partenaires et, notamment, de l’association solidarité Enfants du monde (ASEDM), située à
Auxerre et qui a participé à cette mission humanitaire avec les jeunes de Chenôve. En effet, avant de partir,
ils ont récolté des lunettes pour les acheminer au Maroc. Sur place, ils ont aussi participé à la remise en état
d’une école de village, située à Tissa, à 80 km de Fès.
Une aide financière du Flaij, d’un montant de 800 €, avait été allouée.
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SPORT
Gevrey-Chambertin : simple mais efficace pour vaincre la différence
en quilles classic
Vaincre la différence au quiller du complexe sportif de Gevrey-Chambertin.
Photo François Bailly
L’origine du jeu de quilles remonte à la nuit des temps et la pratique
de cette discipline, devenue aujourd’hui un sport à part entière, est
très simple.
Cette discipline s’adapte donc totalement à la population des adultes handicapés moteurs et/ou mentaux
hébergés par les foyers de vie de la région et, notamment, le foyer Chantournelle de Gevrey-Chambertin.
D’ailleurs, les équipes d’éducateurs spécialisés locaux ont constaté que, depuis l’instauration des activités
sportives dans la vie quotidienne du centre, sport et handicap constituent une bonne équation pour accepter
sa différence. Pour cette raison, et pour commencer sportivement l’année, les animateurs gibriaçois ont
proposé une journée d’initiation à la pratique du bowling classic à tous leurs homologues régionaux.
Ainsi, jeudi dernier, une quarantaine de personnes handicapées se sont retrouvées pour une journée plaisir sur
le quillier du complexe sportif de Gevrey-Chambertin, en partenariat avec le club de quilles les Vendangeurs
de Gevrey-Chambertin, et sous la direction de François Millet, instructeur du club gibriaçois. En fin de journée,
les éducateurs des centres de Savigny-lès-Beaune, Vézelay, L’Isle-sur-Serein, Sens et de Gevrey-Chambertin
étaient tous d’accord pour dire : « Une fois de plus, c’est une bonne occasion pour tous de se dépenser dans
la joie et la bonne humeur, d’autant que ce sport, par sa simplicité, les encourage à se dépenser encore plus
et favorise chez certains une acceptation de soi sans la moindre pensée d’être différent… ».
Mustafa et Anne-Laure, éducateurs de Gevrey, ajoutent : « … C’est également pour nos résidants une certaine
façon d’accéder à une vie sociale épanouie. Et, à chaque fois, ils sont fiers d’eux ».
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2013 01 12
MJC GRÉSILLES
Dijon : du sténopé au numérique
Les adeptes de l’art photographique sont heureux de se retrouver. Photo Gérard Puech
L’exposition “Du noir et blanc à la couleur” vient concrétiser douze
semaines d’atelier durant lesquelles les stagiaires ont découvert la
photographie sous tous ses angles.
Les créateurs de l’espace socioculturel de l’Acodège représenté par Sandrine Thach Monestier et Karin
Baudegard, la MJC Grésilles, l’atelier Mobile de gravure et Jean-Yves Pian, adjoint au maire, se sont retrouvés
pour procéder au vernissage de l’exposition photographique “Du noir et blanc à la couleur” qui présentera
une centaine de clichés jusqu’au 18 janvier dans les locaux de la MJC.
Durant douze semaines, ­Nathalie, Jean-Marie, Amandine, Jean-Claude et Isabelle se sont initiés à l’art de la
photographie, allant du sténopé au numérique en passant par l’argentique, sous la houlette d’Anne-Sophie
Ropiot, photographe dijonnaise, qui leur a fait découvrir cet art à travers le temps.
Le sténopé est un dispositif optique simple constitué d’une boîte fermée percée d’un minuscule trou, obstrué
d’une languette sombre, dans laquelle on place un papier photosensible. En retirant la languette, la lumière
entre dans la boîte permettant au modèle ou au paysage de se fixer sur le papier. En chambre noire, AnneSophie les a initiés aux différentes étapes du développement photo (révélateur, bain d’arrêt, fixateur, rinçage).
Lors des séances consacrées à la photographie argentique, chacun a pu découvrir c­ omment monter un studio
photo avec un éclairage p­ rofessionnel.
Enfin les séances consacrées à la photo numérique en studio ou en extérieur ont permis à ses néophytes de
mettre en pratique les c­ onseils d’Anne-Sophie ­Ropiot.
INFO Espace socioculturel Acodège 23 H, rue Recteur- Marcel-Bouchard à Dijon, tél. 03.80.51.41.26. MJC
Grésilles, 11, rue Castelnau à Dijon, tél. 03.81.71.55.24.
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2013 01 14
ACODEGE
Dijon : vœux et remise des médailles du travail
Récipiendaires, élus et instances dirigeantes, heureux de fêter la nouvelle année.
Photo Gérard Puech
En présence de nombreuses personnalités civiles et militaires, ainsi que des élus municipaux, Pierre Choux,
président de l’Acodège, a présenté ses vœux à l’ensemble du personnel. Lors de cette manifestation, le
président a procédé à la remise de médailles d’honneur du travail pour vingt, trente et trente-cinq ans de
bons et loyaux services à dix-sept salariés des différentes structures de l’Acodège et vingt-quatre travailleurs
handicapés de l’Établissement de services d’aide par le travail.
Les médaillés.
– Argent (vingt ans) : Nadia Beldjilali, Frédéric Clerc, Marie-Claire Dufour, Sophie Falcucci, Thierry Fellah,
Jean-Marie Fierheller, Claude Garniron, Nathalie Gauthier, François Gruson, Fabienne Gueneau, Sylvaine
Guyet, Dominique Ladrosse, Sylvie Larroze, Mireille Le Boulanger, Jean-Claude Lefèvre, Luis Paulo Mendes
Moreira, Anne-Marie Nottet, Laura Olla, Nicolas Romano, Jérôme Rouard, Nathalie Saconney, Stéphane SaintMartin, Martine Thevenard, Christophe Thévenin, Marie Trimaille, Patricia Zeiher.Vermeil (trente ans) : MarieThérèse Richard, Hélène Fromion, Jean-Marc Leger, Hervé Morey. Or (trente-cinq ans) : Gilles Bague, Maryse
Champeau, Catherine Corbier, Loyse Crelerot, Patrick Fouchet, Josette Grapin, Patricia Héry Durand, Annick
Ledter, Didier Mignon, Carole Sugy, Nadine Varrache.
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2013 01 22
CULTURE
Opéra : délicieusement décalé
Le chœur de l’Opéra de Dijon a chanté jeudi devant un public en tenue de travail.
Photo Chiara Piotto
Le chœur de l’Opéra a chanté jeudi devant des travailleurs handicapés, dans un atelier de fabrication de l’Esat Acodège.
Chanter un Ave Maria au milieu des planches de bois, des palettes et des machines, dans un vaste atelier de
fabrication, devant un auditoire d’hommes et de femmes, ouvriers en combinaison et tenue de travail… voilà
une scène qu’on pourrait croire imaginaire. Elle s’est pourtant réellement tenue, jeudi après-midi, dans un
atelier de production industrielle de l’Esat Acodège (1) à Marsannay-la-Côte.
Improbable
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« C’est improbable » et « c’est cela qui me plaît », a commenté Nicolas, 42 ans, un éducateur technique,
confiant n’être pour sa part jamais allé à l’opéra, et écouter ordinairement du rock et du reggae. « Pour moi
aussi, ce sera une découverte ! » À l’heure J, plus un claquement de porte, plus un bruit. Aux côtés de soixante
personnels d’encadrement et deux cent quinze ouvriers handicapés, réalisant des commandes, notamment
pour des gros clients comme Plasto, Urgo, Ikea et APRR, les premières notes, égrenées a cappella, ont envahi
généreusement le vaste espace. Rachmaninov, Brahms, Mendelssohn et Debussy ont été interprétés avec
prestance par une vingtaine de choristes professionnels, devant un auditoire attentif, au sein duquel avait pris
place -Geneviève Avenard, directrice générale de l’Acodège. Une expérience unique, délicieusement décalée.
INFOÉtablissement de service d’aide par le travail (anciennement CAT) géré par l’association Acodège, gérant
des établissements sociaux et médico-sociaux.
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« C’est très beau »
Jeanine Theuret
Jeanine Theuret, présidente du conseil de la vie sociale Esat
« C’est bien qu’ils le fassent, et il faudrait que ce soit une fois par mois. Ça fait plaisir pour l’Esat. Et c’est aussi
très bien pour les jeunes. Depuis que je suis là, et cela fait vingt-trois ans, on n’a pas eu de spectacle à l’atelier.
En plus, c’est beau l’opéra, je n’en avais jamais entendu. Les voix sans instrument sont vraiment belles. »
« Tournée de six dates »
Julia Dehais
Julia Dehais, responsable du développement culturel, Opéra Dijon
« Le chœur de l’Opéra se produisait mercredi à la maison de retraite du Port-du-Canal. Il fait une tournée de
six dates dédiée aux publics fragiles. Il chantera bientôt en unité de soins palliatifs, au centre de rééducation de
Champmaillot, ainsi qu’au centre gériatrique. Cet été, le chœur chantera à la prison. »
« Un véritable plaisir »
Mihaly Zeke
Mihaly Zeke, chef du chœur de l’Opéra de Dijon
« C’est un plaisir de faire découvrir notre musique à un public qui ne vient pas habituellement à l’opéra. La
musique n’est pas élitiste, réservée aux privilégiés dans des salles dorées ; c’est une amie qui nous accompagne
partout, dans notre quotidien ; c’est le son qui touche le public dans n’importe quel endroit. »
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« C’est exceptionnel »
Michel Gambey
Michel Gambey, directeur de l’Esat de l’Acodège
« Il y a deux ans, l’Opéra de Dijon avait contacté l’Acodège pour organiser un petit concert pour les personnes
handicapées, avec l’opéra de Londres. Cette année, j’ai proposé qu’on organise cela dans nos ateliers afin de
rapprocher deux mondes qui ne se seraient jamais rencontrés. C’est exceptionnel ! »
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2013 01 25
VIE LOCALE
Précy-sous-Thil : continuer à dynamiser et structurer le territoire
Martine Eap-Dupin a évoqué les différents travaux qui seront lancés cette année.
Photo Liliane Duchâteau
Lors de la présentation des vœux, la maire Martine Eap-Dupin a évoqué les événements de 2012 dans la ville et la communauté de communes, mais aussi les différents projets.
à Précy-sous-Thil, la maire Martine Eap-Dupin, mais aussi présidente de la communauté de communes de la
Butte de Thil, reste fidèle à ses engagements pour le territoire et à sa volonté de défendre l’avenir du milieu
rural.
C’est exceptionnellement à la salle Sainte-Auxile, qui fut la mairie de Précy durant des décennies jusqu’aux
années d’après-guerre, que Martine Eap-Dupin, avec ses conseillers municipaux, a tenu à réunir les habitants,
les maires, les présidents d’associations et les responsables de services divers, pour la traditionnelle cérémonie
des vœux.
Finalisation de chantiers
Après avoir souhaité la bienvenue à Olivier Huisman, sous-préfet, pour ce premier déplacement à Précysous-Thil, la maire a eu une pensée pour les familles éprouvées par le départ d’un être cher, celles et ceux
qui sont malades ou qui ont été touchés par la crise. Martine Eap-Dupin a rappelé tout ce qui a fait l’actualité
de 2012 et a souligné les différents travaux réalisés sur la commune, avec la sécurité aux sorties des écoles.
Les plus importants concernent le gymnase et l’espace de loisirs, route de Semur, qui sont toujours en
cours et devraient s’achever en mars. Ils ont nécessité le désamiantage du toit et son remplacement par une
couverture neuve isolée et la rénovation des locaux..
Concernant la communauté de la Butte de Thil, à noter la mise en route du contrat AmbitionS Côte-d’Or, les
premières études à la sortie de l’autoroute. Mais aussi la mise en œuvre de nombreux services apportés aux
habitants du territoire avec la crèche halte-garderie, la restauration scolaire (8 700 repas servis à Précy et 1
000 à Braux), le centre de loisirs (470 journées pour l’accueil des enfants et 1 000 pendant les vacances). Le
service de portage de repas à domicile préparés par la maison de retraite a atteint le nombre de 9 500 et, à
la bibliothèque-médiathèque, ce sont 17 500 prêts qui ont été réalisés pour 500 abonnés actifs.
Pour 2013, le gros dossier de la commune restera la fin des travaux du gymnase, les travaux de la dernière
tranche de mise en séparatif (route de Semur), des travaux de voirie, de sécurité et de rénovation de
l’éclairage public.
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Charte “Zéro pesticide”
Sont envisagés la mise en œuvre de la charte pour l’objectif “Zéro pesticide”, des études en matière
d’économie d’énergie et un dossier important pour la création de la salle d’activité dans l’enceinte du parc
de l’hôtel de ville.
Pour la communauté de la Butte de Thil, qui poursuit ses actions en direction des différents services, d’autres
s’ajoutent comme l’installation de l’office de tourisme à l’ancienne gare, le projet de structure avec l’Acodège
à la ferme du Hameau, le travail autour de la sortie autoroute, le haut débit avec la montée en débit de la
couverture ADSL.
Martine Eap-Dupin a rendu hommage à tous ceux qui s’engagent pour encadrer les jeunes ou dans les
associations pour animer le territoire pour assurer le « bien-vivre ensemble ».
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2013 02 22
CÔTE-D'OR – HANDICAP
Dijon : fashion mais pas victime
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Des étudiants de l’Université de Bourgogne organisent un défilé de prêt-à-porter
avec des mannequins handicapés.
Ils planchent sur l’événement depuis octobre. Cinq étudiants en DUT gestion administrative et commerciale
organisent un défilé de mode avec des personnes handicapées.
Le 6 mars, à la salle Camille-Claudel, ils seront douze mannequins malentendants, malvoyants, équipés de
prothèse ou encore handicapés mentaux à monter sur le podium pour présenter trente à quarante tenues.
Histoire de faire tomber les barrières et les préjugés.
« Dans le cadre de nos études de deuxième année, nous avons un projet à mener à bien », expliquent Pauline
Velard et Lolita Martin, deux des organisatrices de l’événement. « Nous avons mis à plat nos idées. Dans le
groupe, il y a un garçon, qui était parti sur un match handisport. Lolita, elle, connaissait une personne qui avait
déjà organisé un défilé. Nous avons finalement décidé de mixer les deux. »
L’heure est désormais aux essayages. Trois boutiques de prêt-à-porter – Exquise éthique, Jacqueline-Riu
et Cyrillus – ont en effet accepté de jouer le jeu en mettant à disposition des vêtements. Les mannequins,
eux, ont été “recrutés” par le biais du pôle handicap de l’université, des associations et dans le cadre d’un
partenariat avec le comité départemental handisport. C’est d’ailleurs ce dernier qui récoltera les bénéfices
de la manifestation. L’espace socioculturel Acodège est également partie prenante du projet.
Pratique Le défilé aura lieu mercredi 6 mars, à partir de 20 heures, salle Camille-Claudel (aux Grésilles).
Durée : une heure environ. Entrée : 2 €, gratuit pour les moins de 12 ans.
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2013 03 01
VIE LOCALE
Chevigny-Saint-Sauveur : récupération des bouchons par les jeunes des
Colibris
Gérald Faber, directeur de l’IME ; Arnaud Jean, moniteur-éducateur, et Isabelle Fourré,
infirmière, participent avec leurs collègues à la mise en place de la collecte.
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Pour faciliter l’intégration des jeunes de l’Institut médico-éducatif Les
Colibris, une opération de récupération de bouchons leur a été proposée.
L’Institut médico-éducatif (IME), Les Colibris, qui accueille des jeunes souffrant de pathologies autistiques et
troubles du comportement, est installé dans le quartier des Mélodies depuis 2009. La structure, qui accueille
quinze jeunes répartis sur trois groupes d’âge (de 6 à 20 ans), est gérée par l’Acodège, sur un projet réalisé
par l’Adapei. Elle occupe une partie du rez-de-chaussée d’un immeuble d’Orvitis.
Pour permettre une meilleure intégration de ces jeunes dans le quartier, Les Colibris, en partenariat avec
Bouchons 21 et de sa responsable locale Mme Leclerc, et Orvitis, organisent une collecte de bouchons dans
le quartier. Pour se faire, l’institut a mis à la disposition des habitants du quartier une bonbonne dans laquelle
ils pourront déposer leurs bouchons.
Située dans le jardin de l’IME, au 3B, rue Gilbert-Bécaud, elle est accessible depuis le parking. Pour les habitants
des logements Orvitis, des petites bonbonnes sont à leur disposition dans chaque local poubelle. Un ramassage
hebdomadaire sera effectué par les jeunes de l’IME.
Pour les habitants des résidences voisines et des maisons individuelles, un ramassage à domicile est proposé
tous les vendredis de chaque mois entre 13 h 30 et 15 h 30. La collecte se déroulera de mars à mi-juillet,
interrompue, du 22 juillet au 26 août, pendant la fermeture de l’IME et reprendra en septembre.
Une démarche écocitoyenne
Cette récupération de bouchons constituera un stock de matières qui sera transmis à l’association Bouchons
21 et permettra en retour l’acquisition de matériels éducatifs et pédagogiques. Pour les jeunes de l’institut,
cette opération est avant tout un moyen de s’intégrer dans la vie du quartier, de permettre aux habitants de
mieux les connaître.
Cette récupération de bouchons, tout en participant à une démarche écocitoyenne, est également un bon
moyen de socialisation des jeunes de l’IME, leur offrant la possibilité de préserver l’environnement au même
titre que les habitants du quartier. Par la suite, les éducateurs pensent adapter une activité de tri des bouchons.
Dès fin mars, l’IME va proposer aux commerçants du quartier de s’associer à cette action en acceptant un
récupérateur.
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Bourgogne
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Mode
Un défilé "Fashion, mais pas victime" à Dijon
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Cinq étudiants organisent un défilé pour "montrer qu'il n'y a pas de barrières à la mode et au handicap".
L'évènement a lieu mercredi 6 mars 2013, à partir de 20h à la salle Camille Claudel, aux Grésilles.
Par Beatrice de Lavergne
Des étudiants dijonnais ont décidé d'organiser un défilé pour "montrer qu'il n'y a pas
de barrières à la mode et au handicap".
Nous avons posé 3 questions à Pauline Velard, une des co-organisatrices du défilé avec Marie Villiers, Arnaud
Geoffroy, Lolita Martin et Sandra Pourchet.
Qu'est-ce qui vous a donné cette idée ?
Quand on parle des personnes handicapées, en général on met l'accent sur leur handicap. Mais, ce ne sont pas
des personnes à part, elles sont comme nous qui sommes dits "normaux".
Cet événement a-t-il été facile à organiser ?
Nous avons commencé les démarches en octobre 2012. Cela a demandé beaucoup de travail. Nous sommes
étudiants en DUT de gestion administrative et commerciale à l'IUT de Dijon. Il a fallu chercher des sponsors,
des mannequins, etc en dehors de nos heures de cours.
Qui défilera sur scène ?
Six hommes et six femmes présenteront la collection printemps-été de trois boutiques dijonnaises. L'âge
des mannequins va d'une vingtaine à une cinquantaine d'années. Certains sont malvoyants ou malentendants,
d'autres ont des béquilles, mais cela ne les empêche pas d'aimer la mode comme tout le monde !
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Reportage de Théo Souman et Jean-Louis Saintain avec :
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Jean-Marie, mannequin
•
Sandrine Thach-Monestier, chef de service à l'espace socio-culturel de l'Acodège à Dijon
•
Arnaud Geoffroy, étudiant à l'université de Bourgogne, co-organisateur du défilé
L'entrée du défilé "Fashion, mais pas victime" est de 2 euros (c'est gratuit pour les enfants de moins de 12
ans). Une tombola et un cocktail sont organisés. L'argent récolté sera reversé au Comité départemental
handisport de Côte d'Or. Ces fonds serviront à financer des aménagements, qui faciliteront l'accès des
handicapés au sport).
http://bourgogne.france3.fr/2013/03/05/un-defile-fashion-mais-pas-victime-dijon-210785.html
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Saint-Apollinaire : un tournoi de ping-pong bien suivi
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Coupes et médailles ont récompensé les participants. Photo M. C.
L’Asehm 21 (Association sportive éducative pour handicapés mentaux) a organisé, samedi, son tournoi annuel de ping-pong au complexe sportif de Louzole.
L’association a l’agrément du ministère de la Jeunesse et des Sports et est affiliée à la Fédération française
de sport adapté. Son but est de faire pratiquer l’éducation physique et le sport aux personnes handicapées
mentales avec des personnes valides afin de favoriser leur intégration. Dans ce cadre, de nombreuses
manifestations sont organisées, notamment ce tournoi regroupant plusieurs clubs du département.
Tout au long de l’année, les adhérents de l’Asehm 21 s’entraînent au complexe sportif avec la section tennis
de table de l’ASC.
Les résultats.
– Cat. 1 : Didier Guignan, Liliane Maujan, Anne-Marie Male, tous les trois appartenant au centre de Montbard.
Cat. 2 : Christophe Degrave (Montbard), Benoît Eple (Asehm21), Évelyne Farion (Montbard). Cat. 3 : Philippe
Pouget (Chantournelle), Éric Bonnemain (Asehm 21), Alexandra Grillot (Montbard).
En fin de journée, la remise des récompenses a eu lieu salle Maurice-Berton, en présence de Rémi Delatte,
député-maire, Robert Petiot, adjoint aux sports, et Gérard Foucard, conseiller municipal.
L’association fête cette année son trentième anniversaire. À cette occasion, la grande marche annuelle sera
organisée sur le territoire de la commune, début juin.
Info Jean-Pierre Bibet, tél. 06.80.68.03.49.
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VIE LOCALE
Quetigny : un carnaval fin prêt
Le collectif organisateur a tenu la dernière réunion de préparation. Photo Bernard Cercley
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VIE LOCALE
Sainte-Marie-sur-Ouche : une équipe motivée
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Le conseil d’administration de l’association a en tête des projest ambitieux.
Photo Colette Petot
Le Café Pass’âge est un lieu accueillant pour les adultes et les enfants ; un lieu pour échanger, discuter de tout
et de rien, participer à des activités et échanger des savoirs.
Les adhérents du Café Pass’âge, présidé par Marie Béranger, se sont réunis samedi matin, dans l’ancienne classe
d’école à Pont-de-Pany, pour la tenue de leur assemblée générale, en présence d’Odile Bonamy, déléguée de
la communauté de communes de la Vallée de l’Ouche (CCVO).
La présidente, après avoir rappelé les raisons qui ont motivé la création de ce café associatif, a fait état des
manifestations qui ont rythmé l’année écoulée.
En 2012, l’association a participé à différentes manifestations : Festival des sauterelles vertes, journée petite
enfance à Sombernon,Assolympiades. Des rencontres avec la CAF qui financerait 40 % du budget prévisionnel,
avec la PMI de Talant, le Pôle d’économie sociale et solidaire ont, par leurs conseils, encouragé cette initiative
qui doit répondre à des règles strictes d’où l’élaboration d’une charte à respecter par tous.
Dès le début 2013, la mise en place des rencontres le jeudi matin a pris effet dès le prêt gratuit de la salle
accordé par le maire.
Les projets
– Une rencontre avec l’Acodège laisse envisager la mise à disposition d’un local plus grand et plus adapté à
Pont-de-Pany. Ce projet reste à finaliser.
– La constitution dossier financement/projet associatif.
– Le recensement des besoins de la population concernée, ses objectifs.
– La poursuite de l’expérimentation des jeudis matin.
– La mise en place d’un livre d’or de présence.
– L’étude de divers ateliers avec échanges intergénérationnels (tricot, confection de pompons, échange de
recettes, dessin, lecture et comptines, approche avec les animaux, contacts avec les maisons de retraite…).
Info Cotisation : libre à partir de 1 €. Renseignements : 03.80.49.02.15 ou 03.80.49.20.26 ; lecafepassage.
canalblog.com/.
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GEVREY-CHAMBERTIN
Rencontre
Le foyer Chantournelle et les enfants de la catéchèse. Dominique DUPONT
Rencontre.
Samedi matin, sous l’impulsion du père de Rayna, les jeunes du groupe de 6e de la catéchèse et les résidants
du foyer Chantournelle de l’Acodège se sont rencontrés pour un moment de partage et d’échange. En cette
fête des rameaux, les jeunes et les résidants ont confectionné une lanterne en équipe et ont participé à un
moment de chants et de prières. Une belle matinée de joie et de communion.
Photo Dominique Dupont
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VIE LOCALE
Gevrey-Chambertin : remise des prix du printemps des poètes
La lauréate Anaïs avec la bibliothécaire, Aurélie Balga . Photo Dominique Dupont
La remise des prix du Printemps des poètes s’est déroulée à la bibliothèque de Gevrey-Chambertin, lundi après-midi.
Cette année, le concours de poésie, ouvert à tous les habitants de la communauté de communes, avait pour
thème “Les voix du poème”.Apparemment, le thème n’a pas soulevé beaucoup d’enthousiasme, contrairement
à la saison dernière qui avait attiré de nombreux poètes. Seulement quatre enfants et trois adultes ont
participé. Le public a pu voter jusqu’au 26 mars pour son poème préféré. Le dépouillement a été réalisé par
le groupe “bibliothèque” du foyer Chantournelle.
Les lauréats 2013 sont, dans la catégorie enfant : Anaïs, de Gevrey, pour son œuvre Les Voix des poèmes ;
pour les adultes, Jean-Michel Bellan, de Chambœuf, auteur de plusieurs poèmes, Mon pays des Hautes-Côtes
ayant eu les faveurs du public. Les gagnants ont reçu des mains de la bibliothécaire, Aurélie Balga, un recueil
de poèmes et un abonnement d’une année à la bibliothèque.
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SPORTS
Dijon : l’aïkido en pleine effervescence
De jeunes sportifs ont été félicités pour leur travail. Photo SDR
À l’approche des vacances de printemps, l’aïkido de Dijon est en
pleine ébullition avec une succession d’événements mis en œuvre par
l’association Dijon Aïkikaï.
Les pratiquants dijonnais se sont rendus au stage international d’aïkido du Creusot, dirigé par Alain PeyracheShihan. Pour sa première édition, ce stage exceptionnel, rythmé entre étude sérieuse des bases fondamentales
de la discipline et ambiance conviviale, a attiré plus d’une centaine de pratiquants venus de toute l’Europe.
Le dojo a ensuite reçu Stéphanie Larcelet, professeure du dojo de Pouilly-en-Auxois, qui a accepté de venir
dispenser son savoir, riche de plusieurs dizaines d’années d’expérience dans l’enseignement. Les Dijonnais
ont répondu à l’appel avec une quarantaine de pratiquants présents. À l’occasion de cette soirée, plusieurs
grades ont été remis aux élèves par leur professeur Alexandre Petitperrin. Le président de l’association Denis
Ponsonnet était là, ainsi qu’Otman Chaggour, représentant de l’espace socioculturel de l’Acodège, partenaire.
Pour finir, une remise de grades kyu a également eu lieu lors d’un cours enfants. Les jeunes sportifs gradés
ce jour-là ont été plus que ravis, cette gratification venant saluer des mois de pratique studieuse et assidue.
Il est possible pour chacun de venir essayer l’aïkido à Dijon grâce à une séance d’essai gratuite. Les inscriptions
sont possibles toute l’année, sous réserve des places disponibles.
INFO Association Dijon Aïkikaï ; www.aikido21.fr/.
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Comment retrouver les dents du sourire avec l’opération «Du sourire
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http://bourgogne.france3.fr/2013/04/15/l-operation-du-sourire-l-oeil-va-permettre-aux-plus-demunis-deretrouver-les-dents-du-sourire-234893.html
Un bus médical va bientôt circuler en Côte d’Or. A son bord, il y aura
des dentistes et des ophtalmologistes bénévoles. Objectif : aller à la
rencontre des personnes les plus démunies, qui ne disposent pas de
droits sociaux.
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VIE LOCALE
Longvic : thé-café à La Passerelle chaque semaine
Le rendez-vous se déroule le vendredi. Photo Emmanuel Clémence
Chaque vendredi, de 9 heures à midi, hors vacances scolaires, La Ruche et La Passerelle organisent un thé-café
dans les locaux de La Passerelle. Ce moment d’échanges d’informations autour d’une collation est ouvert à
tous les habitants.
Ces rendez-vous sont animés par Myriam Bel Hadj, Stéphanie Aubin et Anne-Laure Moreau. Les sujets sont
divers et variés. Parfois, un intervenant est accueilli (un conseiller conjugal ou un représentant de l’Acodège),
comme dernièrement.
De temps en temps également, le thé-café se transforme en petit déjeuner partagé pour lequel chacun
apporte sa participation culinaire.
Signalons qu’un autre thé-café se déroule chaque mardi, de 9 heures à midi, à l’annexe Guynemer. Il est animé
par Anne-Laure Moreau, Myriam Bel Hadj et Sébastien Ghys.
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ANIMATION
Dijon : quand le judo s’adapte au handicap
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Les participants encadrés par leurs professeurs. Photo Nicolas Leblanc
Le Judo-Club dijonnais a participé récemment à l’animation régionale “Judo adapté en faveur des personnes
en situation de handicap et sur l’autisme”.
Cette journée a été organisée par la ligue de Bourgogne et dirigée par Daniel Martin, 7e dan. Son compère,
Olivier Ciappuccini, quant à lui 5e dan et responsable régional, l’a aidé dans cette mission.
Sous la direction d’Aurélien Caillot, accompagné des éducateurs du FAM de Vesvrotte et de l’IME Les Colibris
(structures Acodège), les sportifs du groupe autiste du Judo-Club dijonnais ont pratiqué du judo technique
et du judo d’opposition suivant leurs différents niveaux. Aurore Lonjaret et Guy Bourguignon ont, eux aussi,
encadré les pratiquants venus de toute la Bourgogne.
De nombreux moments de bonne humeur et d’émotion ont ponctué cette journée très riche sur le plan
humain. Tous les acteurs de cette journée ont reçu un diplôme et des récompenses.
INFO Judo-Club dijonnais, salle omnisports d’Épirey, allée Marius-Chanteur à Dijon. Gymnase du groupe
scolaire des Varennes, rue de Maupassant à Dijon. Tél. 06.98.45.17.05 ; 06.07.38.98.51.
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GEVREY-CHAMBERTIN.
CETTE ÉDITION ÉTAIT DÉDIÉE À AURÉLIE GAUTHIER ET
SOUTENAIT LES CHANTOURNELLE.
Un T’rail pour la bonne cause
1 Sur la ligne de départ : Brahimi (19) et Lelièvre (342) déjà au coude-à -coude. 2 Pauline
Boissart, Agnès Bazerolle et Marie-Pierre Boissart de Gevrey font la course entre filles.
3 Le podium de la solidarité : le foyer Chantournelle. Photos François Bailly
La 7e édition du T’rail du tacot a été dédiée à la jeune Gibriaçoise Aurélie Gauthier qui vient de sortir du
coma suite à un accident de la route.
En 2012, Aurélie Gauthier avait remporté la course juniors et était considérée comme espoir féminin de la
catégorie. Suite à un accident, la Gibriaçoise est tombée dans le coma et vient d’en sortir. Cette édition du
T’rail lui a été dédiée.
De plus, cette année, les organisateurs ont œuvré pour la bonne cause en proposant de reverser sur chaque
inscription 1 € au foyer d’hébergement pour adultes handicapés Chantournelle afin de financer leurs activités
culturelles et sportives.
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Une renommée qui n’est plus à faire
Mercredi, la commune de Gevrey-Chambertin s’est encore réveillée avec plus de 500 passionnés de course à
pied, place des Marronniers, à l’occasion de la grande course du tacot et son tracé des Escargots21. Au-delà
de l’impressionnante foulée des grands champions, les spectateurs ont plus retenu le courage des résidants
du foyer Chantournelle, avec la participation et le soutien de leurs éducateurs Mustafa, Angélique, Alexandra
et leur directrice Sophie Bellini. La course a été bien sûr celle des locomotives habituelles de la course à pied,
comme Mathieu Pucelle sur le 26 km ou Romain Lelièvre qui gagne le 15,5 km, mais talonné pendant toute la
course par Moradj Brahimi de Gevrey-Chambertin. Les pompiers ont été également de la partie sur la petite
boucle, avec Alain Pozzodon, 39e en 1 h 18, et Cyril Garmatuk, en 1 h 53. On notera cette année encore la
participation de fidèles Gibriaçois de la course : Agnès Bazerolles en 1 h 55 qui reste dans “le mouv”avec de
jeunes coureuses comme Pauline Boissard, 17 ans, et sa maman Marie-Pierre. Roland Bretin, en catégorie + 65
ans avec sa 7e participation, ne manquerait pour rien au monde le T’rail du tacot et se classe 271e au général
en 1 h 58.
L’édition 2013 s’est encore courue à guichet fermé.Aujourd’hui, il est clair que sa renommée n’est plus à faire.
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MICRO-ENTREPRISE
Val de saône : la passion du houblon
Le taureau, symbole de la Loro, en référence aux origines sudistes de Nicolas Sanchez. Photo
Inès de la Grange
Pas de vignes dans le Val de Saône ? Qu’à cela ne tienne, la bière, elle,
peut se brasser n’importe où. Rencontre avec deux micro-brasseurs à
Longchamp et Talmay.
Faire de sa passion un métier, c’est le choix de vie de nombreux artisans. Notamment les brasseurs. Deux
d’entre eux sont installés dans le Val de Saône : Claude Killian, à Longchamp et Nicolas -Sanchez, à Talmay.
Petit à petit, les locaux de l’ancienne faïencerie de Longchamp reprennent vie. Parmi les quelques entreprises
qui ont décidé de faire perdurer le site emblématique côte-d’orien : Claude Killian.
« C’est à la fois simple et compliqué »
Installé dans le Jura, à seulement une vingtaine de kilomètres de la capitale de la faïence, il n’a pas hésité
lorsqu’un local de 300 m² s’est libéré. « Je brasse depuis que je suis jeune. J’ai déjà travaillé dans une brasserie dans le sud de la France, mais là, je suis vraiment seul pour tout gérer », explique- t-il. À 44 ans, Claude
Killian ne s’inquiète pas quant au devenir de sa micro-brasserie. « Cela ne peut que marcher, j’ai investi
trop d’énergie », glisse-t-il en souriant. En effet, lorsqu’il démarre l’activité après une année de travaux, il se
retrouve directement confronté à l’augmentation des droits d’assises. Un mauvais coup pour le jeune entrepreneur. Mais Claude Killian ne se laisse pas abattre. Dès son arrivée, il a démarché les nombreux bars et
commerces dijonnais. Et ce jeudi, -Damien, le barman de L’Embarcadère venait régler les dernières modalités avant la dégustation qu’il organise avec Claude Killian, le 27 juin prochain. À L’Embarcadère comme dans
d’autres bars, le local est privilégié. Et Damien, amateur et connaisseur, met un point d’honneur à proposer
de la qualité à ses clients. « L’avantage avec Claude, c’est qu’il ne cherche pas à présenter des bières trop
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“farfelues”, comme on voit de plus en plus », souligne Damien.
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Pour le Jurassien, brasser est à la fois « simple et compliqué ». « La recette est simple mais elle demande
tellement de rigueur qu’on peut facilement s’égarer. Sans compter l’hygiène, je passe plus de temps à nettoyer
qu’à brasser », remarque-t-il. Quant au sujet de l’augmentation des micro-brasseries en Côte-d’Or, Claude
Killian répond sereinement : « C’est un métier où on ne se tire pas dans les pattes. Ce ne sont pas des
concurrents mais des confrères. Il faut savoir que les 450 micro-brasseries en France représentent moins de
1 % de la production de bière », précise le brasseur.
« Pourquoi pas moi ? »
Loin des 300 m² de Claude Killian, c’est dans sa buanderie que Nicolas Sanchez a créé sa bière, la Loro. Le
déclic, il l’a eu en regardant un reportage à la télévision. « Je me suis dit pourquoi pas moi ? », indique-t-il. En
2010, il commençait à brasser sa bière dans sa cuisine. Trois ans plus tard, il la commercialise. « Et puis, c’est
une réelle passion, j’adore le processus. On a tellement de possibilités avec une bière. Mais pour l’instant, je
me contente d’une blanche, d’une ambrée et d’une rousse », ajoute-t-il.
Avec son installation actuelle, Nicolas Sanchez peut produire jusqu’à 150 litres par jour. En y consacrant deux
journées entières par mois, il réussit à fournir les débits de boissons et magasins qui lui ont fait confiance.
Prochainement, il installera de nouvelles cuves qui lui permettront de brasser jusqu’à 500 litres par jour. Mais
pour Nicolas Sanchez, la bière est un loisir. L’ingénieur chimiste a tenu à garder son emploi. « Au début, il ne
faut pas compter l’investissement, il ne sera pas amorti tout de suite », souligne-t-il. Et les premiers temps ne
sont pas forcément évidents non plus. Il faut bosser. Cela ne se fait pas comme ça. Le premier brassin, on met
quelque temps avant d’y arriver. »
À présent, le brasseur compte jouer sur la carte du produit local, en précisant sur les bouteilles de bières la
mention “Val de Saône”. En attendant, il peut se targuer de boire sa propre bière à l’apéritif.
* L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.
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VIE LOCALE
Chevigny-Saint-Sauveur : une nouvelle fête locale
Tout le personnel ayant trait à l’enfance et la jeunesse était présent. Photo Corinne Royer
Tout le personnel ayant trait à l’enfance et la jeunesse était présent. Corinne Royer
Souhaitée par les élus, la première édition de la fête de l’Enfance et de la Famille a été une
réussite. Et toutes les structures locales étaient de la partie.
La première fête de l’Enfance et de la Famille a réuni, dans les locaux du groupe scolaire Ez-Allouères et à
l’Ogive, l’ensemble des services de la commune ayant un lien avec l’enfance. Ainsi, de la Maison de l’enfance
au Club Jeunesse en passant par la ludothèque, les bibliothèques, les garderies périscolaires et le centre de
loisirs, sans oublier le service des sports, chacun a proposé un stand mettant en avant ses différentes activités
avec, tout au long de la journée, diverses animations ou spectacles.
Un événement intergénérationnel
Dans toutes les pièces, les créations des enfants des garderies périscolaires, de la Maison de l’enfance et du
centre de loisirs étaient exposées en une “grande lessive” permettant aux parents de visionner le travail de
leurs progénitures. La fête se voulant intergénérationnelle, les personnes âgées de la maison de retraite Les
Tonnelles ont été invitées à partager ce moment. Elles ont été amenées pour l’occasion par les membres
de l’Avac (Association des véhicules anciens de Chevigny-Saint-Sauveur). Diverses associations, comme Un
enfant peut sauver un arbre, ou encore les Chirpy Girl’s, qui ont assuré l’animation pendant la pause déjeuner,
ont participé à cette grande fête. Le vide-dressing organisé parallèlement a permis à l’association Léa-Togo de
récolter des fonds. La structure Les Colibris, qui s’occupe des enfants atteints de troubles du comportement,
a également participé à la fête qui a attiré un grand nombre de Chevignois.
Cette fête de l’Enfance et de la Famille, voulue par les élus, dont le but essentiel était de démontrer la
cohésion entre les différents ­services mis en place par la commune dans l’intérêt de l’enfant, a été un joli
succès qui sera certainement ­renouvelé l’an prochain.
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LONGVIC
Les acteurs du Marché écocitoyen
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De nombreux acteurs seront mobilisés dimanche autour du Marché en fête 2013.
Rencontres avec le Bénin :promotion et valorisation des produits issus de l’artisanat et du commerce équitable
du Bénin.Croix-Rouge française – Le Pré vert : vente de produits issus des jardins de réinsertion gérés par
la Croix-Rouge française à Quetigny. Gourmet Bio propose de faire découvrir les richesses des saveurs des
vins issus de l’agriculture biologique. Artisans du monde : acteur associatif majeur en faveur du commerce
équitable, ventes de produits alimentaires et d’artisanat. Claude Billon : confiturier bio. Association du verger
conservatoire : présentation du lieu et projets de valorisation portés par l’association. Jardins familiaux de
Longvic : présentation du site. Ville de Longvic : présentation de la charte de la qualité environnementale du
développement durable et des projets mis en œuvre à Longvic. La Ruche : promotion des activités portées
par La Ruche auprès des habitants. Don de sang :informations. Longvic Multiloisirs : présentation des sections
et vente des réalisations de la section menuiserie. Au bout de ma rue : vente de pâtisseries. Mots et Plumes :
rencontres avec les écrivains Gilles Kowal et Jean-Claude Sartelet. Créons ensemble : présentation de l’atelier
et vente des réalisations. Cercle de loisirs Isabelle-du-Portugal :artisanat portuguais. Association loisirs-culture
: sections kayak (découverte de l’Ouche, selon conditions météo), activité de la forme, karaté, cyclotourisme,
escrime. Acodège : vente de pâtisseries réalisées par les Longviciens. Longvic Cœur d’or : organisation de la
buvette.
RENDEZ-VOUS
Longvic : marché en fête écocitoyen, sixième édition dimanche
Soucieuse de l’avenir de la planète, la municipalité organise dimanche, pour la sixième année,
son Marché en fête écocitoyen.
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SPORTS
Football à Chenôve : le stade Léo-Lagrange reçoit la Bonbis’Cup
Qui pour succéder aux vainqueurs de l’an dernier ? Photo archives F.V.
Le service jeunesse de L@ Boussole organise la seconde édition de la Bonbis’Cup dimanche 16 juin, au
stade municipal Léo-Lagrange. Il s’agit d’un tournoi de foot ouvert aux jeunes de 16 et 25 ans. Il opposera
douze équipes, dont sept de Chenôve et cinq de l’extérieur, sachant que chacune comptera huit joueurs. La
participation par sportif est de 3 € (avec un sandwich et une boisson).
Une structure gonflable sera mise à disposition du jeune public, encadré en permanence par deux adultes. Un
coin détente sera aménagé afin que les encadrants et les familles puissent échanger et partager un moment
amical. Il y aura également un stand barbecue et une buvette. Tout au long de la journée, sur un fond musical,
des animations se dérouleront sur les différentes parties du stade.
Les matches débuteront entre 13 heures et 13 h 30 et se termineront aux alentours de 18 h 30, par la remise
des récompenses en présence du maire. La journée se terminera par un spectacle à 19 heures.
INFO Tél. 03.80.51.55.00, poste 5347.
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SPORT
Dijon : le judo au service de l’autisme
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Les participants avec des enseignants et des parents. Photo Nicolas Leblanc
Le Judo-Club dijonnais a organisé récemment sa journée Judo pour tous en faveur des personnes en situation
de handicap pratiquant la discipline de façon adaptée. Aurélien Caillot, professeur au sein du club dijonnais,
accompagné des éducateurs du FAM de Vesvrotte et des Colibris, structures Acodège, a dirigé ce stage et a
permis aux parents de se rendre compte du travail fourni par leurs enfants. Cette animation, pleine d’émotion
et de bonne humeur, s’est terminée par le traditionnel verre de l’amitié en présence de tous les protagonistes
de cette journée inoubliable.
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DIJON.
EXPOSITION JUSQU’AU 23 JUILLET.
Les habitants des Grésilles participent au projet encadré par Roxanne Gauthier.
Dans le cadre du festival Grésilles en fête, le quartier des Grésilles
accueillera du 7 juin au 23 juillet l’exposition photographique D’eux à
deux : une série de clichés inspirés d’œuvres picturales ayant marqué
l’Histoire de l’art.
Présentées par les participants de l’espace socioculturel Acodège et réalisées sous la direction artistique de
Roxanne Gauthier avec l’aide de Samuel Offredi, les photographies s’appliquent à reproduire la composition
d’œuvres picturales célèbres mettant en scène couples et duos. Ainsi le public pourra redécouvrir, dans une
version modernisée et volontiers décalée, L es époux Arnolfini de Jan Van Eyck, Le Déjeuner sur l’herbe
d’Edouard Manet, Le tricheur à l’as de carreaux de Georges de la Tour, Les deux Fridas de Frida Kahlo et
Jupiter et Thétis d’Ingres.
La transposition de l’ancien au moderne modifie la représentation du couple et donne lieu à un choix de
décors actuels et familiers, comme la piscine des Grésilles ou le hall de l’immeuble Boutaric. Une animation
sera proposée du 10 au 15 juin : les visiteurs auront l’occasion de jouer les modèles à leur tour, en compagnie
de leur conjoint, enfant, parent, ou ami, afin de reproduire une des scènes des clichés exposés. Pour participer
à cette animation, il suffit de prendre rendez-vous le 8 juin lors de la Casbah Boutaric ou au 03 80 51 41 26.
Un projet culturel et artistique, original et ludique : un rendez-vous à ne pas manquer.
Pratique Exposition D’eux à deux du 7 juin au 2 juillet à Dijon, dans les étages de l’immeuble Boutaric, puis
jusqu’au 23 juillet dans les étages de l’immeuble Réaumur. Horaires de visite libres.
Plus L’espace socioculturel de l’association Acodège se consacre à l’insertion des personnes souffrant
d’isolement en raison d’un handicap. Par l’accès à la culture, l’association permet aux participants de valoriser
leurs capacités au-delà des difficultés. Contact : 03 80 51 41 26, www.espacesocioculturel.acodege.fr
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2013 06 08
ACODÈGE
Dijon : rencontre handisport sur le campus
Le sport est une force morale et un facteur d’intégration sociale pour les handicapés.
Photo Gérard Puech
Sous la houlette de Priscilla Chapiot, professeur de sport, le Foyer d’accueil médicalisé (FAM) de Vesvrotte
de l’Acodège a organisé un événement sportif au stade Colette-Besson sur le campus de l’Université de
Bourgogne. Les résidants du FAM se sont confrontés à deux autres structures de l’association Acodège (les
instituts médico-éducatifs des Colibris et Charles-Poisot) ainsi qu’à un établissement de l’association Les
Papillons blancs de Seurre.
Chaque structure avait engagé des équipes de sept résidants en situation de handicap, accompagnés de leurs
éducateurs, dans huit ateliers sportifs adaptés : parcours moteurs et vélos, course sprint, lancé de poids, tir à
l’arc et à la sarbacane, saut de haies et saut en longueur. Les résidants ont été dispatchés dans diverses équipes
afin de favoriser les rencontres et les liens interétablissements.
La journée s’est terminée par une distribution de récompenses pour le plus grand bonheur des participants
et un goûter.
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CÔTE-D'OR – SOCIAL
Dijon : à l’hôtel des cœurs cabossés
1 Michel Charpentier, Jamal et Denis Cartiller ont œuvré à la réfection du site.
2 Lamia a investi sa chambre il y a plusieurs mois. Celle-ci comprend un lit, un bureau et des
sanitaires. Photos M. Mo.
Un ancien hôtel vient d’être entièrement réaménagé par Les Toits du Cœur pour accueillir des jeunes en
déshérence. C’est le premier du genre en France.
Coincé dans l’angle des rues Pierre-Fleurot et Montchapet, l’immeuble est discret. Sur le mur, seule une
indication défraîchie montre l’entrée de l’hôtel. Les anciens se rappelleront qu’ici, il y a une dizaine d’années,
l’établissement des Rosiers était connu pour d’autres activités. Aujourd’hui, les choses ont changé : le site est
passé aux mains des Toits du Cœur et abrite désormais « des jeunes cabossés », comme les appelle Michel
Forestier, le président de la filiale “habitat” des Restos du Cœur de Dijon.
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Cette semaine, avec une dizaine de “petits bras”, ils ont terminé le réaménagement complet des deux étages,
des onze chambres, du lieu de vie et de la cuisine, avec le soutien du magasin d’ameublement Ikea.
« Cette résidence sociale, la seule de ce genre en France, est désormais refaite à neuf », se félicite le président,
après quatre ans de chantier (voir ci-dessous). « Ici, nous hébergeons des garçons et des filles, âgés de 18 à
25 ans, qui sont en rupture : rupture sociale, familiale, ou qui ont des problèmes d’addiction », détaille-t-il.
Lorsqu’ils viennent frapper à la porte de cet “hôtel du cœur”, ces jeunes n’ont souvent « plus qu’une seule
valise avec quelques vêtements ». Mais pour avoir droit à une chambre, tous doivent respecter le même “deal”
: avoir un projet. Histoire de se relancer dans la vie. « Certains viennent pour reprendre des études, d’autres
pour trouver un travail ou pour arrêter la drogue », détaille Jamal, l’éducateur de la structure.
Dans un quartier réputé
Durant un an et pour un loyer mensuel de 50 €, ils seront logés, nourris et coachés pour atteindre leur
objectif. Ils apprendront aussi l’autonomie, le respect des règles de la vie en communauté et, surtout, du
voisinage. Parce que l’hôtel est posté en plein centre d’un quartier réputé : le bas de Montchapet. « C’est
fait exprès. Il était hors de question de monter un organisme dans les quartiers sensibles dijonnais. La mixité
sociale leur apprend à être respectueux », confie l’éducateur.
Impossible, donc, de squatter dans la rue ou d’avoir des visites sans prévenir. Impossible aussi de ramener
des drogues dans les locaux. « Les chambres sont vérifiées », assurent nos interlocuteurs. S’il y a un écart
de conduite, c’est « le patron » qui prend le relais. « Je suis comme une sorte de grand-père pour eux. S’ils
“déconnent”, je menace de les mettre dehors. Ça les calme de suite », garantit le président. Jusqu’ici, la recette
semble fonctionner. Dans une chambre du 2e étage, rangée au carré, Lamia, une jeune Marocaine de 25 ans,
a trouvé la bonne adresse. Arrivée à Dijon il y a quelques mois « sans rien et en ne connaissant personne »,
elle a voulu terminer une formation en cuisine gastronomique. « Heureusement que j’ai pu venir ici, sinon,
je ne sais pas comment j’aurais pu faire, vu que je n’ai droit à aucune bourse », confie l’apprentie cuistot qui
a su trouver, ici, « une vraie famille ». Même refrain pour Amine et Brenda, un Marocain et une Mexicaine,
également hébergés le temps de finir leurs études, loin des leurs.
Pour Mathieu*, c’est un peu plus compliqué. À 19 ans, il a dû quitter les quartiers de Longvic « pour faire
quelque chose de sa vie ». « J’ai arrêté l’école à 16 ans, ça ne me plaisait pas. Alors je traînais, je me levais à
point d’heure », avoue le jeune garçon qui a été présenté aux Toits du Cœur par l’Acodège. Désormais inscrit
à l’école de la 2echance, Mathieu a, semble-t-il, trouvé sa voie : il veut devenir carreleur. « Ici, c’est une bonne
solution transitoire », assure-t-il, en ajoutant que le jour où il aura son propre studio, il aura « tout gagné ».
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2013 06 19
CÔTE-D'OR – HANDICAP
Jeunes handicapés, où vont-ils à la rentrée ?
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Activité musicale à l’Institut médico-éducatif de la Montagne Sainte-Anne, à Dijon.
Photo Philippe Bruchot
Les listes d’attente dans les structures pour jeunes handicapés explosent. Les familles n’espèrent plus et se retrouvent sans solution
pour la rentrée.
Le débit rapide, la voix lasse. Claire et Régis Des Boscs racontent. Ils s’écoutent et se regardent comme pour
mieux se soutenir. Leur histoire, ils l’ont déjà contée tant de fois. Ils ont même alerté le conseil général de
Côte-d’Or et l’Agence régionale de santé (ARS). Une histoire, loin d’être un cas isolé. Celle de parents de
jeunes handicapés sur liste d’attente dans des établissements comme les Instituts médico-éducatifs (IME), les
structures pour les Troubles envahissant du développement (Ted) dont l’autisme, et les Services d’éducation
spéciale et de soins à domicile (Séssad). A la rentrée scolaire 2012, ils étaient 305 sur ces listes, sur les 2 000
jeunes déficients intellectuels et souffrants de Ted dont l’autisme, en Côte-d’Or.
Philibert, le fils de Claire et Régis Des Boscs, a 12 ans. Il est l’aîné de leurs six enfants. Et il est né trisomique,
comme Jacques, son frère de deux ans son cadet. Ses parents sont désemparés, à la rentrée de septembre,
Philibert ne se retrouvera nulle part. Excepté sur la liste d’attente de l’IME de la Montagne Sainte-Anne, à
Dijon, comme depuis 2 ans. « Pour l’instant, il est dans une Classe pour l’inclusion scolaire (Clis), dans une
école ordinaire, mais ils ne peuvent pas le garder un an de plus, cette année, il bénéficiait déjà d’une dérogation
», expliquent-ils. Philibert pourrait aussi se diriger en Unité localisée pour l’inclusion scolaire (Ulis), en collège
et lycée. « Mais il n’a pas assez de capacités intellectuelles pour ce genre de classe », regrette Claire Des
Boscs. Philibert se sauve facilement, il n’a aucune notion du danger, ne peut manger à la cantine et ne sait ni
lire, ni écrire. Il s’exprime mal et est diabétique.
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63 jeunes sans aucune prise en charge
Plus qu’un rythme scolaire adapté, il a besoin d’une prise en charge globale. Comme celle que pourrait lui
offrir un IME. « C’est en effet la richesse de notre établissement. Nous ne sommes pas que centrés sur
l’enseignement, nous proposons des soins adaptés à chaque type de handicap et nous disposons aussi d’un
volet socio-éducatif pour éveiller les jeunes avec des activités manuelles ou sportives et l’apprentissage des
gestes du quotidien », détaille Christophe Chevalier, le directeur de l’IME de la Montagne Sainte-Anne. Son
établissement accueille 95 jeunes handicapés présentant une déficience intellectuelle de moyenne à profonde
sévère, âgée de 6 à 20 ans. « Nous sommes conscients de ce problème de listes d’attente. Elles sont bien trop
longues. Mais ici, nous ne sommes pas extensibles à l’infini. Après, nous perdrons le côté humain », analyse-t-il.
Un dossier déposé aujourd’hui à l’IME de la Montagne Sainte-Anne a des chances d’aboutir en 2016, au plus
tôt.
Des solutions alternatives insatisfaisantes
Si 63 jeunes sur les 305 que comptent les listes d’attente ne se retrouvent sans aucune prise en charge,
d’autres ont des solutions provisoires. Mais elles ne sont pas satisfaisantes. Parsa est trisomique, il a 13 ans.
Toujours à l’école primaire en Clis, il se rend occasionnellement au Séssad. Mais son niveau de handicap
nécessiterait une prise en charge globale en IME. A la rentrée, lui aussi se retrouvera sur le carreau. « S’il va
en Ulis au collège, il ne va rien apprendre, il va souffrir. A son âge, les garçons flirtent. Lui, il en est toujours
à essayer d’apprendre à lire et écrire », s’attriste son père. Mais Ghorban Ali Bahari Zadeh élève seul ses
enfants. Garder Parsa à la maison serait synonyme de démission. Financièrement, insoutenable.
Christophe Chevalier explique bien l’origine de ces attentes interminables. « Depuis 2005, au sommet de
l’Etat, il y a eu une volonté, dans un souci d’équité et de droit, de préserver le maintien de l’enfant dans sa
famille. Les autorités ont considéré que le handicap ne justifiait pas d’écarter les jeunes de la scolarisation
ordinaire. Les places dans les établissements spécialisés ont été réduites, au profit d’autres dispositifs », se
souvient Christophe Chevalier.
Cette attente pèse sur les familles et les enfants. « A force de ne pas avoir de prise en charge adaptée, Philibert
est fatigué physiquement. De plus en plus », soupire Claire Des Boscs. Fatiguée, elle aussi.
CÔTE-D'OR – HANDICAP
Listes d’attente : les orientations de l'ARS pour les résorber
En septembre 2012, l’ARS avait ouvert, en urgence, 38 places dans les IME, Séssad ou structures Ted de Côted’Or. Grâce à l’enquête du Centre régional d’études et d’actions sur les handicaps et les inadaptations (Créai)
(lire ci-contre), plusieurs solutions vont être mises en œuvre, dès la rentrée 2013.
Dépistage précoce
Les consultations au sein des Centres d’action médico-sociale précoce (CAMSP) seront renforcées dès le
plus jeune âge. Afin de diagnostiquer dès la naissance les degrés de handicap et une prise en charge adaptée.
Identifier les besoins
Au 1er janvier 2014, toutes les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) devront être
dotées du logiciel Routes 21 qui permet d’avoir une lecture en temps réel de l’état des listes d’attente et des
parcours des jeunes handicapés.
Créer des places
Pour cette rentrée, des places seront ouvertes à Beaune et Dijon, les besoins y sont les plus forts. Et entre
2013 et 2014, 54 places seront créées.
Prise en charge séquentielle
Jusqu’à présent, les établissements fonctionnaient selon le principe 1 place = 1 enfant. Or, l’ARS souhaite
développer la notion de prise en charge séquentielle. Un enfant pourra être orienté vers plusieurs dispositifs
selon ses besoins, il passera, par exemple, deux jours dans un Séssad et le reste de la semaine dans un IME.
Afin d’offrir au plus grand nombre, une prise en charge adaptée.
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Développer le secteur adulte
Si les structures pour jeunes sont bouchées, c’est aussi que la transition avec le secteur adulte ne s’opère pas
convenablement. Faute au manque de places criant pour les handicapés adultes.
Renforcer la coopération avec l’éducation nationale
Pour soutenir la scolarisation en milieu ordinaire, il faut poursuivre l’ouverture de places dans les classes
adaptées que sont les Clis et Ulis.
CÔTE-D'OR – HANDICAP
Enquête en Côte-d’Or : état des lieux de la prise en charge
Le Centre régional d’études et d’actions sur les handicaps et les inadaptations (Créai) de Bourgogne, vient de
publier une enquête sur les listes d’attente dans les IME, Sessad et structures pour Ted, en Côte-d’Or. L’objectif
de l’enquête, commandée par l’ARS et la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) était
d’identifier les besoins des jeunes handicapés de Côte-d’or.
Au 3 septembre 2012, 305 jeunes étaient sur ces listes d’attente. 59 d’entre eux sont inscrits sur plusieurs
listes en même temps. Et 63 n’avaient aucune prise en charge sur le plan médico-social, de la santé ou de la
protection de l’enfance. Les taux de pression les plus importants, c’est-à-dire le rapport entre le nombre de
jeunes en attente et les places autorisées, se situent à Beaune et Dijon. Et les besoins sont les plus forts sur
les Sessad et les IME.
L’étude du Créai a révélé un effet de domino considérable. A savoir qu’un bon nombre de jeunes occupent
certaines structures, parce qu’ils n’ont pas de places dans un établissement plus adapté. Un Sessad par
exemple, faute de place dans un IME. C’est la même chose pour la scolarisation en milieu ordinaire, des
jeunes, par manque de place en IME, sont scolarisés en Clis et Ulis et prennent donc la place d’autres. Plus
qu’un problème mécanique, qui consisterait à ouvrir de nouvelles places, l’étude révèle que c’est la qualité de
l’orientation tout au long du parcours qui va compter.
L’étude est à consulter sur www.ars.bourgogne.sante.fr
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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Dijon : « L’Acodège a pris en charge 6 400 personnes en 2012 »
L’équipe de l’Acodège était réunie à la Motte-Giron. Photo C. M.
L’Acodège a tenu son assemblée générale au fort de la Motte-Giron. Rencontre
avec Geneviève Avenard, directrice générale.
Plus qu’une assemblée générale, c’est une véritable journée festive que vous avez
organisée ?
« Oui. Nous avions choisi le fort pour tenir notre assemblée générale. C’était une sorte de pari, fait il y a
un an en se disant que la rénovation étant terminée et que nos jeunes y ayant participé, ce serait une bonne
chose. Et puis, nous nous sommes dit que ce serait dommage de ne pas profiter de ce lieu, qui n’est pas ouvert
au public, pour faire une journée associative avec les familles, les publics qu’on accueille, les bénévoles et les
partenaires. Une belle journée conviviale en montrant ce qui est fait et les résultats qu’on peut avoir. »
Quels étaient les points à l’ordre du jour ?
« C’est une assemblée générale classique, avec le rapport d’activités 2012 : nous avons pris en charge 6 400
personnes (enfants, ados ou adultes). Nous avons également adopté notre projet associatif, que nous avons
rénové. C’est le fruit de deux ans de travail. »
Et quels sont les principaux projets à venir pour l’Acodège ?
« Continuer à répondre aux besoins en développant le travail avec les familles. Faire en sorte que chacun
trouve sa place dans la société, aille vers une autonomie, avec une plus grande ouverture vers le milieu
ordinaire. Notre objectif, notamment, c’est d’œuvrer pour l’intégration scolaire et professionnelle. Travailler
sur des parcours de vie plutôt que des réponses institutionnelles. »
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RENDEZ-VOUS
Quetigny : musique à travers la ville
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Pour annoncer la fête de la Musique, la fanfare municipale donne une aubade ce jeudi, à 20 h 15, place centrale.
En cas de mauvais temps, rendez-vous au chalet de la musique. Vendredi, une douzaine de concerts sont
proposés.
Hôtel de ville. – De 19 h 30 à 20 h 45 et de 23 heures à 23 h 45, Delta Cameo (rock baroque) ; de 20 h 45 à
21 heures, chorale adultes de l’école municipale de musique, de danse et des arts (Emmda) ; de 21 heures à
21 h 30, Philippe Hertwig (chanson française) ; de 21 h 45 à 22 h 45, Partage et Joie (chanson française).
Église Saint-Martin. – De 19 h 15 à 19 h 30 et de 20 h 45 à 21 heures, chorale adultes de l’Emmda.
Place Abbé-Picard. – À 18 heures, groupe Musiques actuelles de l’école municipale de musique, de danse et
des arts ; de 18 h 30 à 19 heures, batucada et percussions des élèves de la Fontaine aux Jardins ; de 19 h 15
à 19 h 30, groupe Danse country du centre social et culturel Léo-Lagrange ; de 19 h 30 à 21 heures, Pomme
Cannelle, bal folk ; de 21 heures à 21 h 15, groupe de danse country du centre social et culturel Léo-Lagrange
; de 21 h 30 à 22 h 45, collectif Audace, hip-hop, rap ; à 22 h 45, DJ Axel Rossi (French Touch).
Restauration et rafraîchissement par l’Acodège, l’Association jeunes citoyens et le collectif Audace. Entrée
gratuite
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BONBI’S CUP
Chenôve : un long dimanche de football
Une soixantaine de sportifs de Chenôve et de l’agglomération se sont
retrouvés pour disputer la Bonbi’s Cup, un tournoi de football dont
c’était la seconde édition.
La Bonbi’s Cup s’est tenue dimanche au stade municipal Léo-Lagrange en présence de huit équipes, soit une
soixantaine de joueurs. Cette compétition est le fruit d’une étroite et efficace collaboration entre le service
jeunesse de la Ville de Chenôve, de la MJC, de l’Acodège, de Très d’Union et d’Aider à agir.
Cette dernière prend la forme d’un tournoi de football sur le terrain synthétique habituellement occupé
par le club de football local. D’ailleurs, le Cercle sportif laïque de Chenôve (CSLC) a également contribué
au succès de cette manifestation en mobilisant plusieurs de ses membres et en prêtant certaines de ses
installations. Cette année, les -organisateurs ont fait fort en montant une structure gonflable pour permettre
aux plus jeunes de s’amuser tout en regardant les rencontres.
Une forte mobilisation
Plus d’une trentaine de bénévoles ont été mobilisés, en plus des professionnels, pour faire vivre cette
Bonbi’s Cup opposant huit équipes de sept joueurs, issues des différents quartiers de Chenôve, mais aussi de
communes de l’agglomération comme Talant et Longvic par exemple.
Cette année, le tournoi a été remporté par l’équipe des “vétérans sans papier” aux termes de matches très
disputés. Cette équipe a même réalisé le doublé en remportant aussi le challenge du fair-play. Le maire Jean
Esmonin a remis le trophée.
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VIE LOCALE
Quetigny : fête de la musique
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La danse country avec Priscilla . Photo Bernard Cercley Bernard Cercley
Fête de la Musique.
Plus d’une dizaine de concerts, assurés par les associations et groupes locaux sur trois lieux, ont animé la
fête de la Musique, dès 18 heures jusqu’à plus de 23 heures. Organisée par le service culturel de la Ville, elle a
mis à l’honneur les jeunes comme les adultes. Restauration et rafraîchissements étaient servis par l’Acodege,
l’association Jeunes Citoyens et le collectif Audace. Photo B. C.
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ACODÈGE
Dijon : le programme d’été dévoilé
Le programme estival vient de paraître à l’Acodège, avec une multitude d’animations prévues du 1er au 18
août, pour que ceux qui restent puissent malgré tout se dépayser en effectuant des activités inhabituelles,
culturelles, sportives ou de découverte. Afin de répondre à toutes les demandes, plusieurs ateliers sont
organisés en journée ou demi-journée, voire en séjour de plusieurs jours. Tir à l’arc, pêche, parcours dans
les arbres, équitation, bowling, randonnée de jour et de nuit, karting et école de pilotage, camp à Bibracte,
spectacles son et lumière, cinéma, restaurant… sont annoncés.
Les inscriptions sont ouvertes dès à présent.
Attention, les places sont limitées dans certaines animations.
www.espacesocioculturel. acodege.fr/programme- estival /.
Facebook : Espace. Socioculturel.Acodège/.
Mail :[email protected].
Contact : Sandrine Thach-Monestier.
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CAFÉ PASS’ÂGE
Pont-de-Pany : rompre avec l’isolement
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Une trentaine de personnes ont assisté à l’inauguration. Photo Jean-Luc Breton
Le Café Pass’âge est né et a été inauguré, jeudi, dans les locaux de
l’Acodège, à Pont-de-Pany, en présence d’une trentaine de personnes.
Pour rompre avec l’isolement, des parents ont eu l’idée de créer un café associatif, un lieu convivial où
chacun, de La Vallée de lOuche au Sombernonnais, pourra trouver sa place, avec cette envie de rassembler les
diverses générations. Mais, sans budget, que faire ?
Les solutions étaient fortement limitées. C’est, par l’intermédiaire d’une maman travaillant à l’Acodège que
le projet a vu le jour. En effet, une grande maison à Pont-de-Pany, vide, qui accueillait auparavant un service
d’accueil pour enfants, faisait parfaitement l’affaire.
Tout naturellement, les membres de la future association ont adressé une demande de prêt de locaux auprès
de l’Acodège et c’est tout aussi naturellement que le conseil d’administration de cette dernière a accepté
cette proposition.
Poser les valises
Pour cette toute jeune association, c’est enfin l’occasion de poser les valises, de s’enraciner un peu plus
et de pouvoir créer “une bulle”, un lieu accueillant pour les parents, les futurs parents, les grands-parents,
les assistantes maternelles. Mais, c’est aussi un espace adapté aux bambins. Ainsi, des personnes de tous les
âges pourront échanger des savoirs, des expériences et se changer les idées, discuter de tout et de rien,
participer à des activités dans le cadre d’ateliers ponctuels (lectures et contes intergénérationnels), invitations
d’intervenants (comédiens, musiciens, sages-femmes, psychomotriciens), espace potager, etc. Un lieu propice
à la détente et un lieu de “prévenance”, permettant de faire une pause autour de consommations sans alcool
au prix libre.
Avant de partager le verre de l’amitié, Geneviève Avenard, directrice générale de l’Acodège, et Marie Béranger
Magnen, présidente de l’association Café Pass’Âge, ont signé la convention.
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VIE LOCALE
Longvic : Guynemer-Parc en fête
Fête du quartier Guynemer Parc. Photo Emmanuel Clémence Emmanuel Clemence
Samedi, la fête du quartier Guynemer-Parc a réuni de nombreuses
familles à l’école Léon-Blum. Au programme : jeux, animations spectacles et stands divers.
Le quartier Guynemer-Parc était en fête samedi après-midi. Tous les participants se sont donné rendez-vous
dans la cour de l’école Léon-Blum. Pilotée par La Ruche, cette fête a été préparée depuis plusieurs mois. Des
animations, spectacles, des stands de jeux et des stands alimentaires ont permis à chacun de trouver son
compte.
Sur la scène, les enfants de la pause méridienne des écoles Blum et Freinet se sont succédé pour présenter
danses et sketchs. Le cirque Rikiki était aussi de la partie.
Côté stands, on retrouvait celui du P’tit Muguet, du centre de loisirs Freinet et la médiathèque RaymondKessler venue présenter ses jeux en bois pour petits et grands. L’association Au bout d’ma rue proposait une
animation Henné et l’Acodège présentait son activité. Les parents d’élèves ont tenu un stand alimentaire.
Enfin, le service jeunesse a organisé une tombola en lien avec Au bout d’ma rue afin de financer une sortie
cet été.
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FONTAINE-D’OUCHE
Dijon : trouver les clefs pour manger équilibré
Sur son stand, Elsa propose de découvrir ce que contiennent les aliments. Photo M. L.
Pour sa 7e édition, la Matinée Santé a pris une nouvelle tournure. Pour la première fois, les dix stands étaient
éparpillés le long de la promenade du Ruisseau dans le quartier de la Fontaine-d’Ouche. L’objectif de cette
manifestation étant, comme l’ont rappelé Patrick Braleret, directeur du Centre socioculturel de la Fontained’Ouche, et Fabrice Schoutith, directeur adjoint, d’« apprendre à consommer et manger correctement et
équilibré, en alliant le sport à l’alimentation ». Croisée au détour d’un stand, Françoise Tenenbaum, adjointe
déléguée à la solidarité, à la santé, aux personnes âgées et créatrice de Dijon Ville Santé à l’origine de cette
matinée, tient à remercier tous les partenaires car c’est un travail qui est « fait avec eux et permet de se
démultiplier pour être au plus proche de toutes les demandes ».
Réduire les inégalités
Un des objectifs est, pour elle, d’effacer les inégalités sociales de santé. « Il y en a deux types : lorsque les
familles, parfois éclatées, ne transmettent pas le savoir de cuisiner et les inégalités financières ». Le but est
donc de « montrer comment cuisiner bon et sain, et comment acheter ses produits frais. Il faut leur redonner
les clefs ». Patrick Braleret explique que, pour ce faire, la « pédagogie est nécessaire ». Les stands sont variés
et proposent initiation à la cuisine et à la pratique du sport, même dans les gestes du quotidien. Elsa, par
exemple, stagiaire à l’Esat Acodège, a mis en place un jeu ludique, en associant chaque aliment à une catégorie
afin de mieux connaître ce qu’on a dans nos assiettes. Trois passantes, Anne-Sophie, Anne et Marie regrettent
le peu de communication qu’il y a eu autour de cet événement qui est, pour elles, une « belle découverte ».
Reparties avec beaucoup d’idées recettes, elles notent toutefois l’absence de tables sur lesquelles il serait
possible de déguster des boissons chaudes. Toutes se disent prêtes à revenir l’an prochain.
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RENDEZ-VOUS
Marsannay-la-Côte : concert de Melting Potes
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L’Esat Acodège accueillera la troupe Melting Potes pour un concert exceptionnel et en plein air, ce vendredi,
à 20 h 30, sur le site de Marsannay-la-Côte.
Il y a dix ans, Melting Potes étaient douze sur scène. Aujourd’hui, ils sont trente-quatre instrumentistes et
chanteurs sous les projecteurs. Certains sont professeurs de musique ou intermittents du spectacle, d’autres
amateurs confirmés.
Le concept de Melting Potes est inspiré de celui des Enfoirés. Ce n’est pas qu’un concert. C’est un spectacle
où il y a autant de morceaux que d’interventions hors musique. Les gens viennent pour passer une bonne
soirée et s’amuser. Le prisme musical est varié, mais chacun aura le loisir de reconnaître les tubes dès la
première mesure. Le répertoire s’étend de Brassens à Billy Paul, en passant par Ben l’Oncle Soul ou Queen.
En dix ans, Melting Potes a drainé plus de dix mille spectateurs.
Avec un tarif exceptionnel de 7 € la place (gratuit jusqu’à 15 ans), l’Esat Acodège attend les fans de Melting
Potes.
Ce concert sera aussi l’occasion de faire connaître l’Esat Acodège aux acteurs économiques et au grand
public.
INFO Esat Acodège, 322, rue Dardelain, à Marsannay-la-Côte. Internet : www.melting-potes.com/.
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CÔTE-D’OR – CULTURE
Au nom des empêcheurs de tourner en rond
Sculpture exposée au parc de la Colombière.
Making off de l’expo D’eux à deux
(accompagné par la photographe professionnelle Roxanne Gauthier).
Photos Acodège
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Comme toute structure culturelle en fin de saison, l’Espace socioculturel de l’Acodège a proposé récemment
la rétrospective de sa saison au Klube.
L’espace socioculturel de l’Acodège (association côte-d’orienne pour le développement et la gestion d’actions
sociales et médico-sociales) multiplie, au fil du temps, les thèmes de ses activités de créations et de loisirs sans
toutefois se disperser, bien au contraire.
Cette saison encore les 179 participants, les 5 salariés et 17 bénévoles qui animent l’Espace, ont interrogé la
création sous – presque – toutes ses formes. La multiplicité de leurs œuvres est telle qu’il est ici impossible
d’être exhaustif, mais pas d’en donner un aperçu.
Divers domaines de compétence
En commençant par la photo :l’exposition D’eux à deux consiste en plusieurs réinterprétations photographiques
d’œuvres picturales, où se mêlent inventivité, dérision et talent… L’exposition continue sa route et il est plus
que fortement conseillé d’aller y poser un œil attentif. Arrêt à la vidéo : le court-métrage Les doigts contreattaquent , dans lequel l’inquiétant flirte allègrement avec l’absurde, a été écrit, interprété et réalisé par les
participants de l’atelier vidéo (en partenariat avec le Caméra Club de Côte-d’Or) et projeté ce mercredi 3
juillet au cabaret vidéo du festival Dièse cour de Flore.
Côté théâtre, le metteur en scène Sébastien Foutoyet a rejoint la troupe des comédiens amateurs de l’Espace
pour créer un spectacle courant 2014 et qui, à en juger par l’alléchante présentation de chantier au Petit
Théâtre de Prairies de Quetigny, est plus que prometteur…
Quant au design, les concepteurs-plasticiens amateurs de l’Espace ont travaillé avec le collectif A4 designers
et leurs œuvres habilleront les tables des troquets éphémères du festival Dièse jusqu’au 6 juillet.
Ainsi, quel que soit leur domaine de compétence, les participants, plus qu’inspirés, ne cessent de prouver,
s’il était besoin, que la situation de handicap physique ou mental n’empêche en rien le talent au travers de
la découverte de soi et du monde. Parce que c’est bien l’un des rôles de l’art que de permettre à l’être de
se découvrir lui-même pour, comme l’écrivait Mallarmé « donner un sens nouveau aux mots de la tribu ».
Parce qu’à y regarder de plus près, c’est bien ce que font les amateurs qui gravitent à l’Espace d’une saison
à l’autre : s’inscrire chaque année un peu plus au cœur de la tribu que nous formons et y donner du sens
à travers l’ensemble de leurs créations. Et comme la vie est mouvement, la porte de l’Espace est plus que
déjà entrouverte sur la saison à venir, enrichie de nouvelles rencontres avec la plasticienne Julia Morlot par
exemple, et de nouveaux partenariats… Longue vie à eux !
Repère
L’Espace socioculturel de l’Acodège accueille des personnes en situation de handicaps physique et/ou mental
et leur offre, au travers d’ateliers de créations ou d’activités sportives un accès à la culture dans le milieu
dit ordinaire. Autrement dit, l’ensemble de l’équipe de l’Espace repousse les murs de la cité, voire les brise à
coups de pinceaux, de caméras, d’appareils photos, de balles de jonglage, de danse, de théâtre, de cuisine, de
human beatbox ou de percussions, pour mieux y prendre sa place. Un Espace essentiel, en quelque sorte…
Pour plus de renseignements :
www.espacesocioculturelacodege.fr
www.facebook.com/espace.socioculturel.acodege
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Chenôve : une grande famille réunie
1 Le public a passé un agréable moment.
2 Les enfants commencent à avoir l’habitude de la scène. Photos Frédéric Vaussard
Les pionniers viennent de fêter les vacances. Ils avaient pour cela convié familles et amis. Au programme, un
spectacle en deux parties.
En attendant les camps d’été qui auront lieu au centre de vacances Les Pimprenelles, les pionniers ont décidé
d’organiser une fête.
Un spectacle en deux parties a été concocté par les enfants, avec l’aide des animateurs. La salle affichait
complet et, ce, pour le plus grand plaisir de la responsable Liliane Boisson, qui a tenu des propos empreints
d’émotion au moment d’accueillir tous les invités. « Nous sommes fiers de vos enfants. On a senti, cette
année, un meilleur suivi de leur part et une forte implication dans toutes les activités proposées », dit-elle.
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Dans l’émotion
La plupart des enfants vont se retrouver cet été au camp de Chaux, placé sous la responsabilité de Charline
et Jonas. Il reste encore dix places pour le celui du mois d’août et quatre places pour celui de juillet. «
Sur place, les pionniers rencontreront d’autres jeunes issus de l’Acodège, du Secours populaire français ou
des Pupilles de l’école », lance Liliane Boisson, qui a donné rendez-vous aux autres enfants à la rentrée de
septembre. « Mais avant cela, dit-elle, tous les pionniers sont conviés à la fête de la colonie qui se déroulera
aux Pimprenelles les 24 et 25 août. À ceux qui seront au collège l’année prochaine, elle leur a demandé de
ne pas oublier les pionniers et de venir au local le plus souvent possible. Pour la plupart d’entre eux, ils sont
venus au scoutisme à l’âge de 6 ans.
Autant dire que l’émotion était palpable dans la voix de Liliane Boisson au moment de cette annonce, qui a
ensuite laissé place au spectacle animé par les frères Freddy et Jean-Lou Boisson. Les sketches parlés et écrits
par les enfants, ont connu un vif succès auprès du public.
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DIJON MONTE LE SON
Melting Potes : la bonne musique au grand cœur
Le groupe fait partager au public sa joie d’être sur scène. Photo Jean-Michel Dhainaut
En dix ans, le groupe Melting Potes a reversé environ 70 000 € aux associations lors de concerts caritatifs.
Rendez-vous ce vendredi à Marsannay. «Au départ, j’ai fait dix ans de piano-bar avec plusieurs amis. En 2003,
on a décidé d’arrêter car on avait tous une trentaine d’années, et on travaillait par ailleurs. L’idée m’est venue
de faire un concert “one shot” (1) dans l’esprit des Enfoirés, en réunissant plusieurs musiciens dijonnais de
différents horizons. On s’est retrouvés une quinzaine sur scène, avec un répertoire varié et connu de tous.
L’objectif était de reverser l’argent aux Restos du Cœur. » Le Dijonnais Jean-Pascal Coutou retrace ainsi la
genèse de Melting Potes. « Lors de cette première expérience, salle Devosge, en 2003, on a joué devant six
cents personnes. En 2004, on a décidé de monter une association loi 1901 pour organiser des concerts et
reverser les bénéfices à des associations locales tournées vers l’enfance en difficulté. De là, est né le nom de
la troupe Melting Potes. Et depuis, ça continue ! »
Dix ans déjà
« On a fêté cette année nos dix ans les 12 et 13 mars au théâtre des Feuillants », poursuit Jean-Pascal Coutou,
précisant que sa formation a reversé environ 70 000 € aux associations depuis sa formation. « Il y a beaucoup
d’associations locales qui se débattent pour aider des gens en difficultés, des enfants… Nous sommes tous
sensibles à cette démarche », souligne le claviériste de la formation. Melting Potes, c’est une vingtaine de
musiciens, et autant de chanteurs et de chanteuses au grand cœur. « Il y en a qui viennent du gospel, d’autres
du jazz, du piano-bar, du rock… Ce sont trente-six personnes, avec une section de cuivres, une section de
violon, basse, batterie, guitare, clavier, avec une formule qui évolue en fonction des morceaux qu’on interprète
: d’Eddy Mitchell à Phil Collins en passant par Tina Turner, Led Zeppelin, Queen, Joe Cocker, et la chanson
française. En fait, on joue de tout », résume Jean-Pascal Coutou. Le fondateur indique aussi avoir écrit une
chanson, une hymne, qui raconte l’histoire de Melting Potes. Le groupe, un mélange de styles de musique, de
professionnels et d’amateurs, réunit aussi les générations : le plus jeune membre est un violoniste de 16 ans,
le plus âgé un bassiste de 65 ans. « Il y a quand même un demi-siècle entre les deux : ce n’est pas courant
dans un groupe ! »
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Au final, Melting Potes donne des concerts de qualité professionnelle, mais « sans se prendre le chou ». Le
spectacle dure trois heures : deux sets d’une heure et quart. « L’idée de Melting Potes, c’est de vraiment
partager une soirée avec les gens qui viennent nous voir. L’alibi, c’est la musique mais, en fait, il y a plein de
choses qui se passent autour. C’est notre idée du spectacle. Ce n’est pas les artistes d’un côté et le public de
l’autre : on s’amuse tous ensemble ! »
(1) Traduisez : une seule fois.
La fiche
Style : variété, rock.
Composition : une bonne trentaine de musiciens, dijonnais pour la plupart.
Prochain concert : ce vendredi, à 20 h 30, en plein air, à l’Esat Acodège, 322, rue Dardelain à Marsannay-laCôte. Tarif : 7€ (gratuit jusqu’à 15 ans). Le 28 septembre à la Commanderie à Dole.
Contact et réservations : tél. 06.74.45.15.45.
Pour écouter sur Internet : Melting Potes Dijon sur Youtube.
DVD : quatre DVD du concert annuel. On peut se les procurer sur le site www.meliting-potes.com/ou en
prenant contact avec Melting Potes.
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ASSOCIATIONS
Gevrey-Chambertin : aide au foyer Chantournelle
Patrick Genet reçoit le chèque de 500 € de l’association Les Escargots 21.
Photo François Bailly
Grâce aux nombreuses inscriptions au T’rail du tacot, l’association Les
Escargots 21 a remis un chèque de 500 € au foyer de vie Chantournelle.
L’association sportive de course à pied Les Escargots 21 avait décidé pour la septième édition T’rail du tacot
de reverser 1 € par inscription à une association ou un organisme dont l’activité est de travailler en faveur de
personnes en difficulté (maladie, handicap, etc.).
En toute logique, le choix s’est porté pour cette première sur le foyer Chantournelle de Gevrey-Chambertin
qui œuvre pour l’intégration des adultes handicapés mentaux au plan local. Ce choix a été conforté par
l’enthousiasme et l’investissement des résidants et de leurs éducateurs : participation à la course, aide aux
ravitaillements à la ferme de Morey-Saint-Denis, etc.
Vecteur de bien-être
Sophie Bellini, responsable du foyer souligne que les activités sportives sont un vecteur fort pour le bien-être
des résidants et de leur positionnement social dans la vie locale et que le travail fait à ce niveau par tous les
éducateurs spécialisés du centre est simplement formidable…
Nathalie Curci, trésorière de l’association, a donc remis un chèque de 500 € au directeur Patrick Genet.
Michel Curci, président des Escargots 21 en a profité pour saluer l’ensemble des partenaires qui soutiennent
l’association pour le T’rail du tacot.
LE FOYER
Créé en 1994, le foyer de vie Chantournelle, financé par le conseil général est composé de deux structures
distinctes géographiquement (hébergement et centre d’activités adaptées de jour). Ouvert 365 jours par an
et 24 heures/24, il accueille 58 personnes, quarante internes répartis dans quatre unités de vie, et dix-huit
externes. Il a pour missions, entre autres, d’assurer la sécurité et le bien-être des personnes accueillies et de
66 les accompagner dans l’autonomie…
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Musique
Soirée musicale - Photo SDR
Musique.
Mercredi, les Poètes de l’amitié sont venus à l’IME de la Montagne Sainte-Anne à Dijon, un établissement de
l’Acodège, pour une soirée de musique, de chansons et de poésie grâce aux poètes Agnès François, Marie-Pierre Verjat et Stephen Blanchard. Accompagnés de l’accordéoniste Marcel François et du synthétiseur
Éric Péclet, certains jeunes ont pu mettre à profit leur propre répertoire. Photo SDR
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VIE LOCALE
Marsannay-la-Côte : Melting Potes, un concert inoubliable
1 Le staff de l’Esat Acodège.
2 Le public venu en nombre
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3 Melting Potes a mis le feu à la scène. Photos Cécile Grapin
Vendredi, pour clôturer sa journée portes ouvertes, l’Esat Acodège a accueilli Melting Potes pour un concert
exceptionnel en plein air, sur le site de Marsannay-la-Côte.
Créé en 1969, l’Esat Acodège offre, à des travailleurs handicapés, des activités de production en même
temps qu’un soutien adapté. Il permet une insertion socioprofessionnelle pour des personnes qui ne peuvent
trouver leur place durablement en milieu ordinaire de travail.
Aujourd’hui, deux cent quinze ouvriers handicapés, encadrés par des personnels qualifiés et répartis sur cinq
unités de production, travaillent sur le site de Marsannay-la-Côte. Un dispositif de formation permanente leur
permet d’acquérir ou de développer des compétences techniques.
Organisée tous les deux ans, l’édition 2012 des portes ouvertes a attiré près de six cents personnes qui ont
ensuite pu passer une soirée mémorable aux côtés de Melting Potes.
Une troupe qui s’inspire des Enfoirés
Dès les premières mesures sous les projecteurs, la troupe des trente-quatre instrumentistes et chanteurs a
endiablé la scène de l’Esat Acodège et entraîné les spectateurs venus en nombre dans un voyage musical joyeux
et rythmé. De Brassens à Billy Paul en passant par Ben l’Oncle Soul ou Queen, ce groupe de saltimbanques,
dont la devise est de partager la musique qu’ils aiment sans se prendre au sérieux, a interprété un répertoire
de tubes dans le même esprit du concept des Enfoirés.
INFO Esat Acodège, 322, rue Dardelain, 21160 Marsannay-la-Côte, www.melting-potes.com ; www.
esatacodege.com/.
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VIE LOCALE
Quetigny : bénévoles et familles fêtent les vacances
Au cours de la soirée de fin d’année dans les jardins familiaux. Photo SDR
L’association Cousi-Devoirs, qui favorise l’aide aux devoirs, a organisé une soirée, dans les jardins familiaux
afin de marquer le début des vacances d’été.
C’est autour de lectures, de textes et de chansons, proposées aux enfants par Francine Chevaldonné, conteuse,
que s’est déroulée cette soirée conviviale réunissant les enfants, les familles, les bénévoles et les membres du
conseil d’administration de l’association.
Le président François Pernot a remercié les cinquante-six bénévoles, dont dix-sept étudiants de l’ESC de
Dijon qui se sont investis durant leur module Pac (Pédagogie par l’action citoyenne). Cinquante et une
demandes d’aide aux devoirs, contre trente-huit l’an passé, ont été reçues afin de bénéficier de cette aide aux
devoirs. L’association Cousi-Devoirs a démontré, une nouvelle fois, toute son efficacité vis-à-vis des enfants
qui éprouvent des difficultés en apportant le complément indispensable qui leur manque.
La fin de journée s’est poursuivie autour d’un goûter, placée sous le signe de l’entraide permettant
d’enrichissantes discussions entre toutes les composantes de l’association.
Les activités de Cousi-Devoirs reprendront mi-septembre. Des permanences hebdomadaires seront tenues
de 17 h 30 à 18 h 30 à la Maison des associations. L’association recherche, dès à présent, des bénévoles
(quelques heures par semaine) pour assurer l’aide aux devoirs auprès d’enfants de primaire. Pour l’année
scolaire 2013/2014, Cousi-Devoirs aura la lourde tâche de piloter le Clas (Comité local d’accompagnement à
la scolarité) qui regroupe, au niveau de la ville, la FCPE, le service familles du conseil général, le centre social
et culturel Léo-Lagrange, les parents d’élèves PEEP, Cousi-Devoirs, la CSF, l’Acodège et ORE.
Info François Pernot au 03.80.46.62.88 ; Suzanne Barrat au 03.80.46.36.77 ; Nelly Bollard au 03.80.46.57.07 ;
Brigitte Romano au 03.80.46.60.50 (laisser message sur les répondeurs).
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VIE LOCALE
Quetigny : douze sportifs quetignois ont participé au triathlon de
Bous
Les quatre jeunes de l’espace Pierre-Desproges se sont bien classés. Photo Bernard Cercley
Douze Quetignois ont participé au 1er triathlon de Bous (Allemagne), ville jumelle de la commune, qui a réuni
près de mille participants.
Jeunes de l’espace Pierre-Desproges, employés de la ville et du comité de jumelage ont participé au triathlon
de la cité sarroise de Bous, encouragés par une dizaine de supporters, dont le maire Michel Bachelard,
et des membres du comité de jumelage. Les résultats obtenus par Quetigny sont très honorables. Cette
manifestation a permis de resserrer les liens d’amitié entre les deux villes.
Le 30 mars, une délégation de Bous qui était venue se joindre à l’animation du carnaval de Quetigny. Les deux
villes sont également jumelées avec Koulikoro (Mali), dans le cadre d’un jumelage tripartite de coopération.
Mercredi, tous les participants du triathlon de Quetigny (sportifs et supporters) se sont retrouvés à l’espace
Pierre-Desproges afin de visionner le film tourné lors de la compétition, montrant l’ambiance qui a régné
durant ces deux journées, ainsi que la projection un diaporama de nombreuses photos.
Les résultats.
Triathlon complet olympique (natation, course à pied, vélo) : David Richard (directeur du pôle espaces publics),
69e sur 172. Triathlon relais amateur (natation, course à pied, vélo) : Alex Cambon (jeune de Quetigny), 38e
sur 73, et Younès El Hadad (éducateur Acodège)11e sur 73.
Triathlon relais amateur (espace Pierre-Desproges) : Eddy Cerfontaine (natation), Adam Boukhadra (vélo),
Anas Ourki (course à pied), 2e sur 34. Par équipes : Quetigny service jeunesse espace Pierre-Desproges
(Bénédicte Lesecq, Lucie Martin et Chérif Riabi), non-classée ; comité de jumelage (Christophe Bonnot,
Stéphane Fournier et Moulay Jellal), 32e, battant l’équipe allemande de Bous conduite par son maire, Stephan
Louis.
La soirée s’est terminée dans une joyeuse ambiance autour d’un barbecue. Le prochain triathlon de Bous
devrait avoir lieu en 2015. D’ici là, les sportifs quetignois prendront le temps de s’entraîner encore plus
sérieusement.
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VIE LOCALE
Longvic : sortie avec les parents maghrébins
Sortie au lac de Saint Point. Photo SDR Emmanuel Clemence
Sortie.
L’Association des parents maghrébins de Longvic, présidée par Hamed Hajjaji, a organisé dernièrement une
sortie au lac de Saint-Point, dans le Jura, avec au programme de la journée, promenade et barbecue. Ce projet
a été construit avec le soutien des éducateurs de l’Acodège.
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DISPOSITIF
Chevigny-Saint-Sauveur : favoriser l’accès à la formation
Philippe Gintrand et Geneviève Avenard ont signé la convention qui scelle leur partenariat.
Photo Corinne Royer
L’Afpa et le Saip de l’Acodège viennent de signer une convention visant à mettre en place un dispositif de
formation qualifiante ouvert à des jeunes en situation de handicap.
L’Association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) et le Service d’accompagnement à
l’insertion professionnelle (Saip) de l’Acodège ont finalisé un partenariat visant à proposer une inclusion
en milieu ordinaire de travail à des jeunes en situation de handicap. La signature de la convention a eu lieu
mercredi, au centre de formation Afpa, entre Philippe Gintrand, directeur régional, et Geneviève Avenard,
directrice générale de l’Acodège, en présence de Régis Blatter de la Direction régionale des entreprises, de
la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte) ; Bernard Burdin, directeur du Saip ;
Patrice Durovray, directeur adjoint de l’Acodège.
Formation aux métiers du magasinage
Le défi que vont relever les deux partenaires est celui de permettre l’accès direct à un dispositif de formation
qualifiante à des jeunes de 16 à 24 ans en situation de handicap. Pour cela, ils ont décidé de mobiliser une
plateforme de formation aux métiers du magasinage situé au centre Afpa, visant à l’obtention des titres
professionnels d’agent magasinier et de préparateur de commandes.
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Cette perspective d’inclusion présente le bénéfice pour ces jeunes d’un rapprochement avec la sphère adultes.
L’intérêt majeur de cette plateforme de formation repose sur la validation de compétences techniques par
les titres professionnels du ministère de l’Emploi, ce qui permet d’attester la pratique professionnelle comme
véritable compétence et de repositionner les usagers dans des perspectives d’emplois qualifiés en milieu
ordinaire.
Pour France Delage, directrice de l’Afpa locale, et très impliquée dans ce partenariat, « par tradition, on
accueille beaucoup de travailleurs handicapés, ce nouveau dispositif permet de dépasser la fatalité de l’échec
scolaire, d’extraire ces jeunes des milieux protégés pour les intégrer dans des formations qualifiantes de droit
commun, en favorisant leur autonomie et leur insertion professionnelle ».
Une quarantaine de jeunes bénéficieront de ce premier dispositif, financé par l’Agence régionale de santé.
UNE PLATEFORME À TAILLE RÉELLE
Au sein du centre Afpa, les personnes du Saip de l’Acodège qui souffrent d’une déficience intellectuelle légère,
de troubles psychiques, cognitifs ou attentionnels ou de troubles spécifiques des apprentissages disposeront
à compter de septembre d’un nouvel outil d’apprentissage : une plateforme technique de magasinage à taille
réelle. Le formateur Afpa accompagnera celui du Saip, pour lui permettre de s’approprier les fondements
et la construction des titres professionnels et élaborer le programme de formation. Le passage du titre
professionnel est un objectif qui doit être adapté aux compétences et difficultés de chacun.
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MÉDAILLES
Dijon : la fidélité récompensée
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Les médaillés entourent Nathalie Barbieux, directrice du site dijonnais.
Photo Christian Guilleminot
Vingt et un salariés du groupe Safran ont reçu la médaille du travail
des mains de Nathalie Barbieux, directrice du site dijonnais de l’avenue de Stalingrad.
Si la longévité et la fidélité à l’entreprise méritent la reconnaissance et les vifs remerciements de Nathalie
Barbieux exprimés aux vingt et un récipiendaires pour la qualité de leur engagement dans leurs différents
services, l’entreprise Safran est digne d’intérêt dans le milieu industriel dijonnais.
Le groupe est né en 2005 de la fusion de la Snecma et de la Sagem. Groupe industriel et technologique
français, présent au niveau international dans l’aéronautique, l’astronautique, la défense et la sécurité, il est
numéro 1 mondial dans bien des domaines. Et s’il est question de longévité, pour ne pas dire d’histoire, il
est bon de rappeler qu’en 1948, l’ingénieur Roger Cuvillier inventait le zoom à compensation optique et
prenait la tête de l’usine qui le fabriquait, sous le nom de Pan Cinor, à Dijon, rue Nicolas-Berthot. Très vite,
l’effectif passe de 80 à 700 salariés. Les locaux deviennent exigus et une nouvelle usine ouvre ses portes
rue de Lorraine, puis une troisième avenue de Stalingrad. Depuis, le métier a évolué, passant de l’optique à
l’électronique, “l’optronique” dans le jargon professionnel. Les salariés ont suivi cette évolution technologique
avec beaucoup de détermination, comme l’a souligné leur directrice devant leurs managers présents à la
cérémonie, terminée par un cocktail convivial préparé par l’Esat Acodège.
Les médaillés de la promotion 2013. –Argent (vingt années) : Dominique Frèrejacques et Patrice Perdriset.
Vermeil (trente années) : Daniel Briffaut, Jean-Paul Buisson, Catherine Curé, Jean-Paul Guenebaut, Martine
Lamotte, Pascal -Lanaud et Michel Parriaud ; Or (trente-cinq années) : Alain Bouillot et Denis Tremeau. Grandor (quarante années) :Marie-Christine Chevalier, Patrick Dupin, Denis Durand, Daniel Girodet, Robert Kelle,
Jocelyne Oudot, Gérard Phillot, Martine Smitd, Jean-Marie Tarteret et Philippe Vettorato.
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VIE LOCALE
Chevigny-Saint-Sauveur : lumière sur l’Institut médico-éducatif Les
Colibris
Isabelle Fourié, infirmière, Émilie Gaudillat, psychologue, Gérald Faber, chef de service éducatif, et Isabelle Henin, éducatrice spécialisée. Photo Corinne Royer
L’Institut médico-éducatif (IME) Les Colibris a participé, samedi, à la
7e édition du forum des associations de Chevigny-Saint-Sauveur, l’occasion de faire connaître l’établissement.
Situé rue Gilbert-Bécaud, au sein d’un quartier familial de la ville, l’IME Les Colibris est un établissement
spécialisé dans l’accueil de jour d’enfants, adolescents et jeunes adultes atteints d’autisme, avec troubles
envahissants du développement.
Participer au forum des associations a été l’occasion pour l’équipe présente de l’IME Les Colibris de
présenter au grand public l’établissement, d’expliquer la spécificité du public autiste et la particularité de
leur accompagnement. L’institut a souhaité également faire de cette participation au forum une journée
festive, permettant de tisser du lien, de rencontrer les autres associations et de créer éventuellement des
partenariats.
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En partenariat avec la famille
L’IME Les Colibris accueille, du lundi au vendredi, de 9 à 17 heures, quinze enfants et adolescents âgés de
6 à 20 ans, atteints d’autisme avec troubles envahissants du développement. Chaque jeune bénéficie d’un
accompagnement s’appuyant sur un projet personnalisé. Construit en partenariat entre la famille et l’équipe
pluridisciplinaire, ce projet définit l’ensemble des actions qui seront menées pour permettre aux enfants de se
développer dans une logique de progrès et d’autonomie. La spécificité de la structure repose en partie sur les
méthodes d’accompagnements spécifiques comme une éducation structurée, inspirée de la méthode Teach
et Aba, de supports à la communication imagés tels que les photos, les pictogrammes d’objets concrets du
quotidien. Les lieux et le temps sont structurés afin d’apporter à chacun les repères nécessaires à une lecture
de l’environnement, une compréhension et une anticipation de ce qui est prévu.
L’Institut médico-éducatif Les Colibris est né d’un projet porté par l’Adapei Côte-d’Or. Il est géré par l’Acodège
et est financé par l’Agence régionale de santé de Bourgogne, les caisses d’allocations familiales, l’assurancemaladie. Il bénéficie du soutien de l’Éducation nationale. L’IME Les Colibris est dirigé par Éric Bizot.
Info Tél. 03.80.42.84.13. E-mail : colibris@Acodège.asso.fr/.
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CÔTE-D'OR – CULTURE
A toute Vapeur
La Vapeur propose une nouvelle programmation de belle qualité et très variée. Photo
archives LBP/Vincent Arbelet
Hier matin, La Vapeur, salle de musiques actuelles dijonnaise, a lancé
sa saison en présentant ses grands rendez-vous mais aussi les travaux
qui lui tiennent à cœur.
C’était encore l’heure de la rentrée hier matin. À l’Embarcadère, rue d’Auxonne, toute l’équipe de la Vapeur
réunie autour de son directeur, Yann Rivoal, a présenté la nouvelle saison qui s’ouvre. Une saison riche
musicalement, bien évidemment, mais aussi nourrie pas de très nombreux projets.
Ainsi comme il l’évoquait d’emblée, la nouvelle saison de la Vapeur va s’organiser autour de trois axes majeurs
: l’action et médiation culturelle, l’action artistique et, bien sûr, la programmation.
L’action et médiation culturelle
C’est la deuxième année que La Vapeur se lance dans cette aventure. « C’est une manière de rendre le lieu
plus populaire et montrer que ce n’est pas uniquement une salle de concert », explique Elsa Girard, directrice
adjointe et en charge de ce projet. Elle poursuit : « L’idée est d’inscrire ce que l’on fait dans le territoire,
l’objectif étant de rapprocher l’artiste de la population. » Ainsi différents projets affleurent. Comme ceux de
travailler avec les MJC, les centres sociaux ou bien encore la maison d’arrêt.
L’idée de la chorale de La Vapeur qui regroupe des personnes de 19 à 65 ans va aussi dans ce sens. Faire se
rencontrer les gens et leur permettre d’agrandir, d’enrichir leur univers musical est un vrai credo.
L’autre grand cheval de bataille concerne le “projet quartier” et en particulier la Cité du soleil (deux bâtiments
situés en face la Vapeur). Le but est de mener un travail de mémoire sur la cité avec ses habitants, en ayant
pour objectif de présenter une frise chronologique au printemps 2014.
L’action artistique
La Vapeur aide les jeunes artistes, aide à la création musicale. Avec cinq studios de répétition, 200 groupes
inscrits à l’année, le travail intra muros est plutôt dense.
Pour la deuxième année, La Vapeur lance des appels à candidature pour des projets d’accompagnement. Le
premier, “Vap lab” , concerne des musiciens et peut accueillir quatre à cinq groupes, alors que le second,
“Vap factory”, t ouche des musiciens qui veulent en faire leur métier. L’an dernier Teldem Comunity (dub) et
The George Kaplan Conspiracy avaient bénéficié de la structure Vapeur. Avec un certain bonheur d’ailleurs.
Les premiers ont un album prêt pour 2014 et quelques dates de concert à venir, dont une à La Vapeur le 2
novembre ; les seconds ont aussi des dates de concerts à leur agenda.
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Toujours au cœur de l’action artistique, la résidence de créations pour les artistes professionnels se développe.
A noter également un stage de sonorisation, les 19 et 20 octobre, pour les musiciens et organisateurs de
concert, ou tout simplement pour ceux qui s’intéressent au son et qui ont l’envie de savoir “comment ça
marche”.
La programmation
Elle est encore riche et variée pour ce premier trimestre avec quelques belles têtes d’affiche comme Stromae,
Patrice, Keziah Jones, Gaetan Roussel ou bien encore Girls in Hawaii.
Mais la programmation de ce premier trimestre tend aussi à faire découvrir quelques nouveaux talents. Parmi
eux,Yann Rivoal, le directeur de La Vapeur a mis un petit coup de focus sur Van Pariahs, Riff Cohen et Naomi
Shelton. Trois univers musicaux bien différents, mais trois talents à découvrir. D’abord la cold wave teintée de
rock des Bretons de Von Pariahs. En concert le 23 octobre. Ensuite la pop rock de l’Israélienne Riff Cohen
avec des textes chantés en hébreu et en français. Elle sera sur la scène de la Vapeur le 30 octobre. Enfin, la
soul de Naomi Shelton. À 60 ans, cette Américaine, révélée au milieu des années 2000 après avoir tourné
longtemps dans les clubs, arrive en France pour la première fois. Elle jouera à Dijon avec The Gospel Queens
le vendredi 8 novembre.
Et tous ceux qui aspirent à découvrir la nouvelle programmation musicale, peuvent se rendre aux Archives
départementales de Côte-d’Or à 18 h 30, aujourd’hui, où ils pourront écouter des extraits de tous les artistes
qui vont se produire jusqu’à la fin de l’année. Une façon de se mettre l’eau à la bouche.
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EMPLOI
Beaune : trouver des débouchés
À Nuits-Saint-Georges, l’établissement a multiplié les compétences. Photo archives F. B.
Le GIE Les Ateliers de Bourgogne, qui regroupe treize établissements,
a embauché un chargé de développement pour une nouvelle stratégie.
Les Ateliers de Bourgogne font travailler 1 200 personnes handicapées au sein des Esat (Établissements et
service d’aide par le travail). Le GIE Les Ateliers de Bourgogne est l’interface entre les entreprises et le milieu
du travail protégé. Comme toute entreprise du secteur marchand, ce GIE bénéficiait déjà des services de
commerciaux, mais il a souhaité accentuer encore sa visibilité auprès de ses clients. C’est pour cela qu’il a
engagé un nouveau chargé de développement, François-Xavier Gillot : « La collectivité locale ou l’entreprise
qui ont un besoin faisaient travailler un atelier, reconnu pour ses compétences. Il devra s’adresser aujourd’hui,
directement au GIE, car c’est la partie commerciale qui sera l’interlocuteur du client. Le GIE fonctionne bien
(+ 8 %), mais il a eu la volonté de passer à la vitesse supérieure, pour trouver de nouveaux clients ».
Aujourd’hui, les treize établissements cumulent un chiffre d’affaires de l’ordre d’une dizaine de millions
d’euros. Le chiffre d’affaires du GIE était en 2012 de 1 518 000 €, en main-d’œuvre et matières premières.
Dans le domaine de la sous-traitance, c’est une dizaine de corps de métiers qui est représentée à travers ces
établissements. Citons tous leurs savoir-faire qui vont du conditionnement emballage, au façonnage carton
papier au montage, câblage, en passant par le routage mailing, l’usinage, le travail du bois et même l’imprimerie,
sérigraphie, encadrement. Il n’est pas inutile de situer ces établissements : Esat Acodège à Marsannay-la-Côte,
Agef à Nuits-Saint-Georges, APAJH à Chalon-sur-Saône, APF à Quetigny, les Esat de Beaune, Autun, Le Breuil,
Montbard, Tournus, mais aussi Fauconnet à Crissey, Montret et PEP 21 à Fontaine-lès-Dijon.
Il faut rappeler que toute entreprise de plus de vingt salariés est tenue d’employer au moins 6 % de personnel
handicapé, mais en passant des contrats de sous-traitance ou de prestation de service avec le GIE, l’entreprise
peut être exonérée jusqu’à 50 % de ses obligations d’emploi.
GIE Les Ateliers de Bourgogne, rue Gaston-Chevrolet, ZI Beaune Vignoles, 21200 Beaune, tél. 03.80.24.19.07.
fx.gillot@ateliers-de- bourgogne.com/.
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DIJON. – SAMEDI
La troisième édition du Grand prix départemental de caisses à savons
poussées aura lieu, samedi 21 ...
L’an dernier, le Grand Prix départemental avait eu lieu sur le circuit de Pouilly. Photo SDR
La troisième édition du Grand prix départemental de caisses à savons
poussées aura lieu, samedi 21 septembre à la promenade du ruisseau
(quartier Fontaine-d’Ouche).
Ils ont entre 7 et 12 ans, ils vont participer au 3e Grand Prix départemental de push-car organisé par le centre
socioculturel de Fontaine-d’Ouche avec le concours des Francas et de l’Acodège Voilà des semaines, que les
jeunes enfants, issus des accueils de loisirs de toute la Côte-d’Or, ont imaginé et bricolé leur bolide. Selon le
règlement, le push-car est un véhicule possédant au moins trois roues et un système de direction (quelqu’il
soit). De fabrication artisanale, dépourvue de moteur et de système de freinage, sa propulsion est effectuée
par les pousseurs, le pilote devant seul maîtriser la direction de l’engin. Les épreuves (course-relais, parcours
d’adresse et lancer sur ligne droite) se déroulent sur un terrain plat. Pour ce grand rendez-vous, tous ont fait
preuve d’une grande imagination pour leur plus grand plaisir, le nôtre et celui des parents.
Pratique De 13 h 30 à 17 h 30. Entrée libre. Remise des médailles à l’issue de la compétition.
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Samedi 21 septembre 2013
http://infos-dijon.com/?p=363288
DIJON : Football à la Chartreuse
L’établissement organisait un tournoi de football inter-régional.
L’Equipe de Sport Adapté du Centre Hospitalier La Chartreuse a organisé jeudi 19 septembre son « Tournoi
de football inter-régional ». Cette manifestation annuelle, organisée dans le cadre des activités sportives
adaptées, a regroupé des patients et des personnels du Centre Hospitalier La Chartreuse, dont le CATTP
Bachelard.
Des équipes d’ établissements voisins sont également venues participer à cette journée :
•
CATTP ESCAPE de Châlon sur Saône,
•
CHS de St Yie de Dole,
•
CHS de Novillard,
•
CHS de Brienne le Château,
•
CHU de Dijon,
•
ESAT Le Goéland de Chenôve,
•
ACODEGE de Chenôve.
L’objectif de ce moment privilégié est de promouvoir une prise en charge différente en psychiatrie en associant
l’ensemble des personnels et les patients et en favorisant les échanges inter-hospitaliers.
De nombreuses
activités sportives et thérapeutiques sont inscrites au programme hebdomadaire de l’Equipe de Sport Adapté
du CH La Chartreuse : randonnée, tennis de table, badminton, éveil corporel, piscine, escalade, sports collectifs.
Ce « Tournoi de football inter-régional », placé sous le signe de la convivialité et de l’échange, a réuni 115
joueurs. De nombreux spectateurs se sont succédés tout au long de la journée afin d’encourager les équipes.
Deux animations mises en place cette année ont remporté un fort succès : un moment musical proposé par
la chorale du CATTP Bachelard à la pause déjeuner et un atelier massage « détente-bien être », également
très apprécié.
Le tournoi achevé, chaque équipe fut remerciée par la remise d’une coupe et de lots variés car, comme
chacun le sait, l’important est de participer !
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20130922
DIJON - FONTAINE D'OUCHE
Retour sur la course de "pusch car"
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Le grand prix départemental de pusch car s'est tenue samedi après-midi à la Fontained'Ouche. Quelques chars ont connu des mésaventures techniques...
Le grand prix départemental de "Push car" s'est tenu samedi après-midi dans le quartier de la Fontaine
d'Ouche. L'événement a été organisé par la fédération d'éducation populaire, les Francas, et a mis aux prises
sept équipes concourant dans trois catégories d'âge distinctes. Les concurrents ont disputé trois épreuves :
le slalom, le "pousse pusch" et un relais.
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VIE LOCALE
Morey-Saint-Denis : l’équitation pour eux aussi
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France, l’ouverture de l’équitation aux personnes handicapées.
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RENCONTRE DÉPARTEMENTALE
Pouilly-en-Auxois : de jeunes champions locaux de la caisse
à savon
Les Étoiles filantes de Pouilly (avec Galaad, Lucas et Nina) ont remporté trois épreuves de
push-car dans la catégorie des 7-11 ans. Photo SDR
L’équipage des Étoiles filantes sont la fierté de l’accueil de loisirs. Au grand prix départemental de caisses à
savon, ils ont particulièrement brillé.
L’accueil de loisirs de Pouilly-en-Auxois a participé, samedi, au troisième Grand Prix départemental de caisses
à savon poussées (push-car), organisé par les Francas et la Ville de Dijon, dans le quartier de la Fontained’Ouche. Bien préparées et hypermotivées, Les Étoiles filantes, l’équipe des 7-11 ans du centre de loisirs,
est revenue avec le prix des Rapidos (course de relais), le Super Prix (slalom-push) et le prix des Musclors
(poush-push).
« La journée a été une réussite que ce soit au niveau de l’organisation, des échanges avec les enfants, de
l’entraide, de la convivialité et des encouragements des différentes équipes », relève Ronan Drogoul, animateur
à l’accueil pollien.
Sept teams juniors étaient au rendez-vous dans trois catégories d’âges différents ¬(7-11 ans, 12-15 ans et plus
de 15 ans). Outre Les Étoiles filantes de Pouilly, étaient également présents Les Push-Mousse de Marsannayle-Bois, Les Arlequins d’Anjou de Dijon, Les Super Mario Broches de la MJC les ¬Bourroches, le FDO Mario
Team de l’Acodège, Les 7 Mercenaires de l’Esat à Marsannay-la-Côte et les Hop’op’hop de l’IME de Chenôve.
Une compétition de longue haleine
Dans cette rencontre amicale inspirée par les antiques caisses à savons descendant les rues pentues, il existe
quatre épreuves au règlement bien défini : d’abord, la course de relais sur une zone plane où les coéquipiers
doivent pousser l’engin jusqu’à la deuxième zone de relais ; ensuite, la course en ligne avec l’objectif de
parcourir le plus vite possible la distance sans changement ; le poush-push, une épreuve dans laquelle les
pousseurs ont 4 m pour lancer le push-car le plus loin en ligne droite ; et enfin, le slalom-push, un slalom
comme son nom l’indique.
Pour chaque épreuve, le meilleur temps des deux essais est comptabilisé pour les résultats.
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20130928
DISTINCTION
Dijon : Geneviève Avenard, femme de cœur et d’action
Geneviève Avenard est une personne très tournée vers les autres. Photo Gérard Puech
En présence de nombreuses personnalités civiles et militaires, Alain Regnier, préfet, délégué interministériel
à l’hébergement et à l’accès au logement, a remis les insignes de chevalier dans l’ordre national du Mérite à
Geneviève Avenard, à la salle des États de la mairie.
Cette distinction vient rendre hommage à Geneviève Avenard pour son engagement et ses nombreuses
actions personnelles et professionnelles dans le secteur social et médico-social. C’est également l’expression
d’une reconnaissance des nombreuses responsabilités qu’elle a exercées au sein de la fonction publique, à
l’Observatoire de l’action sociale décentralisée (Odas) et aujourd’hui en sa qualité directrice générale de
l’Acodège.
Mariée et mère de trois enfants, avec une licence en droit et un diplôme de l’Institut d’études politiques
de Lyon en poche, elle s’est lancée dans la vie active en étant successivement de 1982 à mars 1985 chef de
bureau aux affaires sociales et de mars 1985 à septembre 1998 directrice de la prévention et de l’action
sociale au conseil général de l’Eure et Loir. De septembre 1998 à octobre 2006, elle est directrice générale
adjointe (solidarité et famille) au conseil général de la Côte-d’Or, puis, d’octobre 2006 à juillet 2008, directrice
générale adjointe à l’Odas, à Paris.
Mais sa volonté d’être utile ne se limite pas aux services de l’État puisqu’elle est également administrative de
l’association Villages d’enfants SOS et membre du conseil supérieur de travail social au titre de l’Odas.
Depuis juillet 2008, elle est directrice générale de l’association côte-d’orienne pour le développement et la
gestion d’actions sociales et médico-sociales (Acodège).
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Mercredi 2 octobre 2013
DIJON : Les salariés de Cofely Ineo a la rencontre des handi judokas
Organisée en partenariat avec la Fédération Française de Judo pour les personnes en situation de handicap,
la journée Handy’ Trophées 2013 de l’Agence Centre-Est de COFELY INEO de Dijon s’est déroulée au Dojo
Régional de Bourgogne le 27 septembre.
Cette journée avait pour but de faire découvrir et d’appréhender de manière théorique et concrète le
handicap mental au travers les exposés des éducateurs de l’ESAT Acodège de Dijon et la pratique d’exercices
sportifs proposés par les professeurs de Handi Judo de la Ligue de Bourgogne de Judo.
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Au demeurant, même si la méconnaissance, la complexité et l’imprévisibilité du handicap mental pouvaient
représenter un obstacle, une douzaine de salariés COFELY INEO se sont immergés dans la pratique d’exercices
sportifs de Handi Judo avec des judokas en situation de handicap. Chacun a pu constater à quel point cette
pratique sportive devait être adaptée afin que ce sport de contact reste dans le contrôle de soi et le respect
du partenaire. Cette première forme d’échange, sur le tatami, a principalement permis de faire tomber un
grand nombre de préjugés.
Créer du lien entre sportifs handicapés et salariés
Cette rencontre a également permis d’instaurer un dialogue, entre les salariés de l’entreprise, une quinzaine
de handi judokas et leurs éducateurs. Le but était de susciter l’envie de venir passer quelques jours au sein
de COFELY INEO. Au préalable, plusieurs fiches de postes susceptibles de convenir à des personnes en
situation de handicap avaient été envoyées aux éducateurs en vue de sélectionner plusieurs candidats. La
pause déjeuné fût l’occasion de nouer des contacts et de mettre en place les bases d’un accueil en entreprise.
A ce jour, l’expérience se poursuit. Deux personnes doivent venir prochainement dans l’entreprise.
Cofely INEO, Groupe GDF SUEZ
Acteur majeur du génie électrique, des systèmes d’information et de communication et des services associés,
Cofely Ineo offre à ses clients privés et publics des solutions globales depuis la conception, la réalisation,
jusqu’à la maintenance.
Avec 15 500 collaborateurs et 300 implantations en France, Cofely Ineo intervient sur des projets d’installations
électriques industrielles et tertiaires, de réseaux d’énergie, d’éclairage public, d’infrastructures de transport
et de télécommunications, de sécurité globale, de production d’énergie, de systèmes d’information et
d’externalisation.
En 2012, Cofely Ineo a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 2,3 milliards d’euros.
Cofely Ineo fait partie de GDF SUEZ Energie Services qui emploie 78 000 collaborateurs et réalise un
chiffre d’affaires de14.7 milliards d’euros. Leader européen des services multitechniques, GDF SUEZ Energie
Services est une des six branches d’activités de GDF SUEZ, l’un des premiers énergéticiens au niveau mondial.
En région Bourgogne :
Cofely Ineo compte 595 collaborateurs et a réalisé un chiffre d’affaires de 81.3 millions d’euros en 2012.
Mercredi 2 octobre 2013 à 10:48:09 ,
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QUETIGNY
Quetigny : forum jeunesse ce samedi
La 2e édition du forum jeunesse Regarde ce que je sais faire se tiendra à l’espace Mendès-France ce samedi,
de 14 à 20 heures. Il est organisé par la Ville et ses partenaires. Entrée libre. Ce forum permet de valoriser les
projets et les initiatives des jeunes de Quetigny.
Le programme
Ateliers proposés de 14 h 30 à 17 h 30 : ragga, Zumba, manga, musique par ordinateur, roller, cirque, ludothèque,
livres, simulateur de conduite deux-roues, jeux en réseau… Démonstrations de l’association ASQ (boxe,
gymnastique rythmique…). Des temps d’échange sont également organisés : à 15 heures, addictions sans
substances (jeux, Internet…) avec ORE, Sedap ; à 16 heures, relations filles-garçons avec la troupe de théâtre
Alambik et Platipus, L’adosphère, service de prévention Acodège ; à 17 heures, brevet de l’engagement avec
les Francas et des jeunes qui présenteront leurs expériences.
Concert de l’association Audace à 18 h 30.
INFO Renseignements à l’espace Pierre-Desproges au 03.80.48.29.96.
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VIE LOCALE
Quetigny : un après-midi pour les jeunes
Photos Bernard Cercley
Pour la seconde année, la Ville et ses partenaires ont organisé, samedi,
un après-midi original s’adressant aux jeunes sous la forme d’un
forum de rencontres et de sensibilisation.
Enfants et adolescents ont pu découvrir de nombreuses activités qui se pratiquent au quotidien à travers les
stands, les animations sur podium, les ateliers sur les addictions sans substances (jeux, Internet) avec la Sedap
(Société d’entraide et d’action psychologique), relations filles et garçons avec la troupe de théâtre Alambik
et Platipus.
Cette manifestation a été le fruit d’une belle coopération interassociative, impliquant également les services
œuvrant pour la jeunesse au niveau local, mais aussi des organismes comme l’Adosphère, l’Acodège, le
centre social et culturel Léo-Lagrange, le Grand Dijon, l’ACSE, le CUCS de la direction départementale de la
cohésion sociale, le conseil régional, etc. Les jeunes Quetignois ont eu à cœur de montrer leurs engagements,
qualités et compétences, en participant de façon positive à la vie de la cité.
Certaines activités et démonstrations ont retenu une attention remarquée : l’orchestre du lycée agricole, la
Zumba, les activités de cirque, la ludothèque CSF, les Francas, le FAIJ, le simulateur de conduite deux-roues du
CRDP, animé par la police municipale. Divertissements comme le slam, la danse ragga, le rap reggea et chants
avec l’association Audace, l’atelier manga, l’informatique et jeux en réseau avec l’association ORE, les activités
de l’espace Pierre-Desproges pendant les vacances de la Toussaint ont également eu du succès. La section GR
de l’ASQ et celle de la boxe française ont effectué de belles démonstrations.
Info Plus de photos sur www.bienpublic.com, rubrique Grand Dijon.
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CÔTE-D'OR – MÉCÉNAT
Création d'une école handigolf au golf de la Chassagne
Photo E. H.
Le projet de création d'une école handigolf vient de voir le jour au
golf de la Chassagne, à proximité de Pont-de-Pany. Un projet né
d'une volonté d'un salarié d'Orange, et soutenu notamment par la
Fondation Orange, la MGEN, l'ASPTT, l'Acodège, le conseil régional et
le conseil général.
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CÔTE-D'OR - SEMAINE BLEUE
Des seniors comme des poissons dans l’eau
Les résidents de l’Espérance ont vite adhéré au “ping-piscine”. Photo DR
Le comité national de la semaine bleue dévoile son palmarès 2013
aujourd’hui, à Paris. La Côte-d’Or est doublement lauréate.
«Elles peuvent venir jouer avec nous, on n’est pas des championnes ! » Yvonne Mortureux a beau avoir 91
ans et un déambulateur pour se déplacer, elle garde une pêche d’enfer quand elle parle de ses activités à
l’EHPAD de l’Arpage l’Espérance, rue de Gray à Dijon. Elle fait notamment partie des plus enthousiastes pour
participer à l’activité de “ping-piscine” lancée par l’établissement. Du tennis de table dans l’eau, sur des petites
tables flottantes. Le projet, nommé “Raquettes pour tous” est complètement novateur. Il recevra aujourd’hui,
à Paris, un prix décerné par le comité national de la Semaine bleue.
Les résidents adhèrent
« Depuis de nombreuses années, les EHPAD des Fassoles (à Talant) et de l’Espérance, l’institut médicoéducatif “Les Ecayennes” et le service d’actions éducatives de jour (SAS) de l’Acodège travaillent en étroite
collaboration », rembobine Catherine Meï, animatrice à l’Espérance. « Différents projets sont nés de ces
partenariats. Un des éducateurs, président du comité départemental de tennis de table, nous a proposé de
faire découvrir ce loisir aux personnes âgées de nos établissements. » L’expérience a eu tout de suite du bon
avec des résidents qui jouaient à leur rythme mais oubliaient souvent leurs douleurs à l’épaule ou aux jambes
pour tenter d’attraper la petite balle blanche.
Mais l’Espérance a décidé d’aller plus loin en plongeant le tennis de table… en piscine pour conjuguer les
mouvements raquettes en main et les bienfaits de la baignade. Les résidents ont aussi adhéré, oubliant même
parfois leur peur de l’eau.
Deux événements pour la Semaine bleue
« Pour faire connaître à d’autres établissements d’accueil pour personnes âgées cette animation et prouver
qu’il est possible de pratiquer ce sport à tout âge », l’Espérance va donc organiser deux événements pendant
la Semaine bleue. Le mardi 22 octobre : tennis de table à la piscine de Chevigny-Saint-Sauveur. en partenariat
avec la municipalité. La piscine sera fermée au public, mais les jeunes du “Pôle enfance” de la commune
participeront à cette rencontre.
Le jeudi 24 octobre : journée portes ouvertes au club de tennis de table de Saint-Apollinaire, avec au
programme du tennis de table classique. Les seniors de l’Espérance n’ont pas fini de rêver de la petite balle
blanche…
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CÔTE-D'OR – LOISIRS
Création d’une école handigolf
L’un des objectifs de cette école est de favoriser l’autonomie des personnes en situation de
handicap. Photo LBP
Permettre aux personnes en situation de handicap d’accéder à la
pratique du golf.Tel est l’objectif de la toute nouvelle école handigolf,
créée sur le golf de la Chassagne. Explications.
De la volonté d’un salarié d’Orange est née une école handigolf, la première du genre en Côte-d’Or. Et c’est
au golf de la Chassagne, là où la structure est implantée, que nous avons rencontré l’un des meneurs de ce
projet. Hervé Porcedda, président de la section golf à l’ASPTT de Dijon, explique pourquoi il s’est lancé dans
une telle mission, avec Denis Beaujean, l’initiateur du projet : « La plupart des handicapés ont souvent des
difficultés relationnelles et sociales. D’où ce projet d’école handigolf, avec sa dimension sociabilisante et dont
l’objectif est de favoriser l’épanouissement des personnes en situation de handicaps de tous types. »
Un chèque de 5 000 €
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Depuis deux ans, Hervé Porcedda a porté ce projet d’handigolf. D’abord au golf de Norges, ensuite à la
Chassagne, là où l’école se développera. Pour ce faire, les porteurs du projet ont réussi à convaincre des mécènes,
dont la Fondation Orange, qui a donné un chèque de 5 000 €, ou encore l’Acodège, l’ASPTT, l’association
Valentin Haüy, le comité régional de handisport de Bourgogne, l’université de Bourgogne, le conseil régional
et le conseil général. A l’occasion de l’inauguration de l’école handigolf, Véronique Morlinghem, déléguée
régionale d’Orange, a rappelé que « la fondation Orange soutenait des projets dits solidaires, projets soumis
par des salariés d’Orange qui ont pour but de favoriser la communication et de lutter contre l’isolement des
personnes ». Au final, cinq places vont être ouvertes dans cette école à des personnes handicapées. Quant au
fonctionnement, il se fera selon trois axes : du golf loisir, du golf de compétition et une dimension d’insertion
et de rééducation. Comprenez que l’école sera aussi ouverte aux établissements soignants les accidentés de
la vie « qui veulent redécouvrir un sens de la vie par l’intermédiaire du golf ».
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BOXE THAÏ. - JAMAL WAHIB ET PATRICK DJANANG
REVIENNENT SUR LEUR DÉPART DU TIGER’S DEN.
Une page s’est tournée
Djanang et Wahib vont désormais poursuivre leur carrière sous d’autres cieux. Photo SDR
Tête d’affiche du Tigers’s Den depuis plusieurs saisons, Patrick
Djanang et Jamal Wahib évoquent les raisons qui les ont poussés à
quitter leur club formateur.
Depuis plus de cinq ans, Patrick Djanang et Jamal Wahib étaient les vitrines de la boxe thaï dijonnaise. Purs
produits du Tiger’s Den, les deux garçons ont quasiment tout raflé sur la scène européenne, chez les amateurs
comme chez les professionnels. Cet été, ils ont pourtant décidé de tourner la page en quittant la structure
créée il y a maintenant dix ans par Philippe Gerbet (président) et Mokhtar Rouji (entraîneur).
Des accusations très dures
Une rupture surprenante que les deux boxeurs expliquent par un malaise profond entre eux et leurs dirigeants
depuis plusieurs mois. « Nous ne pouvions plus continuer à travailler ensemble dans ces conditions », confie
Jamal Wahib. « Je reconnais tout ce que le club nous a apporté depuis des années. Sans eux, nous n’aurions pas
le palmarès que nous avons aujourd’hui. Mais ces derniers temps, c’est allé beaucoup trop loin. » Il poursuit :
« Aujourd’hui, le coach crie sur tous les toits que c’est lui qui souhaitait prendre ses distances avec nous. Mais
c’est totalement faux. A plusieurs reprises, nous avons été contraints de boxer malgré des blessures, au bras,
au nez, au tibia… Tout ça pour ne quasiment rien toucher. Ils nous ont même demandé de leur verser une
partie de la subvention que nous touchons chaque année, à titre individuel, de la part de l’OMS. Et aujourd’hui,
ils font tout pour nous griller auprès des différents promoteurs que nous contactons. Cela ne pouvait plus
durer. »
Des accusations très dures, auxquelles le Tiger’s Den répond lui aussi avec fermeté, par la voix de son
président Philippe Gerbet. « Effectivement nous leur demandions une partie de cette subvention. Mais c’est
tout à fait normal. C’est nous qui remplissions leur dossier auprès de l’OMS. Et encadrer des boxeurs de haut
niveau demande énormément d’investissement et d’argent au quotidien. »
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Et l’entraîneur du club basé à Saint-Apollinaire de renchérir. « Cela fait des années que je leur consacre tout
mon temps libre. Entre nous, c’était fusionnel. Mais je n’en pouvais plus. Je suis usé physiquement et aujourd’hui,
je souhaite uniquement m’occuper des jeunes », confie, très amer, Mokhtar Rouji. « Humainement, ce qui se
passe actuellement me fait beaucoup de mal et je n’arrive pas à me l’expliquer. On nous accuse de fonctionner
comme une secte, dont je serai le supposé gourou… Sincèrement, je ne pense pas que les institutions locales,
ou encore l’Acodège – avec qui nous venons de nouer un partenariat – continueraient de nous faire confiance
si toutes ces accusations étaient fondées. Nous venons de créer une école de boxe, nous avons plus de 200
licenciés chaque semaine à l’entraînement et même sans Patrick et Jamal, nous continuerons d’avancer. »
Au final, il semble bien difficile de démêler le vrai du faux dans cette histoire qui fait surtout du tort à une
discipline pourtant en quête de reconnaissance. Quant à Patrick Djanang (27 ans) et Jamal Wahib (28 ans), ils
souhaitent désormais poursuivre leur carrière sous d’autres cieux.
Deux boxeurs qui veulent vite rebondir
« Depuis septembre, je me suis engagé auprès d’un nouveau club à Dijon (Savate Originz, ndlr). Je me sens
vraiment bien là-bas et j’ai tourné la page avec le passé. Je regarde devant et j’ai de nombreux projets, car ma
carrière est loin d’être terminée », explique Patrick Djanang. Même son de cloche chez son compère Jamal
Wahib, qui hésite quant à lui à reprendre une licence en boxe thaï dans l’immédiat. « Pour l’instant, je souhaite
surtout que le Tiger’s Den nous laisse tranquille. Ensuite, je vais certainement prendre une licence dans un
club de boxe anglaise. Puis j’étudierai les propositions qui s’offrent à moi. J’en ai reçu plusieurs en provenance
de pays étrangers. J’ai bien l’intention de retrouver mon meilleur niveau le plus vite possible. »
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VIE LOCALE
Marsannay-la-Côte : quatre vélos pour l’Esat Acodège
L’Esat Acodège a reçu l’Association des bouchons de Dijon. Photo SDR
Des bénévoles de l’Association des bouchons, menés par leur président Clément Henri, ont été reçus dans
la salle de réception de l’Esat Acodège par Michel Gambey, le directeur, et des ouvriers de l’établissement.
L’Association des bouchons, qui collecte les bouchons en plastique dans différents points et les trie pour les
vendre à des entreprises de recyclage, a financé à hauteur de 1 000 € l’achat de vélos pour les activités sportives
organisées à l’Esat Acodège. Ce dernier accueille deux cent quinze ouvriers handicapés, qui participent à des
ateliers de sous-traitance industrielle et de service. Si l’accompagnement de ceux-ci se fait autour du travail,
les équipes de la structure proposent tout un panel d’activités de soutien, dont du sport. L’achat de quatre
vélos va permettre d’augmenter le nombre de cycles déjà en place et offrir cette discipline à un plus grand
nombre.
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Dijon : Festival Kultur’Mix
Les participants – Photo LBP-JSL
Lightgraph. Une grande satisfaction pour l’association Kultur’Mix qui a compté une soixantaine de participants,
place de la République, vendredi dernier. Outre des passants qui se sont prêtés au jeu photographique, ce
projet de lightgraph a réuni des jeunes de la MJC Montchapet, de Varois-et-Chaignot, de l’espace socioculturel
de l’Acodège et quelques étudiants d’arts plastiques. Une mixité sociale réussie donc, avec ce rendez-vous
final proposé par l’association mobile de gravure et de photographie.
Pour tous renseignements : [email protected]/.
Photo mairie de Dijon
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GOLF DE LA CHASSAGNE
La diversité des handicaps et les valeurs du golf à l’honneur
Les participants ont apprécié cette journée solidaire. Photo SDR
Récemment, le golf de La Chassagne a porté les couleurs de l’handigolf à l’initiative de la section golfique
de l’ASPTT. Le premier jour, quatorze personnes de l’Acodège, encadrées par des membres de l’association
Handigolf et de la Fédération française de golf, ont pu découvrir ce sport avec Pierre Massard, joueur suisse
sur paragolfeur (fauteuil motorisé tout-terrain pour la pratique du golf).
Le deuxième jour a permis l’accueil de six déficients visuels de l’association Valentin Haüy, trois personnes
de l’Université de Bourgogne et d’un jeune de l’IME Bel-Air. Tout au long de la matinée, sous l’œil avisé et
avec les conseils du professionnel, chacun d’eux, accompagné par un golfeur valide confirmé de l’ASPTT et de
l’association EB Golf, a pu appréhender les bases du golf au cours des différents ateliers mis en place sur la
zone d’entraînement. Après un repas pris en commun au club house, les binômes se sont lancés à l’assaut du
parcours. Un véritable moment d’échanges et de bonheur pour tous les participants, valides ou non, qui ont
partagé les plaisirs que peut apporter la pratique de ce sport.
Pour clôturer ce week-end sportif convivial et solidaire, les droits du challenge Campus, compétition ouverte
à tous, qui a eu lieu dimanche dernier, ont été reversés à la section handigolf.
À noter que d’ores et déjà, cinq personnes vont pouvoir intégrer l’école handigolf qui ouvrira à La Chassagne
début novembre.
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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Dijon : des tonnes de solidarité
Des bénévoles qui donnent de leur temps pour les autres. Photo Gérard Puech
De simples bouchons ou capsules en plastique, récupérés par
l’association côte-d’orienne, permettent de doter des handicapés ou
des foyers de matériel adapté.
L’assemblée générale de l’Association des bouchons pour les handicapés Côte-d’Or s’est déroulée dans les
locaux de leur nouveau siège au n° 1 de la rue de Mayence, à Dijon, sous la présidence de Clément Henry.
Les rapports d’activité, moral et financier, développés successivement par le président et la secrétaire
Jacqueline Leclerc, ont reçu l’aval des participants et quitus fut donné à Évelyne Gaillard, trésorière pour son
excellente gestion.
Pour 2013, la récupération et la vente de 64 tonnes de bouchons a permis d’acheter du matériel pour les
handicapés de Côte-d’Or pour un montant de 11 000 €.
Les bouchons en plastique en PE (polyéthylène) et en PP (polypropylène) restés sur les bouteilles en plastique
en PET (polyéthylène téréphtalate) jetés dans les bacs jaunes sont éliminés lors de la régénération de ces
bouteilles et sont recyclés par l’association.
Des dotations sont en prévision pour 2014 : une calèche adaptée aux handicapés pour l’association La
ferme qui se déplace ; un équipement d’une salle de luminothérapie pour IME Pyramide Acodège Dijon ; un
équipement informatique pour le foyer mutualiste de Montbard.
Contact Jacqueline Leclerc au 03.80.46.10.24 ou Clément Henry au 03.80.55.49.03. Courriel : bouchons21@
laposte.net/.
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20131028
BROCHON
Semaine bleue : les aînés se mettent à la mode
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Les dernières réalisations des élèves du CFA de Longvic ont été présentées.
Photo Camille Bailly
Dans le cadre de la Semaine bleue, un défilé de mode a été organisé jeudi après-midi, à la salle des fêtes
de Brochon, par Christine Ragueneau (responsable du chantier couture), Cendrine Artaux (responsable
technique) et Fouzi Zedairia (CIP), toutes trois du CFA La Noue à Longvic, accompagnées d’élèves en
formation.
En présence d’une cinquantaine de pensionnaires de trois établissements locaux, deux présentatrices ont
soumis au public les dernières confections réalisées par le centre de formation. Pour l’occasion, sont venus
les pensionnaires de La Croix-Violette, avec sœur Catherine ; le foyer Chantournelle, avec Nathalie Gillen et
Christrophe Dard ; Les Vignes Blanches, avec Kary, animatrice ; et Aleth Lippe, du foyer de l’Amitié de Brochon.
Un goûter a ensuite été servi par Martine Lippe, Jean-Marie Jacquot, conseillers municipaux, et plusieurs
dames bénévoles.
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20131029
VIE LOCALE
Gevrey-Chambertin : les associations préparent 2014
Anne Seguin, Joëlle Delagnes, Jacques Duthu et Jacques Merra. Photo Dominique Dupont
Vendredi, salle de réception de la mairie, Anne Seguin, adjointe aux associations, a invité les représentants des
associations du village à participer à l’élaboration du calendrier des fêtes et manifestations, et des réservations
des salles communales.
En préambule, Jacques Duthu, directeur des services de la commune, a rappelé la réglementation en terme de
demande de buvette temporaire, et la nécessité de faire des demandes conformes et, surtout, dans les délais.
Xavier Rollot, directeur du centre social de la communauté de communes, a présenté les projets du centre et
du service nature. 2014 sera une année riche en anniversaire : 30 ans pour le bâtiment du centre social, 20 ans
pour le foyer Chantournelle, et 10 ans pour la réserve naturelle ainsi que pour la communauté de communes
de Gevrey-Chambertin. Il a émis le vœu que cette année soit l’occasion, pour les différents acteurs de la vie
associative, de mutualiser leurs moyens, partager leurs expériences, s’entraider, regarder ce que chacun fait,
en pilotant un projet commun.
De nombreuses et diverses manifestations culturelles, sociales et sportives sont programmées et la première
de l’année, la cérémonie des vœux du maire, se déroulera mercredi 7 janvier à l’espace Chambertin, des vœux
qui auront une saveur particulière puisqu’il s’agira des derniers pour le maire Jean-Claude Robert.
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20131111
LES PAPILLONS BLANCS
Beaune : deux femmes participent au concours
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Évelyne Danner et Apolline Gomez se préparent à la finale. Photo Bruno Cortot
Évelyne Danner et Apolline Gomez participeront, le 25 novembre, à un trophée culinaire pour les personnes
en situation de handicap.
Le service activité de jour des Papillons blancs de Savigny-lès-Beaune, est à l’origine d’un très beau projet qui
a vu le jour et se concrétisera le 25 novembre au centre interprofessionnel de formations d’apprentis (Cifa)
Jean-Lameloise à Mercurey (71). Il s’agit d’un trophée culinaire interdépartemental destiné aux établissements
accueillant des personnes en situation de handicap.
Les concurrents, en binôme choisi par chaque établissement et encadré par un référent, devront élaborer une
entrée et un dessert dans un temps limité de deux heures et demie avec un panier d’ingrédients définis. À
l’issue de l’épreuve, un jury de professionnels évaluera le résultat de chaque binôme et établira un classement.
Plusieurs critères seront retenus : technique, hygiène, autonomie, aptitude à respecter les règles et, bien
évidemment, résultat gustatif.
Pour les organisateurs, il s’agit, au-delà des deux personnes retenues pour concourir, d’impliquer le plus
possible de personnes de l’établissement. Cela va des personnes pratiquantes dans les ateliers d’artisanat à
celles s’initiant à l’informatique, en passant par des personnes qui prépareront la salle, les menus, la décoration,
etc.
Quatre établissements ont répondu favorablement à l’appel de ce concours : Agef de Nuits-Saint-Georges, le
service activités de jour du Val de Saône à Seurre, l’Acodege de Gevrey-Chambertin et le service activités de
jour de Savigny-lès-Beaune. Évelyne Danner et Apolline Gomez, encadrées par Rachel Griffand, porteront les
couleurs des Papillons blancs beaunois.
De nombreux partenaires soutiennent ce projet solidaire et apportent de belles récompenses aux participants.
Ainsi, le premier binôme se verra offrir un dîner sur un bateau-mouche à Paris plus un repas au bowling de
Marsannay-la-Côte ; les 2e et 3e , un dîner cocktail en VIP avec l’Élan Chalon et un repas avec les joueurs, le
4e , des planchas. Tous les participants recevront des livres de cuisine et des tabliers.
En attendant l’ultime épreuve du 25 novembre, les concurrentes s’entraînent très sérieusement dans leur
structure pour être au top le jour J.
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20131120
VIE LOCALE
Gevrey-Chambertin : un nouveau lotissement en construction
Le premier coup de pelle a été donné sur le site de Bergis. Photo Camille Bailly
Sur le site de la ZAC de Bergis, un nouveau chantier vient de débuter
sur lequel quatre bâtiments vont être construits. Les premiers
locataires sont attendus fin 2015.
En présence de nombreux intervenants, et de Jean-Claude Robert, maire et président de la CCGC, le premier
coup de pelle de 35 appartements et d’une résidence d’accueil a été donné jeudi après-midi par Joël Abbey,
président d’Orvitis, sur le site de la ZAC de Bergis à Gevrey-Chambertin.
Quatre bâtiments vont sortir de terre. Trois immeubles qui accueilleront cinquante logements familiaux, le
quatrième étant dédié à des appartements de petites tailles à destination de personnes en situation fragile.
Cette résidence d’accueil sera le vingtième établissement construit par Orvitis et le premier pour le compte
d’Acodège, qui en assurera la gérance, ce qui constitue un nouveau partenariat actif et soutenu dans une
collaboration étroite.
Premiers bâtiments livrés en 1970
À Gevrey-Chambertin, l’Office est présent depuis plus de quarante ans, les premiers bâtiments ont été livrés
dans les années 1970. Actuellement, l’Office comptabilise 263 logements regroupés sur trois secteurs : avenue
de la Gare, rue Clos-Prieur et rue Saint-Vincent. Fin 2015, ce chiffre, avec ZAC Bergis, dépassera les trois
cents.
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Côté financier, les deux opérations représentent un investissement total de plus de six millions d’euros : un
pour Saint-Vincent, et plus de cinq pour l’ensemble immobilier de Bergis. Orvitis assure le financement à
hauteur de 88 % et des subventions ont été ou seront versées, par le conseil général de Côte-d’Or (490 000
€), l’État (106 000 €), le conseil régional (une aide de 96 000 € pour le bâtiment Saint-Vincent, via le dispositif
Village Avenir, Logéhab (50 000 €, 1 % logement), la commune de Gevrey-Chambertin ayant cédé pour l’euro
symbolique le terrain rue Saint-Vincent.
Après les précisions de François Brandon, architecte-maître d’œuvre, et du paysagiste, une visite a eu lieu rue
Saint- Vincent avec une présentation du bâtiment achevé par Serge Berry, architecte.
Devant l’assistance réunie ensuite à la salle à usage multiples, Joël Abbey, Patrice Durouvray, représentant Pierre
Choux, président de l’Acodège et Jean-Claude Robert, n’ont pas caché leur satisfaction de la collaboration
exemplaire constatée, et ont remercié les intervenants, locaux pour la plupart, pour le travail sérieux et
soigné dans les projets mis en œuvre, et exécutés dans les délais.
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JUDO-CLUB
Chenôve : un vrai dojo pour l’Acodège
1 La quarantaine de judokas et leurs professeurs. 2 Les jeunes en pleine démonstration. 3 Le
maire était accompagné de son adjoint aux sports, Raymond Phal et du directeur du service
des sports,Vincent Cabau. Photos Frédéric Vaussard
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Depuis sa création en 1992, les entraînements du judo-club de l’Acodège se déroulaient à la salle polyvalente
La Pyramide. Ils auront désormais lieu au gymnase Gambetta.
L’Acodège Judo-Club dispose désormais d’une salle d’entraînement digne de ce nom. Elle appartient à la
municipalité de Chenôve qui la met, par le biais de son maire Jean Esmonin, à la disposition des judokas de
l’Acodège. Il s’agit du gymnase Léon-Gambetta situé à proximité du groupe scolaire du même nom. En guise
de remerciement, l’Acodège a invité le maire à une séance d’entraînement.
Les élèves judokas de l’Acodège Judo-Club (judo adapté) ont effectué une démonstration de leur maîtrise
de cet art martial japonais. Également présente, Geneviève Avenard, directrice générale de l’Acodège, a eu
le plaisir de remettre un chèque symbolique permettant le renouvellement des soixante-douze tatamis de
l’Acodège.
Désormais, d’octobre à avril-mai, la quarantaine de judokas de l’Acodège pourra s’entraîner chaque mercredi,
de 17 h 45 à 19 heures, sous l’œil attentif des parents qui les soutiennent, les accompagnent et les encouragent.
Depuis sa création en 1992, adolescents et jeunes adultes en situation de handicap, accueillis dans divers IME
de l’Acodège, à l’Esat Acodège ou dans d’autres structures médico-sociales peuvent découvrir cette activité
de détente et de plaisir basée sur l’échange et la progression.
« Cet art martial non-violent leur permet de s’exprimer, s’affirmer, se confronter et s’épanouir », souligne la
directrice. Pour les équipes éducatives, pour les jeunes et les familles, cette activité judo est une révélation,
une expérience motrice et relationnelle originale. « Les bienfaits de la pratique de cette discipline sont
visibles aussi bien au niveau psychologique, cognitif que physique », renchérit le directeur Bernard Burdin.
Des changements d’habitudes, de repères pour les judokas et un beau projet enfin abouti pour toute l’équipe
d’encadrement. C’est en effet un moment clé pour l’Acodège Judo-Club car, depuis 1992, les entraînements
avaient lieu à la salle polyvalente La Pyramide, au sein d’un établissement Acodège.
Une belle étape franchie grâce aux bénévoles, aux parents comme M. Suarez et aux professionnels comme
Didier Marolleau, Jean-Yves Lahaye, Fabienne Delorme, Lucie Bouillot et Gérard Labrut, et grâce au professeur
de judo Olivier Ciappuccini, ceinture noire 5e Dan, diplômé d’État, délégué régional à la Fédération française
de judo, ju-jitsu, kendo et disciplines associées (FFJDA), kinésithérapeute-ostéopathe de profession et présent
au sein du club depuis 1997.
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MERCUREY. - QUAND L’ART CULINAIRE GOMME LE HANDICAP.
Un trophée culinaire humain
Les participants au trophée culinaire s’affairent avec méthode et rigueur
à la préparation des plats. Photo E. M. (CLP)
C’est à un beau projet humain, initié par le service activité de jour des
Papillons blancs de Savigny-lès-Beaune, qu’a favorablement répondu le
Cifa Jean-Lameloise.
Ce projet humain a un but : mettre en œuvre un trophée culinaire interdépartemental destiné aux
établissements accueillant des personnes en situation de handicap. Réunies en binôme, huit personnes issues
de quatre établissements (Savigny-lès-Beaune, Nuits-Saint-Georges, Gevrey-Chambertin et Seurre), encadrées
par des référents et sous les yeux d’un jury de professionnels, avaient à charge d’élaborer, à l’aide d’un panier
d’ingrédients définis, une entrée et un dessert en moins de 2 h 30.
Là, dans les cuisines du centre interprofessionnel de formations d’apprentis, pas de handicap visible. Quatre
équipes de cuisiniers s’affairent aux fourneaux sous la conduite de Cécile Charbonnier, comme lors de
tout concours d’apprentis largement déclinés en ces lieux depuis des années. Et comme pour les apprentis,
le regard du jury se porte avant tout sur la qualité des réalisations, la technique, l’autonomie, l’aptitude à
respecter les règles, l’hygiène et, bien entendu, sur la qualité gustative des plats plutôt que sur une quelconque
compassion face au handicap.
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Une longue préparation
Le classement est alors anecdotique, l’important étant de voir l’investissement de chacun, le calme, l’attention
et la détermination de ces personnes qui se préparent depuis de longs mois pour cette échéance, une
première mais qui demande à être pérennisée.
De nombreux partenaires ont soutenu ce projet et offrent aux lauréats des invitations pour dîner à Paris sur
un bateau-mouche®, de dîner au bowling de Marsannay-la-Côte, de participer à un cocktail VIP avec l’Elan
Chalon suivi d’un repas avec les joueurs, de gagner planchas, livres, tabliers…
Une initiative qui rappelle à chacun que l’être est multiple et que chacun peut apporter à l’autre un soupçon
d’humanité.
Composé de cinq personnes (Jacques Berthet, directeur général des Papillons Blancs de Beaune,Valery Meulien,
chef étoilé de Tournus, Richard Raviot et Éric Bourriez, chefs de cuisine Sogeres et Cécile Charbonnier,
responsable cuisine au Cifa, le jury a donné son verdict en fin d’après-midi. 1er : SAJ Savigny-lès-Beaune.
2e : SAJ Val de Saône à Seurre. 3e : Agef de Nuits-Saint-Georges. 4e : Acodège Chantournelle de GevreyChambertin
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ASSOCIATION
Beaune : p
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handicap
Les membres du jury ont été séduits en dégustant les différents plats. Photo SDR
Avec un croustillade du jardin en rouge et vert et une trilogie gourmande de noix de cajou, Évelyne Danner
et Apolline Gomez, du service d’accueil de jour (SAJ) de Savigny-lès-Beaune, ont séduit le jury en s’octroyant
le titre du ­premier trophée ­culinaire pour personnes en ­situation de handicap qui se tenait récemment à
­Mercurey (Saône-et-Loire).
Ce jury, essentiellement composé de professionnels de la cuisine, a relevé le bon niveau général des binômes
en compétition et a apprécié le travail réalisé en un temps limité (2 h 30) dans des conditions qui pouvaient
paraître déstabilisantes pour les personnes participantes.
Une suite sera donnée à ce concours avec, notamment, l’édition d’un livre de toutes les recettes élaborées
lors de ce trophée. Les gagnantes du SAJ de Savigny verront leurs plats intégrés dans un menu servi à l’Esat
de Beaune.
Le palmarès : 1. SAJ Savigny-lès-Beaune ; 2. SAJ de Seurre ; 3. Agef de ­Nuits-Saint-Georges ; 4. Chantournelle
de ­Gevrey-Chambertin.
Les membres du jury : ­Valéry Meulien, chef étoilé à Tournus ; Richard Raviot, chef de cuisine Esat à Sogeres
; Cécile Charbonnier, professeur de cuisine au ­Cifa de Mercurey ; Éric Bourriez, cuisinier malentendant ; et
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CÔTE-D’OR : Le Conseil général vote 43 rapports et attribue près de
4 millions d’euros
http://infos-dijon.com/?p=365402
Une commission permanente s’est tenue ce lundi 1er décembre
Communiqué du Conseil général de Côte-d’Or :
Lors de la Commission Permanente du 2 décembre 2013, le Conseil Général de la Côte-d’Or a adopté
quarante-trois rapports et décidé de l’attribution de près de 4 millions d’euros.
Pour soutenir le développement économique, l’insertion et l’emploi dans le département, le Conseil Général
de la Côte d’Or a voté l’attribution de 672 000 euros. Un accent particulier a été mis sur l’insertion avec
500 000 euros à destination de l’ACODEGE (auto-école à vocation sociale pour accompagner les jeunes en
difficulté et financer leur permis de conduire), des CCAS de Dijon, Chenôve et Beaune (accompagnement
des bénéficiaires du RSA) et des Centres Sociaux du département.
Dans le cadre de ses missions d’aide sociale, le département a voté l’attribution de 500 000 euros pour les
personnes âgées, les personnes en situation de handicap, la petite enfance avec un effort particulier pour le
logement social.
Avec 1,91 million d’euros consacrés à l’aménagement du territoire, le Conseil Général a démontré qu’il était
bien le dernier rempart à la fracture entre les territoires français afin d’empêcher que n’apparaisse une «
France d’à-côté ». Ainsi 1,37 million d’euros iront aux contrats AmbitionS Côte-d’Or (760 000 euros pour un
projet de réhabilitation et d’extension du complexe « Jean-Louis Fleury » à MIREBEAU-SUR-BEZE, 200 000
euros pour un projet de création de pôle petite enfance à CHATILLON-SUR-SEINE…), 390 000 euros sont
allés à la protection de l’environnement (assainissement, soutien à la filière bois, enfouissement des réseaux
téléphoniques…) et le reste ira aux programmes Villages Côte-d’Or et à la protection du patrimoine bâti.
Enfin, 810 000 euros ont été consacrés à l’éducation, à la culture et au sport. Les collèges et collégiens de
Côte-d’Or ont perçu 361 000 euros et le sport de haut niveau a reçu 348 000 euros à travers les clubs de la
JDA Dijon Basket, du Dijon Football Côte-d’Or, de Dijon Bourgogne Handball et du Cercle Dijon Bourgogne.
Du fait du contexte économique (baisse des ressources liées à la crise, baisse des dotations de l’État et hausse
des charges imposées) et de la volonté de prioriser ses actions, le Conseil Général a demandé un effort à ces
clubs afin de pouvoir continuer d’assumer ses missions d’aménagement du territoire et d’accompagnement
social. Enfin, les associations et les actions culturelles se sont vues attribuer 100 000 euros.
Mercredi 4 décembre 2013 à 10:31:42 ,
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Chenôve : dix-sept équipes en lice
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Vendredi soir a eu lieu la traditionnelle épreuve des 4 Heures de nage
organisée par le service des sports et loisirs de la Ville et le club de
Chenôve Natation.
Une fois de plus, l’événement sportif des 4 Heures de nage a tenu toutes ses promesses. Dix-sept équipes
ont pris le départ à 19 heures après que l’adjoint aux Sports Raymond Phal a fait retentir le coup de pistolet.
À 23 heures, la fin de la course a été annoncée, suivie de la remise des récompenses.
Cette édition 2013 n’est pas forcément la meilleure en matière de fréquentation puisque, l’an dernier, vingtdeux équipes étaient en lice mais, cette année, l’ambiance était vraiment spéciale et, ce, grâce aux musiciens
des Tontons bringueurs orchestra, qui ont déambulé dans tout le centre nautique pour apporter de la bonne
humeur aux nageurs et au public.
En journée, les scolaires ont aussi fait forts, avec quatorze classes de collégiens, trois équipes jeunes et douze
classes de primaire, sans oublier la trentaine de seniors qui ont ouvert les festivités tôt le matin. Au total,
quatre cents nageurs ont participé à la fête. Sans compter les soixante-dix bénévoles, qui se sont relayés toute
la journée, et le personnel du centre nautique, représenté par son directeur Emmanuel Labaune.
À chacun son classement
Un double classement a été opéré entre les équipes licenciées et non-licenciées. Les vainqueurs 2013 sont les
voisins du lycée de Brochon pour les non-licenciés. On retiendra aussi la fidèle participation du foyer de vie
Chantournelle (Acodège) de Gevrey-Chambertin, qui a battu son propre record avec 9 075 m contre 8 100
m l’an passé. Côté licenciés, la victoire revient aux stagiaires du Creps avec 21 100 m parcourus en quatre
heures. Une belle prouesse pour ces futurs maîtres-nageurs.
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Les résultats
Course élite (licenciés). 1. Les stagiaires Creps (21 100 m) ; 2. Chenôve Triathlon 1 (20 850 m) ; 3. Dijon
Singletrack 1 (20 075 m ; 4. Water-polo garçons Chenôve (19 175 m) ; 5. Water-polo filles Chenôve (18 750
m) ; 6. Chenôve Triathlon 3 (17 250 m) ; 7. Chenôve Triathlon 2 (16 450 m) ; 8. Dijon Singletrack 2 (16 400m).
Non-licenciés. 1. Lycée Brochon (15 850 m) ; 2. Planète bleue (15 800 m) ; 3. ESC école de commerce (15
000 m) et ex aequo lycée Boivin (15 000 m) ; 5. MJC Dijon Grésilles (14 000 m) ; 6. Podgeur (13 400 m) ; 7.
Handphyclub Dijon (11 800 m) ; 8. Chantournelle (9 075 m) ; 9.Vesvrotte (8 850 m).
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SOLIDARITÉ
Dijon : l’Acodège mise sur la magie de Noël
Tout le monde s’active pour finaliser dernières décorations du marché de Noël.
Photo Angèle Gramignano
L’espace socioculturel de l’Acodège tiendra son traditionnel marché
de Noël samedi, de 10 à 18 heures.
C’est dans une grande effervescence que les habitués des ateliers ont planté le décor de fêtes afin d’être
prêts pour le grand jour, où seront présentés au public les nombreux objets réalisés depuis le mois de
septembre. Un trimestre très productif avec des nouveautés, comme des préparations culinaires, présentées
en bocal, avec des produits non périssables et recette, ainsi qu’une nouvelle gamme de produits de bien-être
et relaxation, sans compter les objets classiques, bougies, bijoux, décorations de Noël, articles de cuisine, etc.
« Le bénéfice réalisé sera utilisé pour financer des actions en faveur des adultes en situation de handicap, soit
pour un projet spécifique, soit pour l’achat de fournitures particulières », rappelle Sandrine Thach-Monestier.
Une tombola, dotée de dix lots, est proposée au public, dont le tirage aura lieu à 17 heures.
Une petite restauration, avec les productions de l’atelier cuisine, pâtisseries, boissons chaudes et froides, sera
proposée.
Info Acodège, 23 H, rue du Recteur-Bouchard à Dijon (derrière le campus universitaire).
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THÉRAPIE
Dijon : un don et des sourires
Lors de la remise du chèque au centre Équi-Sens. Photo SDR
L’association Les P’tits Bonheurs, qui a pour but d’aider financièrement à concrétiser les projets thérapeutiques
ou de loisirs des enfants et adolescents handicapés, en longue maladie ou en fin de vie, a fait un don de 1 500
€ à la jeune Emma, atteinte d’une IMC (infirmité motrice cérébrale).
Ce don va lui permettre d’assurer, pendant quelques mois, ses séances d’équithérapie au centre Équi-Sens
d’Asnières-lès-Dijon… Pour l’association, cela a été un jour exceptionnel car Les P’tits Bonheurs ont offert à
Emma ses premiers sourires. Lors de cette remise de chèque, la présidente Aurélie Guyard était accompagnée
de la marraine de l’association, la chanteuse Lou di Franco, et de quelques résidants du foyer Chantournelle
de Gevrey-Chambertin, qui fabriquent les porte-clés qui sont mis en vente pour récolter des fonds.
INFO Pour mieux connaître Les P’tits Bonheurs : http ://www.lesptitsbonheurs. org/.
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Voo TV présente le traditionnel marché de Noêl dans Le Grand
Rendez-Voo
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Lors de l’émission Le Grand Rendez-Voo du jeudi 19 décembre 2013, à la 32ème minute, Antonin Tabard qui
a fait le tour des marchés de noël présente ce qu’il appelle «l’étoile de noël» : le traditionnel Marché de Noël
solidaire de l’Espace SocioCulturel. Lors de ce reportage, Sandrine Tach-Monestier, Chef de Service, présente
les activités du Centre SocioCulturel de l’Acodège ainsi que l’intérêt de l’organisation de ce marché de noël.
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20121219
HANDICAP
Dijon : nouvelle ère pour l’Acodège
Malgré le froid, les officiels avaient le sourire au moment de poser la première pierre.
Photo E. C.
Une nouvelle page s’écrit pour l’Acodège. L’association, qui œuvre
au profit des personnes en situation de handicap, a posé la première
pierre de ses nouveaux instituts médico-éducatifs.
Les enfants accueillis aux instituts médico-éducatifs (IME), leurs parents et leurs accompagnateurs n’auraient
raté cela pour rien au monde. Lundi, en fin de matinée, la première pierre du chantier de restructuration des
IME de la montagne Sainte-Anne et de la Pyramide a été posée. « Ce n’est pas une véritable première pierre,
puisque le chantier est déjà bien avancé », a déclaré Pierre Choux, président de l’Acodège, l’association qui
gère les deux instituts, avant de souligner la qualité et la pertinence d’un projet « qui répond à notre objectif  :
offrir des services de la meilleure qualité possible pour les enfants ».
Dans les faits, cela se traduit par un chantier à plus de 10 millions d’euros, qui permettront de répondre
à la demande de l’État qui, via l’agence régionale de la santé (ARS), souhaite que soient réduites les listes
d’attentes auprès de la Maison départementale des personnes handicapées. Certains bâtiments actuels seront
rénovés, et près de 6 000 m² de nouveaux bâtiments, dont des internats livrés en 2014, seront construits.
« Ce sont des lieux de vie fraternels, chaleureux et humains. Vous faites changer les choses : grâce à vous,
la plupart de nos concitoyens posent un autre regard sur le handicap », a, de son côté, déclaré Françoise
Tenenbaum, adjointe de François Rebsamen.
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Au nom du préfet, Marie-Hélène Valente a rappelé l’implication de l’État dans ce chantier : « C’est une belle
idée, celle d’un village où les enfants sont chez eux. Cela montre la considération que nous portons à ces
jeunes, à leurs parents et aux professionnels qui, tous les jours, s’efforcent de bâtir une société dans laquelle
chacun a sa place ». Des mots qui se faisaient l’écho de ceux prononcés par Didier Jaffre, pour l’ARS : « Nous
sommes là pour faire en sorte que les enfants soient accueillis dans de très bonnes conditions ».
Quant à Emmanuelle Coint, qui représentait François Sauvadet, président du conseil général, elle a salué «
un acte fondateur qui est la traduction concrète de ce que nous essayons de construire au quotidien ». Elle
s’est ensuite adressée aux membres d’Acodège : « Il y a une phrase qui dit que la nature a fait des différences,
et que l’homme en a fait des inégalités. Je tiens à remercier chacun et chacune d’entre vous d’en faire des
richesses ».
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Les Doigts Qui Rêvent
http://bourgogne.france3.fr/2013/12/31/page-hiver-les-doigts-quirevent-386397.html
Il était une fois une drôle de maison d’édition. Depuis 20 ans, à Talant en Côte-d’Or, elle conçoit des albums et
des livres pour les enfants qui ne voient pas. Des ouvrages façonnés par l’ « Atelier pour voir », des personnes
en insertion
C’est une belle histoire, comme un conte. L’histoire de parents d’enfants déficients visuels et d’instituteurs
spécialisés. Ils créent au début des années 90 un ouvrage pour une petite fille aveugle et un peu perdue dans
l’école où est arrive comme interne. C’est « Au pays d’Amandine dine dine » qui va faire prendre conscience
aux fondateurs des « Doigts qui rêvent » qu’il y a un vrai besoin, un vrai désir chez les enfants aveugles.
En 1993, l’association « Les Doigts Qui Rêvent » est donc créée avec pour objectif de créer des albums
tactiles illustrés et aider ainsi les enfants à accéder aux livres, à l’écrit, à la lecture. En 1996, elle crée un atelier
de fabrication « L’Atelier Pour Voir », une entreprise d’insertion qui façonne les ouvrages conçus chaque
année par l’association.
En 2013, la belle histoire continue. L’association a publié 220 titres pour les tout petits jusqu’aux lecteurs
confirmés, en 35.000 exemplaires dont certains en plusieurs langues. Un centre de recherche pluridisciplinaire
a même été créé autour des livres pour les non-voyants et des partenariats noués avec des universités
françaises et étrangères.
Le reportage de Marianne Picoche et Amélie Douay avec :
- Solène Nègrerie, responsable de création aux Doigts Qui Rêvent
- Philippe Claudet, «chef d’orchestre» des Doigts Qui Rêvent
- Françoise Paghent, bénévole aux Doigts Qui Rêvent
- Jacky Dubois, éducateur technique spécialisé à L’Atelier Pour Voir (ACODEGE).
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Extraits du reportage :
Marianne Picoche, France 3 Bourgogne : « Les Ateliers Pour Voir, chantier d’insertion gère l’essentiel de la
fabrication des livres tactiles par le biais d’une équipe d’une dizaine de personnes qui se renouvelle sans cesse,
des chômeurs longue durée qui reprennent ici contact avec la réalité du monde du travail ».
Jacky Dubois, Éducateur Technique Spécialisé des « Ateliers Pour Voir », un chantier d’insertion géré par
l’Association Acodège : « Chacun va avoir à faire toutes les parties, assembler le livre, coller les éléments
dedans, faire les couvertures, de l’emboîtage. Durant leur parcours chez nous, que l’on essaie le plus court
possible car cela veut dire qu’ils sont relancés dans la vie professionnelle, ils auront fait un livre dans leur
intégralité. Parce qu’il n’y a rien de plus gratifiant que de dire j’ai fini quelque chose ».
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