Compte‐rendu

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Compte‐rendu
F ORUM
- M ONTAGNE P RO Master EPGM
Equipement Protection et
Gestion des milieux de
Montagne
C.I.S.M – Université de Savoie
PRISM
Association des étudiants du
Master EPGM – Licence IMM
Ex-MST/IUP Montagne
Université de Savoie
‐ 2E FORUM MONTAGNE PRO ‐ 6 février 2009 Compte‐rendu Chochon Marie­Eulalie Clapot Sylvain Dupere Romain Gatel Jean­François Girard Mathieu Gunzburger Simon Pillet Arnaud Seinera Samy 1
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- M ONTAGNE P RO I.
OBJECTIFS ET DEROULEMENT DU FORUM
A. OBJ ECT I F S
Le forum est né en 2006 de la volonté de rassembler les anciens étudiants de
l’IUP/MST Montagne, afin de créer un contact avec les étudiants actuels du
Master EPGM et Licence IMM.
Le retour d’expérience devrait améliorer la vision du marché de l’emploi, dans
l’intérêt de l’orientation des étudiants et de la formation elle-même, afin de
l’adapter au mieux aux besoins du marché.
Le forum « Montagne Pro » est un rendez-vous important de l’association PRISM
dont l’objectif principal est de maintenir le contact avec les anciens étudiants.
Objectif : réunir anciens étudiants de la formation, professionnels, enseignants et
étudiants actuels pour une après-midi d’échanges, de retours d’expériences et de débats
autour de la formation actuelle, de son adéquation avec le marché de l’emploi, de son
contenu général et de son évolution.
Pour cela, ont été invités :
- Anciens étudiants de l’IUP et de la MST Montagne depuis 1987,
- Les membres du conseil de perfectionnement,
- Les enseignants du CISM et intervenants extérieurs de la formation,
- et bien sûr, les étudiants actuels.
Au total, plus de 120 personnes ont participé à cet après-midi.
B. DEROULEMENT DE L’APRES-MIDI
Après l’accueil des participants dans le hall du Pôle Montagne, nouveau
bâtiment de l’Université accueillant la formation IMM-EPGM, Dominique
Gasquet, directeur des études, Laurent Baumann, président du conseil de
perfectionnement et Tanya Naville, présidente de l’association PRISM, ont
introduits l’après-midi.
Dominique Gasquet a rappelé le nouveau contexte de la formation
(ajustage dans le système LMD), Laurent Baumann a insisté sur l’insertion
professionnelle à travers l’exemple du Bureau d’études EDACERE et enfin, Tanya
Naville a présenté brièvement les actions, les chiffres-clés et le rôle de
l’association PRISM.
Ensuite, les étudiants organisateurs du forum ont exposé le déroulement
de l’après-midi : Regroupement en cinq ateliers de discussion (1h45 environ)
suivis d’une séance plénière de synthèse et questions (1h30) et d’un cocktail de
remerciement/repas.
Les 5 ateliers ouverts étaient les suivants :
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- M ONTAGNE P RO - Eau potable, assainissement et réseaux,
- Risques naturels, droit, et responsabilités,
- Urbanisme, études d’impact et Aménagement,
- Espaces ruraux et développement territorial,
- Gestion du patrimoine et des espaces naturels – Education à l’environnement.
N.B. : L’atelier « Management environnemental, normes ISO » n’a pas été ouvert faute d’un nombre
suffisant de participants.
La séance plénière qui a suivi a permis de récapituler les idées marquantes des
différents ateliers, et d’accueillir remarques et questions.
Enfin, un cocktail de remerciement a été servi dans la salle Espace Vie Etudiante
du site de l’Université (bâtiment Tarentaise), suivi d’un repas qui a rassemblé
plus de 70 personnes.
II.
DETAIL DES PARTICIPANTS
A chaque atelier ont participé des étudiants (actuels et quelques anciens
sans emploi), des enseignants et bien sûr des professionnels. Ces derniers sont
détaillés ci-après :
• Eau potable, assainissement, réseaux
Les personnes qui ont assisté à l’atelier Eau et assainissement sont
actuellement en poste pour la majorité dans des structures de type Bureau
d’études (Edacere, Ginger, Cabinet Merlin, Burgeap, Alp Epur, Geos) et fonction
publique (collectivité territoriale, conseil général, SED 74, DASS, Chambéry
métropole).
Structure Poste occupé EDACERE, Albertville – Ingénierie de l’eau EDACERE EDACERE BURGEAP, Grenoble – Ingénierie de l’environnement BURGEAP Chambéry métropole GiNGER ‐ Environnement et infrastructures SED Haute‐Savoie DDASS Haute‐Savoie Alp'Epur, Bourget du Lac ‐ Assainissement Directeur Chargé d'étude Chargée d'études Eau et Assainissement Chef de projet et directeur d'antenne Ingénieur d'études Chargé d'affaires ‐ Maitrise d'œuvre Eaux, assainissement Responsable service environnement Ingénieur hydrogéologie et environnement Chargé d'opérations environnement (eau‐déchets)
Technicien Sanitaire Chargé d’études Eau ‐Assainissement Régie des Eaux de Megève Chargée d'exploitation distribution Eau potable Cabinet Merlin ‐ Ingénieurs ‐conseils 3
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- M ONTAGNE P RO • Risques naturels, droit, et responsabilités
Domaines d’activités représentés : cartographie (CLPA, PPR, etc.), expertise
des risques, technicien territorial.
Syndicat Intercom. Arlysère, Albertville ONF ‐ service RTM ONF ‐ service RTM CEMAGREF, Grenoble ‐ UR ETNA CEMAGREF, Grenoble ‐ UR ETNA Chargé de mission gestion des Risques Chargé d'études Risques Naturels Avalanches Technicien territorial Cartographe avalanches Coordinatrice cartographie avalanches • Urbanisme, études d’impact et Aménagement
Mairie de Fillinges SAGE Environnement, Ingénieurs‐conseils SED Haute‐Savoie MDP Ingénierie Conseils, Meylan PINGAT Ingénierie ‐ SNC Lavalin Responsable services techniques/urbanisme Chargé d'étude (hydrobiologie, études générales, ICPE, STEP,,,) Assistant d'étude Chargé d'études Aménagement Domaines skiables
Ingénieur d'études Environnement et Urbanisme • Espaces ruraux et développement territorial
Les 5 anciens présents se répartissent en trois domaines : agriculture (2),
forêts (2) et développement local (1).
Service Pastoral Drôme Com. De Com. De la Norma Spade Consulting Chambre d’agriculture 74 CEMAGREF Ingénieur Pastoraliste Rédactrice territoriale Alternant ‐ Responsable systèmes d'information Chargée de mission Agronomie‐Environnement Ingénieur forestier et SIG • Gestion du patrimoine et des espaces naturels – Education à l’environnement
L’ensemble des anciens étudiants de la formation présents à ce forum
venaient de structures publiques (CREN, Pôle Tourbières, ONCFS, SED 74 …), il
n’y avait pas de représentant du secteur privé (Bureau d’étude). Il est à noter
qu’il n’y avait pas de participants travaillant dans le domaine de l’éducation à
l’environnement, celui-ci n’a été que très peu abordé.
SED Haute‐Savoie Cirque Autour Chargé de mission SIG ‐ Environnement Artiste Comédien 4
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- M ONTAGNE P RO SIVM Haut Giffre Fédération des Conservatoires d'Espaces naturels ‐ Pôle relais Tourbières Conservatoire botanique pyrénéen AVENIR, CREN de l'Isère PNR du Pilat Com. De Com. Pays de Filière ONCFS III.
Chargé de mission Contrat de rivière Chargé de mission scientifique et technique Chargée d'étude conservation flore et habitats Chargé d'études protection/gestion des espaces naturels Chargé d'étude Natura 2000 Cadre technique Agent technique de l'environnement ADEQUATION DE LA FORMATION PAR RAPPORT A
L’EMPLOI OCCUPE
A. ATOUTS
La pluridisciplinarité peut fermer des portes à certains postes spécialistes
mais offre de gros avantages pour des métiers nécessitant beaucoup de
compétences qui demandent une vision large de la montagne. Ce « plus »
qu’apporte la pluridisciplinarité est réaffirmé dans tous les ateliers. De plus, tout
les outils et formations juridiques, administratives et financières sont reconnus
nécessaires.
B. FAIBLESSES
A l’issue de la formation, les interactions entre acteurs publics et acteurs
privés demeurent encore mal comprises par les étudiants (qui fait quoi ?
Quand ?...etc.), la proposition d’un TP sous forme de jeu de rôle a été formulée.
D’un point de vue plus général, quelques lacunes au niveau de la gestion
de l’entreprise ont été relevées : l’estimation d’un devis, la définition du besoin
des clients et l’estimation du temps consacré à un dossier.
Enfin, la L3 semble manquer de pratique, et la géomorphologie n’est plus
assez développée (glaciaire et torrentielle ne sont plus présentes).
C. POINTS PARTICULIERS
• Eau potable, assainissement, réseaux
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- M ONTAGNE P RO Les cours d’hydraulique et d’assainissement sont à pérenniser. Le stage de
fin d’étude apparaît comme primordial. L’aspect pluridisciplinaire de la
formation est un facteur essentiel.
• Risques naturels, responsabilités
Dans les risques naturels on fait d’abord appel a des généralistes et le cas
échéant à des spécialistes de certains risques (expert avalanche, géologue,
hydraulicien, etc.) donc notre formation s’inscrit pleinement dans la première
phase de cette démarche.
Cependant, elle doit s’accompagner de stage dans le domaine des risques si l’on
souhaite se faire une expérience dans ce domaine. Le module de statistique
pourrait s’articuler d’avantage autour des notions de probabilités, très utiles en
risques naturels (périodes de retour, etc.)
Les modules d’hydraulique abordent peu le contexte des cours d’eau
(écoulements, crues, etc.) pour se concentrer sur les réseaux (eau potable,
assainissement).
Les modules de M1 apportent une réelle sensibilité pour ce domaine, un
vocabulaire et des connaissances très appréciés par les maîtres de stages.
Les modules de SIG, marchés publics et les stages de terrains sont des
compléments indispensables aux modules spécifiques risques naturels et
donnent un véritable aspect généraliste à notre formation.
• Urbanisme, études d’impact, aménagement
Si l’intitulé du cursus présente une composante « aménagement », il a été
noté un relatif manque de cours à ce sujet, notamment l’ensemble du
vocabulaire de base relatif au monde de l’aménagement ; en outre, il serait
intéressant d’analyser les différentes méthodologies des dossiers administratifs
(ex : dossiers loi sur l’Eau…etc.), pour le moment, seule l’étude d’impact fait
l’objet d’un travail approfondi en M2.
• Espaces ruraux et développement territorial
Le domaine du développement rural est un réel débouché de la formation.
A nouveau, les étudiants issus de notre formation sont bien reconnus grâce à
leur profil généraliste qui correspond au profil recherché actuellement.
Cependant, concernant le domaine de l’agriculture, il faut noter que la
formation plutôt générale dispensée en fin de M2 est importante et utile mais un
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- M ONTAGNE P RO manque est ressenti en termes de techniques pures (pratiques spécifiques comme
le pastoralisme, gestion des territoires).
De plus, le thème apparait comme moins en lien que les autres avec le contenu
de la formation. Il y a peu de statistiques sur les débouchés, le flux d’étudiants est
peu important malgré un débouché « traditionnel » : les communautés de
communes. C’est pourquoi le stage apparait primordial pour les étudiants
voulant se spécialiser dans ces domaines.
• Gestion des espaces
l’environnement
et
du
patrimoine
naturel
–
Education
à
Thème vaste et mal défini. Les perspectives d’emplois sont présentes
malgré une certaine précarité et la forte concurrence d’autres formations
concurrentes. Il faut noter le rôle majeur des collectivités. De plus, il est rappelé
que ce domaine représente un volet « nature, terrain » prisé et un volet croissant
« paperasse
administrative »
moins
apprécié.
Importance
de
la
pluridisciplinarité pour l’écologie.
De l’avis de tous, les enseignements réalisés au sein de la formation restent
trop théoriques et pas toujours suffisamment approfondis. De plus, l’essentiel des
ces cours sont effectués par des enseignants de l’université et sont ainsi peu en
phase avec la réalité professionnelle. Cependant, les stages terrains de fin
d’année sont unanimement reconnus pour être très formateurs. Il est
indispensable de les conforter voir de leur accorder encore plus d’importance. En
outre, le monde agricole, ses pratiques et les problématiques qui l’entourent ne
sont que très peu abordés au sein de la formation. Pour comprendre le
fonctionnement des espaces naturels ces thématiques paraissent importantes. Il
serait ainsi nécessaire de renforcer le module agriculture dans cette optique,
notamment par l’intervention de professionnels du monde agricole.
Il ressort du débat que l’intervention de professionnels ne pourrait être
que bénéfique aux étudiants. Il serait par exemple intéressant, de l’avis des
anciens étudiants, de travailler sur des cas concrets par le biais d’intervenants
extérieurs (Document Natura 2000, Plan de gestion …) pour pouvoir se rendre
compte du travail effectué par les professionnels. En outre, les anciens de la
formation sont nombreux à travailler dans ce domaine d’activité, ceci pourrait
faciliter la recherche d’éventuels intervenants.
En résumé, il ressort de ce forum que la formation apporte quelques
éléments concernant la gestion des espaces et du patrimoine mais qu’un
apprentissage personnel reste nécessaire. Cependant, il est évident que ce
domaine demande un investissement personnel important, ne serait-ce que pour
acquérir de solides connaissances naturalistes.
D. EVOLUTIONS DE LA FORMATION
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- M ONTAGNE P RO Les anciens de la filière avaient noté en leur temps un manque de cours
sur la communication/présentation orale, ce qui leur avait posé quelques
difficultés d’adaptation pour les relations avec les différents acteurs (élus…etc.) ;
depuis, ce manque a été en partie pallié, mais doit être renforcé.
Les bases de l’hydrologie urbaine ainsi que de la gestion des eaux
pluviales devraient être plus étudiées au cours des enseignements du M2. Une
meilleure connaissance des différents acteurs de l’Eau paraît nécessaire.
Concernant les outils, le SIG est primordial et la maitrise de l’un des
logiciels est nécessaire (la non-maitrise du logiciel ArcGis est néanmoins
dommageable). De plus un module de Base de données est à réintroduire dans la
formation ainsi que des projets en autonomie pour palier à la diminution du
nombre d’heures. Le logiciel de dessin AutoCAD est manipulé fortement en L3,
puis de manière nulle ou sporadique les années suivantes, quelques piqûres de
rappel seraient intéressantes afin de ne pas perdre les automatismes.
Enfin, un module de développement territorial est proposé (étude d’un
territoire, du jeu des acteurs…) et pour ‘moderniser’ la filière, il a été proposé
d’inscrire de nouvelles matières ‘dans l’air du temps’, comme l’approche
environnementale de l’urbanisme, méthodologies pour les bilans
énergétiques/bilan carbone, qui sont autant de sujets en essor.
IV.
•
LE CONTEXTE D’EMBAUCHE
Secteur Privé
Le fait d’être une filière généraliste en environnement est globalement un
point positif, même si certains bureaux d’études recherchent des spécialistes (ils
sous-traitent alors). Actuellement, il semblerait que le contexte d’embauche soit
peu favorable aux bureaux d’études, dans le domaine des risques naturels.
Il est difficile de dresser une perspective d’embauche dans le privé, cela dépend
du contexte économique, des attributions de marché…etc.
• Secteur Public
Le secteur public présente des opportunités d’embauche, surtout au niveau
de l’assainissement, mais aussi dans l’urbanisme et le logement social. Les
nombreux départs à la retraite laissent également présager un recrutement
important ces prochaines années.
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- M ONTAGNE P RO Dans le domaine des risques, les collectivités territoriales, par obligations
réglementaires, peuvent s’adjoindre les compétences de techniciens spécialistes
des risques naturels (PPR, plans de sauvegarde, etc.) Dans ce cadre là, il faut
plutôt viser les échelles intercommunales pour trouver un poste.
• Secteurs d’embauches potentiels forts du domaine de l’eau actuellement :
Gros potentiels d’emplois soutenus par la réglementation.
‐ la gestion des eaux pluviales,
‐ la gestion de la qualité des eaux (effluents industriels),
‐ les Services Publics d’Assainissement Non Collectif (SPANC) au niveau
technicien.
Ce sont essentiellement les services publics ainsi que les bureaux d’études qui
sont porteurs de ces emplois potentiels.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Enfin, une liste d’éléments réglementaires et de procédures à connaitre a la sortie
de la formation a été proposée :
1. le contenu d’une étude d’impact (déjà abordé en cours) avec notamment le
chapitre sur de « l’étude des effets su projet sur la santé » en application de
l’article L.122-3 du Code de l’Environnement, ainsi que le chapitre « analyse des
coûts collectifs des pollutions et nuisances et des avantages induits pour la
collectivité » (art L.122-3 et R.122-3 du Code de l’Environnement). Cette analyse
des coûts collectifs ou estimation des coûts des pollutions induites par un projet
s'appuie sur les valeurs proposées par l'instruction cadre relative aux méthodes
d'évaluation économique des grands projets d'infrastructure de transport, jointe
à la circulaire du 20 octobre 1998 du Secrétariat d'Etat aux transports.
2. la différence entre un dossier d’enquête publique simple de type « Bouchardeau »,
un dossier d’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique et un dossier
d’enquête publique de droit commun – il faut également connaître les textes qui
s’y rapportent et qui permettent de savoir si un projet est soumis ou non à
enquête (en fonction du montant total, des surfaces,…) – pour cela voir l’Annexe
I à l'article R123-1 du code de l’Environnement
3. connaître le contenu d’un dossier d’enquête publique cf. article R123-6
« composition du dossier » du code de l’environnement
4. connaître le déroulement d’une enquête publique : cf. Code de l’environnement
Livre 1er titre II chapitre III : Enquêtes publiques relatives aux opérations
susceptibles d’affecter l’environnement
5. connaître le contenu d’un dossier loi sur l’eau : articles L214-1 à L214-6 et R2141 à R214-31 du Code de l’Environnement
6. connaître la procédure de Zone d’aménagement concerté (ZAC) avec plusieurs
phases dossier de création et dossier de réalisation (articles L311-1 et suivants du
code de l’urbanisme.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------9
F ORUM
- M ONTAGNE P RO Contacts :
- Association PRISM : Tanya Naville, Présidente
www.asso-prism.org
- Master EPGM/L3 IMM : Dominique Gasquet, Directeur des études,
Marc Dzikowski, Responsable des stages,
Samia Bourbia, Relations extérieures,
Geneviève Rimet, Secrétariat.
www.cism.univ-savoie.fr/epgm
Pôle Montagne, Université de Savoie – CISM, F-73376 Le Bourget du Lac.
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