Bruit - Journée Nationale de l`Audition

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Bruit - Journée Nationale de l`Audition
REVUE DE PRESSE JNA 2016
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7 avril 2016 - 19:10
Exposition aux décibels, Concerts : les
bouchons d’oreille évitent les acouphènes
Au-dessus de 100 décibels, les oreilles commencent à siffler. Porter
des bouchons d’oreille en concert permet d’éviter ces dégâts
fréquents.
Secouer la tête sur de la bonne musique, c’est un plaisir que chacun partage en concert. Un
bonheur pour les oreilles, pourraient ajouter certains à sa sortie. Cette affirmation est à prendre
avec des pincettes, au vu des niveaux sonores auxquels sont exposés les adeptes des salles de
spectacle et des festivals. Pour protéger son audition, les bouchons d’oreille s’avèrent très
efficaces, démontre une étude parue dans le JAMA Otoralyngology – Head & Neck Surgergy.
Encore faut-il se convaincre de porter ces objets souvent très colorés et peu discrets.
100 décibels, les premiers dégâts
C’est peut-être pour cela que l’échantillon sélectionné par les auteurs, de l’hôpital universitaire
d’Utrecht (Pays-Bas), est restreint : 51 personnes, âgées en moyenne de 27 ans, qui se rendaient à
un festival de musique en extérieur situé à Amsterdam (Pays-Bas). La moitié d’entre eux a tout de
même consenti à porter des bouchons d’oreille lors des 4 heures 30 du festival. L’autre n’a rien
changé à ses habitudes. Si ce n’est qu’à la fin de leur session musicale, tous ont réalisé des tests
auditifs.
Les décibels étaient lâchés au cours du festival : en moyenne, les chercheurs ont relevé un niveau
de 100 décibels pendant la soirée. C’est à partir de ce seuil que des dégâts peuvent commencer à
se manifester, notamment par des acouphènes ou des pertes temporaires d’audition.
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7 avril 2016 - 19:10
Source : bruitparif.fr
Une protection très efficace
Ce sont effectivement les manifestations qui apparaissent chez les volontaires de cette étude. Les
personnes qui n’ont pas porté de bouchons d’oreille étaient 40 % à souffrir de sifflements contre
12 % chez ceux qui ont adopté une approche préventive.
C’est sur une mesure précise de l’audition que la différence est la plus nette : le décalage
temporaire du seuil. Lorsqu’un test auditif est administré, un seuil normal est fixé. Si l’ouïe
revient rapidement à ce point de repère, on parle de DTS. 8 % le présentaient s’ils portaient des
bouchons d’oreille, 42 % s’ils ne le faisaient pas.
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7 avril 2016 - 19:10
Si cette habitude risque d’égratigner votre apparence, elle protège bien vos esgourdes. Aux yeux
des auteurs, une seule conclusion : ces précieux bouchons devraient faire l’objet d’une promotion
plus active.
Les jeunes devraient être le cœur de cible de ces campagnes, car ils semblent particulièrement
insouciants en matière de bruit. D’après le dernier sondage de l’association JNA, 70 % des 15-17
ans pensent qu’il éduque l’oreille.
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8 avril 2016 - 05:00
Aller au concert avec des bouchons d'oreilles
protège de la perte auditive et les
accouphènes
C'est une précaution à prendre, largement recommandée. Porter des bouchons d'oreilles lors des
concerts ou autres situations exposant à des niveaux sonores excessifs est efficace contre la perte
auditive. C'est du moins la conclusion d'une étude publiée par le centre médico-universitaire
d'Utrecht, aux Pays-Bas, dans le « JAMA ». L'exposition à des niveaux sonores dépassant 100 ou
110 dB, comme c'est le cas dans la plupart des concerts ou événements musicaux, conduit à une
perte auditive temporaire ou définitive. Et de fait, les jeunes sont parmi les plus concernés.
87 % des jeunes adeptes du baladeur et des concerts
Les autorités de santé américaines s'alarment d'une augmentation de 31 % en 20 ans de pertes
auditives chez les adolescents. Une population qui cumule les facteurs de risque. En France 87 %
d'entre eux sont adeptes du baladeur et/ou fréquentent les lieux musicaux. On estime actuellement
à 5 millions le nombre de malentendants dont 2 millions ont moins de 55 ans.
Entre 30 000 et 50 000 jeunes et adolescents présentent des altérations graves ou sévères du
système auditif. Alors que, selon une récente enquête JNA-Ifop*, 7 jeunes sur 10 pensent que le
bruit ne fait pas courir un risque de surdité définitive et 38 % des 15-17 ans avouent que ça les
rend euphoriques…
Une protection contre les acouphènes et la perte auditive
Pour mener à bien leurs travaux, les chercheurs hollandais ont mené l'expérience lors d'un festival
musical de 4 h 30 à Amsterdam d'un niveau sonore de l'ordre de 100 dB, sur un panel de sujets
âgés de 27 ans, séparés en deux groupes, l'un équipé de protections auditives, l'autre pas.
Résultats au terme du concert : seulement 8 % de ceux qui portaient des bouchons d'oreilles ont
présenté une perte auditive temporaire contre 40 % de ceux qui n'étaient pas protégés. De plus,
12 % des premiers souffraient d'acouphènes contre 40 % dans le second groupe.
* Enquête JNA-Ifop pour la Journée nationale de l’audition du 10 mars 2016
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5 avril 2016 - 23:27
1 jeune sur 2 victime d'acouphènes
Les oreilles des jeunes en train de vieillir prématurément
L’association JNA alerte une fois de plus sur un des phénomènes de notre génération lié aux
pratiques musicales sans discernement et qui, dans quelques années, risque de se traduire par une
catastrophe sanitaire majeure.Les chiffres d’une récente étude, menée par l’Association JNA en
collaboration avec l’Institut Ipsos, montre que :1 jeune sur 2 souffre de bourdonnements ou de
sifflements dans les oreilles suite à des expositions sonores élevées.« Devons-nous laisser les
jeunes générations perdre définitivement leur capital auditif avant l’heure ? Dans quel état sera
leur santé auditive après 40 ans ? Et quel coût pour la société ? » s’interroge Jean Stanko,
Président de l’Association JNA, à l’origine de nombreuses campagnes de prévention visant les
jeunes depuis plusieurs années.Ce constat alarmant, risque de nous diriger tout droit vers un
risque sanitaire majeur si des mesures de prévention élémentaires ne sont pas mises en place
rapidement, comme par exemple des messages de prévention diffusés aux jeunes ainsi que des
contrôles auditifs effectués régulièrement au sein des Etablissements scolaires.Une priorité pour
l’association JNA : développer l’éducation à la santé auditive pour tous.« Il serait également utile,
voire indispensable, d’intensifier la prévention sur les lieux de loisirs, les festivals et les
discothèques », rappelle Jean Stanko qui indique par ailleurs que nous sommes dotés d’un capital
auditif à la naissance et que celui-ci peut fondre comme neige au soleil sous l’effet des
expositions sonores répétées. Les oreilles n’ont aucune protection naturelle qui résiste à la
pression acoustique des amplis. Nos yeux sont pourvus de paupières, mais nos oreilles sont
dépourvues de protection naturelle....Autre danger qui plane sur les jeunes ; les baladeurs Mp3
écoutés au casque et sans tenir compte des recommandations sanitaires de base : 100 dB maxi
pour un baladeur, alors que les scientifiques préconisent un maximum de 85 dB pour être sûr de
préserver son capital auditif en bon état.Autre raison d’être vigilant, la même étude Ipsos menée à
la demande de l’Association JNA, indique que 1 jeune sur 3 écoute quotidiennement sa musique
jusqu’à 2 à 3 heures par jour au casque et peut parfois aller jusqu’à 4 heures par jour pour certains
adeptes du Mp3.Face à ce constat, l’association JNA rappelle qu’il est urgent d’agir avant que les
oreilles des jeunes ne vieillissent trop prématurément, et qu’à 40 ans ils se retrouvent avec des
oreilles d’un papy de 60 ans…Cela est possible en développant les bonnes pratiques visant au «
plaisir auditif durable ».
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6 avril 2016 - 10:15
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Les moments de silence sont-ils la clé du
bonheur?
93% des Français se sentent exposés à un bruit excessif au quotidien, d’après une étude Ifop pour
la Journée nationale de l’audition(JNA) de 2016. Les moments de silence, de plus en plus rares,
sont précieux. Dans les lieux publics, dans la rue ou au travail, le jour et la nuit, le bruit fait partie
de notre vie.
Sentir les rayons du soleil sur son visage, écouter le chant des oiseaux, entendre le bruit de la
tondeuse des voisins, c’est ça le bonheur!
— Alboune (@albanednc) 13 mars 2016
Au quotidien, le bruit est permanent
Où trouver du silence pour se ressourcer? «Le silence total n’existe pas», constate Mylène
Pardoen, chercheuse à l’Institut des sciences de l’Homme de Lyon. Et quand des scientifiques ont
réussi à créer des chambres dites anéchoïques, ou 99,9% du son est absorbé par les murs, les
résultats se sont révélés surprenants.
Dans la chambre anéchoïque de l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique
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(Ircam) à Paris, le bruit a disparu à 99,9%.
A l’intérieur, les cobayes ne tiennent pas plus d’une heure. «Soit on angoisse, soit on devient
fou», reconnait la chercheuse. Mais pas de panique! Avec le bourdonnement du réfrigérateur, les
vols d’avion, ou encore le tic-tac de la montre… Même discret, le bruit est là en permanence. Les
nuisances provoquent de l’anxiété, des insomnies, de la fatigue. Par les problèmes qu’il génère, le
bruit fait perdre deux ans de vie en bonne santé d’après l’Observatoire régional de santé
Ile-de-France.
Se réserver un temps de pause chaque jour
Alors, à défaut de rechercher le silence complet, l’essentiel est de se créer une bulle de calme.
«C’est très important de se laisser la possibilité d’être en silence. Et les bruits de l’environnement,
comme les moteurs ou chants d’oiseau font partie de l’expérience», explique Christiane Beaugé,
enseignante de méditation pleine conscience, une pratique qui consiste à analyser ses émotions
dans l’instant présent. C’est pourquoi elle recommande aux aspirants à la sérénité de se réserver
quelques minutes de silence dans la journée. «On peut par exemple prendre un petit-déjeuner seul
de temps en temps, ou boire une tisane en silence le soir. Ce n’est pas facile au début»,
souligne-t-elle.
Une photo publiée par
(@_txxfu_) le 25 Mars 2016 à 9h43 PDT
Et pour ceux qui ont plus de temps, rien de tel qu’une cure de silence pour réparer le corps… et
l’esprit! Lionel Cruzille a fait une dizaine de retraites dans sa vie pour s’extraire du bruit ambiant.
Chaque fois, c’est le même rituel. Cet auteur et professeur de qi gong, une discipline chinoise
basée sur l’harmonie des gestes et du souffle, coupe son téléphone pour se recentrer sur
lui-même. «Le silence, c’est le moment où, dans le calme extérieur, on se rend compte de ce qu’il
se passe à l’intérieur de soi.» Chaque fois, l’aventure l’apaise. Selon lui, «après une retraite, on se
rend compte du pouvoir de la parole. Quand on revient dans le monde, on est régénéré.» Retraite
silencieuse ou isolement ponctuel, des solutions existent pour remettre un peu de calme dans une
vie d’urbain!
>>> Retrouvez tous nos articles pour trouver la paix réalisés dans le cadre de la sortie du
film Demolition le 6 avril
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3 avril 2016 - 05:05
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Oyonnax - ÉDUCATION Le lycée Painlevé a
ouvert ses portes aux futurs élèves
Samedi matin, les portes ouvertes ont conduit les visiteurs à découvrir
l’ensemble du lycée Painlevé, ainsi que le village professionnel rue
du Stand.
Tout le personnel et les lycéens motivés pour présenter leurs sections et animer des ateliers
s’étaient mobilisés pour accueillir élèves et familles. La plupart des visiteurs venaient des collèges
du secteur.Pour les élèves de Terminale scientifique, la matinée a été l’occasion de réviser leur
bac avec leurs enseignants, tout en présentant des expériences et des activités en lien avec les
logiciels utilisés en cours. La filière ST2S a présenté l’exposition préparée pour la journée
nationale de l’audition. Quant à l’infirmière, elle a parlé des actions du comité d’éducation à la
santé et à la citoyenneté (prévention contre la drogue et les dangers d’Internet, don du sang,
relations garçons filles).La Maison des lycéens et le comité de la vie lycéenne ont exposé les
actions menées ces dernières années: sorties de ski, karting ou le laser game.
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31 mars 2016 - 22:13
Le bruit peut-il tuer ?
L’Association JNA* lance sa 19e Journée Nationale de l’Audition
sur un sujet qui intéresse tous les Français: « Les nuisances sonores et
leurs effets sur notre santé »
Aujourd’hui, par son omniprésence et son intensité, le bruit représente l’une des principales
causes de l’altération des capacités auditives dans les pays industrialisés.Les impacts « auditifs »
et « extra-auditifs » du bruit ne sont pas négligeables. Ils interviennent de manière « sournoise »
et fragilisent l’équilibre général de santé des Français. Les risques sanitaires et sociaux sont
aujourd’hui élevés.Pourquoi ? Comment ?Le bruit figure parmi les nuisances majeures ressenties
par les Français dans leur vie quotidienne. Les résultats de l’une des nombreuses enquêtes
réalisées par l’association JNA, «Nuisances sonores et gêne auditive » sont éloquents.En
septembre 2014, ceux révélés par l’enquête réalisée par le Ministère de l’Ecologie, du
Développement durable et de l’Energie viennent conforter ces déclarations. Plus récemment,
l’étude réalisée à l’occasion de la Cop21, par l’Agence Européenne de l’environnement confirme
que les pollutions sonores représentent la plus grande pollution au monde.Selon l’OMS, il s'agit
effectivement de la seconde plus grande pollution sur notre planète. Et le bruit peut agir comme
un agent toxique dès la vie fœtale en modifiant l’intégrité du système auditif.Retrouver via
http://www.journee-audition.org/pdf/cp-2016-bruit-tue.pdf , les 4 points suivants :- Expositions
sonores fréquentes = surdités irréversibles- Expositions sonores successives = dégradation de
l’état de santé- Panorama de l’audition en France - Les chiffres clés- Le groupe d’experts de
l’auditionComprendre l'économie durable pour du développement et de la finance durable en
2016!
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Ouiemagazine.net
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29 mars 2016 - 12:11
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Nombre record de participants pour la JNA
2016
Pour sa 19e édition, la Journée nationale de l’audition se félicite d’un « nombre record de
participants et d’une très belle couverture médiatique ».
Plus de 2500 acteurs de la santé se sont mobilisés le 10 mars en faveur de la santé auditive : de
nouvelles enseignes et une centaine d’audioprothésistes ont rejoint l’opération, portant le nombre
de ces derniers à 1442. Auxquels il faut ajouter 80 médecins ORL des Centres hospitaliers
publics, 140 établissements scolaires, 24 villes et collectivités et 106 associations. Les
organisateurs se félicitent également de la couverture médiatique de l’événement : télés (TF1,
France 2, France 3…), radios (RTL, Europe 1, France Inter…) et presse écrite ont décliné le
thème de la toxicité des nuisances sonores, en insistant sur la fatigue auditive, les effets auditifs et
extra-auditifs.
Dans son communiqué, l’association se réjouit encore des liens noués avec l’OMS (Organisation
mondiale de la santé), comme en a témoigné l’intervention du Dr Shelly Chadah lors de la
conférence de presse, ainsi qu’avec différents ministères (Santé, Travail, Ville, Jeunesse et
sport notamment) et l’Agence nationale de santé en cours de constitution. « L’objet de
l’association JNA n’est pas de se substituer aux acteurs mais d’être catalyseur d’actions de
prévention », rappelle le Pr Jean-Luc Puel, son 1er vice-président.
En attendant la 20e édition en 2017, la JNA se prolonge toute l’année à travers de nouvelles
actions en régions et des campagnes de sensibilisation dans des établissements scolaires, des
entreprises et auprès des publics seniors.
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24 mars 2016 - 09:58
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Acceo lance la 1ère application de
géolocalisation des établissements accessibles
aux personnes malentendantes ou sourdes
A l’occasion de la 19ème Journée Nationale de l’Audition, qui s’est tenue le 10 mars dernier,
Acceo a lancé la 1ère application de géolocalisation des établissements accessibles aux personnes
malentendantes ou sourdes.
Toute personne sourde ou malentendante munie de l’application Acceo peut visualiser sur une
carte, en temps réel, les établissements dotés du système Acceo. Une fois l’établissement localisé
par la personne, celle-ci pourra lui téléphoner directement.
Une relation de proximité grâce à la géolocalisation intégrée
Quel que soit l’endroit où elles se trouvent, Acceo permet aux personnes sourdes et
malentendantes de téléphoner directement à un établissement (accessible via Acceo) – banques,
administrations, centres hospitaliers, commerces, etc. Acceo permet aussi à la personne sourde
qui se rend dans l’établissement géolocalisé d’échanger avec son interlocuteur.
Multiplateforme (iOS, Android, Windows), cette application permet aux personnes sourdes et
malentendantes d’accéder librement à deux modes de communication :
• Transcription instantanée de la parole pour les personnes oralisées
• Visio-interprétation en langue des signes française (LSF) pour les personnes signantes
L’application Acceo est directement téléchargeable sur les sites des établissements abonnés.
Après l’installation, l’usager pourra contacter plus de 20 000 établissements équipés de la solution
Acceo en France. Acceo offre une disponibilité immédiate avec une garantie en temps de
traitement des appels.
Lire notre dossier : Malaudition et seniors : prévenir et compenser les pertes auditives
L’innovation numérique au bénéfice de tous
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24 mars 2016 - 09:58
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L’application conçue par Acceo illustre pleinement la
mutualisation de ses plateformes de services au
bénéfice des établissements et leur permet ainsi
d’adresser le public des sourds et malentendants avec
un outil adapté à ses besoins.
L’innovation d’Acceo concrétise sa démarche en
termes de réduction de la fracture numérique. Elle
contribue également à la dynamique en matière
d’aménagement du territoire par la création d’emplois
en zone rurales à revitaliser.
> Voir la fiche société d’Acceo sur Silvereco.fr
L’Audition en France en quelques chiffres :
• 20% des jeunes entre 15 et 25 ans présentent une
déficience auditive anormale,
• 40% des personnes sourdes ou malentendantes ont
moins de 55 ans
• 1 personne sur 2 au-delà de 60 ans présente une
baisse de l’audition
France + Enquête Handicap Santé).
(Sources : enquête ministérielle Le Handicap Auditif en
Silver économie : Articles associés
Journée Nationale de l’Audition : Citroën à l’écoute de
tous ses clients grâce à la solution Acceo
• « Acceo nous a semblé une solution universelle
permettant d’autonomiser les personnes en ne les
mettant pas en situation de demande »
• Le réseau ORPI 94 devient accessible grâce à Acceo
• « Nous sommes la première ville du Val d’Oise à
mettre en place Acceo »
• « Nous devons répondre au niveau d’accessibilité
demandé par la population »
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24 mars 2016 - 09:05
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NÎMES La Camargue lieu de liberté pour les
personnes âgées
Test d'audition et film pédagogique sur l'ouïe et le bruit lors de la journée Portes Ouvertes (Photo
DR)
L'établissement Orpea La Camargue a ouvert ses portes au public et s'est associée à la journée
nationale de l'audition. A cette occasion, deux audioprothésistes ont proposé un test d'audition à
ceux qui le souhaitaient tout en passant un film pédagogique sur l'ouïe et le bruit.
Ouverte en 2012, la maison de retraite Orpea "La Camargue" est sur la commune de Nîmes, à
proximité du Stade des Costières. Cet Établissement d'Hébergement pour Personne Âgées
Dépendantes accueille des personnes âgées autonomes, semi-valides et dépendantes, dans un
cadre de vie privilégié, alliant confort hôtelier, convivialité et soins de qualité.
La Maison de retraite dispose également d'une unité protégée spécialisée dans la prise en charge
des personnes atteintes de la maladie d'Azlheimer (et pathologies apparentées). Des
professionnels extérieurs (médecins traitants, kinésithérapeutes…) interviennent régulièrement au
sein de la Résidence, en fonction de vos besoins.
Individuellement ou en groupe, des activités diversifiées et adaptées aux personnes âgées sont
organisées comme par exemple des ateliers créatifs, du chant et de la musique, un atelier
culinaire, un atelier potager, des sorties au marché... Chacun est libre d’y participer selon ses
goûts et ses envies.
Des repas à thèmes sont régulièrement organisés pour le plus grand plaisir des résidents. Les
échanges intergénérationnels sont favorisés : enfants et proches seront invités à participer à la vie
de la Résidence. L'établissement dispose d’un environnement de vie privilégié, avec ses
nombreuses terrasses et ses espaces de vie et de convivialité. Les chambres confortables,
meublées ou non au choix des résidents, sont toutes équipées d’une salle de bain, d’un lit
médicalisé, d’un appel malade, d’un téléphone et d’une télévision.
Les repas, confectionnés sur place par le chef, dans le respect des régimes alimentaires, sont
servis dans la salle de restaurant.il est même possible d’y convier les proches des personnes âgées
chaque jour en prévenant la veille. Des plateaux repas peuvent être servis en chambre sur décision
médicale
Renseignement : 25 allée Djebaili Salah, 30900 Nîmes. Téléphone : 0466055210 ou par email :
[email protected]
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18 mars 2016 - 18:26
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Audition. Vos questions sur l'appareillage, les
réponses de nos experts
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Par Isabelle Duranton le 16 mars 2016
Les troubles de l’audition apparaissant, l’appareillage peut être la solution. Comment bien
choisir? Le Dr Paul Zylberberg, membre de la JNA et Roselyne Nicolas de France Acouphènes,
vous répondent.
Les deux spécialistes sont membres de la JNA(Journée nationale de l'audition) et ont répondu
aux questions des internautes le 10 mars dernier. Leurs réponses sur l'appareillage, le choix des
prothèses et les prix de l'équipement.
Marie Mazzier: Est-il utile de s'appareiller en prévention?
Dr P. Zylberberg: S'il n'y a pas de déficience auditive, il est inutile et même déconseillé de porter
un appareillage!
Moissac: Je suis atteinte d'une surdité sévère à 82 ans. Est-il utile de se faire appareiller?
Roselyne Nicolas: Il n'y a pas d’âge pour se faire appareiller mais sachez que vous avez la
possibilité de faire un essai pendant un mois. Il ne vous convient pas, vous ne l'achetez pas. Il
vous sera demander une caution qui vous sera rendue si vous n'achetez pas la prothèse.
Vanda: J'ai une perte d'audition de 30% et 15%, pensez-vous que je doive me faire appareiller? Je
suis gênée lors de conversations à interlocuteurs multiples et j'ai des acouphènes. Le port de
prothèses améliorera-t-il la situation? Mon médecin ORL me dit que je peux encore attendre.
Dr P. Zylberberg: C'est à vous de décider si votre gêne dans la vie courante est supportable. Il
arrive souvent que l'apparition des acouphènes soit contemporaine ou précède de peu la perte
auditive. Le port de prothèses auditives améliore souvent la situation en ce qui concerne les
acouphènes.
Chouan57: Quel appareillage est le plus conseillé: intra auriculaire ou extra auriculaire?
Dr P. Zylberberg: Les appareils à "écouteur déporté", dont l'embout est de faible volume,
provoquent en général moins d'ennuis cutanés. Pour les cas extrêmes, il existe des "implants
d'oreille moyenne".
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18 mars 2016 - 18:26
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Roselyne Nicolas: C’est selon la perte d’audition que vous avez. Si elle est importante, il vaut
mieux un contour d’oreilles.
Charly: Un bilan auditif révèle que mes oreilles ont dix ans de plus que moi, mais cela ne permet
pas d'être appareillé. Je suis gênée dans la vie de tous les jours, existe-t-il une alternative afin de
retrouver un confort au quotidien?
Dr P. Zylberberg: Il ne suffit pas d'être gêné pour qu'un appareil auditif soit utile. Si votre
médecin ORL vous a déconseillé des appareils auditifs, vous pouvez consulter un autre ORL qui
confirmera ou infirmera ce qu'a dit le premier. Quoi qu'il en soit, un audioprothésiste n'est pas
autorisé à vous vendre des appareils sans prescription médicale. Sachez que ces dispositions ont
été adoptées pour protéger le patient en lui évitant d'acheter un appareillage inutile et non dans le
but de le brimer. Vous avez le droit d'acheter un appareil vendu en pharmacie, sans prescription ni
remboursement. Mais je ne vous le conseille pas si l'avis médical est de ne pas être appareillé.
Comtaleg7: Piles rechargeables ou piles traditionnelles à remplacer: quelles sont les meilleures,
les plus fiables et les moins dangereuses pour l'organisme?
Dr P. Zylberberg: Chaque solution présente des avantages et des inconvénients. Les piles utilisées
pour les appareils auditifs sont de type Zinc-Air. Elles ne sont donc pas dangereuses. Elles durent
en moyenne une semaine et sont remboursées par la Sécurité sociale.
Les batteries rechargeables sont beaucoup plus onéreuses. Il faut acheter le chargeur et la batterie.
Tout cela n'est pas remboursable par la Sécurité sociale. Les batteries doivent être rechargées
chaque jour. Le risque de perte n'est pas négligeable. Mais elles présentent, pour les seniors et les
personnes très malhabiles, l'avantage de ne pas devoir être changées puisqu'il suffit de placer
l'appareil auditif sur le chargeur chaque nuit.
Page suivante : Des prothèses plus esthétiques?
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1 2 3 4 » Dernier
Sommaire :
• 1) Audition. Vos questions sur l'appareillage, les réponses de nos experts
• 2) Des prothèses plus esthétiques?
• 3) Bien régler ses appareils
• 4) La question du prix
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• A lire aussi sur les thèmes: Actualités, Audition
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Commentaires (9)
•
membre_101868963
21 mars 2016 à 14:10 | # Mon mari, 72 ans, est appareillé depuis un an. Il a beaucoup
travaillé dans le bruit, grande cause de ses problèmes auditifs. Il ne supporte pas ses appareils
malgré de multiples réglages. Il entend trop des tas de petits bruits qu'il n'entendait plus depuis
longtemps et, surtout, refuse de les porter en permanence. Je ne peux pas les porter pour lui
!!!... (Répondre)
•
•
osiris34
21 mars 2016 à 13:11 | # désolée, je reviens ! j'ai oublié de vous dire qu'après cette opération,
le genou opéré a besoin d'être "glacé" régulièrement et ce, pendant plusieurs jours et même la
nuit. Eh bien lorsque je demandais une poche de glace la nuit, l'infirmière venait très
rapidement et "avec le sourire" me l'apporter. Petite précision : je n'étais pas dans un
établissement de luxe, mais dans un hôpital de la proche région parisienne. (Répondre)
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osiris34
21 mars 2016 à 11:44 | # "notre temps avril 2016" page 70 "arthrose : oser l'opération". J'ai
relu trois fois le premier paragraphe a/s de l'opération pour une prothèse du genou : je lis "... se
fait de + en + en ambulatoire ... il est possible de rentrer chez soi le jour même" !!! je rêve,
c'est de l'inconscience ! il y a exactement deux mois j'ai subi cette opération qui s'est TRES
BIEN PASSEE, tant du point de vue opératoire que des suites concernant l'état général. Je vs
précise que tous les jours c'était prise de température, prises de sang, prise de tension, visite du
kiné dès le lendemain, de la chirurgienne chaque soir, sans compter les aléas de la vie courante
: toilette, WC, etc ... je suis retournée chez moi au bout de 6 jours, vu mon kiné dès le
lendemain, et cela suit son cours normal. Mais je suis très choquée que votre journal par
ailleurs sérieux, puisse avancer que l'on peut rentrer chez soir le soir même, ou votre
journaliste a été mal renseignée ou son article n'a pas été vérifié !! j'allais oublier : je viens
d'avoir 80 ans, et suis en bonne santé par ailleurs. (Répondre)
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mira54
21 mars 2016 à 08:22 | # Ma maman qui a 90 ans est appareillée depuis bientôt 10 ans. Nous
avons l'impression qu'elle n'entends pas malgré le changement de piles régulirement. Serait il
necessaire de faire un nouveau bilan, car même le controle annuel ne me semble pas donné
d'effet. (Répondre)
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Anbinh
21 mars 2016 à 06:09 | # J'ai 80 ans et suis appareillé depuis 2 ans. Je suis né sourd du côté
droit et par manque de moyens je n'avais pas pu acheter des prothèses. A force de faire répéter
les gens, j'ai décidé enfin en Juillet 2015 à acheter chez un prothésiste un appareil à 900€. Et
avec les remboursements, ça me revenait à 600€ l'appareil. Un mois après, en Août 2015 donc,
j'ai appris qu'en pharmacie, se vend des appareils à 300€ sans remboursements. Donc si j'avais
attendu un peu, j'aurais eu 2 prothèses. Les prix baissent. Ne vous laissez pas endormir par les
prothésistes. (Répondre)
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membre_1967959648
20 mars 2016 à 11:08 | # Une remarque qui n'a rien à voir avec l'audition mais avec la vue...
Roselyne Nicolas écrit:"il ne vous sera rien demander". Il faut écrire :"il ne vous sera rien
demandé". Diriez-vous "il ne vous sera rien rendre " ou "il ne vous sera rien rendu"?.. C'est bel
et bien un participe passé et non un infinitif qu'il convient d'utiliser. Il faut rester vigilant
quand on écrit et qu'on est publié.
Cordialement (Répondre)
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cymba
20 mars 2016 à 10:34 | # Oui voir plusieurs audio prothesistes, même déjà sans rien prendre à
l'essai est très instructif : explications techniques, prise en compte de votre mode de vie... et ça
vous donne le temps de réfléchir et de poser des questions de plus en plus précises, avant de
choisir un audioprothesiste et de de faire un essai. Aucune raison de se faire presser par l'un ou
l'autre.
Pour ma part ne pouvant porter des intra auriculaires (otites chroniques), j'ai opté pour la
conduction osseuse (capteur sur des branches de lunettes). C'est sans doutemoins performant
comme résultat que des intra auriculaires, car il faut une pression constante des branches, mais
ça m'a au moins déjà redonné une audition suffisnate poru une vise sociale en petit groupe.
Petit plus -certes secondaire mais réel- l'entretien est plus facile, les risques de perte plus
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limités. Et de nos jours "tout le monde porte des lunettes" n'est-ce pas ??
Gros moins : il faut bien sûr équiper les lunettes de ses verres de vue adaptés donc démarrer plutôt
avec en même temps une prescription de verres récente pour ne pas avoir à en changer trop vite.
Info : les lunettes sont tout à fait normales, il faut juste choisir un modèle à branches
complètement rigides rigides (pas à ressort) ça limite un peu le choix esthétique.
Ma solution suivante sera un implant intra-cranien, mais là j'aimerais à mon tour des témoignages.
Très cordialement
cymba (Répondre)
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papydaniel
20 mars 2016 à 10:30 | # Bonjour
j'ai 68 ans pour moi les prothèses auditive n'ont plus de secrets je suis appareillé depuis l'age
de 28 ans obligation visite médicale du permis de conduire plus de 3,5 t j'ai commencé par un
seul appareille mais quelques années après j'ai été obligé dans porter un second l'oreille qui
n'était pas appareillée devenait elle aussi déficiente c'est pour cela qu'il faut être appareillé des
deux coté les audioprothésistes sont avant tout des commerçants il ne faut pas les écouter plus
cher ils vous vendront les appareilles plus d'argent ils se mettront en poche actuellement je suis
équipé des deux oreilles pour deux milles euros environ et j’entends très bien il faut aussi
veiller s’équiper de prothèses à contour d'oreilles avec potentiomètre l'on peut ainsi régler la
puissance soi même les prothèses sont pour moi un complément de ma vie je les met au saut
du lit comme les lunettes ou les dents on s'y habitue très vite et surtout ne pas mettre dans une
boite dite spécial les prothèses la nuit les déposer sur la table de nuit le tiroir de pile ouvert ils
seront ainsi aérés Les appareilles je les conservent sept à huit années voir plus Qui dit mieux
quarante années appareillé je pense pouvoir conseiller les gens!! (Répondre)
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demajuge
20 mars 2016 à 07:30 | # Bonjour,
j'ai 75 ans et porte des appareils depuis 7 ou 8 ans pour une déficience légère.
Si vous hésitez -ce qui est normal- je vous invite à essayer, toute adaptation passe par le
cerveau, et votre cerveau, comme le mien, est plus souple à 60 ans qu'à 75.. CQFD
Et surtout, allez voir plusieurs audioprothésistes, j'ai constaté une différence de plus de 1000
euros (oui, avec trois zéros) sur une paire d'appareils parfaitement identiques..
Cordialement
D. (Répondre)
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24 mars 2016 - 06:02
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Risque sanitaire : les oreilles des jeunes au
bord du précipice !
Alors que la réglementation protège les oreilles des
travailleurs, celles de nos enfants sont en danger
imminent. Le système auditif ne peut supporter une
pression acoustique de 100 dB, limite des baladeurs.
Il est mondialement établi que l'oreille est en danger
au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB, l'exposition
sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes
seulement pour ne pas subir de lésions graves de son
audition.
A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA
rappelle à quel point l’audition des jeunes est en danger.
Selon la dernière enquête JNA–IPSOS, plus de 1 jeune
sur 5 souffrirait en France d’une perte auditive.
Des chiffres qui alertent.
49% des jeunes interrogés a déjà ressenti une douleur aux oreilles, dont 21% ressent une douleur
fréquente et durable. Encore plus grave, suite à ces douleurs, 59% des jeunes attend que ça passe
au lieu de consulter, voire même d’en parler.
Bien qu’ils annoncent être sensibilisés et informés sur les risques auditifs, la menace d’un trouble
de l’audition leur paraît loin. La conscience des risques est donc totalement absente. Pour 70%
des jeunes interrogés, la crainte de perdre l’audition arrive bien loin après celle de perdre la vue.
Voir la dernière enquête JNA-IPSOS sur l’audition des jeunes
Pourtant la probabilité d’un trouble auditif est aujourd’hui avérée. Dès le plus jeune âge, leur
système auditif est soumis à des expositions sonores élevées : jeux sonores pour enfants, consoles
de jeux, vidéo embarquée, MP3 puis plus tard concerts et discothèques. Une perte auditive est
bien souvent irréversible et évolutive.
Il est urgent d’agir.
Selon l'association JNA, le développement d’une vraie politique de prévention constitue un levier
pour améliorer le niveau de santé auditive des Français.
Agir au plus vite permettra de ne pas subir – d’ici quelques années – une perte globale des
facultés auditives des Français, et évitera un risque sanitaire grave.
Les pratiques d’écoute des jeunes d’aujourd’hui entraîneront inévitablement un vieillissement
précoce de leur audition. Il y a lieu de parier que le phénomène de presbyacousie apparaîtra donc
beaucoup plus tôt. « On peut même imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un
senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans » rappelle Jean Stanko, président de l’association JNA.
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23 mars 2016 - 12:05
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Retour sur la journée de l’audition à Ajaccio
(Thomas Annoot - Alta Frequenza) - La journée de l’audition a
récemment eu lieu à la Caserne Grossetti à Ajaccio. Organisée par
l’Association JNA, cette journée avait pour but de sensibiliser à la
fois sur les risques et les dangers des nuisances sonores mais aussi de
proposer des solutions pour lutter contre les divers problèmes liés au
bruit tels que les acouphènes et l’hyperacousie. Des problèmes
auditifs principalement rencontrés chez les jeunes qui ont souvent du
mal à rester dans le silence étant donné leur rapport aux nouvelles
technologies mais pas seulement.
On écoute Nicole Ottavy, médecin ORL et adjoint au maire d’Ajaccio en charge de l’urbanisme,
qui animait cette journée de sensibilisation.
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21 mars 2016 - 10:07
Face au bruit, il ne faut pas faire la sourde
oreille
Cinq millions de Français seraient touchés par des problèmes auditifs
Les soucis d'audition ne sont plus réservés aux seniors. C'est ce qu'a révélé un sondage réalisé par
l'Ipsos pour l'association de la Journée nationale de l'audition(JNA). Les chiffres sont
alarmants car plus d'un jeune sur cinq souffrirait en France d'une perte auditive. Sur l'ensemble
des adolescents interrogés, 49 % déclarent avoir déjà ressenti une douleur aux oreilles, plus ou
moins fréquente et durable pour 21 %. Plus inquiétant encore, 59 % d'entre eux n'ont pas souhaité
consulter avouant dans le même temps que la menace d'un trouble auditif n'est pas leur principale
préoccupation.
L'OMS tire d'ailleurs la sonnette d'alarme. Elle estime que 278 millions de personnes dans le
monde présenteraient une surdité modérée à profonde des deux oreilles. Et ce chiffre pourrait
exploser avec l'allongement de la durée de vie. En France, nous serions cinq millions à souffrir de
troubles auditifs.
Pour Stéphane Roman, ORL au service de chirurgie cervico-faciale pédiatrique, à l'hôpital de la
Timone-Enfants, les troubles de l'audition sont un véritable problème de santé publique. "Les
enfants et en particuliers les adolescents, représentent une population très exposée", prévient-il.
Gros consommateurs de bruits, ils sont de plus en plus nombreux à présenter un déficit auditif soit
environ 10 % des moins de 25 ans. "L'écoute prolongée de la musique dans un casque, par
exemple, peut avoir un effet très lent et sournois car les microtraumatismes sonores ne se voient
pas.Aujourd'hui, on peut l'affirmer car une étude qui a suivi pendant plusieurs années une cohorte
d'enfants, a montré que ces enfants exposés de façon chronique aux sons peuvent conduire à des
dégâts irréversibles."
10 % des moins de 25 ans présentent un déficit auditif
"Il y a des mesures simples préventives à tenir, poursuit Stéphane Roman. Les adolescents ont
tendance à monter le son, c'est dangereux. Plus c'est fort, plus c'est long, plus c'est délétère. Il est
impératif de réduire le volume des appareils audio et smartphones et surtout de ne pas les utiliser
plus d'une heure par jour. Il faut également dissuader son enfant d'écouter le casque avant de
s'endormir. Je reçois des enfants qui écoutent leur baladeur avant de s'endormir, c'est une
catastrophe."
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21 mars 2016 - 10:07
Autre conseil, il ne faut pas laisser en permanence la télé allumée tout le temps. "Tous ces bruits
impacteront plus tard. Il faut savoir mettre ses oreilles au calme. Les parents doivent maîtriser le
temps d'écoute."
Et justement, les adultes se disent de plus en plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne
qu'auparavant. Neuf Français sur dix jugent le bruit excessif et pensent qu'il a des effets directs
sur la santé. "On oublie trop souvent que les troubles auditifs peuvent être à l'origine de
problèmes psychologiques importants. Mal entendre peut entraîner le repli sur soi et la solitude.
D'ailleurs, la dépression est plus fréquente chez les personnes entendant mal."
Une récente étude de l'Inserm de Bordeaux vient de montrer aussi qu'il existe un lien entre trouble
auditif et déclin de la mémoire et que le risque de la maladie d'Alzheimer serait deux fois plus
élevé.
"Avec les excès de la société, on sait que l'on va rencontrer de plus en plus de troubles auditifs.
C'est dommage, car on sait que lorsqu'on n'est pas exposé continuellement au bruit, il y a une
diminution drastique des troubles auditifs. On le voit dans certaines régions. Ménagez vos
oreilles. Quand on en a ras-le-bol de regarder quelque chose, quand la lumière est trop agressive,
on ferme les yeux. Pour les oreilles, on ne peut rien faire. Le seul moyen, c'est de diminuer le
son."
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21 mars 2016
Directeur des Soins
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Bienvenue à @jna_association Association organisatrice des Journées Nationales de l'Audition et de
promotion de la santé auditive en France
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Journées Nationales de l'Audition et de promotion de la santé auditive
en France
(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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18 mars 2016 - 07:28
Santé : la vie moderne, ça rend sourd !
La Journée Nationale de l'Audition a été célébrée le 10 mars dernier. Le sujet est sérieux, car
notre exposition quotidienne au bruit, qu'elle soit subie ou délibérée, a un impact négatif sur notre
notre santé. Les jeunes d'aujourd'hui, les sourds de demain.
L'oreille, cet organe fragile
Le monde moderne est bruyant. Difficile d'échapper au bruit dans un environnement hautement
urbanisé. Les bruits nocifs n'existent pas à l'état naturel, c'est l'homme qui les a inventés dans son
travail et ses loisirs. L'omniprésence sonore entraîne des déficiences auditives précoces qui touche
tout le monde, des plus jeunes aux plus âgés, avec, pour les premiers, des altérations d'autant plus
handicapantes pour leur vie d'adultes qu'elles sont irréparables. Une fois endommagées, les
cellules sensorielles de l'oreille interne (cellules ciliées), qui s'altèrent naturellement avec l'âge, et
plus rapidement si la pollution sonore est constante, ne peuvent être réparées ou remplacées.
Les jeunes, principales victimes du bruit
Lors de la dernière enquête JNA par l'institut Ipsos, les jeunes interrogés déclaraient que le bruit
est rassurant et que son absence les inquiétait. Inquiétant, effectivement, ce rapport des jeunes au
bruit. Les nouvelles technologies ont créé de nouvelles sources de bruit. Smartphone, casque et
écouteurs sont désormais les accessoires incontournables dès 15 ans, voire plus tôt. En écoutant
de la musique durant 4 heures avec une intensité supérieure à 88 dB, une personne peut abîmer
définitivement son audition. Une soirée en discothèque, c'est plus de 90 dB, un concert ou une
rave-party, plus de 110 dB. Ces intensités sonores excessives entraînent des pertes d'audition
partielles ou totales, mais les jeunes restent sourds aux messages de prévention.
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17 mars 2016 - 04:27
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Le studio de musique prend l'audition au
sérieux
Saint-Aubin-des-Châteaux - Modifié le 17/03/2016 à 04:00 | Publié le
15/03/2016 à 02:37
Un monde bruyant, et nos oreilles dans tout ça ? Eh bien, dans le cadre de la 19ejournée
nationale de l'audition, jeudi dernier, le pôle des musiques actuelles Aubin d'son y a participé en
partenariat avec le pôle régional des musiques actuelles, Agi Son et la société Earcare.
Le studio intercommunal de musique a accueilli près d'une dizaine de personnes ! Des
professionnels ont effectué cette démarche préventive et participé à cette session de moulage
personnalisée de filtres acoustiques (bouchons) destinés à toutes personnes ayant une activité
professionnelle ou de loisirs dans la musique.
Ce message était adressé aussi bien aux professionnels de la musique, qu'aux amateurs,
techniciens, ainsi qu'aux différents acteurs culturels et associatifs dans le Nord 44. « Il s'agit de
mettre en évidence le rôle de référent du pôle des musiques actuelles Aubin d'Son dans le
nord du département, ainsi que le Studio intercommunal », indiqueVictor Peslerbe,
responsable technique d'Aubind'son.
Contact. Tél. 02-40-28-31-68 ; [email protected]
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16 mars 2016 - 17:52
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Saint-Germain-lès-Arpajon : prévention au
collège pour la Journée Nationale de
l’Audition
A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition(JNA), le
collège Roland-Garros a ouvert ses portes à un atelier de prévention
présenté aux classes de sixième. Pendant près d’une heure, Flora
Mangin, membre du Service de Soutien à l’éducation familiale et à la
scolarité (SSEFS) lié au Centre médical de phoniatrie et de surdité
infantile (CMPSI) de La Norville, a tenté d’expliquer aux jeunes les
dangers autour des écoutes trop fortes ou trop longues dans le temps.
Cette orthophoniste de profession met en avant les risques de
mauvaises pratiques, notamment à la maison.
Retrouvez l’intégralité de cet article dans nos éditions papier et numérique du jeudi 17 mars.
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16 mars 2016 - 10:38
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Le Cantal devient accessible pour les sourds
C'est une bonne nouvelle que Danielle Arpaillanges, présidente des Malentendants du Cantal,
avait dans la poche lors de la journée nationale de l'audition. L'intégralité des salles du cinéma
d'Aurillac est désormais équipée de boîtiers, avec ou sans casque, qui permettent aux
malentendants d'assister à n'importe quel film.
« Notre volonté était que, quel que soit le handicap d'une personne, elle puisse venir au cinéma,
explique Céline Pirone, directrice du Cristal. Une fois par semaine, nous proposons aussi un film
sous-titré en français avec des descriptions du bruit ambiant, accessible aux personnes sourdes. »
Car la marginalisation des personnes malentendantes dans les lieux culturels est une réalité. « On
n'entend rien, lâche la présidente, atteinte d'une surdité profonde. Au théâtre, par exemple, on n'y
va pas, ce n'est pas la peine. L'appareil auditif est juste une aide à l'audition. Il ne remplace pas
l'oreille. »
Pour permettre aux personnes atteintes de ce handicap de profiter des spectacles, concerts, ou
films de cinéma, les établissements culturels du Cantal doivent s'équiper. Et depuis plus de deux
ans, la présidente et les 90 membres de l'association s'activent pour y parvenir.
Un combat
pour l'autonomie
« Nous voulons que chaque personne handicapée soit autonome et puisse vaincre son isolement.
Avec les dispositions que prennent des établissements comme le cinéma, nous pouvons profiter
d'une qualité de son proche de celle des personnes qui n'ont pas de problèmes. » Avec le système
des boucles magnétiques (*), les malentendants sont débarrassés des bruits environnants, par
exemple. Pour des spectacles vivants, cela implique que les comédiens parlent dans le micro. Ce
n'est pas toujours évident. « Au théâtre, des solutions sont envisageables, comme des micros
suspendus ou posés au sol… Il existe aussi des systèmes qui, reliés à une application de
smartphone, peuvent pallier cette contrainte. »
Pour l'heure, les membres de l'association font le relais pour informer les collectivités sur les
différents équipements possibles.
(*) Une boucle d'induction magnétique, aussi appelée boucle magnétique ou boucle auditive,
permet de faire parvenir le son du micro d'un orateur (ou d'une autre source, comme la télévision)
directement à l'appareil auditif de la personne.
Contacts. ARDDS, 15 Maisons des associations, 8 place de la paix, 15000 Aurillac.
[email protected] 06.70.39.10.32 ou 04.71.64.39.30.
Ann-Catherine Modolo
[email protected]
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16 mars 2016 - 01:06
Trop de bruit ! Les Français ne s'entendent
plus...
Une écrasante majorité de Français adultes (89%) considère que le
bruit représente un enjeu de société. De surcroît, cet enjeu prend de
plus en plus d’ampleur avec près des deux-tiers qui se sentent plus
exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu’auparavant. Ce taux a
tendance à monter à 70% auprès des seniors (50-74 ans). La
quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a des
effets directs sur la santé dont près de la moitié en sont intimement
convaincus (48%). Résultats de l’enquête JNA-Ifop pour la Journée
Nationale de l’Audition du 10 mars 2016.
Si l’impact perçu du bruit est négatif sur notre énergie, il l’est nettement moins sur des
dimensions plus dangereuses, menaçant d’ailleurs davantage sa santé. Ainsi, plus de la moitié
(53%) des sondés estime que le bruit crée des maux de tête, 49% qu’il génère souvent de
l’anxiété, 45% qu’il fait courir un risque de surdité définitive et 42% qu’il crée des acouphènes.
Concernant le diagnostic des effets néfastes du bruit pour les oreilles, les deux tiers des Français
(65%) pointent conjointement le volume sonore et la durée d’exposition.
Au travail et dans les transports : ces deux endroits, que nous pratiquons pour la plupart au
quotidien, sont ceux où les Français se sentent particulièrement agressés par le bruit
(respectivement 50 % et 48 % des Français déclarent y être souvent agressés). S’agissant du
moment durant lequel le bruit est le plus gênant, un petit tiers (32%) pense que c’est plutôt
pendant la nuit, 27% plutôt pendant la journée et 27% à ces deux moments.
Toujours selon ce sondage, les Français se disent particulièrement gênés pour suivre les
conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les Transports Publics pour près de neuf
personnes sur dix. Le lieu de travail suit de très près avec 79%. En comparaison avec les lieux
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16 mars 2016 - 01:06
extérieurs, le domicile est très minoritairement cité comme lieu d’agression sonore (21%) même
si les habitants de l’agglomération parisienne s’y sentent davantage agressés (29%).
Enfin, nos compatriotes légitiment le rôle des Pouvoirs Publics pour lutter contre le bruit et les
nuisances sonores. Concernant plus précisément la santé, un large majorité (85%) estime qu’une
meilleure gestion des nuisances sonores permettrait de bénéficier d’une meilleure santé et 83%
d’éviter une augmentation des risques de surdité. Enfin, 89% des sondés pensent qu’une meilleure
gestion du bruit permettrait d’améliorer la qualité de vie au quotidien. Ce en quoi ils n’ont pas
tort…
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16 mars 2016 - 08:19
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AHA : soigner son capital auditif
Jeudi 10 mars avait lieu la Journée nationale de l'audition, la raison pour l'Association handicap
auditif (AHA) de participer à cette 19e édition. Elle a proposé une permanence d'information à la
mairie, avec des documents sur la surdité, sur l'importance de protéger son capital auditif, sur la
prévention des risques, ainsi qu'une vidéo relatant les bruits toxiques qui nous entourent et qui
nous nuisent, et comment savoir se préserver. «L'ouïe est l'un des principaux sens nécessaires à
notre équilibre général», explique Anne Calvoz, présidente de l'association. «Il repose sur des
mécanismes fragiles, altérables et la plupart du temps irréparables. Nos oreilles s'usent, mais plus
rapidement si elles sont exposées à une exposition sonore intense et répétée. Lorsque la surdité
s'installe, difficulté à comprendre les autres et à communiquer. Si cette déficience auditive n'est
pas détectée à temps, les enfants sont en difficulté dans les apprentissages ; les adultes sont
fragilisés dans leur vie sociale et professionnelle, le déclin cognitif s'accélère chez les seniors. La
qualité de vie est donc impactée. Ensuite, avait lieu l'assemblée générale. Un constat : «L'année
2015 est déficitaire. Les achats de matériels nécessaires au fonctionnement de l'association et les
frais liés aux informations surdité ont été plus importants que les adhésions et dons. Seule une
mairie gersoise nous soutient. Nous existons depuis quinze ans et sommes la seule association liée
au handicap auditif et intervenons sur le département. Dommage que notre utilité ne soit pas
reconnue à sa juste valeur», a expliqué la présidente. Rechercher des partenaires est l'objectif
principal pour faire perdurer l'AHA du Gers. Les bénévoles sont motivés pour continuer car les
retours qu'ils ont, suite à leur intervention, sont toujours positifs, que ce soit pour informer,
discuter des astuces à mettre en place pour mieux communiquer avec une personne malentendante
ou sourde, aider dans les démarches administratives. La présidente a conclu : «N'hésitez pas à
soutenir et à prendre contact : [email protected] ou par sms au 06.92.96.51.74».
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15 mars 2016 - 10:47
Vaincre la surdité, par le Dr Devèze de
l'hôpital Clairval de Marseille
A l’occasion de la journée nationale de l’audition qui s’est tenue le
10 mars dernier, le Docteur Arnaud Devèze, Chirurgien ORL à
l’Hôpital privé Clairval de Marseille a voulu sensibiliser le grand
public à la problématique de la surdité qui touche de plus en plus la
population. Zoom sur les différentes solutions existantes.
La surdité est aujourd’hui une préoccupation centrale de santé publique. En effet, l’évolution
démographique prévoit une explosion des besoins ces prochaines années. Selon l’OMS, ce sont
aujourd’hui 278 millions de personnes dans le monde qui présentent une surdité modérée à
profonde sur les deux oreilles.
La plupart ne sont pas soignées alors qu’à ce jour, les progrès technologiques et la biotechnologie
permettent de traiter la quasi-totalité des surdités, à tel point qu’on parle aujourd’hui de déficit
résolu. Il existe en effet de multiples solutions pour répondre aux problèmes de surdité, et à tous
les niveaux de la chaîne auditive, à l’instar des appareils et implants.
« Il est important de consulter un spécialiste dès les premiers symptômes de surdité. Prendre à
temps la surdité permet notamment d’éviter les cas d’isolement. Aujourd’hui, elle n’est plus une
fatalité », précise le Docteur Arnaud Devèze.
En témoigne Gabriella Fiori, une patiente de ce spécialiste : « j’ai un déficit d’audition assez
important depuis la naissance sans que cela n’ait été détecté et traité. Ce qui a eu un impact
significatif tant dans ma vie scolaire et professionnelle que personnelle. Les prothèses, que je
porte depuis quinze ans, ont énormément changé ma vie et je regrette de ne pas avoir eu
l’occasion d’être dépistée et traitée plus tôt ».
Et de poursuivre : « le docteur Devèze m’a permis de comprendre l’origine de ma pathologie, son
interaction avec une autre pathologie immunitaire, et prévoir les solutions possibles quant à son
évolution. Et ce, grâce à une approche holistique du patient et à la pointe de la technologie et de la
recherche ».
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15 mars 2016 - 10:47
Certaines activités d’implantations n’étant pas remboursées en France, le Dr Devèze et l’Hôpital
souhaitent créer, à partir de cette année, un fond de recherche et d’innovation pour offrir la
possibilité à une dizaine de patients par an d’être pris en charge.
Le marché de l’amplification auditive est conséquent et les perspectives de développement sont
considérables. C’est un atout pour les patients, qui, tous les deux ans environ bénéficient d’une
nouvelle avancée technologique. A ce jour, les moyens de réhabiliter les différents types de
surdité comprennent les aides conventionnelles de type prothèses auditives -équipées d’un
microphone, d’un processeur pour traiter le signal et d’un haut-parleur– ainsi que les implants
auditifs. A noter que les prothèses auditives deviennent insuffisantes en cas de surdité trop
avancée.
Il existe trois types d’implants, comprenant chacun une structure électronique qui transforme les
signaux sonores captés dans l’environnement et les traduisent en signal électrique :
- Les implants en conduction osseuse (ICO) : ils restituent l’énergie en énergie vibratoire
transmise soit à la voute crânienne soit à l’os mastoïdien. Cette énergie vibratoire est ainsi
transmise aux fluides de la cochlée et met en vibration les cellules de l’oreille interne. Ce type
d’implant s’adresse aux patients sans tympan ou osselet, et permet ainsi de créer la vibration
émise normalement par les osselets.
- Les implants d’oreille moyenne (IOM) : ils restituent l’énergie en énergie vibratoire ensuite
transmise soit aux osselets soit aux structures vibrantes de l’oreille moyenne jusqu’à la cochlée.
Dans ce cas et le précédent, l’oreille interne et ses cellules ciliées fonctionnent correctement. S’il
ne reste peu ou plus de cellules ciliées, il faut alors remplacer la cochlée avec un implant
cochléaire.
- Les implants cochléaires (IC) : ce sont les implants les plus posés en France. Ils restituent
l’énergie en signal électrique directement aux neurones des nerfs auditifs situés dans la cochlée,
car celle-ci étant peu on plus fonctionnelle, il n’y a donc plus de vibration.
Dans certains cas plus rares de surdités d’origine nerveuse, où il n’y a plus d’oreille interne ni de
nerf auditif, il est possible de poser un implant directement sur le tronc cérébral qui stimule alors
directement le cerveau auditif.
« Quand une surdité n’est pas corrigée immédiatement, notamment pour les personnes âgées qui
sont les plus touchées, le cerveau se déshabitue du son. Au plus on réhabilite tôt au moins les
difficultés sont importantes. La précocité de l’appareillage ou de l’opération est donc importante
», ajoute le Docteur Devèze.
Une équipe pluridisciplinaire constituée d’un médecin ORL, d’un orthophoniste, d’un audio
prothésiste, d’un psychologue, d’un gérontologue est nécessaire pour offrir une prise en charge
globale au patient. En effet, après la pose d’un implant cochléaire par exemple, les sons sont
différents pour les patients. Ces derniers doivent ainsi être accompagnés d’un orthophoniste et
d’un psychologue afin de les réhabituer à l’écoute et à la parole.
Il y a quelques années, les personnes souffrant d’un problème d’audition n’avaient pas
constamment de solutions pertinentes en fonction de leur degré de surdité, aujourd’hui grâce au
progrès de la biotechnologie et une prise en charge précoce, quasiment toutes les surdités peuvent
être vaincues.
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15 mars 2016 - 02:28
La première journée de l'audition est un
succès
Une première réussie. Fontenay-le-Fleury a organisé, jeudi dernier, sa première journée de
sensibilisation aux risques du bruit, dans le cadre de la Journée nationale de l'Audition.
Cinquante et une personnes y ont participé, dont 27 qui ont effectué un test de dépistage auditif
gratuit réalisé par un audioprothésiste(notre photo) .De même, 20 agents communaux ont suivi le
même test avec la médecine du Travail et 25 autres le feront prochainement. « C'est le premier
événement marquant pour le pôle handicap que nous avons lancé en septembre dernier », indique
sa responsable, Catherine Satabin. « Il nous semble important de sensibiliser les jeunes aux
risques de la musique amplifiée », estime Anne Petitjean, une assistante sociale.
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11 mars 2016 - 21:08
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Quels sont les signes d'une perte auditive ?
Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires. ©mediaphotos/Istock.com
Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante dans le monde.
1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10 signes qui ne
trompent pas.
Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir des difficultés scolaires et
présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des problèmes sociaux à l'école.
À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins informent des manifestations
fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne trompent pas, on retrouve :
- Des retards ou des différences de développement de la parole et du langage- Un défaut
d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus mauvais que ce que
l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de l'enfant, surtout s'il
n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"- Difficultés de
compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du téléviseur ou
de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au téléphone ou faire
passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé par des sons
intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
Suivez-nous sur Facebook, Twitter et abonnez-vous à notre newsletter de 17h30.
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12 mars 2016 - 09:09
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Blagnac. L'IUT au plus près du monde du
travail
L'IUT a profité de la 19e édition de la journée nationale de l'audition pour organiser en
partenariat avec la CARSAT Midi-Pyrénées, un forum dans ses locaux, jeudi dernier. «Nous
avons un partenariat avec la CARSAT depuis plusieurs années. En octobre, cette dernière nous a
proposé une action pour la journée nationale de l'audition. Cela a permis à nos étudiants de la
filière génie industriel et maintenance de travailler de façon concrète sur...
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14 mars 2016 - 07:47
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Ils se forment à des pathologies méconnues de
l'audition
L'école fougeraise spécialisée fête ses vingt ans. Elle forme à un métier dont le côté social est
méconnu, tout comme les pathologies associées à l'audition.Vingt ans ! L'école d'audioprothèse
de Fougères fête un anniversaire particulier cette année. « La formation dure trois ans et permet
d'obtenir un diplôme d'État d'audioprothésiste , résume Stéphane Laurent, le responsable
pédagogique. On dépend de la faculté de médecine de Rennes. »Seulement sept établissements
permettent d'obtenir ce diplôme en France. Le concours, ouvert aux titulaires d'un baccalauréat,
est donc compliqué à réussir : 200 personnes le tentent chaque année, pour une trentaine
d'élus.L'école a déménagé à Javené, l'été dernier, pour rejoindre les nouveaux locaux de la
Chambre de commerce et d'industrie (CCI) : « C'est plus fonctionnel. » Les étudiants ont accueilli
les visiteurs, jeudi, lors de la journée nationale de l'audition.« Approche humaine »Ils ont ainsi
pu parler de ce métier : « Il y a évidemment l'aspect technique, dont une base robuste en
acoustique, mais il y a surtout une grande partie consacrée à la prise en charge du patient, même
si on n'est pas médecin, témoigne Elias Touchais, en 3 année. L'aspect social m'a convaincu, au
moment de faire un choix. »Stéphane Laurent confirme : « Il faut savoir accompagner les patients
et comprendre leurs difficultés au quotidien, pour pouvoir apporter une aide. C'est un mélange de
bonnes connaissances scientifiques et d'une approche humaine. »Et, à la fin du cursus, « tous
trouvent un travail » , assure le responsable. C'est le cas de Camille Cellié, en Vendée, après avoir
obtenu son diplôme en octobre : « Grâce aux stages, j'ai noué des contacts. Ce métier me plaît
pour son aspect paramédical, la relation avec les patients, car il faut continuer à se former
constamment pour suivre les évolutions scientifiques. »Lors des portes ouvertes, ils ont également
évoqué les différents problèmes auditifs. « L'audition est un facteur aggravant pour certaines
maladies » , prévient Stéphane Laurent.Camille Cellié ajoute : « On pense souvent aux soucis de
communication, mais les problèmes sont beaucoup plus nombreux. Le risque de chute est, par
exemple, plus élevé. Comme le cerveau manque de stimulations, il y a également une
augmentation du risque de développer des démences, notamment Alzheimer. C'est un véritable
problème de santé publique, méconnu. »Léo SCHMITT.
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11 mars 2016 - 17:50
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Audition: tout savoir sur les acouphènes!
Roselyne Nicolas est présidente de l'association France Acouphènes et vice-Présidente de
l'Association JNA. Le Dr Paul Zylberberg, médecin du travail est 1er vice-Président de
l'association JNA et membre du comité scientifique JNA qui organise chaque année la Journée
nationale de l'audition (JNA).
Calimero: J'ai appris que j'avais perdu 40% d'audition aux deux oreilles suite à un contrôle chez
un spécialiste il y a deux ans et je n'ai pas eu les moyens de m'appareiller. Maintenant, j'entends
constamment comme une alarme qui se déclenche et qui hurle. Qu'en pensez-vous?
Roselyne Nicolas: Ce que vous percevez comme une alarme, ce sont sans doute des acouphènes
qui arrivent souvent en même temps que la perte auditive. Ils sont souvent améliorés par le port
de prothèses auditives qu'il serait utile de porter. Les remboursements sont souvent multiples,
faites-vous aider pour en bénéficier par un service social ou une association de malentendants.
Bouillonblanc: À 76 ans, j'ai des acouphènes, comme des sifflements, est-ce nerveux? J'ai fait
récemment un test de l'audition, il est OK.
Roselyne Nicolas: À votre âge, il peut y avoir un problème d'audition. Essayez de savoir avec un
ORL ce qui s'est passé dans votre vie au moment où ces acouphènes sont apparus (choc
émotionnel, exposition au bruit...).
Polucien: Bonjour, existe-t-il des appareils pour les acouphènes? Merci
Roselyne Nicolas: Il faut savoir si vous avez une perte d'audition ou pas. Si vous avez de perte
d'audition, un appareil "normal" (pour entendre) peut vous aider à moins les percevoir. Si vous
n'avez pas de perte d'audition, il existe des générateurs de bruit, qui vont permettre à votre
cerveau d'écouter autre chose que l'acouphène en le "distrayant". Le cerveau écoute le générateur
et pas l'acouphène. il existe aussi des thérapies auditives comportementales, non remboursées et
non prises en charge. Il existe des spécialistes en thérapies auditives comportementales. Votre
ORL peut vous donner des adresses.
Tristesse: Peut-on guérir d'un acouphène que l'on a depuis 5 ans?
Roselyne Nicolas: Selon l'origine des acouphènes,vous pouvez avoir une aide qui permettra de
moins les percevoir. Je vous invite à aller rencontrer un ORL qui fait partie d'une équipe
pluridisciplinaire (qui comprend un ORL, une psychologue, une orthophoniste etc).
Laeti: J'ai 32 ans et j'ai des acouphènes aux deux oreilles depuis 4 ans. Quelles démarches dois-je
faire pour faire les tests, avoir un appareil auditif et être reconnue? J'habite près de Namur.
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11 mars 2016 - 17:50
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Roselyne Nicolas: Il faut aller chez l'ORL qui fera des tests et vous prescrira une aide auditive. Il
remplira les documents pour une éventuelle reconnaissance.
Drogo: Où en sommes-nous des acouphènes?
Roselyne Nicolas: La recherche avance doucement mais la multitude de causes aux acouphènes
fait que les résultats sont lents à venir.
Doudoue: J'ai des acouphènes permanents depuis juin 2015, un sifflement dans les deux oreilles.
Quels remèdes? L'ORL m'a prescrit du Nootopyl que je continue à prendre sans aucune
amélioration. Faut-il s'appareiller? Comment? Auprès de qui? Y a-t-il des ORL spécialistes des
acouphènes?
Dr Paul Zylberberg: La survenue d'acouphènes est souvent contemporaine – ou même précède un
peu – une perte auditive. La correction de cette perte auditive améliore assez souvent ces
acouphènes, parfois les élimine tout à fait. Quant à votre deuxième question, il existe des cabinets
ORL qui font savoir qu'ils prennent particulièrement en charge les acouphènes.
Victorine: Bonjour, quel appareil pour acouphènes choisir et lequel?
Roselyne Nicolas: Bonne question! il faut faire confiance à un audioprothésiste qui, selon votre
perte d'audition vous conseillera telle ou telle marque. Sachez aussi que dans le prix, est compris
le suivi et l'entretien de l'aide auditive.
Fortche: Quels sont les traitements suite à une sinusite et une arthrose cervicale? merci.
Roselyne Nicolas: Si la sinusite est récente, retournez voir votre ORL. Il peut rester de
l'inflammation qui entretient vos acouphènes. Pour l'arthrose cervicale, il faut déjà savoir si cela
vient des cervicales.
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11 mars 2016 - 16:04
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Perte auditive chez l’enfant: dix signes qui ne
trompent pas
Selon l’OMS, pas moins de 32 millions d'enfants soufffrent de
déficience auditive dans le monde dont 1,4% des moins de 14 ans en
France. Voici les dix signes avant-coureurs.
Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir des difficultés scolaires et
présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des problèmes sociaux à l'école.À
l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins informent des manifestations
fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne trompent pas, on retrouve :1. Des
retards ou des différences de développement de la parole et du langage2. Un défaut d'attention ou
des problèmes de comportement3. Des résultats scolaires plus mauvais que ce que l'on attendait4.
Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de l'enfant, surtout s'il n'attire pas son
attention5. Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"6. Difficultés de compréhension de la parole
dans un bruit ambiant7. Augmenter le niveau sonore du téléviseur ou de la chaîne audio à des
niveaux déraisonnables8. Ne pas répondre aux voix au téléphone ou faire passer continuellement
le téléphone d'une oreille à l'autre9. Ne pas être effrayé par des sons intenses10. Ne pas pouvoir
localiser une source sonore avec précision
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Découvrir la langue du silence, des initiatives
pour petits et grands
Comme chaque année, le service Accès libre au savoir de la communauté de communes a
organisé une animation dans le cadre de la 19e Journée nationale de l’audition.Une conteuse,
Dominique Lassaigne, "la kidnappeuse d’oreilles", a présenté un spectacle d’initiation autour de
la Langue des signes française (LSF). Un public d’une trentaine de participants, composé
d’adultes et d’enfants, a assisté au spectacle.Par ailleurs, le service Accès libre au savoir va mettre
en place des cours de LSF pour adultes. Les personnes intéressées peuvent contacter les
animatrices pour avoir des informations.Le service recherche également une personne maîtrisant
la LSF pour intervenir auprès des enfants afin de les sensibiliser au handicap de la surdité et à ce
langage visuel et gestuel.Pratique Service Accès libre au savoir. Tél. 04.74.70.68.93.
Renseignements: [email protected].
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13 mars 2016 - 05:08
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Découvrir la langue du silence, des initiatives
pour petits et grands
Comme chaque année, le service Accès libre au savoir de la communauté de communes a
organisé une animation dans le cadre de la 19e Journée nationale de l’audition.Une conteuse,
Dominique Lassaigne, "la kidnappeuse d’oreilles", a présenté un spectacle d’initiation autour de
la Langue des signes française (LSF). Un public d’une trentaine de participants, composé
d’adultes et d’enfants, a assisté au spectacle.Par ailleurs, le service Accès libre au savoir va mettre
en place des cours de LSF pour adultes. Les personnes intéressées peuvent contacter les
animatrices pour avoir des informations.Le service recherche également une personne maîtrisant
la LSF pour intervenir auprès des enfants afin de les sensibiliser au handicap de la surdité et à ce
langage visuel et gestuel.Pratique Service Accès libre au savoir. Tél. 04.74.70.68.93.
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12 mars 2016 - 05:04
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Les élèves de Painlevé et les risques auditifs
Jeudi, au foyer à Painlevé, les lycéens de 1re ST2S accueillaient une centaine de leurs camarades
de seconde, à l’occasion d’un forum qu’ils organisaient. Quatre ateliers permettaient de se rendre
compte de ce que sont les risques de perdre de l’audition. Pour voir comment fonctionne l’oreille:
une maquette démontable, une animation sur son anatomie et la mesure des décibels à l’aide d’un
sonomètre. Ainsi qu’une mesure d’audiogramme par une infirmière. Une information qui
participait de la Journée nationale de l’audition et d’un projet comportant un concert, Dose le
son, à la Tannerie, à Bourg.
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12 mars 2016 - 06:18
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Je n'ai pas bien entendu...
Le centre hospitalier de la Tour Blanche, comme les années précédentes, a offert, jeudi, des tests
d'audition gratuits. En début d'après-midi, Marie-Hélène Cyrille, infirmière, avait déjà reçu quinze
personnes.
Le test a duré dix minutes. Chaque personne, dans une cabine insonorisée, a posé un casque sur
ses oreilles. Puis l'infirmière a envoyé des sons, dans chaque oreille, l'une après l'autre : un neutre,
trois graves et trois aigus, avec des intensités différentes.
Les patients sont repartis avec la copie de leur audiogramme qui sera analysé par le docteur
Rabah Bouhadef. Si cela s'avère nécessaire, le médecin enverra une convocation pour une
consultation à l'hôpital. Cinq personnes, testées quelques années auparavant, sont venues pour
voir l'évolution de leur audiogramme.
Les personnes venant pour la première fois ont apprécié le service, regrettant que des tests de
vision et de mémoire ne soient pas également proposés. Sur ces quinze premières personnes
testées, seules trois avaient moins de 45 ans. On peut s'interroger sur le créneau d'ouverture du
test, en plein cœur d'une journée de travail, mais aussi apprécier la réelle utilité de cette Journée
nationale de l'audition.
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12 mars 2016 - 08:58
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L'IUT au plus près du monde du travail
L'IUT a profité de la 19e édition de la journée nationale de l'audition pour organiser en
partenariat avec la CARSAT Midi-Pyrénées, un forum dans ses locaux, jeudi dernier. «Nous
avons un partenariat avec la CARSAT depuis plusieurs années. En octobre, cette dernière nous a
proposé une action pour la journée nationale de l'audition. Cela a permis à nos étudiants de la
filière génie industriel et maintenance de travailler de façon concrète sur des équipements relatifs
au bruit en entreprise. Les étudiants peuvent ainsi montrer leur capacité à réagir face aux
problématiques posées par une entreprise, mais également de faire connaître leur travail, puisque
des entreprises sont présentes. C'est l'opportunité pour l'IUT de lier des partenariats avec des
acteurs économiques susceptibles d'intervenir dans nos formations et d'accueillir nos étudiants en
stage», indique Xavier Daran, directeur de l'IUT. Denis Garin, responsable du service prévention
à la CARSAT Midi Pyrénées, ne cache pas non plus sa satisfaction. «Ce partenariat permet de
mettre en place des projets tutorés. Cette année, il s'agissait de développer des outils pour la
prévention des maladies professionnelles auditives. En effet, la surdité professionnelle est la
cinquième maladie en Midi Pyrénées. Ce partenariat est intéressant pour chacun, au final, nous
disposerons d'un outil performant pour promouvoir la prévention et les jeunes ont la possibilité de
mener leur projet dans les meilleures conditions.» Les étudiants ont profité de ce forum pour
assister à diverses conférences ouvertes également aux entreprises, et pour présenter leurs
travaux». «Nous sommes amenés aux travers de projets pluridisciplinaires à concevoir et savoir
utiliser des outils de prévention qui nous seront utiles dans nos futurs métiers», précise Sarah,
étudiante en deuxième année qui souligne que malgré le faible effectif féminin, les filles ont toute
leur place dans ce type de formation.
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12 mars 2016 - 04:14
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Journée nationale de l’audition
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13 mars 2016 - 15:42
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Montpellier : apprendre à protéger ses
oreilles
On devient sourd de plus en plus jeune! Musique trop forte, bruit de
la ville, nous sommes régulierement exposés à des chocs auditifs. Les
dommages sont irréversibles. L'avertissement est lancé, entre autre,
par le CHU de Montpellier.
Selon l'association JNA(journée Nationale de l’Audition), on oublie trop souvent que l'audition
est un capital très précieux. Etre exposé longtemps ou souvent à un bruit très fort dégrade l'oreille.
Et tous ces traumatismes cumulés provoquent une baisse de l'audition.Notre mode de vie
moderne, de plus en plus bruyant , n'arrange pas les choses. Les effets de l’écoute de musique
amplifiée sont souvent pointés du doigt avec raison mais l’ accumulation du bruit sur l’ensemble
d’une journée est rarement considérée à sa juste valeur.Or, cette accumulation génère une
pression acoustique continue sur le système auditif.Une fatigue auditive s’installe. Ce qui
explique que nous comprenons mieux la parole le matin que le soir.A force d’accumulation
sonore, une usure prématurée des cellules sensorielles de l’oreille peut apparaître de manière
irréversible.L’oreille a besoin de temps de répit pour que les équilibres de pression puissent se
rétablir.Les oreilles des jeunes sont également dans la tourmente : selon JNA, 74 % expriment
avoir des difficultés à comprendre la parole à l’école et plus de 1/3 sont gênés à leur
domicile.CHU de Montpellier : une journée pour tester ses oreilles gratuitementLa Journée
Nationale de l’AuditionLa Journée Nationale de l’Audition, qui s'est tenue jeudi 10 mars
partout en France, peut être l’occasion pour tout un chacun de faire tester son audition
gratuitement.3 000 professionnels se sont mobilisés pour proposer des tests gratuits de l’audition
dans toutes les régions :Parmi eux les médecins ORL, les services ORL des centres hospitaliers,
comme leCHU de Montpellier, mais aussi les médecins généralistes, les médecins du travail, les
audioprothésistes, les orthophonistes.
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13 mars 2016 - 05:02
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Dieue-sur-Meuse : conférence sur le bruit et
l’audition
13/03/2016 à 05:00
Jeudi 10 mars, c’était la Journée nationale de l’audition. Sandrine Lhotte, directrice, et le
docteur Bernard Jacquot, médecin coordinateur de l’Ehpad ...
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11 mars 2016 - 11:29
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Le bruit casse les oreilles des Français
Les Français se disent de plus en plus exposés à des bruits
excessifs. Des nuisances sonores qui les gênent dans leur
quotidien, les fatiguent et génèrent du stress
Casque audio vissé sur les oreilles, brouhaha des bureaux en open-space, nuisances sonores en
ville… Tous les jours, nos oreilles sont la cible d’attaques. A tel point que les Français ne
s’entendent plus, a dénoncé l’association JNA à l’occasion de la 19ème édition de la Journée
nationale de l’audition du 10 mars. Une pression sonore qui aurait empiré selon les Français. En
effet, l’enquête Ifop – JNA 2016, réalisée pour cette journée de sensibilisation, indique que près
de 2 Français sur 3 se sentent plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu’auparavant. Pire,
ils sont plus de 9 sur 10 à se dire exposés à un bruit qu’il juge excessif. Une nuisance qui a des
effets directs sur leur santé. Près de la moitié des sondés estiment que le bruit crée des maux de
tête et des acouphènes, génère souvent de l’anxiété et qu’il fait courir un risque de surdité
définitive. A l’inverse, les jeunes de 15 à 17 ans semblent ne pas avoir conscience des dangers.
Pour 70 % d’entre eux, le bruit n’entraînerait pas de surdité définitive mais il éduquerait l’oreille.
Toutefois, 58 % de cette tranche d’âge a le sentiment de subir le bruit sans rien pouvoir faire.
Des conséquences graves
Et les conséquences sont déjà visibles chez un grand nombre des sondés. La quasi-totalité est
gênée pour suivre des conversations dans les restaurants, dans les transports publics ou encore à
leur travail. Les jeunes avouent également avoir des difficultés à suivre une discussion à l’école.
Conséquence : cette perte auditive entraîne des échecs scolaires, des difficultés d’interactions
sociales, une baisse des performances au travail… Par ailleurs, de nombreux travaux ont montré
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11 mars 2016 - 11:29
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qu'une exposition importante au bruit peut induire des troubles cardiovasculaires comme de
l'hypertension artérielle, de l'anxiété et une dépression. La fatigue et le stress associées à ces
nuisances sonores génère également des troubles du sommeil.
Les bons réflexes
« Les effets de l’écoute de musique amplifiée sont souvent pointés du doigt avec raison mais
l’accumulation du bruit sur l’ensemble d’une journée est rarement considérée à sa juste valeur,
souligne le Dr Pascal Foeillet, médecin ORL, vice-président de l’association JNA. Or, cette
accumulation génère une pression acoustique continue sur le système auditif. Une fatigue auditive
s’installe ». Ces traumatismes provoquent ainsi l’usure prématurée des cellules sensorielles de
l’oreille. A ce jour, il n’est pas possible de les remplacer. C’est pour cette raison que « l’oreille a
besoin de temps de répit pour que les équilibres de pression puissent se rétablir », ajoute le
spécialiste. Parmi les bons réflexes, les sondés estiment que limiter le volume d’écoute de la
musique et fuir les lieux bruyants sont les plus faciles à appliquer au quotidien. Un tiers des moins
35 ans disent penser à porter des protections lors des concerts ou en boîte de nuit. Cependant, peu
de Français choisissent de limiter le temps d’écoute et s’accorder des pauses auditives. Source
: pourquoidocteur.fr
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14 mars 2016 - 10:12
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Le jeudi 10 mars 2016, 19e édition de la
Journée Nationale de l’Audition.
Dans le cadre de la Journe e Nationale de l’Audition du jeudi 10 mars 2016, l’association
e ponyme vient de lancer sur les re seaux sociaux trois spots reprenant le me me message :« Mes
oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! »Ces messages vide o de pre vention visent trois cibles
distinctes : les jeunes expose s quotidiennement a des niveaux sonores excessifs via leur
smartphone et leur casque visse sur leurs oreilles a longueur de journe e, les personnes sur leur
lieu de travail expose es a des bruits intenses sans aucune protection sur leurs oreilles ; l’objectif
vise par le troisie me message est de sensibiliser les seniors pour qu’ils prennent soin de leurs
oreilles durant leurs loisirs et bricolage en se prote geant syste matiquement contre le bruit excessif
pour e viter d’alte rer leur audition.Un message est omnipre sent dans ces trois spots vide o : les
contro les auditifs re guliers chez son me decin.Pour voir ou te le charger les spots :
http://www.journee-audition.org/flash-infos-jna/225-3-spots-videode-prevention-mes-oreilles-j-y-tiens-j-en-prends-soin.htmlLa Journe e Nationale de l’Audition,
qui se tient jeudi 10 mars partout en France, pourra e tre l’occasion pour tout un chacun de faire
tester son audition gratuitement.3 000 professionnels seront mobilise s ce jeudi 10 mars pour
proposer des tests gratuits de l’audition dans toutes les re gions, parmi eux les me decins ORL, les
services ORL des centres hospitaliers, les me decins ge ne ralistes, les me decins du travail, les
audioprothe sistes, les orthophonistes.Ou se rendre au plus pre s de chez soi ? Les participants et le
programme :www.journee-audition.org ou N° Azur 0 810 200 219 (prix d’un appel local).Hein ?
Quoi ? Comment ? Les Franc ais ne s’entendent plus ?A l’occasion de cette 19e e dition, le groupe
d’experts de l’association JNA alerte les autorite s sanitaires sur les risques e leve s de troubles de
l’audition sur une population de plus en plus jeune mais aussi chez les seniors. Quant aux actifs
au travail, ils sont souvent expose s a des sources sonores e leve es et rechignent a porter des
protecteurs contre le bruit.Les pratiques sonores ge ne ralise es sont aujourd’hui source de
traumatismes et d’usure pre mature e des cellules sensorielles de l’oreille. La surdite est
irre versible et e volutive. 1 jeune sur 2 est de ja atteint et les me decins ORL observent une
augmentation des acouphe nes, de l’hyperacousie, de surdite brusque, et de la presbyacousie.Le
bilan auditif : une photographie de ses capacite s auditives« Seul le bilan de l’audition permet de
re aliser une photographie de son capital auditif », explique le Docteur Pascal Foeillet, me decin
ORL et Vice-pre sident de l’associationJNA. « Il s’agit la d’un outil de pre vention sante
permettant d’expliquer concre tement au patient les mesures personnalise es a mettre en place ou le
cas e che ant, les solutions a sa porte e pour maintenir la compre hension de la parole.» Comme dans
le cadre de la pre vention des risques solaires, nous pouvons e galement parler de « capital auditif
».De s la naissance, l’e tre humain est dote de 15 000 cellules sensorielles par oreille. Ces cellules
transmettent les informations au cerveau auditif. Elles sont fragiles et a partir de 20 ans, elles
commencent a s’user naturellement. A partir de 60 ans environ, l’usure produit une surdite ,
phe nome ne appele presbyacousie.Toutefois, les pratiques d’e coute de musique, l’absence de
re flexes de protection, l’omnipre sence du bruit provoquent leur usure pre mature e. A ce jour, il
n’est pas possible de les remplacer. La de ficience auditive non traite e peut a tout a ge modifier
l’e tat ge ne ral de sante et fragiliser les parcours de vie.
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11 mars 2016 - 21:42
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L’Académie nationale de médecine alerte sur
la surdité précoce
Il est temps de réagir face aux nuisances sonores! A l’occasion de la
Journée Nationale de l’Audition du 10 mars 2016, l’Académie de
médecine rappelle les méfaits du bruit sur notre santé.
Elle prévient des risques rencontrés dans plusieurs situations de notre vie quotidienne : le trauma
du « samedi soir » dû aux forts niveaux sonores en discothèque ; l’agression du bruit sur le lieu de
travail, et enfin la faible prise en compte de la dimension sonore dans l’habitat par rapport à la
dimension thermique. Face à ces situations à risque, l’Académie formule des recommandations.
Dans un premier temps, elle préconise la consultation d’un spécialiste dès les premiers signes
apparents (acouphènes).Ensuite vient l’utilisation systématique d’une protection auditive au
travail comme dans les loisirs. Enfin elle souligne l’importance de sensibiliser la population à ces
risques: au sein des établissements scolaires, dans les corps de métier touchant à la qualité
acoustique des habitations et au sein des mairies afin de faciliter l’information des habitants sur
les nuisances sonore de voisinage.
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11 mars 2016
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6 M de Malentendants
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RT @Surdiinfo: Journée nationale de l'#audition : aujourd'hui! Trois spots de #prévention sont diffusés à
cette occasion : https://t.co/yR3…
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spots de #prévention sont diffusés à cette occasion : https://t.co/yR3…
(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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10 mars 2016 - 20:05
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas. Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école. À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve : - Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage - Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement - Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait - Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention - Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein" Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant - Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables - Ne pas répondre aux voix au
téléphone ou faire passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre -Ne pas être effrayé
par des sons intenses -Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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10 mars 2016 - 17:41
Journée de l’audition : prendre soin de ses
oreilles
La 19 e journée de l ’audition se tient ce jour pour sensibiliser le public sur les risques liés à
l’audition et l’impact des nuisances sonores sur la santé. Autour du slogan « Un monde bruyant…
et nos oreilles dans tout ça ? », des conférences, expositions, concerts pédagogiques mais aussi
des tests de l ’audition sont organisés gratuitement dans toute la France. L’ensemble des actions
est à retrouver sur le site journee-audition.org La campagne est aussi présente sur les réseaux
sociaux et incite à des contrôles auditifs réguliers avec 3 spots reprenant le même message « Mes
oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! ». [embedded content] Les résultats de l’enquête JNA-Ifop
pour cette journée ont également été publiés et révèlent l’omniprésence du bruit dans la vie
quotidienne. Ainsi 9 personnes sur 10 se disent exposées tous les jours à un bruit excessif et ont
des difficultés pour suivre les conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les
transports publics. 45 % des Français pensent également que le bruit fait courir un risque de
surdité définitive. Autres chiffres chez les jeunes de 15 à 17 ans : 1 jeune sur 3 pense que le bruit
éduque son oreille et 8 jeunes sur 10 ont du mal à suivre une conversation à l’école.
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10 mars 2016 - 12:47
Prêt-à-Partir lance un service pour les
malentendants
Le réseau d'agences de voyages lance un dispositif spécifique pour
améliorer la rencontre entre ses conseillers et ses clients
malentendants, sourds ou avec une perte d'audition.
Acceo détaille les différentes étapes du fonctionnement de son dispositif sur son site internet
www.acce-o.frÀ l'occasion de la Journée Nationale de l'Audition, le réseau d’agences de
voyages Prêt à Partir dévoile un nouveau système de communication destiné à favoriser les
échanges entre ses conseillers voyages et leurs clients ayant des troubles de l'audition, qu'ils
soient malentendants, sourds ou avec une perte d'audition.L'appli gratuite Acceo sera disponible
dans le réseau à partir du mois d'avril prochain, au téléphone ou directement sur place dans
l'agence. Prêt à Partir explique qu'il "suffit d'un ordinateur, d’un téléphone ou d’une tablette, d'une
connexion haut débit, d'une webcam et d'un micro".Avec ce système, dans le cas d'un
rendez-vous téléphonique, le client se connecte à la plateforme Acceo et se met en relation avec
un opérateur, visio-interprète en Langue des Signes Française (LSF) ou e-transcripteur en
Transcription Instantanée de la Parole (TIP). Ce dernier contacte l'agence de voyage et retranscrit
ou traduit les propos du conseiller qui s'affichent directement sur l'écran du client.Pour les clients
qui préfèrent se rendre en agences, ces dernières seront équipées du dispositif d'accueil. Le client
s’installe aux côtés de son conseiller, face à l’écran de ce dernier. Tous deux contactent alors un
opérateur Acceo qui réalise la TIP ou une traduction en LSF via la webcam, explique Prêt à
Partir.Le service de la plateforme Acceo sera ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de
13h30 à 17h30, après téléchargement du plugin prévu à cet effet.
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10 mars 2016 - 11:33
Tinteo s’associe à la prévention lors du mois
de l’audition : -30% sur le casque audio ABA
pour profiter de la musique sans monter le
son
Le mois de mars est devenu le mois de l’audition. La journée internationale de la santé auditive
est le 3 mars et le 10 mars la journée française de l’audition . A cette occasion de nombreux
professionnels proposent des tests auditifs de dépistage. Ils sensibilisent aussi sur l’impact du
bruit sur la santéC’est prouvé, le bruit ambiant pousse à écouter plus fort, ceci permettant de
masquer des bruits indésirables. Dans le cadre du mois de l’audition, Tinteo s’associe à la
prévention et propose son casque audio à réduction active de bruit à -30% pour permettre à
chacun d’écouter sa musique sans le bruit pendant tout le mois de mars.55% des français ne font
pas le lien entre bruit et surditéLe thème de la JNA est Les nuisances sonores et leurs impacts sur
la santé. A cette occasion, un sondage a été effectué auprès de plus de 1000 français. Les résultats
sont quelquefois surprenants. Ainsi 9 personnes sur 10 pensent que le bruit est une nuisanceSi
55% des français ne font pas de lien entre exposition au bruit (ou à la musique forte et une perte
auditive, ce chiffre monte à 70% chez les jeunes . Les adolescents sont aussi plus nombreux que
leurs ainés a apprécier un son très fort.Le thème de la JNA rejoint l’objectif 2015 de la journée
internationale de la santé auditive organisée par l’OMS « rendre l’écoute sure ». L’idée était
d’alerter sur le risque de surdité due au bruit auxquels s’exposent les jeunes et les moins jeunes à
cause d’une écoute musicale pour le plaisir. En effet beaucoup de personnes écoutent de la
musique à un niveau sonore dangereux, que ce soit sur leur smartphone ou bien sur leur baladeur.
L’exposition au bruit lors des concerts ou des événements sportif est aussi élevée et peux générer
des traumatismes sonores comme des acouphènes.De plus 33% des Français masquent le bruit par
de la musique ou le bruit de la télévision . Ceci a clairement un impact nuisible sur leur audition :
2 fois plus de bruit c’est deux fois plus de risques ! .En effet, un bruit « agréable » comme la
musique reste un bruit. Trop fort, cela peut faire mal. La journée de l’Audition a de beaux jours
de prévention devant elle…Tinteo : « Ecoutez sans pousser le volume avec le casque à réduction
active de bruit »Pendant le mois de l’audition Tinteo propose le casque audio ABA à réduction de
bruit à -30% pour permettre à chacun de profiter de sa musique sans monter le volume sonore.Si
vous avez un doute sur l’effet de la réduction de bruit, nous vous invitons à lire ce panorama
complet des avantages et inconvénients de cette technologie .> Voir la fiche société de Tinteo sur
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10 mars 2016 - 12:18
Journée Nationale de l’Audition : Citroën à
l’écoute de tous ses clients grâce à la solution
Acceo
La Journée Nationale de l’Audition est l’occasion de rappeler que la déficience auditive est un
handicap invisible qui touche en France plus de 10 millions de personnes. Un nombre qui croît
inexorablement sous l’effet du vieillissement de la population et des nuisances sonores.Face à
cette réalité, Citroën est la première marque automobile en France à avoir mis en place, il y a un
an, une solution d’accessibilité innovante et 100% gratuite dédiée aux personnes malentendantes
ou sourdes.Cette solution s’appuie sur une plateforme de communication mise en place par Acceo
, opérateur de service spécialisé dans l’accessibilité des entreprises et administrations aux
personnes déficientes auditives.Accompagner toujours mieux l’ensemble des clientsLe principe
de la solution mise en place par Acceo est simple : il suffit de se rendre sur le site internet
citroen.fr et demander en un clic de contacter Citroën via la solution Acceo , disponible sur tous
supports (ordinateur, smartphone et tablette). La communication avec l’interlocuteur Citroën
demandé est alors établie et la conversation retranscrite en temps réel via l’écran, par
l’intermédiaire d’un opérateur e-transcripteur spécialisé. Le coût de mise en relation est
intégralement pris en charge par Citroën.« Avec ce service, Citroën démontre sa volonté
d’accompagner toujours mieux l’ensemble de ses clients, en leur offrant une expérience simple,
facile et fluide . Cette initiative s’inscrit dans la lignée du programme expérientiel CITROËN &
VOUS déployé dans le réseau, au service d’une relation de confiance durable entre les clients et
la Marque » déclare l’enseigne.Lire notre dossier : Malaudition et seniors : prévenir et compenser
les pertes auditivesCitroën met l’accent sur l’accessibilité téléphoniqueA l’occasion de la
Journée Nationale de l’Audition du 10 mars 2016, Citroën met l’accent sur l’accessibilité
téléphonique de son réseau et de son service client aux personnes sourdes et malentendantes .
Cette initiative, mise en place depuis un an, est une première pour une marque automobile en
France.La solution, 100% gratuite pour le client, s’appuie sur l’opérateur Acceo qui, via une
plateforme de communication, permet à toute personne malentendante ou sourde d’échanger en
toute autonomie avec son interlocuteur Citroën par téléphone, et prochainement directement au
sein des concessions.Une preuve supplémentaire de la volonté de Citroën d’offrir une expérience
client simple, facile et fluide à tous ses clients, à l’image du programme expérientiel CITROËN &
VOUS déployé dans son réseau
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10 mars 2016 - 16:30
Les conséquences du bruit, omniprésent dans
notre environnement, sous-estimées
Un Français sur deux se sent quotidiennement agressé par le bruit au travail ou dans les
transports, révèle un sondage Ifop à l'occasion de la Journée nationale de l'audition, le 10 mars.
Échec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru
de démence : la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne . Que ce soit dans la rue, dans
les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile, "nous sommes soumis à une
pression sonore permanente", constate auprès de l'AFP le professeur Jean-Luc Puel, directeur de
recherche de l'Inserm. D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou
dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé, selon un
sondage Ifop."Autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée"Le bruit est aujourd'hui
perçu comme une nuisance, une "pollution sonore" parce que les pauses silencieuses sont
devenues rares, voire inexistantes. "La grande différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas
dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n'est pas rare à présent que des jeunes
vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou
masquer le bruit des autres. En France, Or cette exposition permanente affecte non seulement
l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL (voir infographie
ci-dessous). "Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de
l'oreille interne", explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de
l'exposition. À partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à quelques
minutes selon l'intensité du bruit, "le système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs
ou des acouphènes vont s'installer".© Simon MALFATTO, Philippe MOUCHE / AFPDes lésions
irréversiblesÀ titre d'exemples, dans une rue à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 90 dB, dans une
discothèque de 110 dB, proche du seuil de la douleur de 120 dB (voir l'échelle du bruit
ci-dessous). Le Dr Foeillet ajoute que la "lésion s'installe de manière très insidieuse, sans
forcément être perçue immédiatement". Et, elle est irréversible. Dans les discothèques où le bruit
peut atteindre les 110 décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques
minutes", insiste Martine Ohresser, médecin ORL. Le bruit a en outre des effets plus généraux sur
la santé en agissant sur le système émotionnel.Des études ont ainsi montré que des personnes
exposées au bruit quotidien comme celles habitant à proximité d'un aéroport présentaient plus
fréquemment des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles
psychiques comme l'anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du
sommeil. Dans les bureaux en "open space", le bruit généré par les conversations, les sonneries
des téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être "hyper concentrés"
pour rester efficaces. À l'école, le bruit se traduit par un déficit d'attention. © Damien Hypolite /
Sciences et AvenirEn France, 12 à 13% de la population, soit 6 à 8 millions de personnes sont
touchées par des problèmes d'audition, selon des données de la JNA. L'association estime que ces
données sont probablement inférieures à la réalité faute notamment de dépistage efficace. "Les
tests basiques sont insuffisants", déplore le professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie
qui raconte la malheureuse expérience de ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé
six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait de trouble auditif non diagnostiqué. Selon lui, "près de
40% des enfants en difficultés scolaires peuvent avoir un trouble central d'audition". En 2015,
l'Organisation mondiale de la santé par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de la musique
trop forte.Lise Loumé avec afpPartagerRéagir
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11 mars 2016 - 00:06
Les maladies rénales
A l’occasion de la semaine nationale du rein se déroule du 5 au 12
mars nous parlerons de l’importance du dépistage. 600 millions de
personnes dans le monde sont atteintes d’une maladie rénale.
Dénuées de symptômes, les maladies des reins sont souvent
identifiées trop tardivement. Un tiers des insuffisants rénaux ne sont
diagnostiqués qu'au stade terminal, au moment où la dialyse s'impose
en urgence.
Les invités:Pr Bruno Moulin , Chef du Service de Néphrologie et Transplantation au CHU de
Strasbourg et Président de la Société de NéphrologiePr François Lepira , néphrologue aux
cliniques universitaires de Kinshasa et professeur spécialisé en néphrologie et hypertension.Serge
Nkoma, Président de l’Association camerounaise des malades rénaux.En fin d’émission et en
écho à la journée nationale de l’audition du 10 mars, nous abordons la question de l’impact du
bruit des villes sur la santé de ses habitants avec lePr Jean-Luc Puel, Directeur de recherche à
l’Inserm et Vice-Président de l'association JNA(Journée Nationale de l'Audition pour
l'information et la prévention dans le domaine de l'audition).
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10 mars 2016 - 09:25
Les Français et le bruit
Un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports en commun.
C'est ce qui ressort d'un sondage Ifop publié ce jeudi 10 mars, à l'occasion de la journée
nationale de l'audition. Depuis 19 ans, l'association JNA organise cette journée pour informer,
sensibiliser et éduquer les populations sur les risques liés aux bruits qui nous entourent. Les
résultats de l'étude montrent que les nuisances sonores deviennent omniprésentes au quotidien et
peuvent dégrader la santé des oreilles.
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10 mars 2016 - 12:01
Journée nationale de l’audition à Metz : « Un
vrai problème de santé publique »
Les oreilles, c’est comme les yeux, mieux vaut veiller sur elles pour
qu’elles ne vous lâchent pas en cours de route. Ce jeudi, la Journée
de l’audition permet de sensibiliser les gens à un problème de santé
publique.
Pourquoi une Journée de l’audition ? Robert STRINGINI, chef du service ORL de l’hôpital de
Mercy : « Aujourd’hui, nous nous retrouvons face à une population vieillissante. Et nous sommes
de plus en plus assujettis à un environnement bruyant. Il est important de sensibiliser les gens et
les amener à dépister des problèmes d’audition. L’audition est devenue un vrai problème de santé
publique. Mais il est relégué. On s’occupe plus de son cœur, de ses yeux, de son cerveau. »Pour
quelles raisons les problèmes d’audition ne sont-ils pas dépistés ?« Lorsqu’on vieillit, on a du mal
à reconnaître qu’on entend mal. C’est souvent mal vécu par les patients. Et, souvent, c’est la
famille qui les emmène en consultation. »N’est-ce qu’un problème de vieillesse ?« On compte de
plus en plus de malentendants en France, car l’espérance de vie s’allonge. L’environnement
pollué par les nuisances sonores en est une autre cause. Ces nuisances sonores, on les retrouve
dans un bureau mal insonorisé, dans la rue, dans un concert… Elles peuvent engendrer des
traumatismes sonores, à savoir une atteinte directe de l’oreille plus ou moins réversible. »Quels
sont les symptômes d’un traumatisme sonore ?« La sensation d’une perte brutale de l’acuité
auditive, ou un acouphène. Il peut être accompagné de vertiges. Dans ce cas, il vaut mieux
consulter rapidement, avec une prise en charge hospitalière. Un traitement par corticoïde
permettra de lutter contre l’inflammation de l’oreille interne. »Que pensez-vous des baladeurs
MP3 et autres casques portés du matin au soir ?« Le problème réside dans l’intensité sonore et la
durée d’utilisation. Dans dix ans, on constatera un vieillissement précoce et une baisse de
l’audition. »Au CHR Metz-Thionville, le dépistage de la surdité va être systématique à la
naissance. C’est important ?Rémy GROSJEAN, praticien hospitalier ORL : « La surdité
concerne, en France, un enfant sur 1 000. Il faut une prise en charge précoce, pour que l’enfant
entre plus rapidement dans le monde des entendants. Au niveau médico-économique, la prise en
charge est aussi plus facile. Si un enfant n’entend pas lors des dix-huit premiers mois, il s’enferme
dans un isolement social. »Peut-on prévenir les traumatismes sonores ?« La prévention passe par
l’éducation à la santé. Quand on utilise un engin sonore ou quand on se rend à un concert, on
porte des protections auditives. »Comment repère-t-on une altération de l’audition ?« Les gens
font répéter les propos. Ils n’entendent pas les fréquences aiguës. Ils augmentent le son. Lors de
discussions croisées, ils prennent du recul. On assiste à une désocialisation qui peut conduire à
des syndromes dépressifs. »À qui s’adresser pour un dépistage auditif?
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10 mars 2016 - 11:53
Trop de bruit! Les Français de plus en plus
gênés par les nuisances sonores
Le 10 mars 2016, c'est la Journée nationale de l'audition : une campagne pour alerter le plus
grand nombre sur les effets de l'exposition sonore. A cette occasion l'association JNA publie les
résultats d'une enquête réalisée avec l'Ifop. Le constat est sans appel: les Français se plaignent
davantage du bruit qu'il y a deux ou trois ans. Et pour 9 personnes sur 10, il a des impacts sur la
santé. Si la majorité des Français estiment que les pouvoirs publics ont pour mission de lutter
contre le bruit, Jean Stanko répond que " le ministère de la Santé ou celui de l'Environnement sont
conscients que le bruit devient un phénomène de société ".Plus préoccupant: la perception qu'en
ont les jeunes, quand on sait que 7 sur 10 pensent que le bruit ne fait pas courir de risque de
surdité définitive. Une donnée aussi étonnante que cruciale révélée par l'étude JNA-Ifop. Pire,
pour 40% des jeunes le son rend euphorique. La moitié d'entre eux disent écouter de la musique
pour se protéger des bruits extérieurs jugés agressifs. " Dans le métro ils mettent le casque à fond
et ne savent pas qu'ils dépassent les 90 décibels ", constate Jean Stanko." Les jeunes ne sont pas
conscients que le bruit nuit à leurs oreilles. " Jean StankoL'association JNA, qui agit de plus en
plus sur le terrain de la prévention, rappelle que le capital auditif est d'autant plus précieux que la
médecine actuelle ne peut réparer les cellules de l'oreille. Et chaque année, avec l'âge, l'audition
baisse. " Une fois que les oreilles ont perdu en acuité il n'y a aucun moyen de l'améliorer ",
explique Jean Stanko. Il témoigne: " dans les écoles de DJ, les jeunes en formation qui ont entre
20 et 25 ans ont déjà une oreille de plus de 70 ans! "> Résultats de l'enquête JNA-Ifop pour la
Journée Nationale de l'Audition du 10 mars 2016
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10 mars 2016 - 11:43
Et si vous testiez votre audition ?
L'ouïe est l'un des 5 principaux sens de l'Homme et pour ça, il est
fondamental: sans ouïe, pas de communication (du moins si, en
langue des signes), pas de musique, pas de films... Bref, l'ouïe est
importante. Or, la génération Y et les suivantes ont les oreilles sans
cesse agressées par la musique, dans les écouteurs et le reste. Sans
compter que l'ouïe baisse avec l'âge. Alors, il faudrait peut-être
songer à la tester?
Le 10 mars, c'est la journée nationale de l'audition en France - (c) ShutterstockLa journée
nationale de l'AuditionPeu de gens le savent, mais le 10 mars, c'est la journée nationale de l'
audition . Une journée de prévention et de test, qui permet à tous les Français de connaître le
niveau de leur ouïe, les risques qu'ils encourent et, le cas échéant, les traitements possibles. Mais
la seule façon de savoir où en est notre ouïe est de faire un bilan auditif.Lors de cette journée du
10 mars 2016, donc, le rendez-vous est donné auprès des audioprothésistes, des orthophonistes,
des médecins ORL et des autres spécialistes de l'ouïe , qui proposeront aux Français des tests et
un bilan auditif gratuit. Une occasion, donc, de prendre à temps un problème qui peut s'avérer être
très handicapant par le futur.L'ouïe à risque à cause de l'environnementSi les spécialistes
craignent pour l'ouïe des Français et pour l'ouïe des hommes en général, c'est que le monde est de
plus en plus bruyant : trafic, publicité, télévision, musique... Les oreilles n'ont pas le temps de se
reposer comme il se doit. Or, l'ouïe ne se récupère pas : il ne cesse de se dégrader au fil de l'âge.À
cela s'ajoutent les nouveaux comportements, notamment chez les jeunes: le casque sur les oreilles,
dont le volume est trop fort, qui plus est porté bien trop longtemps, causent des dommages à
l'oreille. 50% des Français seraient ainsi touchés par des acouphènes, probablement sans savoir
que c'est un problème d'ouïe.
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10 mars 2016
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#actuSante - Journée nationale de l'audition : va-t-on vers une génération de sourds ?:
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(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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11 mars 2016 - 10:45
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Le bruit casse les oreilles des Français
Les Français se disent de plus en plus exposés à des bruits excessifs.
Des nuisances sonores qui les gênent dans leur quotidien, les
fatiguent et génèrent du stress.
Casque audio vissé sur les oreilles, brouhaha des bureaux en open-space, nuisances sonores en
ville… Tous les jours, nos oreilles sont la cible d’attaques. A tel point que les Français ne
s’entendent plus, a dénoncé l’association JNA à l’occasion de la 19ème édition de la Journée
nationale de l’audition du 10 mars. Une pression sonore qui aurait empiré selon les Français.
En effet, l’enquête Ifop – JNA 2016, réalisée pour cette journée de sensibilisation, indique que
près de 2 Français sur 3 se sentent plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu’auparavant.
Pire, ils sont plus de 9 sur 10 à se dire exposés à un bruit qu’il juge excessif. Une nuisance qui a
des effets directs sur leur santé. Près de la moitié des sondés estiment que le bruit crée des maux
de tête et des acouphènes, génère souvent de l’anxiété et qu’il fait courir un risque de surdité
définitive.
A l’inverse, les jeunes de 15 à 17 ans semblent ne pas avoir conscience des dangers. Pour 70 %
d’entre eux, le bruit n’entraînerait pas de surdité définitive mais il éduquerait l’oreille. Toutefois,
58 % de cette tranche d’âge a le sentiment de subir le bruit sans rien pouvoir faire.
Des conséquences graves
Et les conséquences sont déjà visibles chez un grand nombre des sondés. La quasi-totalité est
gênée pour suivre des conversations dans les restaurants, dans les transports publics ou encore à
leur travail. Les jeunes avouent également avoir des difficultés à suivre une discussion à l’école.
Conséquence : cette perte auditive entraîne des échecs scolaires, des difficultés d’interactions
sociales, une baisse des performances au travail…
Par ailleurs, de nombreux travaux ont montré qu'une exposition importante au bruit peut induire
des troubles cardiovasculaires comme de l'hypertension artérielle, de l'anxiété et une dépression.
La fatigue et le stress associées à ces nuisances sonores génère également des troubles du
sommeil.
Les bons réflexes
« Les effets de l’écoute de musique amplifiée sont souvent pointés du doigt avec raison mais
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l’accumulation du bruit sur l’ensemble d’une journée est rarement considérée à sa juste valeur,
souligne le Dr Pascal Foeillet, médecin ORL, vice-président de l’association JNA. Or, cette
accumulation génère une pression acoustique continue sur le système auditif. Une fatigue auditive
s’installe ». Ces traumatismes provoquent ainsi l’usure prématurée des cellules sensorielles de
l’oreille. A ce jour, il n’est pas possible de les remplacer. C’est pour cette raison que « l’oreille a
besoin de temps de répit pour que les équilibres de pression puissent se rétablir », ajoute le
spécialiste.
Parmi les bons réflexes, les sondés estiment que limiter le volume d’écoute de la musique et fuir
les lieux bruyants sont les plus faciles à appliquer au quotidien. Un tiers des moins 35 ans disent
penser à porter des protections lors des concerts ou en boîte de nuit. Cependant, peu de Français
choisissent de limiter le temps d’écoute et s’accorder des pauses auditives.
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10 mars 2016
Pour la Science
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Le fléau des pertes auditives cachées https://t.co/DyqsC1lxcg #JNA #audition https://t.co/xsgcfEFX32
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(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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10 mars 2016 - 14:50
NUISANCES SONORES: Il est temps de
réagir – A cadémie nationale de Médecine
A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition, le 10 mars prochain, l’Académie de
médecine alerte sur les traumatismes de plus en plus graves et fréquents dus aux abus de
l’amplification sonore qui est, dans notre environnement, à l’origine d’une pandémie nouvelle, la
surdité précoce.Le trauma du » samedi soir » rend sourd de plus en plus jeune. Aux fortes
intensités d’aujourd’hui, la musique est d’autant plus dangereuse qu’elle est insidieuse et ses
conséquences difficiles à évaluer, car on ne pratique plus d’audiogramme systématique depuis la
fin du service national. Mais les médecins ORL voient de plus en plus souvent, le lundi, ces
victimes des boîtes de nuit du week-end…En effet, cette surdité, d’abord ressentie dans le
contexte agréable d’un groupe en transe, devient gênante lorsqu’elle dégénère en troubles
permanents, notamment en acouphène, ce qui amène à consulter… souvent trop tard !Dans
l’oreille interne, en effet, chaque agression sonore trop violente transmise par le tympan, la chaine
des osselets puis les liquides qui vibrent au rythme des sons conduit à l’arrachement des cils
fragiles du long ruban spiralé de cellules sensorielles, chargées de convertir les vibrations sonores
en signaux électriques transmis à notre cerveau par le nerf auditif. Dans cet organe de Corti , les
cellules ainsi agressées finissent par mourir, si le bruit est intense ou se reproduit souvent,
entraînant une perte auditive laquelle, faute de traitement, s’aggravera inéluctablement pour
aboutir à des complications, voire à une surdité définitive.Au travail, le bruit est une agression de
plus en plus fréquente, mais encore trop rarement reconnue comme une maladie professionnelle .
Seuls les riveteurs de la métallurgie et les praticiens du marteau-piqueur doivent obligatoirement
porter un casque protecteur d’oreilles, alors que les musiciens professionnels, par exemple, sont
notoirement exposés. En effet, les cuivres et les percussions entament l’audition non seulement de
ceux qui en jouent, mais surtout celle de leurs proches voisins dans l’orchestre (bassons, hautbois,
clarinettes ou percussions). Les musiques d’avant-garde aggravent encore ces méfaits en
inventant des situations scéniques dangereuses et en créant des sonorités numériques dotées
d’amplifications violentes. Enfin, ne sont pas épargnés les chasseurs invétérés, les canonniers
dans leur casemate @ il ne doit pas y en avoir beaucoup ?, sans compter les irréductibles des
pétards du 14 juillet…Dans l’habitat, malgré une règlementation abondante , la prise en compte
du bruit dans l’environnement reste souvent insuffisante. La part du bruit passe trop souvent au
deuxième plan, loin derrière la performance thermique, malgré une incidence majeure de
l’incidence sanitaire et du poids économique des nuisances sonores.L’Académie nationale de
médecine préconise la prévention .En effet, tant que la perte auditive est limitée aux fréquences
proches de 4000 Hz, on peut encore agir avec des vasodilatateurs, des corticoïdes, et surtout la
suppression définitive de l’agression. Mais, si l’audiogramme chute aussi sur les fréquences plus
aiguës, les prothèses auditives s’imposent, sachant qu’elles auront d’autant plus de mal à
compenser le handicap que leur action risque d’être gênée par une hyperacousie douloureuse
(phénomène dit de recrutement ).C’est pourquoi, l’Académie recommande :· d’éviter le
traumatisme sonore dès l’enfance afin que ses effets, en s’additionnant, n’engendrent pas de
complications redoutables et consulter dès les premiers signe s , comme des acouphènes, afin de
ne pas risquer une surdité précoce, dès la quarantaine, ou une hyperacousie douloureuse, qui peut
apparaitre brutalement à 30 ans, à la suite d’une agression sonore, même faible, mais consécutive
à des sonorités violentes accumulées depuis l’enfance ;· d’utiliser systématiquement, lorsqu’il le
faut, une protection auditive, au travail aussi bien que lors des loisirs. Toutefois, il est vain de
vouloir échapper au bruit en portant en permanence des bouchons protecteurs dans les oreilles car
ces systèmes de protection, d’autant plus visibles qu’ils sont plus efficaces, stigmatisent ces
personnes qui, devenus sourds aux voix de leur entourage immédiat, s’enferment dans une spirale
d’exclusion sociale et professionnelle ;· d’alerter constamment et par tous les moyens la
population à cette menace pour la santé :– enseigner, dès l’école primaire, les méfaits des bruits
trop intenses ;– sensibiliser les corps de métier qui interviennent dans l’habitat à la qualité
phonique ;– inciter les autorités à tous les niveaux, les maires, notamment, à faciliter
l’information des habitants pour mieux maîtriser les nuisances sonores de voisinage, en favorisant
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10 mars 2016 - 14:50
la médiation, et en menant le plus possible des actions de prévention.Sources:Communiqué
Académie de Médecine- Auteur : Nicole PriollaudRapport 5.6.2012 : » les nuisances sonores de
voisinage dans l’habitat – analyse et maîtrise » (François Legent)Plus d’études sur l’AuditionLire
aussi: AUDITION: L’écoute intensive de musique amplifiée multipliée par 3 en 10 ans –
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10 mars 2016 - 11:57
Jour J pour la JNA 2016 ! 3 nouveaux spots
pour inciter le public à contrôler son audition
« Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin! » C’est le message des trois
vidéos virales lancées à l’occasion de la 19ème Journée Nationale
de l’Audition, qui se déroule ce 10 mars.
Ces petits films de prévention (à voir ci-dessous), que la JNA invite à diffuser largement sur les
réseaux sociaux, visent trois cibles : les jeunes exposés quotidiennement à des niveaux sonores
excessifs via leur smartphone et leur casque, les actifs exposés sur leur lieu de travail à des bruits
intenses sans protection auditive, et les seniors qui doivent protéger leurs oreilles notamment
durant leurs loisirs comme le bricolage. « Un message est omniprésent dans ces trois spots vidéo :
les contrôles auditifs réguliers chez son médecin », commente la JNA.Rappelons que, ce 10 mars,
3 000 professionnels (dont 1 500 audioprothésistes) sont mobilisés partout en France pour
proposer des tests gratuits de l’audition. Les participants et le programme sont accessibles sur le
site www.journee-audition.org ou par téléphone au 0 810 200 219 (N° Azur, prix d’un appel
local).Ci-dessous, les trois vidéos de la JNA:
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11 mars 2016 - 09:16
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Les assistants d’écoute arrivent chez Darty
Jeudi 10 mars, à l’occasion de Journée
Nationale de l’Audition, le géant de
l’électroménager a annoncé son arrivée sur ce
marché, qu’il espère élargir grâce à des produits
vendus de 89 à 300€, en magasin et sur Internet.
Soulignant que les troubles de l’audition
touchent 10% de la population française mais que seuls 25% des malentendants sont équipés,
notamment pour raison financière, Darty se réjouit d’être le « premier distributeur spécialisé en
France à proposer des appareils d’aide auditive. » Cette dénomination peut susciter une
confusion : il s’agit en fait d’assistants d’écoute disponibles sans ordonnance, de la marque
Sonhaut (créée par un malentendant) qui permettent selon Darty de « démocratiser l’accès aux
dispositifs d’aide auditive. » Les vendeurs seront « spécialement formés pour cette offre » afin
de conseiller les clients et de les aider à choisir l’appareil en fonction de leurs besoins.
“Pour les surdités légères à moyennes”
L’enseigne explique que ces produits « peuvent être une solution en complément et/ou en amont
d’une consultation chez un spécialiste de l’audition » et que les assistants d’écoute sélectionnés
« peuvent répondre à une surdité légère, voire moyenne. » Sans traiter la surdité, ils « amplifient
le son et le réémettent au niveau de l’oreille externe. »
Dans 11 magasins
La gamme proposée par Darty se compose de six produits, vendus de 89,90€ (pour le Sonhaut
AEG14, un appareil d’aide à l’audition externe, analogique, avec volume réglable) à 299,90€
pour le Sonhaut SI 15 gauche ou droite (intra-auriculaire numérique discret et confortable). Ils
sont proposés avec leurs accessoires (piles, embouts, lingettes désinfectantes) au rayon Santé de
11 magasins sur Paris (Nation, Beaugrenelle), en région parisienne (Rosny 2, Boulogne), en
province (Aix en Provence, Saint Martin, Angers, Toulon, Tours Sud, Antibes, Rouen gauche) et
sur Darty.com.
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10 mars 2016 - 11:57
Journée nationale de l’audition : « La JNA
ouvre son champ d’action »
La 19ème Journée Nationale de l’Audition se déroule ce 10 mars
avec pour fil rouge « Un monde bruyant… et nos oreilles dans tout
ça? ». Quelque 3000 professionnels, dont 1 500 audioprothésistes,
sont mobilisés pour sensibiliser le grand public à l’importance de la
santé auditive à tous les âges de la vie. Aujourd’hui, l’association
JNA adopte une approche à 360° et se pose comme un interlocuteur
de référence, auprès des citoyens, des professionnels, des médias
mais aussi des pouvoirs publics. Entretien avec son président
Jean-Stanko (ancien audioprothésiste D.E., à gauche sur la photo) et
son 1er vice-président Jean-Luc Puel (directeur de recherche Inserm,
à droite sur la photo).
Quelles ont été les évolutions les plus marquantes de la JNA ces cinq dernières années ?Jean
Stanko : Clairement, ce sont nos enquêtes, que nous faisons avec de grands instituts de sondage à
l’occasion de chaque Journée Nationale de l’Audition. Elles sont toutes riches d’enseignements
sur des problématiques majeures – l’audition des seniors, les acouphènes, les risques auditifs des
jeunes… – et font l’objet de retombées presse considérables. Celle de cette année, réalisée avec
l’Ifop, traite d’un enjeu crucial : celui des nuisances sonores et de leurs effets sur la santé.Pr
Jean-Luc Puel : Outre ses enquêtes, la JNA a également ouvert son champ d’action ces dernières
années. A l’origine, l’idée était de faire connaître la surdité et les moyens de la prévenir.
Aujourd’hui, l’association travaille sur tous les problèmes auditifs, de la prévention des risques
(notamment chez les jeunes) jusqu’à la prise en charge prothétique, les acouphènes, etc. Nous
sensibilisons désormais le public à la santé auditive au sens large, dont il est prouvé qu’elle
favorise le Bien Vivre et le Bien Vieillir.Au-delà de la campagne grand public, quels moyens
utilisez-vous pour diffuser vos messages ?JS : En parallèle de ses missions habituelles,
l’association JNA est devenu un interlocuteur des pouvoirs publics. Nous avons des rendez-vous
réguliers avec le ministère de la Santé, à qui nous voulons faire connaître les problèmes de la
malentendance, et qui semble réceptif à notre discours, du fait de notre neutralité. En complément
de ses contacts directs avec les organismes professionnels, le ministère souhaite en effet dialoguer
avec un interlocuteur indépendant qui se fasse l’écho du terrain.JLP : C’est effectivement une
nouveauté. Lors de nos rendez-vous avec les pouvoirs publics, nous abordons les problèmes sous
tous leurs angles, qu’il s’agisse du bruit dans les cantines, dans les lieux de loisirs, de la
protection auditive, du faible taux d’appareillage, du reste à charge, etc. Nous informons en toute
objectivité de la réalité des faits, en se plaçant du côté des malentendants. La JNA se positionne
aussi comme un catalyseur d’échanges qui incite les gens à se mettre autour d’une table, sans
prendre position.Les pouvoirs publics envisagent-ils des actions concrètes suite aux remontées
que vous leur faites ?JLP : A l’occasion de la JNA 2015, Marisol Touraine déclarait que la qualité
de l’environnement sonore était une vraie préoccupation de son ministère. Un an après, ce dernier
se dit toujours à l’écoute de nos problématiques et pourrait annoncer diverses mesures d’ici
peu.Les audioprothésistes sont-ils, selon vous, suffisamment engagés dans la JNA ?JS : L’année
dernière, 1 400 audioprothésistes ont participé et cette année, nous avons dépassé ce chiffre. C’est
déjà beaucoup ! Et à ceux qui ne participent pas encore à nos actions, je dis « pensez à l’avenir de
la profession et à celui des malentendants ! ». La JNA est une occasion en or pour mieux faire
connaître le métier, d’autant que nous leur donnons des outils clés en main pour parler de
l’audition au grand public, dédramatiser l’appareillage, mais aussi sensibiliser les généralistes qui
sont le premier maillon du parcours de l’audition mais bien souvent sous-informés sur la
question.Et côté ORL, la mobilisation est-elle suffisante ?JLP: 80 services ORL participent à la
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10 mars 2016 - 11:57
JNA . Bien sûr, on peut toujours espérer plus, mais la mobilisation est déjà importante, y compris
chez les libéraux qui savent se montrer disponibles quand nous les invitons à participer à une
action de sensibilisation, à une conférence… Nous sollicitons particulièrement les ORL dans les
petites villes. On veut faire le buzz en local, où les municipalités savent dégager des budgets pour
l’audition.
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11 mars 2016 - 00:16
Journée de l'audition : quand des entreprises
prennent soin de leurs salariés
Ce jeudi 10 mars, c'est la journée nationale de l'audition. Pour
protéger les oreilles de ses salariés, Laurent Fuchs, chef d'une
entreprise de menuiserie à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), a installé
des équipements d'isolation phonique: des plafonds isolants, des murs
antibruits et des cloisons modulables. En tout, 60 000 euros
d'investissement pour un bénéfice humain inestimable.
Défaillance de l'oreille interneAu travail comme au quotidien, la perte d'audition est
handicapante. Pourtant, de nombreux Français prennent soin trop tard de leurs oreilles. "La
conséquence, c'est le vieillissement prématuré du système auditif et de l'oreille interne", explique
le docteur Pascal Foeillet, ORL et vice-président de la journée nationale de l'audition. En
France, trois millions...
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10 mars 2016 - 12:26
Tchat audition: les réponses à vos questions à
l’occasion de la journée nationale!
Que faire quand la gêne auditive s’installe? Comment choisir un appareil et s’y habituer? Nos
spécialistes, le Dr Paul Zylberberg et Roselyne Nicolas, ont répondu à vos questions le 10 mars de
10h à 11h30. Vous avez besoin d'augmenter le son de la télévision, vous trouvez que votre
interlocuteur articule mal... Acouphènes, hyperacousie, presbyacousie... Quand la gêne auditive
s’installe, que faire? Pouvons-nous la prévenir? À quel moment envisager une aide auditive? Nos
spécialistes ont répondu à vos questions en direct le jeudi 10 mars de 10h à 11h30. Roselyne
Nicolas est présidente de France Acouphènes et vice-Présidente de l'Association JNA. Le D r
Paul Zylberberg*, médecin du travail est 1er vice-Président de l'association JNA et membre du
comité scientifique JNA. * Le D r Paul Zylberberg animera une table ronde le 11 mars, de 18h à
20h avec le Dr Didier Bouccara (conseiller scientifique JNA, ORL et praticien hospitalier) et
Philippe Metzger ( audioprothésiste DE) à la mairie du 10e arrondissement à Paris. Elle aura pour
thème "Un monde bruyant... Et nos oreilles dans tout ça? Pour mieux vivre et vieillir, protégeons
nos oreilles " Salle des mariages, mairie, 72, rue du Fg Saint Martin. Entrée libre dans la mesure
des places disponibles.
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10 mars 2016 - 11:19
Journée mondiale de l'audition : les bons
gestes à adopter pour préserver ses oreilles
En cette journée mondiale de l’audition, voici quelques conseils pour éviter d’abîmer ses oreilles.
1. Je mets mes oreilles au repos et évite de cumuler, après l’école, le baladeur puis la télévision. 2.
Je joue de la musique ou vais au concert, je porte des protections pour atténuer l’intensité sonore.
3. Je privilégie le casque enveloppant aux oreillettes (sauf si elles portent des filtres). 4. Je ne
mets pas mon baladeur au maximum mais baisse son volume de moitié et je maîtrise le temps
d’écoute. 80 dB, 8 h maximum; 86 dB, 2 h; 95 dB, quinze minutes; 101 dB, 3 minutes 45. Je suis
parent d’un tout jeune enfant : je choisis un casque avec limiteur de son. 5. Je sors de concert,
j’observe un temps de pause, idéalement, pendant 48 h. 6. Mes oreilles bourdonnent, sifflent,
après une exposition sonore, je consulte à partir du moment où, après quelques heures de repos,
de sommeil, les troubles persistent. Attention danger L’oreille et en danger au-delà de 80 décibels
(dB) , l’unité de mesure du niveau sonore, pendant huit heures. À 100 dB , l’exposition sonore ne
doit pas dépasser quelques minutes, au risque de subir des lésions graves. Plus de 100 dB , c’est
risqué 50 dB , musique douce. Bruit agréable. 80 dB , rue bruyante, où il y a un fort trafic, son
d’un klaxon. Le bruit devient fatigant. 85 dB , bruit d’une tondeuse. 100 dB , niveau de bruit
risqué : volume d’un baladeur poussé à son maximum. 105-110 dB : musique en discothèque ou
en concert, bruit de sirène d’ambulance. 120 dB : seuil de la douleur pour l’oreille. 130 dB :
enceinte à fond dans une voiture. Le bruit devient véritablement nocif pour l’oreille. 150 dB :
avion au décollage. L’APPLI L’association JNA(Journée nationale de l’audition) met à
disposition, gratuitement sur son site, une application sonomètre pour se rendre compte, en direct,
sur son smartphone, de l’intensité sonore dans la pièce où l’on se trouve. Vous saurez ainsi si vos
oreilles sont en sécurité (zone verte) ; sont très sollicitées (zone orange) ; ou sont en danger (zone
rouge). Sur le site www.journee-audition.org cliquez sur l’onglet « Éditions JNA », appli
sonomètre.
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10 mars 2016 - 11:52
Troubles auditifs : «On peut imaginer qu'un
jeune d'aujourd'hui aura l'audition d'un
senior de 65 ans, dès l'âge de 45 ans»
Plus d’un adolescent sur deux a déjà rencontré des troubles de l’audition. La faute au temps de
plus en plus long passé avec un casque sur les oreilles, à une musique écoutée trop fort. Les
jeunes se préparent « des oreilles de vieux », ils le savent mais n’entendent rien. Les parents non
plus. « À taaaable ! » La scène de la série Fais pas ci, Fais pas ça , dans laquelle Valérie Bonneton
alias Fabienne Lepic, hurle à ses enfants qu’il est l’heure du repas est devenue culte,
emblématique de l’adolescent volontairement sourd à l’injonction de ses parents, ou isolé, dans sa
bulle, le casque sur ses oreilles. Elle prêterait toujours à sourire s’il n’y avait de plus en plus
d’ados avec, véritablement, des problèmes d’audition. Un sur cinq souffrirait d’une perte auditive.
Autre signe inquiétant, nos enfants sont exposés de plus en plus jeunes. Selon la dernière enquête
réalisée pour la Semaine du son, en janvier, deux enfants de 7-12 ans sur trois déclarent avoir déjà
rencontré des troubles auditifs (acouphènes, hyperacousie, bourdonnements, sifflements, oreilles
cotonneuses) ; plus d’un adolescent de 13-19 ans sur deux. Des résultats corroborés par une
enquête de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé : « Le nombre de
comportements fréquents ou intensifs d’écoute de musique amplifiée via un casque ou des
écouteurs a triplé entre 2007 et 2014 ». Les smartphones, lecteurs MP3, tablettes, etc. ont
multiplié cette consommation de sons. Nous préparerions ainsi des générations de sourds. « On
peut imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans
», résume Jean Stanko, président de l’association Journée nationale de l’audition(JNA). Et les
campagnes d’information ne semblent rien changer. Les enfants, adolescents se disent déjà
sensibilisés. Pourtant, plus d’un tiers des ados déclarent écouter régulièrement fort au casque et
10 % ne baissent jamais le volume. Une dernière étude de JNA démontre même qu’un jeune de
15 à 17 ans sur trois pense que l’exposition à des volumes sonores élevés éduque leurs oreilles en
leur permettant de s’habituer. Or nous sommes inégaux face au bruit : certains abîmeront leur
audition dès la première écoute à un volume trop fort, d’autres au bout de plusieurs heures ou
plusieurs écoutes. Cela va dépendre aussi de son capital auditif, des maladies (otites) déclarées
durant l’enfance. Les oreilles peuvent être endommagées avant même d’avoir ressenti une
quelconque douleur , perçue autour de 120 décibels. Dès le berceau Les écouteurs et les casques
sont à leurs oreilles ce que le smartphone est devenu aux pouces de nos ados : une extension
d’eux-mêmes. Ils ont ainsi tendance à ne pas agir face à un trouble de l’audition : 41 % des 7-12
ans avouent ne pas l’avoir dit à leurs parents ; 43 % des 13-19 ans. Et quand ils en parlent, les
parents sous-estiment également le problème : dans un cas sur deux seulement, l’enfant consulte
un médecin. Moins d’un Français sur deux estime que le bruit peut faire courir un risque de
surdité définitive. Les parents participent au vieillissement auditif précoce de leur enfant, et ce,
dès le berceau. C’est le dernier enseignement du sondage réalisé pour la Semaine du son : 10 %
des bébés de moins de deux ans, s’endorment avec un casque sur les oreilles.
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10 mars 2016 - 12:50
Santé: toujours trop de bruit dans les grandes
villes
Selon une étude Ifop pour cette journée nationale de l’audition, 9 Français sur 10 estiment que
le bruit est devenu un enjeu de société. Alors qu’un niveau sonore confortable pour nos oreilles se
situe autour de 60 décibels, on en est encore loin dans les grandes villes. Ces nuisances à
répétition peuvent avoir un impact direct sur la santé. Les grandes villes ont toutes pour mission
de réduire la pollution sonore dans les prochaines années.EN SAVOIR PLUSMASQUER
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10 mars 2016 - 20:14
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au
téléphone ou faire passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé
par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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11 mars 2016 - 05:05
Oyonnax - santé Vous étiez une vingtaine à
passer des tests auditifs à l’hôpital
Dans le cadre de la Journée nationale de l’audition, des séances gratuites de dépistage des
déficiences auditives étaient organisées, jeudi, au centre hospitalier du haut Bugey. Le docteur
Judickaël Razafindrakoto (oto-rhino-laryngologiste et chirurgien cervico-facial) a reçu sur
rendez-vous une vingtaine de patients. « L’âge moyen était de 68 ans. Ce serait bien que les
jeunes se fassent aussi dépister car la plupart d’entre eux sont exposés à des nuisances sonores
professionnelles dans les usines de plasturgie. Le programme de l’année prochaine sera axé sur
cette population. »
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10 mars 2016 - 20:14
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au
téléphone ou faire passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé
par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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10 mars 2016 - 20:07
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au
téléphone ou faire passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé
par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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10 mars 2016 - 14:04
Journée de l’audition : prendre soin de ses
oreilles DPC
DRLa 19e journée de l ’audition se tient ce jour pour sensibiliser le public sur les risques liés à
l’audition et l’impact des nuisances sonores sur la santé.Autour du slogan « Un monde bruyant…
et nos oreilles dans tout ça ? », des conférences, expositions, concerts pédagogiques mais aussi
des tests de l ’audition sont organisés gratuitement dans toute la France.L’ensemble des actions
est à retrouver sur le site journee-audition.orgLa campagne est aussi présente sur les réseaux
sociaux et incite à des contrôles auditifs réguliers avec 3 spots reprenant le même message « Mes
oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! ».Les résultats de l’enquête JNA-Ifop pour cette journée ont
également été publiés et révèlent l’omniprésence du bruit dans la vie quotidienne. Ainsi 9
personnes sur 10 se disent exposées tous les jours à un bruit excessif et ont des difficultés pour
suivre les conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les transports publics. 45 % des
Français pensent également que le bruit fait courir un risque de surdité définitive. Autres chiffres
chez les jeunes de 15 à 17 ans : 1 jeune sur 3 pense que le bruit éduque son oreille et 8 jeunes sur
10 ont du mal à suivre une conversation à l’école.× Oups, ce pseudo est déjà associé à un compte
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10 mars 2016 - 20:17
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au
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10 mars 2016 - 20:09
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école. À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au
téléphone ou faire passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé
par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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10 mars 2016 - 11:40
Troubles auditifs : «On peut imaginer qu’un
jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un
senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans»
Lire aussi : « À taaaable ! » La scène de la série Fais pas ci, Fais pas ça , dans laquelle Valérie
Bonneton alias Fabienne Lepic, hurle à ses enfants qu’il est l’heure du repas est devenue culte,
emblématique de l’adolescent volontairement sourd à l’injonction de ses parents, ou isolé, dans sa
bulle, le casque sur ses oreilles. Elle prêterait toujours à sourire s’il n’y avait de plus en plus
d’ados avec, véritablement, des problèmes d’audition. Un sur cinq souffrirait d’une perte auditive.
Autre signe inquiétant, nos enfants sont exposés de plus en plus jeunes. Selon la dernière enquête
réalisée pour la Semaine du son, en janvier, deux enfants de 7-12 ans sur trois déclarent avoir déjà
rencontré des troubles auditifs (acouphènes, hyperacousie, bourdonnements, sifflements, oreilles
cotonneuses) ; plus d’un adolescent de 13-19 ans sur deux. Des résultats corroborés par une
enquête de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé : « Le nombre de
comportements fréquents ou intensifs d’écoute de musique amplifiée via un casque ou des
écouteurs a triplé entre 2007 et 2014 ». Les smartphones, lecteurs MP3, tablettes, etc. ont
multiplié cette consommation de sons. Nous préparerions ainsi des générations de sourds. « On
peut imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans
», résume Jean Stanko, président de l’association Journée nationale de l’audition(JNA). Et les
campagnes d’information ne semblent rien changer. Les enfants, adolescents se disent déjà
sensibilisés. Pourtant, plus d’un tiers des ados déclarent écouter régulièrement fort au casque et 10
% ne baissent jamais le volume. Une dernière étude de JNA démontre même qu’un jeune de 15 à
17 ans sur trois pense que l’exposition à des volumes sonores élevés éduque leurs oreilles en leur
permettant de s’habituer. Or nous sommes inégaux face au bruit : certains abîmeront leur audition
dès la première écoute à un volume trop fort, d’autres au bout de plusieurs heures ou plusieurs
écoutes. Cela va dépendre aussi de son capital auditif, des maladies (otites) déclarées durant
l’enfance. Les oreilles peuvent être endommagées avant même d’avoir ressenti une quelconque
douleur , perçue autour de 120 décibels. Dès le berceau Les écouteurs et les casques sont à leurs
oreilles ce que le smartphone est devenu aux pouces de nos ados: une extension d’eux-mêmes . Ils
ont ainsi tendance à ne pas agir face à un trouble de l’audition : 41 % des 7-12 ans avouent ne pas
l’avoir dit à leurs parents ; 43 % des 13-19 ans. Et quand ils en parlent, les parents sous-estiment
également le problème : dans un cas sur deux seulement, l’enfant consulte un médecin. Moins
d’un Français sur deux estime que le bruit peut faire courir un risque de surdité définitive. Les
parents participent au vieillissement auditif précoce de leur enfant, et ce, dès le berceau. C’est le
dernier enseignement du sondage réalisé pour la Semaine du son : 10 % des bébés de moins de
deux ans, s’endorment avec un casque sur les oreilles. « On ne s’endort pas avec un casque sur les
oreilles » – Dans quelle mesure constatez-vous une aggravation du niveau d’audition des jeunes ?
« Les effets d’une exposition sonore ne se voient pas toujours tout de suite, ne se traduisent pas
automatiquement en nombre de surdités, mais peuvent se révéler dix ans après. Des jeunes de 15
ans qui s’exposent au bruit pourront vivre avec un handicap auditif vers 25-26 ans. Bien que nous
voyions déjà de plus en plus de jeunes adolescents avec des acouphènes, signe que l’oreille
interne a pu souffrir. » – Quelles premières précautions doivent-ils prendre ? « Limiter la durée
d’écoute au casque. Selon une récente étude américaine, écouter son MP3 plus d’une heure trente
par jour présente déjà des risques de lésions irréversibles de l’oreille interne. En concert, les
jeunes doivent porter des bouchons d’oreille et, en discothèque, aménager des pauses de trente
minutes, toutes les deux heures. Pour les jeunes qui ont déjà pu être exposés, il existe des embouts
en silicone qui permettent d’atténuer le son de 9 à 15 dB. Enfin il faut être très vigilant aux
premiers signes d’alerte : sifflements, sensation de coton dans les oreilles doivent s’estomper au
bout de 6 à 12 heures, s’ils persistent, il faut consulter car des traitements en caisson hyperbare ou
anti-inflammatoires doivent être entrepris rapidement pour augmenter des chances de récupérer.
Courir, avoir une activité physique, avec un casque est aussi plus risqué car l’oreille est plus
sensible à ce moment-là. Surtout, il ne faut jamais s’endormir avec un casque sur les oreilles. Un
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10 mars 2016 - 11:40
de mes patients souffre d’acouphènes après que, pendant la nuit, le bouton du volume de son
baladeur a bougé. Il vit, depuis, un enfer. » – Des handicaps que les jeunes ont du mal à mesurer ?
« Parce qu’ils ne se voient pas. Le traumatisme peut être une difficulté de concentration sur une
tâche, or c’est important quand on est en âge d’apprendre. Et cela limite le champ des métiers : un
médecin travaille avec un stéthoscope. Les conséquences peuvent être aussi des troubles du
sommeil. C’est une question de santé en général. »
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10 mars 2016 - 20:09
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
téléviseur ou de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au
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par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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10 mars 2016 - 21:16
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de
déficience auditive invalidante dans le monde. 1,4% des moins de 14
ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10 signes qui ne
trompent pas.
Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir des difficultés scolaires et
présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des problèmes sociaux à l'école.À
l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins informent des manifestations
fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne trompent pas, on retrouve :- Des
retards ou des différences de développement de la parole et du langage- Un défaut d'attention ou
des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus mauvais que ce que l'on attendaitPas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de l'enfant, surtout s'il n'attire pas son
attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"- Difficultés de compréhension de la parole
dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du téléviseur ou de la chaîne audio à des
niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au téléphone ou faire passer continuellement le
téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser
une source sonore avec précision
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(Relaxnews) - Selon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante
dans le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10
signes qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir
des difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des
problèmes sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins
informent des manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne
trompent pas, on retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du
langage- Un défaut d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus
mauvais que ce que l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de
l'enfant, surtout s'il n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"Difficultés de compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du
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par des sons intenses-Ne pas pouvoir localiser une source sonore avec précision
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10 mars 2016 - 19:41
Quels sont les signes d'une perte auditive ?
Actu SantéSelon l'OMS, 32 millions d'enfants soufffrent de déficience auditive invalidante dans
le monde. 1,4 % des moins de 14 ans en France présentent une perte auditive. Voici les 10 signes
qui ne trompent pas.Les enfants atteints de pertes auditives même légères peuvent avoir des
difficultés scolaires et présenter des troubles de l'attention, du comportement ou des problèmes
sociaux à l'école.À l'occasion de la journée nationale de l'audition, les médecins informent des
manifestations fréquentes d'une perte auditive chez l'enfant. Parmi celles qui ne trompent pas, on
retrouve :- Des retards ou des différences de développement de la parole et du langage- Un défaut
d'attention ou des problèmes de comportement- Des résultats scolaires plus mauvais que ce que
l'on attendait- Pas de réponse à quelqu'un qui parle hors du champ visuel de l'enfant, surtout s'il
n'attire pas son attention- Utilisation fréquente de "Quoi" ou "Hein"- Difficultés de
compréhension de la parole dans un bruit ambiant- Augmenter le niveau sonore du téléviseur ou
de la chaîne audio à des niveaux déraisonnables- Ne pas répondre aux voix au téléphone ou faire
passer continuellement le téléphone d'une oreille à l'autre-Ne pas être effrayé par des sons
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10 mars 2016 - 11:39
Journée Nationale de l’Audition : 3 vidéos
pour prévenir et sensibiliser
La 19e édition de la Journée Nationale de l’Audition se déroule le jeudi 10 mars 2016. Dans le
cadre de cette manifestation, l’association éponyme vient de lancer sur les réseaux sociaux trois
spots reprenant le même message : « Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! ». Ces messages
vidéo de prévention visent trois cibles distinctes : les jeunes exposés quotidiennement à des
niveaux sonores excessifs via leur smartphone et leur casque vissé sur leurs oreilles à...Lire la
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10 mars 2016 - 11:26
Connaissez-vous la télé-audiologie ?
A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition, ce jeudi 10 mars, c’est peut-être l’occasion
de rappeler qu’il est important de préserver son capital auditif et de découvrir le développement
de la télémédecine dans le domaine de l’audition. Apprenons à préserver notre capital auditif A
l’occasion de cette 19ème Journée Nationale de l’Audition, l’association JNA(journée de
l’audition) rappelle le rôle majeur de la santé auditive sur la qualité de vie,...Lire la suite ›
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10 mars 2016 - 15:35
3 gestes pour protéger l’audition des enfants
La surdité suite au bruit est progressive ; elle s´installe petit à petit, mais une fois les lésions
apparues, elles sont irréversibles. Il est donc important de protéger l´audition des enfants dès le
plus jeune âge. Aujourd’hui c’est la journée nationale de l’audition, alors pour sensibiliser à ce
sujet très important nous vous avons préparer une liste de 3 gestes pour protéger les oreilles des
plus petits !1. Faire attention aux sons des jouets Les jouets sonores sont...Lire la suite ›
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10 mars 2016 - 18:33
Journée nationale de l'audition: des Ehpad
tout ouïe
"Etre sourd comme un pot" - Crédit: Emmanuelle Zvenigorosky pour
l'Ehpad de Moncontour
Ce 10 mars, une cinquantaine de maisons de retraite (officiellement) avaient prévu des animations
et des interventions pour la 19ème Journée nationale de l'audition. La directrice d'un
logement-foyer communal dans les Bouches-du-Rhône, Annie Féral, et une psychologue exerçant
dans un Ehpad breton, Christiane Le Manac'h, détaillent à Gerontonews ce qui était prévu.La
surdité, même au plus faible degré, est la porte ouverte à la mort sociale. Elle peut mener au repli
sur soi, à la dépression, voire à une perte d'autonomie.L'année dernière, Gerontonews vous avait
donné des pistes pour améliorer la communication entre résidents et soignants . En 2016, nous
avons sondé les structures pour personnes âgées sur les animations mises en place.Même si
certains Ehpad ont sûrement oeuvré dans l'ombre sans s'inscrire surle site officiel consacré à cette
19ème campagne nationale d'information et de prévention, l'événement semble être tombé dans
l'oreille de nombreux sourds... Le site ne recense que 54 maisons de retraite (Ehpa ou Ehpad)
participantes . Un progrès, tout de même, comparé aux 38 dénombrés l'an dernier.Parmi les
motivés, le logement-foyer de l'Oustaou, géré par le centre communal d'action sociale (CCAS) de
La Roque d'Anthéron (Bouches-du-Rhône), dont la directrice, Annie Féral, se lance pour la
première année. Elle souhaitait confier l'animation de l'événement à la psychologue de la
structure, mais en son absence, la directrice a dû se jeter à l'eau.Le logement-foyer comprend 42
logements pour 45 résidents, plutôt autonomes (de GIR 4, 35% des résidents, au GIR 6). Seuls 12
sont appareillés. Pourtant, ils sont une vingtaine à avoir dépassé les 90 ans. Et selon les chiffres de
la Journée nationale de l'audition, à partir de 80 ans, 80% de la population est dure de la feuille.
Annie Féral estime que la moitié des nonagénaires de sa structure devraient être équipés. Et parmi
ceux qui le sont, certains appareils mériteraient une révision... Les freins sont le plus souvent
financiers, certaines familles, selon elle, hésitant à investir autant pour des proches en fin de
parcours... La directrice explique toutefois que les équipes de l'établissement essaient de les
sensibiliser, en évoquant le projet de vie des résidents.La Journée de l'audition constitue un
autre levier de communication: Annie Féral a commandé des kits aux organisateurs (guides sur la
santé auditive, conseils pour mieux entendre...), distribués aux résidents. Des panneaux sur le
fonctionnement de l'oreille et l'échelle des décibels ont aussi été installés.Pour ce 10 mars, la
directrice a sollicité une orthophoniste afin d'évoquer des sujets tels que "la fragilité de l'oreille"
ou encore "l'écoute attentive": ce dernier thème fait écho aux ateliers mémoire animés par Annie
Féral, notamment les souvenirs auditifs. "On essaie aussi de faire remarquer aux résidents le
risque de désocialisation et l'impact de la surdité sur la relation aux autres",
commente-t-elle.Atelier d'expression, siestes musicales, création d'objets sonoresDe son côté,
Christiane Le Manac'h, psychologue au sein de l'Ehpad congréganiste Saint-Thomas
de-Villeneuve à Moncontour (Côtes-d'Armor), est rodée à l'exercice depuis trois ans. Elle
explique s'être formée en 2013 au diplôme universitaire (DU) "surdicécité" à Rennes , estimant
qu'en Ehpad, les résidents en déficit sensoriel (vision et audition notamment) ne sont pas assez
accompagnées.L'Ehpad comporte 280 places, dont cinq en hébergement temporaire, 11 en unité
Alzheimer et six en accueil de jour. "A peine 20 résidents" sont appareillés, selon la psychologue.
En revanche, fini les prothèses mal réglées. Sur ses recommandations, un audioprothésiste est
venu corriger le tir.Christiane Le Manac'h nous apprend au passage une astuce méconnue: en cas
de déficit visuel de moins de 4/10ème (dans le cas où le résident est quasiment aveugle), les
prothèses auditives sont mieux remboursées par l'assurance maladie (autant que pour les moins de
20 ans, NDLR). Cette mesure a permis d'appareiller cinq résidents.La Journée de l'audition se
déroule dans cette structure sur toute la semaine, mais dès janvier, les animatrices ont planché
avec les résidents sur les expressions autour de l'audition ("être sourd comme un pot", "avoir la
puce à l'oreille", "dormir sur ses deux oreilles"…) et les ont illustrées en images, ce qui a donné
lieu à une exposition photo sous forme de devinettes.Une stagiaire a, de son côté, interviewé
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10 mars 2016 - 18:33
soignants et résidents sur leur rapport au bruit au sein de l'établissement et en a fait un film,
diffusé en boucle dans la salle d'animation de l'établissement toute la semaine.La salle abrite aussi
des "siestes musicales" dans le noir, sous des tentes pourvues de matelas, de couvertures, afin de
détendre six personnes âgées et professionnels soignants "toutes les demi-heures", grâce à la
diffusion de sons relaxants, relate Christiane Le Manac'h.En début de semaine, l'Ehpad a
collaboré avec le centre du son de Cavan (Côtes-d'Armor): des enfants sont venus créer avec les
résidents des objets sonores et ont fait écouter à leurs aînés des enregistrements de sons
caractéristiques pris dans la nature, comme une vache en train de paître.Enfin, après la conférence
d'une oto-rhino-laryngologue (ORL) le 11 mars, une école musicale locale clôturera la semaine le
lendemain: les résidents seront invités à écouter un concert de jazz de toutes leurs oreilles, après
s'être bandés les yeux.Toutes ces initiatives permettent de sensibiliser les personnes âgées, mais
l'établissement se situant en région rurale, une visite chez l'audioprothésiste suppose un
déplacement du résident non remboursé par la sécurité sociale, "à moins qu'un proche
l'accompagne", souligne la psychologue. Elle concède qu'un travail de communication auprès des
familles reste nécessaire, notamment grâce à des courriers, une fois les résidents malentendants
"repérés".Une dernière pour la route: saurez-vous deviner l'expression qui se cache dans cette
image?(*réponse tout en bas)
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10 mars 2016 - 23:31
Journée de l'audition : quand des entreprises
prennent soin de leurs salariés
Pour protéger les oreilles de ses employés, le gérant d'une menuiserie a mis en place des
équipements d'isolation phonique. Le reportage de France 3. Ce jeudi 10 mars, c'est la journée
nationale de l'audition . Pour protéger les oreilles de ses salariés, Laurent Fuchs, chef d'une
entreprise de menuiserie à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), a installé des équipements d'isolation
phonique : des plafonds isolants, des murs antibruits et des cloisons modulables. En tout, 60 000
euros d'investissement pour un bénéfice humain inestimable. Défaillance de l'oreille interne Au
travail comme au quotidien, la perte d'audition est handicapante. Pourtant, de nombreux Français
prennent soin trop tard de leurs oreilles. "La conséquence, c'est le vieillissement prématuré du
système auditif et de l'oreille interne" , explique le docteur Pascal Foeillet, ORL et vice-président
de la journée nationale de l'audition. En France, trois millions de salariés sont exposés
quotidiennement aux risques liés au bruit. Voir la vidéo sur Francetv info
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10 mars 2016 - 18:25
Beaune : Les lycéens apprennent à préserver
leur audition
Jeudi 10 Mars 2016, à l’occasion de la journée nationale de
l'audition, les élèves du lycée Marey, ont pu mesurer le niveau
sonore de leur casque quand ils écoutent de la musique et se rendre
compte de l'effet nocif d'un son trop fort, sur leur audition.
En France, 5 millions de personnes et de plus en plus d'adolescents auraient des problèmes
d'audition. Au lycée Marey de Beaune, un atelier a été mis en place à l'occasion de la Journée
Nationale de l'Audition . Grâce à un audiomètre, les jeunes ont pu mesurer le niveau sonore de
la musique qu'ils écoutent dans leurs casques. Une façon très concrète de se rendre compte du
risque qu'ils prennent dès qu'ils mettent le son un peu trop fort.C'est un fait : avoir de la musique
plein les oreilles est perçu comme un moyen d'en profiter au maximum, et pour certains de s'isoler
dans leur bulle. Mais sur l'échelle des décibels , le niveau maximum d'écoute raisonnable supporté
par l'audition sans risque de perte auditive, est relativement bas par rapport au niveau d'écoute
habituel des jeunes.Les lycéens qui se sont prêtés à l'expérience ont parfois été surpris d'être
potentiellement concernés par des troubles de l'audition . En France, 30 à 50 000 jeunes
présentent des altérations sévères du système auditif.Reportage au lycée Marey de Beaune : Anne
Berger et Damien Rabeisen. Son : Pascal Di BettaMontage : Chantal GavignetIntervenants :
Vanessa Chavance : Infirmière - Sylvain Pernée - Thomas Lahaie - Mathilde Lecoq - Jérôme
Virot : Professeur de mathématiques et de physiqueAtelier au lycée - Journée Nationale de
l'Audition
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10 mars 2016 - 22:45
Journée de l'audition : quand des entreprises
prennent soin de leurs salariés
Pour protéger les oreilles de ses employés, le gérant d'une menuiserie
a mis en place des équipements d'isolation phonique. Le reportage de
France 3.
journée nationale de l'audition . Pour protéger les oreilles de ses salariés, Laurent Fuchs, chef
d'une entreprise de menuiserie à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), a installé des équipements
d'isolation phonique : des plafonds isolants, des murs antibruits et des cloisons modulables. En
tout, 60 000 euros d'investissement pour un bénéfice humain inestimable.Défaillance de l'oreille
interneAu travail comme au quotidien, la perte d'audition est handicapante. Pourtant, de
nombreux Français prennent soin trop tard de leurs oreilles. "La conséquence, c'est le
vieillissement prématuré du système auditif et de l'oreille interne", explique le docteur Pascal
Foeillet, ORL et vice-président de la journée nationale de l'audition. En France, trois millions
de salariés sont exposés quotidiennement aux risques liés au bruit.
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11 mars 2016 - 06:04
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Les Montpelliérains nombreux à vérifier leur
audition
A l'occasion de la journée nationale de l'audition, de nombreux dépistages étaient organisés ce
jeudi 10 mars 2016 dans tout le département de l'Hérault, notamment au CHU de Montpellier.
La journée nationale de l'audition organisée le 10 mars, c'était l'occasion pour de nombreuses
personnes de vérifier si elles ne sont pas si sourdes que ça. 29 cabinets de l'Hérault ont organisé
des tests d'audition, dont 11 à Montpellier.
7 millions de Français atteints de surdité légère
Le CHU de Montpellier a participé à la journée nationale de l'audition. On pouvait faire un
dépistage de l'audition à l'Hôpital Gui de Chauliac. Evelyne a 53 ans, elle a senti qu'elle devait
faire une visite de contrôle. "Mes enfants m'ont dit que j'étais sourde et que je leur faisais tout
répéter tout le temps". Une gêne pour elle et pour les autres.
Pendant le test, Evelyne a un casque sur les oreilles. "Vous allez entendre des sons graves et
aigus. Dès que vous entendez quelque chose, levez le bras", demande Antoine Lorenzi,
audioprothésiste. Ça dure cinq minutes, ensuite Antoine Lorenzi prend le temps de regarder les
courbes avec Evelyne.
"Vous avez une surdité légère mais rassurez-vous, vous n'êtes pas du tout sourde comme un pot
!", précise l'audioprothésiste. Pas d'appareil auditif donc pour Evelyne mais l'audioprothésiste
rappelle qu'à partir de 55 ans il est bon d'aller régulièrement faire une visite de contrôle.
>>> VOIR AUSSI :
• Les différents niveaux de surdité
• L'étude de l'INPES sur la surdité précoce
• La sophrologie pour faire disparaître les acouphènes
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Yahoo ! Finance Fra
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10 mars 2016 - 15:46
Darty s'attaque à la cash machine des
malentendants
En cassant les prix, l'enseigne d'électronique grand public espère élargir le marché des appareils
d’audioprothèse qui touche 6 millions de personnes en France.Darty a voulu célébrer à sa manière
la journée nationale de l’audition. L’enseigne a annoncé ce jeudi 10 mars la commercialisation
d’appareils d’aide auditive. C’est le premier grand distributeur à proposer ces dispositifs. La
gamme commercialisée par Darty cherche à apporter des réponses aux problèmes d’audition qui
touchent environ 6 millions de personnes en France. En cassant les prix, Darty espère élargir le
marché car aujourd’hui les appareils d’audioprothèse s’avèrent souvent très onéreux et seuls 25%
des malentendants sont équipés.L’offre double du distributeur "analogique" et "digitale" va de 89
euros à 300 euros l’appareil selon son degré de confort. Il s’agit d’aides à l’écoute disponibles
sans ordonnance. "Les vendeurs Darty sont spécialement formés pour cette offre", indique encore
le distributeur sans en préciser le niveau. C’est une façon pour ce réseau de magasin de défricher
un nouveau marché jusqu’à présent réservé aux spécialistes. Pour autant l’offre du distributeur n’a
rien de comparable à celle proposée par les enseignes spécialisées qui suppose pas moins de six
heures cumulées d’accompagnement avec un audioprothésiste. Darty se positionne sur l’entrée de
marché et cherche à répondre aux troubles précoces de l’audition. En France, le premier
équipement intervient en moyenne à l’âge de 72 ans.Numerus clausus limitéL’offensive de Darty
pourrait bousculer le marché. En attendant, Afflelou, un des acteurs majeurs, ... Lire la suite sur
ChallengesDarty photo challenges
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10 mars 2016 - 15:27
Journée nationale de l'audition : va-t-on vers
une génération de sourds ?
Une semaine après la Journée mondiale de l'audition, le 3 mars
dernier, a lieu la Journée nationale de l'audition(JNA). L'occasion,
une fois de plus, pour les spécialistes de rappeler aux parents de
jeunes enfants et aux adolescents de prendre soin de leurs oreilles.
Si les parents sont soucieux de l' hygiène bucco-dentaire ou de la bonne alimentation de leur
progéniture, ils sont en revanche moins en alerte sur les troubles auditifs qui menacent leurs
enfants. Et pourtant, le problème de surdité de toute une génération est pointé du doigt par les
experts. Le Pr Hung Thaï, responsable du centre expert Audition et Apprentissage, révèle ainsi
que 40 % des enfants, diagnostiqués « dys » (dysphasie, dyslexie, dysgraphie...), présentent un
trouble de l'audition. « Un enfant qui entend mal aura du mal à comprendre son enseignant »
précise de son côté le porte-parole de la JNA, Sébastien Leroy. « Il faut que les enfants, et les
parents, comprennent qu'une bonne oreille est nécessaire à leur équilibre » , insiste-t-il.La
campagne de la Journée nationale de l'audition concerne certes les plus jeunes mais aussi et
surtout les adolescents et leur tendance à écouter de la musique trop fort . Accros à leurs casques
et à leurs écouteurs, les 17-18 ans ont la fâcheuse habitude de les utiliser au quotidien, entraînant
des« déficiences auditives légères ou sévères » chez un jeune sur cinq. Ce constat touche
désormais les pré-ados qui possèdent de plus en plus tôt des baladeurs MP3, téléphones et
tablettes. « Il suffit d’un pétard ou d’une musique trop forte pour abîmer définitivement son
audition, et créer un acouphène dès le plus jeune âge. Car les petites cellules sensorielles de
l’oreille ne se régénèrent pas naturellement et on ne sait pas les réparer », indique le Pr Hung
Thaï.Heureusement, des mesures limitant le volume des smartphones et des baladeurs à 100
décibels, et obligeant les fabricants à signaler le danger pour l'audition au dessus de 80 décibels,
ont été mises en place depuis quelques temps. En parallèle, et au-delà des appareils de musique, «
l'environnement sonore global » est également mis en cause par les spécialistes. Selon une
enquête sur les nuisances sonores, réalisée par la JNA, la moitié des Français admettent être «
souvent ou très souvent agressés » par le bruit des lieux publics . 74% disent même à avoir du mal
à suivre une discussion.Conséquences de ces agressions sonores, outre les problèmes d'audition
qu'elles peuvent entrainer, elles sont également la cause de stress, de migraines et de fatigue. «
Les familles qui habitent dans des villes bruyantes couvrent souvent le bruit par le bruit (la télé, la
musique) et les jeunes s’endorment parfois avec leur casque sur les oreilles », déplore Sébastien
Leroy. Un constat qui amène à se poser des question sur l'avenir auditif de cette génération. « On
peut imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans
», indique ainsi le président de l’association Journée nationale de l'audition, Jean Stanko.
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10 mars 2016 - 12:20
Le grand direct de la santé – Emission
spéciale : Journée Nationale de l’audition :
Comment prendre soin de vos oreilles ?
Le grand direct de la santé est une chronique de l'émission Le grand
direct diffusée le jeudi 10 mars 2016
Entouré de médecins généralistes et de spécialistes selon les sujets abordés, Jean-Marc Morandini
parle santé, forme, psychologie.A LA UNE AUJOURD’HUI :Sécurité Routière : Une initiative
pour protéger les enfants sur le chemin de l’école...Pour en parler:- Anne Lavaud – Déléguée
Générale de l’Association Prévention RoutièreEmission spéciale :« Journée Nationale de
l’audition : Comment prendre soin de vos oreilles ? »- Dr Jean Abitbol (ORL)Comment
fonctionne l’audition ? + Questions/Réponses Auditeurs- Dr Marcel Ichou (Généraliste)Pourquoi
est-il important de protéger ses oreilles ?- Dr Martine Perez (Généraliste)Quelles sont les
principales causes de la perte d’audition ?- Isabelle Quenin (Spécialiste Santé/Conso/Bien-Être)
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10 mars 2016 - 14:51
Audition déficiente : stop à la détresse
La Journée Nationale de l’ Audition 2016 a eu lieu le 10 mars dernier.
L’occasion de rappeler que la déficience auditive peut s’accompagner
d’une souffrance psychologique et déstabiliser une vie sociale et
professionnelle. L’image de soi prend un sérieux coup. Pourtant, un
réseau de spécialistes est là pour diagnostiquer, accompagner le deuil
de l’"ouïe d’avant" et favoriser le retour une vie la plus normale
possible.
Entendre moins bien, une "barrière relationnelle"A 65 ans, 30% des personnes sont devenues
"dures d’oreille" ; on parle de presbyacousie, soit la diminution de l’ouïe avec l’âge ou la
conséquence des agressions sonores trop intenses et répétées. La baisse de l’ audition , lorsqu’une
partie plus ou moins importante des cellules sensorielles (ciliées) de l’oreille interne sont détruites
de façon totale et irréversible, touche quant à elle 4,5 millions de personnes en France, soit 7 % de
la population. Pour 89% des personnes interrogées dans un sondage JNA/Ifop 2014, les
difficultés auditives impactent la vie sociale*. En effet, lorsque la déficience auditive n’est pas
détectée à temps, les adultes sont fragilisés dans leur vie sociale et professionnelle et le déclin
cognitif s’accélère chez les seniors. Pour tous, l’altération de l’ouïe est un élément de déséquilibre
affectant l’état général de l’individu et sa qualité de vie (limitation des activités sociales, rapports
familiaux perturbés, risque de rupture de communication etc.). Le niveau de souffrance est
variable, propre à la sensibilité de chacun et dépend de divers facteurs (si le cercle familial inclut
déjà des malentendants, si la surdité est cachée, s’il existe des maladies associées)Marisol
Touraine, Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, interrogée par les
JNA en 2015 : « Presque une personne atteinte de surdité sur deux fait état de souffrance
psychologique. Face à cette détresse, l’appareillage auditif ne permet pas de corriger tous les
problèmes. Elle [cette souffrance, ndlr] nécessite d’être prise en charge aussi précocement que
possible. »Chez les actifs, une vie professionnelle fragiliséeLes jeunes seniors et les actifs
d’aujourd’hui sont les jeunes d’hier. Ceux qui ont connu les walkmans, l’absence de législation
concernant les bruits en discothèques etc. Ce sont aussi, et de plus en plus, les jeunes
d’aujourd’hui. La musique "amplifiée" et la pollution sonore actuelle qui va crescendo est en train
de fabriquer une génération de malentendants. Mais ce sont aussi ceux qui se disent gênés par un
niveau sonore trop élevé dans leur environnement professionnel (" fréquemment" et "souvent"
chez 31% d’entre eux) *. Globalement, neuf personnes sur dix se disent exposées tous les jours à
un bruit excessif et 81% des 18-35 ans sont gênés par le bruit sur leur lieu de travail**. Dès que le
niveau d’exposition quotidienne au bruit atteint 80dB pendant 8h, des protections doivent être
fournies au salarié. En théorie et à condition de ne pas s’en séparer ! Soumis à des pressions
constantes, l’ appareil auditif subit un état permanent de stress accélérant sa dégradation vers la
déficience auditive.Dr Didier Bouccara, médecin ORL, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière
(Paris) : « Chez l’enfant et l’adolescent, une baisse de l’ audition entrave la vie sociale mais aussi
les apprentissages. Chez l’adulte actif, elle altère non seulement la qualité de la vie sociale et
familiale mais aussi professionnelle. Mal entendre entraîne alors une dégradation de l’état de
santé général et son cortège d’impacts psychologiques (crainte de performances moindres, de
perdre son poste ou de ne pas entendre venir le danger, détresse liée à une dégradation de l’image
de soi, risque de troubles anxio-dépressifs etc.). Les conséquences sont loin d’être négligeables
avec un risque accru d’accidents du travail, de retombées sur la cellule familiale (risque de
rupture, perte de l’emploi et les difficultés économiques qui s’ensuivent etc.). Le trouble de l’
audition est la troisième cause de maladie professionnelle en France (1). La reconnaissance du
statut de travailleur handicapé permet une prise en charge médico-sociale, en particulier dans les
grandes entreprises. »Article publié par leSources : Pour en savoir plus :
www.journee-audition.org*Références sondages JNA ISPOS 2011-2012-2015 ; ** Enquête
Journée nationale de l’Audition 2016D’après un entretien avec le Dr Didier Bouccara, médecin
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10 mars 2016 - 14:51
ORL, Groupe Hospitalier Pitié Salpêtrière (Paris) et la documentation fournie par les JNA
www.journee-audition.org
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10 mars 2016 - 10:29
Une journée pour les victimes du bruit
Dans le cadre de la Journée nationale de l'audition, le service ORL du CHU organise une
journée de prévention et de dépistage dans le hall...
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10 mars 2016 - 15:44
Darty s'attaque à la cash machine des
malentendants
En cassant les prix, l'enseigne d'électronique grand public espère
élargir le marché des appareils d’audioprothèse qui touche 6 millions
de personnes en France.
Darty a voulu célébrer à sa manière la journée nationale de l’audition. L’enseigne a annoncé ce
jeudi 10 mars la commercialisation d’appareils d’aide auditive. C’est le premier grand distributeur
à proposer ces dispositifs. La gamme commercialisée par Darty cherche à apporter des réponses
aux problèmes d’audition qui touchent environ 6 millions de personnes en France. En cassant les
prix, Darty espère élargir le marché car aujourd’hui les appareils d’audioprothèse s’avèrent
souvent très onéreux et seuls 25% des malentendants sont équipés.L’offre double du distributeur
"analogique" et "digitale" va de 89 euros à 300 euros l’appareil selon son degré de confort. Il
s’agit d’aides à l’écoute disponibles sans ordonnance. "Les vendeurs Darty sont spécialement
formés pour cette offre", indique encore le distributeur sans en préciser le niveau. C’est une façon
pour ce réseau de magasin de défricher un nouveau marché jusqu’à présent réservé aux
spécialistes. Pour autant l’offre du distributeur n’a rien de comparable à celle proposée par les
enseignes spécialisées qui suppose pas moins de six heures cumulées d’accompagnement avec un
audioprothésiste. Darty se positionne sur l’entrée de marché et cherche à répondre aux troubles
précoces de l’audition. En France, le premier équipement intervient en moyenne à l’âge de 72
ans.Numerus clausus limitéL’offensive de Darty pourrait bousculer le marché. En attendant,
Afflelou, un des acteurs majeurs, cherche à consolider ses positions. Lancé en 2012 Afflelou
Acousticien a ouvert 127 magasins spécialisés au 31 décembre et prévoit d’arriver autour de 160
à 190 points de vente fin 2016. Mais c’est nettement moins que les 250 prévus initialement. A
périmètre constant, l’enseigne Afflelou a vu son chiffre d’affaires grimper de 25% en 2015.La
raison de ce retard "tient essentiellement à la difficulté de recruter des audioprothésistes
diplômés", précise Alain Afflelou, lui-même équipé d’un de ses appareils. Depuis un décret paru
en 2015, le nombre d’élèves diplômés sortant des six écoles d’audioprothésistes reconnues par
l’Etat est limité à 199 par an. "Il y a 3.000 audioprothésistes en France alors que les besoins en
exigeraient 2.000 de plus", s’inquiète Alain Afflelou. Ce dernier a bien tenté de sensibiliser le
gouvernement sur ce sujet mais apparemment le lobbying du syndicat des audioprothésistes est
pour l’heure plus efficace.En attendant et pour faire face à la demande, le groupe Alain Afflelou a
pris contact avec la filière espagnole qui forme six fois plus d’étudiants qu’en France. Il s’agirait
de leur proposer de venir travailler en France. Une hypothèse qui inquiète aussi l’Union nationale
des syndicats audioprothésistes de France qui veut limiter les équivalences de diplômes afin de
protéger son marché. La bataille ne fait que commencer.
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10 mars 2016 - 13:01
19 ème journee nationale de l’audition :
paroles d’experts
La conférence de presse de lancement de la 19ème Journée
Nationale de l’Audition s’est déroulée le 3 mars à Paris. Un certain
nombre d’experts sont venus témoigner de leur soutien à cette
manifestation et faire passer des messages de prévention.
La date du 3 mars n’avait pas été choisie au hasard puisque qu’elle correspond à la Journée
Mondiale de l’Audition. C’est pourquoi le Docteur Shelly Chadah, de l’OMS, a salué en direct
depuis Genève, à cette initiative française qui constitue chaque année un rendez vous très attendu
sur le thème de la prévention et de la prise en charge des troubles de l’audition. Elle a rappelé que
360 millions de personnes dans le monde sont malentendantes, dont 80% dans des pays à faibles
revenus, et 1 milliard de jeunes sont susceptibles de développer des troubles de l’audition en
raison de la pratique de loisirs bruyants. Il est donc urgent de les sensibiliser à ces risques.Lionel
Collet, médecin ORL et Conseiller d’Etat, pense également que les troubles de l’audition
constituent un enjeu de santé publique. Il se réjouit de la création imminente d’une Agence
Nationale de Santé Publique (regroupement de l’INVS, de l’INPES et de l’EPRUS) qui permettra
de rapprocher les spécialistes de l’épidémiologie et les acteurs de prévention et dans laquelle les
associations d’usagers seront représentées.En revanche, il estime que la durée de formation des
audioprothésistes sur trois ans est insuffisante face à la complexité des problèmes qu’ils ont à
traiter. La Grande conférence de la santé qui s’est tenue le 12 février 2016 a prévu la
recertification des médecins ; l’ensemble des professions médicales doit entrer dans ce processus
et Lionel Collet pense que les audioprothésistes devraient être les premiers à demander cette
recertification pour garantir la qualité des services qu’ils proposent aux malentendants.Martine
Ohresser, médecin ORL, a évoqué en quelques mots trois sortes de troubles liés aux sons :
l’hyperacousie, trouble émotionnel dans lequel les seuils d’inconfort sont considérablement
abaissés, la personne a alors peur de l’environnement sonore ; la misophonie qui est une sensation
émotionnelle désagréable indépendante des caractéristiques physiques du son mais liée plutôt à sa
signification pour l’individu ; et la phonophobie, qui est une pathologie psychiatrique nécessitant
une thérapie comportementale. A la question posée par un journaliste de savoir quel traitement
existait pour l’hyperacousie, elle a indiqué que beaucoup d’hyperacousiques tentaient de se
protéger des bruits par des bouchons et des casques, mais que c’était totalement contreproductif.
Il faut au contraire choisir une rééducation aux sons qui consiste à écouter un bruiteur produisant
des bruits blancs dont on augmente le niveau sonore de semaine en semaine. En trois ou quatre
mois, si l’hyperacousie est récente, le problème peut être réglé.Le professeur Hung Thai Van a
quant lui, a souhaité passer un message qui lui paraît essentiel : les contrôles de l’audition
effectués actuellement avec un test tonal (on fait écouter dans un casque des sons de différentes
fréquences et le patient doit dire s’il les entend ou pas) sont absolument insuffisants pour qualifier
le statut auditif d’une personne. Il faut réaliser un test vocal, en faisant écouter des syllabes, des
mots, et cela en pratique courante dans les cabinets ORL. En effet, il voit beaucoup d’enfants
déclarés normo entendants par les ORL mais diagnostiqués par les neuropédiatres comme «
multidys » : dyslesxie, dysortographie, dysphasie, dyscalculie, et on finit par découvrir chez eux
une neuropathie du nerf auditif, une atteinte des neurones, donc des troubles centraux de
l’audition que les bilans ORL n’avaient pas pu détecter. Ces cas ne sont pas rares : on recenserait
près de 7% de troubles centraux de l’audition dans les âges scolaires, d’où la nécessité absolue de
modifier la façon d’établir les bilans auditifs.Valérie Rozec, docteur en psychologie de
l’environnement au CIDB, a quant à elle témoigné du fait que les campagnes de sensibilisation
menées par le CIDB en milieu scolaire depuis plus de trente ans, montrent que les pratiques
d’écoute des jeunes sont de plus en plus précoces. C’est pourquoi, après être intervenu dans les
lycées, puis les collèges, puis les écoles primaires, le CIDB a entrepris des actions dans les
crèches afin d’informer les personnels de la petite enfance et les parents sur l’importance d’offrir
un environnement sonore de qualité à leurs enfants pour leur bon développement. Une exposition,
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10 mars 2016 - 13:01
réalisée par le CIDB et baptisée « Grandir avec les sons », est proposée gratuitement à toutes les
crèches qui le souhaitent, grâce à un soutien financier du Ministère de l’Environnement et de la
Fondation agir pour l’audition.Enfin, pour clore cette conférence de presse, la JNA a présenté 3
spots vidéo…3 spots vidéo de la JNA : « Mes oreilles j’y tiens et j’en prends soin ! »La JNA a
également produit trois spots vidéo qui suivent une même dynamique : « Mes oreilles j’y tiens et
j’en prends soin ! » ; permettant de diffuser les messages de prévention à un large public.Dans ces
vidéos, trois messages de prévention sont délivrés :« Je protège mes oreilles en concert et en
discothèque, au travail, lors d’activités de loisirs, de jardinage ou de bricolage avec des
protections auditives »« Je fais des « pauses » loin du bruit »« Je fais faire un bilan régulier de
mon audition »Le premier spot montre l’importance qu’a la musique dans la vie quotidienne d’un
jeune d’une vingtaine d’années. Le deuxième spot expose le quotidien d’un directeur d’entreprise
de menuiserie. Il montre les niveaux sonores élevés que l’on peut rencontrer sur le lieu de travail
et notamment dans le métier du bois (machines, scies, discussions dans l’atelier). Il expose
ensuite la nécessité de porter un casque anti-bruit pour les salariés. Dans la troisième vidéo, un
couple de 70 ans nous rappelle la nécessité de garder ses oreilles en bon état le plus longtemps
possible pour pouvoir toujours communiquer.
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10 mars 2016 - 14:43
Journée nationale de l'audition: dans les
grandes villes, le seuil sonore idéal souvent
dépassé
Un environnement trop bruyant peut entraîner des problèmes
d'audition, mais également du stress et de la fatigue. Les grandes
villes ont donc pour mission de réduire leur pollution sonore.
Jeudi 10 mars, c'est la Journée nationale de l'audition . À cette occasion, l'association du même
nom veut sensibiliser les Français aux risques auxquels ils exposent chaque jour leurs oreilles.Les
problèmes d’audition, de stress et de fatigue sont en effet de plus en plus fréquents, et le bruit
ambiant dans lequel nous vivons n’y est pas pour rien. Voilà pourquoi certaines grandes villes ont
fait de la lutte contre le bruit une de leurs priorités.Dans la capitale, c'est Bruitparif qui est chargé
d'évaluer le niveau sonore ambiant."On a une cinquantaine de stations de surveillance du bruit,
des stations qui tournent en continu, révèle Mathieu Sineau, responsable du laboratoire Bruitparif.
On mesure le bruit toutes les secondes, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24."Mathieu Sineau est ce que
l'on pourrait appeler un "chasseur de bruit". Régulièrement, il sillonne la ville pour effectuer des
relevés ponctuels, à l'aide d'un sonomètre. Le niveau sonore confortable pour nos oreilles se situe
autour de 60 décibels. Mais dans les grandes villes, il dépasse bien souvent ce seuil.Dans un café,
Mathieu Sineau peut ainsi relever des niveaux sonores de l'ordre de 65 à 70 décibels. Dans la rue,
cela peut même monter jusqu'à 75. 10 décibels supplémentaires, cela peut sembler anecdotique, et
pourtant cela suffit à doubler notre ressenti sonore.Enjeu de santé publiquePour mieux
comprendre ces nuisances, les bruits les plus marquants sont enregistrés, et analysés en
laboratoire. "Ce sont souvent les bruits événementiels, les pics de bruit, qui gênent", explique
Fanny Mietlicki, la directrice de Bruitparif. Le niveau sonore d'un passage d'avion qu'elle étudie a
par exemple atteint 78 décibels.À partir de l'analyse de ces données, les grandes villes françaises
ont pour mission de réduire leur pollution sonore dans les prochaines années. Il en va en effet de
la santé publique."On sait que quelqu'un qui est soumis à un bruit permanent va augmenter son
rythme cardiaque, prévient Philippe Metzger, audioprothésiste et secrétaire général de
l'association Journée de l'audition. Le bruit augmente le stress, et augmente la fatigue."Il est
même possible pour les habitants de participer eux-mêmes à cette cartographie du bruit en ville,
via une application développée par l’Institut national de recherche dédié au numérique (Inria) et
soutenue par la mairie de Paris. Elle devrait être bientôt disponible pour d'autres grandes villes.
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10 mars 2016 - 18:06
La "génération baladeur" sera-t-elle plus
sourde que les autres ?
A l'occasion de la journée nationale de l'audition qui se tient ce
jeudi 10 mars, médecins et associations tiennent à sensibiliser les
jeunes sur certains comportements à risques. Mais chez Biba aussi on
veut que vous préserviez vos petites oreilles, la rédac' a donc décidé
de faire la leçon et de se la jouer sérieux le temps d'un article!
© DRAujourd'hui, il n'est pas anodin de croiser quelqu'un avec des écouteurs ou un casque vissé
aux oreilles Sur le chemin pour aller au travail, en faisant du sport, ou simplement pour se couper
du bruit ils sont devenus partie intégrante de nos vies. Deux phénomènes portent à croire que de
plus en plus de personnes de la jeune génération seront sourds ou malentendants. Le premier est
simplement l'augmentation de l'exposition sonore, en effet, de plus en plus de jeunes portent des
casques ou écouteurs. Selon le dernier baromètre de l'Institut de veille sanitaire (InVS), 13% des
personnes de 18 à 35 ans écoutent fréquemment la musique avec avec un casque ou des
écouteurs. Ce chiffre atteint 25% quand il s'agit des 15-19 ans. En 2008 déjà, l'InVS estimait que
10% des jeunes de moins de 25 ans présentaient une perte auditive pathologique. Selon un
sondage Ipsos de 2015, 3 jeunes sur 4 (entre 15 et 30 ans) ont déjà ressenti des troubles auditifs ,
et près d' un nourrisson sur dix s'endort avec un appareil sur les oreilles . Alors que faire pour
réduire ces chiffres effrayants ? Ecouter de la musique avec un casque n'est pas le vrai problème,
c'est l'usage que l'on en fait qui le devient. La jeune génération passe beaucoup de temps avec un
casque sur les oreilles (1h43 par jour en moyenne) et avec un son bien trop élevé. 85% des 15-45
ans écouteraient en effet de la musique à fort volume. L'écoute répétée de musique peut entraîner
des dommages de l'oreille interne, irréversibles à long terme.Une explication démographiqueLe
deuxième facteur expliquant les problèmes de surdité des générations à venir est le vieillissement
de la population. Une étude de l'Ined rappelait le 9 mars que l'espérance de vie n'allait cesser de
croître dans les années à venir, et avec l'âge la perte d'audition augmente. Mais attention, il serait
dangereux de croire que casques et écouteurs sont les seuls risques pour nos oreilles. Les endroits
où la musique se fait extrêmement forte comme les boîtes de nuit ou les concerts sont tout autant
nocifs. Et on le sait: les jeunes sont de plus en plus friands de ces temples musicaux. Seulement
voilà: une seule et unique exposition peut entrainer une perte auditive. Pour préserver ses oreilles
il faut donc éviter les expositions répétées dans des lieux à risques, ne pas mettre le son trop fort,
préférer des concerts en salles ouvertes, et mettre des bouchons durant ceux-ci. De bonnes
habitudes à transmettre à son entourage pour préserver son audition!
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10 mars 2016 - 12:29
Pascal Foeillet: "A 100 décibels, il suffit de
quelques minutes pour agresser l'oreille
interne"
Pascal Foeillet, médecin ORL, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin,
ce jeudi. A l'occasion de la Journée Nationale de l'Audition, il
revient sur les dangers du bruit pour l'oreille interne, et sur les
dommages pouvant être causés sur le long terme. "Il faut penser à se
protéger, à ne pas écouter la musique au casque à pleine puissance",
explique-t-il. "On va assister à un vieillissement prématuré, sans
retour en arrière possible."
Bourdin Direct est une émission d’information dans laquelle interviennent en direct les acteurs de
l’actualité.
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10 mars 2016
Audio infos
@Audio_infos
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C'est la Journée nationale de l'audition. Les résultats de l'étude @IfopOpinion et les spots vidéo JNA sont
ici https://t.co/lfwsPPOvS7
C'est la Journée nationale de l'audition. Les résultats de l'étude
@IfopOpinion et les spots vidéo JNA sont ici https://t.co/lfwsPPOvS7
(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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android-mt
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10 mars 2016 - 11:15
Android MT s’associe à la Journée Nationale
de l’Audition !
En ce 10 mars 2016, Android MT s’associe à l’association JNA pour
promouvoir la 19e Journée Nationale de l’Audition. Une campagne
d’information et de prévention commence dès aujourd’hui pour
protéger ce sens précieux.
Le volume excessif sur un smartphone et le port régulier de casques, d’écouteurs ou d’oreillettes
Bluetooth, abîment notre audition au fil du temps, mais il existe des moyens de se
protéger.L’association JNA lance en cette Journée Nationale de l’Audition une nouvelle
campagne : “Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin !”.Le message est clair et pour appuyer ce
discours, l’association a créé un nouveau site Internet où vous pourrez trouver toutes les
informations sur l’ audition, un quiz pour apprendre de manière ludique, des témoignages, des
conseils…
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alsace20.tv
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10 mars 2016 - 20:15
JT du 10 mars 2016
Ce soir dans le JT de Mélodie Schwertz: - Manifestation: les retraités se rassemblent place Kléber
à Strasbourg. - Musique: découvrez les premiers noms du festival Décibulles avec Pierre Hivert! Santé: dépistage gratuit pour la journée nationale de l'audition.
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10 mars 2016 - 11:08
Journée Nationale de l’Audition : 3 vidéos
pour prévenir et sensibiliser
La 19e édition de la Journée Nationale de l’Audition se déroule le
jeudi 10 mars 2016. Dans le cadre de cette manifestation,
l’association éponyme vient de lancer sur les réseaux sociaux trois
spots reprenant le même message: « Mes oreilles, j’y tiens. J’en
prends soin! ».
Ces messages vidéo de prévention visent trois cibles distinctes : les jeunes exposés
quotidiennement à des niveaux sonores excessifs via leur smartphone et leur casque vissé sur
leurs oreilles à longueur de journée, les personnes sur leur lieu de travail exposées à des bruits
intenses sans aucune protection sur leurs oreilles ; l’objectif visé par le troisième message est de
sensibiliser les seniors pour qu’ils prennent soin de leurs oreilles durant leurs loisirs et bricolage
en se protégeant systématiquement contre le bruit excessif pour éviter d’altérer leur audition.
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10 mars 2016 - 07:50
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La "génération baladeur" sera-t-elle plus
sourde que les autres ?
SANTE - Dans le métro ou le bus pour passer le temps, au travail pour se couper des bruits de
l'open space, en faisant son jogging hebdomadaire, au téléphone, en regardant des séries sur son
ordinateur: le casque audio et les écouteurs sont devenus nos meilleurs amis, et surtout ceux des
jeunes. Problème: ce sont des comportements à risque pour l'audition. La "génération baladeur"
sera-t-elle plus sourde que les autres?
A l'occasion de la journée nationale de l'audition qui a lieu ce jeudi 10 mars, médecins et
associations tiennent à sensibiliser les jeunes générations sur certains comportements dangereux.
C'est le cas du docteur Arnaud Devèze, chirurgien ORL au sein de l’Hôpital Privé Clairval à
Marseille, contacté par Le HuffPost qui tient à alerter que le problème de la surdité "touche de
plus en plus la population".
Une exposition sonore de plus en plus importante
Selon lui, deux phénomènes laissent supposer que de plus en plus de personnes deviendront
sourdes ou malentendantes, surtout parmi les jeunes.
Le premier d'entre eux, c'est "l'augmentation de l'exposition sonore". "De plus en plus, les jeunes
générations portent des casques ou des écouteurs", affirme-t-il. En effet, selon le dernier
baromètre de l'Institut de veille sanitaire (InVS), 13% des personnes de 18 à 35 ans ont un usage
fréquent et intensif d'écoute de musique amplifiée avec un casque ou des écouteurs. Ce chiffre
bondit à 25% quand il s'agit des 15-19 ans. En 2008 déjà, l'InVS estimait à 10% la part de jeunes
de moins de 25 ans présentant une perte auditive pathologique. Selon un sondage Ipsos de 2015, 3
jeunes sur 4 (entre 15 et 30 ans) ont déjà ressenti des troubles auditifs.
Ecouter de la musique avec un casque n'est pas un problème en soi, si l'écoute n'est ni prolongée,
ni répétée, ni intensive. Le problème, c'est bien que les jeunes passent beaucoup de temps avec un
casque sur les oreilles (1h43 par jour en moyenne) et avec un son bien...
Retrouvez cet article sur le Huffington Post
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10 mars 2016 - 05:07
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L’info , Nancy: des tests gratuits sont
proposés à l’hôpital central ce jeudi pour la
journée nationale de l’audition
Hein? Quoi? Comment? Les Français n’entendent plus. A l’occasion de la 19e journée nationale
de l’audition, le groupe d’experts de l’association ...
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9 mars 2016 - 21:07
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Journée nationale de l'audition : les
Toulousains ne supportent plus le bruit !
C'est une ORL du CHU de Purpan qui le dit! Le docteur Marie-José Fraysse reçoit de plus en plus
de patients qui souffrent de misophonie: ils ne supportent plus les bruits d'une rue un peu trop
bruyante, de voisins fêtards ou des avions au-dessus de leurs têtes.
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10 mars 2016 - 05:38
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Salvagnac. Journée nationale de l'audition
Publié le 10-03-2016 03:50:33 par www.ladepeche.fr
À l'occasion de la Journée nationale de l'audition, un
point rencontre et une conférence seront animés par
Jérôme Goust, consultant «Vie quotidienne et audition»,
journaliste-écrivain, malentendant, enseignant aux
écoles d'audioprothèse de Paris et de Cahors, ancien
coordinateur du «Bus de l'Audition» et ancien président
de la Journée nationale de l'audition, le samedi 12
mars, à 14 h 30, à la salle de billard, rue
Caraven-Cachin à Salvagnac....
Lire l’article complet sur www.ladepeche.fr
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9 mars 2016 - 17:53
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Audition : comment limiter la casse
A l’occasion de la journée nationale de l’audition, ce jeudi 10 mars, de nombreux spécialistes
proposent d’évaluer la santé de vos tympans (retrouvezla liste sur le site de l’association
organisatrice, JNA). Il n’y a pas d’âge pour la préserver, comme le confirme le médecin ORL
Pascal Foeillet, qui exerce dans le Val-de-Marne.À 60 ans et plus, peut-on encore faire de la
prévention ?Bien sûr. A tout âge, et même si on a déjà des lésions, il faut éviter les ambiances
sonores excessives prolongées comme les concerts ou l’écoute de musique au casque. Mais les
activités domestiques comportent aussi des risques, comme l’utilisation régulière d’une perceuse
ou d’une tondeuse à gazon. Les plus vieux modèles peuvent monter à 90/95 décibels ( le seuil
critique se situe à 85 db, ndlr ) ! On porte des lunettes de soleil pour se protéger du soleil, mais on
n’a pas le réflexe de faire de même avec ses oreilles. Dans toutes ces activités, il est indispensable
de se munir d’un casque ou de bouchons, qui n’empêchent pas d’entendre la musique.Quand
faut-il consulter ?À 60 ans, c’est bien de réaliser une visite de contrôle chez un ORL. S’il y a une
déficience, il faudra ensuite surveiller son audition tous les ans ou tous les deux ans. Et si elle est
importante, il ne faut pas hésiter à s’équiper d’un appareil auditif. Cela ne permettra pas de
revenir en arrière : il n’existe pas de traitement contre les lésions auditives à ce jour; une fois que
c’est perdu, c’est perdu. Mais les prothèses aident à corriger la perte d’audition et à conserver une
vie sociale. Et bien entendu, il faut continuer à éviter les sons trop agressifs.Selon une enquête
JNA – IPSOS de 2013, 93% des seniors accepteraient de s’équiper. Mais seul un tiers de ceux qui
en ont besoin passent à l’acte. Comment l’expliquez-vous ?Les prothèses souffrent d’un problème
d’image depuis des années : ça fait vieux; beaucoup doutent de leur efficacité, alors
qu’aujourd’hui il existe des modèles très performants. Elles peuvent aussi paraître chères, même
si elles reviennent au même prix par jour qu’un abonnement de téléphone portable. Avec
l’association, nous essayons de faire passer le message qu’elles sont nécessaires pour lutter contre
l’isolement des personnes souffrant de perte d’audition. Des études françaises et américaines ont
montré que cet isolement pouvait accélérer le déclin cognitif.>>Avez-vous besoin de vous faire
dépister ?Faites notre test pour le savoir.
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9 mars 2016 - 12:25
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Testez votre audition le jeudi 10 mars
Si vous ne voulez pas être menacé de surdité comme le chanteur du
groupe AC/DC, il faut prendre soin de vos oreilles. Pour faire le point
sur votre audition, près de 2 400 points d'accueil accueillent le public
le 10 mars 2016.
Photo : le chanteur Brian Johnson et le guitariste Angus Young au concert d'AC/DC en Australie
le 4 novembre 2015, © REUTERS/Jason Reed.L'annonce a été faite en début de semaine : le
groupe de rock AC/DC a dû reporter les dates de sa tournée. La raison : son chanteur Brian
Johnson risquait de devenir sourd s'il continuait à se produire sur scène.Cette information va
peut-être - espérons-le en tout cas - contribuer à mieux prendre en compte les messages de
sensibilisation au bruit, qui seront nombreux lors de cette j ournée nationale de l'audition (JNA)
du 10 mars 2016.Le capital auditif ne se renouvelle pasAudioprothésistes, orthophonistes,
médecins ORL des services hospitaliers… de nombreux spécialistes proposeront au public
d'effectuer ce jeudi un bilan auditif. L'an dernier, près de 200 00 personnes avaient ainsi pu
bénéficier d'un test de dépistage de leur audition. Pour connaître la liste des lieux participants,
consulter le site dédié à la journée 2016 de l'audition .Depuis plusieurs années, les mises en garde
sur les effets des nuisances sonores se multiplient : notre environnement est de plus en plus
bruyant, et cette omniprésence des sons avec des intensités non maîtrisées a des effets sur nos
oreilles.Soumis à des sollicitations élevées et continues, le système auditif ne bénéficie plus de
temps de récupération. Et cet état permanent de stress accélère sa dégradation, car le capital
auditif ne se renouvelle pas.A lire aussi : Surdité à l’âge adulte : agir vite pour mieux
traiterAcouphènes, les jeunes particulièrement vulnérablesLes seniors ne sont pas les seuls à être
affectés par les troubles de l'audition.Selon l'association organisatrice de la JNA, une personne
sur deux serait touchée par les acouphènes , et cela concerne aussi la tranche des 16-34 ans.En
cause : une exposition sonore quotidienne trop élevée. Un jeune sur trois écoute pendant deux à
trois heures par jour de la musique au casque , et deux jeunes sur trois entre une à deux heures.
C'est beaucoup trop !L'association a mis en ligne plusieurs vidéos rappelant les dangers du bruit,
dont celle-ci destinée aux jeunes.
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10 mars 2016 - 08:30
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NUISANCES SONORES: Il est temps de
réagir – A cadémie nationale de Médecine
A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition, le 10 mars prochain, l’Académie de
médecine alerte sur les traumatismes de plus en plus graves et fréquents dus aux abus de
l’amplification sonore qui est, dans notre environnement, à l’origine d’une pandémie nouvelle, la
surdité précoce. Le trauma du » samedi soir » rend sourd de plus en plus jeune. Aux fortes
intensités d’aujourd’hui, la musique est d’autant plus dangereuse qu’elle est insidieuse et ses
conséquences difficiles à évaluer, car on ne pratique plus d’audiogramme systématique depuis la
fin du service national. Mais les médecins ORL voient de plus en plus souvent, le lundi, ces
victimes des boîtes de nuit du week-end… En effet, cette surdité, d’abord ressentie dans le
contexte agréable d’un groupe en transe, devient gênante lorsqu’elle dégénère en troubles
permanents, notamment en acouphène, ce qui amène à consulter… souvent trop tard ! Dans
l’oreille interne, en effet, chaque agression sonore trop violente transmise par le tympan, la chaine
des osselets puis les liquides qui vibrent au rythme des sons conduit à l’arrachement des cils
fragiles du long ruban spiralé de cellules sensorielles, chargées de convertir les vibrations sonores
en signaux électriques transmis à notre cerveau par le nerf auditif. Dans cet organe de Corti , les
cellules ainsi agressées finissent par mourir, si le bruit est intense ou se reproduit souvent,
entraînant une perte auditive laquelle, faute de traitement, s’aggravera inéluctablement pour
aboutir à des complications, voire à une surdité définitive. Au travail, le bruit est une agression de
plus en plus fréquente, mais encore trop rarement reconnue comme une maladie professionnelle .
Seuls les riveteurs de la métallurgie et les praticiens du marteau-piqueur doivent obligatoirement
porter un casque protecteur d’oreilles, alors que les musiciens professionnels, par exemple, sont
notoirement exposés. En effet, les cuivres et les percussions entament l’audition non seulement de
ceux qui en jouent, mais surtout celle de leurs proches voisins dans l’orchestre (bassons, hautbois,
clarinettes ou percussions). Les musiques d’avant-garde aggravent encore ces méfaits en
inventant des situations scéniques dangereuses et en créant des sonorités numériques dotées
d’amplifications violentes. Enfin, ne sont pas épargnés les chasseurs invétérés, les canonniers
dans leur casemate @ il ne doit pas y en avoir beaucoup ?, sans compter les irréductibles des
pétards du 14 juillet… Dans l’habitat, malgré une règlementation abondante , la prise en compte
du bruit dans l’environnement reste souvent insuffisante. La part du bruit passe trop souvent au
deuxième plan, loin derrière la performance thermique, malgré une incidence majeure de
l’incidence sanitaire et du poids économique des nuisances sonores. L’Académie nationale de
médecine préconise la prévention . En effet, tant que la perte auditive est limitée aux fréquences
proches de 4000 Hz, on peut encore agir avec des vasodilatateurs, des corticoïdes, et surtout la
suppression définitive de l’agression. Mais, si l’audiogramme chute aussi sur les fréquences plus
aiguës, les prothèses auditives s’imposent, sachant qu’elles auront d’autant plus de mal à
compenser le handicap que leur action risque d’être gênée par une hyperacousie douloureuse
(phénomène dit de recrutement ). C’est pourquoi, l’Académie recommande : · d’éviter le
traumatisme sonore dès l’enfance afin que ses effets, en s’additionnant, n’engendrent pas de
complications redoutables et consulter dès les premiers signe s , comme des acouphènes, afin de
ne pas risquer une surdité précoce, dès la quarantaine, ou une hyperacousie douloureuse, qui peut
apparaitre brutalement à 30 ans, à la suite d’une agression sonore, même faible, mais consécutive
à des sonorités violentes accumulées depuis l’enfance ; · d’utiliser systématiquement, lorsqu’il le
faut, une protection auditive, au travail aussi bien que lors des loisirs. Toutefois, il est vain de
vouloir échapper au bruit en portant en permanence des bouchons protecteurs dans les oreilles car
ces systèmes de protection, d’autant plus visibles qu’ils sont plus efficaces, stigmatisent ces
personnes qui, devenus sourds aux voix de leur entourage immédiat, s’enferment dans une spirale
d’exclusion sociale et professionnelle ; · d’alerter constamment et par tous les moyens la
population à cette menace pour la santé : – enseigner, dès l’école primaire, les méfaits des bruits
trop intenses ; – sensibiliser les corps de métier qui interviennent dans l’habitat à la qualité
phonique ; – inciter les autorités à tous les niveaux, les maires, notamment, à faciliter
l’information des habitants pour mieux maîtriser les nuisances sonores de voisinage, en favorisant
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10 mars 2016 - 08:30
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la médiation, et en menant le plus possible des actions de prévention. Sources: Communiqué
Académie de Médecine- Auteur : Nicole Priollaud Rapport 5.6.2012 : » les nuisances sonores de
voisinage dans l’habitat – analyse et maîtrise » (François Legent) Plus d’études sur l’Audition
Lire aussi : AUDITION: L’écoute intensive de musique amplifiée multipliée par 3 en 10 ans –
Publié par P. Bernanose, D. de publication le 10/03/2016 depuis votre site.
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9 mars 2016 - 12:06
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Journée nationale de l’audition: prenons soin
de nos oreilles
Publié le 9 mars 2016 à 12:04 dans la catégorie « Santé » par Patrick
MENEYROL.
L’hôpital de Brive se mobilise demain, jeudi, pour la journée nationale de l’audition. Entre 11h
et 16h , différents stands installés dans le hall informeront le public sur les problèmes d’audition,
leur dépistage, et les moyens d’y remédier. La perte d’audition n’est pas une question anodine
puisqu’elle touche, selon les spécialistes, environ 5 millions de personnes en France, et les aînés
ne sont pas les seuls concernés. On estime, en effet, qu’ un jeune sur deux a des problèmes
auditifs .Les causes et les modes d’apparition d’une surdité sont nombreux. La surdité peut exister
à la naissance, ou s’installer brusquement, ou encore apparaître insidieusement de façon
progressive. Divers troubles auditifs peuvent survenir à tout âge . Tous gênent la communication.
Les premiers signes sont peu spécifiques ou peu importants. Il est donc essentiel de les dépister.
C’est ce que proposera, entre autres, demain, le centre hospitalier de Brive. Ce dépistage sera
effectué par des audioprothésistes qui présenteront également ce qui se fait en matière
d’appareillage.Le dépistage est la détection de signes dits d’appel qui orientent vers une affection
non encore reconnue, ou la recherche de ces signes à l’aide de tests simples. Il se différencie du
diagnostic qui identifie et évalue l’affection par des examens plus lourds (bilans O.R.L. , bilans
autres). A tout âge, il doit être suivi rapidement par un diagnostic et une prise en charge.La
mesure de la perte auditive et le diagnostic de surdité sont faits par le médecin spécialiste ORL, et
l’hôpital de Brive a un service dédié. Ils utilisent différentes techniques. L’examen audiométrique
de base est simple, rapide, et indolore ; les résultats figurent sur un audiogramme qui indique les
valeurs de la perte auditive aux diverses fréquences. Les tests d’ intelligibilité indiquent l’aptitude
d’un patient à comprendre la parole.D’autres tests, tout aussi anodins mais plus complexes, sont
appliquésaux bébés et aux enfants, permettant le diagnostic précoce. C’est aussi un point
important. Le dépistage du nouveau-né est un examen qui permet d’ anticiper les problèmes
auditifs de l’enfant et d’éventuels soucis ultérieurs dans l’apprentissage du langage. Il peut être
effectué dès le 3e jour après la naissance et avant la fin du 3e mois. De manière générale, il
convient d’être vigilant à la réactivité de l’enfant aux sons jusqu’a son 18e mois.Par ailleurs, si
l’audition peut diminuer avec l’âge, certains peuvent déclencher des problèmes plus tôt et de
manière plus rapide et radicale. On pense bien sûr ici aux jeunes qui écoutent de la musique
beaucoup trop fort, casques audio ou boîtes de nuit , et qui peuvent se retrouver très vite avec des
soucis d’audition ou d’ acouphènes .N’oublions pas que les bruits nocifs n’existent pas à l’état
naturel, même s’ils peuvent être présents dans le travail ou les loisirs. Tous les sons deviennent du
bruit lorsqu’ils sont gênants ou lorsque leur niveau trop élevé les rend nocifs pour l’oreille. Les
sons forts détruisent les cellules sensorielles de l’oreille ce qui conduit à la surdité traumatique.
Qu’il s’agisse de celle-ci ou d’une surdité progressive, des solutions existent. Cette journée
d’information à l’hôpital de Brive permettra à tous de trouver des réponses
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9 mars 2016 - 12:00
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santé journée nationale de l’audition le 10
mars Saint-Avold: son handicap, un atout
Même si elle est affable et très à l’écoute, Fabienne Kremer, agent
d’accueil et secrétaire chez un audioprothésiste de Saint-Avold, a un
autre atout: celui de connaître parfaitement les craintes et les attentes
de la clientèle pour les avoir vécues. « Ma sœur porte des prothèses
auditives depuis l’âge de 30 ans. Pour ma part, j’ai consulté un ORL
il y a dix ans parce que je remarquais une baisse d’audition. J’avais
40 ans. »
Les premiers signes ? « Je montais le son du téléviseur. J’entendais moins bien lorsque les gens
me parlaient le dos tourné. Je me rapprochais de plus en plus d’eux pour les écouter. »Et parce
qu’elle élevait machinalement la voix pour parler, ses proches lui demandaient de ne pas
s’exciter. « Mais, je ne m’énerve pas ! », leur répondait-elle. Fabienne se rend à l’évidence. Elle
entend de moins en moins des deux oreilles. « Tout cela me demandait plus d’attention, plus
d’efforts pendant les conversations. J’en étais même à lire sur les lèvres. Ça devenait fatigant. »À
la consultation ORL, elle apprend que la cause n’est pas mécanique mais se situe au niveau des
transmissions nerveuses. Inopérable. Quelques mois plus tard, elle prend rendez-vous auprès de
Pierre-Étienne Gry, audioprothésiste, installé à Château-Salins, Saint-Avold et Stiring-Wendel.Le
professionnel lui propose deux sortes de prothèses : avec contours d’oreille ou intra-auriculaires.
« J’ai testé les deux avant d’opter pour le premier modèle. Au début, je ne le portais que par
nécessité car je ne le supportais pas. C’est exactement comme un appareil dentaire. Certains s’en
accommodent facilement, d’autres pas. Et puis comme j’étais mère au foyer, j’estimais que je
n’en avais pas forcément besoin. Je voyais peu de monde. »Mais la volonté de retrouver un
emploi, de tisser du lien social avec le monde extérieur, de ne plus s’isoler encouragent Fabienne
à porter ses appareils auditifs au quotidien. « À force, je m’y suis habituée au point de ne plus les
sentir la journée. Je redécouvrais des bruits que je n’entendais plus. »Fini les sonotones du
grand-père ! Les prothèses sont aujourd’hui un concentré de technologie et de discrétion usant de
télécommande connectée et bluetooth pour les plus perfectionnés.La cinquantaine approchant, ses
deux fils étudiants, Fabienne se met en quête d’un emploi stable avec toutefois la crainte que sa
surdité ne soit un handicap. Son audioprothésiste en fait un atout. Il lui propose un contrat pour
tenir le magasin de Saint-Avold, à une trentaine de kilomètres de son domicile à Nébing. Elle
accepte. « Depuis quatre mois, j’ai l’impression de revivre. Je me sens bien ici. Je suis vraiment
dans mon élément. Je me sens proche des clients. Quand je les sens réticents, je ne les brusque
pas. Je connais parfaitement le problème qui les préoccupe. Il m’arrive de leur dire que moi aussi
je suis appareillée et même de leur montrer ce que je porte en expliquant les technologies.
Certains reviennent et disent à l’audioprothésiste : "Je veux la même chose que votre secrétaire !".
Je suis en quelque sorte la vitrine du magasin ! », sourit la Nébingeoise.À croire aussi que
partager le même souci de santé rapproche et crée des amitiés. « Certains clients s’arrêtent en
passant devant le magasin, simplement pour dire bonjour, bavarder, boire un café ou me faire la
bise. C’est comme ça que j’ai sympathisé avec une vieille dame, très gentille, très dynamique. On
déjeune ensemble au moins une fois par mois. »Car, comme l’écrivait le poète Sylvain Maréchal:
« Le cœur, bien souvent, entend mieux que l’oreille. ».
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Sarreguemines : des oreilles abîmées ne
peuvent pas se remplacer
À l’occasion de la journée nationale de l’audition, pourquoi ne pas
faire un audiogramme tonal? Lucile Faivre, audioprothésiste,
explique pourquoi les gens ignorent et cachent leur perte auditive
autant qu’ils le peuvent.
Aujourd’hui, le syndicat national des audioprothésistes organise la 19 e journée nationale de
l’audition. Ces professionnels offriront des bouchons, distribueront des prospectus, proposeront
de passer un audiogramme tonal pour mesurer le seuil de l’audition, voire vocal s’ils se rendent
compte que les personnes souffrent d’une perte auditive. « Mais qui connaît cette journée ? Alors
que c’est un problème de santé publique dont on parle peu ou mal », déplore Lucile Faivre,
audioprothésiste présente à Sarreguemines, Rohrbach-lès-Bitche, Freyming-Merlebach et
Creutzwald. Certes, des spots publicitaires réalisés par des acteurs connus comme Anny Duperey
ou Robert Hossein diffusés sur les chaînes télévisées attirent l’attention du public sur la question,
mais bien des freins subsistent et les malentendants ignorent ou dissimulent leur perte auditive
aussi longtemps que possible.
Un handicap stigmatisant
En règle générale, la perte auditive est progressive et peut passer inaperçue. Elle est rarement
reconnue en tant que telle. « J’entends encore assez bien pour ce que j’ai à entendre » ou « Je suis
trop jeune pour porter une aide auditive », répond-on souvent à Lucile Faivre. Ce handicap est
stigmatisant. Les personnes redoutent que les autres voient leur appareillage, alors que celui-ci a
beaucoup évolué. Aujourd’hui, on est loin du contour d’oreille imaginé en 1952 ou du premier
intra-auriculaire sorti en 1955. « On remarque moins quelqu’un qui porte un appareil que
quelqu’un qui dit sans cesse hein ? », affirme Mme Faivre.
Ni vieux, ni sénile
Dans le métier depuis une quinzaine d’années, elle observe qu’à ses débuts, la moyenne d’âge de
sa clientèle était de 80 ans. Aujourd’hui, elle tourne autour de 75 ans. « À 60 ans, on dit : Je ne
suis pas vieux. À 80 ans, on dit : Je ne suis pas sénile » rapporte Lucile Faivre.
Mais les choses commencent à bouger. Des jeunes viennent choisir des protections. « Ils
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travaillent dans des usines bruyantes, font partie d’écoles de musique, écoutent des concerts…
Nous faisons de la prévention et il existe des bouchons sur mesure, adaptés à toutes les situations
sonores, même des bouchons anti-eau pour les enfants à qui des drains ont été posés ».
Si les jeunes seniors sont décomplexés et regrettent de n’avoir pas consulté plus tôt, les parents
ont encore du mal à accepter l’appareillage de leur enfant. Ils refusent de « faire le deuil de
l’enfant parfait ».
Pourtant des modèles sympas sont proposés - certaines coques imitent la robe blanche et noire des
ruminants - mais quand le bambin porte son choix sur lui, les parents poussent des cris et
retiennent « celui qui s’apparente à la couleur des cheveux ».
Lucile Faivre le dit franchement : « On n’a qu’une paire d’oreilles et quand elles sont abîmées, on
ne peut pas les remplacer. Plus on appareille tôt, mieux c’est car la dégradation cognitive
s’accélère quand on ne baigne plus dans un environnement sonore ». Cependant, elle prévient : «
On apporte une aide, mais c’est comme une béquille qui aide à marcher, mais ne permet plus de
courir ».
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Journée nationale de l'audition le 10 mars
Dans le cadre de le journée nationale de l'audition, le jeudi 10 mars, les professionnels de
l'audition du CHU de Reims se mobilisent pour recevoir et informer le public, jeune ou moins
jeune, sur les risques liés à l'audition et sur les moyens de conserver une bonne santé auditive.
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10 mars 2016
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Jean-Jacques Bourdin
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RT @RMCinfo: Journée audition: "Certaines lésions à l'intérieur de l'oreille sont irréversibles" Dr Foeillet
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l'oreille sont irréversibles" Dr Foeillet #BourdinDirect https://t.co/iQ…
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Journée de l'audition ce jeudi 10 mars à
Orléans
Dans le cadre de la Journée nationale de l'audition, ce jeudi 10
mars de 9 heures à 17 h 30 permanence du le CLIC Orléans Val de
Loire, au CCAS, 69 rue Bannier (Centre d'Action et d'Information sur
la Surdité, Audition Conseil)
Accès gratuit ouvert à tous,sans inscription.
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Enquête Journée nationale de l'audition : le
bruit agresse 9 Français sur 10
Par Béatrice Galbert, 10 mars 2016 à 06h28 Au travail, dans les
transports, les lieux publics, parfois à la maison... on ne s'entend plus.
Cette agression sonore a un effet sur la santé. Décryptage de l'enquête
Journée nationale de l'audition/Ifop.
Le 10 mars 2016 est la Journée nationale de l'audition. Ce rendez-vous annuel est l'occasion de
rappeler l'importance de prendre soin de son audition quel que soit son âge. Quand on entend mal,
c'est l'occasion de faire tomber la crainte de franchir la porte d'un audioprothésiste pour passer un
audiogramme et s'informer sur les appareils auditifs qui sont au top du design et de la discrétion !
Car bien entendre c'est non seulement préserver ses relations sociales (couple, familiales,
amicales...), c'est surtout protéger sa mémoire.
Journée de mobilisation
Ce jeudi 10 mars, 3 000 professionnels se mobilisent pour proposer des tests gratuits de l'audition
dans toutes les régions, parmi eux les médecins ORL, les services ORL des centres hospitaliers,
les médecins généralistes, les médecins du travail, les audioprothésistes, les orthophonistes. Où se
rendre au plus près de chez soi ? Les participants et le programme sont sur
www.journee-audition.org ou au 0 810 200 219.
Le bruit pollue notre quotidien
Selon l'enquête JNA-Ifop pour la Journée nationale de l'audition du 10 mars 2016, 89 % des
personnes de 15 ans et plus considèrent que le bruit représente un enjeu de société. Cet enjeu
s'amplifie po près de 2 Français sur 3 qui se sentent plus exposés au bruit dans leur vie
quotidienne qu'auparavant. Ce taux a tendance à monter à 70% auprès des 50-74 ans. Près de 9
personnes sur 10 déclarent être particulièrement gênés pour suivre les conversations dans les
restaurants, cafés et bars et dans les Transports Publics. Le lieu de travail et l'école suivent de près
pour 79 et 74 %.
Le domicile à l'abri du bruit, sauf en Ile-de-France
S'agissant du moment durant lequel le bruit est le plus gênant, 32% estiment que c'est plutôt
pendant la nuit, 27% plutôt pendant la journée et 27% à ces deux moments. A l'école, les
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nuisances sonores affectent 40% des sondés en âge scolaire. En comparaison avec les lieux
extérieurs, le domicile est très minoritairement considéré comme un lieu d'agression sonore (21%)
même si les habitants de l'agglomération parisienne s'y sentent davantage agressés (29%).
Le bruit nuit à la santé
La quasi-totalité des Français pense que l'exposition au bruit a un impact direct sur leur santé.
Ainsi, 53% des personnes estiment que le bruit crée des maux de tête, 49% qu'il génère souvent
de l'anxiété, 45% qu'il fait courir un risque de surdité définitive et 42% qu'il crée des acouphènes.
Concernant le diagnostic des effets néfastes du bruit pour les oreilles, les deux tiers des Français
(65%) pointent conjointement le volume sonore et la durée d'exposition.
Le bruit et les jeunes ont une relation particulière
7 jeunes sur 10 vont jusqu' à penser que le bruit ne fait pas courir un risque de surdité définitive et
38% des 15-17 ans avouent que ça les rend euphoriques. 39 % des 15/34 ans sont gênés plutôt la
nuit. Cela augmente à 41 % chez les 18/24 ans.
Les solutions pour s'entendre
Pour 85% des sondés, cela consiste à limiter le volume d'écoute de la musique et fuir les lieux
bruyants (81%), des moyens qui sont en effet assez faciles à mettre en place. Plus en retrait, deux
actions qui nécessitent plus de volontarisme, recueillent des scores néanmoins importants : faire
des pauses auditives, hors du bruit (62%) et limiter le temps d'écoute de la musique (59%).
A lire aussi sur www.pleinevie.fr
5 mesures pour protéger son audition
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10 mars 2016 - 00:51
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L’hôpital d’Évreux participe à la 19e Journée
de l’audition qui se déroule ce jeudi
Les écouteurs dans la rue, l’autoradio dans la voiture, la télévision dans le salon, la musique dans
les magasins, les appels téléphoniques au bureau... Les nuisances sonores sont le mal du XXIe
siècle. Et elles ont des conséquences sur notre ouïe. Pour faire le point sur la santé de vos oreilles,
rendez-vous ce jeudi toute la journée au centre hospitalier Eure-Seine, à Évreux. Le service ORL
participe à la 19e édition de la Journée nationale de l’audition. Quels appareillages ? Des tests
gratuits seront proposés pour mesurer sa capacité d’audition. Des médecins échangeront avec le
public sur la prévention des nuisances sonores et le vieillissement de son audition. Des conseils
seront dispensés concernant les appareillages disponibles sur le marché et les mieux adaptés à
chaque patient. En complément, chacun pourra repartir avec des revues d’information. Infos
pratiques Journée de l’audition, aujourd’hui jeudi de 10 h à 12 h et de 14 h à 16 h au centre
hospitalier Eure-Seine, rue Léon-Schwartzenberg à Évreux. Consultations ORL : 02 32 33 8
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10 mars 2016 - 03:00
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Conférence d’informations sur les
acouphènes - Fougères
Conférence. Dans le cadre de la journée nationale de l’audition, le CLIC de Fougères organise
en partenariat avec l’AG2R La Mondiale et l’association France Acouphènes une conférence
d’informations sur les acouphènes, animée par Ange Bidan, vice-président d’honneur de
l’association France Acouphènes. Jeudi 10 mars, 14h, Aux Ateliers, 9, rue des Frères-Dévéria,
Fougères. Contact et réservation: 02 99 94 37 89, [email protected]
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10 mars 2016 - 09:57
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Troubles auditifs : ne faites pas la sourde
oreille !
Le prix des prothèses, des conseils simples pour se prémunir
contre le bruit : c'est la journée nationale de l'audition. Un jeune
sur deux souffre de bourdonnements.
Vous entendez mal ? Alors lisez ceci. Selon l’association la « Journée nationale de l’audition »
(JNA) - journée qui a lieu ce jeudi – 12 à 15 % des Français souffrent de troubles de l’audition.
Des personnes âgées bien sûr : 40% des 60-70 ans sont atteints par une perte de l’audition et la
moitié des plus de 80 ans.
Mais les plus jeunes ne sont pas épargnés. Parmi les 16-34 ans, une personne sur deux est touchée
par des acouphènes. Globalement, 81 % des 18-35 ans « indiquent être gênés par le bruit sur leur
lieu de travail ». Et près de 50 % des Français se disent « agressés » par le bruit.
Autres constats, tendez bien l’oreille : le trouble de l’audition constitue la troisième cause de
maladie professionnelle en France. Le coût moyen d’une surdité professionnelle, indemnisée par
la sécurité sociale, représente près de 100 000 €, ce qui en fait l’une des maladies professionnelles
les plus coûteuses pour la collectivité.
Enfin, neuf personnes sur dix admettent avoir des difficultés pour suivre les conversations dans
les restaurants, cafés, bars et dans les transports publics.
Pourquoi l’audition diminue-t-elle ?L’être humain est doté de 15 000 cellules sensorielles par
oreille. Soit beaucoup moins que de cellules visuelles ou olfactives. Ces cellules transmettent les
informations au cerveau. « Elles sont fragiles et à partir de 20 ans, elles commencent à s’user
naturellement. A 60 ans, l’usure produit une surdité, phénomène appelé presbyacousie », rappelle
l’association JNA.
Et surtout, ces cellules ne se régénèrent pas. Une fois abîmées, elles sont perdues pour l’audition.
Les pratiques d’écoute de la musique, l’absence de réflexes de protection, l’omniprésence du bruit
provoquent leur usure prématurée.
Pas plus de 80 décibelsLa législation du travail impose de ne pas exposer les oreilles d’une
personne à plus de 80 décibels durant huit heures. Soit l’équivalent d’une rue bruyante. À titre de
comparaison, une pièce calme engendre tout de même une intensité de près de 35 décibels.
Lors d’un concert, la musique ne doit pas en principe dépasser les 105 décibels. Pour connaître,
l’intensité du bruit environnant, des applications peuvent être téléchargées sur votre smartphone.
L’association « Journée nationale de l’audition » en propose une gratuite.
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Autre indicateur : « À partir du moment où vous n’entendez plus la personne à côté de vous, c’est
que le bruit dépasse certainement 90 décibels », précise Philippe Metzger, audioprothésiste
Audition Conseil et secrétaire national de la JNA.
La durée d’exposition fait également souffrir les cellules auditives. Un jeune sur trois écoute de la
musique amplifiée deux à trois heures par jour via son smartphone, son ordinateur ou sa chaîne
hi-fi.
Dans ses recommandations, l’Académie de médecine souhaite ainsi que les méfaits des bruits trop
intenses soient « enseignés dès l’école primaire ».
Lors d’un concert, il est également recommandé de porter des obturateurs. Si vous n’en avez pas,
« il est possible de se confectionner des boules avec des filtres de cigarettes. Cela atténuera le
bruit », conseille Philippe Metzger.
Quel est le prix des prothèses ?À partir du moment où une surdité est diagnostiquée, « il n’existe
aujourd’hui comme solution que la prothèse auditive », assure Philippe Metzger.
Mais son coût peut être un frein. Si les appareils les moins chers s’acquièrent à partir de 700 €, le
prix moyen est d’environ 1 400 € par oreille. Soit près de 3 000 € pour les deux. Sur cette somme,
la Sécurité sociale ne rembourse que 120 € par appareil. Pour le reste, tout dépendra de votre
mutuelle. « Le remboursement moyen des régimes complémentaires s’élève à 300 € par oreille. »
Pour autant, Philippe Metzger l’assure : « Le fait que les gens ne s’appareillent pas est rarement
un problème uniquement de prix. » Le facteur esthétique constitue aussi « un frein majeur ».
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10 mars 2016 - 09:34
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Aujourd'hui, testez gratuitement votre
audition, au CHU de Nantes
Le jeudi 10 mars est la journée nationale de l'audition. L'occasion
de faire un test gratuit au CHU de Nantes?
Aujourd'hui, jeudi 10 mas, c'est la journée nationale de l'audition. À cette occasion, le service
ORL du CHU de Nantes propose :
- un dépistage auditif et une évaluation de l'acouphène de 14 h à 17 h au 5 e étage aile Nord de
l'Hôtel-Dieu.
- une conférence-débat sur les acouphènes dans la salle de l'ipad au 2 e étage aile Ouest, de
l'Hôtel-Dieu, à 17 h 30, avec le Pr Philippe Bordure, chef du service ORL et le Dr Kinnie
Aguilar-Bourget, responsable de la consultation acouphènes.
Jeudi 10 mars, dépistage, de 14h à 17h, au 5 e étage aile Nord de l'Hôtel-Dieu à Nantes ;
conférence, à 17 h 30. Gratuit.
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9 mars 2016 - 12:16
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Test gratuit lors de la 19e Journée de
l’audition à l'hôpital
Jeudi, le service ORL du centre hospitalier de Cholet propose une
évaluation de l’audition gratuite et sans rendez-vous, ainsi qu’une
campagne d’information dans le hall.
Le thème de la 19e journée de l’auditionIntitulé « Un monde bruyant, et nos oreilles dans tout ça
», l’événement national a pour thème cette année, la santé auditive. Tout un chacun est confronté
à la pollution sonore et ses nuisances, que ce soit au restaurant, dans son activité professionnelle,
lors d’un concert… et même sur la route selon le type d’enrobé. Ces bruits permanents peuvent
engendrer de la fatigue physique et psychologique, des troubles de l’apprentissage chez les
enfants, des maux de tête… donc une altération de la qualité de vie. Le Dr Noureddine Ouadghiri,
chef du service ORL de l’hôpital, préconise des pauses auditives, y compris dans la journée, pour
« se soustraire au bruit ».Le centre hospitalier se mobiliseLe service ORL, actuellement douze
personnes avec trois médecins, quatre infirmières, une cadre de santé et quatre secrétaires,
participe à cette action de prévention depuis 2001. L’an dernier, 130 personnes se sont déplacées.
Le public, à partir de 18-20 ans, est accueilli sans rendez-vous. Les praticiens procéderont
d’abord à un entretien, puis seront effectués un examen des oreilles et un audiogramme pour
évaluer l’audition.L’importance de la santé auditiveLe capital auditif diminue dès l’âge de 18 ans,
une perte naturelle. Il est donc conseillé de tester son audition à partir de 50 ans. Tous les deux
ans si on a des facteurs de risque (hypertension, diabète…) et sinon tous les cinq ans. Certes,
l’aide auditive coûte cher (entre 1 300 et 1 800 € l’appareil) et est très peu remboursée. « Le but
ce n’est pas seulement d’entendre, c’est de bien vivre » , insiste le Dr Ouadghiri.Jeudi, de 9 h à 12
h et de 14 h à 18 h, au centre hospitalier de Cholet. Information au 02 41 49 63 84.
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10 mars 2016 - 03:44
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Portes ouvertes de l'Adapeda 85 - La
Roche-sur-Yon
Dans le cadre de la journée nationale de l'audition, l'ADAPEDA 85 (association départementale
des amis et parents d'enfants déficients auditifs de vendée) ouvre ses portes. Information, conseils,
présentation de la Langue des Signes et du LPC (langue française parlée complétée). Jeudi 10
mars, 10h à 16h, La Vigne aux Roses, Bât. G, rue Jean-Launois, La Roche-sur-Yon. Contact: 02
51 08 99 16, [email protected]
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10 mars 2016 - 03:03
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Journée nationale de l’audition, un monde
bruyant... - Saint-Nazaire
Cette 19e édition est l’occasion d’alerter l’opinion publique sur les effets des expositions sonores
et de leur accumulation sur la santé auditive qui pourrait expliquer, entre autres, le développement
précoce des déficiences. Stand d’information par le service ORL. Jeudi 10 mars, 10h à 17h,
Centre hospitalier, hall, 11, boulevard Georges-Charpak, Saint-Nazaire.
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10 mars 2016 - 05:30
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La Journée nationale de l’audition au 27
Delvalle
La journée de l’audition, organisée par la MGEN, se tiendra au 27
Delvalle, ce jeudi 10 mars de 15h à 18h30, et proposera une table
ronde en présence de nombreux spécialistes de la question: phoniatre,
orthophoniste, audioprothésiste répondront à toutes les interrogations.
Un audio-test gratuit encadré par un professionnel sera proposé aux visiteuses et visiteurs.
5 millions de français sont concernés par la malentendance. 2/3 des personnes de plus de 65 ans
souffrent de presbyacousie. 40 % des malentendants ont moins de 55 ans.
La presbyacousie frappe à tous les âges : 6% chez les 15-24 ans, 9% dans la tranche des 20-34 ans
et 18 % dans celle des 35-44 ans. Les surdités profondes ou sévères représentent 1/1000 des
naissances et 1/700 des enfants avant l’âge adulte.
2.5 millions de personnes souffrent d’acouphènes en France. On évalue à 200 000 chaque année
les nouveaux cas d’acouphènes et 300 000 les cas d’acouphènes intolérables. 30 000 à 50 000
adolescents et jeunes présentent des altérations graves du système auditif.
Un moment convivial clôturera cette journée.
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10 mars 2016 - 06:08
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Prothèses auditives : quand s'équiper devient
un luxe
C e jeudi 10 mars, la Journée nationale de l'audition soulignera qu'en France, trois personnes
sur quatre renoncent à s'équiper faute de moyens. Et pour cause, le coût pour s'équiper peut
monter jusqu'à 2 000 euros. Pourquoi de tels prix ? Comment s'équiper à moindre coût ?
Décryptage."On n'a pas 1 400 comme ça..." 1 400 , le verdict est tombé cet été pour Josette
Béziat, 79 ans, confrontée à une chute brutale d'audition de son oreille gauche, après une énième
otite. La droite n'était guère plus brillante. Il a fallu poser deux audioprothèses. La
Montpelliéraine a eu de la chance : "J'ai pu obtenir de payer en dix fois." Elle vient de s'acquiter
du quatrième règlement... À l'association de patients Surdi 34, Aisa Cleyet-Marel ne compte plus
les cas de personnes obligées de renoncer à un équipement nécessaire, faute de moyens,...Il vous
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premium + l'édition spéciale du soir en exclusivité.Abonnez-vous à partir de 1€Le rapport sévère
de la Cour des comptes"Des marchés opaques,peu concurrentiels" et des "équipements chers" : en
2013, la Cour des comptes a rendu un rapport sévère sur le marché des audioprothèses. Un
marché de "800 M€" qui a généré 114 M€ de remboursements par l’assurance-maladie, et 246 M€
par les complémentaires. La Cour des comptes dénonce des comportements peu vertueux : "Un
audioprothésiste peut conseiller préférentiellement le recours à un produit haut de gamme, ce qui
expliquerait qu’en France, à plus de 90 %, ce sont des audioprothèses relevant de la classe la plus
chère qui sont le plus vendues."Les magistrats pointent aussi l’amplitude des marges pratiquées,
"avec un coefficient multiplicateur moyen de 3 à 3,5 sur le prix d’achat, soit une marge brute de 2
500 € pour une paire d’oreilles haut de gamme". Trois ans plus tard, qu’est-ce qui a changé? Le
10 février, l’Autorité de la concurrence, qui constate "le sous-équipement des Français et le prix
élevé de ces appareils", a ouvert une enquête sur le marché de l’audioprothèse.
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9 mars 2016 - 15:25
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Cholet. Audition : une journée pour se faire
dépister
La 19e Journée nationale de l'audition se déroule ce jeudi 10 mars au Centre hospitalier du
Choletais.De 9 heures à midi et de 14 à 18 heures, l'équipe du service oto rhino laryngologie
(ORL) reçoit sans rendez-vous et gratuitement toutes les personnes souhaitant être dépistées.Un
questionnaire sonde d'abord les candidats : « Vous faites répéter ? Du mal à suivre les
conversations ? Vous augmentez le volume sonore de votre télé ? Surpris par l'arrivée d'un
individu dans la rue ? Du mal à comprendre une conversation dans l'obscurité ou un film étranger
en version française ?.... » Une seule réponse positive et un test d'audition s'impose. Il sera réalisé
sur place, différentes fréquences du champ auditif sont diffusées dans chacune de vos
oreilles.Plus vite sera décelée votre perte auditive, plus vite vous aiderez votre cerveau à s'adapter
à un appareil. « Il ne faut pas de longue coupure entre la découverte d'une perte auditive et
l'appareillage » , insiste le Dr Ouadghiri-Hassani, chef du service ORL.A lire jeudi dans Le
Courrier de l'Ouest
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10 mars 2016 - 10:35
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Aujourd'hui, testez gratuitement votre
audition, au CHU de Nantes
Aujourd'hui, jeudi 10 mas, c'est la journée nationale de l'audition. À cette occasion, le service
ORL du CHU de Nantes propose :
- un dépistage auditif et une évaluation de l'acouphène de 14 h à 17 h au 5e étage aile Nord de
l'Hôtel-Dieu.
- une conférence-débat sur les acouphènes dans la salle de l'ipad au 2e étage aile Ouest, de
l'Hôtel-Dieu, à 17 h 30, avec le Pr Philippe Bordure, chef du service ORL et le Dr Kinnie
Aguilar-Bourget, responsable de la consultation acouphènes.
Jeudi 10 mars, dépistage, de 14h à 17h, au 5e étage aile Nord de l'Hôtel-Dieu à Nantes ;
conférence, à 17 h 30. Gratuit.
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10 mars 2016 - 08:52
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Troubles auditifs: ne faites pas la sourde
oreille
Vous entendez mal ? Alors lisez ceci. Selon l’association la « Journée nationale de l’audition »
(JNA) - journée qui a lieu ce jeudi – 12 à 15 % des Français souffrent de troubles de l’audition.
Des personnes âgées bien sûr : 40% des 60-70 ans sont atteints par une perte de l’audition et la
moitié des plus de 80 ans.
Mais les plus jeunes ne sont pas épargnés. Parmi les 16-34 ans, une personne sur deux est touchée
par des acouphènes. Globalement, 81 % des 18-35 ans « indiquent être gênés par le bruit sur leur
lieu de travail ». Et près de 50 % des Français se disent « agressés » par le bruit.
Autres constats, tendez bien l’oreille : le trouble de l’audition constitue la troisième cause de
maladie professionnelle en France. Le coût moyen d’une surdité professionnelle, indemnisée par
la sécurité sociale, représente près de 100 000 €, ce qui en fait l’une des maladies professionnelles
les plus coûteuses pour la collectivité.
Enfin, neuf personnes sur dix admettent avoir des difficultés pour suivre les conversations dans
les restaurants, cafés, bars et dans les transports publics.
Pourquoi l’audition diminue-t-elle ?
L’être humain est doté de 15 000 cellules sensorielles par oreille. Soit beaucoup moins que de
cellules visuelles ou olfactives. Ces cellules transmettent les informations au cerveau. « Elles sont
fragiles et à partir de 20 ans, elles commencent à s’user naturellement. A 60 ans, l’usure produit
une surdité, phénomène appelé presbyacousie », rappelle l’association JNA.
Et surtout, ces cellules ne se régénèrent pas. Une fois abîmées, elles sont perdues pour l’audition.
Les pratiques d’écoute de la musique, l’absence de réflexes de protection, l’omniprésence du bruit
provoquent leur usure prématurée.
Pas plus de 80 décibels
La législation du travail impose de ne pas exposer les oreilles d’une personne à plus de 80
décibels durant huit heures. Soit l’équivalent d’une rue bruyante. À titre de comparaison, une
pièce calme engendre tout de même une intensité de près de 35 décibels.
Lors d’un concert, la musique ne doit pas en principe dépasser les 105 décibels. Pour connaître,
l’intensité du bruit environnant, des applications peuvent être téléchargées sur votre smartphone.
L’association « Journée nationale de l’audition » en propose une gratuite.
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10 mars 2016 - 08:52
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Autre indicateur : « À partir du moment où vous n’entendez plus la personne à côté de vous, c’est
que le bruit dépasse certainement 90 décibels », précise Philippe Metzger, audioprothésiste
Audition Conseil et secrétaire national de la JNA.
La durée d’exposition fait également souffrir les cellules auditives. Un jeune sur trois écoute de la
musique amplifiée deux à trois heures par jour via son smartphone, son ordinateur ou sa chaîne
hi-fi.
Dans ses recommandations, l’Académie de médecine souhaite ainsi que les méfaits des bruits trop
intenses soient « enseignés dès l’école primaire ».
Lors d’un concert, il est également recommandé de porter des obturateurs. Si vous n’en avez pas,
« il est possible de se confectionner des boules avec des filtres de cigarettes. Cela atténuera le
bruit », conseille Philippe Metzger.
Quel est le prix des prothèses ?
À partir du moment où une surdité est diagnostiquée, « il n’existe aujourd’hui comme solution
que la prothèse auditive », assure Philippe Metzger.
Mais son coût peut être un frein. Si les appareils les moins chers s’acquièrent à partir de 700 €, le
prix moyen est d’environ 1 400 € par oreille. Soit près de 3 000 € pour les deux. Sur cette somme,
la Sécurité sociale ne rembourse que 120 € par appareil. Pour le reste, tout dépendra de votre
mutuelle. « Le remboursement moyen des régimes complémentaires s’élève à 300 € par oreille. »
Pour autant, Philippe Metzger l’assure : « Le fait que les gens ne s’appareillent pas est rarement
un problème uniquement de prix. » Le facteur esthétique constitue aussi « un frein majeur ».
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9 mars 2016 - 13:02
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Test gratuit lors de la 19e Journée de
l’audition à l'hôpital
Jeudi, le service ORL du centre hospitalier de Cholet propose une évaluation de l’audition
gratuite et sans rendez-vous, ainsi qu’une campagne d’information dans le hall.Le thème de la 19e
journée de l’auditionIntitulé « Un monde bruyant, et nos oreilles dans tout ça », l’événement
national a pour thème cette année, la santé auditive. Tout un chacun est confronté à la pollution
sonore et ses nuisances, que ce soit au restaurant, dans son activité professionnelle, lors d’un
concert… et même sur la route selon le type d’enrobé. Ces bruits permanents peuvent engendrer
de la fatigue physique et psychologique, des troubles de l’apprentissage chez les enfants, des
maux de tête… donc une altération de la qualité de vie. Le Dr Noureddine Ouadghiri, chef du
service ORL de l’hôpital, préconise des pauses auditives, y compris dans la journée, pour « se
soustraire au bruit ».Le centre hospitalier se mobiliseLe service ORL, actuellement douze
personnes avec trois médecins, quatre infirmières, une cadre de santé et quatre secrétaires,
participe à cette action de prévention depuis 2001. L’an dernier, 130 personnes se sont déplacées.
Le public, à partir de 18-20 ans, est accueilli sans rendez-vous. Les praticiens procéderont
d’abord à un entretien, puis seront effectués un examen des oreilles et un audiogramme pour
évaluer l’audition.L’importance de la santé auditiveLe capital auditif diminue dès l’âge de 18 ans,
une perte naturelle. Il est donc conseillé de tester son audition à partir de 50 ans. Tous les deux
ans si on a des facteurs de risque (hypertension, diabète…) et sinon tous les cinq ans. Certes,
l’aide auditive coûte cher (entre 1 300 et 1 800 € l’appareil) et est très peu remboursée. « Le but
ce n’est pas seulement d’entendre, c’est de bien vivre » , insiste le Dr Ouadghiri.Jeudi, de 9 h à 12
h et de 14 h à 18 h, au centre hospitalier de Cholet. Information au 02 41 49 63 84.
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10 mars 2016 - 01:30
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Journée nationale de l’audition, un monde
bruyant...
Cette 19e édition est l’occasion d’alerter l’opinion publique sur les effets des expositions sonores
et de leur accumulation sur la santé auditive qui pourrait expliquer, entre autres, le développement
précoce des déficiences. Stand d’information par le service ORL.
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9 mars 2016 - 15:56
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L’Académie de médecine veut protéger nos
oreilles
À l’approche de la Journée de l’Audition qui se déroulera demain, l’Académie nationale de
médecine émet un certain nombre de recommandations pour prévenir les dégâts causés par le
bruit excessif sur notre audition. Tant que la perte auditive est limitée aux fréquences proches de
4 000 Hz, on peut encore agir avec des vasodilatateurs, des corticoïdes, et surtout la suppression
définitive de l’agression, explique l’Académie qui souhaite privilégier les mesures de prévention.
Si l...
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9 mars 2016 - 14:23
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19e Journée Nationale de l’Audition : Jeudi
10 mars «Un monde bruyant…et nos oreilles
dans tout ça ?»
A l’occasion de cette 19e édition, l’équipe scientifique de
l’association créatrice des campagnes nationales JNA (Professeurs et
chercheurs médecins ORL, orthophonistes, audioprothésistes) alertent
l’opinion publique sur les effets des expositions sonores et de leur
accumulation sur la santé auditive.
L’omniprésence sonore pourrait effectivement expliquer le développement précoce des
déficiences auditives et autres pathologies de l’oreille (acouphènes…) au sein de l’ensemble des
tranches d’âge de la population.Pourquoi ? Comment ?L’ouïe est l’un des principaux sens
nécessaire à notre équilibre général. Il repose sur des mécanismes fragiles, altérables et la plupart
du temps irréparables. Au cœur du danger : la fragilité des cellules sensorielles de l’oreille
interne, appelées cellules ciliées. Ces cellules jouent le rôle de transmission des informations au
cerveau auditif, à qui revient la charge de les décoder. Elles ont pour particularité de s’user
naturellement avec l’âge – phénomène appelé presbyacousie – et plus rapidement sous l’effet
d’une exposition sonore intense ou du fait de l’accumulation d’expositions. Une fois abîmées,
elles disparaissent à jamais. Les connaissances médicales actuelles ne permettent pas de les
remplacer. Cela se traduit par une difficulté à comprendre ses interlocuteurs et à communiquer
avec eux.Lorsque la déficience auditive n’est pas détectée à temps, les enfants sont en difficulté
dans les apprentissages. Les adultes sont fragilisés dans leur vie sociale et professionnelle, le
déclin cognitif s’accélère chez les seniors. Autrement dit, l’altération de ce sens si précieux est un
élément de déséquilibre impactant l’état général de l’individu et sa qualité de vie.L’accumulation
d’expositions sonores aux intensités non maîtrisées constitue la principale toxicité pour l’oreille.
Les mécanismes de l’oreille n’ont pas changé depuis l’origine de l’Homme. A l’époque de la
chasse et de la cueillette, l’homme évoluait dans un environnement sonore probablement non
toxique – ne dépassant pas les 80 dB – composé de sons naturels de faible intensité sonore. Au
cours de son évolution, l’homme a introduit des sources sonores de plus en plus puissantes : des
outils de pierre, des instruments de musique (des tambours), les armes à feu, les machines à
vapeur, les voitures, le train, le métro, les systèmes d’amplification, les baladeurs numériques
etc… Aujourd’hui, l’environnement est constitué d’ambiances sonores aux intensités élevées et
continues. Le système auditif ne bénéficie plus de temps de récupération. Il est donc soumis à des
pressions constantes et subit un état permanent de stress accélérant sa dégradation.Développer les
bonnes pratiques de santé auditive à tous les âges de la vie. Lors de la dernière enquête JNA 2015
réalisée avec l’Institut Ipsos, «Risques auditifs : des clés pour agir», les jeunes interrogés ont
indiqué que le Bruit est un élément rassurant et que son absence les inquiétait. L’omniprésence
sonore est donc ancrée dans les habitudes de vie de l’Homme moderne : autoradio, musique dans
les magasins, MP3 pendant la journée et parfois même pendant le sommeil, télévision à la
maison, bruits de la ville, bruit au travail. Cela devient une caractéristique culturelle de notre
société normalisant l’omniprésence de son de fortes intensités. Dès lors, comment lutter contre
des comportements intégrés comme normaux. Il est donc nécessaire de redonner du sens et de la
cohérence à ses comportements au travers de la mise en place d’un programme positionnant la
santé auditive comme un facteur clé du Bien Vivre et du Bien Vieillir à tous les âges de la vie : «
Ensemble développons la santé auditive pour tous ».A Vendôme, du 10 au 21 mars, dépistage
gratuit de votre audition chez Audilab.21/23 rue du Change
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10 mars 2016 - 02:36
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Des dépistages auditifs gratuits à l'hôpital
A l'occasion de la Journée nationale de l'audition, l'hôpital Rothschild de l'Assistance
publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) propose des dépistages gratuits. En plus de ces tests, vous
pourrez vous informer sur les moyens de lutte contre le déficit auditif et les avancées médicales et
technologiques dans ce domaine.Des conférences sont aussi programmées (de 17 heures à 19
heures), notamment sur les techniques chirurgicales de réparation et sur l'intérêt de l'orthophonie.
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10 mars 2016 - 02:31
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Profitez d'un dépistage auditif gratuit
Ouvrez grand vos oreilles. Dans le cadre de la Journée nationale de l'audition, le service
prévention-santé de Rueil organise aujourd'hui un dépistage auditif gratuit, en partenariat avec des
audioprothésistes de la ville. Quatre centres *-- Amplifon IDF, Atol audition, Audika et Optical
Center -- sont partenaires.Pour bénéficier de ce dépistage, il suffit de contacter celui de votre
choix.
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10 mars 2016 - 09:05
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Audiens Maison Finet : « L’essentiel, c’est le
confort auditif de la personne »
A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition(JNA), qui se tient aujourd’hui mars à Paris,
Audiens Maison Finet revient sur l’importance du dépistage auditif. Armée des toutes dernières
technologies en matière d’audition, l’équipe propose également des dépistages gratuits et sans
engagement.
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9 mars 2016 - 14:49
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Armentières : un depistage gratuit de
l’audition vous est proposé le 10 mars
Pour la journée de l’audition, vous pouvez vous faire dépister
gratuitement aujourd’hui. L’occasion de faire le point sur ce qu’on
entend plus ou moins bien, et d’agir en conséquence.
Après 65 ans, l’oreille fatigue et la plupart d’entre nous deviennent plus ou moins durs de la
feuille. Mais avant cela, la surdité, dont le degré peut être variable, peut toucher n’importe qui, à
tout âge. D’où l’intérêt de se faire dépister.« C’est un handicap particulier dans le sens où c’est à
la fois le plus fréquent et le moins bien supporté dans la société. Il est non visible, mais on le rend
visible si on le corrige », explique le Dr Ghestem, ORL au centre hospitalier d’Armentières. En
entendant moins bien, la personne s’isole, comprend mal et se coupe des autres. Son handicap ne
suscite pas non plus toujours la bienveillance. « Qui ne s’est jamais énervé sur un sourd ? De tous
les handicaps, la surdité est sans doute celui qui agace le plus », déplore le médecin.Pourtant, il
explique que, dépisté et pris en charge tôt, un problème d’audition peut être soigné. «Il faut être
vigilant sur les surdités de l’enfant, même transitoires quand elles sont dues par exemple à des
otites à répétition, car elles peuvent entraîner des retards ensuite de compréhension et de langage .
» C’est d’ailleurs le sens des dépistages organisés dans les maternités (c’est le cas à Armentières)
et des écoles.Il note qu’« un enfant s’habitue très vite à un appareillage car il voit tout de suite les
bénéfices». Pour un adulte, il faut compter deux à trois semaines, mais les bénéfices sont ensuite
très appréciables. «Le problème, c’est qu’on entend souvent les gens raconter une mauvaise
expérience de leur entourage, quelqu’un qui a été appareillé et n’a pas supporté. Or, la majorité
des cas se passent bien et les gens n’en parlent pas. Comme souvent, on ne retient que les
messages négatifs. »L’autre aspect du sujet est économique. Un appareillage coûte entre 600 à 1
500 euros par oreille. Il existe certes des aides et des prises en charge de mutuelles qui viennent
compléter la sécurité sociale, mais cela peut constituer un frein. «Moins il y aura de personnes
appareillées, plus ce sera cher, il y a un effet volume. En France, le prix d’une prothèse auditive
est plus élevé qu’en Belgique et en Allemagne, et elle est moins bien remboursée . »Or, pour le
Dr Ghestem, appareiller une personne pour lui permettre d’entendre présente un intérêt collectif.
Cette question est donc l’affaire de tous. La personne et son entourage retrouvent le plaisir de
l’échange.En partenariat avec la MGAS, le CHA propose un dépistage gratuit de l’audition le
jeudi 10 mars, de 10 h à 17 h, dans le hall (côté Salengro) et résidence Rostand-Curie (rue Foch).
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10 mars 2016 - 08:51
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Troubles auditifs chez les jeunes : « Nous
préparerions des générations de sourds »
Plus d’un adolescent sur deux a déjà rencontré des troubles de
l’audition. La faute au temps de plus en plus long passé avec un
casque sur les oreilles, à une musique écoutée trop fort. Les jeunes se
préparent « des oreilles de vieux », ils le savent mais n’entendent
rien. Les parents non plus.
« À taaaable ! » La scène de la série Fais pas ci, Fais pas ça, dans laquelle Valérie Bonneton
alias Fabienne Lepic, hurle à ses enfants qu’il est l’heure du repas est devenue culte,
emblématique de l’adolescent volontairement sourd à l’injonction de ses parents, ou isolé, dans sa
bulle, le casque sur ses oreilles.
Elle prêterait toujours à sourire s’il n’y avait de plus en plus d’ados avec, véritablement, des
problèmes d’audition. Un sur cinq souffrirait d’une perte auditive.
Autre signe inquiétant, nos enfants sont exposés de plus en plus jeunes. Selon la dernière
enquête réalisée pour la Semaine du son, en janvier, deux enfants de 7-12 ans sur trois déclarent
avoir déjà rencontré des troubles auditifs (acouphènes, hyperacousie, bourdonnements,
sifflements, oreilles cotonneuses) ; plus d’un adolescent de 13-19 ans sur deux.
Des résultats corroborés par une enquête de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la
santé : « Le nombre de comportements fréquents ou intensifs d’écoute de musique amplifiée via
un casque ou des écouteurs a triplé entre 2007 et 2014 ». Les smartphones, lecteurs MP3,
tablettes, etc. ont multiplié cette consommation de sons.
Nous préparerions ainsi des générations de sourds. « On peut imaginer qu’un jeune
d’aujourd’hui aura l’audition d’un senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans », résume Jean Stanko,
président de l’association Journée nationale de l’audition (JNA).
Et les campagnes d’information ne semblent rien changer. Les enfants, adolescents se disent déjà
sensibilisés. Pourtant, plus d’un tiers des ados déclarent écouter régulièrement fort au casque
et 10 % ne baissent jamais le volume.
Une dernière étude de JNA démontre même qu’un jeune de 15 à 17 ans sur trois pense que
l’exposition à des volumes sonores élevés éduque leurs oreilles en leur permettant de s’habituer.
Or nous sommes inégaux face au bruit : certains abîmeront leur audition dès la première écoute
à un volume trop fort, d’autres au bout de plusieurs heures ou plusieurs écoutes. Cela va dépendre
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10 mars 2016 - 08:51
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aussi de son capital auditif, des maladies (otites) déclarées durant l’enfance. Les oreilles peuvent
être endommagées avant même d’avoir ressenti une quelconque douleur, perçue autour de
120 décibels.
Dès le berceau
Les écouteurs et les casques sont à leurs oreilles ce que le smartphone est devenu aux pouces de
nos ados: une extension d’eux-mêmes. Ils ont ainsi tendance à ne pas agir face à un trouble de
l’audition : 41 % des 7-12 ans avouent ne pas l’avoir dit à leurs parents ; 43 % des 13-19 ans.
Et quand ils en parlent, les parents sous-estiment également le problème : dans un cas sur deux
seulement, l’enfant consulte un médecin. Moins d’un Français sur deux estime que le bruit peut
faire courir un risque de surdité définitive.
Les parents participent au vieillissement auditif précoce de leur enfant, et ce, dès le berceau. C’est
le dernier enseignement du sondage réalisé pour la Semaine du son : 10 % des bébés de moins
de deux ans, s’endorment avec un casque sur les oreilles.
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9 mars 2016 - 18:03
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Dépistage auditif gratuit à l'hôpital
Vous avez tendance à monter le son de la télévision ou de la radio,
l'impression d'entendre un bruit de fond permanent? Avez-vous
penser à faire contrôler votre audition? Demain jeudi 10 mars, dans le
cadre de la journée nationale de l'audition, un dépistage gratuit est
prévu au centre hospitalier d'Avignon.
L'équipe médicale et paramédicale du service des consultations ORL vous accueille de 9h à midi
et de 14h à 16h. Vous pouvez vous présenter sans rendez-vous et sans modalités administratives
préalables dans le service situé au 1er étage, zone E.
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10 mars 2016 - 05:14
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Salvagnac. Journée nationale de l'audition
À l'occasion de la Journée nationale de l'audition, un point rencontre et une conférence seront
animés par Jérôme Goust, consultant «Vie quotidienne et audition», journaliste-écrivain,
malentendant, enseignant aux écoles d'audioprothèse de Paris et de Cahors, ancien coordinateur
du «Bus de l'Audition» et ancien président de la Journée nationale de l'audition, le samedi 12
mars, à 14 h 30, à la salle de billard, rue Caraven-Cachin à Salvagnac.
Il s'en suivra un moment convivial d'échanges autour d'une collation proposée par l'association
Ages Sans Frontières et l'Ehpad Petite Plaisance.
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10 mars 2016 - 09:45
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Prenez garde aux oreilles des jeunes !
Alors qu’un jeune de 18 ans sur cinq présenterait une déficience auditive, la Journée nationale
de l’audition incite à davantage de vigilance.
ZOOM
La campagne annuelle de la Journée nationale de l’audition (JNA) débute le 10 mars / Mariia
Nazarova - Fotolia
Les parents soucieux de la santé de leurs enfants veillent à ce qu’ils aient une bonne alimentation
et qu’ils se brossent régulièrement les dents, mais ils prêtent trop rarement attention à leur
audition. C’est le constat que dresse à nouveau la Journée nationale de l’audition(JNA) à
l’occasion de sa campagne annuelle du 10 mars (1).
A lire : Comment protéger la santé auditive des jeunes
« Il faut que les enfants – et leurs parents – comprennent qu’une bonne oreille est nécessaire à
leur équilibre », souligne Sébastien Leroy, porte-parole de la JNA, qui préconise de faire un bilan
auditif tous les deux ans. « Car un enfant qui entend mal aura du mal à comprendre son
enseignant », insiste-t-il. Le professeur Hung Thaï, responsable du centre expert Audition et
Apprentissage, a également démontré qu’environ 40 % des enfants diagnostiqués « dys »
présentaient un trouble de l’audition.
Un jeune de 17-18 ans sur cinq présenterait déjà « des déficiences
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auditives »
Pour préserver les jeunes oreilles, la JNA s’acharne à faire passer des messages de prévention.
« Il suffit d’un pétard ou d’une musique trop forte pour abîmer définitivement son audition, et
créer un acouphène dès le plus jeune âge, prévient-il. Car les petites cellules sensorielles de
l’oreille ne se régénèrent pas naturellement et on ne sait pas les réparer. »
Selon une enquête réalisée l’an dernier par la JNA, un jeune de 17-18 ans sur cinq présenterait
déjà « des déficiences auditives légères ou sévères ». L’utilisation de casques (pour écouter de la
musique, des films) à un âge de plus en plus précoce pourrait amplifier les dégâts, les jeunes
parents eux-mêmes ne donnant pas toujours le bon exemple.
Les campagnes de sensibilisation commencent néanmoins à porter leurs fruits. Des mesures ont
été prises ces dernières années : limitation du volume des baladeurs et autres smartphones à
100 dB, avec obligation de signaler que l’oreille est en danger à partir de 80 dB, installation de
limiteurs et d’afficheurs de décibels dans les discothèques, utilisation plus fréquente de bouchons
protecteurs dans les concerts…
La pression acoustique est source de stress, de fatigue
Mais il reste encore beaucoup à faire, notamment pour « veiller à l’environnement sonore
global », comme en témoigne la nouvelle enquête effectuée par la JNA sur les nuisances
sonores (2). La moitié des Français se disent « souvent ou très souvent agressés » par le bruit dans
les lieux publics, notamment les écoles (40 %), et 74 % ont du mal à y suivre les conversations.
Une enquête menée par Bruitparif a montré que les écoliers y étaient soumis à des crêtes pouvant
dépasser les 90 dB.
Cette pression acoustique est source de stress, de fatigue, voire de maux de tête, et beaucoup ont
peu de répit la nuit. « Les familles qui habitent dans des villes bruyantes couvrent souvent le bruit
par le bruit (la télé, la musique) et les jeunes s’endorment parfois avec leur casque sur les
oreilles », alerte Sébastien Leroy.
Les campagnes d’information n’ont pas été non plus entendues par tous : moins d’un Français sur
deux – et seulement 30 % des jeunes – a conscience qu’un bruit excessif peut générer une surdité
définitive. 38 % des 15-17 ans estiment que le bruit « rend euphorique ». Et un ado sur trois pense
que « l’exposition à des volumes sonores élevés éduque leurs oreilles en leur permettant de
s’habituer ».
(1) www.journee-audition.org (2) Enquête Ifop pour la JNA 2016 « Les nuisances sonores et
leurs impacts sur la santé. Et nos oreilles dans tout ça ? »
Christine Legrand
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Les oreilles des Français en état d'urgence !
C'est aujourd'hui, 10 mars 2016, la Journée Nationale de l’Audition(JNA), plus
particulièrement ciblée sur les risques de troubles de l’audition d'une population de plus en plus
jeune. Il est en effet inquiétant de constater que 7 jeunes sur 10 vont jusqu’à penser que le bruit ne
fait pas courir un risque de surdité définitive et que 38% des 15-17 ans avouent que ça les rend
euphoriques, ce qui montre leur relation particulière au bruit… mais aussi chez les seniors.
85% des Français estiment qu’une meilleure gestion des nuisances sonores permettrait de
bénéficier d’une meilleure santé...
Cette Journée Nationale de l’Audition(JNA) a donc pour but de faire de la pédagogie et de
sensibiliser l’ensemble de la population à l’impact des nuisances sonores sur la santé. La surdité
étant irréversible, il est en effet indispensable de prendre soin de son audition quel que soit son
âge. Nous avons un capital auditif composé par de milliers de cellules. Lorsque nous nous
exposons à un bruit excessif et répétées, les cellules s’altèrent et ne se régénèrent pas. On assiste
en effet à une généralisation des pratiques sonores traumatisantes pour l’audition : exposition plus
fréquente et plus importante au bruit dans l’environnement quotidien, arrivée de la génération «
Woodstock » adepte des concerts rock de forte puissance, utilisation massive des écouteurs chez
les jeunes, ou encore l’augmentation de la durée de vie… Plus de 6 millions de Français
connaissent des difficultés pour bien entendre et seulement 15 % d’entre eux sont appareillées. Il
leur est ainsi difficile de participer aux conversations, d’écouter la radio ou la télévision. Très
souvent ils entendent mais ne comprennent pas et ont tendance à faire répéter leurs interlocuteurs,
à augmenter les volumes sonores et à privilégier une lecture labiale des conversations. Autant de
paramètres dont l’impact sur la vie sociale peut engendrer à terme des situations d’isolement.
Plus de 6 millions de Français connaissent des difficultés pour bien entendre et seulement 15 %
d’entre eux sont appareillées.
A l'occasion de cette journée, les résultats d'une enquête JNA-Ifop 2016 nous en disent plus.
Ainsi, pour 9 Français sur 10, le bruit représente un véritable enjeu de société. 2 Français sur 3 se
sentent plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu’auparavant et avouent être
particulièrement gênés pour suivre les conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les
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Transports Publics. Plus inquiétant, la quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le
bruit a des effets directs sur la santé : 53% des personnes estiment que le bruit crée des maux de
tête, 49% qu’il génère souvent de l’anxiété, 45% qu’il fait courir un risque de surdité définitive et
42% qu’il crée des acouphènes. 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à un bruit qu’ils
jugent excessif. Selon l’OMS le bruit tue : 1 milliard d’heures de vie humaine seraient ainsi
perdues.
Je ne peux pas imaginer vivre un seul jour sans musique...Oui, mais...
Les Français légitiment le rôle des Pouvoirs Publics pour lutter contre le bruit et les nuisances
sonores. Concernant plus précisément la santé, 85% estiment qu’une meilleure gestion des
nuisances sonores permettrait de bénéficier d’une meilleure santé et 83% d’éviter une
augmentation des risques de surdité. 89% des sondés pensent qu’une meilleure gestion du bruit
permettrait d’améliorer la qualité de vie au quotidien. Si les politiques publiques ont investi la
question de la pollution de l’air, à ce jour, la pollution sonore est sous-estimée et demande à être
intégrée plus fortement dans le volet santé du développement de l’urbanisation et des
comportements citoyens.
Autant de raisons qui permettent de rappeler le slogan de cette journée 2016 : "Mes oreilles, j'y
tiens, j'en prends soin !"
Bernadette FABREGASRédactrice en chef Infirmiers.com Cette adresse e-mail est protégée
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@FabregasBern
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Les jeunes, accro aux casques et écouteurs,
seront-ils plus sourds que les autres ?
SANTE - Dans le métro ou le bus pour passer le temps, au travail pour se couper des bruits de
l'open space, en faisant son jogging hebdomadaire, au téléphone, en regardant des séries sur son
ordinateur: le casque audio et les écouteurs sont devenus nos meilleurs amis, et surtout ceux des
jeunes. Problème: ce sont des comportements à risque pour l'audition. La "génération baladeur"
sera-t-elle plus sourde que les autres? A l'occasion de la journée nationale de l'audition qui a
lieu ce jeudi 10 mars, médecins et associations tiennent à sensibiliser les jeunes générations sur
certains comportements dangereux. C'est le cas du docteur Arnaud Devèze, chirurgien ORL au
sein de l’Hôpital Privé Clairval à Marseille, contacté par Le HuffPost qui tient à alerter que le
problème de la surdité "touche de plus en plus la population". Une exposition sonore de plus en
plus importante Selon lui, deux phénomènes laissent supposer que de plus en plus de personnes
deviendront sourdes ou malentendantes, surtout parmi les jeunes. Le premier d'entre eux, c'est
"l'augmentation de l'exposition sonore". "De plus en plus, les jeunes générations portent des
casques ou des écouteurs", affirme-t-il. En effet, selon le dernier baromètre de l'Institut de veille
sanitaire (InVS), 13% des personnes de 18 à 35 ans ont un usage fréquent et intensif d'écoute de
musique amplifiée avec un casque ou des écouteurs. Ce chiffre bondit à 25% quand il s'agit des
15-19 ans. En 2008 déjà, l'InVS estimait à 10% la part de jeunes de moins de 25 ans présentant
une perte auditive pathologique . Selon un sondage Ipsos de 2015, 3 jeunes sur 4 (entre 15 et 30
ans) ont déjà ressenti des troubles auditifs . Ecouter de la musique avec un casque n'est pas un
problème en soi, si l'écoute n'est ni prolongée, ni répétée, ni intensive. Le problème, c'est bien que
les jeunes passent beaucoup de temps avec un casque sur les oreilles ( 1h43 par jour en moyenne )
et avec un son bien trop élevé. 85% des 15-45 ans écouteraient en effet de la musique à fort
volume, pour l'ambiance, l'émotion, la qualité du son. Pour rappel, le seuil de danger pour l'oreille
se situe à 85 décibels et le seuil de douleur à 120 dB. Le seuil de danger est souvent dépassé
lorsqu'on écoute de la musique avec un casque ou qu'on est à un concert. A force, l'écoute
prolongée de musique avec un casque ou des écouteurs peut entraîner des dommages de l'oreille
interne, la plus fragile, constituées de celles qui ne sont pas renouvelables. Celles-ci "constituent
un capital auditif, de la même manière que nous avons un capital solaire", précise le docteur
Devèze. En d'autres termes, chaque coup de soleil que nous prenons ou chaque agression
musicale que nous faisons subir à notre oreille nous retirent des points sur notre capital, et on ne
peut jamais les regagner. A noter que les écouteurs sont plus dangereux que les casques: "on perd
en amplification, on a donc besoin de mettre le son plus fort pour avoir une qualité correcte",
indique Arnaud Devèze. Vieillissement de la population Autre facteur, qui n'a rien à voir avec le
précédent, mais qui accentue l'idée que les jeunes générations auront plus de problèmes de surdité
que les autres: le vieillissement de la population. Une étude de l'Ined rappelait à ce titre le 9 mars
que l'espérance de vie n'allait cesser de croître dans les années à venir. Avec l'âge, la perte
d'audition s'accentue, c'est un fait . Il s'agit entre autres de la presbyacousie , le vieillissement
auditif. "Les jeunes sont sollicités de plus en plus tôt, et ils vont vieillir plus longtemps,
arithmétiquement il y aura donc plus de personnes sourdes ou malentendantes dans les années à
venir", soutient le Dr Devèze. Casques et écouteurs ne sont pas les seuls facteurs de risques.
Boîtes de nuit et concerts peuvent aussi avoir des conséquences irrémédiables sur l'oreille interne.
"Une seule exposition peut entraîner une perte auditive", tient à rappeler l'ORL. Celles-ci
pourront êtres compensées par des appareils auditifs mais jamais "réparées". Comment savoir si
vous avez peut-être déjà perdu des décibels? Deux symptômes doivent vous amener à consulter,
nous explique Arnaud Devèze: "la gêne à suivre une conversation dans le bruit, une mauvaise
compréhension et des sifflements d'oreille, qui signifient que des cellules sont abîmées". Ces
cellules peuvent cicatriser mais si l'exposition est répétée, elles meurent. Pour ne pas subir de
pertes d'audition, il faut "éviter l'exposition répétée, ne pas mettre le son trop fort, privilégier les
concerts en salles ouvertes, mettre des bouchons spéciaux pendant ceux-ci, s'éloigner des
enceintes", ajoute-t-il. Des réflexes à enseigner aux plus jeunes, surtout quand on sait que près
d'un nourrisson sur 10 s'endort avec un casque ou des écouteurs. Lire aussi : » Sourd ou
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malentendant, un handicap parfois moqué, souvent incompris » Elle a trouvé le tatouage parfait
pour rappeler sa surdité d'une oreille » Et si demain, les sourds pouvaient parler au téléphone? »
Ils sont sourds et entendent pour la première fois » Pour suivre les dernières actualités en direct
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Journée nationale de l'audition : les
Toulousains ne supportent plus le bruit !
A l'occasion de la journée de l'audition des dépistages gratuits sont proposés - Jean Saint-Marc
C'est une ORL du CHU de Purpan qui le dit ! Le docteur Marie-José Fraysse reçoit de plus en
plus de patients qui souffrent de misophonie : ils ne supportent plus les bruits d'une rue un peu
trop bruyante, de voisins fêtards ou des avions au-dessus de leurs têtes. "Je reçois de plus en plus
de misophones" explique le docteur Marie-José Fraysse, ORL au CHU de Purpan : "C'est une
intolérance à certains bruits, un voisin, la musique dans la rue, la circulation : la concentration se
focalise dessus, et le bruit devient insupportable" . Le volume sonore dans ce cas n'est pas
forcément très élevé, c'est le bruit lui-même qui rend fou. "Je suis vraiment sensible, ça
m'empêchait de dormir" – Robbie, étudiante Robbie, une étudiante toulousaine, se reconnaît dans
ces symptômes : "j'habitais à François-Verdier, une rue vraiment animée, et j'ai du déménager à
Borderouge pour avoir plus de calme. Je suis vraiment sensible au niveau du bruit, ça
m'empêchait de dormir... Et en plus j'ai des migraines." La journée de l'audition, c'est l'occasion
de sensibiliser les Français non seulement à la surdité mais aussi aux autres problèmes
d'audition... La misophonie, donc, mais aussi la fatigue auditive. Explications de texte avec
Marie-José Fraysse: "un bruit est 'traumatisant' pour l'oreille au-delà de 85 décibels, en gros le
bruit d'un sèche-cheveux. Mais on peut avoir des problèmes en-dessous de ce niveau si
l'exposition est prolongée, par exemple dans un open-space très bruyant, dans une cantine, etc. "
"Les bouchons... Attention ! Ils sont utiles dans certaines circonstances, délétères dans d'autres !"
– Dr Marie-José Fraysse Dans ce cas il faut savoir se ménager des pauses de silence... Et pas
forcément se réfugier systématiquement derrière ses bouchons d'oreilles. C'est le conseil
(étonnant) de Marie-José Fraysse : A ECOUTER | Une ORL explique qu'il faut se méfier des
bouchons d'oreilles Elle rappelle qu'il faut faire régulièrement tester son audition. "bien
évidemment ça ne change pas la surdité, mais cela permet de savoir si c'est une surdité qu'on peut
opérer ou soigner... La plupart du temps, ce n'est pas le cas, mais on peut proposer un appareillage
qui permet de sortir de l'isolement et d'avoir une vie plus agréable. Et il faut le faire tôt sans quoi
cela peut avoir des conséquences cognitives (mémoire, compréhension)" Des dépistages souvent
trop tardifs... Ce jeudi, pour la journée de l'audition, des dépistages gratuits sont proposés au
service ORL de l'hopital Pierre-Paul Riquet, à Purpan. C'est aussi possible dans votre mutuelle...
C'est tout le temps gratuit chez Prévifrance : REPORTAGE | Bouchaïb a beaucoup traîné avant de
faire tester son audition
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Demain jeudi, prenez soin de vos oreilles à
Dreux
La 19ème Campagne Nationale d'information et de prévention dans le
domaine de l'audition organisé par l'Association JNA se déroule
demain jeudi 10 mars.
La 19ème Campagne Nationale d'information et de prévention dans le domaine de l'audition
organisé par l'Association JNA se déroule demain jeudi 10 mars. Le Service ORL du Centre
Hospitalier de Dreux propose des test auditifs gratuits, stands d'information, exposition,
discussion... Rendez-vous dans le hall de l'Hôpital de 9h à 12h30 et de 13h30 à 16h30. Plus
d'infos sur
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Journée Nationale de l’Audition du 10 mars à
suivre de près
Chaque jour, nous sommes confronté au bruit. Pas un seul bruit mais de nombreux bruits. Chez
nous, dans la rue, dans les transports, au travail etc. Le bruit est partout. Nous ne nous en rendons
pas compte mais il semblerait qu’il soit la cause du développement précoce des déficiences
auditives et autres pathologies de l’oreille (acouphènes…) au sein de l’ensemble des tranches
d’âge de la population. Pourquoi ? Comment ?Dans le cadre de la Journée Nationale de
l’Audition , plus de 2 400 acteurs locaux (Villes, entreprises, établissements scolaires,
associations, associations de malentendants, services de santé au travail, médecins généralistes,
médecins ORL, services ORL, audioprothésistes, orthophonistes, sophrologues, psychologues,
maisons de retraite, Mutuelles et Institutions de Retraite et de Prévoyance…) vont organiser
gratuitement des conférences, des tests de l’audition, des expositions, des concerts pédagogiques,
des ateliers… pour développer l’éducation à la santé auditive en transmettant les bonnes pratiques
dès le plus jeune âge.Les expositions sonores aux intensités non maîtrisées constitunt la principale
toxicité pour nos oreilles.Nos lointains ancêtre, à l’époque de la chasse et de la cueillette,
évoluaient dans un environnement sonore qui ne devait pas dépassaer les 80 dB. Au fil du temps
sont arrivées des sources sonores de plus en plus puissantes comme les outils de pierre, les
instruments de musique ( tambours), les armes à feu, les machines à vapeur, les voitures, le train,
le métro, les systèmes d’amplification, les baladeurs numériques etc… Aujourd’hui, notre
environnement est constitué d’ambiances sonores aux intensités élevées et continues. Le système
auditif ne bénéficie plus de temps de récupération. Il est donc soumis à des pressions constantes et
subit un état permanent de stress accélérant sa dégradation.Le bruit rassure les jeunesL’année
dernière, l’enquête JNA réalisée avec l’Institut Ipsos, « Risques auditifs : des clés pour agir » a
fait ressortir que les jeunes estimait que le Bruit était un élément rassurant et que son absence les
inquiétait. L’omniprésence sonore est donc ancrée dans les habitudes de vie de l’Homme moderne
: autoradio, musique dans les magasins, MP3 pendant la journée et parfois même pendant le
sommeil, télévision à la maison, bruits de la ville, bruit au travail.Modifier les comportementsIl
devient important de redonner du sens et de la cohérence aux comportements avec la mise en
place d’un programme positionnant la santé auditive comme un facteur clé du Bien Vivre et du
Bien Vieillir à tous les âges de la vie : « Ensemble développons la santé auditive pour tous
».Quelques chiffres– 12 à 15% de la population française serait affectée par les troubles de
l’audition. L’OMS estime que 16% de la population mondiale souffrirait de problèmes
d’audition.– 1 Français sur 2 est gêné par le bruit la journée et 1 personne sur 5 pendant la nuit
(Enquête JNA – IPSOS – Nuisances sonores – 2011)– Pour 60% des personnes interrogées, le
bruit agit sur leur humeur et génère de la fatigue et de la lassitude (Enquête JNA – IPSOS –
Nuisances sonores – 2011)– 1 personne sur 2 touchée par les acouphènes dès les 16-34 ans
(Enquête JNA – IPSOS 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »). Environ 16
millions de personnes.L’exposition sonore est citée comme première cause des acouphènes
(Enquête JNA – IPSOS 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »)– Pour 89%
des personnes interrogées, les difficultés auditives impactent la vie sociale (Enquête JNA –
IPSOS 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »)Chez les actifsLe trouble de
l’audition est la troisième cause de maladie professionnelle en France. (Source Ministère)
http://www.travailler-mieux.gouv.fr/Bruit-en-milieu-de-travail.htmlChez les seniors– 44% des
seniors interrogés éprouvent des difficultés de compréhension et ¼ des vertiges et pertes de
l’équilibre (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »)Chez les seniors– 1 senior
sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les
seniors et l’audition »)– 3 seniors sur 5 déclaraient avoir des difficultés à suivre une conversation
dans le Bruit (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »)– La perte de l’audition
concerne 40% des 60-70 ans et plus de 50% des plus de 80 ans. Pour autant, seulement 32%
déclarent avoir réalisé un contrôle de leur audition il y a moins de 5 ans, et 52% ont effectué un
test il y a plus de 10 ans ou jamais. (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »)–
Bien que 93% des seniors interrogés accepteraient de s’équiper en aides auditives (Enquête JNA
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– IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »), seulement 34% des personnes ayant besoin
d’appareillage le sont réellement.– Le prix et le manque de visibilité sur la question du prix sont
les deux freins pour s’équiper en aides auditives. (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et
l’audition »)Seniors et dépendance :Connaître les actions : N° Azur 0 810 200 219 ou
journee-audition.orgCrédit Photos : JNALa baisse de l'audition est due à plusieurs facteurs : l'âge,
le son etc. Nombreuses sont les personnes qui souffrent d'une baisse auditive. Il ne faut donc pas
stigmatiser car cela n'a rien d'anormal. Tout comme les rides, la vue évolue avec l'âge. En effet,
les cellules de l'oreille s'usent… 24 mai 2015Dans "Actus"Du 20 au 25 avril 2015, le Groupe
Optic 2ooo met en place sur chaque ville étape, à l’attention du grand public un espace dédié à la
vue et à l’audition. En tant qu’acteur engagé dans la prévention visuelle et auditive, le Groupe
propose des tests gratuits de l’audition, et… 18 mars 2015Dans "Actus"En France, près de 40 000
hommes souffrent du cancer de la prostate. Il s'agit du premier cancer chez les hommes devant
celui des poumon. Ce n'est que vers 70 ans en moyenne que les trois quarts des cas de cancers de
la prostate sont détectés. Environ 60.000 nouveaux cas font leur apparition chaque… 13 janvier
2016Dans "Actus"
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9 mars 2016 - 15:05
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Cholet Audition : une journée pour se faire
dépister
Une partie de l'équipe du service ORL, composée de trois
médecins,quatre infirmières et quatre secrétaires.
La 19e Journée nationale de l'audition se déroule ce jeudi 10 mars au Centre hospitalier du
Choletais.De 9 heures à midi et de 14 à 18 heures, l'équipe du service oto rhino laryngologie
(ORL) reçoit sans rendez-vous et gratuitement toutes les personnes souhaitant être dépistées.Un
questionnaire sonde d'abord les candidats : « Vous faites répéter ? Du mal à suivre les
conversations ? Vous augmentez le volume sonore de votre télé ? Surpris par l'arrivée d'un
individu dans la rue ? Du mal à comprendre une conversation dans l'obscurité ou un film étranger
en version française ?.... » Une seule réponse positive et un test d'audition s'impose. Il sera réalisé
sur place, différentes fréquences du champ auditif sont diffusées dans chacune de vos
oreilles.Plus vite sera décelée votre perte auditive, plus vite vous aiderez votre cerveau à s'adapter
à un appareil. « Il ne faut pas de longue coupure entre la découverte d'une perte auditive et
l'appareillage » , insiste le Dr Ouadghiri-Hassani, chef du service ORL.A lire jeudi dans Le
Courrier de l'Ouest
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9 mars 2016 - 17:16
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Le bruit influerait sur notre santé
Une étude vient de révéler que les Français se trouvent trop exposés
au bruit. Bilan: ils sont 94% à penser que le bruit a des effets directs
sur la santé.
09/03/2016 à 17:12 par shabadi(©Richard Villalon Fotolia).Juste avant la 19e Journée nationale
de l’audition, programmée le 10 mars, une enquête nationale JNA-Ifop* démontre que les
Français souffrent du bruit. Le jour, la nuit et quel que soit leur âge. La conséquence directe de
cette exposition au bruit ?Pour 53 % des personnes interrogées, il serait à l’origine de maux de
tête, pour 49 % d’anxiété, pour 45 %, il ferait courir un risque de surdité définitive, et, pour 42 %,
il créerait des acouphènes.Et n’allez pas croire que seule une population vieillissante est
concernée ! Sept jeunes sur 10 pensent qu’il présente un risque réel de surdité définitive.Les
agressions sonores sont partoutDans cette même enquête, les Français avouent qu’ils sont
davantage exposés au bruit dans les lieux publics (51 %), sur leur lieu de travail (50 %), dans la
rue (48 %), les transports en commun (48 %), les magasins (47 %), à la cantine ou dans un
restaurant d’entreprise (46 %), dans les établissements sportifs (44 %), à l’école (40 %), au
cinéma et dans les concerts (34 %).Finalement, le seul endroit où l’on se sent à l’abri serait son
domicile. Seulement 21 % des personnes interrogées y souffriraient d’agressions sonores. Plus
étonnant, le pourcentage monte jusqu’à 39 % chez les 15-17 ans.Au final, neuf personnes sur 10
seraient, chaque jour, exposées à un bruit excessif. Seule la durée d’exposition varie (de moins
d’une heure à 5 heures ou plus).Responsables mais pas coupables…Mais la faute à qui ?
Nécessairement, le bruit vient de quelque part et est causé par quelque chose. Pourtant, seulement
un Français sur quatre reconnaît être responsable de nuisances sonores. À côté de ça, ils sont 33
% à avouer masquer les bruits gênants de leur domicile avec de la musique ou la télévision. Sans
même s’en rendre compte, ils font du bruit pour couvrir le bruit !De même, ils ont parfaitement
conscience du danger d’une exposition trop forte à des bruits excessifs mais rares sont ceux qui
portent des protections auditives (bouchons, casques, filtres auditifs) face à des situations de
volumes sonores agressifs.Tout n’est pas perduParmi les personnes interrogées, et notamment les
jeunes, 56 % se disent tout de même prêts à faire des pauses auditives, à savoir s’isoler dans un
endroit calme à un moment de la journée, 78 % à baisser le volume d’écoute de la musique et 48
% à réduire le temps d’écoute.Pour interpeller les Français, l’association Journée nationale de
l’audition lance donc trois vidéos sur le thème “Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin !”. Ces
trois messages de prévention s’adressent aux jeunes, aux actifs et aux seniors.*Étude réalisée par
l’Ifop pour la Journée nationale de l’audition entre le 5 et le 9 février 2016, auprès d’un
échantillon de 1 003 personnes âgées de 15 ans et plus.
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94 % des Français pensent que le bruit a des
effets sur la santé
Une étude, réalisée en amont de la Journée nationale de l'audition
qui a lieu jeudi 10 mars 2016, vient de révéler que les Français se
trouvent trop exposés au bruit.
(©Richard Villalon Fotolia).Juste avant la 19e Journée nationale de l'audition , programmée
jeudi 10 mars 2016, une enquête nationale JNA-Ifop* démontre que les Français souffrent du
brui t. Le jour, la nuit et quel que soit leur âge.La conséquence directe de cette exposition au bruit
?Pour 53 % des personnes interrogées, il serait à l’origine de maux de tête.pour 49 % d’ anxiété
.pour 45 %, il ferait courir un risque de surdité définitive.pour 42 %, il créerait des a couphène
s.Et n’allez pas croire que seule une population vieillissante est concernée ! Sept jeunes sur dix
pensent qu’il présente un risque réel de surdité définitive.Les agressions sonores sont
partout…Dans cette même enquête, les Français avouent qu’ils sont davantage exposés au bruit
dans les lieux publics (51 %).sur leur lieu de travail (50 %).dans la rue (48 %). l dans les
transports en commun (48 %).dans les magasins (47 %).à la cantine ou dans un restaurant
d’entrepris e (46 %).dans les établissements sportifs (44 %).à l’ école (40 %).au cinéma et dans
les concerts (34 %).… sauf à la maison !Finalement, le seul endroit où l’on se sent à l’abri serait
son domicil e. Seulement 21 % des personnes interrogées y souffriraient d’agressions sonores.
Plus étonnant, le pourcentage monte jusqu’à 39 % chez les 15-17 ans.Au final, neuf personnes sur
dix seraient, chaque jour, exposées à un bruit excessif. Seule la durée d’exposition varie (de
moins d’une heure à 5 heures ou plus).Responsables mais pas coupables…Mais la faute à qui ?
Nécessairement, le bruit vient de quelque part et est causé par quelque chose !Pourtant, seulement
un Français sur quatre reconnaît être responsable de nuisances sonores.À côté de ça, ils sont 33 %
à avouer masquer les bruits gênants de leur domicile avec de la musique ou la télévision. Sans
même s’en rendre compte, ils font du bruit pour couvrir le bruit !De même, ils ont parfaitement
conscience du danger d’une exposition trop forte à des bruits excessifs mais rares sont ceux qui
portent des protections auditives (bouchons, casques, filtres auditifs) face à des situations de
volumes sonores agressifs.Tout n’est pas perduParmi les personnes interrogées, et notamment les
jeunes, 56 % se disent tout de même prêts à faire des pauses auditives, à savoir s’isoler dans un
endroit calme à un moment de la journée.78 % à baisser le volume d’écoute de la musique.48 % à
réduire le temps d’écoute.Pour interpeller les Français, l’association Journée nationale de
l'audition lance donc trois vidéos sur le thème Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin !Ces trois
messages de prévention s’adressent aux jeunes, aux actifs et aux seniors.
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Connaissez-vous la télé-audiologie ?
Publié le 10 mars 2016 à 10:40. Mis à jour le 10 mars 2016. Par
Catherine.
Apprenons à préserver notre capital auditif
A l’occasion de cette 19èmeJournée Nationale de l’Audition,
l’association JNA(journée de l’audition) rappelle le rôle majeur de la
santé auditive sur la qualité de vie, la santé et la vitalité.
Pour préserver cette santé auditive, voici 3 conseils simples à suivre :
Je maitrise mes expositions sonores
Le bruit, à fort volume et à force d’expositions, peut générer des
troubles irréversibles de l’audition mais également provoquer fatigue, stress, hypertension,
gastrites. Des expositions sonores répétées ou continues peuvent générer des difficultés de
concentration et modifier vos comportements en vous rendant plus irritable.
Voici quelques astuces pour mieux gérer le bruit : limiter les expositions sonores répétitives,
intégrer des « pauses auditives » hors du bruit, porter des protecteurs auditifs contre le bruit au
travail comme pendant ses loisirs, éviter de couvrir le bruit environnant par de la musique ou la
télévision, penser à l’isolation acoustique de son habitat.
Je réalise régulièrement un bilan de mon audition
Nous bénéficions d’un capital auditif dont nous sommes dotés une fois pour toute la vie dès la
naissance. Or, ce capital est fragile car il repose sur des cellules sensorielles qui ont la
particularité de s’abîmer sur l’impact d’un bruit élevé, de s’user avec l’avancée en âge et de ne
pas se renouveler. Un bilan régulier de son audition chez son médecin ORL permet de constater
ce qui a été entamé afin de mieux préserver le capital restant.
Je mets en place des solutions lorsque les difficultés de compréhension de la parole
apparaissent
Notre relation au bruit provoque aujourd’hui des traumatismes sonores aigus et des surdités
précoces. La presbyacousie (phénomène naturel d’usure des cellules sensorielles avec l’avancée
en âge) demeure la cause première de déficience auditive. Elle représente 40% des 60 -70 ans et
plus de 50% des plus de 80 ans.
Or, aujourd’hui, prendre en charge sa perte auditive n’est pas un état de fait chez les seniors.
Pourtant, la surdité entraîne souvent des problèmes de communication et surtout d’isolement. Il
est donc important de prendre en charge cette perte auditive.
Pour faciliter le dépistage, le développement de la télémédecine dans le domaine de l’audition
commence à germer en France : on appelle cela la télé-audiologie.
Télé-audiologie : un nouveau concept de télésanté appliqué à
l'audiologie
La télé-audiologie est une technique qui permet aux audioprothésistes de pratiquer des actes à
distance : repérer une déficience auditive mais aussi régler une audioprothèse.
Ce service s'adresse en particulier à des personnes ayant des difficultés pour se déplacer ou vivant
dans des « déserts médicaux ».
Concrètement, comment se pratique la télé-audiologie ?
En fait, tout se passe par vidéo-conférence sécurisée. L'audioprothésiste se connecte avec un
patient qui peut se trouver dans un centre d'audioprothèse ou dans une maison de retraite. A ses
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côtés, se trouve un assistant qui l'accompagne et s'assure que tout fonctionne techniquement.
Ainsi, l'audioprothésiste peut faire un test d'audition et évaluer s'il est nécessaire de consulter un
ORL.
Il peut aussi parfaitement assurer à distance les 4 ou 5 rendez-vous de suivi après la pose d'une
prothèse auditive.
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La pollution sonore, un problème qui dégrade
insidieusement la santé des Français
Écrit par JNA | 10 Mars 2016
Jeudi 10 mars 2016, 19e édition de la Journée Nationale de l’Audition
Dépistages, conférences, ateliers partout en France : journee-audition.org ou 0 810 200 219
La «pollution sonore» touche tout le monde. La surenchère du bruit existe dans tous les pays et
les Français ne sont pas épargnés. L’OMS lance régulièrement des alertes et l’enquête Ifop–JNA
2016 Nuisances sonores et leurs impacts sur la santé indique que les Français ne s’entendent plus
et croulent sous le poids de la fatigue et du stress engendrés par les pollutions sonores. Selon le
groupe d’experts de l’association JNA, le risque de troubles précoces de l’audition est
sous-estimé.
Selon l’enquête JNA – Ifop 2016, 93 % des Français déclarent que le bruit est un enjeu de
société et une écrasante majorité déclare qu’il a des effets directs sur la santé.
Le Dr Pascal Foeillet, médecin ORL, Vice-Président de l’association JNA explique que le bruit
est à l’origine de troubles auditif et extra-auditifs. «Les effets de l’écoute de musique amplifiée
sont souvent pointés du doigt avec raison mais l’accumulation du bruit sur l’ensemble d’une
journée est rarement considérée à sa juste valeur. Or, cette accumulation génère une pression
acoustique continue sur le système auditif. Une fatigue auditive s’installe. Ce qui explique que
nous comprenons mieux la parole le matin que le soir. A force d’accumulation sonore, une usure
prématurée des cellules sensorielles de l’oreille peut apparaître de manière irréversible. L’oreille a
besoin de temps de répit pour que les équilibres de pression puissent se rétablir.» Le bruit est
présent partout, là où au 19e siècle il pouvait s’arrêter devant la porte des foyers.
9 Français interrogés sur 10 indiquent avoir du mal à comprendre la parole dans les cafés, bars,
restaurants, dans les transports en commun et même dans les repas de famille ! Tous les pans de
vie du quotidien sont pointés : 80% sont gênés au travail dont les actifs du secteur tertiaire et 1/3
des personnes couvre du bruit par du bruit à leur domicile. Les oreilles de nos jeunes sont
également dans la tourmente : 74 % expriment avoir des difficultés à comprendre la parole à
l’école et plus de 1/3 sont gênés à leur domicile.
Selon l’OMS le bruit tue : 1 milliard d’heures de vie humaine seraient ainsi perdues.
Par interconnexion des voies nerveuses entre-elles les messages nerveux d’origine acoustique
atteignent les fonctions biologiques et les systèmes physiologiques amenant des effets
extra-auditifs : altération des capacités d’apprentissage; perturbations psychosociales;
perturbations du sommeil, perturbations de la sphère végétative (cardio-vasculaire; système
respiratoire et digestif; perturbations système endocrinien).
Si les politiques publiques ont investi la question de la pollution de l’air, à ce jour, la pollution
sonore est sous-estimée et demande à être intégrée plus fortement dans le volet santé du
développement de l’urbanisation et des comportements citoyens.
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WHO and experts prio…
Geneva, 9 March 2016 – After a three-day consultation on Zika
research and development,…
Synthèse L’activité globale des associations SOS Médecins est en hausse chez les enfants de
…Le Conseil Local de Santé Mentale de l’Eurométropole de Strasbourg, présidé par le Dr
Alexandre…Jeudi 10 mars 2016, 19e édition de la Journée Nationale de l’Audition Dépistages,
conférences, ateliers partout…
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9 mars 2016 - 17:51
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La surdité ne touche pas que les seniors
Selon la dernière enquête JNA Ipsos, 1 jeune sur 5 souffrirait de déficience auditive en France.
Quoi, comment ? La Journée Nationale de l’Audition, qui se déroule le 10 mars, est l’occasion
de se pencher sur l’état de nos tympans et les menaces qui pèsent sur notre
audition.Contrairement à ce que l’on s’imagine volontiers, les problèmes d’audition touchent
toutes les tranches de la population, des jeunes aux seniors. D’après la dernière étude menée par
JNA-Ipsos *, 49%, oui vous avez bien entendu, 49% des jeunes interrogés ont déjà ressenti une
douleur aux oreilles. Encore plus préoccupant : plus de la moitié attend que cela passe plutôt que
de consulter… Alors que les seniors subissent des pertes d’audition « naturelles » liées au
vieillissement, le développement de ces pathologies précoces semble lié aux habitudes d’écoute
de musique au casque, et / ou à un environnement professionnel bruyant pour certains salariés.Les
causes de la déficience auditiveCommençons par établir la différence entre des sons et du bruit.
Un son devient un bruit lorsqu’il est gênant ou que son niveau trop élevé devient nocif pour nos
oreilles. En effet, un son fort détruit les cellules sensorielles, ce qui conduit à la surdité à terme.
Rappelons que la surdité est irréversible et évolutive. Ces bruits nocifs pour nos tympans
n’existent pas à l’état naturel (oui, la Nature est bien faite) mais sont créés par l’activité humaine :
musique, bruit de climatiseur, marteaux piqueurs, klaxons, enceintes de concert…Les premiers
signesLa déficience auditive se traduit de trois manières : la surdité totale ou partielle, les
acouphènes et l’hyperacousie. Lorsque l’on devient sourd, la perception des sons est atténuée,
comme si on évoluait sous l’eau ou la tête enfouie sous un coussin. Des examens menés par un
ORL permettent d’établir le diagnostic de manière certaine et mesurée. Ces tests peuvent être
pratiqués à tout âge, des bébés aux personnes âgées. Les acouphènes, ces sensations auditives non
liées à un son généré par une vibration extérieure à l’organisme, se manifestent par des
bourdonnements, des sifflements, voire même des tintements ressentis dans le crâne ou dans
l’oreille. En France, 65% des cas d’acouphènes sont liés à un traumatisme sonore : concert,
discothèque, pétard…. Ces acouphènes peuvent cohabiter avec un autre symptôme de déficience
auditive : l’hyperacousie. Ce dysfonctionnement se traduit par une intolérance à certains sons ou
environnements bruyants, en raison d’une baisse du seuil de tolérance à l’intensité acoustique et à
certaines fréquences. Lorsque l’on expérimente l’un de ces troubles, associé ou pas à une perte
d’équilibre, il est urgent de consulter : ce sont des signes de dégâts de l’oreille.Comment protéger
nos tympans ?La surdité liée au vieillissement est un processus naturel. Il est en revanche possible
de se prévenir de l’apparition de déficiences précoces en respectant quelques règles simples. La
musique est l’une des principales sources de gêne, et de nombreux musiciens souffrent de
troubles auditifs. Les spécialistes conseillent d’éviter les lieux où la musique est très forte, de
s’éloigner des enceintes acoustiques, de toujours contrôler le niveau sonore de son baladeur ou de
sa chaîne hifi. Quelques chiffres pour se repérer et savoir quand couper le son : 20 heures
maximum par semaine à 93 dBa (volume d’un baladeur ou d’un auto-radio), 4 heures maximum à
100 dBA (baladeur à volume maximum), et 2 heures maximum à 103 dBA (discothèque). Pour
les personnes exposées à des bruits très forts (chantiers, concerts, etc…), le port de bouchons en
mousse est indispensable pour atténuer l’impact de ces sons sur l’oreille.Pour découvrir le
programme complet des animations la Journée Nationale de l’Audition et demander un test
d’audition gratuit, ça se passe ici .* Enquête JNA IPSOS sur la santé auditive des jeunes – Mars
2015Tags: #tympans #déficience #audition
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8 mars 2016 - 14:11
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Dépistage auditif gratuit au CHU de
Montpellier ce jeudi
A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition le jeudi 10 mars
2016, le CHU de Montpellier, en partenariat avec France Acouphènes
propose pour la première fois une journée de dépistage gratuite de de
10h à 17h dans le hall de l'Hôpital Gui de Chauliac.
Le test de dépistage sera proposé dans le service d’ORL (salle d’attente n°5, service des
consultations au 2ème étage de l’hôpital Gui de Chauliac). Une information sur la surdité et les
acouphènes sera disponible dans le hall de l’hôpital Gui de Chauliac, avec une animation assurée
par l’association France Acouphènes.En cas de dépistage faisant suspecter un problème
d’audition, les professionnels de santé orienteront les patients pour une prise en charge
thérapeutique de la pathologie détectée.Pourquoi il est important de se faire dépister ?Un
dépistage précoce de la surdité permet de prévenir son évolution en adoptant des mesures de
protection auditive dans la vie de tous les jours et dans le milieu du travail. Il peut également
permettre de dépister des affections sévères de l’oreille nécessitant un traitement spécifique et
évitant ainsi un certain nombre de complications.
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9 mars 2016 - 04:35
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«Les jeunes ne mesurent pas le danger du
bruit»
A l'occasion de la journée nationale de l'audition, le Dr Marie-José Esteve-Fraysse, ORL au
CHU de Toulouse Purpan, nous explique les enjeux de la sensibilisation, notamment chez les
jeunes. La 19e journée nationale de l'audition, jeudi 10 mars, rappelle que nous vivons dans un
environnement bruyant et que nos oreilles, au-delà du phénomène naturel du vieillissement, en
subissent les conséquences. Entre 12 et 15% de la population française...
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9 mars 2016 - 05:08
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Journée de l’audition : dépistage gratuit à
l’hôpital de Mercy
La France compte sept millions de malentendants. Un chiffre
alarmant.
Robert Stringini, chef du service d’oto-rhino-laryngologie (ORL) de l’hôpital de Mercy, confirme
qu’il s’agit là d’un problème de santé publique. Qui vaut donc bien qu’on lui dédie une journée.
Pour informer le grand public, pour offrir aussi un dépistage gratuit.Le problème d’audition
touche une population vieillissante certes, mais pas seulement. On compte également entre 30 000
à 50 000 jeunes et adolescents qui présentent des altérations graves ou sévères du système
auditif.L’origine de cette problématique ? Un environnement sonore de plus en plus agressif, dans
la rue, au bureau, dans les concerts et des nouvelles technologies qui n’épargnent pas nos
oreilles.À savoir encore : une personne sur deux ne teste jamais son audition. Grave erreur,
puisque cette problématique, si elle n’est pas décelée rapidement, plonge les personnes atteintes
dans une sorte de réclusion sociale.Dans le cadre de la Journée de l’audition, l’hôpital de Mercy
organise donc un dépistage auditif demain, jeudi, de 9 h à 16 h, au service ORL.
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8 mars 2016 - 23:23
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Journée de l’audition : neuf Français sur dix
se disent exposés à un bruit excessif
Plus de 90% des Français déclarent être gênés par le bruit, notamment
au travail et dans les transports publics, selon un sondage Ifop réalisé
à l’occasion de la Journée nationale de l’audition(JNA), qui aura
lieu jeudi.
VOUS DEVEZ ÊTRE ABONNÉ A PROFESSION BIEN-ÊTRE POUR lIRE LA SUITE DE
L'ARTICLE
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8 mars 2016 - 16:54
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Décibels: mesurez-vous bien les effets du
bruit sur votre santé?
Sur la terre, il y a de l’air, donc du bruit. Mais si celui du vent dans les arbres est apaisant,
d’autres sources s’avèrent délétères pour la santé, et pas seulement la santé auditive.Panorama
avec Jean Stanko, audioprothésiste, président de l‘association Journée nationale de l’audition
(JNA)Lors de la 19ème Journée nationale de l’audition articulée cette année autour des
nuisances sonores, seront organisées gratuitement partout en France des conférences, des ateliers,
des tests de l’audition...Renseignements sur le site de la JNA.
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9 mars 2016 - 07:22
Audition. « Une question de santé publique »
Françoise Roc'hcongar, présidente de l'association fouesnantaise Sourdine. Forte de 70 membres,
l'association Sourdine organisera demain, à Fouesnant, la Journée nationale de l'audition. Le
thème retenu pour cette 19e édition : « Les nuisances sonores et les impacts sur la santé ». Les
nuisances sonores sont ces sons, ces bruits, « qui deviennent gênants lorsqu'ils dépassent le seuil
des 80-90 décibels », éclaire Françoise Roc'hcongar, présidente de l'association reconnue d'utilité
publique de 2013. Quatre-vingts décibels ? Le bruit émis par une tondeuse à gazon. Ces bruits, à
écoute prolongée, sont « extrêmement dangereux », selon la responsable. « Ces nuisances sonores
amènent de la fatigue, de l'énervement voire même des risques d'AVC. Ces nuisances peuvent
aussi provoquer des accidents du travail ! Agacé, un travailleur peut entraîner un accident sur son
lieu de travail ». Les inquiétudes de Françoise Roc'hcongar reposent aussi sur l'audition des
jeunes générations : « À cet âge-là, le grand risque est la déconcentration qui entraîne une perte
scolaire. À force d'écouter de la musique compressée au format MP3, les jeunes seront tous
appareillés d'ici une vingtaine d'années. Il s'agit d'une question de santé publique qui pèsera sur
nos finances ! » Jeudi, Françoise Roc'hcongar sera accompagnée d'audioprothésistes qui
témoigneront autour de la thématique retenue cette année. Le public sera également invité à
expérimenter une « tête acoustique », permettant de tester sa propre audition. En parallèle,
l'organisatrice promet la première diffusion du film « Une journée ordinaire », à l'initiative de
l'association Oreille et vie 56, sur le département. Pratique : Journée nationale de l'audition,
demain, à la mairie de Fouesnant, de 10 h à 13 h. Infos au 02.98.51.28.22 ou
www.asso-sourdine.blogspot.com.
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9 mars 2016 - 04:57
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Ciné-débat demain autour de la surdité
Palais des arts « La surdité est un handicap invisible », indique Nelly Sebti, présidente de
l'association Oreille et vie. Cette phrase est aussi la dernière du film « Une journée ordinaire »,
qui sera présenté aux Vannetais lors d'un ciné-débat, demain à 18 h au Palais des arts, à l'occasion
de la Journée nationale de l'audition. Le film sera suivi d'un débat. L'association veut
sensibiliser les personnes entendantes sur les difficultés rencontrées par les personnes sourdes et
malentendantes. Elles peuvent être multiples : difficultés d'intégration, d'accessibilité ou encore
dans le monde professionnel. Ce ciné-débat sera l'occasion pour les personnes présentes de
donner leur avis sur ce handicap qui « isole au milieu des autres », selon Jeanne Guigo,
vice-présidente de l'association Oreille et vie et elle-même malentendante. Pratique Jeudi 10 mars
à partir de 18 h au Palais des arts. Entrée libre. Dépistage de la surdité à partir de 16 h.
Renseignements : site Internet www.oreilleetvie.org ; tél. 02.97.64.3
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9 mars 2016 - 08:33
La Norville : prêtes pour la Journée
Nationale de l’Audition
Flora Mangin et Rachel Fouache, orthophonistes, ainsi qu'Aurore Dupin et Estelle Chardon,
codeuses LPC.
Jeudi 10 mars, c’est la Journée Nationale de l’Audition. A cette occasion, huit membres du
Service de Soutien à l’Education Familiale et à la Scolarité (SSEFS), lié au Centre Médical de
Phoniatrie et de Surdité Infantile (CMPSI) de La Norville, iront dans cinq écoles primaires et
collèges du département pour aborder les problèmes d’audition. Dans des classes de CM1, CM2
et 6e, dans certains établissements de Grigny, Evry, Saint-Michel-sur-Orge, Mennecy et
Saint-Germain-lès-Arpajon.
Les troubles auditifs ont un impact sur l’état de santé
« C’est important de sensibiliser dans ces classes car les enfants ont des acouphènes de plus en
plus tôt, dès le CE2, explique Aurore Dupin, codeuse LPC (Langue française Parlé-Complété).
C’est la troisième année que nous menons cette action. Nous projetterons aux enfants une vidéo,
nous animerons des petits ateliers de questions-réponses et nous distribuerons des bouchons
d’oreilles ». Un guide d’information et de prévention à l’attention des parents, « Nos oreilles, on y
tient ! », sera également remis aux élèves.
Le bruit et les troubles auditifs entraînent une multitude de problèmes chez l’individu, comme de
la fatigue, une plus grande agitation et un impact certain sur l’humeur. « Beaucoup d’enfants
dorment avec un casque, c’est très mauvais, raconte Flora Mangin, orthophoniste. L’exemple que
l’on prend souvent est que l’œil a une paupière et peut se reposer, pas l’oreille ».
La vidéo projetée aux enfants lors des visites dans les établissements :
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9 mars 2016 - 05:02
Santé : des tests audiométriques gratuits pour
les plus de 60 ans
Les troubles de l’audition toucheraient entre 12 et 15 % de la population française. Un senior sur
trois aurait souvent – ou parfois – des difficultés à entendre. Si vous êtes concernés, à votre
agenda ! Dans le cadre de la Journée nationale de l’audition du 10 mars, l’Office villeurbannais
des personnes âgées et des retraités propose aux Villeurbannais de plus de 60 ans des tests
audiométriques gratuits.Ces tests (uniquement sur rendez-vous) seront effectués par des
audioprothésistes diplômés à la Maison des Aînés du 7 au 10 mars (de 14 heures à 16 h 30 et en
plus en matinée le jeudi de 9 à 12 heures), puis à la Maison sociale Cyprian les Brosses, le
vendredi 11 mars, de 14 à 17 heures.pratique Inscriptions et renseignements à la Maison des
Aînés, 56, rue du 1er -Mars-1943. Tél. 04.78.68.90.50. Maison sociale Cyprian-Les Brosses 4,
rue Jules-Guesde. Tél. 04.72.68.69.70.
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PAYS : Maroc
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8 mars 2016 - 20:46
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Première implantation auditive du tronc
cérébral au Maroc
Une première au Maroc. Une équipe multidisciplinaire spécialisée
composée de spécialistes marocain, français, et anglais a réalisé
récemment une opération d’implantation auditive du tronc cérébral
chez une patiente sourde âgée de 30 ans à l’hôpital Cheikh Khalifa
Ibn Zaid de Casablanca. Une opération qui a coïncidé avec la
Journée nationale de l’audition. Réservée à des indications rares,
cette intervention consiste, en effet, à réhabiliter l’audition chez les
personnes âgées de plus de 12 ans qui souffrent d’un
dysfonctionnement bilatéral partiel ou complet du nerf auditif.
Ce dispositif est implanté, lors d'une intervention chirurgicale, dans le cerveau d'une personne
atteinte de surdité dont les nerfs auditifs sont endommagés. Grâce à cet implant, une personne
atteinte de surdité totale aura l'impression d'entendre. «La partie interne est placée juste sous la
peau, derrière l'oreille, au cours d'une intervention chirurgicale. Elle se compose d'un
récepteur/stimulateur pour recevoir et décoder les signaux électriques», précise la même source.
«Ayant perdu son audition suite à une méningite survenue à l’âge de 5 ans, la patiente était dans
l’incapacité de subir une implantation cochléaire à cause d’une ossification totale de la cochlée.
Cinq semaines après l’implantation, la patiente devra être suivie par une équipe multidisciplinaire
composée du chirurgien implanteur, de l’audioprothésiste pour le réglage de l’appareil ainsi qu’un
orthophoniste tout le long de la phase rééducation», précise par ailleurs l’hôpital Cheikh Khalifa
Ibn Zaid.
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9 mars 2016 - 07:16
Le bruit influerait sur notre santé (À
PASSER AU PLUS TARD LE 10/03 AU
MATIN - SINON CHANGER LE DÉBUT)
Une étude vient de révéler que les Français se trouvent trop exposés
au bruit. Bilan: ils sont 94% à penser que le bruit a des effets directs
sur la santé.
Juste avant la 19eJournée nationale de l’audition, programmée le 10 mars, une enquête
nationale JNA-Ifop* démontre que les Français souffrent du bruit. Le jour, la nuit et quel que soit
leur âge. La conséquence directe de cette exposition au bruit ?
Et n’allez pas croire que seule une population vieillissante est concernée ! Sept jeunes sur 10
pensent qu’il présente un risque réel de surdité définitive.
Les agressions sonores sont partout
Dans cette même enquête, les Français avouent qu’ils sont davantage exposés au bruit
Finalement, le seul endroit où l’on se sent à l’abri serait son domicile. Seulement 21 % des
personnes interrogées y souffriraient d’agressions sonores. Plus étonnant, le pourcentage monte
jusqu’à 39 % chez les 15-17 ans.
Au final, neuf personnes sur 10 seraient, chaque jour, exposées à un bruit excessif. Seule la durée
d’exposition varie (de moins d’une heure à 5 heures ou plus).
Responsables mais pas coupables…
Mais la faute à qui ? Nécessairement, le bruit vient de quelque part et est causé par quelque
chose. Pourtant, seulement un Français sur quatre reconnaît être responsable de nuisances
sonores. À côté de ça, ils sont 33 % à avouer masquer les bruits gênants de leur domicile avec de
la musique ou la télévision. Sans même s’en rendre compte, ils font du bruit pour couvrir le bruit !
De même, ils ont parfaitement conscience du danger d’une exposition trop forte à des bruits
excessifs mais rares sont ceux qui portent des protections auditives (bouchons, casques, filtres
auditifs) face à des situations de volumes sonores agressifs.
Tout n’est pas perdu
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9 mars 2016 - 07:16
Parmi les personnes interrogées, et notamment les jeunes,
Pour interpeller les Français, l’association Journée nationale de l’audition lance donc trois
vidéos sur le thème “Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin !”. Ces trois messages de prévention
s’adressent aux jeunes, aux actifs et aux seniors.
*Étude réalisée par l’Ifop pour la Journée nationale de l’audition entre le 5 et le 9 février 2016,
auprès d’un échantillon de 1 003 personnes âgées de 15 ans et plus.
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9 mars 2016 - 06:40
La journée nationale de l’audition se déroule
demain
À l’hôpital de Dreux, le service ORL participe à la journée nationale consacrée à la prévention sur
les risques de l’audition qui se déroule le jeudi 10 mars prochain.
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9 mars 2016 - 07:48
Ce jeudi, la 19e journée nationale de
l’audition
Santé Aujourd'hui 05:00 par J.-C.M. Bienvenue dans l’édition abonnés !Pour lire l'intégralité de
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9 mars 2016 - 08:41
L’indispensable dépistage d'une déficience
handicapante
Demain 10 mars se déroulera la 10e Journée de l'audition. A Montauban, de nombreux
rendez-vous seront proposés (programme complet surWWW.journée-audition.org) en particulier
au BIJ (2 boulevard E-Herriot) de 12 à 17 heures… La déficience auditive ? Un mal qui touche 7
millions de personnes, mal entendantes ou sourdes. La correction de ce handicap est évidemment
possible sachant qu'il convient de se faire dépister le plus tôt possible… Pour le confort, mais pas
que. Certaines aides à l'appareillage ne sont disponibles que dans le cadre d‘un dépistage précoce.
Marthe, une retraitée bressolaise l'a appris à ses dépens. Comme d'autres, elle a rencontré des
problèmes d'audition après 70 ans. Aujourd'hui âgée de 75 ans, elle a dû s'appareiller sur les
conseils de son ORL. Le coût de l'appareillage, environ 2 000 €, fut une charge importante pour la
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9 mars 2016 - 08:41
petite retraite de Marthe.
Avant 60 ans, si les symptômes surviennent ne faites pas la sourde
oreille
C'est par hasard au contact de la sécurité sociale qu'elle apprend que la PCH (prestation
compensatoire du handicap) est susceptible de lui venir en aide. Marthe a donc sollicité la Maison
départementale du Handicap à Montauban. «Vous devez nous fournir les audiogrammes d'avant
vos 60 ans car il faut un handicap de même nature antérieur pour bénéficier d'une prise en charge
éventuelle à votre âge», lui a répondu le médecin coordinateur de la MDPH. Le problème c'est
qu'avant 60 ans Marthe entendait bien et n'avait aucune raison de subir des audiogrammes auprès
d'un ORL. Marthe a compris qu'elle ne parviendrait pas à faire entendre sa cause auprès de la
MDPH, «Mais il faut faire savoir cela. J'invite tout le monde à faire vérifier son audition avant 60
ans pour le cas échéant, être pris en charge plus tard même si vos problèmes auditifs ne vous
paraissent pas une évidence». «Il s'écoule en moyenne 7 à 9 ans entre l'apparition des premiers
symptômes et la consultation chez un spécialiste», constate cet ORL… Il est donc capital d'aller
consulter dès l'apparition des premiers symptômes… et si possible avant 60 ans pour que cette
déficience soit prise en compte par la PCH.
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9 mars 2016 - 04:53
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«Les jeunes ne mesurent pas le danger du
bruit»
A l'occasion de la journée nationale de l'audition, le Dr Marie-José Esteve-Fraysse, ORL au
CHU de Toulouse Purpan, nous explique les enjeux de la sensibilisation, notamment chez les
jeunes. La 19e journée nationale de l'audition, jeudi 10 mars, rappelle que nous vivons dans un
environnement bruyant et que nos oreilles, au-delà du phénomène naturel du vieillissement, en
subissent les conséquences. Entre 12 et 15 % de la population française serait affectée par les
troubles auditifs. Explications avec le Dr Marie-José Esteve-Fraysse, ORL au CHU Purpan. Quel
est l'enjeu de cette 19e journée de l'audition ? Elle doit sensibiliser le public aux problèmes
auditifs, notamment les jeunes exposés aux traumatismes sonores et les personnes âgées qui ne se
rendent pas compte de leur perte progressive de l'audition. Une étude d'une équipe Inserm de
Bordeaux a montré un déclin cognitif chez les personnes âgées de plus de 75 ans, non
appareillées, parce qu'elles s'excluent et qu'elles sont moins stimulées par leur environnement.
Quelles sont les principales causes des troubles auditifs ? Chez l'enfant, elles peuvent être
génétiques (surdité profonde ou surdité sévère qui apparaît progressivement), la conséquence
d'otites séreuses ou de traumatismes comme les accidents. Chez l'adulte, il s'agit essentiellement
du vieillissement (presbyacousie), des conséquences de traumatismes sonores, d'otites ou de
maladies de l'oreille. On compte également 8 à 10 % de la population souffrant d'acouphènes
mais seulement 2 % s'en plaignent. Notre environnement est-il trop bruyant ? On considère que le
bruit est traumatisant pour l'oreille quand il est supérieur à 85 décibels (dB) et lorsque l'exposition
est prolongée car le temps de l'exposition compte autant que l'intensité du bruit. Le travail en
environnement bruyant (chantier, usine, aéroport, boîte de nuit, bar, garage, carrière…) provoque
de nombreux traumatismes sonores et toutes les entreprises ne fournissent pas de protections à
leurs salariés. Et puis, il y a maintenant les traumatismes liés aux loisirs (concerts, musiques dans
les casques, sports motorisés…) Justement, les jeunes sont-ils plus touchés ? Disons qu'ils
s'exposent davantage au bruit. Dans le métro, le bruit est de 85 dB, il faut donc monter le son dans
ses oreillettes pour le couvrir et on dépasse le seuil de risque. Si, en plus, on ajoute l'exposition en
boîte de nuit, les concerts et la musique écoutée au casque dans sa chambre… Les jeunes ne
mesurent pas la gravité de leur exposition au bruit. Pour eux, la sortie de boîte de nuit correspond
à une sensation d'oreilles cotonneuses qui passe le lendemain ! J'ai reçu un jeune homme pour qui
le cumul boîte de nuit, moto et deux jours en spectateur aux 24 h du Mans fait qu'aujourd'hui il ne
supporte plus le bruit et ne peut plus s'endormir. Quel doit être le message ? Il faut se protéger :
bouchons d'oreille dans les boîtes de nuit et salles de concert, casque dans un environnement de
travail bruyant. Le bruit est traumatisant pour l'oreille interne, pour certaines cellules et pour
certaines synapses qui permettent de transmettre les informations aux cellules. À la moindre gêne,
il faut consulter. Dépistages gratuits, ateliers, conférences À Toulouse, la 19e journée nationale
de l'audition se déroulera en deux temps. Jeudi 10 mars 2016 , le CHU de Toulouse propose un
dépistage auditif gratuit de 14 h 30 à 17 heures au sein du service des consultations d'ORL à
l'hôpital Pierre-Paul Riquet de Purpan (hall C de couleur jaune au niveau 3 ; accès par l'avenue
Jean Dausset en face de la station Purpan ligne T1 du Tramway). Ce dépistage sera suivi de
quatre conférences grand public (entrée libre) de 17 heures à 19 heures sur les thèmes suivants :
Mon enfant est malentendant : quel avenir ? ; Le bruit et ses effets délétères sur l'audition ; Le
bruit : quelles conséquences sur l'appareillage, quelles protections ? ; La surdité chez le sujet âgé :
quels signes, quels enjeux ? L'association des Malentendants et Devenus Sourds Midi-Pyrénées
(AMDS) organise une journée d'information et de rencontres le samedi 12 mars 2016 à la maison
des associations (3 place Guy Hersant, Toulouse) A partir de 10 heures, conférences : la lecture
labiale pour qui, comment ? ; Infections, bruit, hérédité : que peut-il arriver aux oreilles de nos
enfants ? ; à 14 heures : nuisances sonores, conséquences et solutions ; à 17 h 30 concert de
clôture avec Didier Dulieux et Nadine Rossello. Conférences retranscrites en direct par écrit,
boucle magnétique dans la salle, ateliers et bilans auditifs. Entrée libre et gratuite
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8 mars 2016 - 10:20
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Santé. Le bruit influerait sur notre santé
Une étude vient de révéler que les Français se trouvent trop exposés
au bruit. Bilan: ils sont 94% à penser que le bruit a des effets directs
sur la santé.
Les agressions sonores sont partout (©Richard Villalon Fotolia)Juste avant la 19e Journée
nationale de l’audition, programmée le 10 mars, une enquête nationale JNA-Ifop* démontre que
les Français souffrent du bruit. Le jour, la nuit et quel que soit leur âge. La conséquence directe de
cette exposition au bruit ? Pour 53% des personnes interrogées, il serait à l’origine de maux de
tête, pour 49 % d’anxiété, pour 45%, il ferait courir un risque de surdité définitive et pour 42%, il
créerait des acouphènes. Et n’allez pas croire que seule une population vieillissante est concernée
! 7 jeunes sur 10 pensent qu’il présente un risque réel de surdité définitive.Les agressions sonores
sont partoutDans cette même enquête, les Français avouent qu’ils sont davantage exposés au bruit
dans les lieux publics (51%), sur leur lieu de travail (50%), dans la rue (48%), les transports en
commun (48%), les magasins (47%), à la cantine ou dans un restaurant d’entreprise (46%), dans
les établissements sportifs (44%), à l’école (40%), au cinéma et dans les concerts
(34%).Finalement, le seul endroit où l’on se sent à l’abri serait son domicile. Seulement 21% des
personnes interrogées y souffriraient d’agressions sonores. Plus étonnant, le pourcentage monte
jusqu’à 39 % chez les 15-17 ans.Au final, 9 personnes sur 10 seraient, chaque jour, exposées à un
bruit excessif. Seule la durée d’exposition varie (de moins d’une heure à 5 heures ou
plus).Responsables mais pas coupables…Mais la faute à qui ? Nécessairement, le bruit vient de
quelque part et est causé par quelque chose. Pourtant, seulement 1 Français sur 4 reconnaît être
responsable de nuisances sonores. A côté de ça, ils sont 33% à avouer masquer les bruits gênants
de leur domicile avec de la musique ou la télévision. Sans même s’en rendre compte, ils font du
bruit pour couvrir le bruit ! De même, ils ont parfaitement conscience du danger d’une exposition
trop forte à des bruits excessifs mais rares sont ceux qui portent des protections auditives
(bouchons, casques, filtres auditifs) face à des situations de volumes sonores agressifs.Tout n’est
pas perduParmi les personnes interrogées, et notamment les jeunes, 56% se disent tout de même
prêts à faire des pauses auditives, à savoir s’isoler dans un endroit calme à un moment de la
journée, 78% à baisser le volume d’écoute de la musique et 48% à réduire le temps d’écoute.Pour
interpeller les Français, l’association Journée nationale de l’audition lance donc trois vidéos sur
le thème « Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! » . Ces trois messages de prévention
s’adressent aux jeunes, aux actifs et aux seniors.*Etude réalisée par l’Ifop pour la Journée
nationale de l’audition entre le 5 et le 9 février 2016, auprès d’un échantillon de 1 003 personnes
âgées de 15 ans et plus.APEI-Actualités. C.B.
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8 mars 2016 - 17:56
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Nantes : le CHU de Nantes propose de testez
gratuitement votre audition
Le 10 mars prochain, le CHU de Nantes participe à la journée
nationale de l'audition (19e édition). À cette occasion, le service
ORL du CHU propose un dépistage auditif gratuit de 14h00 à 17h00.
Ce jeudi 10 mars, le service ORL du CHU de Nantes propose gratuitement :un dépistage auditif et
une évaluation de l'acouphène de 14h à 17h au 5e étage aile Nord de l'Hôtel-Dieu; une
conférence-débat sur les acouphènes dans la salle de l'Imad au 2e étage aile Ouest de l'Hôtel-Dieu
à 17h30 avec le Pr Philippe Bordure, chef du service ORL et le Dr Kinnie Aguilar-Bourget,
responsable de la consultation acouphènes.Nouveau au CHU : une consultation pour les
acouphènesL'acouphène est un symptôme fréquent qui touche 5 à 10% de la population générale.
Il est gênant chez 20% des patients et parfois responsable d'une souffrance psychologique. Le
CHU de Nantes met en place une consultation pluridisciplinaire au sein du service d'ORL afin de
développer les compétences par l'échange entre les différentes spécialités.La prise en charge
repose sur une évaluation par :un ORL un audioprothésiste une psychologue clinicienneLes
caractéristiques de l'acouphène, ses circonstances de survenue, les signes associés et influençant
son évolution sont précisés lors de la consultation. Un examen clinique otologique,
cranio-cervico-mandibulaire et éventuellement vestibulaire sont réalisés. Une audiométrie tonale,
vocale, haute fréquence et une acouphénométrie permettent de préciser les caractéristiques
psycho-acoustiques de l'acouphène et l'existence d'une perte auditive associée. Des
auto-questionnaires semi-quantitatifs validés évaluent l'importance de la gêne, le retentissement et
le handicap générés. L'ensemble de ces éléments permet d'orienter le patient et de le placer dans
l'algorithme thérapeutique, aboutissant à une prise en charge individualisée.Après la prescription
d'éventuelles investigations complémentaires, le traitement repose sur une thérapie sonore et une
réhabilitation audioprothétique associée à une prise en charge comportementale afin d'atténuer le
retentissement émotionnel et faire sortir l'acouphène du champ de conscience. Ainsi, la prise en
charge pluridisciplinaire permet de créer une dynamique positive, face à un vrai problème de
santé publique, d'obtenir une adhésion du patient au projet thérapeutique et de meilleurs
résultats.L’omniprésence sonore pourrait effectivement expliquer le développement précoce des
déficiences auditives et autres pathologies de l’oreille (acouphènes…) au sein de l’ensemble des
tranches d’âge de la population. Pourquoi ? Comment ?L’Ouïe est l’un des principaux sens
nécessaire à notre équilibre généralIl repose sur des mécanismes fragiles, altérables et la plupart
du temps irréparables. Au cœur du danger : la fragilité des cellules sensorielles de l’oreille
interne, appelées cellules ciliées. Ces cellules jouent le rôle de transmission des informations au
cerveau auditif, à qui revient la charge de les décoder. Elles ont pour particularité de s’user
naturellement avec l’âge – phénomène appelé presbyacousie - et plus rapidement sous l’effet
d’une exposition sonore intense ou du fait de l’accumulation d’expositions. Une fois abîmées,
elles disparaissent à jamais. Les connaissances médicales actuelles ne permettent pas de les
remplacer. Cela se traduit par une difficulté à comprendre ses interlocuteurs et à communiquer
avec eux. Lorsque la déficience auditive n’est pas détectée à temps, les enfants sont en difficulté
dans les apprentissages ; les adultes sont fragilisés dans leur vie sociale et professionnelle, le
déclin cognitif s’accélère chez les seniors. Autrement dit, l’altération de ce sens si précieux est un
élément de déséquilibre impactant l’état général de l’individu et sa qualité de vie.L’accumulation
d’expositions sonores aux intensités non maîtrisées constitue la principale toxicité pour
l’oreilleLes mécanismes de l’oreille n’ont pas changé depuis l’origine de l’Homme. A l’époque
de la chasse et de la cueillette, l’homme évoluait dans un environnement sonore probablement
non toxique - ne dépassant pas les 80 dB - composé de sons naturels de faible intensité sonore. Au
cours de son évolution, l’homme a introduit des sources sonores de plus en plus puissantes : des
outils de pierre, des instruments de musique (des tambours), les armes à feu, les machines à
vapeur, les voitures, le train, le métro, les systèmes d’amplification, les baladeurs numériques
etc…Aujourd’hui, l’environnement est constitué d’ambiances sonores aux intensités élevées et
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8 mars 2016 - 17:56
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continues. Le système auditif ne bénéficie plus de temps de récupération. Il est donc soumis à des
pressions constantes et subit un état permanent de stress accélérant sa dégradation. Développer les
bonnes pratiques de santé auditive à tous les âges de la vie.Lors de la dernière enquête JNA 2015
réalisée avec l’Institut Ipsos, « Risques auditifs: des clés pour agir », les jeunes interrogés ont
indiqué que le Bruit est un élément rassurant et que son absence les inquiétait. L’omniprésence
sonore est donc ancrée dans les habitudes de vie de l’Homme moderne: autoradio, musique dans
les magasins, MP3 pendant la journée et parfois même pendant le sommeil, télévision à la
maison, bruits de la ville, bruit au travail. Cela devient une caractéristique culturelle de notre
société normalisant l’omniprésence de son de fortes intensités. Dès lors, comment lutter contre
des comportements intégrés comme normaux. Il est donc nécessaire de redonner du sens et de la
cohérence à ses comportements au travers de la mise en place d’un programme positionnant la
santé auditive comme un facteur clé du Bien Vivre et du Bien Vieillir à tous les âges de la vie:
"Ensemble développons la santé auditive pour tous".
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Journée nationale de l’audition
Mieux comprendre, c’est mieux vivre! L’ARDDS57, association de réadaptation et de défense
des devenus sourds et malentendants, en collaboration avec ...
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Ce mercredi: Journée Nationale de l'Audition
!
A l’occasion de la 19e édition, le jeudi 10 mars, le groupe d’experts
de l’association "Journée Nationale de l'Audition" (JNA) en
partenariat avec Radio Public Santé, informe les Français sur le rôle
majeur de la santé auditive sur leur qualité de vie, leur santé et leur
vitalité, avec 3 conseils simples pour développer sa forme et son
bien-être grâce à une meilleur hygiène de santé auditive.
Je maîtrise mes expositions sonores
Limiter les expositions sonores répétitives,
Intégrer des «pauses auditives» hors du bruit,
Intégrer que nous sommes individuellement générateur de bruit.
Je réalise régulièrement un bilan de mon audition
Nous bénéficions d’un capital auditif dont nous sommes dotés une fois pour toute la vie dès la
naissance. Or, ce capital est fragile car il repose sur des cellules sensorielles qui ont la
particularité de s’abîmer sur l’impact d’un bruit élevé, de s’user avec l’avancée en âge et de ne
pas se renouveler. Un bilan régulier de son audition chez son médecin ORL permet de réaliser
une photographie à date.
Je mets en place des solutions lorsque les difficultés de compréhension de la parole
apparaissent
Notre relation au bruit provoque aujourd’hui des traumatismes sonores aigus et des surdités
précoces.
La presbyacousie phénomène naturel d’usure des cellules sensorielles avec l’avancée en âge
demeure
la cause première de déficience auditive. Elle représente 40% des 60-70 ans.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes, en effet 12 à 15% de la population française serait affectée par
les troubles de l’audition et sachant que ce trouble est par exemple la troisième cause de maladie
professionnelle en France, il est grand temps de suivre ces conseils car développer et entretenir
son capital santé passe par de bonne pratiques de santé auditive.
Pour plus d'informations : www.journee-audition.org ou N° Azur 0 810 200 219 (prix d’un appel
local)
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8 mars 2016 - 07:08
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Santé : Le bruit influerait sur notre santé
Une étude vient de révéler que les Français se trouvent trop exposés
au bruit. Bilan: ils sont 94% à penser que le bruit a des effets directs
sur la santé.
Juste avant la 19e Journée nationale de l’audition, programmée le 10 mars, une enquête
nationale JNA-Ifop* démontre que les Français souffrent du bruit. Le jour, la nuit et quel que soit
leur âge. La conséquence directe de cette exposition au bruit ? Pour 53% des personnes
interrogées, il serait à l’origine de maux de tête, pour 49 % d’anxiété, pour 45%, il ferait courir un
risque de surdité définitive et pour 42%, il créerait des acouphènes. Et n’allez pas croire que seule
une population vieillissante est concernée ! 7 jeunes sur 10 pensent qu’il présente un risque réel
de surdité définitive.
Les agressions sonores sont partout
Dans cette même enquête, les Français avouent qu’ils sont davantage exposés au bruit dans les
lieux publics (51%), sur leur lieu de travail (50%), dans la rue (48%), les transports en commun
(48%), les magasins (47%), à la cantine ou dans un restaurant d’entreprise (46%), dans les
établissements sportifs (44%), à l’école (40%), au cinéma et dans les concerts (34%).
Finalement, le seul endroit où l’on se sent à l’abri serait son domicile. Seulement 21% des
personnes interrogées y souffriraient d’agressions sonores. Plus étonnant, le pourcentage monte
jusqu’à 39 % chez les 15-17 ans.
Au final, 9 personnes sur 10 seraient, chaque jour, exposées à un bruit excessif. Seule la durée
d’exposition varie (de moins d’une heure à 5 heures ou plus).
Responsables mais pas coupables…
Mais la faute à qui ? Nécessairement, le bruit vient de quelque part et est causé par quelque chose.
Pourtant, seulement 1 Français sur 4 reconnaît être responsable de nuisances sonores. A côté de
ça, ils sont 33% à avouer masquer les bruits gênants de leur domicile avec de la musique ou la
télévision. Sans même s’en rendre compte, ils font du bruit pour couvrir le bruit ! De même, ils
ont parfaitement conscience du danger d’une exposition trop forte à des bruits excessifs mais
rares sont ceux qui portent des protections auditives (bouchons, casques, filtres auditifs) face à
des situations de volumes sonores agressifs.
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8 mars 2016 - 07:08
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Parmi les personnes interrogées, et notamment les jeunes, 56% se disent tout de même prêts à
faire des pauses auditives, à savoir s’isoler dans un endroit calme à un moment de la journée, 78%
à baisser le volume d’écoute de la musique et 48% à réduire le temps d’écoute.
Pour interpeller les Français, l’association Journée nationale de l’audition lance donc trois
vidéos sur le thème « Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! ». Ces trois messages de
prévention s’adressent aux jeunes, aux actifs et aux seniors.
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À Reims, des spécialistes de l'audition vous
attendent
Rédaction en ligne
Les nuisances sonores ont un impact important sur la santé. En cas de doute, allez à la rencontre
de spécialistes ce jeudi à l’hôtel de ville. C’est la 19 e journée de l’audition.
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Un jeune sur deux pense que les problèmes d’audition ne le concernent pas, que c’est pour les
vieux...
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Le bruit nuit à la santé, et aux oreilles en
particulier
Audition Les lésions s'installent de manière insidieuse et sont
irréversibles.
Échec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru
de démence : la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la
campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé des oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
« nous sommes soumis à une pression sonore permanente », constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm, en France. Selon un sondage effectué par Ifop et publié à
l'occasion de la dix-neuvième Journée nationale française de l'audition, célébrée le 10 mars, une
personne sur deux se sent agressée par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix
estiment que le bruit a des effets directs sur la santé.
Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une « pollution sonore », parce que les pauses
silencieuses sont devenues rares, voire inexistantes. « La grande différence est qu'autrefois le
bruit ne rentrait pas dans la sphère privée », observe Sébastien Leroy, de JNA.
Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter
de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Or cette exposition permanente
affecte non seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste de son côté Pascal Fœillet,
médecin ORL. « Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de
l'oreille interne », souligne-t-il, rappelant que les effets sont liés à l'intensité et la durée de
l'exposition.
À partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon
l'intensité du bruit, « le système auditif souffre, et, à long terme, des troubles auditifs ou des
acouphènes vont s'installer ».
Lésion irréversible
À titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les
sports mécaniques génèrent, eux, un bruit allant de 90 à 110 dB.
Le Dr Fœillet note que la « lésion s'installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue
immédiatement ». Et elle est irréversible.
Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110 décibels et plus, « des dégâts
considérables peuvent intervenir en quelques minutes », affirme pour sa part Martine Ohresser,
médecin ORL.
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8 mars 2016 - 01:45
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Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système émotionnel.
Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au bruit quotidien, comme celles habitant
à proximité d'un aéroport, présentaient plus fréquemment des maladies cardio-vasculaires, des
pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques, comme l'anxiété, voire la
dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.
Dans les bureaux en « open space », le bruit généré par les conversations, les sonneries des
téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être « hyperconcentrés » pour
rester efficaces.
À l'école, le bruit se traduit par un déficit d'attention.
L'année dernière, l'Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d'un milliard de jeunes
dans le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de la musique trop
forte.
Delphine TOUITOU/AFP
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8 mars 2016 - 05:00
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Oyonnax - santé « Mes oreilles, j’y tiens, j’en
prends soin ! »
Des séances de dépistage des déficiences auditives auront lieu au
centre hospitalier, ce jeudi.
Dans le cadre de la Journée nationale de l’audition, le centre hospitalier du haut Bugey
organise, jeudi matin, une séance de dépistage et d’information sur les déficiences auditives. Le
docteur Lalamina Oulahri-Lounati (oto-rhino-laryngologiste) recevra gratuitement en consultation
dans son service, sur rendez-vous. L’an dernier, lors de la même opération, elle avait reçu une
trentaine de patients. Avec un constat alarmant : « Nous n’y avions accueilli que des personnes de
plus de 50 ans. Visiblement, les jeunes ne se sentent pas concernés. C’est vraiment dommage, car
ils sont les plus exposés de par leur mode de vie : écoute de la musique sur baladeurs, en concert
ou discothèque et environnement sonore professionnel agressif. Ce sont de futurs acouphéniques
qui consulteront quand il sera trop tard ! Une enquête récente a pointé que 7 jeunes sur 10 vont
jusqu’à penser que le bruit ne fait pas courir un risque de surdité définitive. 38 % des 15-17 ans
avouent que ça les rend euphoriques, ce qui montre leur relation particulière au bruit. Prendre soin
de son audition, tout comme conserver de bonnes capacités à entendre sont des rites à intégrer
pour rester dynamique et en relation positive avec les autres ».Rendez-vous Jeudi 10 mars au
service ORL du centre hospitalier du haut Bugey, 1 route de Veyziat à Oyonnax, de 9 à 12 heures
sur rendez-vous. Inscriptions au 04.74.73.10.13. touche 3.
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8 mars 2016 - 06:21
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Journée Nationale de l’Audition
Le Centre d’action et d’information sur la surdité organisera avec ses
partenaires Audition Conseil et le CLIC Orléans Val de Loire, des
actions en faveur des personnes vieillissantes en perte d’audition et
personnes sourdes ou malentendantes. Ainsi, nous vous donnons
rendez-vous le jeudi 10 mars de 9h à 17h30 (sans interruption) dans
les locaux du CLIC Orléans Val de Loire (Antenne d’Orléans) –
Centre Communal d’Action Sociale – 69 rue Bannier – 45000
Orléans.
Pour :– profiter d’un dépistage auditif gratuit– essayer des aides techniques– bénéficier de
conseils sur les aides techniques en fonction des besoins exprimés– obtenir des informations sur
le financement d’appareillages auditifs et d’aides techniques– découvrir nos différents services.
Tout au long de la journée, les visiteurs pourront participer à des mises en situation concrètes et
pourront échanger avec les différents professionnels. Parallèlement, la conseillère technique du
C.A.I.S. vous accueillera de 9h à 17h sur la plateforme d’aides techniques (C.I.C.A.T Surdité)
située 34 avenue du Maréchal Maunoury – Cité administrative – Porte B – au deuxième étage –
41000 Blois.Afin de sensibiliser les différents acteurs sur l’ensemble du territoire, ces actions sont
réalisées chaque année et seront organisées dès l’année prochaine dans différents établissements
de nos partenaires de la région Centre-Val de Loire.
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7 mars 2016 - 15:39
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Le bruit impacterait notre santé
Une étude vient de révéler que les Français se trouvent trop exposés
au bruit. Bilan: ils sont 94% à penser que le bruit a des effets directs
sur la santé.
Juste avant la 19e Journée nationale de l’audition, programmée le 10 mars, une enquête
nationale JNA-Ifop* démontre que les Français souffrent du bruit. Le jour, la nuit et quel que soit
leur âge. La conséquence directe de cette exposition au bruit ? Pour 53% des personnes
interrogées, il serait à l’origine de maux de tête, pour 49 % d’anxiété, pour 45%, il ferait courir un
risque de surdité définitive et pour 42%, il créerait des acouphènes. Et n’allez pas croire que seule
une population vieillissante est concernée ! 7 jeunes sur 10 pensent qu’il présente un risque réel
de surdité définitive.
Les agressions sonores sont partout
Dans cette même enquête, les Français avouent qu’ils sont davantage exposés au bruit dans les
lieux publics (51%), sur leur lieu de travail (50%), dans la rue (48%), les transports en commun
(48%), les magasins (47%), à la cantine ou dans un restaurant d’entreprise (46%), dans les
établissements sportifs (44%), à l’école (40%), au cinéma et dans les concerts (34%).
Finalement, le seul endroit où l’on se sent à l’abri serait son domicile. Seulement 21% des
personnes interrogées y souffriraient d’agressions sonores. Plus étonnant, le pourcentage monte
jusqu’à 39 % chez les 15-17 ans.
Au final, 9 personnes sur 10 seraient, chaque jour, exposées à un bruit excessif. Seule la durée
d’exposition varie (de moins d’une heure à 5 heures ou plus).
Responsables mais pas coupables…
Mais la faute à qui ? Nécessairement, le bruit vient de quelque part et est causé par quelque
chose. Pourtant, seulement 1 Français sur 4 reconnaît être responsable de nuisances sonores. A
côté de ça, ils sont 33% à avouer masquer les bruits gênants de leur domicile avec de la musique
ou la télévision. Sans même s’en rendre compte, ils font du bruit pour couvrir le bruit ! De même,
ils ont parfaitement conscience du danger d’une exposition trop forte à des bruits excessifs mais
rares sont ceux qui portent des protections auditives (bouchons, casques, filtres auditifs) face à
des situations de volumes sonores agressifs.
Tout n’est pas perdu
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7 mars 2016 - 15:39
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Parmi les personnes interrogées, et notamment les jeunes, 56% se disent tout de même prêts à
faire des pauses auditives, à savoir s’isoler dans un endroit calme à un moment de la journée, 78%
à baisser le volume d’écoute de la musique et 48% à réduire le temps d’écoute.
Pour interpeller les Français, l’association Journée nationale de l’audition lance donc trois
vidéos sur le thème « Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends soin ! ». Ces trois messages de
prévention s’adressent aux jeunes, aux actifs et aux seniors.
*Etude réalisée par l’Ifop pour la Journée nationale de l’audition entre le 5 et le 9 février 2016,
auprès d’un échantillon de 1 003 personnes âgées de 15 ans et plus.
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7 mars 2016 - 16:14
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DIJON : Maison des seniors, journée spéciale
audition le 10 mars
Dans le cadre des travaux menés par l’Observatoire de l’âge sur le thème de « la lutte contre
l’isolement », les troubles de l’audition ont été repérés comme pouvant être un facteur
supplémentaire d’isolement.
Au terme de ces réflexions, la Maison des seniors et l’Observatoire de l’âge ont souhaité
organiser un ensemble d’actions à l’occasion de la journée nationale de l’audition.
Le rendez-vous aura lieu le :
Jeudi 10 mars à partir de 9 h 30
Maison des seniors
Rue Mère Javouhey – Djion
Au programme de cette journée où chacun peut s’inscrire pour tout ou partie :
• 9 h 30 – 10 h 30
Présentation de l’appareil auditif et vieillissement par le professeur JOUANNY, gériatre
• 10 h 45 – 12 h 15
Qu’est-ce qu’un audioprothésiste ?
Pourquoi s’appareiller ?
Déclin cognitif et surdité
• 14 h 00 – 15 h 00
Présentation des différents appareils
• 15 h 00 – 16 h 00
Témoignages de personnes appareillées
À noter que des tests auditifs à but non médical auront lieu de 9 h 30 à 17 h (inscription
obligatoire).
Transports : Tramway T1 et T2 : arrêt « République » – Divia City : arrêt « Trémouille »
Renseignements et inscriptions (dans la limite des places disponibles) :
Direction des retraités et des personnes âgées – Maison des seniors au 03 80 74 71 71
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8 mars 2016 - 05:08
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Les Français entendent moins bien
édition des abonnés
Les Français n’entendent plus ? À l’occasion de la 19e Journée nationale de l’audition, qui se
tient traditionnellement le 10 mars, un groupe ... 08/03/2016 à 05:00
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7 mars 2016 - 14:20
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Trop de bruit au travail, à l’école, dans les
transports
Article publié par Isabelle Eustache le 07/03/2016
Une proportion incroyable de Français se plaint d’une exposition sonore excessive quotidienne.
La grande majorité de ces personnes ont bien conscience de l’impact du bruit sur la santé et sur
l’audition, excepté chez les jeunes.
• Une exposition au bruit de plus en plus agressive
• Se protéger du bruit : un impératif immédiat !
Une exposition au bruit de plus en plus agressive
A l’approche de la Journée nationale de l’audition du 10 mars prochain, les résultats de la
dernière Enquête nationale JNA-Ifop 2016 portant sur le thème de l’impact des nuisances sonores
sur la santé viennent d’être dévoilés. On apprend que 90% des personnes interrogées se sentent
exposées tous les jours à un bruit excessif. Un sentiment qui s’amplifie d’année en année. Au
travail, à l’école et dans les transports, un Français sur deux se déclare agressé par le bruit et 81%
se disent gênés sur leur lieu de travail. Dans les restaurants, les cafés, les bars et les transports
publics, 9 personnes sur 10 a des difficultés à suivre les conversations. À l’école, ce sont 8 jeunes
sur 10 de 15 à 17 ans qui déclarent avoir du mal à suivre les conversations.
Se protéger du bruit : un impératif immédiat !
Si 94% des personnes interrogées pensent que le bruit a des effets directs sur la santé et que 48%
en sont intiment convaincus (anxiété, fatigue, dépression, maux de tête, acouphène, surdité…),
l’impact négatif du bruit sur la santé est nettement moins perçu par les jeunes : seuls 3 sur
10 concèdent qu’une exposition excessive fait courir un risque de surdité définitive. Pis, 38%
déclarent que le bruit les rend euphoriques.
Enfin, « plus de 8 personnes sur 10 attendent une impulsion des pouvoirs publics afin qu’ils
prennent mieux en compte l’impact du bruit et des nuisances sonores sur leur santé ».
En attendant, nous pouvons agir individuellement pour protéger autant que possible nos oreilles,
notamment en baissant le volume (radio, télé, baladeur…), en portant des bouchons d’oreilles, en
multipliant les pauses auditives (se réfugier régulièrement dans un endroit calme pour reposer ses
oreilles)…
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Pour en savoir plus : http://www.journee-audition.org.
Sources : Enquête JNA-Ifop pour la Journée Nationale de l’Audition du 10 mars 2016.
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Dossier : les troubles de l'audition
Le 10 mars, c’est la Journée nationale de l’audition (JNA) : l’occasion idéale pour prendre sa
santé auditive en mains ! Troubles de l’audition, dépistage, solutions : le point dans ce dossier.
Avec l’âge, la baisse des capacités auditives est inévitable, mais aussi variable selon les individus.
Un senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre et 44 % des seniors
éprouveraient des difficultés de compréhension, selon une enquête réalisée par Ipsos pour la JNA
2013.
Les personnes âgées sont principalement touchées par la presbyacousie. Des difficultés auditives
qui apparaissent progressivement, mais ne sont pas uniquement liées au vieillissement.
L’exposition à des niveaux sonores élevés en est également un des facteurs, il est donc essentiel
de préserver ses oreilles !
Son premier signe d’apparition ? Les difficultés de compréhension dans des conditions
acoustiques difficiles (repas animés, transports en commun, personnes qui parlent en même temps
ou de loin…).
L’appareillage vous permettra de compenser cette perte d’audition.
Les acouphènes, ces bruits dont on ne peut identifier la source dans notre environnement, sont
aussi fréquents après 60 ans. 3 à 5 millions d’adultes en ont été ou en sont atteints, dont près de
150 000 sévèrement.
Leur origine peut être vasculaire, due à une lésion de l’oreille ou une exposition répétée à un
volume sonore élevé. Mais selon une étude californienne, 43 % des acouphènes n’ont pas de
cause connue.
Si la cause est identifiée, ils peuvent être traités par chirurgie ou médicaments. Sinon, un
appareillage adapté peut aider à supporter cette sensation de tintement incessant.
A noter : une bonne hygiène de vie peut aider à supporter les acouphènes. La personne atteinte
devra :
• Savoir se relaxer et diminuer son niveau de stress. En effet, les acouphènes augmentent en cas
de fatigue ou de nervosité.
• Pratiquer un exercice physique régulier, ne serait-ce que la marche par exemple.
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S’environner d’un fond musical, les acouphènes étant plus gênants dans le silence.
• Eviter la consommation d’excitants (café, tabac).
Dans tous les cas, ces troubles se dépistent : n’hésitez pas à tester et faire tester votre audition,
c’est la clef de la sociabilité.
Dois-je faire tester mon audition ?
Un test rapide :
• Avez-vous des difficultés à entendre, à comprendre une conversation en milieu bruyant ?
• Votre entourage se plaint-il du volume de votre poste de télévision/de radio ?
• Faites-vous répéter vos interlocuteurs ?
• Avez-vous du mal à localiser les bruits quotidiens et sons de la nature ?
• Pouvez-vous être surpris par un véhicule/une personne que vous n'avez pas entendu arriver ?
• Avez-vous des difficultés à suivre vos conversations téléphoniques ?
• Avez-vous l'impression de parler plus fort qu'avant ?
• Lorsqu'on parle dans votre dos, avez-vous du mal à comprendre ce qu'on vous dit ?
• Percevez-vous des sifflements dans vos oreilles ?
• Lorsque vous frottez vos doigts sur l’oreille, vous n'arrivez pas à percevoir parfaitement le
bruit du frottement ?
Si vous répondez oui à l’une de ces 10 questions, consultez votre médecin ou un ORL.
A lire aussi :
Seniors et audition : ce qu'il faut savoir
La presbyacousie
Les troubles de l’audition : les acouphènes
Testez votre audition: bien entendre est la clé de la sociabilité
Améliorer son audition avec les dispositifs intra-auriculaires
Raphaëlle Murignieux
mis à jour le 07/03/2016
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7 mars 2016 - 23:58
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Troubles de l’audition, dépistage, solutions :
le point dans ce dossier
Le 10 mars, c’est la Journée nationale de l’audition(JNA) : l’occasion idéale pour prendre sa
santé auditive en mains ! Troubles de l’audition, dépistage, solutions : le point dans ce dossier.
Avec l’âge, la baisse des capacités auditives est inévitable, mais aussi variable selon les individus.
Un senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre et 44 % des seniors
éprouveraient des difficultés de compréhension, selon une enquête réalisée par Ipsos pour la JNA
2013.
Les personnes âgées sont principalement touchées par la presbyacousie. Des difficultés auditives
qui apparaissent progressivement, mais ne sont pas uniquement liées au vieillissement.
L’exposition à des niveaux sonores élevés en est également un des facteurs, il est donc essentiel
de préserver ses oreilles !
Son premier signe d’apparition ? Les difficultés de compréhension dans des conditions
acoustiques difficiles (repas animés, transports en commun, personnes qui parlent en même temps
ou de loin…).
L’appareillage vous permettra de compenser cette perte d’audition.
Les acouphènes, ces bruits dont on ne peut identifier la source dans notre environnement, sont
aussi fréquents après 60 ans. 3 à 5 millions d’adultes en ont été ou en sont atteints, dont près de
150 000 sévèrement.
Leur origine peut être vasculaire, due à une lésion de l’oreille ou une exposition répétée à un
volume sonore élevé. Mais selon une étude californienne, 43 % des acouphènes n’ont pas de
cause connue.
Si la cause est identifiée, ils peuvent être traités par chirurgie ou médicaments. Sinon, un
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A noter : une bonne hygiène de vie peut aider à supporter les acouphènes. La personne atteinte
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de fatigue ou de nervosité.
• Pratiquer un exercice physique régulier, ne serait-ce que la marche par exemple.
• S’environner d’un fond musical, les acouphènes étant plus gênants dans le silence.
• Eviter la consommation d’excitants (café, tabac).
Dans tous les cas, ces troubles se dépistent : n’hésitez pas à tester et faire tester votre audition,
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Dois-je faire tester mon audition ?
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• Avez-vous des difficultés à entendre, à comprendre une conversation en milieu bruyant ?
• Votre entourage se plaint-il du volume de votre poste de télévision/de radio ?
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• Pouvez-vous être surpris par un véhicule/une personne que vous n'avez pas entendu arriver ?
• Avez-vous des difficultés à suivre vos conversations téléphoniques ?
• Avez-vous l'impression de parler plus fort qu'avant ?
• Lorsqu'on parle dans votre dos, avez-vous du mal à comprendre ce qu'on vous dit ?
• Percevez-vous des sifflements dans vos oreilles ?
• Lorsque vous frottez vos doigts sur l’oreille, vous n'arrivez pas à percevoir parfaitement le
bruit du frottement ?
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A lire aussi :
Seniors et audition : ce qu'il faut savoir
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4 mars 2016 - 11:23
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Le bruit nuit (gravement?) à la santé et aux
oreilles en particulier
SANTE - Un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports...Plus
qu'une pollution, c'est mauvais pour la santé. Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière
professionnelle contrariée, voire risque accru de démence: la perte auditive est un fléau à tous les
âges, souligne l'association JNA dont la campagne de prévention 2016 cible les bruits du
quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles.>> A lire aussi: «La première maladie
professionnelle, c’est la surdité»Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au
restaurant, au bureau ou à domicile, «nous sommes soumis à une pression sonore permanente»,
constate le professeur Jean-Luc Puel, directeur de recherche de l'Inserm.Un Français sur deux
agressé par le bruit au travailD'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail
ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé, selon
un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l'audition (JNA) le 10
mars.>> A lire aussi: Paris se donne cinq ans pour combattre le bruitLe bruit est aujourd'hui perçu
comme une nuisance, une «pollution sonore» parce que les pauses silencieuses sont devenues
rares voire inexistantes. «La grande différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la
sphère privée», observe Sébastien Leroy, de JNA.Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent
jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer
le bruit des autres.Des effets sur la santéOr cette exposition permanente affecte non seulement
l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL.«Le bruit a une action
directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de l'oreille interne», explique-t-il, rappelant
que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de (...)
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4 mars 2016 - 18:47
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Le bruit : les Français y sont de plus en plus
sensibles
A l'occasion de la 19eme Journée nationale de l'audition du 10 mars, l'association publie les
résultats d'un sondage Ifop qui rappelle que le bruit est une vraie nuisance. Et que les Français y
sont de plus en plus sensibles.La majorité de Français âgés de 15 ans et plus (89%) pense que le
bruit représente un enjeu de santé public, d'autant plus qu'ils se sentent de plus en plus exposés.Ce
phénomène prend de plus en plus d'ampleur avec près de 2 Français sur 3 qui se sentent plus
exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu'auparavant. Ce taux a tendance à monter à 70%
auprès des personnes de 50-74 ans. Plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à un
bruit qu'ils jugent excessif.La quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a
des effets directs sur la santé dont près de la moitié en sont intimement convaincus (48%).Les
jeunes et le bruitCette étude nous apprend que la majorité des jeunes (8 sur 10), de 15 à 17, ans
déclarent avoir du mal à suivre une conversation à l'école, que plus de la moitié d'entre eux (58%)
de cette même tranche d'âge ont le sentiment de subir le bruit sans rien pouvoir faire. Et presque
que la totalité (81%) des 18-35 ans sont gênés par le bruit sur leur lieu de travail.Pour autant, ils
ne sont pas très actifs pour se protéger. En effet, un tiers d'entre eux (1 jeune sur 3) déclare que le
bruit éduque l'oreille pour qu'elle s'habitue. (...)Lire la suite sur Topsante.comA lire aussi
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4 mars 2016 - 18:08
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Le bruit : les Français y sont de plus en plus
sensibles
Le bruit dérange de plus en plus de Français qui s'inquiètent des
conséquences de cette nuisance pour leur santé.
A l'occasion de la 19eme Journée nationale de l'audition du 10 mars, l'association publie les
résultats d'un sondage Ifop qui rappelle que le bruit est une vraie nuisance. Et que les Français y
sont de plus en plus sensibles.Le bruit, une vraie nuisance pour les FrançaisLa majorité de
Français âgés de 15 ans et plus (89%) pense que le bruit représente un enjeu de santé public,
d'autant plus qu'ils se sentent de plus en plus exposés.Ce phénomène prend de plus en plus
d'ampleur avec près de 2 Français sur 3 qui se sentent plus exposés au bruit dans leur vie
quotidienne qu'auparavant. Ce taux a tendance à monter à 70% auprès des personnes de 50-74
ans. Plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à un bruit qu'ils jugent excessif.La
quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a des effets directs sur la santé
dont près de la moitié en sont intimement convaincus (48%).Les jeunes et le bruitCette étude nous
apprend que la majorité des jeunes (8 sur 10), de 15 à 17, ans déclarent avoir du mal à suivre une
conversation à l'école, que plus de la moitié d'entre eux (58%) de cette même tranche d'âge ont le
sentiment de subir le bruit sans rien pouvoir faire. Et presque que la totalité (81%) des 18-35 ans
sont gênés par le bruit sur leur lieu de travail.Pour autant, ils ne sont pas très actifs pour se
protéger. En effet, un tiers d'entre eux (1 jeune sur 3) déclare que le bruit éduque l'oreille pour
qu'elle s'habitue. Près de 40 % vont jusqu'à penser que le bruit les rend euphoriques. Et seulement
1 jeune sur 3 admet porter des protections auditives face à des situations de volumes sonores
excessifs (bouchons, casques, filtres auditifs).Pour informer les Français des risques de la
surexposition aux bruits et aux bons outils pour s'en protéger, la JNA va diffuser trois spots de
prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois messages: "Je protège mes
oreilles"; "je fais des pauses régulières"; "je fais faire un bilan régulier de mon audition".A lire
aussi:Infographie : les chiffres clefs de la déficience auditiveAudition : les jeunes font encore la
sourde oreilleAcouphènes: quels examens faut-il faire?
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6 mars 2016 - 10:23
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Un cours pour entendre avec les yeux
Surdité Le nombre de malentendants augmente. Des enseignantes en
lecture labiale ont été formées en Suisse romande.
Rasez vos moustaches, abandonnez foulards et cols roulés, renoncez aux chemises flashy et aux
colliers compliqués! Pour qu’on puisse lire sur vos lèvres, il faut montrer votre visage et éviter
tout ce qui pourrait réduire la concentration. Deuxième leçon: pour comprendre votre
interlocuteur, il faut se mettre bien en face de lui et regarder… ses lèvres. Evident? En réalité, les
personnes entendantes fixent instinctivement les yeux et, pour changer d’habitude, il faut dépasser
une certaine gêne. Ces conseils sont délivrés par Isabelle Michel, enseignante en lecture labiale.
En Suisse romande, vingt-trois personnes exercent comme elle cette activité. Ce métier revient de
loin: il y a deux ans, il ne restait que six professionnelles. La formation, qui n’a plus été dispensée
durant quinze ans, a repris en 2014 (lire ci-contre) . Les nouvelles venues, d’horizons divers, sont
toutes des femmes. Elles recevront leur diplôme le 10 mars, lors de la Journée nationale de
l’audition.«L’appareillage auditif ne règle jamais complètement les problèmes d’audition, la
lecture labiale est un complément pour communiquer aisément», plaide Isabelle Michel. Dans cet
apprentissage, vous découvrirez que certains sons se confondent. Ne cherchez pas les différences
entre le «fe» et le «ve», entre le «che» et le «je» ou entre le «pe», le «be» et le «me»: elles
n’existent pas. Du coup, seules les personnes les plus aguerries feront la distinction entre «papa»
et «maman».Kangourou, mot illisiblePour s’en sortir, il faut faire appel au contexte. Ainsi, ne
vous étonnez pas qu’on parle de «chapeau» à la boucherie, il s’agit probablement de «jambon».
Dans le désert, optez pour «chameau». Ces mots s’appellent des sosies. Toute la subtilité est de
les connaître pour jongler entre eux. Malheureusement, d’autres sont quasi irrepérables. Un
exemple? Si, dans un récit sur l’Australie, un terme vous échappe, il est probablement question de
«kangourou».Pour la majorité des malentendants, ces outils s’ajoutent à ce qu’ils entendent
encore, notamment grâce aux appareils. Le but est d’obtenir une compréhension globale et de
mener une vie normale. En vingt heures, une professionnelle fournit déjà quelques clés. Le reste
dépend du talent de chacun, de sa souplesse mentale ou de sa mémoire. Parfois, seul le dernier
mot d’une phrase est compris instantanément: il faut alors se souvenir des mouvements de lèvres
précédents pour remonter le fil.La pratique fait le reste. Pour s’exercer, certaines personnes
coupent le son de la télévision. Parole de spécialiste, ça marche! D’ailleurs, des sourds de
naissance développent instinctivement ces capacités – certains réussissant même à suivre
simultanément les mouvements de la glotte. Les plus talentueux peuvent-ils comprendre une
conversation à distance? «C’est certainement en partie possible, mais l’apprentissage est long et
difficile», avertit Valérie Cottet, qui vient elle aussi de terminer sa formation. Quand ils parlent,
certains entraîneurs sportifs mettent d’ailleurs la main devant leur bouche pour éviter que leur
stratégie soit décryptée.Isabelle Michel et Valérie Cottet sont toutes deux infirmières. Ces
derniers mois, elles ont découvert un monde méconnu. «Je n’avais pas conscience qu’il y avait
autant de malentendants, dit la première. En Europe, une personne sur six souffre d’un tel
trouble.» Ces personnes ont tendance à s’isoler et à rester chez elles, poursuit la seconde. Les
enseignantes sont d’abord là pour les accompagner. Leurs cours favorisent les échanges, aident à
reprendre confiance et sont l’occasion de fournir quelques conseils.Hausse des problèmesLe
métier a malheureusement de l’avenir. En Suisse, 13% de la population sont malentendants.
Surtout, de plus en plus d’études arrivent à la conclusion que le problème devrait augmenter de
façon significative dans les prochaines années, en raison du vieillissement de la population, de
l’exposition croissante au bruit et de l’utilisation des baladeurs.Aujourd’hui déjà, plus de la moitié
des étudiants aux Etats-Unis présentent des symptômes de déficience auditive, 70% des
Néo-Zélandais de moins de 30 ans et un jeune Français sur cinq. Les médecins estiment aussi
qu’en Italie, un jeune sur trois sera concerné dans les années à venir. «Même s’il est fréquent, ce
handicap est oublié, conclut Isabelle Michel. On pense aux sourds profonds, mais les
malentendants sont aussi concernés. Ce trouble n’est pas visible, on fait comme s’il n’existait
pas… Ce tabou est certainement lié au fait qu’on associe la surdité à l’âge. Mais des jeunes
rencontrent aussi des problèmes.» (TDG)
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5 mars 2016 - 16:43
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Trop de bruit ! Les Français n'en peuvent
plus des nuisances sonores
Neuf français sur dix disent être exposés chaque jour à un bruit
excessif selon une étude
© Fabricio Zuardi / CC / FlickrL a journée nationale de l'audition aura lieu le 10 mars. À cette
occasion, l'association qui organise cette journée a commandité une étude à l'institut
Ifop.PublicitéNeuf personnes sur dix se disent exposées chaque jour à un bruit excessif quelque
soit la durée.Le bruit n'est pas uniquement présent dans la rue ou dans les transports. Les Français
sont également touchés dans les lieux publics (51%), dans les magasins (47%), dans les cantines
ou les restaurants d'entreprises (46%).Impact sur la santéL'exposition au bruit a bien sûr des
conséquences : 94% des Français pensent que l'exposition au bruit a des effets directs sur la
santé.Le risque est plus important pour les ouvriers par exemple qui travaillent au quotidien avec
les nuisances sonores des chantiers (91% des ouvriers interrogés). Mais de manière plus
étonnante, 6 à 8 actifs sur 10 se disent gênés alors qu'ils travaillent généralement dans un bureau
ou en open space.Deux sur trois disent être plus exposés qu'avant . Les personnes interrogées
pensent que le bruit cause de fatigue (74%), perturbe le sommeil (67%), ou génère de l'anxiété
(49%).Mais ils sous-estiment le risque : moins de 1 Français sur 2 a conscience que le bruit peut
générer une surdité définitive ou des acouphènes. Et 7 jeunes sur 10 pensent que le bruit ne fait
pas courir un risque de surdité définitive.L'enquête a été menée auprès d'un échantillon de 1003
personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus. La représentativité de
l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne
interrogée) après stratification par région et catégorie d'agglomération. Les interviews ont été
réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 5 au 9 février 2016.
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4 mars 2016 - 11:04
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04/03 Audition : il n’y a pas que les oreilles
qui souffrent de la pollution sonore
15% des Français seraient affectés par les troubles de l’audition mais aussi, pour 60% d’entre eux,
le bruit impacte leur humeur et génère de la fatigue et de la lassitude. Avec ce sondage, la 19e
édition de la Journée Nationale de l’Audition 2016, le 10 mars prochain, exhorte à une prise de
conscience des effets des nuisances sonores sur la santé. Quels sont-ils?
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7 mars 2016 - 10:20
Journée nationale de l'audition
Le jeudi 10 mars se tiendra la 19e . Pendant cette journée, plusieurs organismes tiendront des
consultations ou des permanences d'information gratuites autour des troubles de l'audition.
Le CHU Charles Nicolle tiendra un stand d'information sur l'audition dans l'anneau central de 10h
à 16h. Des dépistages auditifs sans rendez-vous et gratuits pour les plus de 15 ans y seront
également possible.
Des prothésistes auditifs proposent également pendant cette journée des permanences
d'information.
Pour en savoir plus sur le programme : www.journee-audition.org
Pour plus d'informations et de conseils sur la prévention : www.gerersonaudition.com
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4 mars 2016 - 14:43
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Santé : les Français en ont marre du BRUIT
MAIS POURQUOI DONC AVEZ-VOUS BESOIN DE CRIER ?!
Les Français en ont marre du bruit, de tous les bruits, selon un
sondage réalisé par l'Ifop pour la journée nationale de l'audition, le
10 mars prochain.
Le bruit ne fait pas de bienVous êtes 90 % à ne plus supporter le BRUIT dans les transports
publics, les bars, les restaurants. À tel point que vous vous sentez agressés par tout ce BRUIT
!Vous êtes 79 % à en avoir marre de ces collègues qui crient au bureau, font du BRUIT avec leur
chaise, des machines outils, de la photocopieuse, de la circulation dehors.Vous êtes encore 74 % à
trouver qu'il y a trop de BRUIT à l'école !4 jeunes sur 10 disent que le BRUIT les rend
euphoriques94 % des sondés interrogés par l'Ifop sont également conscients que le BRUIT est
mauvais pour la santé, avec son lot de maux de tête, mais aussi de stress, de fatigue,
d'énervement, sans parler des acouphènes !Résultat, 8 personnes interrogées sur 10 attendent que
les pouvoirs publics agissent, afin de limiter les effets du BRUIT sur le confort et la qualité de
vie.Même les jeunes sont conscients que le BRUIT est néfaste, voire dangereux, alors même que
l'on sait qu'un jeune sur deux écoute trop fort son baladeur MP3.Pourtant, 38% des jeunes
déclarent aussi que le BRUIT les rend... euphoriques! La rave-party n'est pas loin...
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4 mars 2016 - 11:57
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Enquête JNA-Ifop 2016 : Les Français ne
s’entendent plus !
La Journée Nationale de l’Audition se déroulera le 10 mars dans
toute la France, avec pour thématique phare l’impact des nuisances
sonores sur la santé. L ’enquête JNA-Ifop* réalisée pour l’occasion
montre une prise de conscience forte de ce lien chez les Français, qui
attendent désormais une impulsion des pouvoirs publics.
Une écrasante majorité (89%) des Français âgés de 15 ans et plus considère que le bruit
représente aujourd’hui un enjeu de société, qui prend de plus en plus d’ampleur : 2 sondés sur 3
se sentent plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu’auparavant (ce taux monte à 70%
chez les 50-74 ans). Quelle que soit la durée, plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque
jour à un bruit qu’ils jugent excessif. Reste que, comme les précédentes études, l’enquête JNA
-Ifop 2016 souligne les comportements à risques des plus jeunes : « Il y a encore beaucoup de
travail à faire auprès des 15-18 ans », répète l’association JNA, en insistant sur « l’urgence
d’intervenir » et l’importance de multiplier les actions de prévention.L’impact du bruit sur la
santé auditive est souvent sous-estiméSi 94% des Français estiment que le bruit a des effets
directs sur la santé, ses conséquences sur l’audition sont trop souvent minimisées : moins de la
moitié des sondés ont conscience qu’il fait courir un risque de surdité définitive (45%) et qu’il
crée des acouphènes (42%). Par ailleurs, 7 jeunes sur 10 pensent que le bruit ne fait pas courir un
risque de surdité définitive, 38% des 15-17 ans avouent qu’il les « rend euphoriques » et un tiers
d’entre eux pense que l’exposition à des volumes sonores élevés « éduque » leurs oreilles en leur
permettant de s’habituer.Du bruit gênant partout et tout le tempsMême sans troubles auditifs, la
plupart des Français sont particulièrement gênés par le bruit ambiant quand il s’agit de suivre les
conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les transports publics : cela concerne près
de 9 personnes sur 10. Cette problématique est aussi très présente sur le lieu de travail (pour 79%
des sondés en moyenne mais 91% des ouvriers) et à l’école (74%). Dans ce contexte, les Français
légitiment le rôle des pouvoirs publics pour lutter contre le bruit et les nuisances sonores. 85%
estiment qu’une meilleure gestion des nuisances sonores permettrait de bénéficier d’une meilleure
santé et 83% d’éviter une augmentation des risques de surdité.Des spots vidéo pour faire le
buzzLa JNA se met à la viralité avec trois petits films (à voir ci-dessous) visant à diffuser le plus
largement possible un message de prévention axé sur le plaisir auditif durable auprès de tous les
publics: jeunes, actifs et seniors. L’association invite tous les acteurs à les relayer sur leur site
web et les réseaux sociaux. Elle lance également son appli sonomètre gratuite.
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4 mars 2016 - 11:52
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Journée de l'audition. 50% des Français sont
« agressés » par le bruit
« Nous sommes soumis à une pression sonore permanente », assurent
les experts. Un bruit en continu qui joue sur notre santé et « agresse »
un Français sur deux.
Échec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru
de démence : la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la
campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos
oreilles.Les pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantesD’ailleurs, un Français sur
deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le
bruit a des effets directs sur la santé, selon un sondage Ifop publié ce jeudi en vue de la 19e
journée nationale de l'audition (JNA) le 10 mars .Le bruit est aujourd'hui perçu comme une
nuisance, une « pollution sonore » parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire
inexistantes. « La grande différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée »
, observe Sébastien Leroy, de JNA.Une action directe sur la zone la plus sensible de l'oreille
interneAlors qu'il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la
tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Que ce soit
dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile, « nous
sommes soumis à une pression sonore permanente » , constate ainsi le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm.Or cette exposition permanente affecte non seulement l'ouïe
mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL. « Le bruit a une action
directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de l'oreille interne » , explique-t-il, rappelant
que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition.Dans une rue à fort trafic, le bruit
est de l'ordre de 75 à 90 décibelsAinsi à partir de 85/87 décibels (dB) et une exposition variant de
huit heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, « le système auditif souffre et, à long
terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer » . À titre d'exemple, dans une rue
animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux
un bruit allant de 90 à 110 dB.Le Dr Foeillet ajoute que la « lésion s'installe de manière très
insidieuse, sans forcément être perçue immédiatement » . Et, elle est irréversible. Dans les
discothèques où le bruit peut atteindre les 110 décibels et plus, « des dégâts considérables peuvent
intervenir en quelques minutes » , insiste de son côté Martine Ohresser, médecin ORL.Troubles
du sommeil, surpoids et anxiétéLe bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en
agissant sur le système émotionnel. Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au
bruit quotidien comme celles habitant à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment
des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques
comme l'anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.
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5 mars 2016 - 04:32
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Des collégiens sensibilisés aux problèmes
auditifs
Dans le cadre de la journée sur l'audition, le 10 mars, les acteurs de la
santé et de la culture se mobilisent pour sensibiliser le public aux
risques auditifs. Porté par l'association Snark, un concert est
programmé dans le but de sensibiliser des jeunes aux dangers des
musiques amplifiées et de l'environnement sonore pour le système
auditif.
Mardi et mercredi, salle Madeleine Louaintier, 600 collégiens de Sévigné et Jean-Monnet,
souvent peu conscient des risques, ont déjà pu allier théorie et témoignages, en alternant des
extraits de concert et des mesures du son. « Toute l'année nous travaillons sur les risques auditifs
car c'est un indispensable du parcours santé que nous avons mis en place dans nos établissements
», expliquent les enseignants.
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4 mars 2016 - 18:53
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Audition : 9 Français sur 10 exposés à un
bruit jugé excessif
OUÏE – Pour la majorité des Français le bruit impacte directement la
santé auditive. Au travail ou dans les transports, les Français se
sentent agressés par les nuisances sonores.
9 Français sur 10 estiment être, chaque jour, exposés à un bruit excessif. Un chiffre inquiétant car
ils sont aussi 94% à penser que le bruit a un impact négatif sur la santé. Ces résultats sont ceux
d'une enquête JNA-Ifop réalisée à l'occasion de la Journée nationale de l'audition du 10 mars
2016. Parmi les désagréments évoqués : des maux de tête, de l'anxiété, un risque de surdité
définitive et l'apparition des acouphènes. C'est au travail et dans les transports que les personnes
se sentent le plus vulnérables face au bruit. Elles ont également été interrogées sur leurs solutions
pour fuir le bruit au maximum et, pour 85% des sondés, il s'agit de baisser le volume d'écoute de
la musique et de fuir les lieux bruyants (81%).EN SAVOIR + >> L'acouphène, un trouble à ne
pas négligerMais la réglementation ne facilite pas la tâche : le niveau sonore dans les lieux
diffusant "de la musique amplifiée" est limité à 120 décibels (dB) et à une moyenne de 105 dB sur
15 minutes. "Or, à 105 dB, on devrait sortir au bout de cinq minutes pour éviter des lésions ;
au-delà de 85 décibels, c'est potentiellement dangereux pour l'oreille", explique auprès de
metronews le docteur Joël Crevoisier, médecin chef du service de déficience sensorielle à la
Fondation hospitalière Sainte-Marie (Paris). Le problème, c'est que, "physiquement, on ne peut se
rendre compte qu'après que le son est trop fort". Il explique : "Les cellules sensorielles se
dégradent et ne se régénèrent pas. C'est comme pour la peau et le soleil : nous avons un capital et
il faut le préserver. Ce serait dommage de se retrouver dans une situation de handicap toute sa vie,
avec une baisse de l'audition et des acouphènes et sifflements dans les oreilles", poursuit le
spécialiste. Portez des bouchons d'oreilleLe premier conseil, c'est de vous emparer de bouchons
d'oreille. Près d'un jeune sur deux, selon la baromètre Ipsos, y est favorable. Le docteur Crevoisier
devance les objections : "Ça n'altère pas les sensations agréables du son, au contraire, ils
améliorent le confort auditif, parce qu'ils suppriment l'effet de vibration du tympan."L'ennui, c'est
que 44% des jeunes trouvent cette solution ringarde et 38% sans "aucun style". C'est vrai que "les
traditionnelles boules Quies font papi et mamie qui veulent dormir, admet le docteur Crevoisier,
mais il existe des bouchons en mousse aux couleurs flashy qui plaisent aux jeunes". Ne reste plus
qu'à en distribuer gratuitement à l'entrée de tous les concerts et boîtes de nuit. Éloignez-vous des
enceintesLe deuxième conseil est tout aussi simple : c'est de prendre vos distances. "Il ne faut pas
avoir les oreilles dans les enceintes", précise le spécialiste. Une recommandation que 52% des
jeunes interrogés en 2012 pour la JNA avait déjà entendue. On attend les travaux pratiques !
Faites des pauses musicalesEnfin, comme au volant, aménagez-vous des temps de repos. "Sur un
long concert ou en boîte de nuit, sortez toutes les heures à l'extérieure pour permettre à vos
oreilles de faire une pause." Un conseil pour l'écoute de musique en dehors de ces sorties
musicales et festives : ce principe de temps de récupération quotidien, connu par 24% des jeunes
et 39% des parents, consiste à s'aménager dans la journée des périodes où l'on est exposé à un
bruit minimum.Et pour les trois jeunes sur cinq qui, lorsqu'ils ont déjà ressenti des troubles de
l'audition, attendent que ça passe, n'hésitez pas à en parler à votre ORL.EN SAVOIR +>> 3
conseils pour utiliser votre baladeur sans abîmer vos oreilles>> Astuce geek : limitez le volume
de la musique sur votre smartphone>> Audition : "Tout le monde est fragile">> Un Français sur
deux n'a jamais fait de test auditif>> L'obésité entraîne une perte de l'audition>> Si vous ne
pouvez pas consulter le document ci-dessous, cliquez ici
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4 mars 2016 - 11:17
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Nuisances sonores : les impacts sur notre
santé
Fatigue, anxiété, maux de tête… Le bruit n’impacte pas seulement
nos oreilles, nous révèle une enquête de l’Ifop réalisée avec
l'association de la Journée Nationale de l’Audition.
"Le bien ne fait pas de bruit, et le bruit ne fait pas de bien" dit l’adage. Transports en commun,
rues, cafés et restaurants, cantines d’entreprise, open spaces, écoles, crèches, magasins…
Aujourd’hui, le bruit nous entoure partout et à tout âge.D'après une enquête Ifop réalisée avec
l'association JNA-Journée Nationale de l’Audition*, deuxFrançais sur trois s'y sentent plus
exposés quotidiennement qu'auparavant et neuf sur dix estiment que ces nuisances sonores sont
un enjeu majeur de société. Effectivement, "à partir de 85 à 87 décibels, le système auditif souffre
, rappelle le Dr Pascal Foeillet, ORL. Sur le long terme, u n fort volume sonore provoque des
lésions insidieuses et irréversibles." 94% des Français interrogés dans l'enquête sont d'ailleurs
conscients que le bruit a des effets directs sur leur santé.Les nuisances sonores favorisent les
acouphènesPour 74% des participants au sondage, les nuisances sonores fatiguent.Pour 67%, elles
perturbent le sommeil.Pour 53%, elles sont à l’origine de maux de tête et de migraines.Pour 49%,
elles amènent l’anxiété.Pour 45 %, elles entraînent des risque de surdité définitive.Enfin pour
42%, elles favorisent les acouphènes."Les systèmes émotionnel et lymphatiques, tout comme le
système neurovégétatif, sont impactés en cas de nuisances sonores, argue le spécialiste. P ar
exemple, l es personnes qui vivent à côté des aéroports sont souvent victimes d’hypertension et
d’anxiété à cause de l’agression du bruit."
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PAYS : France
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4 mars 2016 - 12:26
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Le bruit nous casse les oreilles
Pour 89% des Français, le bruit devient un vrai problème de société,
voire de santé publique. Un sondage montre qu'on se sent carrément
agressé par le bruit.
Baisse le son ! C'est sans doute ce qu'on serait de plus en plus tenté de dire à en croire l'étude Ifop
2016 commandée pour la Journée nationale de l'audition du 10 mars 2016.Désormais ce sont
près de 2 Français sur 3 qui se sentent exposés au bruit , et c'est plus qu'avant.Mais cette
exposition au bruit est aussi plus fréquente aussi puisque pour 9 Français sur 10, cette gêne est
désormais quotidienne .Or pour la plupart d'entre nous, le bruit excessif est une source non
seulement de nuisance mais aussi une cause de vrai problème de santé , puisque :- 53 % des
personnes interrogées pensent que le bruit créé des maux de tête- 49 % assurent que le bruit peut
générer de l'anxiété- 45 % disent que le bruit peut aussi être source de surdité définitive (en
revanche 70 % des jeunes pensent que le bruit ne fait pas courir de risque de surdité définitive)42 % estiment que le bruit crée des acouphènes ( des sifflements dans l'oreille)Dans les transports,
au travail, en concert, dans les restaurants.... ou même à l'école, le bruit semble nous cerner et
avoir un impact sur notre santé. Et, d'après les diverses études, menées chaque année pour la
Journée nationale de l'audition, le problème de l'audition des jeunes va grandissant. Au point
que 8 jeunes sur 10 de 15 à 17 ans disent avoir du mal à suivre une conversation à l'école!
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PAYS : Réunion
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6 mars 2016 - 18:49
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Les bruits du quotidien nuisent gravement à
la santé des oreilles
TweetNos organes auditifs sont constamment confrontés à une pression sonore. Le bruit est
aujourd’hui considéré comme une nuisance pouvant entraîner une surdité.Dans la rue, dans les
transports en commun, au bureau ou encore au restaurant et même à domicile, les bruits
envahissent notre quotidien. Attention, ils peuvent causer une perte auditive qui touche tous les
âges.50% des Français agressés par les bruitsL’association JNA cible les bruits du quotidien qui
détériorent la santé de nos oreilles. La perte auditive est aujourd’hui un fléau qui affecte tous les
âges et sous des manifestations différentes comme l’échec scolaire, les difficultés de socialisation
ou encore une carrière professionnelle contrariée. D’après un sondage publié en vue de la 19e
journée nationale de l’audition (JNA) le 10 mars prochain, un Français sur deux se dit agressé
par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix ont indiqué que le bruit affecte
directement la santé .Une "pollution sonore"Les pauses silencieuses n’existent presque plus de
nos jours, car le bruit est perçu comme une nuisance, une "pollution sonore". D’après les
observations de Sébastien Leroy, de JNA cité par 20 Minutes , "la grande différence est
qu’autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée" . Les jeunes sont les plus exposés au
danger, car ils ne se séparent pas de leur casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder
des vidéos ou masquer le bruit des autres.Des effets sur le système émotionnelEn plus d’affecter
l’ouïe, cette exposition sonore permanente nuit à la santé en général, précise Pascal Foeillet,
médecin ORL. "Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de
l’oreille interne" , a-t-il expliqué. À partir de 85/87 décibels et une exposition de huit heures à
quelques minutes en fonction de l’intensité du bruit, le système auditif en pâtit et, à long terme,
des troubles auditifs ou des acouphènes s’implantent. Dans un cadre plus général, le bruit agit sur
le système émotionnel.Je réagis! Tweet
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4 mars 2016 - 08:46
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La journée nationale de l'audition
La Santé près de chez vousA l'occasion de la journée nationale de l'audition, le CHU de
Toulouse organise ce jeudi des dépistages auditifs gratuits et des conférences à l'hôpital Paul
Riquet. Six docteurs et spécialistes seront présents pour animer quatre conférences sur les
perspectives professionnelles pour les enfants malentendants, les risques liés au bruit et la façon
dont on peut s'en protéger, et la surdité chez les personnes âgées. Des risques importants à
connaître, alors que 5 millions de Français souffrent de troubles auditifs ou d'acouphènes.Jeudi 10
mars de 14 h 30 à 19 heuresHôpital Pierre-Paul RiquetService des consultations d'ORL du CHU
de Toulouse
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5 mars 2016 - 18:22
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Acouphène, insomnie... Les nuisances sonores
abîment notre santé !
Publié le 03/03/2016 à 17:37 , Mis à jour le 04/03/2016 à 11:24 Fatigue, anxiété, maux de tête…
Le bruit n’impacte pas seulement nos oreilles, nous révèle une enquête de l’Ifop réalisée avec
l'association de la Journée Nationale de l’Audition. "Le bien ne fait pas de bruit, et le bruit ne
fait pas de bien" dit l’adage. Transports en commun, rues, cafés et restaurants, cantines
d’entreprise, open spaces, écoles, crèches, magasins… Aujourd’hui, le bruit nous entoure partout
et à tout âge. D'après nuisances sonores sont un enjeu majeur de société. Effectivement, "à partir
de 85 à 87 décibels, le système auditif souffre, rappelle le Dr Pascal Foeillet, ORL. Sur le long
terme, un fort volume sonore provoque des lésions insidieuses et irréversibles." 94% des Français
interrogés dans l'enquête sont d'ailleurs conscients que le bruit a des effets directs sur leur santé.
Les nuisances sonores favorisent les acouphènes Pour... A lire aussi
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4 mars 2016 - 12:38
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Journée de l’audition. 50% des Français sont
« agressés » par le bruit
« Nous sommes soumis à une pression sonore permanente », assurent les experts. Un bruit en
continu qui joue sur notre santé et « agresse » un Français sur deux. Échec scolaire, difficultés de
socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru de démence : la perte auditive
est un fléau à tous les âges, souligne l’association JNA dont la campagne de prévention 2016
cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles. Les pauses...Lire la suite ›
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4 mars 2016 - 11:23
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Pollution sonore : 90% des Français dérangés
par le bruit
Un sondage JNA-Ifop révèle notamment que plus de 9 Français sur 10 apparaissent victimes de
la pollution sonore, et une proportion semblable d'estimer que le bruit est mauvais pour la santé.
Le 10 mars prochain se tiendra la Journée Nationale de l'Audition. L'occasion pour ainsi dire
parfaite d'alerter sur les dangers de la pollution sonore , et c'est justement là le sujet de l'enquête
de JNA-Ifop dont les conclusions nous sont révélées aujourd'hui. On apprend notamment que
plus de 9 Français sur 10 se disent agressés par un bruit jugé excessif. Deux tiers des sondés ont
d'ailleurs indiqué se sentir plus exposés à la pollution sonore que par le passé. Les lieux où le
bruit apparaît le plus dérangeant sont les transports publics, les bars et les restaurants (90%),
suivis par le lieu de travail (79%) et l'école (74%). 21% des Français disent s'en sentir agressés à
leur domicile. 94% des Français conscients des dangers de la pollution sonore La pollution sonore
observée dans ces lieux est telle pour les personnes interrogées qu'elle leur empêche de tenir le fil
d'une conversation. 80% des sondés parlent même d'agression au travail et dans les transports.
Comme le rapporte Actu Santé , une large majorité de Français (94%) est consciente des
conséquences néfastes que peut avoir un bruit excessif sur la santé . 38% des jeunes sur 10 rendus
euphoriques par le bruit La plupart d'entre eux (74%) estiment que la pollution sonore engendre
de la fatigue, 67% qu'elle favorise des troubles du sommeil, 53% des migraines, 49% de l'anxiété,
quand 45% des sondés pensent que le bruit excessif entraîne une surdité définitive et 42% des
acouphènes. Au niveau des jeunes âgés de 15 à 17 ans, le bruit à l'école apparaît dérangeant pour
près de 80% d'entre eux et 58% considèrent qu'ils le subissent sans pouvoir réagir. Ils sont 70% à
penser que la pollution sonore ne conduit pas à une surdité définitive et 38% des jeunes ont même
reconnu que le bruit excessif les mettait dans un état d'euphorie. Rappelons qu'une étude parue en
fin d'année dernière avait établi un lien entre pollution sonore et troubles physiques et
psychologiques chez les personnes exposées, comme des troubles de l'humeur et des soucis de
concentration.
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4 mars 2016 - 16:21
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Journée mondiale de l'audition: les Français
ne s'entendent plus (VIDEO)
Une majorité de Français souffre de la pollution sonore selon un
nouveau sondage réalisé en vue de la Journée nationale de
l'audition du 10 mars prochain. Au total, un Français sur deux se sent
agressé quotidiennement par le bruit au travail et dans les transports.
Les Français en ont marre du bruit et le font savoir. Selon un sondage JNA/Ipsos , réalisé en vue
de la Journée nationale de l'audition le 10 mars prochain, un Français sur deux se dit agressé
quotidiennement par le bruit (au travail ou dans les transports par exemple) tandis que neuf sur
dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé. Ainsi, ils sont 43% à estimer que le bruit
crée des maux de tête, 49% à penser qu’il génère souvent de l’anxiété, 45% qu’il fait courir un
risque de surdité définitive et 42% qu’il crée des acouphènes.Afin de prévenir la déficience
auditive, les sondés sont plutôt unanimes. Pour 85% d'entre eux, il est nécessaire de limiter le
volume d’écoute de la musique et fuir les lieux bruyants (81%). En parallèle, deux autres actions
nécessitant plus de volontarisme ont également recueilli des scores importants: faire des pauses
auditives, hors du bruit (62%) et limiter le temps d’écoute de la musique (59%). Selon
l'association JNA, à l'origine du sondage, les durées hebdomadaires d’écoute ne doivent pas
dépasser: 20 heures à 93 dBA (baladeur, auto-radio), 4 heures à 100 dBA (baladeur à volume
maximum) ou encore 2 heures à 103 dBA (discothèque).Du côté des jeunes, le bilan est plus
contrasté. Au total, 7 jeunes sur 10 vont jusqu’ à penser que le bruit ne fait pas courir un risque de
surdité définitive tandis que près de 40% des 15-17 ans avouent que ça les rend euphoriques.
Dans cette même tranche d'âge, un jeune sur trois pense que le bruit éduque son oreille. Afin de
les alerter sur les risques encourus face à une trop forte exposition au bruit, l'association JNA, a
pris les devant en publiant récemment plusieurs spots TV.(Voir ci-dessous l'un des spots TV):
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4 mars 2016 - 11:42
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Les oreilles des Français en état d’urgence
Alors que se profile la Journée Nationale de l’Audition le 10 mars
prochain, une enquête de JNA/IFOP revèle que pour 9 Français sur
10, le bruit représente un véritable enjeu de société. Plus grave, il
aurait aussi des effets directs sur notre santé.
Publié le 04/03/2016 | 11:39, mis à jour le 04/03/2016 | 11:39Une écrasante majorité de Français
âgés de 15 ans et plus (89%) considère que le bruit représente un enjeu de société. Cet enjeu
prend de l’ampleur avec près de 2 Français sur 3 qui se sentent davantage exposés au bruit dans
leur vie quotidienne qu’auparavant. Ce taux a tendance à monter à 70% auprès de populations
âgées de 50-74 ans.La quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a des effets
directs sur la santé. Quelle que soit la durée, plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque
jour à un bruit qu’ils jugent excessif. Enfin, plus de 8 personnes sur 10 attendent une impulsion
des pouvoirs publics afin qu’ils prennent mieux en compte l’impact du bruit et des nuisances
sonores sur leur santé.Le rapport des jeunes avec le bruitLes 15- 34 ans confirment que le bruit est
bien un enjeu de société qui agit sur la santé et qu’une action des pouvoirs publics serait
bénéfique. Avec une particularité : l’idée d'une réduction de l'impact du bruit pour réduire les
risques auditifs est plus fortement exprimée chez les jeunes que chez leurs aînés.Cette enquête fait
aussi apparaître d’autres spécificités chez les jeunes :8 jeunes sur 10, de 15 à 17, ans disent avoir
du mal à suivre une conversation à l’école.58% de cette même tranche d’âge ont le sentiment de
subir le bruit sans rien pouvoir faire.81% des 18-35 ans sont gênés par le bruit sur leur lieu de
travail.
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4 mars 2016 - 15:39
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Sondage : un Français sur deux se sent
agressé par le bruit
Selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19ème journée nationale de l'audition, un
Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports. Ce bruit qui est de
plus en plus présent dans notre quotidien peut entraîner des problèmes de santé. Un Français sur
deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le
bruit a des effets directs sur la santé, selon un sondage Ifop* publié jeudi, en vue de la 19ème
journée nationale de l'audition(JNA) le 10 mars. Au total, 51% des personnes interrogées se
sentent "agressées souvent ou très souvent" par le bruit dans les lieux publics. Dans le détail, 50%
d'entre elles le sont sur leur lieu de travail. Les ouvriers sont naturellement les plus touchés par
l'environnement sonore : 91% d'entre eux disent ne pas arriver a suivre une conversation en raison
du bruit ambiant. Derrière les ouvriers ce sont les personnes travaillant en bureau ou en "open
space" les plus gênées (six à huit actifs sur dix). À la clé : fatigue, maux de tête et anxiété En
dehors des lieux de travail, c'est dans la rue et les transports communs que les sondés se sentent le
plus agressés (48%). Viennent ensuite les écoles (40%) et le domicile des personnes interrogées
(21%). Une large part du sondage est également consacrée aux risques qu'entraîne l'exposition au
bruit. Environ trois quarts des personnes interrogées estiment qu'elle entraîne de la fatigue, 67%
estiment qu'elle perturbe le sommeil, 53% qu'elle crée des maux de têtes, 49% qu'elle génère
l'anxiété, 45% qu'elle peut entraîner un risque de surdité définitive. 42% estiment que le bruit crée
des sifflements et des bourdonnements. * Un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la
population française âgée de 15 ans et plus a été interrogé entre les 5 et 9 février derniers.
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4 mars 2016 - 11:53
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Journée mondiale de l'audition : 1 Français
sur 2 agressé par le son
Une enquête parue à l'occasion de la Journée mondiale de l'audition,
le 3 mars, vient de révéler les effets des nuisances sonores sur la santé
et le sommeil des Français. Selon un sondage JNA/Ipsos, le bruit
dans les transports et au travail affecterait 9 personnes sur 10. 94%
des sujets interrogés considèrent, quant à eux, que le bruit a des effets
sur leur santé. Parmi eux, 53% jugent les nuisances sonores
responsables de maux de tête, 45% estiment qu'elles peuvent
entraîner un risque de surdité à vie et 42% pointent du doigt les
acouphènes .Des chiffres qui inquiètent et qui mettent en avant les conséquences directes du bruit
au quotidien sur la santé, mais également sur le sommeil. Un Français sur 3 se dit perturbé dans
son sommeil à cause du bruit qui l'entoure, contre un Français sur 4 dans la journée. En 2013,
l'Institut national de veille sanitaire avait déjà évoqué les effets nuisibles du bruit au cours du
sommeil. La qualité des nuits étant altérée, les personnes dormant mal pendant un long moment
sont sujettes à l'anxiété et au stress, et deviennent plus irritables avec leur entourage.Outre leur
sommeil perturbé, notamment à cause des voitures, 50 % des Français sondés se sentent agressés
par le bruit sur le lieu de travail. Pour 48 %, les transports en commun sont responsables des
nuisances sonores. Ainsi, 9 personnes sur 10 se sentent gênées lors des discussions dans les
restaurants et dans les transports publics. 46 % des personnes interrogées sont, quant à elles,
agressées par le bruit à la cantine scolaire ou au restaurant d'entreprise.En ce qui concerne les
15-17 ans, l'enquête est tout aussi préoccupante puisque 8 jeunes sur 10 estiment avoir du mal à
suivre une conversation à l'école. Pourtant, 7 jeunes sur 10 pensent que le bruit n'a pas
d'incidences sur un éventuel risque de surdité définitive. Enfin, et plus inquiétant: 38% des
adolescents trouvent que le bruit les rend euphoriques...
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7 mars 2016 - 09:20
Hein ? Quoi ? Comment ? Les Français
n’entendent plus
Suite de notre grand dossier consacré au bruit et plus précisément à la 10ème journée nationale
de l’audition. Pour l’occasion le groupe d’experts de l’association JNA tient à alerter les
autorités sanitaires sur les risques élevés de troubles de l’audition sur une population de plus en
plus jeune mais aussi chez les seniors. Quant aux actifs au travail, ils sont souvent exposés à des
sources sonores élevées et rechignent à porter des protecteurs contre le bruit. Les pratiques
sonores généralisées sont aujourd’hui source de traumatismes et d’usure prématurée des cellules
sensorielles de l’oreille. La surdité est irréversible et évolutive. 1 jeune sur 2 est déjà atteint et les
médecins ORL observent une augmentation des acouphènes, de l’hyperacousie, de surdité
brusque, et de la presbyacousie.
« Seul le bilan de l’audition permet de réaliser une photographie de son capital auditif », explique
le Docteur Pascal Foeillet, médecin ORL et Vice-président de l’association JNA. « Il s’agit là
d’un outil de prévention santé permettant d’expliquer concrètement au patient les mesures
personnalisées à mettre en place ou le cas échéant, les solutions à sa portée pour maintenir la
compréhension de la parole.» Comme dans le cadre de la prévention des risques solaires, nous
pouvons également parler de « capital auditif ».
Dès la naissance, l’être humain est doté de 15 000 cellules sensorielles par oreille. Ces cellules
transmettent les informations au cerveau auditif. Elles sont fragiles et à partir de 20 ans, elles
commencent à s’user naturellement. A 60 ans, l’usure produit une surdité, phénomène appelé
presbyacousie. Toutefois, les pratiques d’écoute de musique, l’absence de réflexes de protection,
l’omniprésence du bruit provoquent leur usure prématurée. A ce jour, il n’est pas possible de les
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7 mars 2016 - 09:20
remplacer. La déficience auditive non traitée peut à tout âge modifier l’état général de santé et
fragiliser les parcours de vie.
3 000 professionnels seront mobilisés ce jeudi 10 mars pour proposer des tests gratuits de
l’audition en France, parmi eux les médecins ORL, les services ORL des centres hospitaliers, les
médecins généralistes, les médecins du travail, les audioprothésistes, les orthophonistes
Où ? journee-audition.org ou N° Azur 0 810 200 219 (prix d’un appel local)
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Le bruit dérange 90% des français
Les français n’en peuvent plus du bruit! 90% d’entre-eux se disent
aujourd’hui victimes de cette pollution sonore qui peut-être lourde de
conséquence sur notre santé. Une écrasante majorité des français âgés
de 15 ans et plus (89%) considère d’ailleurs que le bruit représente un
enjeu de société (Sondage IFOP/JNA 2016 menée auprès d’un
échantillon représentatif de 1003 personnes représentatif de la
population française âgée de 15 ans et plus).
C’est dans 4 jours à peine que va se dérouler la 10ème journée nationale de l’audition. D’ici à
jeudi nous y reviendrons à plusieurs reprises dans le cadre de différents articles. Le premier sujet
que nous consacrons à cette journée est relatif au ressenti des français face au bruit, une pollution
sonore qu’ils ont de plus en plus de mal à supporter si l’on en croit les résultats d’un sondage
IFOP/JNA*. Ainsi 90% des personnes interrogées se présentent aujourd’hui comme des
« victimes » du bruit. Une écrasante majorité des français âgés de 15 ans et plus (89%) considère
également que le bruit représente un enjeu de société.
(Sondage IFOP/JNA 2016 menée auprès d’un échantillon représentatif de 1003 personnes
représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus).
De surcroît, cet enjeu prend de plus en plus d’ampleur avec près de 2 Français sur 3 qui se sentent
plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu’auparavant. Ce taux a tendance à monter à
70% auprès de populations âgées de 50-74 ans.
La quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a des effets directs sur la santé
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dont près de la moitié en sont intimement convaincus (48%).
Quelle que soit la durée, plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à un bruit qu’ils
jugent excessif. Enfin, plus de 8 personnes sur 10 attendent une impulsion des pouvoirs publics
afin qu’ils prennent mieux en compte l’impact du bruit et des nuisances sonores sur leur santé.
La quasi-totalité des Français pensent que l’exposition au bruit a un impact direct sur la santé.
Ainsi, 53 % des personnes interrogées estiment que le bruit crée des maux de tête, 49 % qu’il
génère souvent de l’anxiété, 45 % qu’il fait courir un risque de surdité définitive et 42 % qu’il
crée des acouphènes.
Concernant le diagnostic des effets néfastes du bruit pour les oreilles, les deux tiers des Français
(65 %) pointent conjointement le volume sonore et la durée d’exposition.
Les jeunes aux premières loges… !
Mais saviez-vous que les jeunes étaient aux premières loges ? Alors que la réglementation protège
les oreilles des travailleurs, celles de nos enfants sont en danger imminent. Le système auditif ne
peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite des baladeurs. Il est mondialement établi
que l’oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB, l’exposition sonore devrait
être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas subir de lésions graves de son audition.
A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA rappelle à quel point l’audition des jeunes
est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS, plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France
d’une perte auditive.
Des chiffres qui alertent
49% des jeunes interrogés a déjà ressenti une douleur aux oreilles, dont 21% ressent une douleur
fréquente et durable. Encore plus grave, suite à ces douleurs, 59% des jeunes attend que ça passe
au lieu de consulter, voire même d’en parler. Bien qu’ils annoncent être sensibilisés et informés
sur les risques auditifs, la menace d’un trouble de l’audition leur paraît loin. La conscience des
risques est donc totalement absente. Pour 70% des jeunes interrogés, la crainte de perdre
l’audition arrive bien loin après celle de perdre la vue.
Voir la dernière enquête JNA-IPSOS sur l’audition des jeunes en cliquant ICI
Pourtant la probabilité d’un trouble auditif est aujourd’hui avérée. Dès le plus jeune âge, leur
système auditif est soumis à des expositions sonores élevées : jeux sonores pour enfants, consoles
de jeux, vidéo embarquée, MP3 puis plus tard concerts et discothèques. Une perte auditive est
bien souvent irréversible et évolutive
Il est urgent d’agir!
Selon l’association JNA, le développement d’une vraie politique de prévention constitue un levier
pour améliorer le niveau de santé auditive des Français.
Agir au plus vite permettra de ne pas subir – d’ici quelques années – une perte globale des
facultés auditives des Français, et évitera un risque sanitaire grave.
Les pratiques d’écoute des jeunes d’aujourd’hui entraîneront inévitablement un vieillissement
précoce de leur audition. Il y a lieu de parier que le phénomène de presbyacousie apparaîtra donc
beaucoup plus tôt. « On peut même imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un
senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans » rappelle Jean Stanko, président de l’association JNA.
Panorama de l’audition en France – Les chiffres clés
Au niveau de la population
12 à 15% de la population française serait affectée par les troubles de l’audition.L’OMS estime
que 16% de la population mondiale souffrirait de problèmes d’audition.
1 Français sur 2 est gêné par le bruit la journée et 1 personne sur 5 pendant la nuit (Enquête JNA
– IPSOS – Nuisances sonores – 2011)
Pour 60% des personnes interrogées, le bruit agit sur leur humeur et génère de la fatigue et de la
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lassitude (Enquête JNA – IPSOS – Nuisances sonores – 2011)
1 personne sur 2 touchée par les acouphènes dès les 16-34 ans (Enquête JNA – IPSOS 2014 «
Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »). Environ 16 millions de personnes.
L’exposition sonore est citée comme première cause des acouphènes (Enquête JNA – IPSOS
2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »)
Pour 89% des personnes interrogées, les difficultés auditives impactent la vie sociale (Enquête
JNA – IPSOS 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »)
Chez les jeunes
L’écoute de musique amplifiée et la télévision sont deux sources principales d’exposition au bruit
chez les 13/25ans (70%) (Enquête JNA – IPSOS 2012 «Le capital auditif des jeunes est-il en
danger ? »)
1 jeune sur 3 écoute pendant 2 à 3 heures par jour son MP3 et de la musique amplifiée via son
téléphone mobile, son PC ou sa chaîne Hi-Fi et 2 jeunes sur 3 entre 1 à 2 heures (Enquête JNA –
IPSOS 2012 «Le capital auditif des jeunes est-il en danger ? »)
Chez les actifs
Le trouble de l’audition est la troisième cause de maladie professionnelle en France. (Source
Ministère) http://www.travailler-mieux.gouv.fr/Bruit-en-milieu-de-travail.html
Chez les seniors, 44% des seniors interrogés éprouvent des difficultés de compréhension et ¼ des
vertiges et pertes de l’équilibre (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »)
Chez les seniors
1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre (Enquête JNA – IPSOS 2013 «
Les seniors et l’audition »)
3 seniors sur 5 déclaraient avoir des difficultés à suivre une conversation dans le Bruit (Enquête
JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »)
La perte de l’audition concerne 40% des 60-70 ans et plus de 50% des plus de 80 ans. Pour
autant, seulement 32% déclarent avoir réalisé un contrôle de leur audition il y a moins de 5 ans, et
52% ont effectué un test il y a plus de 10 ans ou jamais. (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les
seniors et l’audition »)
Bien que 93% des seniors interrogés accepteraient de s’équiper en aides auditives (Enquête JNA
– IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »), seulement 34% des personnes ayant besoin
d’appareillage le sont réellement.
Le prix et le manque de visibilité sur la question du prix sont les deux freins pour s’équiper en
aides auditives. (Enquête JNA – IPSOS 2013 « Les seniors et l’audition »)
Seniors et dépendance
Selon la synthèse du débat national sur la dépendance, de juin 2011, la dépendance représentait
8% de la population des plus de 60 ans. Compte tenu des prévisions démographiques, le groupe
de travail envisage une forte hausse des personnes dépendantes de 2025 à 2060. Les plus de 80
ans passeraient de 3 millions en 2007 à 6,1 millions en 2035. Pour l’hypothèse intermédiaire et le
scénario démographique central de l’Insee, les projections montrent une augmentation de 35% de
la population âgée dépendante à l’horizon 2030 et un doublement en 2060.
Par ailleurs, selon les estimations de l’OMS, compte tenu du vieillissement des populations, la
démence sénile va augmenter jusqu’en 2050. La mise en place de stratégie de compensation des
déficiences sensorielles auditives peut permettre une diminution et un retardement de cet effet du
vieillissement.
Les enjeux de la santé auditive en France
La moindre déficience auditive non traitée déséquilibre le parcours de vie des individus ; quelle
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que soit la tranche d’âge considérée:
Chez l’enfant =>trouble du langage et des apprentissages => échec scolaire => impacts sur qualité
de vie et vie familiale => risques élevés de difficultés d’intégration sociale et de « décrochage
social » => coût de l’accompagnement médico-social
Chez l’adulte => dégradation de l’état général de santé et impacts psychologiques => altération de
la qualité de la vie sociale et professionnelle => risques élevés d’accidents du travail ;
augmentation des coûts santé ; des coûts sociaux et impacts sur la cellule familiale (rupture
familiale = risque de dépression ; perte d’emploi ; appauvrissement économique= précarité)
Chez les seniors retraités => modification des comportements ; impacts psychologiques ; risques
accrus d’isolement social ; accélération des effets du vieillissement, accélération du déclin
physique et cognitif ; risques de chute accrus => augmentation des coûts santé et impacts sur la
cellule familiale.
Chez les seniors du grand âge =>aggravation du déclin cognitif et physique => perte rapide
d’autonomie ; risques élevés de chute ; difficulté d’accompagnement de la personne par les
professionnels de santé et les aidants familiaux => coûts santé élevés et impacts sur la cellule
familiale.
Ces incidences sont aujourd’hui démontrées par les différentes études menées par les équipes de
recherche américaines (Etudes du Pr. Frank Lin) et françaises (Etude de l’équipe du Dr Hélène
Amieva à Bordeaux)
Les cercles vertueux macro et micro-économiques d’une politique cohérente de santé
auditive
Au niveau macro-économique, la santé auditive est un élément clé pour agir :
Sur l’état général de santé de la population française et tout particulièrement au grand âge
Sur les finances de santé publique. Réduction des coûts collectifs de santé Réduction des coûts
sociaux
Sur la richesse individuelle et collective, la compétitivité internationale et la production de PIB
Au niveau micro-économique, la santé auditive est un élément clé de lutte contre la
fragilisation des parcours de vie à tous les âges :
Le niveau général d’éducation
La limitation des risques de décrochages scolaires et professionnels
La limitation des risques d’éclatement de la cellule familiale et du réseau social
Amélioration de la qualité de vie
Amélioration du vieillissement positif et report de la perte de l’autonomie – Amélioration des
politiques de Bientraitance En matière de santé publique, les dernières années de vie sont les plus
coûteuses
Plus d’infos sur http://www.journee-audition.org/
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4 mars 2016 - 13:45
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Audition : bruit au travail, comment s'en
protéger ?
Il n’est pas facile de subir les effets nocifs pour la santé d’un métier
que l’on aime. C’est le cas des métiers rendus bruyants par
l’environnement dans lequel se situe le poste de travail, en particulier
lorsque ce bruit provient de machines et d’outils spécifiques. Or, il est
possible de contourner ces inconvénients majeurs, sans sacrifier à la
qualité … et sans démissionner!
Pour en savoir plus, le site de la Journée Nationale de l’Audition (le 10 mars):
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Trouble de l'audition : limiter la perte
auditive chez les seniors
Le vieillissement favorise l’apparition de la presbyacousie, un trouble
lié à l’âge mais aussi à des agressions subies tout au long de
l’existence ayant à terme un impact sur l’audition, telles que la prise
de médicaments, diverses pathologies, et de fréquentes expositions au
bruit. Il est possible pour les Seniors de limiter la perte d’audition
grâce à des conseils simples et efficaces… sans se couper du monde!
Pour en savoir plus, le site de la Journée Nationale de l’Audition (le 10 mars):
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Bruit : un Français sur deux est gêné au
quotidien
• Santé
• Société
Un sondage révèle que les Français souffrent de la pollution
sonore. Ils connaissent les risques, mais n’ont pas toujours les
bons réflexes, surtout les jeunes
Une enquête JNA-Ifop réalisée en vue de la Journée nationale de l’audition, le 10 mars
prochain, révèle que plus de neuf Français sur dix se disent exposés quotidiennement à un bruit
qu’ils jugent excessif. Et la situation ne semble pas aller dans le bon sens, alors que deux tiers
d’entre eux déclarent se sentir plus exposés qu’avant. Les personnes interrogées se sentent gênées
dans les transports publics, les bars et les restaurants (90 %), au travail (79 %) et à l’école (74 %).
Ils déclarent y ressentir des difficultés à suivre des conversations. Plus grave, la moitié des sondés
se sent réellement agressés dans les transports et au travail. Les Français bien informés dans
l’ensemble Globalement conscients des enjeux, ils sont 94 % à penser que le bruit est néfaste pour
la santé. Ils savent également que le bruit peut causer des maux de tête, générer de l’anxiété,
engendrer des acouphènes ou mener à la surdité. Chez les jeunes âgés de quinze à dix-sept ans, le
bilan est plus contrasté. S’ils sont presque huit sur dix à se plaindre du bruit à l’école, et 58 % à
avoir le sentiment de subir le bruit sans n’y pouvoir rien faire, ils sont en revanche sept sur dix à
estimer qu’il ne suffit pas à provoquer une surdité définitive. Pire, 38 % avouent que le bruit les
rend euphoriques ! Il faut s’entendre sur les risques Une étude (1) parue fin 2015 avait fait
nettement apparaître que les personnes les plus exposées à la pollution sonore sont plus sujettes à
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certains troubles physiques et psychologiques : troubles de l’humeur (irritabilité, nervosité, sautes
d’humeur), insomnies et troubles du sommeil, problèmes de concentration et maux de tête. Source
: pourquoidocteur.fr
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Pollution sonore : oui, le bruit rend fou!
Vue d'une portion du périphérique parisien, le 4 janvier 2014 Photo
de Bertrand Guay - AFP/Archives? 2015 AFP
Échec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, risque accru de
démence : la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association JNA, dont la
campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
"nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm.
D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports, et
neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé, selon un sondage Ifop publié
hier en vue de la 19e journée nationale de l'audition(JNA), le 10 mars.
Manque de silence
Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution sonore" parce que les pauses
silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent
jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer
le bruit des autres. Or cette exposition permanente affecte non seulement l'ouïe mais encore la
santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL.
"Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de l'oreille interne",
explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition. Le bruit a
en outre des effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système émotionnel.
Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au bruit quotidien comme celles habitant
à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment des maladies cardiovasculaires, des
pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques comme l'anxiété voire la dépression.
Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.
Dans les bureaux en "open space", le bruit généré par les conversations, les sonneries des
téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être "hyper concentrés" pour
rester efficaces. À l'école, enfin, le bruit se traduit par un déficit d'attention.
Décibels, attention danger
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À partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon
l'intensité du bruit, "le système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des
acouphènes vont s'installer".
À titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les
sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB. Dans les discothèques où le bruit
peut atteindre les 110 décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques
minutes", insiste Martine Ohresser, médecin ORL.
À l'occasion de la 19e journée de l'audition, la JNA va diffuser trois spots de prévention visant les
jeunes, les actifs et les retraités avec trois messages : "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses
régulières"; "je fais faire un bilan régulier de mon audition".
L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d'un milliard de jeunes dans
le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de la musique trop forte.
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4 mars 2016 - 11:21
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Journée Nationale de l'Audition
Nous vivons dans un monde de plus en plus bruyant… et nos oreilles
dans tout ça?
Dans le cadre de la Journée Nationale de l'Audition, la ville organise tout au long de la semaine
des actions de sensibilisation et d’information appuyées par des professionnels de l’audition
:mardi 8 mars de 14h30 à 16h30 : temps de rencontre autour des appareils auditifs et du
remboursement par les mutuelles résidence Yvonne Feuillard.jeudi 10 mars de 10h à 13h : film et
animation autour de l'audition au Marché du Centre ville.vendredi 11 mars à partir de 19h :
sensibilisation lors d'un concert au Conservatoire.du 7 au 11 mars à l'Espace Santé Jeunes et au
Bureau Information Jeunesse
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Santé : 2 Français sur 3 sont exposés au bruit
avec des risques de surdité
Une enquête de JNA-ifop réalisée sur les nuisances sonores a démontré que 2 personnes sur 3 en
France sont plus exposées au bruit chaque jour qu’elles ne l’étaient avant. Elle révèle également
que le phénomène va croissant avec des conséquences irréversibles sur la santé.
En France, le nombre de personnes exposées au bruit augmente de plus en plus selon l’enquête
JNA-Ifop sur les nuisances sonores. Cette étude a démontré que le volume général du bruit a
augmenté. Selon Sébastien Leroy, directeur de l’enquête JNA-Ifop 2016, tous les Français sont
touchés, quel que soit leur âge. Mais, le phénomène a augmenté de 70 % chez les individus ayant
entre 50 et 74 ans.
Exposer au bruit partout
Tous les enquêtés ont affirmé qu’ils sont agressés en permanence par le bruit partout, que ce soit à
l’école, dans les transports publics, dans les lieux de travail ou les lieux publics, etc. Ils ont
précisé que le niveau de bruit aujourd’hui est encore plus important qu’autrefois. L’enquête révèle
aussi que des zones de repos sont aujourd’hui des zones sonores à l’exemple des foyers ou des
lieux de travail tel que l’a confirmé 81 % des personnes interrogées. Au niveau des foyers, on
observe une juxtaposition des bruits comme mettre de la musique ou la télévision pour couvrir le
bruit que fait le voisin) confirmant la thèse de l’augmentation du volume sonore.
Impact du bruit sur la santé
Les résultats de l’étude révèlent que 40 % des personnes âgées de 15 à 18 ans comprennent
difficilement les conversations à l’école. Le docteur Pascal Foeillet, médecin ORL, justifie ce
comportement en énumérant les 2 conséquences du bruit sur la santé. Selon ce membre de
l’association JNA, le bruit dans une certaine intensité ou une certaine durée agit directement sur
le système auditif de l’homme et entraine des acouphènes ou la surdité.
Il agit aussi sur le système physiologique pour donner des maux de tête, l’hypertension, le stress,
l’anxiété, les troubles de sommeil, les maladies cardiovasculaires et des syndromes dépressifs. Ce
médecin précise que l’intensité compte, mais également la durée d’exposition. Une personne
exposée à des bruits de 80 à 90 décibels assez souvent court les mêmes risques que celui qui est
exposé à un volume sonore excessif à un moment précis.
Les jeunes : les plus exposés
Les jeunes sont les plus exposés à cause de leur mode de vie selon le docteur Pascal Foeillet. Ils
travaillent dans des open space, ils vont à des concerts, ils écoutent de la musique avec un casque,
etc. Le médecin fait remarquer que les conséquences commencent par se faire ressentir à partir de
35 ou 40 ans et ces dégâts sont malheureusement irréversibles. « La seule chose qui peut être
traite, c’est une surexposition exceptionnelle à un bruit exceptionnel. Dans ce cas, on retrouve son
ouïe d’origine petit à petit. Pour le reste, c’est perdu à jamais » conclut Pascal Foeillet.
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4 mars 2016 - 11:29
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Pollution sonore : 90% des Français dérangés
par le bruit
Par , publié le 04 mars 2016 à 11h03 | modifié le 04 mars 2016 à 11h05 >> Le 10 mars prochain
se tiendra la Journée Nationale de l'Audition. L'occasion pour ainsi dire parfaite d'alerter sur les
dangers de la pollution sonore , et c'est justement là le sujet de l'enquête de JNA-Ifop dont les
conclusions nous sont révélées aujourd'hui. On apprend notamment que plus de 9 Français sur 10
se disent agressés par un bruit jugé excessif. Deux tiers des sondés ont d'ailleurs indiqué se sentir
plus exposés à la pollution sonore que par le passé. Les lieux où le bruit apparaît le plus
dérangeant sont les transports publics, les bars et les restaurants (90%), suivis par le lieu de travail
(79%) et l'école (74%). 21% des Français disent s'en sentir agressés à leur domicile. 94% des
Français conscients des dangers de la pollution sonore La pollution sonore observée dans ces
lieux est telle pour les personnes interrogées qu'elle leur empêche de tenir le fil d'une
conversation. 80% des sondés parlent même d'agression au travail et dans les transports. Comme
le rapporte Actu Santé , une large majorité de Français (94%) est consciente des conséquences
néfastes que peut avoir un bruit excessif sur la santé . 38% des jeunes sur 10 rendus euphoriques
par le bruit La plupart d'entre eux (74%) estiment que la pollution sonore engendre de la fatigue,
67% qu'elle favorise des troubles du sommeil, 53% des migraines, 49% de l'anxiété, quand 45%
des sondés pensent que le bruit excessif entraîne une surdité définitive et 42% des acouphènes.
Au niveau des jeunes âgés de 15 à 17 ans, le bruit à l'école apparaît dérangeant pour près de 80%
d'entre eux et 58% considèrent qu'ils le subissent sans pouvoir réagir. Ils sont 70% à penser que la
pollution sonore ne conduit pas à une surdité définitive et 38% des jeunes ont même reconnu que
le bruit excessif les mettait dans un état d'euphorie. Rappelons qu'une étude parue en fin d'année
dernière avait établi un lien entre pollution sonore et troubles physiques et psychologiques chez
les personnes exposées, comme des troubles de l'humeur et des soucis de concentration. Crédits
photos : Adisorn Saovadee/Shutterstock.com
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Un cours pour entendre avec les yeux
Rasez vos moustaches, abandonnez foulards et cols roulés, renoncez aux chemises flashy et aux
colliers compliqués! Pour qu’on puis se lire sur vos lèvres, il faut montrer votre visage et éviter
tout ce qui pourrait réduire la concentration. Deuxième leçon: pour comprendre votre
interlocuteur, il faut se mettre bien en face de lui et regarder… ses lèvres. Evident? En réalité, les
personnes entendantes fixent instinctivement les yeux et, pour changer d’habitude, il faut dépasser
une certaine gêne. Ces conseils sont délivrés par Isabelle Michel, enseignante en lecture labiale.
En Suisse roman de, vingt-trois personnes exercent comme elle cette activité. Ce métier revient de
loin: il y a deux ans, il ne restait que six professionnelles. La formation, qui n’a plus été dispensée
durant quinze ans, a repris en 2014 (lire ci-contre). Les nouvelles venues, d’horizons divers, sont
toutes des femmes. Elles recevront leur diplôme le 10 mars, lors de la Journée nationale de
l’audition.
«L’appareillage auditif ne règle jamais complètement les problèmes d’audition»
«L’appareillage auditif ne règle jamais complètement les problèmes d’audition, la lecture labiale
est un complément pour communiquer aisément», plaide Isabelle Michel. Dans cet apprentissage,
vous découvrirez que certains sons se confondent. Ne cherchez pas les différences entre le «fe» et
le «ve», entre le «che» et le «je» ou entre le «pe», le «be» et le «me»: elles n’existent pas. Du
coup, seules les personnes les plus aguerries feront la distinction entre «papa» et «maman».
Kangourou, mot illisible
Pour s’en sortir, il faut faire appel au contexte. Ainsi, ne vous étonnez pas qu’on parle de
«chapeau» à la boucherie, il s’agit probablement de «jambon». Dans le désert, optez pour
«chameau». Ces mots s’appellent des sosies. Toute la sub tilité est de les connaître pour jongler
entre eux. Malheureusement, d’autres sont quasi irrepérables. Un exemple? Si, dans un récit sur
l’Australie, un terme vous échappe, il est probablement question de «kangourou».
Pour la majorité des malentendants, ces outils s’ajoutent à ce qu’ils entendent encore, notamment
grâce aux appareils. Le but est d’obtenir une compréhension globale et de mener une vie normale.
En vingt heures, une professionnelle fournit déjà quelques clés. Le reste dépend du talent de
chacun, de sa souplesse mentale ou de sa mémoire. Parfois, seul le dernier mot d’une phrase est
compris instantanément: il faut alors se souvenir des mouvements de lèvres précédents pour
remonter le fil.
La pratique fait le reste. Pour s’exercer, certaines personnes coupent le son de la télévision. Parole
de spécialiste, ça marche! D’ailleurs, des sourds de naissance développent instinctivement ces
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capacités – certains réussissant même à suivre simultanément les mouvements de la glotte. Les
plus talentueux peuvent-ils comprendre une conversation à distance? «C’est certainement en
partie possible, mais l’apprentissage est long et difficile», avertit Valérie Cottet, qui vient elle
aussi de terminer sa formation. Quand ils parlent, certains entraîneurs sportifs mettent d’ailleurs la
main devant leur bouche pour éviter que leur stratégie soit décryptée.
«En Europe, une personne sur six souffre d’un trouble auditif»
Isabelle Michel et Valérie Cottet sont toutes deux infirmières. Ces derniers mois, elles ont
découvert un monde méconnu. «Je n’avais pas conscience qu’il y avait autant de malentendants,
dit la première. En Europe, une personne sur six souffre d’un tel trouble.» Ces personnes ont
tendance à s’isoler et à rester chez elles, pour suit la seconde. Les enseignantes sont d’abord là
pour les accompagner. Leurs cours favorisent les échanges, aident à reprendre confiance et sont
l’occasion de fournir quelques conseils.
Hausse des problèmes
Le métier a malheureusement de l’avenir. En Suisse, 13% de la population sont malentendants.
Surtout, de plus en plus d’études arrivent à la conclusion que le problème devrait augmenter de
façon significative dans les prochaines années, en raison du vieillissement de la population, de
l’exposition croissante au bruit et de l’utilisation des baladeurs.
Aujourd’hui déjà, plus de la moitié des étudiants aux Etats-Unis présentent des symptômes de
déficience auditive, 70% des Néo-Zélandais de moins de 30 ans et un jeune Français sur cinq. Les
médecins estiment aussi qu’en Italie, un jeune sur trois sera concerné dans les années à venir.
«Même s’il est fréquent, ce handicap est oublié, conclut Isabelle Michel. On pense aux sourds
profonds, mais les malentendants sont aussi concernés. Ce trouble n’est pas visible, on fait
comme s’il n’existait pas… Ce tabou est certainement lié au fait qu’on associe la surdité à l’âge.
Mais des jeunes rencontrent aussi des problèmes.» (24 heures)
(Créé: 06.03.2016, 09h41)
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7 mars 2016 - 09:53
Bruit: Un Français sur deux se sent agressé
au travail ou dans les transports
Plus qu’une pollution, c’est mauvais pour la santé. Echec scolaire, difficultés de socialisation,
carrière professionnelle contrariée, voire risque accru de démence : la perte auditive est un fléau à
tous les âges, souligne l’association JNA dont la campagne de prévention 2016 cible les bruits du
quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles. >> A lire aussi: «La première maladie
professionnelle, c’est la surdité» Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au
restaurant, au bureau ou à domicile, « nous sommes soumis à une pression sonore permanente »,
constate le professeur Jean-Luc Puel, directeur de recherche de l’Inserm. Un Français sur deux
agressé par le bruit au travail D’ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l’audition (JNA) le
10 mars. >> A lire aussi: Paris se donne cinq ans pour combattre le bruit Le bruit est aujourd’hui
perçu comme une nuisance, une « pollution sonore » parce que les pauses silencieuses sont
devenues rares voire inexistantes. « La grande différence est qu’autrefois le bruit ne rentrait pas
dans la sphère privée », observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n’est pas rare à présent que des
jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des
vidéos ou masquer le bruit des autres. Des effets sur la santé Or cette exposition permanente
affecte non seulement l’ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin
ORL. « Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de l’oreille
interne », explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l’intensité et à la durée de l’exposition.
A partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon
l’intensité du bruit, « le système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des
acouphènes vont s’installer ». Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en agissant
sur le système émotionnel. Mots-clés
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4 mars 2016 - 11:18
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Le bruit nuit (gravement?) à la santé et aux
oreilles en particulier
Plus qu'une pollution, c'est mauvais pour la santé. Echec scolaire, difficultés de socialisation,
carrière professionnelle contrariée, voire risque accru de démence: la perte auditive est un fléau à
tous les âges, souligne l'association JNA dont la campagne de prévention 2016 cible les bruits du
quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles. >> A lire aussi: «La première maladie
professionnelle, c’est la surdité» Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au
restaurant, au bureau ou à domicile, «nous sommes soumis à une pression sonore permanente»,
constate le professeur Jean-Luc Puel, directeur de recherche de l'Inserm. Un Français sur deux
agressé par le bruit au travail D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail
ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé, selon
un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l'audition (JNA) le 10 mars.
>> A lire aussi: Paris se donne cinq ans pour combattre le bruit Le bruit est aujourd'hui perçu
comme une nuisance, une «pollution sonore» parce que les pauses silencieuses sont devenues
rares voire inexistantes. «La grande différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la
sphère privée», observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent
jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer
le bruit des autres. Des effets sur la santé Or cette exposition permanente affecte non seulement
l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL. «Le bruit a une
action directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de l'oreille interne», explique-t-il,
rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition. A partir de 85/87
décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, «le
système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont
s'installer». Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système
émotionnel. Mots-clés
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3 mars 2016 - 13:50
Les Français ne s’entendent plus
Pour 9 Français sur 10, le bruit représente un véritable enjeu de
société. Plus grave, il aurait aussi des effets directs sur notre santé.
Une écrasante majorité de Français âgés de 15 ans et plus (89%) considère que le bruit représente
un enjeu de société. C’est ce qui ressort de l’enquête réalisée par l’association « Journée
nationale de l’audition ». Journée qui aura lieu le 10 mars prochain.De surcroît, cet enjeu prend
de plus en plus d’ampleur avec près de 2 Français sur 3 qui se sentent plus exposés au bruit dans
leur vie quotidienne qu’auparavant. Ce taux a tendance à monter à 70% auprès de populations
âgées de 50-74 ans. La quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a des
effets directs sur la santé dont près de la moitié en sont intimement convaincus (48%). Quelle que
soit la durée, plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à un bruit qu’ils jugent
excessif. Enfin, plus de 8 personnes sur 10 attendent une impulsion des Pouvoirs Publics afin
qu’ils prennent mieux en compte l’impact du bruit et des nuisances sonores sur leur santé.La
quasi-totalité des Français pense que l’exposition au bruit a un impact direct sur la santé.Si
l’impact perçu du bruit est négatif sur son énergie, il l’est nettement moins sur des dimensions
plus dangereuses, menaçant davantage sa santé. Ainsi, 53% des personnes estiment que le bruit
crée des maux de tête, 49% qu’il génère souvent de l’anxiété, 45% qu’il fait courir un risque de
surdité définitive et 42% qu’il crée des acouphènes.Concernant le diagnostic des effets néfastes
du bruit pour les oreilles, les deux tiers des Français (65%) pointent conjointement le volume
sonore et la durée d’exposition.
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3 mars 2016 - 21:16
Un Français sur deux se sent agressé par le
bruit
Un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les
transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur
la santé, selon un sondage publié jeudi.
Selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19 journée nationale de l'audition le 10 mars,
51% des personnes interrogées se sentent "agressées souvent ou très souvent" par le bruit dans les
lieux publics, 50% sur leur lieu de travail, 48% dans la rue, 48% dans les transports en commun
(dont 56% chez les 15-17 ans et 57% chez les 25-34 ans), 40% dans les écoles et 21% à
domicile.Un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la population française âgée de 15
ans et plus a été interrogé entre les 5 et 9 février derniers. Si les ouvriers sont naturellement plus
affectés par le bruit (91% des ouvriers interrogés disent avoir des difficultés à suivre les
conversations en raison du bruit ambiant), les autres professions ne sont pas épargnées.Six à huit
actifs sur 10 se disent en effet gênés par le bruit alors qu'ils travaillent généralement dans un
bureau ou en "open space" (espace ouvert).32% des sondés gênés par le bruit la nuitLe sondage
révèle en outre qu'il n'y aucun répit de nuit comme de jour: 32% des sondés sont plutôt gênés la
nuit, 27% le jour et 27% les deux. Seuls 14% ne sont "généralement pas sensibles au bruit".Pour
neuf personnes sur 10, le bruit est devenu un enjeu de société et 94% des Français estiment que le
bruit a des effets directs sur la santé .Pour autant, seul un Français sur quatre se dit responsable de
nuisances sonores, alors que 33% des personnes interrogées masquent les bruits gênants à leur
domicile avec de la musique ou la télévision.Le sondage démontre aussi la méconnaissance des
conséquences du bruit sur l'audition, en particulier parmi les jeunes. Moins d'un Français sur deux
a conscience que le bruit peut générer une surdité définitive.Le bruit entraîne de la fatigue pour
74% des personnes interrogéesDans le détail, 74% des personnes interrogées estiment que le bruit
entraîne de la fatigue, 67% estiment qu'il perturbe le sommeil, 53% qu'il crée des maux de têtes,
49% qu'il génère l'anxiété, 45% qu'il fait courir un risque de surdité définitive et 42% qu'il crée
des acouphènes (sifflements et bourdonnements).Pour 7 jeunes sur 10, le bruit ne fait pas courir
de risque de surdité définitive.VIDEO. Santé: 20% des moins de 25 ans ont déjà l'audition d'un
adulte de 40 ans
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4 mars 2016 - 01:33
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru de
démence: la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la
campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
"nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm. D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l'audition (JNA) le 10
mars. Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution sonore" parce que les
pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. "La grande différence est qu'autrefois
le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n'est pas rare à
présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique,
regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Or cette exposition permanente affecte non
seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL. "Le bruit a
une action directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de l'oreille interne", explique-t-il,
rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition. A partir de 85/87
décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le
système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer". Lésion irréversible - A titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre
de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB. Le Dr Foeillet
ajoute que la "lésion s'installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue
immédiatement". Et, elle est irréversible. Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110
décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques minutes", insiste
Martine Ohresser, médecin ORL. Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en
agissant sur le système émotionnel. Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au
bruit quotidien comme celles habitant à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment
des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques
comme l'anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.
Dans les bureaux en "open space", le bruit généré par les conversations, les sonneries des
téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être "hyper concentrés" pour
rester efficaces. A l'école, le bruit se traduit par un déficit d'attention. En France, 12 à 13% de la
population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d'audition, selon des
données de la JNA. L'association estime que ces données sont probablement inférieures à la
réalité faute, notamment de dépistage efficace. "Les tests basiques sont insuffisants", déplore le
professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie qui raconte la malheureuse expérience de
ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait
de trouble auditif non diagnostiqué. Selon lui, "près de 40% des enfants en difficultés scolaires
peuvent avoir un trouble central d'audition". A l'occasion de la 19e journée de l'audition, la JNA
va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois
messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses régulières"; "je fais faire un bilan régulier
de mon audition". L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d'un
milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de
la musique trop forte.
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3 mars 2016 - 12:55
03/03 Journée de l’audition : prévenir les
causes évitables de la perte auditive
La perte auditive peut être congénitale en cas d’altérations génétiques ou d’accidents survenus
pendant la grossesse ou l’accouchement, ou acquise en lien avec des infections, la prise de
médicaments ou des traumatismes.Plus d’un milliard de personnes touchées dans le monde d’ici à
2050Mais à côté de ces pertes auditives, de nombreuses causes évitables de perte auditive
existent. Le Dr Pierre Anhoury, spécialiste de santé publique, directeur de la stratégie de l’iPRI...
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4 mars 2016 - 05:01
Les bruits du quotidien nuisent gravement à
la santé
Echec scolaire, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru de démence, : la perte
auditive est devenue un véritable fléau et à tous les âges. C’est ce qu’a souligné hier l’association
JNA, du nom de la journée nationale de l’audition, dont la 19e édition se tient le 10 mars. Dans
sa campagne de prévention 2016, JNA cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos
oreilles.Que ce soit dans la rue, les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
« nous sommes soumis à une pression sonore permanente », constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l’Inserm.D’ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié hier.Le bruit est aujourd’hui perçu comme une nuisance, une «
pollution sonore » parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. « La
grande différence est qu’autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée », observe
Sébastien Leroy, de JNA.Il n’est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un
casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres.«
Cette exposition permanente affecte non seulement l’ouïe mais encore la santé en général »,
insiste Pascal Foeillet, médecin ORL. « Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible :
la partie auditive de l’oreille interne », explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l’intensité
et à la durée de l’exposition.Le bruit agit sur le système émotionnel. Des études ont ainsi montré
que des personnes exposées au bruit quotidien comme celles habitant à proximité d’un aéroport
présentaient plus fréquemment des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus
élevées ou des troubles psychiques comme l’anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi
davantage de troubles du sommeil.Dans les bureaux en « open space », le bruit a un effet sur la
concentration des employés et à l’école, il se traduit par un déficit d’attention. En France, 12 à 13
% de la population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d’audition,
selon des données de la JNA. L’association estime que ces données sont probablement inférieures
à la réalité faute de dépistage efficace.
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3 mars 2016 - 19:08
Bruit : 9 français sur 10 se sentent agressés
Un sondage révèle que les Français souffrent de la pollution sonore.
Ils connaissent les risques, mais n’ont pas toujours les bons réflexes,
surtout les jeunes.
Une enquête JNA-Ifop réalisée en vue de la Journée nationale de l’audition, le 10 mars
prochain, révèle que plus de neuf Français sur dix se disent exposés quotidiennement à un bruit
qu’ils jugent excessif. Et la situation ne semble pas aller dans le bon sens, alors que deux tiers
d’entre eux déclarent se sentir plus exposés qu’avant.Les personnes interrogées se sentent gênées
dans les transports publics, les bars et les restaurants (90 %), au travail (79 %) et à l’école (74 %).
Ils déclarent y ressentir des difficultés à suivre des conversations. Plus grave, la moitié des sondés
se sent réellement agressés dans les transports et au travail.Les Français bien informés dans
l’ensembleGlobalement conscients des enjeux, ils sont 94 % à penser que le bruit est néfaste pour
la santé. Ils savent également que le bruit peut causer des maux de tête, générer de l’anxiété,
engendrer des acouphènes ou mener à la surdité.Chez les jeunes âgés de quinze à dix-sept ans, le
bilan est plus contrasté. S’ils sont presque huit sur dix à se plaindre du bruit à l’école, et 58 % à
avoir le sentiment de subir le bruit sans n’y pouvoir rien faire, ils sont en revanche sept sur dix à
estimer qu’il ne suffit pas à provoquer une surdité définitive. Pire, 38 % avouent que le bruit les
rend euphoriques !Il faut s’entendre sur les risquesUne étude (1) parue fin 2015 avait fait
nettement apparaître que les personnes les plus exposées à la pollution sonore sont plus sujettes à
certains troubles physiques et psychologiques: troubles de l’humeur (irritabilité, nervosité, sautes
d’humeur), insomnies et troubles du sommeil, problèmes de concentration et maux de tête.
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3 mars 2016 - 23:23
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
Prévnetion. Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière
professionnelle contrariée, voire risque accru de démence: la perte
auditive est un fléau à tous les âges, souligne l’association JNA dont
la campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui
dégradent la santé de nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile, «
nous sommes soumis à une pression sonore permanente », constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l’Inserm. D’ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l’audition (JNA) le 10
mars.Le bruit est aujourd’hui perçu comme une nuisance, une « pollution sonore » parce que les
pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. « La grande différence est qu’autrefois
le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée », observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n’est pas rare
à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique,
regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Or cette exposition permanente affecte non
seulement l’ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL. « Le bruit
a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie auditive de l’oreille interne »,
explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l’intensité et à la durée de l’exposition. À partir
de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon l’intensité du
bruit, « le système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont
s’installer ».Lésion irréversibleÀ titre d’exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est
de l’ordre de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB. Le
Dr Foeillet ajoute que la « lésion s’installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue
immédiatement ». Et, elle est irréversible.Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110
décibels et plus, « des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques minutes », insiste
Martine Ohresser, médecin ORL. Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en
agissant sur le système émotionnel. Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au
bruit quotidien comme celles habitant à proximité d’un aéroport présentaient plus fréquemment
des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques
comme l’anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.Dans
les bureaux en « open space », le bruit généré par les conversations, les sonneries des téléphones,
entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d’être « hyper concentrés » pour rester
efficaces.À l’école, le bruit se traduit par un déficit d’attention.En France, 12 à 13 % de la
population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d’audition, selon des
données de la JNA. L’association estime que ces données sont probablement inférieures à la
réalité faute, notamment de dépistage efficace. « Les tests basiques sont insuffisants », déplore le
professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie qui raconte la malheureuse expérience de
ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé six ans d’orthophonie alors qu’il souffrait
de trouble auditif non diagnostiqué. Selon lui, « près de 40 % des enfants en difficultés scolaires
peuvent avoir un trouble central d’audition ».À l’occasion de la 19e journée de l’audition, la
JNA va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois
messages: « Je protège mes oreilles »; « je fais des pauses régulières »; « je fais faire un bilan
régulier de mon audition ». L’an passé, l’Organisation mondiale de la santé avait averti que plus
d’un milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu’ils
écoutent de la musique trop forte.
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3 mars 2016 - 23:54
Journée nationale de l’audition : dépistage
auditif gratuit le 10 mars de 9h à 17h
Oise Média > L'info en continu... > Journée nationale de l’audition:
dépistage auditif gratuit le 10 mars de 9h à 17h
Dans l’Oise, parmi les établissements hospitaliers, seul le Centre Hospitalier Compiègne-Noyon
participe à la Journée Nationale de l’Audition et propose un dépistage auditif gratuit au public.
12 à 15% de la population française serait affectée par les troubles de l’audition. Il est donc
important de consulter un médecin ORL dès les premiers troubles, car la moindre déficience
auditive non traitée déséquilibre le parcours de vie des individus, quel que soit leur âge.Le Centre
Hospitalier Compiègne-Noyon compte 3 médecins spécialisés en ORL, 2 chirurgiens dentaires et
1 chirurgien maxillo-facial et stomatologique. Ils interviennent pour des pathologies médicales ou
chirurgicales touchant les oreilles, le nez, la gorge, chez l’adulte et l’enfant. Le service a
également l’accréditation pour la prise en charge des cancers ORL et cervicaux-faciaux.La
Journée Nationale de l’Audition organisée le jeudi 10 mars offre au public l’opportunité de
réaliser un test auditif gratuitement de 9h à 17h. Pour ce faire, il est conseillé aux patients de
prendre rendez-vous au 03 44 23 65 42 ou se présenter le jour-même au secrétariat des
consultations ORL, niveau 0 dans le pôle Chirurgie au Centre Hospitalier site de Compiègne
(ZAC de Mercières). Article précédent Article suivant
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3 mars 2016 - 11:08
Un Français sur deux se sent agressé par le
bruit (sondage)
Un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix
estiment que le bruit a des effets directs sur la santé, selon un sondage publié jeudi.Au total, 51%
des personnes interrogées se sentent "agressées souvent ou très souvent" par le bruit dans les lieux
publics, 50% sur leur lieu de travail, 48% dans la rue, 48% dans les transports en commun (dont
56% chez les 15-17 ans et 57% chez les 25-34 ans), 40% dans les écoles et 21% à domicile, selon
cette enquête de l'Institut Ifop en vue de la 19e journée nationale de l'audition(JNA) le 10
mars.Un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et
plus a été interrogé entre les 5 et 9 février derniers.Si les ouvriers sont naturellement plus affectés
par le bruit (91% des ouvriers interrogés disent avoir des difficultés à suivre les conversations en
raison du bruit ambiant), les autres professions ne sont pas épargnées.Six à huit actifs sur 10 se
disent en effet gênés par le bruit alors qu'ils travaillent généralement dans un bureau ou en "open
space" (espace ouvert).Le sondage révèle en outre qu'il n'y aucun répit de nuit comme de jour:
32% des sondés sont plutôt gênés la nuit, 27% le jour et 27% les deux. Seuls 14% ne sont
"généralement pas sensibles au bruit".Pour neuf personnes sur 10, le bruit est devenu un enjeu de
société et 94% des Français estiment que le bruit a des effets directs sur la santé.Pour autant, seul
un Français sur quatre se dit responsable de nuisances sonores, alors que 33% des personnes
interrogées masquent les bruits gênants à leur domicile avec de la musique ou la télévision.Le
sondage démontre aussi la méconnaissance des conséquences du bruit sur l'audition, en particulier
parmi les jeunes.Moins d'un Français sur deux a conscience que le bruit peut générer une surdité
définitive.Dans le détail, 74% des personnes interrogées estiment que le bruit entraîne de la
fatigue, 67% estiment qu'il perturbe le sommeil, 53% qu'il crée des maux de têtes, 49% qu'il
génère l'anxiété, 45% qu'il fait courir un risque de surdité définitive et 42% qu'il crée des
acouphènes (sifflements et bourdonnements).Pour 7 jeunes sur 10, le bruit ne fait pas courir de
risque de surdité définitive.
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3 mars 2016 - 20:10
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru
de démence: la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la
campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
"nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm.D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l'audition (JNA) le 10
mars.Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution sonore" parce que les
pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. "La grande différence est qu'autrefois
le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n'est pas rare à
présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique,
regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres.Or cette exposition permanente affecte non
seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL."Le bruit a
une action directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de l'oreille interne", explique-t-il,
rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition. A partir de 85/87
décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le
système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer".Lésion irréversible -A titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre
de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB.Le Dr Foeillet
ajoute que la "lésion s'installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue
immédiatement". Et, elle est irréversible.Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110
décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques minutes", insiste
Martine Ohresser, médecin ORL.Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en
agissant sur le système émotionnel.Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au
bruit quotidien comme celles habitant à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment
des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques
comme l'anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.Dans
les bureaux en "open space", le bruit généré par les conversations, les sonneries des téléphones,
entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être "hyper concentrés" pour rester
efficaces. A l'école, le bruit se traduit par un déficit d'attention. En France, 12 à 13% de la
population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d'audition, selon des
données de la JNA. L'association estime que ces données sont probablement inférieures à la
réalité faute, notamment de dépistage efficace."Les tests basiques sont insuffisants", déplore le
professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie qui raconte la malheureuse expérience de
ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait
de trouble auditif non diagnostiqué.Selon lui, "près de 40% des enfants en difficultés scolaires
peuvent avoir un trouble central d'audition".A l'occasion de la 19e journée de l'audition, la JNA
va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois
messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses régulières"; "je fais faire un bilan régulier
de mon audition". L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d'un
milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de
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3 mars 2016 - 18:13
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
Les conséquences du bruit sous-estimées - Simon MALFATTO,
Philippe MOUCHE ©AFP
Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée, voire risque accru
de démence: la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la
campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de nos
oreilles.Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à
domicile, "nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur
Jean-Luc Puel, directeur de recherche de l'Inserm.D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé
par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets
directs sur la santé, selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de
l'audition (JNA) le 10 mars.Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution
sonore" parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes."La grande
différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy,
de JNA.Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour
écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres.Or cette exposition
permanente affecte non seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet,
médecin ORL."Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de
l'oreille interne", explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de
l'exposition.A partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes
selon l'intensité du bruit, "le système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des
acouphènes vont s'installer".- Lésion irréversible -A titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort
trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de
90 à 110 dB.Le Dr Foeillet ajoute que la "lésion s'installe de manière très insidieuse, sans
forcément être perçue immédiatement". Et, elle est irréversible.Dans les discothèques où le bruit
peut atteindre les 110 décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques
minutes", insiste Martine Ohresser, médecin ORL.Le bruit a en outre des effets plus généraux sur
la santé en agissant sur le système émotionnel.
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3 mars 2016 - 17:01
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle
contrariée, voire risque accru de démence: la perte auditive est un
fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la campagne de
prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de
nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
"nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm.D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l'audition (JNA) le 10
mars.Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution sonore" parce que les
pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes."La grande différence est qu'autrefois le
bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy, de JNA.Il n'est pas rare à
présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique,
regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres.Or cette exposition permanente affecte non
seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL."Le bruit a
une action directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de l'oreille interne", explique-t-il,
rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition.A partir de 85/87
décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le
système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer".Lésion irréversible -A titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre
de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB.Le Dr Foeillet
ajoute que la "lésion s'installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue
immédiatement". Et, elle est irréversible.Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110
décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques minutes", insiste
Martine Ohresser, médecin ORL.Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en
agissant sur le système émotionnel.Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au
bruit quotidien comme celles habitant à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment
des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques
comme l'anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.Dans
les bureaux en "open space", le bruit généré par les conversations, les sonneries des téléphones,
entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être "hyper concentrés" pour rester
efficaces.A l'école, le bruit se traduit par un déficit d'attention.En France, 12 à 13% de la
population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d'audition, selon des
données de la JNA. L'association estime que ces données sont probablement inférieures à la
réalité faute, notamment de dépistage efficace."Les tests basiques sont insuffisants", déplore le
professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie qui raconte la malheureuse expérience de
ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait
de trouble auditif non diagnostiqué.Selon lui, "près de 40% des enfants en difficultés scolaires
peuvent avoir un trouble central d'audition".A l'occasion de la 19e journée de l'audition, la JNA
va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois
messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses régulières"; "je fais faire un bilan régulier
de mon audition".L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d'un
milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de
la musique trop forte.Par Delphine TOUITOU, © 2016 AFP
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3 mars 2016 - 12:16
Enquête sur les nuisances sonores : les
Français ne s’entendent plus !
14h05 :L’association JNA vient tout juste de révéler les résultats de la dernière Enquête nationale
JNA-Ifop 2016 sur les nuisances sonores et leurs impacts sur la Santé.Cette enquête démontre
que pour 9 Français sur 10, le bruit représente un véritable enjeu de société. Plus grave encore, il
aurait même des effets directs sur notre santé.Dans cette enquête, plusieurs thèmes importants
sont abordés comme le rapport entre le bruit et la santé, le rôle des Pouvoirs Publics, le bruit qui
nous agresse dans notre vie quotidienne, le rapport des jeunes avec le bruit, parmi d’autres…Lire
la synthèse des résultats de l’enquête.Découvrir l’intégralité des résultats de
l’enquête.NOUVEAU : 3 SPOTS JNA DE PRÉVENTION « Mes oreilles, j’y tiens. J’en prends
soin ! »Afin de diffuser le plus largement possible un mess age de prévention auprès de tous les
publics, l’association JNA a produit 3 spots vidéos. N’hésitez surtout pas à les relayer sur vos
sites web et réseaux sociaux.Visualiser ou télécharger les 3 spots vidéos.
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3 mars 2016 - 16:11
Santé auditive. Une pression sonore trop forte
Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle
contrariée, voire risque accru de démence: la perte auditive est un
fléau à tous les âges, souligne l' association JNA dont la campagne de
prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de
nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile, "
nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm. D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop .Troubles auditifs ou des acouphènesLe bruit est aujourd'hui perçu comme
une nuisance, une "pollution sonore" parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire
inexistantes. "La grande différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée",
observe Sébastien Leroy, de JNA. Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit
avec un casque sur la tête pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des
autres. Or cette exposition permanente affecte non seulement l'ouïe mais encore la santé en
général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL." Le bruit a une action directe sur la zone la plus
sensible: la partie auditive de l'oreille interne ", explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à
l'intensité et à la durée de l'exposition. A partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit
heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le système auditif souffre et, à long terme,
des troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer".Dépression, troubles du sommeilA titre
d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les sports
mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB. Le Dr Foeillet ajoute que la "lésion
s'installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue immédiatement". Et, elle est
irréversible.Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110 décibels et plus, "des dégâts
considérables peuvent intervenir en quelques minutes", insiste Martine Ohresser, médecin ORL.
Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système émotionnel.
Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au bruit quotidien comme celles habitant
à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment des maladies cardiovasculaires, des
pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques comme l'anxiété voire la dépression.
Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.Dans les bureaux en "open space", le bruit
généré par les conversations, les sonneries des téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés
étant contraints d'être "hyper concentrés" pour rester efficaces. A l'école, le bruit se traduit par un
déficit d'attention. En France, 12 à 13% de la population, soit 6 à 8 millions de personnes sont
touchées par des problèmes d'audition, selon des données de la JNA.A l'occasion de la 19e
journée de l'audition, le 10 mars, la JNA va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes,
les actifs et les retraités avec trois messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses
régulières"; "je fais faire un bilan régulier de mon audition".
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3 mars 2016 - 20:50
Un Français sur deux se sent agressé par le
bruit
Rédaction en ligne Echec scolaire, difficultés de socialisation,
carrière professionnelle contrariée, voire risque accru de démence: la
perte auditive est un fléau à tous les âges.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
«nous sommes soumis à une pression sonore permanente», constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l’Inserm.D’ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l’audition(JNA) le 10
mars.Le silence n’existe plusLe bruit est aujourd’hui perçu comme une nuisance, une «pollution
sonore» parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. «La grande
différence est qu’autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée», observe Sébastien Leroy,
de JNA. Il n’est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête
pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Or cette
exposition permanente affecte non seulement l’ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal
Foeillet, médecin ORL. «Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible : la partie
auditive de l’oreille interne», explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l’intensité et à la
durée de l’exposition.Lésion irréversibleA partir de 85/87 décibels et une exposition variant de
huit heures à quelques minutes selon l’intensité du bruit, «le système auditif souffre et, à long
terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont s’installer». A titre d’exemple, dans une rue
animée ou à fort trafic, le bruit est de l’ordre de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux
un bruit allant de 90 à 110 dB.Le Dr Foeillet ajoute que la «lésion s’installe de manière très
insidieuse, sans forcément être perçue immédiatement». Et, elle est irréversible.Dans les
discothèques où le bruit peut atteindre les 110 décibels et plus, «des dégâts considérables peuvent
intervenir en quelques minutes», insiste Martine Ohresser, médecin ORL.Le bruit a en outre des
effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système émotionnel.Des études ont ainsi
montré que des personnes exposées au bruit quotidien comme celles habitant à proximité d’un
aéroport présentaient plus fréquemment des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles
plus élevées ou des troubles psychiques comme l’anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi
davantage de troubles du sommeil.Dans les bureaux en «open space» , le bruit généré par les
conversations, les sonneries des téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints
d’être «hyper concentrés» pour rester efficaces.A l’école, le bruit se traduit par un déficit
d’attention.12 à 13% de la population touchéeEn France, 12 à 13% de la population, soit 6 à 8
millions de personnes sont touchées par des problèmes d’audition, selon des données de la JNA.
L’association estime que ces données sont probablement inférieures à la réalité faute, notamment
de dépistage efficace.«Les tests basiques sont insuffisants», déplore le professeur Hung Thaï Van,
chef de service audiologie qui raconte la malheureuse expérience de ce jeune de 19 ans, en échec
scolaire, à qui on a imposé six ans d’orthophonie alors qu’il souffrait de trouble auditif non
diagnostiqué.Selon lui, «près de 40% des enfants en difficultés scolaires peuvent avoir un trouble
central d’audition».A l’occasion de la 19e journée de l’audition, la JNA va diffuser trois spots
de prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois messages: «Je protège mes
oreilles»; «je fais des pauses régulières»; «je fais faire un bilan régulier de mon audition». L’an
passé, l’Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d’un milliard de jeunes dans le
monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu’ils écoutent de la musique trop forte.
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3 mars 2016 - 16:03
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle
contrariée, voire risque accru de démence: la perte auditive est un
fléau à tous les âges, souligne l'association JNA dont la campagne de
prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de
nos oreilles.
Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à domicile,
"nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur Jean-Luc Puel,
directeur de recherche de l'Inserm.D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets directs sur la santé,
selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de l'audition (JNA) le 10
mars.Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution sonore" parce que les
pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes."La grande différence est qu'autrefois le
bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy, de JNA.Il n'est pas rare à
présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête pour écouter de la musique,
regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres.Or cette exposition permanente affecte non
seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal Foeillet, médecin ORL."Le bruit a
une action directe sur la zone la plus sensible: la partie auditive de l'oreille interne", explique-t-il,
rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la durée de l'exposition.A partir de 85/87
décibels et une exposition variant de huit heures à quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le
système auditif souffre et, à long terme, des troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer".Lésion irréversible -A titre d'exemple, dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre
de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB.Le Dr Foeillet
ajoute que la "lésion s'installe de manière très insidieuse, sans forcément être perçue
immédiatement". Et, elle est irréversible.Dans les discothèques où le bruit peut atteindre les 110
décibels et plus, "des dégâts considérables peuvent intervenir en quelques minutes", insiste
Martine Ohresser, médecin ORL.Le bruit a en outre des effets plus généraux sur la santé en
agissant sur le système émotionnel.Des études ont ainsi montré que des personnes exposées au
bruit quotidien comme celles habitant à proximité d'un aéroport présentaient plus fréquemment
des maladies cardiovasculaires, des pressions artérielles plus élevées ou des troubles psychiques
comme l'anxiété voire la dépression. Elles souffrent aussi davantage de troubles du sommeil.Dans
les bureaux en "open space", le bruit généré par les conversations, les sonneries des téléphones,
entraîne plus de fatigue, les salariés étant contraints d'être "hyper concentrés" pour rester
efficaces.A l'école, le bruit se traduit par un déficit d'attention.En France, 12 à 13% de la
population, soit 6 à 8 millions de personnes sont touchées par des problèmes d'audition, selon des
données de la JNA. L'association estime que ces données sont probablement inférieures à la
réalité faute, notamment de dépistage efficace."Les tests basiques sont insuffisants", déplore le
professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie qui raconte la malheureuse expérience de
ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait
de trouble auditif non diagnostiqué.Selon lui, "près de 40% des enfants en difficultés scolaires
peuvent avoir un trouble central d'audition".A l'occasion de la 19e journée de l'audition, la JNA
va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les actifs et les retraités avec trois
messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses régulières"; "je fais faire un bilan régulier
de mon audition".L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé avait averti que plus d'un
milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles auditifs parce qu'ils écoutent de
la musique trop forte.
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3 mars 2016 - 18:59
Un Français sur deux se sent agressé par le
bruit
51% des personnes interrogées se sentent "agressées souvent ou très souvent" par le bruit dans les
lieux publics, selon un sondage publié jeudi. Dans le détail, 50% le sont sur leur lieu de travail,
48% dans la rue, 48% dans les transports en commun (dont 56% chez les 15-17 ans et 57% chez
les 25-34 ans), 40% dans les écoles et 21% à domicile, selon cette enquête de l'Institut Ifop en vue
de la 19e journée nationale de l'audition le 10 mars.
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4 mars 2016 - 07:29
Un observatoire régional pour la surdité
Créé à titre expérimental en 2011, le Centre d’action et d’information sur la surdité à vocation
régionale est maintenu à Blois pour une durée de quinze ans. L'avenir du Centre d'action et
d'information sur la surdité (CAIS) s'est éclairci il y a un mois. Fin janvier, la publication d'un
arrêté a entériné ce service, géré par l'Association de patronage de l'institution régionale de jeunes
sourds d'Orléans (APIRJSO), pour une durée de quinze ans, à Blois. Le CAIS avait été créé en
2011 à titre expérimental pour trois ans. Aujourd'hui, l'équipe, composée d'une chef de service,
d'une secrétaire-documentaliste, d'une médiatrice sociale, d'une conseillère technique, d'un
psychologue et d'une assistante de service social, peut travailler sur le long terme. Les missions de
la structure ne changent pas : il s'agit de répondre aux besoins d'information, d'accompagnement,
de formation, d'expertise dans le domaine de la surdité en région Centre-Val de Loire. Dès cette
année, des projets vont voir le jour. « Nous avons une réflexion en cours sur le comité d'éthique
pour analyser les besoins recensés sur le territoire, annonce Mélanie Laurent, chef de service du
CAIS. Nous souhaitons créer un CAIS mobile itinérant pour aller au plus près de la population de
la région, avec une mise à disposition d'ouvrages, l'exposition d'aides techniques et la possibilité
d'avoir un entretien individuel. A nous de trouver un véhicule adapté. » L'autre grand dossier qui
va occuper le service est la mise en place d'un observatoire régional de la surdité pour obtenir des
statistiques, un travail qui se fera en partenariat avec la Maison départementale des personnes
handicapées, Cap emploi, l'Agefiph… En lien avec l'Agence régionale de santé, le CAIS a édité
un petit ouvrage sur les mots d'usage à connaître en langue des signes pour faciliter la
communication entre les sourds-malentendants et tout autre public. Un second fascicule va sortir
d'ici quinze jours, recensant tous les mots courants en rapport avec l'accès aux soins. Un
répertoire des acteurs accessibles aux personnes sourdes et malentendantes dans la région a
également été conçu. En revanche, le CAIS n'est pas formateur en langue des signes. A l'heure où
tous les lieux publics planchent sur la question de l'accessibilité, Mélanie Laurent estime que ce
sujet ne doit pas reposer uniquement sur le côté technique de la réalisation : « L'accessibilité passe
aussi par de la sensibilisation pour mieux appréhender la communauté malentendante,
comprendre les différents degrés de la surdité, savoir aborder une personne et disposer de moyens
pour encourager l'échange. » A l'occasion de la Journée de l'audition, le CAIS accueillera le
public jeudi 10 mars, de 9 h à 17 h, sur la plateforme d'aides techniques, au 34, avenue du
Maréchal-Maunoury (porte B), à Blois. Tél. 02.54.33.53.04 ; SMS au 06.12.65.
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3 mars 2016 - 16:31
Nuisances sonores : des impacts sur la santé
et sur le sommeil
A l’occasion de la Journée mondiale de l’audition, une enquête
s’intéresse aux nuisances sonores et à leur impact sur la santé. Une
personne sur deux se dit agressée par le bruit, au travail et dans les
transports.
Selon une enquête JNA/Ipsos , publiée à l'occasion de la Journée mondiale de l'audition, ce 3
mars, 2 Français sur 3 se sentent plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne qu'auparavant.
Ainsi, plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à un bruit qu'ils jugent "excessif".
Plus grave, la quasi-totalité des personnes sondées (94%) pensent que le bruit a des effets directs
sur la santé. Ainsi, 53% des personnes estiment que le bruit crée des maux de tête, 49% qu'il
génère souvent de l'anxiété, 45% qu'il fait courir un risque de surdité définitive et 42% qu'il crée
des acouphènes .Travail et transports agressent nos oreilles. Les Français se sentent agressés par
le bruit lorsqu'ils se trouvent sur leur lieu de travail (50% des sondés) ou lorsqu'ils empruntent les
transports en commun (48%). Ils sont particulièrement gênés pour suivre les conversations dans
les restaurants, cafés et bars et dans les transports publics (9 personnes sur 10). Par ailleurs, 46%
des personnes se sentent souvent agressées par le bruit à la cantine scolaire ou au restaurant
d'entreprise.Sommeil perturbé, anxiété. Signe que les moments de répit sont rares, un Français sur
3 estime être surtout gêné pendant la nuit, contre un Français sur 4 pendant la journée. Une étude
de l'Institut national de veille sanitaire publiée en 2013 avait déjà pointé les effets néfastes du
bruit sur le sommeil . Celle-ci révélait que 52 % des Français ont du mal à s'endormir à cause des
nuisances sonores et que 60 % d'entre eux sont susceptibles d'être réveillés en pleine nuit à cause
d'un bruit (voitures en particulier). De quoi perturber le sommeil. Et d'autant plus que, même
lorsqu'on est endormi, les sons agissent sur le cerveau et détériorent la qualité du sommeil. A long
terme, avoir un sommeil fragmenté a des répercussions sur la santé : on devient plus nerveux, plus
irritable.Les jeunes ne l'entendent pas de cette oreille . L'enquête fait apparaître un constat
inquiétant : 8 jeunes sur 10, de 15 à 17 ans, disent avoir du mal à suivre une conversation à
l'école. De plus, 58 % de cette même tranche d'âge ont le sentiment de subir le bruit sans rien
pouvoir faire. Pourtant, preuve que les jeunes entretiennent une relation particulière avec le bruit :
7 jeunes sur 10 vont jusqu' à penser que le bruit ne fait pas courir un risque de surdité définitive et
38 % des 15-17 ans avouent que ça les rend euphoriques !Enfin, plus de 8 personnes sur 10
attendent une impulsion des pouvoirs publics afin qu'ils prennent mieux en compte l'impact du
bruit et des nuisances sonores sur leur santé. En attendant, la majorité des sondés préconise de
"limiter le volume et le temps d'écoute de la musique" et de "fuir les lieux bruyants". Mais aussi,
de faire "des pauses auditives", loin du bruit donc.Lire aussi
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3 mars 2016 - 17:11
Nuisances sonores : des impacts sur la santé
et sur le sommeil
A l’occasion de la Journée mondiale de l’audition, une enquête s’intéresse aux nuisances sonores
et à leur impact sur la santé. Une personne sur deux se dit agressée par le bruit, au travail et dans
les transports. Selon une enquête JNA/Ipsos, publiée à l'occasion de la Journée mondiale de
l'audition, ce 3 mars, 2 Français sur 3 se sentent plus exposés au bruit dans leur vie quotidienne
qu'auparavant. Ainsi, plus de 9 Français sur 10 se disent exposés chaque jour à...Lire la suite ›
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3 mars 2016 - 17:04
Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
PARIS (AFP) - Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée,
voire risque accru de démence: la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association
JNA dont la campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de
nos oreilles. Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à
domicile, "nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur
Jean-Luc Puel, directeur de recherche de l'Inserm. D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé
par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets
directs sur la santé, selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de
l'audition (JNA) le 10 mars. Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution
sonore" parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. "La grande
différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy,
de JNA. Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête
pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Or cette
exposition permanente affecte non seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal
Foeillet, médecin ORL. "Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible: la partie
auditive de l'oreille interne", explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la
durée de l'exposition. A partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à
quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le système auditif souffre et, à long terme, des
troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer". - Lésion irréversible - A titre d'exemple,
dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques
génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB. Le Dr Foeillet ajoute que la "lésion s'installe de
manière très insidieuse, sans forcément être perçue immédiatement". Et, elle est irréversible. Dans
les discothèques où le bruit peut atteindre les 110 décibels et plus, "des dégâts considérables
peuvent intervenir en quelques minutes", insiste Martine Ohresser, médecin ORL. Le bruit a en
outre des effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système émotionnel. Des études ont
ainsi montré que des personnes exposées au bruit quotidien comme celles habitant à proximité
d'un aéroport présentaient plus fréquemment des maladies cardiovasculaires, des pressions
artérielles plus élevées ou des troubles psychiques comme l'anxiété voire la dépression. Elles
souffrent aussi davantage de troubles du sommeil. Dans les bureaux en "open space", le bruit
généré par les conversations, les sonneries des téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés
étant contraints d'être "hyper concentrés" pour rester efficaces. A l'école, le bruit se traduit par un
déficit d'attention. En France, 12 à 13% de la population, soit 6 à 8 millions de personnes sont
touchées par des problèmes d'audition, selon des données de la JNA. L'association estime que ces
données sont probablement inférieures à la réalité faute, notamment de dépistage efficace. "Les
tests basiques sont insuffisants", déplore le professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie
qui raconte la malheureuse expérience de ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé
six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait de trouble auditif non diagnostiqué. Selon lui, "près de
40% des enfants en difficultés scolaires peuvent avoir un trouble central d'audition". A l'occasion
de la 19e journée de l'audition, la JNA va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les
actifs et les retraités avec trois messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses régulières";
"je fais faire un bilan régulier de mon audition". L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé
avait averti que plus d'un milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles
auditifs parce qu'ils écoutent de la musique trop forte. Par Delphine TOUITOU © 2016 AFP
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Le bruit nuit à la santé et aux oreilles en
particulier
PARIS (AFP) - Echec scolaire, difficultés de socialisation, carrière professionnelle contrariée,
voire risque accru de démence: la perte auditive est un fléau à tous les âges, souligne l'association
JNA dont la campagne de prévention 2016 cible les bruits du quotidien qui dégradent la santé de
nos oreilles. Que ce soit dans la rue, dans les transports en commun, au restaurant, au bureau ou à
domicile, "nous sommes soumis à une pression sonore permanente", constate le professeur
Jean-Luc Puel, directeur de recherche de l'Inserm. D'ailleurs, un Français sur deux se sent agressé
par le bruit au travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets
directs sur la santé, selon un sondage Ifop publié jeudi en vue de la 19e journée nationale de
l'audition (JNA) le 10 mars. Le bruit est aujourd'hui perçu comme une nuisance, une "pollution
sonore" parce que les pauses silencieuses sont devenues rares voire inexistantes. "La grande
différence est qu'autrefois le bruit ne rentrait pas dans la sphère privée", observe Sébastien Leroy,
de JNA. Il n'est pas rare à présent que des jeunes vivent jour et nuit avec un casque sur la tête
pour écouter de la musique, regarder des vidéos ou masquer le bruit des autres. Or cette
exposition permanente affecte non seulement l'ouïe mais encore la santé en général, insiste Pascal
Foeillet, médecin ORL. "Le bruit a une action directe sur la zone la plus sensible: la partie
auditive de l'oreille interne", explique-t-il, rappelant que les effets sont liés à l'intensité et à la
durée de l'exposition. A partir de 85/87 décibels et une exposition variant de huit heures à
quelques minutes selon l'intensité du bruit, "le système auditif souffre et, à long terme, des
troubles auditifs ou des acouphènes vont s'installer". - Lésion irréversible - A titre d'exemple,
dans une rue animée ou à fort trafic, le bruit est de l'ordre de 75 à 90 dB. Les sports mécaniques
génèrent eux un bruit allant de 90 à 110 dB. Le Dr Foeillet ajoute que la "lésion s'installe de
manière très insidieuse, sans forcément être perçue immédiatement". Et, elle est irréversible. Dans
les discothèques où le bruit peut atteindre les 110 décibels et plus, "des dégâts considérables
peuvent intervenir en quelques minutes", insiste Martine Ohresser, médecin ORL. Le bruit a en
outre des effets plus généraux sur la santé en agissant sur le système émotionnel. Des études ont
ainsi montré que des personnes exposées au bruit quotidien comme celles habitant à proximité
d'un aéroport présentaient plus fréquemment des maladies cardiovasculaires, des pressions
artérielles plus élevées ou des troubles psychiques comme l'anxiété voire la dépression. Elles
souffrent aussi davantage de troubles du sommeil. Dans les bureaux en "open space", le bruit
généré par les conversations, les sonneries des téléphones, entraîne plus de fatigue, les salariés
étant contraints d'être "hyper concentrés" pour rester efficaces. A l'école, le bruit se traduit par un
déficit d'attention. En France, 12 à 13% de la population, soit 6 à 8 millions de personnes sont
touchées par des problèmes d'audition, selon des données de la JNA. L'association estime que ces
données sont probablement inférieures à la réalité faute, notamment de dépistage efficace. "Les
tests basiques sont insuffisants", déplore le professeur Hung Thaï Van, chef de service audiologie
qui raconte la malheureuse expérience de ce jeune de 19 ans, en échec scolaire, à qui on a imposé
six ans d'orthophonie alors qu'il souffrait de trouble auditif non diagnostiqué. Selon lui, "près de
40% des enfants en difficultés scolaires peuvent avoir un trouble central d'audition". A l'occasion
de la 19e journée de l'audition, la JNA va diffuser trois spots de prévention visant les jeunes, les
actifs et les retraités avec trois messages: "Je protège mes oreilles"; "je fais des pauses régulières";
"je fais faire un bilan régulier de mon audition". L'an passé, l'Organisation mondiale de la santé
avait averti que plus d'un milliard de jeunes dans le monde étaient menacés par des troubles
auditifs parce qu'ils écoutent de la musique trop forte. Par Delphine TOUITOU © 2016 AFP
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3 mars 2016 - 11:02
Un Français sur deux se sent agressé par le
bruit
C'est l'enseignement d'un sondage publié jeudi en vue de la prochaine journée nationale de
l'audition. au travail ou dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des effets
directs sur la santé. C'est le résultat d'un sondage publié jeudi réalisé par l'Institut Ifop en vue de
la 19e journée nationale de l'audition(JNA ) le 10 mars prochain. Au total, 51% des personnes
interrogées se sentent "agressées souvent ou très souvent" par le bruit dans les lieux publics, 50%
sur leur lieu de travail, 48% dans la rue, 48% dans les transports en commun, 40% dans les écoles
et 21% à domicile, selon ce sondage. Au bureau et pendant la nuit aussi. Si les ouvriers sont
naturellement plus affectés par le bruit (91% des ouvriers interrogés disent avoir des difficultés à
suivre les conversations en raison du bruit ambiant), les autres professions ne sont pas
épargnées. Six à huit actifs sur 10 se disent en effet gênés par le bruit alors qu'ils travaillent
généralement dans un bureau ou en "open space" (espace ouvert). Le sondage révèle en outre qu'il
n'y aucun répit de nuit comme de jour : 32% des sondés sont plutôt gênés la nuit, 27% le jour et
27% les deux. Seuls 14% ne sont "généralement pas sensibles au bruit". Des conséquences sur la
santé... Pour neuf personnes sur 10, le bruit est devenu un enjeu de société et 94% des Français
estiment que le bruit a des effets directs sur la santé . Le sondage démontre cependant la
méconnaissance des conséquences du bruit sur l'audition. Moins d'un Français sur deux a
conscience que le bruit peut générer une surdité définitive. ... plutôt méconnues. Dans le détail,
74% des personnes interrogées estiment que le bruit entraîne de la fatigue, 67% estiment qu'il
perturbe le sommeil, 53% qu'il crée des maux de têtes, 49% qu'il génère l'anxiété, 45% qu'il fait
courir un risque de surdité définitive et 42% qu'il crée des acouphènes (sifflements et
bourdonnements) . Pour 7 jeunes sur 10, le bruit ne fait pas courir de risque de surdité définitive.
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4 mars 2016 - 05:00
Audition - 19e journée nationale de l’audition
le 10 mars Le bruit nuit gravement à la santé
Un sondage Ifop publié jeudi a révélé qu’un Français sur deux se sent agressé par le bruit au
travail et dans les transports. Les bruits du quotidien ...
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3 mars 2016 - 16:27
Audition : il n’y a pas que les oreilles qui
souffrent de la pollution sonore
15% des Français seraient affectés par les troubles de l’ audition mais
aussi, pour 60% d’entre eux, le bruit impacte leur humeur et génère
de la fatigue et de la lassitude. Avec ce sondage, la 19e édition de la
Journée Nationale de l’Audition 2016, le 10 mars prochain, exhorte
à une prise de conscience des effets des nuisances sonores sur la
santé. Quels sont-ils?
L’audition, première victime du bruit ambiantA l’époque de la chasse et de la cueillette, l’homme
évoluait dans un environnement calme, ne dépassant pas les 80 décibels (dB). Peu à peu, des
sources sonores de plus en plus puissantes ont pollué notre environnement et l’ audition humaine
en souffre. On ne lui laisse plus le temps de récupérer. Soumis à des pressions constantes,
l’appareil auditif subit un état permanent de stress accélérant sa dégradation.L’enquête menée à
l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition 2016 met cet état de fait en évidence : la
moitié des personnes interrogées se disent agressées par le bruit au travail, dans les transports et à
l’école et les deux tiers se sentent plus exposées au bruit qu’auparavant.Or, à partir de 80-85 dB,
le risque de dégradation des cellules ciliées (sensorielles) de l’oreille interne existe et à 110 dB,
on s’expose à un traumatisme sonore aigu potentiel. Si la circulation automobile (tondeuse,
aspirateur) vrombit autour de 80 dB, les motos rugissent dans les 90 dB, les MP3 diffusent à 100
dB, les concerts et discothèques à 110 dB et les avions au décollage ou les marteaux piqueurs
nous agressent à 130-120 dB. Problème : l’oreille répond de façon étonnante au bruit : à chaque
fois que le niveau sonore s’élève de "seulement"10 dB, on entend deux fois plus fort ! Ainsi, un
son de 100 dB est perçu quatre fois plus fort qu’un son de 80 dB.Dr Didier Bouccara, médecin
ORL, Groupe Hospitalier Pitié Salpêtrière (Paris) : « Pour endommager à vie notre ouïe, il n’y a
pas que les sons intenses mais aussi l’accumulation d’expositions sonores d’intensité élevée. La
susceptibilité au bruit et à ses dégâts potentiels varie considérablement d’une personne à l’autre.
La pression acoustique constante génère un stress auditif entraînant a minima une fatigue et, au
fur et à mesure, une usure des cellules sensorielles de l’oreille. Par exemple, pour un niveau
sonore de 80 dB pendant une journée de 8h, l’ audition est en danger. Des niveaux acoustiques
de120-130 dB provoquent une douleur au niveau de l’oreille, par des mécanismes sensitifs liés à
la pression acoustique élevée. Le risque d’atteinte auditive partielle mais parfois irréversible, peut
apparaître à partir de110 dB (concerts…) mais aussi déjà avec l’utilisation au long cours d’un
baladeur poussé à 100 dB ».Les jeunes font la sourde oreilleVers une génération de
malentendants ? Les jeunes détruisent de façon irréversible leur capital audition , souvent en toute
connaissance de cause. Environ 50% des jeunes de 12 à 35 ans des pays à hauts et moyens
revenus sont exposés à des niveaux sonores trop élevés (de l’ordre de 85 décibels pendant 8
heures d’affilée et de 100 décibels pendant 15 minutes) avertissait l'Organisation Mondiale de la
Santé en 2015. Confirmation : la part des jeunes de 18 à 35 ans ayant un usage fréquent et intensif
d’écoute de musique "amplifiée" avec un casque ou des écouteurs a triplé depuis 2007, passant de
4 à 13%, et atteint 25% des 15-19 ans, selon le Baromètre Santé INPES/InVS (janvier
2016).Selon l’enquête JNA 2016, 38% des 15-17 ans avouent que le bruit les rend euphoriques.
S’ils sont presque tous conscients des dégâts potentiels sur leur audition , il ne se sentent pas en
danger et seuls 21% des 15-30 ans déclarent s’éloigner des enceintes et 3% utiliser des bouchons
d’oreilles à usage unique*. Un paradoxe qui explique que la situation, pourtant critique, évolue
peu. Déjà, près de 10% des moins de 25 ans présentent une perte auditive pathologique, avertit
l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES).Article publié par leSources
: D’après un entretien avec le Dr Didier Bouccara, médecin ORL, Groupe Hospitalier
Pitié-Salpêtrière (Paris) et la documentation fournie par les JNA
www.journee-audition.org*Sondages JNA ISPOS 2011-2012-2015
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3 mars 2016 - 10:50
Enquête JNA : les nuisances sonores
impactent les Français à tout âge !
À l’occasion de la 19e édition de la Journée nationale de l’audition,
l’association JNA a dévoilé les résultats de sa dernière enquête sur
l’impact des nuisances sonores sur la santé, et en particulier auditive.
Si le bruit a des effets directs sur la santé pour 94% des Français, la
majorité d’entre eux ne prend pas les mesures adéquates pour s’en
protéger. Retour sur les résultats de cette enquête avec Jean Stanko,
président de la JNA, qui en appelle aux audioprothésistes pour
accentuer la prévention auprès du public.
Chaque année, la JNA prend le pouls de la société en matière de « santé auditive », un concept
qu’elle a créé il y a trois ans déjà. À travers divers thèmes qu’elle aborde dans chacune de ses
enquêtes, la JNA apporte des informations sur les habitudes auditives des jeunes et des moins
jeunes. Pour cette 19e édition, l’association fait le point sur les nuisances sonores. Les données de
la dernière enquête réalisée par l’Ifop ont été recueillies auprès d’un échantillon représentatif de la
population française, constitué de 1 003 personnes âgées de 15 ans et plus.Il en ressort que le
bruit représente un enjeu de société pour près de 9 personnes sur 10 (89 %), avec des effets
directs sur la santé pour 94 % des Français. Précisément, 93 % des personnes interrogées sont
exposées chaque jour à un bruit excessif, quelle que soit sa durée. Nuit et jour (et en particulier la
nuit pour 41 % des 18/24 ans), le bruit impacte tout le monde. « Cette dernière enquête montre
que les gens se plaignent du bruit , énonce Jean Stanko, président de la JNA. Il y a donc une
conscience que le bruit dérange. Et cela dans beaucoup de circonstances. »© JNALes nuisances
sonores sont présentes en de nombreux lieux : 1 Français sur 2 subirait des agressions sonores au
travail ou dans les transports (en particulier les jeunes, chez qui 56 % des 15/17 ans et 57 % des
25/34 ans se sentent agressés par le bruit dans les transports). Et ce, quelle que soit la catégorie
socioprofessionnelle des personnes interrogées : si 91 % des ouvriers sont extrêmement impactés
par le bruit sur leur lieu de travail, 6 à 8 actifs sur 10 se disent gênés par le bruit alors qu’ils
travaillent en bureau ou en open space . Enfin, 47 % des Français sont gênés dans les magasins et
40 % des écoliers se sentent agressés par le bruit… Et cette exposition sonore quotidienne empire
avec les années : 2 Français sur 3 se disent plus exposés qu’avant par le bruit.Le bruit gêne…
mais les Français ne se protègent pasMais si le bruit gêne une majorité de Français, son impact est
sous-estimé et peu de personnes mettent en place des moyens de s’en protéger, en particulier les
jeunes. « D’après les récentes enquêtes, et pas seulement celles effectuées par la JNA , rapporte
Jean Stanko, les jeunes savent que le bruit nuit à leurs oreilles, mais ils ne font rien pour l’éviter.
La protection auditive passe en second plan. Tant qu’ils continuent à entendre, ils ne changent pas
leurs comportements, regrette l’ancien audioprothésiste. Pourtant, le bruit a de graves
conséquences sur le long terme. »Les résultats de l’enquête montrent que moins de 1 Français sur
2 a conscience que le bruit peut générer une surdité définitive (45% d’entre eux et seulement 9%
des 15/24 ans) ou des acouphènes (42 %). Et 7 jeunes sur 10 ne pensent pas que le bruit peut
conduire à une surdité définitive. À un âge sensible, empreint d’émotions, les jeunes âgés de 15 à
17 ans vivent une relation particulière au bruit. 38% d’entre eux estiment que le bruit « rend
euphorique », quand la moyenne de tous les âges s’élève à 11 %. Pire, 1 jeune âgé de 15 à 17 ans
sur 3 pense que l’exposition à des volumes sonores élevés éduque leurs oreilles en leur permettant
de s’habituer. « Nous nous sommes aperçus que la mise en place de mesures pour diminuer
l’agression sonore, par exemple en boîte de nuit, où l’on diminue la musique ou l’on distribue des
bouchons d’oreille, ne satisfait pas les jeunes, explique le président de la JNA. Le meilleur moyen
reste la mise à disposition de zones de repos, mais surtout, il faut communiquer sur les dangers du
bruit et accentuer la prévention. » Un rôle majeur pour les audioprothésistes, selon Jean Stanko.
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4 mars 2016 - 07:32
Un français sur deux victime de nuisances
sonores
La 19 ème édition de la Journée nationale de l’audition aura lieu le 10 mars prochain. A cette
occasion, l’association JAN s’est penchée sur le ressenti des Français face aux nuisances sonores.
Un résultat qui s’avère sans appel.
L’Ouïe est l’un des principaux sens nécessaire à notre équilibre général. Il repose sur des
mécanismes fragiles, altérables et la plupart du temps irréparables. Au cœur du danger : la
fragilité des cellules sensorielles de l’oreille interne, appelées cellules ciliées. Ces cellules jouent
le rôle de transmission des informations au cerveau auditif, à qui revient la charge de les décoder.
Elles ont pour particularité de s’user naturellement avec l’âge – phénomène appelé presbyacousie
– et plus rapidement sous l’effet d’une exposition sonore intense ou du fait de l’accumulation
d’expositions. Une fois abîmées, elles disparaissent à jamais. Les connaissances médicales
actuelles ne permettent pas de les remplacer. Cela se traduit par une difficulté à comprendre ses
interlocuteurs et à communiquer avec eux. Lorsque la déficience auditive n’est pas détectée à
temps, les enfants sont en difficulté dans les apprentissages ; les adultes sont fragilisés dans leur
vie sociale et professionnelle, le déclin cognitif s’accélère chez les seniors. Autrement dit,
l’altération de ce sens si précieux est un élément de déséquilibre impactant l’état général de
l’individu et sa qualité de vie. (source JNA)
Une enquête réalisée par JNA-Ifop, dans le cadre de la Journée nationale de l’audition qui se
déroulera le 10 mars prochain, révèle que pour la majorité des Français, les nuisances sonores
jouent un rôle sur la santé. 50% d’entre eux se disent exposés à des bruits excessifs tous les jours.
Bruit : La moitié des Français se sentent agressés
Tous les ans à lieu la Journée nationale de l’audition. Cette année, à cette occasion,
l’association a souhaité faire le point sur la perception qu’ont les Français des nuisances sonores.
Dans l’ensemble, les personnes interrogées sont conscientes que le bruit a un impact certain sur la
santé, elles sont 94% à le penser.
Dans le détail, 74% pensent que le bruit excessif entraîne de la fatigue, 67% qu’il est la cause de
troubles du sommeil, 53% qu’il est responsable de migraines, 49% qu’il accentue l’anxiété, 45%
qu’il entraîne une surdité définitive et enfin 42% qu’il créé des acouphènes.
La moitié de nos concitoyens se sentent agressés par le bruit sur leur lieu de travail et dans les
transports en commun. 90% jugent que les bars et restaurants sont trop bruyants et 21% se sentent
gênés par le bruit à leur domicile.
Des perceptions différentes avec les jeunes
Si près de 80% des jeunes de 15 à 17 ans se disent gênés par le bruit à l’école et 58% d’entre eux
pensent que rien ne peut être fait contre le bruit, ils sont près de 70% à penser que le bruit excessif
ne peut pas provoquer une surdité définitive et 38% avouent que le bruit les rend euphoriques.
Jean Stanko, le président de la JNA déclarait : « D’après les récentes enquêtes, et pas seulement
celles effectuées par la JNA, les jeunes savent que le bruit nuit à leurs oreilles, mais ils ne font
rien pour l’éviter. La protection auditive passe en second plan. Tant qu’ils continuent à entendre,
ils ne changent pas leurs comportements, regrette l’ancien audioprothésiste. Pourtant, le bruit a de
graves conséquences sur le long terme« .
Une étude démontrait en 2015 que les personnes les plus exposées aux bruits étaient plus sujettes
à souffrir de troubles tels que des problèmes de concentration, des maux de tête, des troubles de
l’humeur (sautes d’humeur, nervosité, irritabilité) ou encore des troubles du sommeil allant
jusqu’à des insomnies.
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4 mars 2016 - 07:32
Un français sur deux victime de nuisances
sonores
La 19 ème édition de la Journée nationale de l’audition aura lieu le 10 mars prochain. A cette
occasion, l’association JAN s’est penchée sur le ressenti des Français face aux nuisances sonores.
Un résultat qui s’avère sans appel.
L’Ouïe est l’un des principaux sens nécessaire à notre équilibre général. Il repose sur des
mécanismes fragiles, altérables et la plupart du temps irréparables. Au cœur du danger : la
fragilité des cellules sensorielles de l’oreille interne, appelées cellules ciliées. Ces cellules jouent
le rôle de transmission des informations au cerveau auditif, à qui revient la charge de les décoder.
Elles ont pour particularité de s’user naturellement avec l’âge – phénomène appelé presbyacousie
– et plus rapidement sous l’effet d’une exposition sonore intense ou du fait de l’accumulation
d’expositions. Une fois abîmées, elles disparaissent à jamais. Les connaissances médicales
actuelles ne permettent pas de les remplacer. Cela se traduit par une difficulté à comprendre ses
interlocuteurs et à communiquer avec eux. Lorsque la déficience auditive n’est pas détectée à
temps, les enfants sont en difficulté dans les apprentissages ; les adultes sont fragilisés dans leur
vie sociale et professionnelle, le déclin cognitif s’accélère chez les seniors. Autrement dit,
l’altération de ce sens si précieux est un élément de déséquilibre impactant l’état général de
l’individu et sa qualité de vie. (source JNA)
Une enquête réalisée par JNA-Ifop, dans le cadre de la Journée nationale de l’audition qui se
déroulera le 10 mars prochain, révèle que pour la majorité des Français, les nuisances sonores
jouent un rôle sur la santé. 50% d’entre eux se disent exposés à des bruits excessifs tous les jours.
Bruit : La moitié des Français se sentent agressés
Tous les ans à lieu la Journée nationale de l’audition. Cette année, à cette occasion,
l’association a souhaité faire le point sur la perception qu’ont les Français des nuisances sonores.
Dans l’ensemble, les personnes interrogées sont conscientes que le bruit a un impact certain sur la
santé, elles sont 94% à le penser.
Dans le détail, 74% pensent que le bruit excessif entraîne de la fatigue, 67% qu’il est la cause de
troubles du sommeil, 53% qu’il est responsable de migraines, 49% qu’il accentue l’anxiété, 45%
qu’il entraîne une surdité définitive et enfin 42% qu’il créé des acouphènes.
La moitié de nos concitoyens se sentent agressés par le bruit sur leur lieu de travail et dans les
transports en commun. 90% jugent que les bars et restaurants sont trop bruyants et 21% se sentent
gênés par le bruit à leur domicile.
Des perceptions différentes avec les jeunes
Si près de 80% des jeunes de 15 à 17 ans se disent gênés par le bruit à l’école et 58% d’entre eux
pensent que rien ne peut être fait contre le bruit, ils sont près de 70% à penser que le bruit excessif
ne peut pas provoquer une surdité définitive et 38% avouent que le bruit les rend euphoriques.
Jean Stanko, le président de la JNA déclarait : « D’après les récentes enquêtes, et pas seulement
celles effectuées par la JNA, les jeunes savent que le bruit nuit à leurs oreilles, mais ils ne font
rien pour l’éviter. La protection auditive passe en second plan. Tant qu’ils continuent à entendre,
ils ne changent pas leurs comportements, regrette l’ancien audioprothésiste. Pourtant, le bruit a de
graves conséquences sur le long terme« .
Une étude démontrait en 2015 que les personnes les plus exposées aux bruits étaient plus sujettes
à souffrir de troubles tels que des problèmes de concentration, des maux de tête, des troubles de
l’humeur (sautes d’humeur, nervosité, irritabilité) ou encore des troubles du sommeil allant
jusqu’à des insomnies.
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3 mars 2016 - 13:23
Six clips vidéo pour comprendre la surdité au
quotidien
Corinne, webdesigner, est sourde et aime faire la fête avec ses amis. Pour se faire comprendre au
bar, elle communique par geste ou écrit sa commande sur un bout de papier (image tiré d'un des
clips de la campagne). Image: DR Envoyer à* Votre adresse e-mail* Votre email a été envoyé.
Vous voulez communiquer un renseignement ou vous avez repéré une erreur ? Six portraits filmés
pour comprendre le quotidien des personnes sourdes ou malentendants. A l'approche de la
journée nationale de l'audition, le 10 mars, Fédération suisse des sourds (FSS) lance une
campagne de sensibilisation sur Internet ( www.ecoutemonhistoire.ch ). On y découvre une
enseignante, un artiste, un joueur de futsal, un skateur, une interprète en langue des signes et une
jeune fêtarde. Six personnalités fortes qui vivent leur vie comme tout un chacun - mais sans le
son. Les internautes sont invités à partager ces clips vidéo sur les réseaux sociaux. En Suisse, pas
moins de 500'000 personnes souffrent d'un trouble de l'audition, et parmi elles 10'000 environ
sont complètement sourdes. La communication entre sourds et entendants est ardue, rappelle la
FSS. «Ces derniers ne savent pas vraiment comment se comporter avec les sourds, ce qui se
traduit par une exclusion involontaire.» Avec cette campagne, portée par des images de grande
qualité et de courts textes explicatifs, la FSS souhaite aider les personnes entendantes «à
développer une meilleure empathie pour celles qui souffrent d’un déficit auditif, mais aussi à
dissiper les préjugés et les appréhensions». (24 heures) La défaite de l'UDC tournée en dérision
sur Twitter 'Une initiative demande plus de moyens pour les vélos', publié le 2 mars 2016 (Image:
Bénédicte)
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2 mars 2016 - 16:55
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Santé : 20% des moins de 25 ans ont déjà
l'audition d'un adulte de 40 ans
Ce jeudi 10 mars sera la 19e Journée Nationale de l'Audition. L'occasion de s'informer et
écouter quelques conseils des spécialistes de l'audition pour prendre soin de son capital auditif.
L'invité du Rendez-Vous Santé ce mercredi, le Dr Jean-Michel Klein, président du syndicat
national des médecins Orl, nous livrait quelques conseils.
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3 mars 2016 - 10:45
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#Sondage Un Français sur deux se sent
agressé par le bruit au travail ou dans les
transports
Un Français sur deux se sent agressé par le bruit au travail ou
dans les transports, et neuf sur dix estiment que le bruit a des
effets directs sur la santé, selon un sondage.
Au total, 51% des personnes interrogées se sentent "agressées
souvent ou très souvent" par le bruit dans les lieux publics, 50%
sur leur lieu de travail, 48% dans la rue, 48% dans les transports
en commun (dont 56% chez les 15-17 ans et 57% chez les 25-34
ans), 40% dans les écoles et 21% à domicile, selon cette enquête
de l'Institut Ifop en vue de la 19e journée nationale de l'audition
(JNA) le 10 mars.
Si les ouvriers sont naturellement plus affectés par le bruit (91%
des ouvriers interrogés disent avoir des difficultés à suivre les
conversations en raison du bruit ambiant), les autres professions
ne sont pas épargnées.
Six à huit actifs sur 10 se disent en effet gênés par le bruit alors
qu'ils travaillent généralement dans un bureau ou en "open
space" (espace ouvert).
Le sondage révèle en outre qu'il n'y aucun répit de nuit comme
de jour: 32% des sondés sont plutôt gênés la nuit, 27% le jour et
27% les deux. Seuls 14% ne sont "généralement pas sensibles au
bruit".
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3 mars 2016 - 10:45
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Pour neuf personnes sur 10, le bruit est devenu un enjeu de société et 94% des Français estiment
que le bruit a des effets directs sur la santé.
Pour autant, seul un Français sur quatre se dit responsable de nuisances sonores, alors que 33%
des personnes interrogées masquent les bruits gênants à leur domicile avec de la musique ou la
télévision.
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ÉVÉNEMENT " Le porteur d'histoire " à
Aiffres
C'est une magnifique déclaration d'amour à la littérature, au théâtre,
mais aussi au cinéma. « Le porteur d'histoire », qui sera joué mardi 8
mars à 20 h 30 à l'Espace Tartalin a Aiffres, s'est vu décerner deux
Molière en 2014 (meilleur auteur francophone vivant et meilleur
metteur en scène d'un spectacle de théâtre privé). Cinq comédiens
campent une foule de personnages avec inventivité, humour, émotion
pour nous raconter un conte où se croisent personnages célèbres et
illustres inconnus. « Le porteur d'histoire » c'est un voyage
enthousiasmant écrit et mis en scène par Alexis Michalik. Auteur,
réalisateur, metteur en scène et comédien, il a tourné entre autres avec
Billy Zane, Diane Kurys, Safy Nebou, Yann Samuel, Fernando
Colomo, Danièle Thompson, Alexandre Arcady. Réservez vite votre
place: vous allez passer une bonne soirée.
Mardi 8 mars à 20 h 30 à l'Espace Tartalin à Aiffres. Durée 1 h 35. Tarifs : 18 € (plein), 6 €
(réduit), 3 € enfants. Tél. 05.49.75.53.58.SANTÉ Un monde bruyant… et nos oreilles ?« Un
monde bruyant … et nos oreilles dans tout ça ? », sera le thème d'une conférence donnée à Niort
dans le cadre de la 19e journée nationale de l'audition. La Mutualité française
Poitou-Charentes, le centre d'audition mutualiste des Deux-Sèvres et le CRBVTA (centre régional
basse vision et troubles de l'audition) organisent un rendez-vous grand public avec un médecin
ORL, un audioprothésiste, un psychologue et un orthophoniste.Jeudi 10 mars de 10 h à 12 h,
amphithéâtre n°1, centre Du-Guesclin, place Chanzy à Niort. Entrée libre.REGION Les Auteurs
poitevins en assemblée générale
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bruit au quotidien? 1 français sur 2 le jo…
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personnes sont-elles gênées par le bruit au quotidien? 1 français sur 2
le jo…
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2 mars 2016 - 08:19
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Le centre sur la surdité pérennisé à Blois
L'avenir du Centre d'action et d'information sur la surdité (CAIS) s'est éclairci il y a un mois. Fin
janvier, la publication d'un arrêté a entériné ce service, géré par l'Association de patronage de
l'institution régionale de jeunes sourds d'Orléans (APIRJSO), pour une durée de quinze ans à
Blois. Le CAIS avait été créé en 2011 à titre expérimental pour trois ans.
Aujourd'hui, l'équipe, composée d'une chef de service, d'une secrétaire-documentaliste, d'une
médiatrice sociale, d'une conseillère technique, d'un psychologue et d'une assistante de service
social, peut travailler sur le long terme. Les missions de la structure ne changent pas : il s'agit de
répondre aux besoins d'information, d'accompagnement, de formation, d'expertise dans le
domaine de la surdité en région Centre-Val de Loire.
Dès cette année, des projets vont voir le jour. « Nous avons une réflexion en cours sur le comité
d'éthique pour analyser les besoins recensés sur le territoire, annonce Mélanie Laurent, chef de
service du CAIS. Nous souhaitons créer, en 2016, un CAIS mobile itinérant pour aller au plus
près de la population de la région, avec une mise à disposition d'ouvrages, l'exposition d'aides
techniques et la possibilité d'avoir un entretien individuel. A nous de trouver un véhicule
adapté. »
Faciliter la communication
L'autre grand dossier qui va occuper le service est la mise en place d'un observatoire régional de
la surdité pour obtenir des statistiques, un travail qui se fera en partenariat avec la Maison
départementale des personnes handicapées, Cap emploi, l'Agefiph… En lien avec l'Agence
régionale de santé, le CAIS a édité un petit ouvrage sur les mots d'usage à connaître en langue des
signes pour faciliter la communication entre les sourds-malentendants et tout autre public. Un
second fascicule va sortir d'ici quinze jours, recensant tous les mots courants en rapport avec
l'accès aux soins. Un répertoire des acteurs accessibles aux personnes sourdes et malentendantes
dans la région a également été conçu. En revanche, le CAIS n'est pas formateur en langue des
signes.
A l'heure où tous les lieux publics planchent sur la question de l'accessibilité, Mélanie Laurent
estime que ce sujet ne doit pas reposer uniquement sur le côté technique de la réalisation :
« L'accessibilité passe aussi par de la sensibilisation pour mieux appréhender la communauté
malentendante, comprendre les différents degrés de la surdité, savoir aborder une personne et
disposer de moyens pour encourager l'échange. »
A l'occasion de la Journée nationale de l'audition, la conseillère technique du Centre
d'action et d'information sur la surdité accueillera le public jeudi 10 mars, de 9 h à 17 h, sur
la plateforme d'aides techniques, au 34, avenue du Maréchal-Maunoury, cité
administrative, porte B, à Blois. Tél. 02.54.33.53.04. SMS : 06.12.65.00.18.
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2 mars 2016 - 10:04
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Journée nationale de l'audition jeudi 10 mars
À l’occasion de la journée nationale de l’audition, l’association Malentendants du Cantal
ARRDS15 organise des ateliers d’information jeudi 10 mars, de 10 heures à 17 h 30, à la maison
des associations (face au cinéma le Cristal), salle 1, rez-de-chaussée, 8, place de la Paix, bâtiment
de l’Horloge, à Aurillac. À 10 h 15 et 14 h 15, coût et financement des appareils auditifs?; à 10 h
45 et 14 h 45, accessibilité auditive des établissements recevant du public : quelles avancées au
niveau local? ? cinéma, théâtre, musées…?; à 11 h 15 et à 16 h 15, « Un monde bruyant et nos
oreilles dans tout ça ? » (JNA), les nuisances sonores et leur impact sur la santé. Tout au long de
la journée : renseignements, démonstrations des aides techniques qui facilitent le quotidien des
malentendants, échanges autour d’un verre ou d’un café.
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2 mars 2016 - 07:01
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L’impact du bruit sur notre santé
Un monde bruyant... et nos oreilles dans tout c a ?
C’est le thème retenu pour la prochaine Journée
nationale de l’Audition, le 10 mars. Hier nos oreilles
étaient au calme. Mais les progrès technologiques ont créé
des nuisances sonores: trafic routier, avions, sirènes,
écouteurs dans les oreilles, concerts, boîtes de nuit et
cinémas où l’intensité sonore est exagérée… Notre
système auditif n’est pas conçu pour affronter autant de
décibels. Aujourd’hui, par son omniprésence et son
intensité, le bruit représente l’une des principales causes
de l’altération des capacités auditives dans les pays
industrialisés. Mais le bruit n’a pas que des conséquences
sur l’audition. Il fragilise aussi la santé physique et
psychique des Français. Récemment, l’étude réalisée à
l’occasion de la Cop21, par l’Agence Européenne de
l’environnement, confirme que les pollutions sonores
représentent la plus grande pollution au monde.
** Pour en savoir plus **
• N° Azur : 0810 200 219
• Site : www.journee-audition.org/
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Univ-nantes.fr
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29 février 2016 - 12:20
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Semaine de dépistage des troubles auditifs
du lundi 07 au vendredi 11 mars, de 9h à 16h
Campus centre ville, Campus Tertre, Campus Lombarderie, Campus Chantrerie, Campus La
Fleuriaye, ESPE - Site de NantesCentre de santé des étudiants - SUMPPSMaison des Services110
bd Michelet - NANTESTramway Ligne 2 - Direction Orvault Grand Val - arrêt Michelet ou
Morrhonnière-Petit PortLignes de bus : 70 (Michelet), 26 (Morrhonnière), 25 (Petit Port)Venez
tester votre audition au Centre de santé des étudiants, c'est gratuit et sans rendez-vous !Dans le
cadre de ses activités de prévention et de promotion de la santé, le Centre de santé des étudiants
de l'Université de Nantes, partenaire officiel de la Journée Nationale de l'Audition , organise
une semaine de dépistage des troubles auditifs du 07 au 11 mars 2016.De 9h à 16h, une infirmière
pourra vous recevoir, sans rendez-vous , pour un bilan gratuit de votre audition . Au programme,
réalisation de votre audiogramme, exposition sur les risques auditifs et distribution de bouchons
d'oreilles.Parce que bien entendre est essentiel pour votre avenir, venez nous rencontrer au Centre
de santé des étudiants !Contact:
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29 février 2016 - 16:00
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Audition: une émission spéciale sur France 5
Une bonne audition rend possible l'écoute du chant des oiseaux, du rire d'un enfant, des
confidences d'un ami, et bien plus encore.Le 10 mars, c'est la Journée nationale de l’audition
(JNA), consacrée cette année aux nuisances sonores.• Pourquoi est-il si important de bien
entendre?Nous avons besoin d’augmenter le son de la radio, nous trouvons que notre interlocuteur
articule moins bien, notre entourage nous fait des remarques qui nous irritent...Les raisons de vite
dépister une perte auditive ne manquent pas. Un médecin pourra repérer une maladie ou un
médicament affectant la capacité auditive et proposer des bouchons d’oreilles pour les protéger
lors d’un mariage ou d’un concert. Ou conseiller des aides auditives.Seuls 25% de ceux qui en ont
besoin sont appareillés. Dommage, vu les bénéfices attendus! Car bien entendre, c’est bon pour:Rester connecté à ses prochesFaire répéter encore et encore, au risque de quiproquos burlesques
ou malheureux, affecte les relations sociales, rend compliqué d’être présent et attentif. Les études
démontrent que mal entendre augmente le repli sur soi et la solitude, alors que notre vivacité
intellectuelle est stimulée par nos échanges.- Garder sa vitalité"Être sur le qui-vive en raison
d’une perte auditive, même légère, est épuisant et peut expliquer fatigue, maux de tête, problèmes
de sommeil et anxiété", observe Sébastien Leroy, psychologue spécialiste de l’audition.- Gommer
des contractures musculairesDevoir "tendre l’oreille" génère des tensions au niveau des épaules et
de la nuque. La parade: s’offrir des pauses auditives comme des promenades dans la nature, un
peu de silence ou de musique douce...- Conserver un cerveau alerteUne étude récente de l’Inserm
de Bordeaux pointe le lien entre trouble auditif et déclin de la mémoire. Une autre, menée par le
Grap santé , estime que le risque de troubles cognitifs, dont la maladie d’Alzheimer, est 2,5 fois
plus élevé, sauf compensation avec une aide auditive. Plus l’oreille capte de sons, mieux le
cerveau les décrypte.À lire aussi: 8 conseils pour garder ses sens en éveil!- Garder bon
moralConserver le bonheur d’écouter une mélodie aimée ou de voir un film joue sur le moral. La
dépression est plus fréquente chez les personnes entendant mal. Et c’est réversible, d’où
l’importance de s’appareiller!- Préserver son équilibreAudition et équilibre vont de pair, explique
le Pr Hung Thaï Van, ORL et chef de service d’audiologie à Lyon. "Ces deux fonctions sont
colocataires de l’oreille interne. Des aides dans chaque oreille améliorent la localisation de
l’origine du son et diminuent ainsi les vertiges."- Éviter les accidents de la routeEntendre le bruit
d’un klaxon et les freins d’une voiture aide à réagir vite. Sur la route, un tué sur sept est un piéton
et parmi eux, plus d’un sur deux est âgé de 65 ans ou plus.À l'occasion de la Journée nationale
de l’audition(JNA), Enquête de santé, le magazine de France 5 présenté par Marina Carrère
d’Encausse, Benoît Thevenet et Michel Cymes propose aux six millions de Français qui entendent
mal de "briser le silence".Un documentaire de Caroline Diebold, "Pertes d'audition, quelles
solutions?" fera le point sur le vrai prix des aides auditives , l’intérêt d’empêcher nos oreilles de
vieillir trop vite et les moyens d’y parvenir. Il sera suivi d’un débat animé par Marina Carrère
d’Encausse, Michel Cymes et Benoît Thevenet.France 5, "Enquête de santé" , le mardi 1er mars
2016 à 20h35. Vos questions par SMS au 41555 et sur Twitter #santef5Regardez la
bande-annonce:À lire aussi:Audition: participez à notre tchat le 10 mars à l’occasion de la journée
nationale!Surveiller son audition protège d'Alzheimer
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29 février 2016 - 21:43
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Depositphotos Journée nationale de
l’audition. Soutenir le cerveau... pour mieux
entendre
29 février 2016 à 16h46 commentaires
De la déficience auditive, à la gêne sociale, les troubles de
l’audition évoluent progressivement. Ils retentissent sur la qualité
de vie des personnes concernées. Le point à l'occasion de la
Journée nationale de l'audition, jeudi 10 mars.
Mieux étudiées, les conséquences de la baisse auditive doivent être considérées comme une
priorité de santé publique. D’autant plus qu’il existe aujourd’hui des solutions parfaitement
individualisées qui offrent unvrai confort de vie. « Le handicap auditif est assez méconnu en
France. Il concerne pourtant plus de 5 millions de personnes », explique Geneviève Gueydan,
directrice générale de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, dans le Bulletin
épidémiologique hebdomadaire du 15 décembre 2015. Et le BSSM (*) confirme même que les
populations sourdes et malentendantes en France présentent une santé mentale dégradée.
De son côté, l’étude « Perte d’audition auto-évaluée » (2) a permis de montrer que les
équipements d’aide auditive limitent l’accélération du déclin cognitif liée à la perte d’audition : ce
déclin s’aligne alors avec celui constaté chez les normo-entendants. Cette étude a suivi 3.670
adultes de plus de 65 ans sur une période de 25 ans. Un travail dirigé par le Pr Hélène Amieva,
spécialiste en neuropsychologie et épidémiologie du vieillissement à l’Université de Bordeaux.
Alléger l’effort du cerveau pour entendre
Avec son équipe, elle a comparé la trajectoire de déclin cognitif chez des personnes âgées qui
utilisent des appareils auditifs, et chez d’autres non équipés. Les résultats sont sans équivoque. La
perte d’audition non traitée est associée à un déclin cognitif accéléré, ce qui n’est pas le cas parmi
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les participants équipés.
« L’amélioration de la communication rendue possible par les appareils auditifs débouche sur une
amélioration de l’humeur, de l’interaction sociale et des capacités qui sont stimulantes
cognitivement. C'est la raison sous-jacente la plus probable qui explique que le déclin cognitif soit
limité », affirme Thomas Behrens, directeur de l’Audiologie et du Centre de recherche
d’audiologie chez Oticon.
Ces résultats plaident en faveur de l’efficacité des technologies actuelles et plus précisément sur
le concept du Brain HearingTM, développé par les chercheurs d’Oticon. Ce dernier repose sur
une approche qui traite avec précision les signaux de la parole, afin qu’ils parviennent au cerveau
de la personne équipée aussi clairement et fidèlement que possible. Résultat, il est possible
d’écouter à nouveau de manière très efficace, sans fatiguer le cerveau. Cela implique un travail
mental moins exigeant au cours de la journée. Les personnes équipées peuvent ainsi seconsacrer
davantage aux activités de la vie quotidienne et profiter du plaisir d’échanger avec leurs proches.
1. Baromètre santé sourds etmalentendants.
2. Journal of The American Geriatrics Society, 02/11/2015.
Jeudi 10 mars
3.000 professionnels semobiliseront pour proposer des tests gratuits de l’audition : médecins et
services ORL, généralistes, médecins du travail, audioprothésistes, orthophonistes… N° Azur
0810.200.219.
Liste des praticiens
sur www.journee-audition.org
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Pour vaincre la surdité, quels types
d'implants ?
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278 millions de personnes dans le monde présentent une surdité modérée à profonde sur les deux
oreilles, selon l'OMS. La surdité est aujourd'hui une préoccupation majeure de santé publique. En
effet, l'évolution démographique prévoit une explosion des besoins ces prochaines années. La
plupart des surdités ne sont pas traitées alors qu'à ce jour le progrès technologique et la
biotechnologie permettent de venir à bout de la quasi-totalité d'entre elles, à tel point qu'on parle
aujourd'hui de déficit résolu. Le jeudi 10 mars 2016 se tiendra la 19ème édition de la Journée
nationale de l'audition (site en lien ci-dessous) sur le thème "Un monde bruyant, et nos oreilles
dans tout ça ? ". De nombreux acteurs seront au service du grand public pour informer et proposer
des tests de dépistage gratuits dans toute la France.
Des solutions adaptées à chaque besoin
Le marché de l'amplification auditive est conséquent et les perspectives de développement sont
considérables. C'est un atout pour les patients, qui, tous les deux ans environ, bénéficient d'une
nouvelle avancée technologique. A ce jour, les moyens de réhabiliter les différents types de
surdité comprennent les aides conventionnelles de type prothèses auditives, équipées d'un
microphone, d'un processeur pour traiter le signal et d'un haut-parleur, ainsi que les implants
auditifs. Les prothèses auditives deviennent insuffisantes en cas de surdité trop avancée.
Trois types d'implants
Il existe 3 types d'implants, comprenant chacun une structure électronique qui transforme les
signaux sonores captés dans l'environnement et les traduisent en signal électrique :
- Les implants en conduction osseuse (ICO) : ils restituent l'énergie en énergie vibratoire
transmise soit à la voute crânienne soit à l'os mastoïdien. Cette énergie vibratoire est ainsi
transmise aux fluides de la cochlée et met en vibration les cellules de l'oreille interne. Ce type
d'implant s'adresse aux patients sans tympan ou osselet, et permet ainsi de créer la vibration émise
normalement par les osselets.
- Les implants d'oreille moyenne (IOM) : ils restituent l'énergie en énergie vibratoire ensuite
transmise soit aux osselets soit aux structures vibrantes de l'oreille moyenne jusqu'à la cochlée.
Dans ce cas et le précédent, l'oreille interne et ses cellules ciliées fonctionnent correctement. S'il
ne reste peu ou plus de cellules ciliées, il faut alors remplacer la cochlée avec un implant
cochléaire.
- Les implants cochléaires (IC) : ce sont les implants les plus posés en France. Ils restituent
l'énergie en signal électrique directement aux neurones des nerfs auditifs situés dans la cochlée,
car celle-ci étant peu on plus fonctionnelle, il n'y a donc plus de vibration.
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Consulter un médecin dès les premiers symptômes
Dans certains cas, plus rares de surdités d'origine nerveuse, où il n'y a plus d'oreille interne ni de
nerf auditif, il est possible de poser un implant directement sur le tronc cérébral qui stimule alors
directement le cerveau auditif. « Quand une surdité n'est pas corrigée immédiatement, notamment
pour les personnes âgées qui sont les plus touchées, le cerveau se déshabitue du son. Au plus on
réhabilite tôt au moins les difficultés sont importantes. La précocité de l'appareillage ou de
l'opération est donc importante », explique le docteur Devèze, chirurgien ORL. « Il est donc
important de consulter un spécialiste dès les premiers symptômes, poursuit-il. Prendre à temps la
surdité permet notamment d'éviter les cas d'isolement. Aujourd'hui, elle n'est plus une fatalité". A
l'occasion de la Journée nationale de l'audition, le 10 mars 2016, le docteur Devèze et l'Hôpital
privé Clairval à Marseille organisent une journée de dépistage gratuite au sein de cet
établissement tandis que le 12 mars, une conférence-débat aura lieu au sein de l'hôpital sur la
prise en charge de la surdité de l'adulte. Une initiative parmi les 2 400 proposées par la JNA dans
toute la France.
Connaître les actions de la JNA : N° Azur 0 810 200 219
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Des actions de sensibilisation à la perte d'audition dans toute la France #JNA https://t.co/HYP1XwKaGf
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26 février 2016 - 15:23
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Mutuelle Mieux-Etre partenaire de la journée
nationale de l'audition 2016
Source: Mutuelle Mieux-Etre (Communiqué de presse du 26 février
2016)
Mutuelle Mieux Être participe à la journée nationale de l'audition qui aura lieu le 10 mars 2016.
L'objectif étant de sensibiliser le public sur les pratiques à risques pour leur audition et les moyens
de protéger son capital auditif. Dans le cadre de cette journée, la mutuelle organise des tests
auditifs gratuits dans certaines de ses agences.
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27 février 2016 - 08:16
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Acouphènes: 7 solutions pour ne plus les
entendre
Un Français sur quatre a ou aurait eu des acouphènes. Suite à un traumatisme sonore, à une
poussée de tension, de diabète ou encore une otite, on se met à entendre un sifflement ou un
bourdonnement, de manière occasionnelle ou permanente. Les solutions pour en finir avec ce
bruit gênant.
Écouter du bruit blanc pour tromper le cerveau
© Fournis par Medisite Acouphènes : 7 solutions pour ne plus les entendre
Un acouphène peut passer de lui-même au bout de quelques jours ou quelques semaines. Lorsqu'il
s'installe, c'est qu'il a été "mémorisé" par le cerveau : "Il s’agit alors d’un son lié à un traumatisme
(maladie ou traumatisme sonore) qui reste en mémoire alors que la cause a disparu", précise le Dr
Lacher-Fougère. L'objectif est alors d’amener le cerveau à "oublier" ce bruit gênant et à le
masquer. Pour cela, on mélange ou couvre l'acouphène par un bruit qui n'est pas perçu comme
désagréable et que le cerveau est capable de filtrer.
En pratique : le masquage sonore peut par exemple se faire en écoutant une liste de musiques (de
préférence toujours la même) le soir au moment de dormir ou dès que l’acouphène est gênant. On
peut aussi utiliser un son neutre type bruit de nature (eau, vent...) ou un "bruit blanc", quasi
inaudible et proche de l'intensité sonore de l'acouphène (on trouve des CD de bruits blancs, par
ex. sur stop-acouphènes.com). Il faut généralement écouter ces bruits à un volume faible, 3 à 4h
par jour pendant au moins 6 mois. Si ça ne marche pas, un audioprothésiste peut aussi fournir un
générateur de bruit blanc à porter derrière l'oreille (environ 500 € par oreille).
Des exercices de relaxations pour les oublier
© Fournis par Medisite L'acouphène est un cercle vicieux : plus on focalise son attention
dessus parce qu'il nous gêne, plus il est mal vécu et plus on l'entend... Il faut essayer d'interrompre
ce cercle infernal et les méthodes de relaxation comme la sophrologie peuvent aider.
Comment ça marche ? Un sophrologue peut par exemple montrer des exercices de relaxation
dynamique (mouvements doux synchronisés au souffle) ou s'appuyer sur des images mentales (on
visualise par exemple un endroit où l'on se sent particulièrement bien afin de s'y ressourcer
lorsque l'acouphène nous dérange, par exemple le soir en se couchant). Il aide aussi à exprimer
son ressenti et à travailler sur la gestion du stress et des émotions. 3 à 6 séances sont généralement
nécessaires avant de pouvoir utiliser seul ces outils à la maison, au quotidien. (45 à 70 € selon la
région, http://reseau-sophrologie-acouphenes.fr/)
Détendre les muscles des cervicales
© Fournis par Medisite Certains acouphènes, dits "somatosensoriels", sont liés à des tensions
excessives au niveau de la face, du cou et des mâchoires. Des indices pour les reconnaître ? Ils
surviennent généralement d'un seul côté, par intermittence (notamment lorsqu'on bouge la tête
dans certaines positions) et s'accompagnent de maux de tête ou de douleurs cervicales.
Comment ça marche ? Via des pressions et des manipulations douces au niveau des cervicales et
des mâchoires, un ostéopathe ou un chiropracteur peuvent débloquer les tensions près de l'oreille
et aider à éliminer l'acouphène, au bout de 3 séances en moyenne (40 à 80€ selon la région et le
praticien).
Attention, ce n'est efficace que si l'acouphène n'est lié qu'à ces tensions mécaniques et qu'un bilan
ORL confirme qu'il n'y a pas d'autres causes comme une baisse de l'audition ou une maladie.
Trouver des parades pour se relaxer
© Fournis par Medisite Souvent, l'habituation à un acouphène se fait naturellement. Mais 10%
environ des gens n'y parviennent pas et se retrouvent très gênés au quotidien, avec des problèmes
d'anxiété, de sommeil, de fatigue... "L’objectif est alors d'apprendre à mieux gérer l'acouphène
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27 février 2016 - 08:16
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pour pouvoir l’ignorer et finir par l’oublier", explique le Dr Lacher-Fougère. Un soutien
psychologique via une thérapie comportementale et cognitive (TCC) peut aider. Ce type de
thérapie permet d'identifier les idées et automatismes qui entretiennent l'acouphène et de trouver
des parades.
En pratique : les exercices proposés visent à changer les croyances concernant l'acouphène (par
exemple "je peux trouver des parades" plutôt que "ça ne va aller qu'en empirant") ou la façon de
réagir lorsqu'il nous gêne (par exemple utiliser des méthodes de relaxation au lieu de fuir les
endroits bruyants). Une étude auprès de 492 patients a été publiée en 2012 dans The Lancet :
après 12 mois, les patients du groupe TCC présentaient une amélioration supérieure en matière de
qualité de vie par rapport à ceux qui recevaient uniquement des soins standards. Il faut
généralement compter 5 à 12 séances, auprès d'un psychologue, orthophoniste ou psychiatre
formé aux TCC (www.aftcc.org), d'abord en individuel puis en groupe. De 50 à 100 €/séance en
individuel, 30 à 50 € en groupe.
Essayer les vasodilatateurs pour les acouphènes récents
© Fournis par Medisite Lorsque les acouphènes sont récents (moins de 6 mois), le médecin
peut dans un premier temps prescrire un traitement par vasodilatateur, quelle qu'en soit la cause.
"En dilatant les vaisseaux sanguins, notamment ceux qui irriguent l’oreille, ces médicaments
augmentent l’afflux de sang et aideraient ainsi les cellules auditives agressées à se réparer",
explique le Dr Lacher-Fougère.
En pratique : le ginkgo biloba est une des molécules les plus prescrites. Il faut prendre ces
médicaments 2 à 3 fois par jour pendant 1 à 2 mois (s’il n’y a pas d’effet au-delà, mieux vaut
arrêter et essayer autre chose) mais ils ne sont plus remboursés. N'hésitez pas à demander conseil
à votre pharmacien.
Un appareil auditif qui diminue les acouphènes
© Fournis par Medisite Si l'acouphène est associé à une perte d'audition, un appareil auditif qui
amplifie les sons ambiants peut suffire à diminuer progressivement la gêne. Mais l’appareil doit
être bien réglé (trop fort, il favorise la fatigue auditive donc l’acouphène), il est donc important
d’ajuster le réglage au moins 3 fois par an chez l’audioprothésiste.
Mais aussi : si ça ne suffit pas, un générateur de sons peut être ajouté à l’appareil auditif (compter
en moyenne 300 € de plus). L’audioprothésiste essaiera de trouver les sons qui se rapprochent le
plus possible de l’acouphène : à la longue, l’oreille s’habitue à cette fréquence et le cerveau
comprend qu’il ne doit plus prendre en compte ces sons, on finit par ne plus entendre l'acouphène.
Consulter sans attendre
© Fournis par Medisite Lorsqu'on se met à entendre des sifflements ou bruits gênants dans
l'oreille, par exemple après un concert ou sans raison apparente, mieux vaut en parler tout de suite
à son généraliste ou son ORL. "Si on les prend tôt, on arrive à faire disparaître les acouphènes
dans la majorité des cas grâce à des médicaments ou des ambiances sonores douces. Mais il faut
consulter rapidement, dès lors que l'acouphène ne passe pas tout seul au bout de 3 ou 4 jours",
prévient le Dr Stéphane Lacher-Fougère, ORL à Bordeaux. En revanche, plus on attend avant de
s'en occuper (par exemple si on laisse traîner plusieurs mois), plus l'acouphène devient compliqué
à traiter car il est "mémorisé" par le cerveau.
L'idéal est de s'orienter vers une consultation acouphènes, au sein de laquelle tous ces
professionnels travaillent ensemble. "Chacun apporte son savoir-faire : soutien psychologique,
explication du fonctionnement de l’oreille, techniques de relaxation comme la sophrologie pour
diminuer le stress, stratégies d’évitement du silence, conseils pour trouver le masquage sonore
adéquat, etc…", précise le Dr Lacher-Fougère. Une trentaine d'équipes spécialisées existe à
travers la France. Pour contacter la plus proche, consulter le site de l'Afrepa , qui en regroupe
plusieurs.
Sources:
- Enquête JNA(Journée Nationale de l'audition)/ Ipsos Acouphènes et hyperacousie , 2014.
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Journée nationale de l’audition : Vaincre la
surdité ?
A l’occasion de la journée nationale de l’audition qui se tiendra le 10 mars prochain, le Docteur
Arnaud Devèze, Chirurgien ORL, et l’Hôpital privé Clairval souhaitent sensibiliser à la
problématique de surdité qui touche de plus en plus la population .Ainsi, une journée de dépistage
gratuite se tiendra le 10 mars prochain dans l’établissement. Le Dr Devèze organise également le
12 mars une conférence-débat au sein de l’Hôpital sur la prise en charge de la surdité de l’adulte
en présence de médecins ORL, audioprothésistes, orthophonistes et gérontologues.Aujourd’hui,
les problèmes d’audition peuvent être corrigés à tous les niveaux de la chaîne auditive . Zoom sur
les différentes solutions existantes.Vers une quasi-disparition de la surdité ?La surdité est
aujourd’hui une préoccupation centrale de santé publique. En effet, l’évolution démographique
prévoit une explosion des besoins ces prochaines années. Selon l’OMS, ce sont aujourd’hui 278
millions de personnes dans le monde qui présentent une surdité modérée à profonde sur les 2
oreilles .La plupart ne sont pas traitées alors qu’à ce jour, le progrès technologique et la
biotechnologie permettent de traiter la quasi-totalité des surdités, à tel point qu’on parle
aujourd’hui de déficit résolu. Il existe en effet de multiples solutions pour répondre aux
problèmes de surdité , et à tous les niveaux de la chaîne auditive, à l’instar des appareils et
implants.« Il est important de consulter un spécialiste dès les premiers symptômes de surdité.
Prendre à temps la surdité permet notamment d’éviter les cas d’isolement. Aujourd’hui, elle n’est
plus une fatalité » , précise le Docteur Arnaud Devèze, Chirurgien ORL au sein de l’Hôpital privé
Clairval.En témoigne Gabriella Fiori, patiente du Docteur Devèze « J’ai un déficit d’audition
assez important depuis la naissance sans que cela n’ait été détecté et traité. Ce qui a eu un impact
significatif tant dans ma vie scolaire et professionnelle que personnelle. Les prothèses, que je
porte depuis 15 ans, ont énormément changé ma vie et je regrette de ne pas avoir eu l’occasion
d’être dépistée et traitée plus tôt. Le Docteur Devèze m’a permis de comprendre l’origine de ma
pathologie, son interaction avec une autre pathologie immunitaire, et prévoir les solutions
possibles quant à son évolution. Et ce, grâce à une approche holistique du patient et à la pointe de
la technologie et de la recherche » .L’Hôpital privé Clairval possède un plateau technique
performant équipé d’un centre d’explorations otoneurologiques et d’un service de
neuroradiologie. Des équipes et un plateau qui constituent un environnement idéal pour
développer un programme d’implant.Certaines activités d’implantations n’étant pas remboursées
en France, le Dr Devèze et l’Hôpital souhaitent créer, à partir de cette année, un fond de recherche
et d’innovation pour offrir la possibilité à une dizaine de patients par an d’être pris en charge .Lire
notre dossier : Malaudition et seniors : prévenir et compenser les pertes auditivesDes solutions
adaptées à chaque besoinLe marché de l’amplification auditive est conséquent et les perspectives
de développement sont considérables. C’est un atout pour les patients, qui, tous les 2 ans environ
bénéficient d’une nouvelle avancée technologique.A ce jour, les moyens de réhabiliter les
différents types de surdité comprennent les aides conventionnelles de type prothèses auditives –
équipées d’un microphone, d’un processeur pour traiter le signal et d’un haut-parleur – ainsi que
les implants auditifs. Les prothèses auditives deviennent insuffisantes en cas de surdité trop
avancée.Il existe 3 types d’implants , comprenant chacun une structure électronique qui
transforme les signaux sonores captés dans l’environnement et les traduisent en signal électrique
:Les implants en conduction osseuse (ICO) : ils restituent l’énergie en énergie vibratoire
transmise soit à la voute crânienne soit à l’os mastoïdien. Cette énergie vibratoire est ainsi
transmise aux fluides de la cochlée et met en vibration les cellules de l’oreille interne. Ce type
d’implant s’adresse aux patients sans tympan ou osselet, et permet ainsi de créer la vibration
émise normalement par les osselets.Les implants d’oreille moyenne (IOM) : ils restituent
l’énergie en énergie vibratoire ensuite transmise soit aux osselets soit aux structures vibrantes de
l’oreille moyenne jusqu’à la cochlée. Dans ce cas et le précédent, l’oreille interne et ses cellules
ciliées fonctionnent correctement. S’il ne reste peu ou plus de cellules ciliées, il faut alors
remplacer la cochlée avec un implant cochléaire.Les implants cochléaires (IC) : ce sont les
implants les plus posés en France. Ils restituent l’énergie en signal électrique directement aux
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neurones des nerfs auditifs situés dans la cochlée, car celle-ci étant peu on plus fonctionnelle, il
n’y a donc plus de vibration.Dans certains cas plus rares de surdités d’origine nerveuse, où il n’y
a plus d’oreille interne ni de nerf auditif, il est possible de poser un implant directement sur le
tronc cérébral qui stimule alors directement le cerveau auditif.« Quand une surdité n’est pas
corrigée immédiatement, notamment pour les personnes âgées qui sont les plus touchées, le
cerveau se déshabitue du son. Au plus on réhabilite tôt au moins les difficultés sont importantes.
La précocité de l’appareillage ou de l’opération est donc importante » , ajoute le Docteur
Devèze.Une équipe pluridisciplinaire constituée d’un médecin ORL, d’un orthophoniste, d’un
audio prothésiste, d’un psychologue, d’un gérontologue est nécessaire pour offrir une prise en
charge globale au patient. En effet, après la pose d’un implant cochléaire par exemple, les sons
sont différents pour les patients. Ces derniers doivent ainsi être accompagnés d’un orthophoniste
et d’un psychologue afin de les réhabituer à l’écoute et à la parole.Il y a quelques années, les
personnes souffrant d’un problème d’audition n’avaient pas constamment de solutions pertinentes
en fonction de leur degré de surdité, aujourd’hui grâce au progrès de la biotechnologie et une
prise en charge précoce, quasiment toutes les surdités peuvent être vaincues.Informations
pratiques10 mars : journée de dépistage gratuite au 4ème étage du centre médical Clairval12 mars
: conférence-débat sur la prise en charge de la surdité de l’adulte au rez-de-chaussée du centre
médical Clairval.de 8h30 à 11h30 à destination des professionnels de 14h à 16h pour le grand
publicMédecins ORL, audioprothésistes, orthophonistes et gérontologues présenteront les causes
de la surdité, les modalités de prise en charge de celle-ci et les moyens de réhabiliter les troubles
auditifs.
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MARSEILLE / JOURNÉE NATIONALE DE
L’AUDITION – 10 mars 2016 : Vaincre la
surdité
MARSEILLE / Les explications du Dr Devèze, Chirurgien ORL au
sein de l’Hôpital privé Clairval à Marseille.
A l’occasion de la journée nationale de l’audition qui se tiendra le 10 mars prochain, le Docteur
Arnaud Devèze, Chirurgien ORL, et l’Hôpital privé Clairval souhaitent sensibiliser à la
problématique de surdité qui touche de plus en plus la population. Ainsi, une journée de dépistage
gratuite se tiendra le 10 mars* dans l’établissement. Le Dr Devèze organise également le 12
mars* une conférence-débat au sein de l’Hôpital sur la prise en charge de la surdité de l’adulte en
présence de médecins ORL, audioprothésistes, orthophonistes et gérontologues. Aujourd’hui, les
problèmes d’audition peuvent être corrigés à tous les niveaux de la chaîne auditive. Zoom sur les
différentes solutions existantes.Vers une quasi-disparition de la surditéLa surdité est aujourd’hui
une préoccupation centrale de santé publique. En effet, l’évolution démographique prévoit une
explosion des besoins ces prochaines années. Selon l’OMS, ce sont aujourd’hui 278 millions de
personnes dans le monde qui présentent une surdité modérée à profonde sur les 2 oreilles. La
plupart ne sont pas traitées alors qu’à ce jour, le progrès technologique et la biotechnologie
permettent de traiter la quasi-totalité des surdités, à tel point qu’on parle aujourd’hui de déficit
résolu. Il existe en effet de multiples solutions pour répondre aux problèmes de surdité, et à tous
les niveaux de la chaîne auditive, à l’instar des appareils et implants.» Il est important de
consulter un spécialiste dès les premiers symptômes de surdité. Prendre à temps la surdité permet
notamment d’éviter les cas d’isolement. Aujourd’hui, elle n’est plus une fatalité « , précise le
Docteur Arnaud Devèze, Chirurgien ORL au sein de l’Hôpital privé Clairval.En témoigne
Gabriella Fiori, patiente du Docteur Devèze » J’ai un déficit d’audition assez important depuis la
naissance sans que cela n’ait été détecté et traité. Ce qui a eu un impact significatif tant dans ma
vie scolaire et professionnelle que personnelle. Les prothèses, que je porte depuis 15 ans, ont
énormément changé ma vie et je regrette de ne pas avoir eu l’occasion d’être dépistée et traitée
plus tôt. Le Docteur Devèze m’a permis de comprendre l’origine de ma pathologie, son
interaction avec une autre pathologie immunitaire, et prévoir les solutions possibles quant à son
évolution. Et ce, grâce à une approche holistique du patient et à la pointe de la technologie et de la
recherche « .L’Hôpital privé Clairval possède un plateau technique performant équipé d’un centre
d’explorations otoneurologiques et d’un service de neuroradiologie. Des équipes et un plateau qui
constituent un environnement idéal pour développer un programme d’implant. Certaines activités
d’implantations n’étant pas remboursées en France, le Dr Devèze et l’Hôpital souhaitent créer, à
partir de cette année, un fond de recherche et d’innovation pour offrir la possibilité à une dizaine
de patients par an d’être pris en charge.Des solutions adaptées à chaque besoinLe marché de
l’amplification auditive est conséquent et les perspectives de développement sont considérables.
C’est un atout pour les patients, qui, tous les 2 ans environ bénéficient d’une nouvelle avancée
technologique. A ce jour, les moyens de réhabiliter les différents types de surdité comprennent les
aides conventionnelles de type prothèses auditives – équipées d’un microphone, d’un processeur
pour traiter le signal et d’un haut-parleur – ainsi que les implants auditifs. Les prothèses auditives
deviennent insuffisantes en cas de surdité trop avancée.Il existe 3 types d’implants, comprenant
chacun une structure électronique qui transforme les signaux sonores captés dans l’environnement
et les traduisent en signal électrique :– Les implants en conduction osseuse (ICO) : ils restituent
l’énergie en énergie vibratoire transmise soit à la voute crânienne soit à l’os mastoïdien. Cette
énergie vibratoire est ainsi transmise aux fluides de la cochlée et met en vibration les cellules de
l’oreille interne. Ce type d’implant s’adresse aux patients sans tympan ou osselet, et permet ainsi
de créer la vibration émise normalement par les osselets.– Les implants d’oreille moyenne (IOM)
: ils restituent l’énergie en énergie vibratoire ensuite transmise soit aux osselets soit aux structures
vibrantes de l’oreille moyenne jusqu’à la cochlée. Dans ce cas et le précédent, l’oreille interne et
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ses cellules ciliées fonctionnent correctement. S’il ne reste peu ou plus de cellules ciliées, il faut
alors remplacer la cochlée avec un implant cochléaire.– Les implants cochléaires (IC) : ce sont les
implants les plus posés en France. Ils restituent l’énergie en signal électrique directement aux
neurones des nerfs auditifs situés dans la cochlée, car celle-ci étant peu on plus fonctionnelle, il
n’y a donc plus de vibration.Dans certains cas plus rares de surdités d’origine nerveuse, où il n’y
a plus d’oreille interne ni de nerf auditif, il est possible de poser un implant directement sur le
tronc cérébral qui stimule alors directement le cerveau auditif.» Quand une surdité n’est pas
corrigée immédiatement, notamment pour les personnes âgées qui sont les plus touchées, le
cerveau se déshabitue du son. Au plus on réhabilite tôt au moins les difficultés sont importantes.
La précocité de l’appareillage ou de l’opération est donc importante « , ajoute le Docteur
Devèze.Une équipe pluridisciplinaire constituée d’un médecin ORL, d’un orthophoniste, d’un
audio prothésiste, d’un psychologue, d’un gérontologue est nécessaire pour offrir une prise en
charge globale au patient. En effet, après la pose d’un implant cochléaire par exemple, les sons
sont différents pour les patients. Ces derniers doivent ainsi être accompagnés d’un orthophoniste
et d’un psychologue afin de les réhabituer à l’écoute et à la parole.Il y a quelques années, les
personnes souffrant d’un problème d’audition n’avaient pas constamment de solutions pertinentes
en fonction de leur degré de surdité, aujourd’hui grâce au progrès de la biotechnologie et une
prise en charge précoce, quasiment toutes les surdités peuvent être vaincues.* Informations
pratiques :– 10 mars : journée de dépistage gratuite au 4ème étage du centre médical Clairval– 12
mars : conférence-débat sur la prise en charge de la surdité de l’adulte au rez-de-chaussée du
centre médical Clairval.– de 8h30 à 11h30 à destination des professionnels– de 14h à 16h pour le
grand publicMédecins ORL, audioprothésistes, orthophonistes et gérontologues présenteront les
causes de la surdité, les modalités de prise en charge de celle-ci et les moyens de réhabiliter les
troubles auditifs.
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Creil : examen auditif gratuit, le jeudi 10
mars
Oise Média > L'info en continu... > Creil: examen auditif gratuit, le
jeudi 10 mars
La caisse primaire d’assurance maladie de l’Oise propose un examen auditif gratuit, à l’occasion
de la 19e journée nationale de l’audition, jeudi 10 mars à Creil. Cette action s’inscrit dans la
continuité des bilans de santé gratuits destinés aux assurés et ayants droit de plus de 15 ans,
menés par la CPAM de l’Oise. Le jeudi 10 mars, de 13 h 30 à 16 h 30, au centre de prévention et
d’examens de santé, 13, rue Ribot, à Creil. Gratuit, sans rendez-vous. Informations au
03.44.61.70.33.
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Des examens auditifs gratuits
La caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) de l'Oise propose, jeudi 10 mars, un examen
auditif gratuit à l'occasion de la 19e édition de la Journée nationale de l'audition. Cette action
s'inscrit dans la continuité des bilans de santé gratuits destinés aux assurés et ayants droit de plus
de 15 ans, menés par la CPAM de l'Oise.Ce sera l'occasion, aussi, de sensibiliser le public aux
troubles auditifs. En France, une personne sur deux déclarerait ne jamais avoir fait contrôler son
audition.Jeudi 10 mars, de 13 h 30 à 16 h 30, au centre de prévention et d'examens de santé, 13,
rue Ribot, à Creil. Gratuit, sans rendez-vous. Informations au 03.44.61.70.33.
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La JNA 2016 s’intéressera à la thématique : «
Nuisances sonores, quels impacts sur notre
santé ? »
Dans le cadre de la préparation de la 19e Journée nationale de
l'Audition qui se tiendra le jeudi 10 mars 2016, l’association JNA
présentera le 3 mars les résultats de la nouvelle enquête exclusive
Ifop-JNA sur les nuisances sonores et leurs effets sur la santé.
« Aujourd’hui, par son omniprésence et son intensité, le bruit représente l’une des principales
causes de l’altération de notre capital auditif , explique Sébastien Leroy, porte-parole de la JNA.
L’impact « auditif » et « extra-auditif » du bruit n’est pas négligeable. Il intervient de manière «
sournoise » et fragilise l’équilibre général de la santé des Français. Les risques sanitaires et
sociaux pourraient peser lourd sur les finances de santé publique et les collectivités », nous
renseigne-t-il au regard de l’étude que l’association présentera.Un événement fédérateurAu cours
de la Journée nationale de l'audition, de nombreux acteurs du monde de l'audition et de la santé
seront mobilisés à travers la France : audioprothésistes, orthophonistes, ORL des services
hospitaliers, associations, médecines du Travail, entreprises, villes et collectivités, CRIJ, services
de médecine préventive des écoles, lycées, collèges et universités, institutions de retraite et de
prévoyance, mutuelles de santé, mutuelle des étudiants, etc. De nombreux spécialistes
proposeront au public d'effectuer un bilan auditif et répondront ainsi à toutes les interrogations
des personnes désireuses de mieux être informées sur leur capital auditif. C'est ainsi que lors de
l’édition 2015, on a dénombré, pour la campagne précédente, près de 2 400 points d'accueil et
relais d'information mis à la disposition du public, ce qui a permis d'accueillir plus de 100 000
personnes qui ont pu bénéficier d'un test de leur audition. Tous se mobilisent pour recevoir et
informer le public, jeune ou moins jeune, sur les risques liés à l'audition et sur les moyens de
conserver une bonne santé auditive : consulter la liste des participants 2016.La 19e JNA, fidèle à
sa missionDepuis sa création, il y a 19 ans, l’association JNA promeut la nécessité de mieux
considérer l’audition des Français dans leur parcours de soin. En cela, elle a été précurseur d’un
nouveau mouvement pour dépasser le tabou de la déficience auditive, vue pendant longtemps au
travers du seul filtre du handicap. Comme le signifiait le professeur Lionel Collet, Conseiller
d’État à l’occasion de l’édition de la JNA 2015, « du chemin a été parcouru » et il y a cinq ans,
l’association a initié le concept de santé auditive. Elle porte depuis ce leitmotiv auprès des
pouvoirs publics et de l’ensemble des acteurs de la prévention et de la santé en France.
Aujourd’hui, les différentes associations de prévention se font relais de ce
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Jeudi 10 mars 2016, c’est la 19e Journée
Nationale de l’Audition
Jeudi 10 mars 2016 se tiendra la 19ème Journée Nationale de l’Audition, organisée par
l’association JNA. La thématique choisie cette année est « Un monde bruyant… et nos oreilles
dans tout ça ? ».
Cette journée sera l’occasion d’alerter et de sensibiliser l’opinion publique sur les effets des
expositions sonores et de leur accumulation sur la santé auditive.
« Un monde bruyant… et nos oreilles dans tout ça ? »
L’Ouïe est l’un de nos principaux sens et contribue à notre équilibre général. En effet, l’audition
est un levier de forme et de bien-être et permet de favoriser et de maintenir le lien social.
Cependant, on observe que les déficiences auditives se manifestent de plus en plus précocement.
La faute à un monde trop bruyant ?
A l’occasion de la 19e édition de la Journée Nationale de l’Audition, l’équipe scientifique de
l’association créatrice des campagnes nationales JNA, composée de professeurs, de médecins
ORL, de chercheurs, d’orthophonistes ou encore d’audioprothésistes, souhaite alerter le grand
public sur le danger des expositions sonores et leurs effets négatifs sur notre santé auditive.
En effet, les cellules qui tapissent nos oreilles sont fragiles et irremplaçables. Il est donc important
de préserver son capital auditif.
Une déficience auditive, lorsqu’elle n’est pas détectée à temps, entraîne des difficultés quel que
soit l’âge de la personne. Chez les enfants, cela se traduit par des difficultés d’apprentissage, les
adultes sont quant à eux fragilisés dans leur vie sociale et professionnelle, chez les seniors la perte
d’audition accélère le déclin cognitif. Et quel que soit l’âge, la déficience auditive conduit à
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l’isolement social.
Lire notre dossier : Malaudition et seniors : prévenir et compenser les pertes auditives
Développer les bonnes pratiques de santé auditive à tous les âges
de la vie.
Lors de la dernière enquête JNA 2015 réalisée avec l’Institut Ipsos, « Risques auditifs : des clés
pour agir », les jeunes interrogés ont indiqué que le Bruit est un élément rassurant et que son
absence les inquiétait. L’omniprésence sonore est donc ancrée dans les habitudes de vie de
l’Homme moderne : autoradio, musique dans les magasins, MP3 pendant la journée et parfois
même pendant le sommeil, télévision à la maison, bruits de la ville, bruit au travail.
Cela devient une caractéristique culturelle de notre société normalisant l’omniprésence de son de
fortes intensités. Dès lors, comment lutter contre des comportements intégrés comme normaux. Il
est donc nécessaire de redonner du sens et de la cohérence à ses comportements au travers de la
mise en place d’un programme positionnant la santé auditive comme un facteur clé du Bien Vivre
et du Bien Vieillir à tous les âges de la vie : « Ensemble développons la santé auditive pour tous
».
Le jeudi 10 mars 2016, plus de 2 400 acteurs locaux organiseront gratuitement conférences, tests
de l’audition, expositions, concerts pédagogiques, ateliers… pour développer l’éducation à la
santé auditive en transmettant les bonnes pratiques dès le plus jeune âge.
Pour connaître les actions proposées lors de la Journée Nationale de l’Audition : N° Azur 0 810
200 219 ou journee-audition.org
Silver économie : Articles associés
« Jeunes aujourd’hui, seniors demain » quelle place
occupe la santé auditive dans l’hygiène de vie des jeunes
?
• En 2014, Siemens Audiologie à nouveau partenaire de
la Journée Nationale de l’Audition
• Résultats de l’enquête « Les seniors et l’audition »
2013 – (JNA-IPSOS)
• Audition : L’association JNA et l’UNSAF évoquent le
tabou lié aux aides auditives
• Audioprothèses : il est temps d’engager le débat selon
le Bucodes SurdiFrance
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Le 10 mars, journée nationale de l’audition
L’Association JNA lance sa 19e Journée Nationale de l’Audition
sur un sujet qui intéresse tous les Français: « Les nuisances sonores et
leurs impacts sur la santé »
Développer et entretenir son capital santé passe par de bonnes pratiques de « santé auditive »A
l’occasion de cette 19e édition, le groupe d’experts de l’association JNA informe les Français sur
le rôle majeur de la santé auditive sur leur qualité de vie, leur santé et leur vitalité. 3 conseils
simples pour développer sa forme et son bien-être grâce à une meilleure hygiène de santé
auditive.Découvrez les apports de la « Télé-audiologie » et l’expérience SAMID.A noter dans les
agendas :Conférence de presse jeudi 3 mars 2016 – Press Club de France – 10 h – Présentation
des résultats de l’enquête JNA – Ifop « Les Nuisances sonores et leurs impacts sur la santé
»Contact :Sébastien Leroy - 06 33 62 68 18Site JNA: 1er portail (non commercial) sur l’audition
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22 février 2016 - 11:24
Malaudition et seniors : prévenir et
compenser les pertes auditives
On estime qu’il y a 5 à 7 millions de personnes malentendantes aujourd’hui en France dont un
grand nombre de seniors. La perte d’audition n’est pas toujours immédiatement perceptible car il
existe des mécanismes compensatoires qui empêchent de se rendre compte que l’on n’entend pas
bien.Si aujourd’hui les solutions techniques (assistant d’écoute, appareils auditifs, audioprothèses,
implant cochléaires…) permettant de répondre aux problèmes d’audition au quotidien, dans de
nombreux cas, la malaudition peut être évitée, à condition de prendre très tôt soin de son capital
auditif.La malaudition chez les seniorsLe système auditif de l’homme est composé de 30 000
cellules sensorielles fragiles et irremplaçables . Même si les pratiques culturelles de nos sociétés
encouragent les problèmes auditifs à des âges de plus en plus jeunes, la principale population
concernée par ces problèmes demeure celle des seniors .Les pathologies auditives dont ils sont
généralement atteints sont la presbyacousie (usure des cellules auditives liée à l’âge),
l’hyperacousie(trop grande sensibilité au bruit) et l’acouphène (gêne sonore dans l’oreille).Une
récente étude américaine a montré que la majorité des personnes âgées souffrant de déficience
auditive choisit d’ignorer le traitement par les appareils auditifs et dénie les effets négatifs de la
déficience auditive. Ce choix est souvent motivé par la crainte (infondée) d’être mal perçu par son
entourage dès lors qu’on porte des aides auditives.Quelles sont les conséquences de la perte
d’audition ?Les conséquences de la perte d’audition sur le bien-être et la santé des seniors sont
multiples. L’association JNA les a présentées dans l’infographie ci-dessous.SourceAudition et
isolementLa perte auditive est souvent source d’isolement social et de mal-être pour les personnes
âgées. Ces dernières rencontrent en effet des problèmes de communication avec leur entourage et
se sentent marginalisées. 40% des plus de 60 ans présentent une gêne auditive entraînant des
problèmes de communication et e limitation de la vie sociale. (source : INPES – Vieillissement et
perte d’audition ou la perte de statut de personne .)La malaudition concerne majoritairement les
seniors, mais le travail de prévention et de sensibilisation aux enjeux de la santé auditive doit se
faire auprès de l’ensemble de la population qui souvent, néglige sa santé auditive par insouciance
ou ignorance.En 2015, le thème de la Journée Nationale de l’Audition se focalisait sur la santé
auditive des plus jeunes . Ces seniors en devenir sont en effet exposés à un niveau de bruit
globalement plus élevé que leur prédécesseurs, notamment avec l’augmentation sans cesse
croissante de la puissance acoustique de nos appareils de musique.Porter des protecteurs contre le
bruit, du bouchon mousse aux protections à filtre sur mesureProposer des appareils Hi-Fi avec
spatialisation du son pour un meilleur sentiment d’« enveloppement » sans besoin de monter le
volume ou de pousser les basses.Inciter aux « pauses auditives » dès le plus jeune âge pour
permettre aux cellules sensorielles de récupérer et d’être efficacesNe pas hésiter à parler des effets
cotonneux ou des sifflements que l’on peut expérimenterFaire régulièrement des contrôles
auditifs pour faire le point sur sa santé auditive.Un dépistage auditif est en effet nécessaire à tous
les âges pour détecter dès que possible les problèmes d’audition et proposer les solutions
adéquates : traitements médicaux, appareillage, voire implant cochléaire.Certains objets connectés
et applications constituent des solutions innovantes pour améliorer le bien-être des personnes
malentendantes : ajustement du son environnant, estimation de son niveau auditif, pilotage et
réglage des aides auditives directement depuis son smartphone…Audition et accessibilitéSi
aujourd’hui les solutions techniques (assistants d’écoute et appareils auditifs) permettent de
répondre aux problèmes d’audition au quotidien, la question de l’accessibilité dans les lieux
publics pour les personnes malentendantes n’est pas à négliger.La solution développée par
ACCEO p ermet de rendre accessibles les établissements publics ou privés aux personnes ayant
une baisse ou absence d’audition.Cela concerne autant l’équipement des lieux de loisir (ex :
cinémas) que celui des transports en commun ou encore l’accueil dans les bâtiments publics.Des
solutions techniques existent cependant telles que les tablettes ou les systèmes de retranscription
directe en langue des signes.Repères56% des jeunes ont indiqué avoir déjà souffert
d’acouphènes.Plus de 50 % des seniors sont concernés par une gêne auditive.Moins de 50% des
seniors ont réalisé un test auditif il y a plus de 10 ans, voire jamais.9 seniors sur 10 sont prêts à
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22 février 2016 - 11:24
s’équiper d’aides auditives.Un Européen sur neuf déclare souffrir de déficience auditive.
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22 février 2016 - 11:27
10 mars : Journée nationale de l'audition
La Journée nationale de l'audition organisée le 10 mars vise à
sensibiliser le public, les jeunes en particulier, sur les nuisances
sonores et leurs impacts sur la santé.
Chaque année, des milliers de personnes présentent des troubles auditifs suite à une exposition
sonore trop forte, en particulier dans les concerts. Ces problèmes auditifs peuvent être passagers
ou définitifs et générer des gênes récurrentes comme les acouphènes.De nombreux
environnements peuvent mettre en péril le nerf auditif et occasionner des acouphènes ou
l'apparition progressive d'une surdité : les concerts, les haut-parleurs, les bruits de travaux, les
courses automobiles ou les aéroports. La perte de l'audition, même légère, peut être gênante dans
la vie quotidienne de la personne concernée.Dépistages gratuits, conférences, expositions,
animations culturelles et pédagogiques sont proposés dans les établissements scolaires et les
municipalités. Ces actions sont menées en présence de professionnels de santé, dont des médecins
ORL, et d'associations de personnes malentendantes et sourdes, ...
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22 février 2016 - 21:39
Conférence d’informations sur les
acouphènes
Dans le cadre de la journée nationale de l’audition, le CLIC de Fougères organise en partenariat
avec l’AG2R La Mondiale et l’association France Acouphènes une conférence d’informations sur
les acouphènes, animée par Ange Bidan, vice-président d’honneur de l’association France
Acouphènes.
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23 février 2016 - 05:06
Haute-Loire Faites tester votre audition le 10
mars
À l’occasion de la 19e édition de la Journée nationale de l’audition(JNA), le groupe d’experts
de l’association JNA alerte les autorités sanitaires sur les risques élevés de troubles de l’audition
sur une population de plus en plus jeune mais aussi chez les seniors. Les centres de Santé au
travail du Puy-en-Velay, Brives-Charensac, Yssingeaux et Monistrol-sur-Loire ouvrent leur porte
jeudi 10 mars. Salariés adhérents, vous pouvez bénéficier d’un test audiométrique gratuit, une
équipe médicale sera présente pour interpréter les résultats, informer et conseiller.Contact Service
de Santé au travail de la Haute-Loire, rue Richond-des-Brus au Puy-en-Velay. Téléphone
04.71.05.51.10. Courriel: [email protected]
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22 février 2016 - 05:00
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Caluire-et-Cuire - santé Mieux vivre les
acouphènes, c’est possible grâce à la
sophrologie
La sophrologue Christina Martin dirige des séances d’information sur
le thème des acouphènes. Objectif: apprendre à mieux supporter ce
trouble auditif.
Selon l’association Journée nationale de l’audition, les acouphènes sont un mal qui touche près
de 16 millions de Français. C’est aussi un cas à part dans les troubles de l’audition : l’origine peut
être multiple. Un phénomène qu’explique la sophrologue Christina Martin, dès le début d’une
réunion organisée à son domicile.Apprendre à faire abstractionEncore mystérieux aujourd’hui, ce
trouble serait, pour la plupart des chercheurs, une compensation de la perte d’audition par la
création d’un bruit sans lien avec un son extérieur. Chaque cas est particulier, et les acouphènes
peuvent être aussi aigus que graves, à un niveau sonore statique ou changeant. « Il n’y a pas de
solution pour en guérir, mais grâce à la sophrologie, on peut apprendre à en faire abstraction »,
explique la sophrologue(1) .Après une demi-heure d’échanges, Christina Martin débute une
véritable séance de sophrologie. Simples, les mouvements servent surtout à détendre les
participants. « Il faut prendre conscience de son corps, évacuer les émotions négatives, et cela
passe par les étirements, l’auto-massage et la respiration profonde », précise-t-elle.Ces exercices
doivent amener les participants à un état “sophro-liminal”, proche du rêve, où ils se concentreront
sur un souvenir agréable. À la fin de la séance, les participants auront appris à défocaliser leur
attention de leur audition grâce à une pensée positive.Note(1) Il est conseillé de consulter un
médecin. Selon la cause du trouble, un bouchon de cérumen par exemple, des cas peuvent être
traités.
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19 février 2016 - 05:04
Contes du bout des doigts ou la langue des
signes expliquée aux enfants
Dans le cadre de la 19e Journée nationale de l’audition, le service Accès libre au savoir de la
Communauté de communes Chamousset-en-Lyonnais organise un spectacle adapté aux enfants, à
partir de 3 ans. Intitulé Contes du bout des doigts , ce spectacle qui fait découvrir la langue des
signes aux petits, sera joué mercredi 9 mars, de 14 à 16 heures, dans le bâtiment Erasme de
Saint-Clément-les-Places. Dominique Lassaigne, intervenante, est une kidnappeuse d’oreilles.
Elle raconte et chante des comptines que les enfants sont invités à accompagner du bout des
doigts.pratique Entrée: 2 € par famille. Réservation possible auprès du service Accès libre au
savoir au 04.74.70.68.93.
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17 février 2016 - 12:12
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Audition : tests gratuits à Nancy le 10 mars
2016
C'est la Journée nationale de l'audition le 10 mars 2016 à Nancy.Des Tests gratuits de l'audition
seront proposés par l'équipe d'audiophonologie du service ORL du CHRU de Nancy. Animations
et stands par l'Association des Devenus Sourds et l'Ecole d'Audioprothèse.Informations pratiques
:Les 10 mars 2016De 9h00 à 15h00A l'Hopital Central - Pavillon Krug (RDC) - Entrée rue
Lionnois - Nancy
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16 février 2016 - 18:46
Le jeudi 10 mars 2016, 19e édition de la
Journée Nationale de l’Audition
Le jeudi 10 mars 2016, 19e édition de la Journée Nationale de
l’Audition: 3000 professionnels mobilisés pour nous alerter sur la
mauvaise santé de nos oreilles.
A l’occasion de cette 19e édition, le groupe d’experts de l’association JNA alerte les autorités
sanitaires sur les risques élevés de troubles de l’audition sur une population de plus en plus jeune
mais aussi chez les seniors. Quant aux actifs au travail, ils sont souvent exposés à des sources
sonores élevées et rechignent à porter des protecteurs contre le bruit.Les pratiques sonores
généralisées sont aujourd’hui source de traumatismes et d’usure prématurée des cellules
sensorielles de l’oreille. La surdité est irréversible et évolutive. 1 jeune sur 2 est déjà atteint et les
médecins ORL observent une augmentation des acouphènes, de l’hyperacousie, de surdité
brusque, et de la presbyacousie.Au niveau macro-économique, la santé auditive est un élément clé
pour agir :1. Sur l’état de santé général de la population française et particulièrement au grand
âge2. Sur les finances de santé publique. Réduction des coûts collectifs de santé et des coûts
sociaux.3. Sur la richesse individuelle et collective, la compétitivité internationale et la production
de PIB.Au niveau micro-économique, la santé auditive est un élément clé De lutte contre la
fragilisation des parcours de vie à tous les âges :1. niveau général d’éducation2. limitation des
risques de décrochages scolaires et professionnels3. limitation des risques d’éclatement de la
cellule familiale et du réseau social4. amélioration de la qualité de vie5. amélioration du
vieillissement positif et report de la perte d’autonomie.En matière de santé publique, les dernières
années de vie sont les plus coûteuses 3000 professionnels seront mobilisés ce jeudi 10 mars pour
proposer des tests gratuits de l’audition en France, parmi lesquels les médecins ORL, les services
hospitaliers ORL, les médecins généralistes, les médecins du travail, les audioprothésistes, les
ortophonistes.
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17 février 2016 - 05:06
Saint-Raphaël : Prévention santé
Deux cycles d’information et de prévention santé sont mis en place
chaque année, sous l’égide de la CAVEM. Animés par des
professionnels de santé, l’un est à destination du public senior et
l’autre à destination des parents de jeunes enfants.
Dans le cadre de ces actions, deux rencontres sont organisées chaque mois au Théâtre
intercommunal « Le Forum », 83 Boulevard de la Mer, à Fréjus.Le « Cycle d’information et de
prévention santé des seniors » 2015/2016 permettra d’aborder les thématiques suivantes :– La
prise en compte des douleurs, – Journée nationale de l’audition, – Les gestes de premiers
secours, – Parcours sensoriel : venez tester vos 5 sens.De son côté, le « Cycle d’éducation à la
santé et au bien-e tre du jeune enfant » 2015/2016 abordera les thématiques suivantes :– Les
urgences pédiatriques, – L’annonce d’un événement difficile, – La prolifération des microbes, –
La relation parent/enfant.La prochaine rencontre programmée pour le Cycle d’éducation à la santé
et au bien-être de l’enfant de 0 a 6 ans sera:Thème : « Urgences pédiatriques ».MARDI 23
FEVRIER 2016 a 18h30 (accueil a partir de 18h)Au Théâtre Intercommunal « Le Forum », 83
boulevard de la Mer – 83600 FréjusThèmes des interventions : Comment réagir en cas d’urgence
pe diatrique (brûlure, chute, ingestion d’un corps étranger, électrisation, arrêt cardio-ventilatoire,
…)Venez échanger avec des professionnels spécialisés : Médecin et Infirmières du Centre
Hospitalier Intercommunal de Fréjus/Saint-Raphaël et le Service Départemental d’Incendie et de
Secours (SDIS) du Var.Accès libre et gratuit. Facilité de parking devant le Théâtre « Le Forum
»Durant chaque rencontre, les parents ont la possibilité de confier leur(s) enfant(s) aux auxiliaires
puéricultrices présentes à cet effet (service gratuit, dans la limite des places disponibles et sous
réserve d’adaptation de l’enfant).Informations complémentaires: 04 94 19 59 99
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13 février 2016 - 10:41
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MARSEILLE / Risque sanitaire PACA : les
oreilles des jeunes au bord du précipice !
MARSEILLE / Alors que la réglementation protège les oreilles des
travailleurs, celles de nos enfants sont en danger imminent.
Le système auditif ne peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite des baladeurs. Il
est mondialement établi que l’oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB,
l’exposition sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas subir de
lésions graves de son audition. A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA rappelle à
quel point l’audition des jeunes est en danger. Selon la dernière enquête JNA-IPSOS, plus de 1
jeune sur 5 souffrirait en France d’une perte auditive.Des chiffres qui alertent49% des jeunes
interrogés a déjà ressenti une douleur aux oreilles, dont 21% ressent une douleur fréquente et
durable. Encore plus grave, suite à ces douleurs, 59% des jeunes attend que ça passe au lieu de
consulter, voire même d’en parler.Bien qu’ils annoncent être sensibilisés et informés sur les
risques auditifs, la menace d’un trouble de l’audition leur paraît loin. La conscience des risques
est donc totalement absente.Pour 70% des jeunes interrogés, la crainte de perdre l’audition arrive
bien loin après celle de perdre la vue.Voir la dernière enquête JNA-IPSOS sur l’audition des
jeunesPourtant la probabilité d’un trouble auditif est aujourd’hui avérée. Dès le plus jeune âge,
leur système auditif est soumis à des expositions sonores élevées : jeux sonores pour enfants,
consoles de jeux, vidéo embarquée, MP3 puis plus tard concerts et discothèques. Une perte
auditive est bien souvent irréversible et évolutive. Il est urgent d’agir. Selon l’association JNA, le
développement d’une vraie politique de prévention constitue un levier pour améliorer le niveau de
santé auditive des Français.Agir au plus vite permettra de ne pas subir – d’ici quelques années –
une perte globale des facultés auditives des Français, et évitera un risque sanitaire grave.Les
pratiques d’écoute des jeunes d’aujourd’hui entraîneront inévitablement un vieillissement précoce
de leur audition. Il y a lieu de parier que le phénomène de presbyacousie apparaîtra donc
beaucoup plus tôt. » On peut même imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un
senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans » rappelle Jean Stanko, président de l’association JNA.Le
groupe d’experts de l’audition, membres du comité scientifique de l’association JNAEXPERTS
SUJETSDocteur Didier BOUCCARAMédecin ORL – Praticien Hospitalier (75)Explorations
fonctionnelles Pathologies ORL – Pertes de l’audition et surdités – Presbyacousie –
AcouphènesDocteur Pascal FOEILLETMédecin ORL – Praticien hospitalier (92) Pathologies
ORL – Pertes de l’audition et surdités – Presbyacousie – Acouphènes – ImplantsMonsieur
Sébastien LAZZAROTTOOrthophoniste D.E. – Marseille (13) Audition, langage et troubles des
apprentissages – adaptation / rééducation – Santé et qualité de vieMonsieur Philippe
METZGERAudioprothésiste diplômé d’Etat (75) Aides auditives – Accompagnement
audioprothétique et prises en chargeMadame Roselyne NICOLASSpécialiste des
acouphènesPrésidente de France Acouphènes (75) Acouphènes – Prise en charge et
accompagnement des patients acouphéniques – Politique de santé publiqueDocteur Martine
OHRESSERMédecin ORL – Co-fondatrice de l’AFREPASpécialiste des acouphènes et
hyperacousie (75) Surdités et pathologies ORL – Acouphènes et hyperacousie –
Accompagnement pluridisciplinaire des patients acouphéniquesProfesseur Jean-Luc
PUELDirecteur de Recherche InsermInstitut des neurosciences – Montpellier (34) Recherches sur
les solutions curatives acouphènes et hyperacousie – recherches sur les cellules sensorielles de
l’oreille et neurosciences – Audiologie – Solutions du futurMonsieur Eric
RAUBERAudioprothésiste diplômé d’Etat – Lyon (69) Aides auditives – Accompagnement
audioprothétique et prises en chargeMonsieur Jean STANKOPrésident de l’association JNA
Ancien audioprothésiste diplômé d’Etat – Lyon (69) Politique de l’association – Politique de
santé – Orientations des campagnes JNA – AuditionDocteur Mireille TARDYMédecin ORL –
phoniatreHôpital de la Timone – Marseille (13) Surdités – Presbyacousie – Prévention –
Accompagnement de l’enfant et des personnes âgées – Impacts psychologiques – Pathologies de
la voixProfesseur Hung THAI VANORL, Chef de service audiologie et explorations orofaciales –
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Hôpital Edouard Herriot – Hôpital Femme Mère Enfant (69)Centre de référence « Apprentissage
et audition » – Centre Expert de l’Audition et troubles de l’équilibre Audition et troubles des
apprentissages – Audition et vertiges – ORL pédiatrique – Prise en charge des seniors du grand
âge – Neurosciences et solutions de médiationDocteur Paul ZYLBERBERGAncien médecin du
travail (75)Responsable d’association Bruit au travail : réglementation – Démarches de réduction
du bruit – Surdités professionnelles – Surdités en France et dans le mondePanorama de l’audition
en France – Les chiffres clésAu niveau de la population12 à 15% de la population française serait
affectée par les troubles de l’audition. L’OMS estime que 16% de la population mondiale
souffrirait de problèmes d’audition.1 Français sur 2 est gêné par le bruit la journée et 1 personne
sur 5 pendant la nuit (Enquête JNA – IPSOS – Nuisances sonores – 2011)Pour 60% des
personnes interrogées, le bruit agit sur leur humeur et génère de la fatigue et de la lassitude
(Enquête JNA – IPSOS – Nuisances sonores – 2011)1 personne sur 2 touchée par les acouphènes
dès les 16-34 ans (Enquête JNA – IPSOS 2014 » Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions
? « ). Environ 16 millions de personnes.L’exposition sonore est citée comme première cause des
acouphènes (Enquête JNA – IPSOS 2014 » Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? «
)Pour 89% des personnes interrogées, les difficultés auditives impactent la vie sociale (Enquête
JNA – IPSOS 2014 » Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? « )Chez les
jeunesL’écoute de musique amplifiée et la télévision sont deux sources principales d’exposition
au bruit chez les 13/25ans (70%) (Enquête JNA – IPSOS 2012 « Le capital auditif des jeunes
est-il en danger ? « ).1 jeune sur 3 écoute pendant 2 à 3 heures par jour son MP3 et de la musique
amplifiée via son téléphone mobile, son PC ou sa chaîne Hi-Fi et 2 jeunes sur 3 entre 1 à 2 heures
(Enquête JNA – IPSOS 2012 « Le capital auditif des jeunes est-il en danger ? « )Chez les actifsLe
trouble de l’audition est la troisième cause de maladie professionnelle en France. (Source
Ministère) http://www.travailler-mieux.gouv.fr/Bruit-en-milieu-de-travail.htmlChez les seniors,
44% des seniors interrogés éprouvent des difficultés de compréhension et ¼ des vertiges et pertes
de l’équilibre (Enquête JNA – IPSOS 2013 » Les seniors et l’audition « )Chez les seniors1 senior
sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre (Enquête JNA – IPSOS 2013 » Les
seniors et l’audition « )3 seniors sur 5 déclaraient avoir des difficultés à suivre une conversation
dans le Bruit (Enquête JNA – IPSOS 2013 » Les seniors et l’audition « )La perte de l’audition
concerne 40% des 60-70 ans et plus de 50% des plus de 80 ans. Pour autant, seulement 32%
déclarent avoir réalisé un contrôle de leur audition il y a moins de 5 ans, et 52% ont effectué un
test il y a plus de 10 ans ou jamais. (Enquête JNA – IPSOS 2013 » Les seniors et l’audition « ).
Bien que 93% des seniors interrogés accepteraient de s’équiper en aides auditives (Enquête JNA
– IPSOS 2013 » Les seniors et l’audition « ), seulement 34% des personnes ayant besoin
d’appareillage le sont réellement. Le prix et le manque de visibilité sur la question du prix sont les
deux freins pour s’équiper en aides auditives. (Enquête JNA – IPSOS 2013 » Les seniors et
l’audition « )Seniors et dépendance :Selon la synthèse du débat national sur la dépendance, de
juin 2011, la dépendance représentait 8% de la population des plus de 60 ans. Compte tenu des
prévisions démographiques, le groupe de travail envisage une forte hausse des personnes
dépendantes de 2025 à 2060. Les plus de 80 ans passeraient de 3 millions en 2007 à 6,1 millions
en 2035. Pour l’hypothèse intermédiaire et le scénario démographique central de l’Insee, les
projections montrent une augmentation de 35% de la population âgée dépendante à l’horizon
2030 et un doublement en 2060. Par ailleurs, selon les estimations de l’OMS, compte tenu du
vieillissement des populations, la démence sénile va augmenter jusqu’en 2050. La mise en place
de stratégie de compensation des déficiences sensorielles auditives peut permettre une diminution
et un retardement de cet effet du vieillissement.Les enjeux de la santé auditive en FranceLa
moindre déficience auditive non traitée déséquilibre le parcours de vie des individus ; quelle que
soit la tranche d’âge considérée:Chez l’enfant =>trouble du langage et des apprentissages =>
échec scolaire => impacts sur qualité de vie et vie familiale => risques élevés de difficultés
d’intégration sociale et de » décrochage social » => coût de l’accompagnement
médico-socialChez l’adulte => dégradation de l’état général de santé et impacts psychologiques
=> altération de la qualité de la vie sociale et professionnelle => risques élevés d’accidents du
travail ; augmentation des coûts santé ; des coûts sociaux et impacts sur la cellule familiale
(rupture familiale = risque de dépression ; perte d’emploi ; appauvrissement économique=
précarité)Chez les seniors retraités => modification des comportements ; impacts psychologiques
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13 février 2016 - 10:41
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; risques accrus d’isolement social ; accélération des effets du vieillissement, accélération du
déclin physique et cognitif ; risques de chute accrus => augmentation des coûts santé et impacts
sur la cellule familiale.Chez les seniors du grand âge =>aggravation du déclin cognitif et physique
=> perte rapide d’autonomie ; risques élevés de chute ; difficulté d’accompagnement de la
personne par les professionnels de santé et les aidants familiaux => coûts santé élevés et impacts
sur la cellule familiale.Ces incidences sont aujourd’hui démontrées par les différentes études
menées par les équipes de recherche américaines (Etudes du Pr. Frank Lin) et françaises (Etude
de l’équipe du Dr Hélène Amieva à Bordeaux).Les cercles vertueux macro et micro-économiques
d’une politique cohérente de santé auditiveAu niveau macro-économique, la santé auditive est un
élément clé pour agir :Sur l’état général de santé de la population française et tout
particulièrement au grand âgeSur les finances de santé publique. Réduction des coûts collectifs de
santé ; Réduction des coûts sociauxSur la richesse individuelle et collective, la compétitivité
internationale et la production de PIBAu niveau micro-économique, la santé auditive est un
élément clé de lutte contre la fragilisation des parcours de vie à tous les âges :Le niveau général
d’éducationLa limitation des risques de décrochages scolaires et professionnelsLa limitation des
risques d’éclatement de la cellule familiale et du réseau socialAmélioration de la qualité de
vieAmélioration du vieillissement positif et report de la perte de l’autonomie– Amélioration des
politiques de BientraitanceEn matière de santé publique, les dernières années de vie sont les plus
coûteuses
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14 février 2016 - 05:02
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Santé : des tests audiométriques gratuits pour
les plus de 60 ans
Les troubles de l’audition toucheraient entre 12 et 15 % de la population française. Un senior sur
trois aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre. Si vous êtes concernés, à votre agenda.
Dans le cadre de la journée nationale de l’audition (10 mars), l’Office villeurbannais des
personnes âgées et des retraités propose aux Villeurbannais de plus de 60 ans des tests
audiométriques gratuits.Ces tests (uniquement sur rendez-vous) seront effectués par des
audioprothésistes diplômés à la Maison des Aînés du 7 au 10 mars (de 14 heures à 16 h 30 et en
plus en matinée le jeudi de 9 à 12 heures), puis à la Maison sociale Cyprian les Brosses, le
vendredi 11 mars, de 14 à 17 heures.pratique Inscriptions et renseignements à la Maison des
Aînés, 56, rue du 1er mars 1943. Tél. 04.78.68.90.50. Maison sociale Cyprian-Les Brosses 4, rue
Jules-Guesde. Tél. 04.72.68.69.70.
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5 février 2016 - 12:27
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1 jeune sur 2 victime d’acouphènes
L’association JNA(Journée Nationale de l'Audition) alerte une fois
de plus sur un des phénomènes de notre génération lié aux pratiques
musicales sans discernement et qui, dans quelques années, risque de
se traduire par une catastrophe sanitaire majeure.
Les chiffres d’une récente étude, menée par l’Association JNA en collaboration avec l’Institut
Ipsos, montre que :
1 jeune sur 2 souffre de bourdonnements ou de sifflements dans les oreilles suite à des expositions
sonores élevées.
"Devons-nous laisser les jeunes générations perdre définitivement leur capital auditif avant
l’heure ? Dans quel état sera leur santé auditive après 40 ans ? Et quel coût pour la société ?"
s’interroge Jean Stanko, Président de l’Association JNA.
Ce constat alarmant, risque de nous diriger tout droit vers un risque sanitaire majeur si des
mesures de prévention élémentaires ne sont pas mises en place rapidement, comme par exemple
des messages de prévention diffusés aux jeunes ainsi que des contrôles auditifs effectués
régulièrement au sein des Etablissements scolaires.
Une priorité pour l’association JNA : développer l’éducation à la santé auditive pour tous. « Il
serait également utile, voire indispensable, d’intensifier la prévention sur les lieux de loisirs, les
festivals et les discothèques »,rappelle Jean Stanko qui indique par ailleurs que nous sommes
dotés d’un capital auditif à la naissance et que celui-ci peut fondre comme neige au soleil sous
l’effet des expositions sonores répétées. Les oreilles n’ont aucune protection naturelle qui résiste à
la pression acoustique des amplis. Nos yeux sont pourvus de paupières, mais nos oreilles sont
dépourvues de protection naturelle....
Autre danger qui plane sur les jeunes ; les baladeurs Mp3 écoutés au casque et sans tenir compte
des recommandations sanitaires de base : 100 dB maxi pour un baladeur, alors que les
scientifiques préconisent un maximum de 85 dB pour être sûr de préserver son capital auditif en
bon état.
Face à ce constat, l’association JNA rappelle qu’il est urgent d’agir avant que les oreilles des
jeunes ne vieillissent trop prématurément, et qu’à 40 ans ils se retrouvent avec des oreilles d’un
papy de 60 ans...
Cela est possible en développant les bonnes pratiques visant au « plaisir auditif durable ».
Pour plus d'informations : www.journee-audition.org
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5 février 2016 - 10:51
Peace and lobe: un concert pour prévenir
plutôt que guérir la surdité précoce
Plus de 44 500 élèves de Basse-Normandie ont été sensibilisés par
l'association SNARCK aux risques de troubles auditifs entre 2002 et
juin 2015 avec l'implication de 280 établissements, collèges, lycées,
centre de formation, université.
Peace and lobe, le jeu de mot est explicite. C'est le nom d'un concert conférence
qui a pour objectif de prévenir plutôt que guérir les troubles auditifs. Le concept:
expliquer aux adolescents qu'ils doivent protéger leurs tympans pour ne pas les
abîmer définitivement. Hier, pendant une heure et demie, 4 musiciens et ingénieurs du son ont
témoigné de leur propre expérience, ils ont joué de la musique et conseillé les lycéens de
l'établissement Fresnel de Caen. Selon de nombreuses études, réalisées ces dix dernières années,
par le ministère de la santé, les instances régionales, et les associations de prévention et mutuelles,
10% des lycéens présenteraient un déficit auditif pathologique.
Une question de santé publique
Depuis plus de dix ans, l'association SNARCK intervient dans de nombreux établissements
scolaires en partenariat avec l 'Agence Régionale de Santé, la région, le département, la ville de
Caen, le Far, une agence musicale régionale et le réseau national Agison. Selon une étude réalisée
en 2015 par IPSOS et l'association de la journée nationale de l'audition, un jeune sur cinq
souffrirait en France d'une perte auditive. 49% des jeunes interrogés ont déjà ressenti une douleur
aux oreilles, dont 21% ressent une douleur fréquente et durable. Encore plus grave, suite à ces
douleurs, 59% des jeunes attendent que ça passe au lieu de consulter, voire même d'en parler. «
On peut même imaginer qu'un jeune d'aujourd'hui aura l'audition d'un senior de 65 ans à l'âge de
45 ans. »
• Enquête IPSOS/JNA
Une séance ouverte à tous
Ce concert est destiné aux scolaires mais une séance, ouverte à tous, est programmée au BBC
d'Hérouville St Clair le 7 mars 2016 à 18h30.
Reportage Elise Ferret et Charles Bezard
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Concert prévention peace and lobe
Antoine DJ Bluff: DJ et batteur
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Le bruit: quel impact sur notre santé?
Dans les villes, le bruit s’invite partout, tout le temps. C’est le constat d’une étude internationale
menée dans 47 villes de 11 pays, auprès de 8800 adultes. La pollution sonore se fait de plus en
plus entendre! Le bruit est omniprésent dans notre quotidien: circulation routière, nuisances
aériennes, transports, restaurants et magasins sonorisés pour attirer le chaland, open space, voisins
bruyants… Une étude internationale menée par GfK Eurisko pour Amplifon – qui commercialise
des solutions auditives – confirme ce phénomène dans 11 pays étudiés*. Sans surprise, ce sont les
citadins qui subissent cette pollution sonore: leurs oreilles sont constamment sollicitées. Point de
départ de l'enquête, l'indice d’exposition à la pollution sonore (Enpi) qui évalue la perception de
l'exposition au bruit selon trois critères: la quantité, la récurrence et la durée des bruits auxquels
les habitants des grandes villes sont exposés. Le niveau sonore est jugé élevé si une personne est
exposée à plus de neuf types de nuisances sonores pendant plus de huit heures par jour. Il est
moyen-haut si cela concerne 9 types de nuisances émises pendant plus de huit heures. Et faible
entre 0 et 1 bruit. La France se classe à la troisième place des pays les plus bruyants derrière les
États-Unis et l’Italie. Selon l'étude, le phénomène concerne 27% des habitants des grandes villes
(Paris, Marseille, Lyon et Toulouse), touchés quotidiennement par un niveau sonore élevé. Ce
sont les Parisiens qui souffrent le plus. Alors que les décibels de la circulation routière (entre 75 et
90dB**) épuisent les habitants de la capitale tout comme le volume des conversations (entre 60 et
85 dB) et les transports publics (entre 80 et 100 dB), les Lyonnais se plaignent plutôt de fonds
musicaux trop sonores… Un effet cocktail dangereux qui n'est pas sans conséquences pour la
santé. Quant aux internautes de Notre Temps qui ont répondu à notre sondage sur ce sujet, ils
sont 38,3% à être incommodés par les publicités télévisées. À lire: Au quotidien, quelle nuisance
sonore vous dérange le plus? Quels impacts pour la santé? Même si, pour un même niveau
d’exposition au bruit, les effets peuvent varier fortement d’un individu à l’autre, cette
accumulation de bruits de forte intensité constitue un vrai danger aujourd'hui bien connu. L’étude
rappelle qu’une pollution sonore élevée et continue épuise le cerveau constamment sollicité.
L'excès de bruit affecte l’ensemble de l’organisme au-delà des effets sur l’audition . Il est facteur
de stress, engendre de la fatigue, de la nervosité ou des sautes d’humeur, des troubles du sommeil
(éveils nocturnes, insomnies) ainsi que des difficultés de concentration et d’apprentissage. L’
Anses pointait aussi dans un rapport de 2012 les risques d’hypertension artérielle et d’infarctus du
myocarde. Et selon l’association JNA ( Journée nationale de l’audition ) qui organise chaque
année une campagne de prévention et de sensibilisation sur les nuisances sonores, un Français sur
deux se dit gêné par le bruit la journée et une personne sur cinq pendant la nuit (Enquête JNA –
Ipsos – Nuisances sonores – 2011). *États-Unis, Espagne, Portugal, France, Italie, Australie,
Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Belgique, Grande-Bretagne, Allemagne. ** 85 dB est le seuil
au-dessus duquel le bruit est considéré comme dangereux. À lire: Surveiller son audition protège
d'Alzheimer Surdité: un petit guide pratique pour mieux communiquer
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Agenda du Particulier Pratique de février
2016
• Parapsy, 10-15 fév., Paris-Espace Champerret, 8 €, 5,50 € sur salonparapsy.com et gratuit les
10, 11 et 12 de 18 à 22 h avec invitation, 04 72 76 24 21.• Forum des télécommunications, 11 fév.,
Paris-Porte de Versailles, gratuit, 01 60 77 95 76, forumdestelecommunications.fr.• Salon Art &
Décoration, 11-14 fév., Paris-Halle de la Villette, 8 €, salon.art-decoration.fr, 01 80 06 83 38.•
Vivre L’Histoire (salon des loisirs historiques), 12-14 fév., Paris-Espace Champerret, 12 €,
vivrelhistoire.fr, 01 40 21 17 99.• Salon international d’art contemporain, 12-14 fév., Paris-Porte
de Versailles, 10 €, 03 89 59 02 40, art3f.com.• 2e Salon de la gastronomie des Outre-Mer, 12-15
fév., Paris-Event Center Porte de la Villette, 10 €, 04 92 00 20 80, sagasdom.com.• Le Salon
fantastique (culture de l’imaginaire), 26-28 fév., Paris-Espace Champerret, 5 €, 12 € les 3 jours
sur salon-fantastique.com, entrée gratuite pour les personnes costumées, 01 56 53 93 93.• Grand
salon d’art abordable, 26-28 fév., Paris-La Bellevilloise, 5 €, 01 40 33 64 67,
salon-art-abordable.com• Salon du livre et papiers anciens, 26-29 fév., Paris-Espace Champerret,
10 €, gratuit sur joel-garcia-organisation.fr, 01 56 53 93 93.• Salon de l’agriculture, 27 fév.-6 mars,
Paris-Porte de Versailles, 13 €, 01 76 77 11 11, salon-agriculture.com.•
Journée nationale de
l’audition, 10 mars, 0810 200 219, journee-audition.org.• Salon Sugar Paris (pâtisserie
traditionnelle et décorative), 11-13 mars, Porte de Versailles, 10 €, salon-sugar.com, 03 20 79 94
65.
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2 février 2016 - 07:42
Les soucis d'audition ne sont plus réservés
aux seniors
Un jeune sur cinq souffre de problèmes d'audition selon une enquête publiée pour la journée
nationale de l'audition © MaxPPP Selon une enquête menée pour la journée nationale de
l'audition ce mardi, plus d'un jeune sur cinq souffre d'une perte auditive. Et un quart des
"malades" refuse de protéger ses oreilles. Plus d'un jeune sur cinq souffre en France d'une perte
auditive. Le chiffre marquant ressort d'une enquête effectuée par l'institut de sondage Ipsos, pour
l'association de la Journée nationale de l'audition(JNA). Un constat d'autant plus alarmant que
cela ne devrait pas s'améliorer dans les prochaines années puisqu'un tiers de jeunes reconnaissent
passer entre deux à trois heures par jour à écouter de la musique. Des jeunes peu sensibles aux
gestes de prévention Dans cette étude, les jeunes estiment que les problèmes d'audition sont des
problèmes de vieux. C'est faux. 49 % de ces jeunes reconnaissent qu'ils ont déjà ressenti une
douleur dans l'oreille mais, pour autant, ils sont loin de prendre en compte cette alerte : 60 %
attendent que ça passe, seulement 14 % consultent un ORL. Et, quand on parle de gestes de
prévention pour protéger leurs oreilles, un jeune sur quatre dit clairement qu'il n'a pas envie de
s'imposer des contraintes supplémentaires. Parmi les moyens de protection possible pendant
certains concerts où la musique est particulièrement élevée il y a les bouchons d'oreille. 11 % des
jeunes interrogés les rejettent par peur du regard des autres mais la moitié disent qu'ils les
porteraient si on leur en donnait gratuitement à l'entrée du concert. Pour Jean Stanko, président de
l'association JNA, il est urgent d'agir faute de quoi un jeune d'aujourd'hui aura dès l'âge de 45 ans
une audition équivalente à celle d'un sénior de 65 ans.
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2 février 2016 - 08:27
Ecouteurs, casques... Un jeune sur cinq serait
victime d'une perte auditive
L'association Journée nationale de l'audition lance ce mardi une
alerte sur la surexposition 13/25 ans aux risques de perte auditive.
Selon une étude Ipsos pour JNA, un jeune sur cinq souffrirait
aujourd'hui de perte auditive.
Musique trop forte de façon prolongée, dans les écouteurs, les casques ou en concert. Télévision
et jeux vidéos à fond les ballons, les 13/25 ans ne prennent pas vraiment soin de leurs oreilles.
L'association Journée nationale de l'audition(JNA) a publié ce mardi une enquête* Ipsos et
alerte sur la santé auditive des plus jeunes. Selon l'étude, 49% des jeunes interrogés affirment
avoir déjà ressenti une douleur aux oreilles. Cette douleur est même "fréquente et durable" pour
21% d'entre eux.
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2 février 2016
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Journée nationale de l'audition : les jeunes peu sensibles aux mesures de précaution
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(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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29 janvier 2016 - 16:39
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10 mars 2016: Une journée nationale pour
écouter nos oreilles.
Les filles, un peu de sérieux. A l’occasion de la journée nationale de l’audition, aujourd’hui, on
parle santé. Comme de nombreuses personnes, il m’est arrivé d’avoir des pertes d’équilibre, une
pression dans mon oreille ou des problèmes d’audition, des vertiges, des bourdonnements… Pas
de panique, si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, ce n’est pas la dingue!
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29 janvier 2016 - 03:25
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Les oreilles des jeunes en danger
La Journée Nationale de l’Audition se déroulera le jeudi 10 mars 2016 à
l’initiative de l’association du même nom. C’est aussi l’occasion de tirer la
sonnette d’alarme pour ce qui est de la santé auditive des jeunes.
Alors que la réglementation protège les oreilles des travailleurs, celles de
nos enfants sont en danger imminent. Le système auditif ne peut supporter
une pression acoustique de 100 dB, limite des baladeurs.
Il est mondialement établi que l'oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB,
l'exposition sonore devrait être de l'ordre de quelques minutes seulement pour ne pas subir de
lésions graves de son audition.
A l'occasion de la Semaine du Son, l'association JNA rappelle à quel point l'audition des jeunes
est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS, plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France
d'une perte auditive.
49% des jeunes interrogés a déjà ressenti une douleur aux oreilles, dont 21% ressent une douleur
fréquente et durable. Encore plus grave, suite à ces douleurs, 59% des jeunes attend que ça passe
au lieu de consulter, voire même d'en parler.
Bien qu'ils annoncent être sensibilisés et informés sur les risques auditifs, la menace d'un trouble
de l'audition leur paraît loin. La conscience des risques est donc totalement absente. Pour 70%
des jeunes interrogés, la crainte de perdre l'audition arrive bien loin après celle de perdre la vue.
Pourtant la probabilité d'un trouble auditif est aujourd'hui avérée. Dès le plus jeune âge, leur
système auditif est soumis à des expositions sonores élevées : jeux sonores pour enfants, consoles
de jeux, vidéo embarquée, MP3 puis plus tard concerts et discothèques. Une perte auditive est
bien souvent irréversible et évolutive.
Selon l'association JNA, le développement d'une vraie politique de prévention constitue un levier
pour améliorer le niveau de santé auditive des Français. Agir au plus vite permettra de ne pas
subir – d'ici quelques années – une perte globale des facultés auditives des Français, et évitera un
risque sanitaire grave.
Les pratiques d'écoute des jeunes d'aujourd'hui entraîneront inévitablement un vieillissement
précoce de leur audition. Il y a lieu de parier que le phénomène de presbyacousie apparaîtra donc
beaucoup plus tôt. « On peut même imaginer qu'un jeune d'aujourd'hui aura l'audition d'un senior
de 65 ans, dès l'âge de 45 ans » rappelle Jean Stanko, président de l'association JNA.
(Crédits photos : CC BY SA 2.0 - MarkScottAustinTX)
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21 janvier 2016 - 14:44
Les oreilles des jeunes au bord du précipice !
Risque sanitaire: les oreilles des jeunes au bord du précipice!
Alors que la réglementation protège les oreilles des travailleurs, celles de nos enfants sont en
danger imminent. Le système auditif ne peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite
des baladeurs. Il est mondialement établi que l’oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h.
A 100 dB, l’exposition sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas
subir de lésions graves de son audition. A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA
rappelle à quel point l’audition des jeunes est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS,
plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France d’une perte auditive.
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Audition. Plus d'un jeune sur cinq souffrirait
d'une perte auditive
20 janvier 2016 à 12h09 1 commentaires
A l’occasion de la Semaine du son, du 18 au 24 janvier,
l’association de la Journée nationale de l'audition (JNA) rappelle
à quel point l’audition des jeunes est en danger. Grâce à sa
dernière enquête, elle révèle que plus d'un jeune sur cinq
souffrirait en France d’une perte auditive.
Parmi les clichés largement répandus chez les jeunes, la surdité et les problèmes d'audition ne
toucheraient que les personnes âgées. Pourtant, selon la dernière enquête JNA-Ipsos sur 600
jeunes âgés de 13 à 25 ans, 49 % des sondés ont déjà ressenti une douleur aux oreilles et 21%
ressentent une douleur fréquente et durable.
Au-delà de ces chiffres, la grande majorité d'entre eux (59 %) préfèrent "attendre que ça passe" au
lieu de consulter un médecin ou même, simplement, d'en parler à leurs parents ou à leurs proches.
Un défaut de prise en charge, alors qu'à 62 %, ces jeunes avouent avoir lu, entendu ou vu des
informations à propos de la protection de l'audition.
A découvrir aussi
Notre rubrique "Santé"
Une appli smartphone pour enrayer le phénomène ?
Comment inverser la tendance et protéger ses oreilles ? Selon 79% des personnes interrogées, un
suivi auditif chez un spécialiste, à l'instar de l'ophtalmologiste pour les yeux, demeure la
meilleure solution. Mais plus novateur, dans l'air du temps, une application smartphone, pour 73
% d'entre eux, pourrait aussi être une solution pour maintenir le niveau d'écoute à un niveau
acceptable. L'enquête rappelle que 74 % des Français ne sortent jamais sans leur portable, les
trois-quarts dorment toujours à proximité.
100 décibels maximum
Selon l'association, le système auditif ne peut supporter une pression acoustique de 100 dB. À ce
niveau, l'exposition sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas
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subir de lésions graves de son audition. Dès 85 dB, l'oreille est en danger. Soit le bruit d'un
camion passant près de nous ou d'une rue à fort trafic.
En complément
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Risque sanitaire : les oreilles des jeunes au
bord du précipice !
A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA rappelle à quel
point l’audition des jeunes est en danger. Selon la dernière enquête
JNA–IPSOS, plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France d’une perte
auditive.
Alors que la réglementation protège les oreilles des travailleurs, celles de nos enfants sont en
danger imminent. Le système auditif ne peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite
des baladeurs.
Il est mondialement établi que l'oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB,
l'exposition sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas subir de
lésions graves de son audition.
A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA rappelle à quel point l’audition des jeunes
est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS, plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France
d’une perte auditive.
49% des jeunes interrogés a déjà ressenti une douleur aux oreilles, dont 21% ressent une douleur
fréquente et durable. Encore plus grave, suite à ces douleurs, 59% des jeunes attend que ça passe
au lieu de consulter, voire même d’en parler.
Bien qu’ils annoncent être sensibilisés et informés sur les risques auditifs, la menace d’un trouble
de l’audition leur paraît loin. La conscience des risques est donc totalement absente.
Pour 70% des jeunes interrogés, la crainte de perdre l’audition arrive bien loin après celle de
perdre la vue.
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bord du précipice !
• Adolescents
Alors que la réglementation protège les oreilles des travailleurs,
celles de nos enfants sont en danger imminent. Le système auditif
ne peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite des
baladeurs.Il est mondialement établi que l'oreille est en danger
au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB, l'exposition sonore
devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne
pas subir de lésions graves de son audition.
A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA rappelle à quel point l’audition des jeunes
est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS, plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France
d’une perte auditive. 49% des jeunes interrogés a déjà ressenti une douleur aux oreilles, dont 21%
ressent une douleur fréquente et durable. Encore plus grave, suite à ces douleurs, 59% des jeunes
attend que ça passe au lieu de consulter, voire même d’en parler. Bien qu’ils annoncent être
sensibilisés et informés sur les risques auditifs, la menace d’un trouble de l’audition leur paraît
loin. La conscience des risques est donc totalement absente. Pour 70% des jeunes interrogés, la
crainte de perdre l’audition arrive bien loin après celle de perdre la vue. Pourtant la probabilité
d’un trouble auditif est aujourd’hui avérée. Dès le plus jeune âge, leur système auditif est soumis
à des expositions sonores élevées : jeux sonores pour enfants, consoles de jeux, vidéo embarquée,
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MP3 puis plus tard concerts et discothèques. Une perte auditive est bien souvent irréversible et
évolutive. Il est urgent d’agir. Selon l'association JNA, le développement d’une vraie politique de
prévention constitue un levier pour améliorer le niveau de santé auditive des Français. Agir au
plus vite permettra de ne pas subir – d’ici quelques années – une perte globale des facultés
auditives des Français, et évitera un risque sanitaire grave. Les pratiques d’écoute des jeunes
d’aujourd’hui entraîneront inévitablement un vieillissement précoce de leur audition. Il y a lieu de
parier que le phénomène de presbyacousie apparaîtra donc beaucoup plus tôt. « On peut même
imaginer qu’un jeune d’aujourd’hui aura l’audition d’un senior de 65 ans, dès l’âge de 45 ans »
rappelle Jean Stanko, président de l’association JNA.
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Alerte sur l’écoute excessive de musique
amplifiée
Selon une étude publiée mardi 19 janvier, près d’un quart des
adolescents utilisent de manière excessive casques et écouteurs.
ZOOM
Près d’un quart des adolescents court un risque pour son audition, par une écoute excessives, de la
musique via un casque. / TANIA CASTAN/FOTOLIA
L’écoute fréquente et intensive de musique amplifiée via un casque ou des écouteurs a triplé entre
2007 et 2014 chez les 18-35 ans, passant de 4 % à 13 %, d’après une étude de l’Inpes publiée
mardi 19 janvier par le ministère de la santé. Les évolutions technologiques, la démocratisation
des lecteurs MP3, smartphones et autres outils, ont accéléré le phénomène. Près d’un quart des
adolescents (15-19 ans) et plus d’un jeune adulte sur dix (15-35 ans) est concerné par ces
pratiques excessives qui, à terme, peuvent générer de graves troubles de l’audition.
Des précautions insuffisantes
Même s’ils se disent conscients du danger, seuls 16 % des enquêtés déclarent « toujours » ou
« souvent » diminuer le volume sonore de leur baladeur ou réduire leur durée d’écoute. L’étude
relève que ce sont ceux qui déclarent des usages intensifs et réguliers, le plus souvent des
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adolescents, qui font partie des moins prudents.
Les précautions sont aussi insuffisantes dans les discothèques, les salles de concert et autres lieux
de loisirs, fréquentés régulièrement par 21 % des personnes interrogées, en particulier les
20-24 ans, estime l’Inpes. Seul un tiers des interviewés disent s’éloigner systématiquement des
enceintes lorsqu’ils jugent le volume trop élevé et seuls 3 % utilisent des bouchons d’oreilles.
Des troubles de l’audition irréversibles
Ces pratiques ne sont pas sans risque pour la santé. Le temps d’exposition et l’intensité sonore
sont les deux facteurs principaux à prendre en compte pour évaluer la nocivité du bruit, explique
le Dr Pascal Foeillet, ORL, vice-président de la Journée nationale de l’audition qui aura lieu le
10 mars. « Autour de 85 dB, il faut près de 8 heures d’exposition pour observer une altération de
l’audition. Au-delà de 100 dB, il suffit de quelques minutes ». Un niveau sonore rapidement
atteint lors d’un concert (105 dB) ou lorsqu’un baladeur est réglé à pleine puissance (100 dB).
Cette altération peut être irréversible. Ce spécialiste met donc en garde contre les comportements
les plus imprudents « qui peuvent accélérer le processus de vieillissement de l’oreille sous l’effet
de traumatismes sonores répétés ». Divers troubles peuvent apparaître, comme les acouphènes
(bourdonnement et sifflements), l’hyperacousie (hypersensibilité notamment aux bruits brutaux et
aigus) ou une perte d’audition. Les traitements existants améliorent le confort de vie du patient
mais ne le guérissent pas. « L’audition perdue ne peut pas être récupérée », poursuit le Dr
Foeillet.
Ces troubles de l’audition ne s’accompagnent pas toujours de douleurs. « Quand l’oreille
commence à souffrir, il est déjà trop tard. »
Renforcer la prévention
Pour limiter les risques, Félicie David, chargée de prévention santé environnement à l’Inpes,
préconise une meilleure sensibilisation du grand public, et surtout des jeunes. Avec plusieurs
acteurs, comme Audition solidarité ou le Centre d’information et de documentation sur le bruit ou
la Semaine du son, l’Inpes estime qu’il faut avant tout renforcer les actions de terrain, comme la
distribution de bouchons d’oreilles ou la diffusion du dépliant "Tout savoir sur les risques
auditifs". Dans ce dernier, on voit que des gestes simples, comme des pauses de 30 minutes toutes
les 2 heures (ou de 10 minutes toutes les 45 minutes) lors d’un concert ou le réglage de son
baladeur à la moitié de son volume limitent considérablement les dégâts.
Christelle Pravixay
Thèmes associés
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Les oreilles des jeunes au bord du précipice !
Alors que la réglementation protège les oreilles des travailleurs, celles de nos enfants sont en
danger imminent. Le système auditif ne peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite
des baladeurs. Il est mondialement établi que l'oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h.
A 100 dB, l'exposition sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas
subir de lésions graves de son audition. A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA
rappelle à quel point l’audition des jeunes est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS,
plus de 1 jeune sur 5 souffrirait en France d’une perte auditive. La 19e Journée Nationale de
l'Audition se tiendra partout en France, le 10 mars 2016. Son thème : Les nuisances sonores et
leurs impacts sur la Santé ?
La suite est à lire sur journee-audition.org
1. Brève Suivante
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Risque sanitaire : les oreilles des jeunes au
bord du précipice !
A lors que la réglementation protège les oreilles des travailleurs,
celles de nos enfants sont en danger imminent. Le système auditif ne
peut supporter une pression acoustique de 100 dB, limite des
baladeurs.
Il est mondialement établi que l'oreille est en danger au-delà de 80 dB pendant 8h. A 100 dB,
l'exposition sonore devrait être de l’ordre de quelques minutes seulement pour ne pas subir de
lésions graves de son audition.A l’occasion de la Semaine du Son, l’association JNA rappelle à
quel point l’audition des jeunes est en danger. Selon la dernière enquête JNA–IPSOS, plus de 1
jeune sur 5 souffrirait en France d’une perte auditive.49% des jeunes interrogés a déjà ressenti
une douleur aux oreilles, dont 21% ressent une douleur fréquente et durable. Encore plus grave,
suite à ces douleurs, 59% des jeunes attend que ça passe au lieu de consulter, voire même d’en
parler.Bien qu’ils annoncent être sensibilisés et informés sur les risques auditifs, la menace d’un
trouble de l’audition leur paraît loin. La conscience des risques est donc totalement absente.Pour
70% des jeunes interrogés, la crainte de perdre l’audition arrive bien loin après celle de perdre la
vue.
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Du son au bruit : il n’y a pas que les oreilles
qui trinquent
Paris, le lundi 18 janvier 2016 - Dans une récente étude IPSOS, faite
à l’occasion de la 13ème édition de la semaine du son, qui débute ce
18 janvier, 1/3 des adolescents interrogés déclarent « écouter fort »
avec leur casque audio ou leurs écouteurs.
Qui sensibilise aux risques auditifs ? 40% des parents disent n’y avoir jamais été sensibilisés.
Dans cette étude ce sont les professionnels de santé (dont 30% de spécialistes, ORL ou
prothésistes) qui sensibilisent les parents d’enfants de 0-6ans, tandis que les ados (13-19 ans)
annoncent être sensibilisés par leurs parents avec leurs connaissances incomplètes.L’appareil
auditif humain, immuable et incapable de s’adapter aux évolutions technologiques, est donc en
souffrance : 58% des 13-19 ans (et 67% des 7-12 ans) ont déjà expérimenté un trouble auditif
suite à une exposition sonore !Une vraie pollutionLorsque le son devient bruit la santé est en
danger : selon l’OMS, il s’agit de la seconde plus grande pollution dans le monde. A côté des
effets auditifs, il est aussi source de fatigue, troubles du sommeil et autres perturbations
psychosociales. On impute aussi au bruit des atteintes somatiques : sphère végétative,
cardiovasculaire, digestive, dérèglements endocriniens - comme l’obésité, et du système
immunitaire... bref le cortège des manifestations du stress. Il pourrait même être toxique dès la vie
fœtale en modifiant l’intégrité du système auditif.PV pour atteinte à la santé de l’homme !Parmi
les actions locales, la lutte contre les bruits … de voisinage est donc un enjeu majeur de santé
publique et de lien social, relevant des pouvoirs de police du maire indique le Conseil National du
Bruit (CNB). Télévision, talons, animal, appareils, jeu, fête… Le CNB vient de proposer un
document d’aide au constat d’infraction pour ces nuisances sonores non soumises à « mesurage »,
l’agent pourra s’appuyer sur des critères comme la perception du bruit (continue ou pas, depuis la
voie publique, l’habitation du plaignant), sa survenue répétée, sa durée, son contexte - manque
d’isolation, de précaution ou encore sa nécessité. Ainsi l’infraction (trouble à tranquillité d’autrui)
sera caractérisée en tapage nocturne, tapage injurieux diurne, agressions sonores, émission de
bruit portant atteinte à la tranquillité du voisinage et à la santé de l’homme. ..Pour la Journée
Nationale de l’Audition, en mars, l’association JNA informera sur la nécessité de mettre en
place une vraie politique de santé auditive en France; ce qui pourrait donc sauver des ouïes, et des
vies!
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Du son au bruit : il n’y a pas que les oreilles
qui trinquent
Paris, le lundi 18 janvier 2016 - Dans une récente étude IPSOS, faite
à l’occasion de la 13ème édition de la semaine du son, qui débute ce
18 janvier, 1/3 des adolescents interrogés déclarent « écouter fort »
avec leur casque audio ou leurs écouteurs.
Qui sensibilise aux risques auditifs ? 40% des parents disent n’y avoir jamais été sensibilisés.
Dans cette étude ce sont les professionnels de santé (dont 30% de spécialistes, ORL ou
prothésistes) qui sensibilisent les parents d’enfants de 0-6ans, tandis que les ados (13-19 ans)
annoncent être sensibilisés par leurs parents avec leurs connaissances incomplètes.L’appareil
auditif humain, immuable et incapable de s’adapter aux évolutions technologiques, est donc en
souffrance : 58% des 13-19 ans (et 67% des 7-12 ans) ont déjà expérimenté un trouble auditif
suite à une exposition sonore !Une vraie pollutionLorsque le son devient bruit la santé est en
danger : selon l’OMS, il s’agit de la seconde plus grande pollution dans le monde. A côté des
effets auditifs, il est aussi source de fatigue, troubles du sommeil et autres perturbations
psychosociales. On impute aussi au bruit des atteintes somatiques : sphère végétative,
cardiovasculaire, digestive, dérèglements endocriniens - comme l’obésité, et du système
immunitaire... bref le cortège des manifestations du stress. Il pourrait même être toxique dès la vie
fœtale en modifiant l’intégrité du système auditif.PV pour atteinte à la santé de l’homme !Parmi
les actions locales, la lutte contre les bruits … de voisinage est donc un enjeu majeur de santé
publique et de lien social, relevant des pouvoirs de police du maire indique le Conseil National du
Bruit (CNB). Télévision, talons, animal, appareils, jeu, fête… Le CNB vient de proposer un
document d’aide au constat d’infraction pour ces nuisances sonores non soumises à « mesurage »,
l’agent pourra s’appuyer sur des critères comme la perception du bruit (continue ou pas, depuis la
voie publique, l’habitation du plaignant), sa survenue répétée, sa durée, son contexte - manque
d’isolation, de précaution ou encore sa nécessité. Ainsi l’infraction (trouble à tranquillité d’autrui)
sera caractérisée en tapage nocturne, tapage injurieux diurne, agressions sonores, émission de
bruit portant atteinte à la tranquillité du voisinage et à la santé de l’homme. ..Pour la Journée
Nationale de l’Audition, en mars, l’association JNA informera sur la nécessité de mettre en
place une vraie politique de santé auditive en France ; ce qui pourrait donc sauver des ouïes, et
des vies !Dr Blandine EsquerreCopyright © http://www.jim.frPublicitéActualités
médicalesAccident de Rennes : Biotrial a-t-il tardé à donner l’alerte ?Rennes, le lundi 18 janvier
2016 – Dans l’après-midi de ce dimanche 17 janvier a été confirmé le décès de l’un des six
volontaires sains hospitalisés après avoir participé à un essai clinique de phase I pour tester un
inhibiteur d’une enzyme de dégradation d’un endo-cannabinoïde endogène (la molécule BIA
10-2474, selon le Parisien) développé par le laboratoire portugais Bial. L’annonce du
décès...Adieu (pour un certain temps) : œufs, poussins, cannetons dans le Sud OuestParis, le
vendredi 15 janvier 2016 - L’épizootie de grippe aviaire identifiée pour la première fois fin
novembre dans le sud ouest compte aujourd’hui 69 foyers. Pour l’endiguer, le ministère de
l’Agriculture annonce une « stratégie volontariste ». Elle repose sur « la mise en place durable de
mesures de biosécurité dans tous les élevages de volaille du territoire sanitaire », l’instauration de
«...Gériatrie Online, un site d’information et de conseils remarquable pour les professionnels de
santé et les aidantsParis, le jeudi 14 janvier 2015 - Geriatrie Online (www.geriatrieonline.com) est
un nouveau site internet non marchand et en libre accès, dédié à l'information et à la formation
des professionnels (médecins, infirmiers, aides-soignants) et des aidants en charge de personnes
âgées dépendantes ou atteintes de maladie d'Alzheimer. Son auteur, le Dr Laurence
Hugonot-Diener est gériatre. Elle assure...Lymphomes et implants mammaire : une réunion de
concertation pluridisciplinaire nationale mise en placeParis, le mercredi 13 janvier 2016 - Vingt
cas confirmés auxquels s’ajoutent trois cas possibles de lymphome associés aux implants
mammaires ont été recensés en France entre 2010 et juin 2015. La rareté de ces cancers suppose
certaines difficultés quant à la prise en charge, qui s’ajoutent à la spécificité de ce cancer
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(lymphome anaplasique à grandes cellules). Aussi, l’Institut national du...Première mondiale à
l'IGR : ablation du sein et reconstruction assistées par ordinateurParis, le mardi 12 janvier 2016 –
Des progrès importants ont été réalisés ces dernières années dans le domaine des mammectomies.
La préservation de l’aréole et du mamelon dès que cela est possible, l’ampleur prise par les
reconstructions immédiatement réalisées après l’ablation et globalement une plus grande prise de
conscience du caractère mutilant de certaines cicatrices ont contribué à obtenir...
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14 janvier 2016 - 11:21
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Santé : calendrier 2016 des journées et
événements de sensibilisation
Les événements 2016 du monde de la santé à Paris? Comme toujours,
ce sont les actions de sensibilisation liées aux différentes journées
nationales et journées mondiales qui rythment l’année. Sans oublier
les événements d’ampleur tels le Sidaction ou le Téléthon.
Les événements liés à l’univers de la santé sont extrêmement nombreux. Cette liste n’est pas
exhaustive. N’hésitez pas à la compléter dans les commentaires ci-dessous .JANVIERLÈPRE .
Longtemps incurable et sujette à toutes sortes de superstition, la lèpre se soigne aujourd’hui par
des combinaisons de plusieurs antibiotiques, et pour ceux qui ont perdu un membre, il est possible
de profiter des avancées de la médecine en matière de prothèses. Du 29 au 31 janvier 2016 , c’est
la journée mondiale des lépreux, l’occasion pour l’OMS de sensibiliser le public à cette maladie
que l’on peut soigner, mais qui continue de tuer et mutiler les populations les plus
pauvres.FÉVRIERCANCER . Le cancer demeure la première cause de mortalité dans le monde :
L’OMS estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 si aucune mesure
n’est prise. Le 4 février 2016 , c’est la journée mondiale contre le cancer. À noter : la semaine
nationale de lutte contre le cancer doit elle se tenir du 16 au 22 mars 2016 .MALADIES RARES .
Le 29 février 2016 marque la journée mondiale des maladies rares : Chaque semaine, 5 nouvelles
pathologies touchant moins de 0,2% de la population sont découvertes dans le monde... Cette
journée sensibilise le public aux maladies rares et apporte un peu d’espoir à ceux qui en sont
atteints.MARSCERVEAU . Du 14 au 20 mars 2016 , pour la semaine du cerveau, des chercheurs
invitent le grand public à participer à des ateliers, conférences et expositions pour comprendre le
cerveau.À Paris : le programme sera disponible sur cette page .SANTÉ MENTALE . Du 14 au 27
mars 2016 se tient la nouvelle semaine d’information sur la santé mentale. Des actions de
sensibilisation sont menées à Paris comme dans toute la France, notamment à Paris dans
l’amphithéâtre Morel du centre hospitalier Sainte-Anne (1, rue Cabanis, 14e ).AUDITION . Le 10
mars 2016 , c’est la nouvelle journée nationale de l’audition. Le thème de l’année : "Un Monde
bruyant, et nos oreilles dans tout ça ?". Une journée pour apprendre à prendre soin de ses oreilles :
la perte d’audition peut en effet conduire à un sentiment d’isolement.TRISOMIE 21 . La journée
mondiale de la Trisomie 21 se tient cette année le 21 mars 2016 . Cet évènement a été mis en
place dans le but de mieux informer la population sur cette maladie, cause principale du retard
mental chez les personnes déficientes intellectuelles, et qui reste mal connue du grand
public.SOMMEIL . La nouvelle journée du sommeil se tient le 18 mars 2016 . Le thème :
"Sommeil et nouvelles technologies".À Paris : les précédentes éditions ayant été concluantes, le
village sommeil pourrait à nouveau trouver refuge place de la Bastille ( 12e ), avec, peut-être, une
nouvelle sieste collective géante.TUBERCULOSE . Selon l’OMS, en 2011, "on dénombrait selon
les estimations 8,7 millions de nouveaux cas de tuberculose et 1,4 million de décès" . Le 24 mars
2016 marque la journée mondiale de lutte contre tuberculose.SIDA . Le Sidaction, ce sera du 27
au 29 mars 2016 .À Paris: retrouvez sur ce lien toutes les informations sur les actions organisées
dans la capitale dès qu’elles seront disponibles.
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13 janvier 2016 - 14:35
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Babypod : un MP3 intra-vaginal… pour
femmes enceintes !
La société espagnole BabyPod vient de lancer un dispositif sonore
intra-vaginal pour femmes enceintes. Mais, selon certains experts, ce
type d’appareil serait à éviter pour protéger l’audition du fœtus…
Nombreux sont les parents désireux de faire partager la musique à leur bébé pendant la grossesse.
Une société espagnole vient de lancer un concept original pour leur permettre de faire écouter des
mélodies à leur enfant in utero. Il s’agit d’un dispositif sonore intra-vaginal, baptisé Babypod.
Alors comment ça marche ? Il suffit d’introduire l’appareil dans le vagin de la future maman ! Le
concept, pour le moins étonnant, est relié par câble jack. Il n’y a donc pas de connexion sans fil de
type Bluetooth ou WiFi, qui pourrait représenter un éventuel risque pour l'enfant.Un outil pour
stimuler Bébé ?Selon les créateurs de ce nouveau produit, la musique stimule l’apprentissage et
joue un rôle important dans le domaine de la communication sociale. " La stimulation des bébés à
travers la musique, dès les premiers mois de vie, a des effets positifs sur leur développement
cérébral ", peut-on lire sur le site de la marque. Avec ce dispositif, " les bébés se stimulent et
réagissent en bougeant la bouche et en tirant la langue ". Pour dresser ce constat, la société a
réalisé une étude en diffusant de la musique au moyen d’écouteurs, posés sur l’abdomen de la
mère. Le volume de la musique était fixé à 98,6 décibels, ce qui équivaut au son d’une tondeuse à
gazon. Ils ont alors observé que les bébés ne montraient aucune réaction. En revanche, les fœtus
répondaient à la musique émise avec le Babypod, à une intensité sonore de 54 décibels,
équivalente au volume d’une conversation à voix basse ou d’une musique de fond.De potentiels
dangers pour l’audition du fœtusComme l’explique la marque, " le vagin est un espace fermé qui
empêche la dispersion des sons dans l’environnement. En plaçant un dispositif sonore
intra-vaginal, on supprime la barrière constituée par la paroi abdominale et le bébé peut entendre
les sons avec presque la même clarté et intensité sonore d’émission ". Problème : l’ouïe du bébé
ne serait donc pas totalement protégée. Et les experts mettent en garde contre ce genre de
dispositif pour la santé de l’enfant." Dès la 26 -27e semaine de grossesse, le système auditif du
fœtus est complet , prévient Sébastien Leroy, membre de l’association Journée nationale de
l’audition(JNA). Les cellules sensorielles de la cochlée sont construites. Les basses fréquences
(sons émis par les casques posés sur l’abdomen pour faire entendre la musique au fœtus, en
discothèque, aux concerts et festivals, ndlr), sont très nocifs pour les femmes enceintes. Des sons
trop élevés peuvent détruire les cellules sensorielles. Et celles-ci ne se reconstruisent pas.
L’enfant peut naître avec des cellules déjà détruites si celles-ci ont été endommagées ". Or
celles-ci jouent un rôle de transmission au cerveau auditif via le nerf auditif.Par ailleurs, " le bruit
peut également avoir un impact sur le poids à la naissance . Les bébés gênés par le bruit peuvent
être de plus petits poids. L’essentiel est que le fœtus entendent la voix de ses parents, celles de
son environnement, c’est cela qui est sécurisant pour lui ". Il vaut donc mieux attendre la
naissance pour faire écouter de la musique à son bébé, " tout en faisant attention au niveau sonore
", insiste Sébastien Leroy.La maturité auditive, un long processusUn communiqué de presse de
JNA, publié en octobre 2015, précisait que l’enfant ne perçoit les aigües comme un adulte qu’à
l’âge de 5 ans et les basses à l’âge de 10 ans. Il est donc important de prendre en compte ces
étapes de maturation. Et comme l’indique Sébastien Leroy, " l’usure naturelle, elle, n’est
perceptible à partir de 20 ans ".Elodie-Elsy MoreauSources : www.babypod.netEntretien avec
Sébastien Leroy, membre de l’association Journée nationale de l’auditionCommuniqué de
presse Journée nationale de l’audition ( disponible en ligne )
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13 janvier 2016 - 10:27
La JNA alerte sur les dangers auditifs du
bruit
Le bruit, omniprésent dans les pays industrialisés, est l’une des
principales causes de l’altération des capacités auditives, met en
garde l’association JNA.
Les impacts auditifs et extra-auditifs du bruit, « non négligeables », interviennent de manière «
sournoise » et « fragilisent l’équilibre général de santé des Français ».Les résultats des récentes
enquêtes, comme l’enquête « Nuisances sonores et gêne auditive », montrent que le bruit
constitue l’une des nuisances majeures ressenties par les Français dans leur vie quotidienne. Des
observations confortées par les résultats de l’enquête réalisée par le Ministère de l’Écologie, du
Développement durable et de l’Énergie et par ceux de l’étude réalisée à l’occasion de la Cop21
par l’Agence européenne de l’environnement, qui citent les pollutions sonores comme la plus
grande pollution au monde. Selon l’OMS, il s’agirait de la seconde plus grande pollution dans le
monde.La JNA rappelle par ailleurs les dangers du bruit dès la vie fœtale , qui peut agir comme
un agent toxique en modifiant l’intégrité du système auditif. L’association évoque également les
traumatismes sonores aigus provoqués par les expositions sonores non maîtrisées dès le plus
jeune âge à travers les jouets musicaux, les baladeurs numériques, jeux vidéo, etc.« Les
traumatismes sonores chroniques sont de plus en plus fréquents », s’inquiète la JNA, qui souligne
que la majorité de ces traumatismes, à force d’accumulation d’expositions sonores, provoque des
troubles irréversibles de l’audition et des surdités évolutives. « L’omniprésence du sonore génère
une fatigue auditive», qui peut conduire à des difficultés de concentration, une perte de vigilance,
une irritabilité et/ou une agressivité.Pour réagir et lutter contre la mise en danger de la santé des
Français, le groupe d’experts de l’audition de l’association JNA informera sur la nécessité de la
mise en place d’une vraie politique de santé auditive en France le 10 mars 2016. Et la JNA de
conclure: « La santé des Français s’est améliorée lorsque l’humanité a compris qu’une bonne
hygiène sanitaire permettait de réduire les risques d’épidémie. Un autre grand pas sera fait lorsque
les bonnes pratiques de santé auditive seront intégrées à ces mesures d’hygiène sanitaire.
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11 janvier 2016 - 16:55
Le bruit peut-il tuer ?
Écrit par JNA | 11 Janvier 2016
Aujourd’hui, par son omniprésence et son intensité, le bruit représente l’une des principales
causes de l’altération des capacités auditives dans les pays industrialisés.
Les impacts « auditifs » et « extra-auditifs » du bruit ne sont pas négligeables. Ils
interviennent de manière « sournoise » et fragilisent l’équilibre général de santé des
Français. Les risques sanitaires et sociaux sont aujourd’hui élevés.
Pourquoi ? Comment ?
Le bruit figure parmi les nuisances majeures ressenties par les Français dans leur vie quotidienne.
Les résultats de l’une des nombreuses enquêtes réalisées par l’association JNA,«Nuisances
sonores et gêne auditive » sont éloquents.
En septembre 2014, ceux révélés par l’enquête réalisée par le Ministère de l’Ecologie, du
Développement durable et de l’Energie viennent conforter ces déclarations. Plus récemment,
l’étude réalisée à l’occasion de la Cop21, par l’Agence Européenne de l’environnement confirme
que les pollutions sonores représentent la plus grande pollution au monde.
Selon l’OMS, il s'agit effectivement de la seconde plus grande pollution sur notre planète. Et le
bruit peut agir comme un agent toxique dès la vie fœtale en modifiant l’intégrité du système
auditif.
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11 janvier 2016 - 18:35
10 mars : Journée nationale de l'Audition
11/01/16
19e Journée Nationale de l'Audition : Le bruit peut-il tuer ?
Aujourd’hui, par son omniprésence et son intensité, le bruit représente l’une des principales
causes de l’altération des capacités auditives dans les pays industrialisés. Les impacts « auditifs »
et « extra-auditifs » du bruit ne sont pas négligeables. Ils interviennent de manière « sournoise »
et fragilisent l’équilibre général de santé des Français. Les risques sanitaires et sociaux sont
aujourd’hui élevés. Pourquoi ? Comment ?
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10 décembre 2015 - 16:35
Quand trop de bruit nuit à notre santé
La pollution sonore se fait de plus en plus entendre! Le bruit est omniprésent dans notre
quotidien: circulation routière, nuisances aériennes, transports, restaurants et magasins sonorisés
pour attirer le chaland, open space, voisins bruyants… Une étude internationale menée par GfK
Eurisko pour Amplifon – qui commercialise des solutions auditives – confirme ce phénomène
dans 11 pays étudiés*. Sans surprise, ce sont les citadins qui subissent cette pollution sonore:
leurs oreilles sont constamment sollicitées.
Point de départ de l'enquête, l'indice d’exposition à la pollution sonore (Enpi) qui évalue la
perception de l'exposition au bruit selon trois critères: la quantité, la récurrence et la durée des
bruits auxquels les habitants des grandes villes sont exposés. Le niveau sonore est jugé élevé si
une personne est exposée à plus de neuf types de nuisances sonores pendant plus de huit heures
par jour. Il est moyen-haut si cela concerne 9 types de nuisances émises pendant plus de huit
heures. Et faible entre 0 et 1 bruit.
La France se classe à la troisième place des pays les plus bruyants derrière les États-Unis et
l’Italie. Selon l'étude, le phénomène concerne 27% des habitants des grandes villes (Paris,
Marseille, Lyon et Toulouse), touchés quotidiennement par un niveau sonore élevé. Ce sont les
Parisiens qui souffrent le plus. Alors que les décibels de la circulation routière (entre 75 et
90dB**) épuisent les habitants de la capitale tout comme le volume des conversations (entre 60 et
85 dB) et les transports publics (entre 80 et 100 dB), les Lyonnais se plaignent plutôt de fonds
musicaux trop sonores… Un effet cocktail dangereux qui n'est pas sans conséquences pour la
santé. Quant aux internautes de Notre Temps qui ont répondu à notre sondage sur ce sujet, ils
sont 38,3% à être incommodés par les publicités télévisées.
À lire:
Au quotidien, quelle nuisance sonore vous dérange le plus?
Quels impacts pour la santé?
Même si, pour un même niveau d’exposition au bruit, les effets peuvent varier fortement d’un
individu à l’autre, cette accumulation de bruits de forte intensité constitue un vrai danger
aujourd'hui bien connu. L’étude rappelle qu’une pollution sonore élevée et continue épuise le
cerveau constamment sollicité.
L'excès de bruit affecte l’ensemble de l’organisme au-delà des effets sur l’audition. Il est facteur
de stress, engendre de la fatigue, de la nervosité ou des sautes d’humeur, des troubles du sommeil
(éveils nocturnes, insomnies) ainsi que des difficultés de concentration et d’apprentissage.
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10 décembre 2015 - 16:35
L’Anses pointait aussi dans un rapport de 2012 les risques d’hypertension artérielle et d’infarctus
du myocarde. Et selon l’association JNA (Journée nationale de l’audition) qui organise chaque
année une campagne de prévention et de sensibilisation sur les nuisances sonores, un Français sur
deux se dit gêné par le bruit la journée et une personne sur cinq pendant la nuit (Enquête JNA –
Ipsos – Nuisances sonores – 2011).
*États-Unis, Espagne, Portugal, France, Italie, Australie, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Belgique,
Grande-Bretagne, Allemagne.
** 85 dB est le seuil au-dessus duquel le bruit est considéré comme dangereux.
À lire:
Surveiller son audition protège d'Alzheimer
Surdité: un petit guide pratique pour mieux communiquer
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7 décembre 2015 - 07:32
Atos et la SEEPH!
Innov'actions 2.0 0 commentaires
Il y a quelques jours se tenait la 1ère Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes
Handicapées (SEEPH). L’occasion pour de nombreuses entreprises de sensibiliser leurs
collaborateurs au handicap. Parmi elles: Atos.
Focus sur les actions menées par une entreprise engagée!
Atos, acteur international des services du numérique, accompagne ses clients dans leur
transformation digitale. Les ingénieurs et consultants de cette entreprise gèrent des projets
innovants et de grande envergure. La Mission Handicap accompagne chaque année des ingénieurs
en informatique en situation de handicap. Nous vous présentons aujourd’hui les actions concrètes
mises en place par Atos à l’occasion de la SEEPH 2015!
Des dépistages auditifs à destination des salariés!
«Mieux entendre, c’est mieux vivre!», tel est le nom de l’opération de sensibilisation menée par
Atos auprès de ses salariés. Le principe? Proposer des dépistages auditifs en partenariat avec
l’association «Journée Nationale de l’Audition»(JNA). Au cours de la SEEPH des tests
audiométriques ont été réalisés sur différents sites de l’entreprise. Cela a été l’occasion pour les
collaborateurs d’échanger avec des spécialistes, et de leur faire part d’éventuelles préoccupations
concernant leur audition.
Atos a également pensé à ceux qui ne pouvaient pas être présents sur les sites en proposant des
tests en ligne qui comprenaient:
• Des questions sur la vie quotidienne,
• Un test tonal sur chaque oreille permettant d’apprécier le seuil de détection des sons,
• Un test vocal mesurant le niveau de compréhension des mots.
La synthèse des 3 résultats permettait de repérer un éventuel déficit auditif. Une action
essentielle: le nombre de personnes atteintes par ce type de pathologies augmente chaque jour.
57% des 19-25 ans ont déjà été exposés à un trouble de l’audition. Malgré cette forte part de la
population touchée, seul 1 français sur 2 a déjà testé son audition.
La découverte des métiers d’Atos!
La Mission Handicap s’est associée à l’Agefiph pour participer à l’opération « 1 jour, 1 métier en
action® ». Le principe est simple: permettre à un demandeur d’emploi en situation de handicap de
passer une journée en binôme avec un salarié de l’entreprise. L’occasion de découvrir une
entreprise, un secteur d’activité et un métier. Une initiative permettant également de sensibiliser
très concrètement les salariés au handicap et de dépasser les préjugés.
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7 décembre 2015 - 07:32
En parallèle, l’entreprise était présente lors du forum de L’ADAPT Paris qui s’est tenu le 18
novembre à la Halle Carpentier. Lors de cet événement vous avez pu en apprendre davantage sur
les métiers d’Atos, ses opportunités professionnelles et sa politique handicap.
Vous n’étiez-pas présent(e)? Pas de panique, vous pouvez retrouver toutes les offres d’emploi sur
leur site carrières et sur leur page dédiée sur le réseau Talentéo. Le seul handicap serait de ne pas
postuler!
A lire également:
• L’importance de la diversité pour la performance: l’exemple d’Atos!
• Hansemble, campagne de sensibilisation interne de la Mission Emploi Handicap d’Atos
• La Mission Emploi Handicap du groupe Atos lance l’édition 2015 de son concours
Handi-entrepreneurs !
• Participez à la 4ème édition des Prix Atos-FÉDÉEH!
• Des outils pour rendre sites Web et PDF accessibles aux personnes en situation de handicap
Que pensez-vous de ces initiatives? Avez-vous participé à l’une d’elles? Dites-le nous dans les
commentaires!
A vous de jouer! Rendez-vous sur le site carrières d’Atos et sur le réseau Talentéo pour postuler
aux offres d’emploi proposées par l’entreprise!
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30 novembre 2015 - 18:46
Améliorer son audition avec les dispositifs
intra-auriculaires
7 millions de personnes sont en France atteintes de presbyacousie. Un chiffre dont la proportion
augmente naturellement avec l’avancée en âge. Un senior sur 3 aurait souvent ou parfois des
difficultés à entendre et 44% des seniors éprouveraient des difficultés de compréhension, selon
une enquête réalisée par Ipsos pour la Journée Nationale de l’Audition. C’est dire au vu de ces
chiffres si le phénomène est important et ne doit pas être pris à la légère.
La presbyacousie, cette surdité progressive liée au vieillissement (parfois aggravée par diverses
agressions ou traumatismes subis au cours de la vie), peut se révéler dangereuse à plus d’un titre :
synonyme d’isolement, elle conduit les personnes à se retirer progressivement de la vie sociale,
professionnelle voire familiale, engendrant des risques de repli sur soi, de perte de repères et de
dépression que cette mise à l’écart entraîne.
Pour éviter ces situations, en prévenir les effets délétères et trouver des alternatives, il est
essentiel de réaliser un bilan régulier avec son médecin traitant ou son médecin référent si vous
êtes en établissement ou en résidence médicalisée. Il pourra demander un bilan plus complet s’il
le juge nécessaire.
Car des solutions existent. Elles se sont d’ailleurs considérablement améliorées si l’on en juge par
la qualité des appareils aujourd’hui sur le marché.
Si la grande majorité (90 %) des personnes sont équipées de contours d’oreille, qui restent des
dispositifs externes, 10% ont adopté les dispositifs intra-auriculaires. Ils s’adressent en priorité
aux personnes souffrant d’une perte auditive légère à moyenne. Très discrets, ils sont fabriqués
sur mesure pour s’adapter à la forme de l’oreille et du conduit auditif.
Chez Phonak, fabricant suisse, la nouvelle gamme d’intra-auriculaires, grâce à sa technologie
Binaurale VoiceStream™, détecte le signal vocal et le transmet aux deux oreilles. Il limite
également certains sons, particulièrement gênant lorsque l'on souhaite suivre une conversation,
notamment le bruit du vent.
A noter que dispositif classique et dispositif intra-auriculaire sont aujourd’hui vendus à prix
équivalents entre 1200 et 1500 euros (pour un appareil complet).
Pour découvrir les produits associés, consulter notre article sur les idées pratiques et utiles pour
les cadeaux de fin d’année.
Explication en vidéo avec Amélien Debes – Audioprothésiste chez Phonak
L’implant intra-auriculaire : efficacité, technologie et précision
Bien sûr d'autres fabricants existent. Citons pour exemple Widex, Amplifon, Bien entendre,
Audika, Tinteo...
Juliette Viatte
mis à jour le 30/11/2015
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Date : 26/11/2015
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Mots : 59
La JNA mobilisée pour la prévention
De septembre à fin décembre 2015, l’association JNA réalise 100
journées de prévention, annonce-t-elle. Ces journées, au cours
desquelles des tests de l’audition sont pratiqués, sont réalisées grâce à
90 audioprothésistes qui soutiennent la cause de l’association, et que
celle-ci a tenu à remercier.
La liste de ces audioprothésistes engagés est disponible sur
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Date : 26/11/2015
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Un monde bruyant. et nos oreilles dans tout ça ?
Le jeudi 10 mars 2016, 19e édition de la Journée Nationale de l'Audition. A l'occasion de cette 19e édition,
l'équipe scientifique de l'association créatrice des campagnes nationales JNA (Professeurs et chercheurs médecins
ORL, orthophonistes, audioprothésistes) alertent l'opinion publique sur les effets des expositions sonores et de leur
accumulation sur la santé auditive. L'omniprésence sonore pourrait effectivement expliquer le développement
précoce des déficiences auditives et autres pathologies de l'oreille (acouphènes.) au sein de l'ensemble des tranches
d'âge de la population. Pourquoi ? Comment ?L'Ouïe est l'un des principaux sens nécessaire à notre équilibre
général. Il repose sur des mécanismes fragiles, altérables et la plupart du temps irréparables. Au cour du danger :
la fragilité des cellules sensorielles de l'oreille interne, appelées cellules ciliées. Ces cellules jouent le rôle de
transmission des informations au cerveau auditif, à qui revient la charge de les décoder. Elles ont pour
particularité de s'user naturellement avec l'âge - phénomène appelé presbyacousie - et plus rapidement sous l'effet
d'une exposition sonore intense ou du fait de l'accumulation d'expositions. Une fois abîmées, elles disparaissent à
jamais. Les connaissances médicales actuelles ne permettent pas de les remplacer. Cela se traduit par une
difficulté à comprendre ses interlocuteurs et à communiquer avec eux. Lorsque la déficience auditive n'est pas
détectée à temps, les enfants sont en difficulté dans les apprentissages ; les adultes sont fragilisés dans leur vie
sociale et professionnelle, le déclin cognitif s'accélère chez les seniors. Autrement dit, l'altération de ce sens si
précieux est un élément de déséquilibre impactant l'état général de l'individu et sa qualité de vie.L'accumulation
d'expositions sonores aux intensités non maîtrisées constitue la principale toxicité pour l'oreille.Les mécanismes de
l'oreille n'ont pas changé depuis l'origine de l'Homme. A l'époque de la chasse et de la cueillette, l'homme évoluait
dans un environnement sonore probablement non toxique - ne dépassant pas les 80 dB - composé de sons naturels
de faible intensité sonore. Au cours de son évolution, l'homme a introduit des sources sonores de plus en plus
puissantes : des outils de pierre, des instruments de musique (des tambours), les armes à feu, les machines à
vapeur, les voitures, le train, le métro, les systèmes d'amplification, les baladeurs numériques etc. Aujourd'hui,
l'environnement est constitué d'ambiances sonores aux intensités élevées et continues. Le système auditif ne
bénéficie plus de temps de récupération. Il est donc soumis à des pressions constantes et subit un état permanent
de stress accélérant sa dégradation.Développer les bonnes pratiques de santé auditive à tous les âges de la vie.
Lors de la dernière enquête JNA 2015 réalisée avec l'Institut Ipsos, « Risques auditifs : des clés pour agir », les
jeunes interrogés ont indiqué que le Bruit est un élément rassurant et que son absence les inquiétait.
L'omniprésence sonore est donc ancrée dans les habitudes de vie de l'Homme moderne : autoradio, musique dans
les magasins, MP3 pendant la journée et parfois même pendant le sommeil, télévision à la maison, bruits de la
ville, bruit au travail. Cela devient une caractéristique culturelle de notre société normalisant l'omniprésence de
son de fortes intensités. Dès lors, comment lutter contre des comportements intégrés comme normaux. Il est donc
nécessaire de redonner du sens et de la cohérence à ses comportements au travers de la mise en place d'un
programme positionnant la santé auditive comme un facteur clé du Bien Vivre et du Bien Vieillir à tous les âges
de la vie : « Ensemble développons la santé auditive pour tous ».Le jeudi 10 mars 2016, plus de 2 400 acteurs
locaux (Villes, entreprises, établissements scolaires, associations, associations de malentendants, services de santé
au travail, médecins généralistes, médecins ORL, services ORL, audioprothésistes, orthophonistes, sophrologues,
psychologues, maisons de retraite, Mutuelles et Institutions de Retraite et de Prévoyance.) organiseront
gratuitement conférences, tests de l'audition, expositions, concerts pédagogiques, ateliers. pour développer
l'éducation à la santé auditive en transmettant les bonnes pratiques dès le plus jeune âge.Connaître les actions : N°
Azur 0 810 200 219 ou www.journee-audition.orgPanorama de l'audition en France - Les chiffres clésAu niveau
de la population12 à 15% de la population française serait affectée par les troubles de l'audition. L'OMS estime
que 16% de la population mondiale souffrirait de problèmes d'audition.1 Français sur 2 est gêné par le bruit la
journée et 1 personne sur 5 pendant la nuit (Enquête JNA - IPSOS - Nuisances sonores - 2011)Pour 60% des
personnes interrogées, le bruit agit sur leur humeur et génère de la fatigue et de la lassitude (Enquête JNA IPSOS - Nuisances sonores - 2011)1 personne sur 2 touchée par les acouphènes dès les 16-34 ans (Enquête JNA IPSOS 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »). Environ 16 millions de personnes.L'exposition
sonore est citée comme première cause des acouphènes (Enquête JNA - IPSOS 2014 « Acouphènes et
(1/2) CORRECTION AUDITIVE
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Mots : 1537
hyperacousie : quelles solutions ? »)Pour 89% des personnes interrogées, les difficultés auditives impactent la vie
sociale (Enquête JNA - IPSOS 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »)Chez les jeunesL'écoute
de musique amplifiée et la télévision sont deux sources principales d'exposition au bruit chez les 13/25ans (70%)
(Enquête JNA - IPSOS 2012 « Le capital auditif des jeunes est-il en danger ? »)1 jeune sur 3 écoute pendant 2 à 3
heures par jour son MP3 et de la musique amplifiée via son téléphone mobile, son PC ou sa chaîne Hi-Fi et 2
jeunes sur 3 entre 1 à 2 heures (Enquête JNA - IPSOS 2012 « Le capital auditif des jeunes est-il en danger ?
»)Chez les actifsLe trouble de l'audition est la troisième cause de maladie professionnelle en France. (Source
Ministère) http://www.travailler-mieux.gouv.fr...Chez les seniors, 44% des seniors interrogés éprouvent des
difficultés de compréhension et ¼ des vertiges et pertes de l'équilibre (Enquête JNA - IPSOS 2013 « Les seniors
et l'audition »)Chez les seniors1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre (Enquête JNA IPSOS 2013 « Les seniors et l'audition »)3 seniors sur 5 déclaraient avoir des difficultés à suivre une conversation
dans le Bruit (Enquête JNA - IPSOS 2013 « Les seniors et l'audition »)La perte de l'audition concerne 40% des
60-70 ans et plus de 50% des plus de 80 ans. Pour autant, seulement 32% déclarent avoir réalisé un contrôle de
leur audition il y a moins de 5 ans, et 52% ont effectué un test il y a plus de 10 ans ou jamais. (Enquête JNA IPSOS 2013 « Les seniors et l'audition »)Bien que 93% des seniors interrogés accepteraient de s'équiper en aides
auditives (Enquête JNA - IPSOS 2013 « Les seniors et l'audition »), seulement 34% des personnes ayant besoin
d'appareillage le sont réellement.Le prix et le manque de visibilité sur la question du prix sont les deux freins pour
s'équiper en aides auditives. (Enquête JNA - IPSOS 2013 « Les seniors et l'audition »)Seniors et dépendance
:Selon la synthèse du débat national sur la dépendance, de juin 2011, la dépendance représentait 8% de la
population des plus de 60 ans. Compte tenu des prévisions démographiques, le groupe de travail envisage une
forte hausse des personnes dépendantes de 2025 à 2060. Les plus de 80 ans passeraient de 3 millions en 2007 à
6,1 millions en 2035. Pour l'hypothèse intermédiaire et le scénario démographique central de l'Insee, les
projections montrent une augmentation de 35% de la population âgée dépendante à l'horizon 2030 et un
doublement en 2060.Par ailleurs, selon les estimations de l'OMS, compte tenu du vieillissement des populations,
la démence sénile va augmenter jusqu'en 2050. La mise en place de stratégie de compensation des déficiences
sensorielles auditives peut permettre une diminution et un retardement de cet effet du vieillissement.Les enjeux de
la santé auditive en FranceLa moindre déficience auditive non traitée déséquilibre le parcours de vie des individus
; quelle que soit la tranche d'âge considérée :Chez l'enfant = & trouble du langage et des apprentissages = & échec
scolaire = & impacts sur qualité de vie et vie familiale = & risques élevés de difficultés d'intégration sociale et de
« décrochage social » = & coût de l'accompagnement médico-socialChez l'adulte = & dégradation de l'état général
de santé et impacts psychologiques = & altération de la qualité de la vie sociale et professionnelle = & risques
élevés d'accidents du travail ; augmentation des coûts santé ; des coûts sociaux et impacts sur la cellule familiale
(rupture familiale = risque de dépression ; perte d'emploi ; appauvrissement économique= précarité)Chez les
seniors retraités = & modification des comportements ; impacts psychologiques ; risques accrus d'isolement social
; accélération des effets du vieillissement, accélération du déclin physique et cognitif ; risques de chute accrus = &
augmentation des coûts santé et impacts sur la cellule familiale.Chez les seniors du grand âge = & aggravation du
déclin cognitif et physique = & perte rapide d'autonomie ; risques élevés de chute ; difficulté d'accompagnement
de la personne par les professionnels de santé et les aidants familiaux = & coûts santé élevés et impacts sur la
cellule familiale.Ces incidences sont aujourd'hui démontrées par les différentes études menées par les équipes de
recherche américaines (Etudes du Pr. Frank Lin) et françaises (Etude de l'équipe du Dr Hélène Amieva à
Bordeaux).
(2/2) CORRECTION AUDITIVE
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20 novembre 2015 - 00:04
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Perte auditive : quand faut-il s'alarmer ?
©Thinkstock Lorsque l'on vieillit, la vue baisse et les articulations sont de plus en plus fragiles.
Mais qu'en est-il de l’ouïe, ce sens si souvent laissé pour compte ?
©Thinkstock
D'après une étude récente, un Français sur trois craint d'être confronté
un jour à des problèmes d'audition. Pourquoi ? Parce qu'en entendant
moins bien, la vie quotidienne devient un véritable défi. Toutes les
personnes qui ont connu ce problème vous le diront : lorsqu'on entend
moins bien, les relations sociales sont de plus en plus compliquées, de
même que le simple fait de pratiquer un loisir, d'écouter la radio ou
encore de suivre un film. Progressivement coupés du monde qui les
entoure, les seniors victimes de troubles auditifs se replient sur eux
peu à peu et le vieillissement de leurs neurones s'intensifie. De plus, le
cerveau, de moins en moins stimulé, peut favoriser l'apparition de
graves maladies neurologiques comme la maladie d'Alzheimer.
« J'entends mais je ne comprends pas »
©Thinkstock
Pour éviter cette déchéance, il est primordial de se rendre
chez un audioprothésiste au moindre doute afin de réaliser
des tests. La plupart du temps, les patients entendent mais
ne comprennent pas, car il faut savoir que les sons les plus
aigus sont les moins audibles. La baisse d’audition
s’installe ainsi le plus souvent progressivement, de
manière insidieuse. Si une insuffisance auditive est
diagnostiquée par votre spécialiste, pas de panique, des
alternatives sont envisageables comme le port d'aides adaptées. À la pointe de la technologie, ces
systèmes permettent aux malentendants de localiser à nouveaux n'importe quel son.
Les types d'appareils
Il existe trois types d'appareils : les analogiques, aujourd'hui tombés en désuétude, dont le concept
consiste à ajuster le volume du son réémis et de régler l'intensité des fréquences ; les numériques,
aujourd'hui très souvent choisis pour leur efficacité, qui ajoutent aux caractéristiques des
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prothèses analogiques un convertisseur capable d'ajuster le son, de le restituer et de le modifier ;
enfin, les microphones directs qui peuvent s'avérer très utiles en donnant une sensibilité différente
aux sons en fonction de leur angle d'incidence. Ainsi, il est possible de choisir quel son
intensifier, si quelqu'un se trouve devant ou derrière soi par exemple.
Consulter un spécialiste et, si la perte d'audition se confirme, porter des prothèses auditives
permet tout simplement de mieux communiquer et de retrouver une vraie qualité de vie. Alors,
n'attendez plus !
Julie Pitaud
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16 novembre 2015 - 18:26
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Faire taire les acouphènes, c'est possible
Voilà dix ans que Jean vit jour et nuit avec un sifflement dans l’oreille droite. Pour Martine, le
son perçu ressemble davantage à un bourdonnement. Gilbert, lui, se plaint d’un grésillement. Les
jours de bonne humeur, il raconte que cela lui rappelle les grillons de son enfance...
En France, 30% de la population est victime d’acouphènes, des bruits parasites entendus dans une
oreille, parfois les deux. 44% ont 50 ans et plus, mais les jeunes, adeptes de musique écoutée fort,
ne sont pas épargnés, selon l’enquête Ipsos - Journée nationale de l’audition 2014. Si ces
sensations sonores varient d’une personne à l’autre, leur point commun est de survenir en
l’absence de toute stimulation sonore extérieure. Et d’énerver!
"Ce bruit est dû à un dysfonctionnement du système auditif dans l’oreille interne", explique le Dr
Didier Bouccara, ORL à l’hôpital Pitié-Salpêtrière (Paris) et membre du comité scientifique de
l’association France Acouphènes. "Si la présence d’un bouchon de cérumen ou une
maladie peuvent être en cause, par exemple une otite, une hypertension artérielle ou un excès de
cholestérol, c’est une fois sur deux une exposition sonore élevée (écoute au casque, concert,
travail…) qui l’a provoqué.
Une fois sur quatre seulement, le vieillissement normal de l’oreille est en cause." Certains s’en
accommodent, tant bien que mal, mais 4millions de personnes en France reconnaissent que les
acouphènes altèrent grandement leur qualité de vie, les gênant pour travailler, se concentrer ou
même trouver le sommeil. De bonnes raisons de consulter.
L’ORL commence par examiner l’oreille lésée et pratique un audiogramme pour vérifier si le
son est associé à une perte d’audition. Il pourra le cas échéant résoudre le problème s’il est lié à
un bouchon de cérumen ou à une otite. Si aucune cause visible n’explique la présence des
acouphènes, bien qu’il n’existe pas de médicament pour guérir, il est possible dans 70% des cas
d’obtenir que les sons n’aient plus d’effet sur la personne. "C’est le stade dit “d’habituation”: le
cerveau intègre le bruit comme “normal” et y devient indifférent. Une amélioration freinée par le
tabac et l’alcool.", explique le Dr Bouccara.
Pour y parvenir, le patient doit comprendre l’origine et le caractère bénin de l’acouphène. Cela
diminue son anxiété, l’aide à ne plus se focaliser dessus, à moins le percevoir et à reprendre peu à
peu une vie normale." Des séances de sophrologie, un soutien psychologique ou quelques séances
de thérapie comportementale et cognitive (TCC) peuvent être un bon coup de pouce.
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Grossesse : on baisse le son !
L’association Journée Nationale de l’Audition(JNA) prévient : votre futur bébé, entre le 7ème
et le 8ème mois, a le système auditif formé. Ainsi, des sons trop puissants peuvent être dangereux
pour lui.
Alors que certains organes ne sont pas encore matures entre le 7ème et le 8ème mois, l’ouïe l’est
complètement. Le bébé que vous attendez entend donc tout ce qu’il se passe autour de vous et
perçoit tous les sons dès le troisième trimestre.
Voilà pourquoi, des experts du Comité scientifique de l’association Journée Nationale de
l’Audition(JNA) tiennent à prévenir dans un communiqué de presse « que le système auditif du
fœtus est mature dès la 30ème semaine ». Si le système auditif est complètement constitué, cela
veut également dire qu’il est aussi très fragile !
En effet, il « contient les cellules sensorielles de l’oreille, appelées cellules cillées qui jouent le
rôle de transmission au cerveau auditif via le nerf auditif ». Le problème, c’est qu’elles peuvent
être détruites à cause d’un choc sonore. Et donc le casque sur l’abdomen pour lui faire entendre
de la musique est donc vivement déconseillé ! Au contraire de ce que vous avez pu déjà entendre.
Évitez aussi les discothèques, l’autoradio avec le système d’amplification embarqué, les soirées
privées et les festivals.
Ne pratiquez pas ce que vous avez pu entendre !
A noter aussi que ce n’est qu’à partir de l’âge de 5 ans qu’un enfant entend les sons aigus et à 10
ans les sons graves.
Cette année, l’association JNA encouragera le développement de la « santé auditive » en France.
Le leitmotiv de cette année ? « Ensemble, développons la santé auditive pour tous » et se tiendra
le jeudi 10 mars 2016 prochain. En attendant, protégez les petits canaux auditifs de bébé !
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5 novembre 2015 - 18:28
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05/11 Grossesse : l’exposition au bruit aurait
un impact sur l’audition du futur bébé
Femmes enceintes, pensez à baisser le son de la musique! Dans un communiqué de presse
récemment publié, les experts et membres du Comité scientifique de la Journée nationale de
l’audition(JNA) affirment que l’exposition au bruit pendant la grossesse est néfaste pour l’ouïe
du futur bébé. Comme ils l’expliquent, le système auditif du fœtus est mature dès la 30e semaine
de grossesse. En clair, entre le 7e et le 8e mois de grossesse, l’ensemble du système auditif...
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5 novembre 2015 - 12:28
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Foetus : attention à l'exposition au bruit
pendant la grossesse
Le foetus perçoit les sons dès le troisième trimestre de la grossesse et son système auditif est
mature dès la 30ème semaine. Des experts de l'audition rappellent les dangers d'une exposition au
bruit pour le foetus.
L'ouïe est l'un des premiers sens qui se développe chez le foetus et si ses organes ne sont pas
encore tous constitués, le bébé est en mesure de percevoir les sons qui l'entourent dès le troisième
trimestre de la grossesse. En effet, son système auditif est mature dès la 30ème semaine de
grossesse, soit entre le 7ème mois et le 8ème mois de grossesse. Mais il est aussi plus fragile,
alertent les experts, membres du Comité scientifique de l'association de la Journée Nationale de
l'Audition (JNA). Ils rappellent que "les cellules sensorielles de l’oreille, appelées cellules
ciliées, jouent le rôle de transmission au cerveau auditif". Peu nombreuses à la naissance, ces
cellules sensorielles peuvent aussi se détruire sous l’effet d’un choc sonore ou de l’usure
naturelle. "A ce jour, une cellule abîmée se détruit à jamais. Elle ne peut alors plus jouer son rôle
de transmission et le cerveau auditif ne reçoit plus d’information à décoder", préviennent les
spécialistes.
Attention aux basses fréquences. Si les sons de hautes fréquences (sons aigus) sont atténués par la
paroi de l'abdomen de la maman, ce n'est pas le cas des sons graves, à basse fréquence, dont les
ondes se propagent plus facilement dans un milieu liquide. Il est donc recommandé, pendant la
grossesse, d'éviter de mettre un casque sur le ventre pour faire écouter de la musique au bébé, de
ne pas fréquenter les discothèques, les concerts, les festivals ou encore les endroits où le bruit est
trop fort, et enfin, de ne pas utiliser d'autoradio avec un système d'amplification embarqué.
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5 novembre 2015 - 12:34
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Foetus : attention à l'exposition au bruit
pendant la grossesse
Le foetus perçoit les sons dès le troisième trimestre de la grossesse et son système auditif est
mature dès la 30ème semaine. Des experts de l'audition rappellent les dangers d'une exposition au
bruit pour le foetus.
L'ouïe est l'un des premiers sens qui se développe chez le foetus et si ses organes ne sont pas
encore tous constitués, le bébé est en mesure de percevoir les sons qui l'entourent dès le troisième
trimestre de la grossesse. En effet, son système auditif est mature dès la 30ème semaine de
grossesse, soit entre le 7ème mois et le 8ème mois de grossesse. Mais il est aussi plus fragile,
alertent les experts, membres du Comité scientifique de l'association de la Journée Nationale de
l'Audition (JNA). Ils rappellent que "les cellules sensorielles de l’oreille, appelées cellules
ciliées, jouent le rôle de transmission au cerveau auditif". Peu nombreuses à la naissance, ces
cellules sensorielles peuvent aussi se détruire sous l’effet d’un choc sonore ou de l’usure
naturelle. "A ce jour, une cellule abîmée se détruit à jamais. Elle ne peut alors plus jouer son rôle
de transmission et le cerveau auditif ne reçoit plus d’information à décoder", préviennent les
spécialistes.
Attention aux basses fréquences. Si les sons de hautes fréquences (sons aigus) sont atténués par la
paroi de l'abdomen de la maman, ce n'est pas le cas des sons graves, à basse fréquence, dont les
ondes se propagent plus facilement dans un milieu liquide. Il est donc recommandé, pendant la
grossesse, d'éviter de mettre un casque sur le ventre pour faire écouter de la musique au bébé, de
ne pas fréquenter les discothèques, les concerts, les festivals ou encore les endroits où le bruit est
trop fort, et enfin, de ne pas utiliser d'autoradio avec un système d'amplification embarqué.
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Attention à l’audition du fœtus !
L’association Journée Nationale de l’Audition alerte sur les dangers que peuvent représenter les
sons trop forts sur l’audition du fœtus pendant la grossesse. Dès le 8e mois de grossesse, le fœtus
est sensible aux sons extérieurs. Cette perception est bien entendu primordiale pour ses futurs
apprentissages. Pour autant, une exposition à des bruits trop forts pourrait avoir des répercussions
(...) Lire la suite ›
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L’exposition au bruit pendant la grossesse, un
danger pour le fœtus
Dès le troisième trimestre de grossesse, le fœtus est en mesure de
percevoir les sons qui l’entourent car son système auditif est
entièrement constitué. L’association Journée Nationale de
l’Audition(JNA) alerte sur les dangers d’une exposition au bruit du
fœtus pendant la grossesse.
Si de nombreuses fonctions sensorielles ne sont pas encore totalement développées à la naissance,
il y en a une qui est opérationnelle dès le 3ème trimestre de grossesse : l’ audition. Des experts du
Comité scientifique de l’association JNA (créatrice de la Journée Nationale de l’Audition)
alertent ainsi « sur le fait que le système auditif du fœtus est mature dès la 30è semaine de
grossesse. » Ainsi, entre le 7ème et le 8ème mois de grossesse, l’ensemble du système auditif du
fœtus est entièrement constitué. Cependant, cet appareil auditif est aussi plus fragile. Les cellules
sensorielles de l’oreille, appelées cellules ciliées, bougent lorsqu’un son leur arrive, et
transmettent ainsi le signal sonore au cerveau via le nerf auditif. Mais ces cellules sensorielles
sont encore peu nombreuses chez le fœtus, et se détruisent sous l’effet d’un choc sonore. Une
destruction irréversible, selon les experts de la JNA. Et si cette exposition aux sons est bénéfique
pour qu’il reconnaisse et apprennent ensuite les différences de langues, certains bruits sont bien
plus néfastes. Les sons de hautes fréquences (plutôt aigus) sont atténués par la paroi de
l’abdomen. En revanche, les sons de basses fréquences (plutôt graves) sont moins diminués, car
ils se propagent mieux dans un milieu liquide. « Il est donc conseillé aux futures mamans de ne
pas s’exposer aux basses fréquences : casque sur l’abdomen pour faire entendre la musique au
fœtus ; discothèque ; autoradio avec système d’amplification embarqué ; soirées privées ; concerts
et festivals », sont donc à éviter.
Source : communiqué de presse de la JNA
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Les oreilles du fœtus en danger ?
Les oreilles sont oublie es et depuis 19 ans l’associationJNA (association cre atrice des campagnes
e ponymes Journe e Nationale de l’audition - journee-audition.org) milite pour sortir l’audition de
l’oubli. La sante auditive est l’un des e le ments cle de l’e quilibre de vie et de sante de s la vie
fœtale ! Pourquoi ? Comment ?
Les experts, membres du Comite scientifique de laJNA, alertent sur le fait que le syste me auditif
du fœtus est mature de s la 30e semaine de grossesse. Cela signifie qu’entre le 7e mois et le 8e
mois de grossesse l’ensemble du syste me auditif comprenant la cochle e est entie rement constitue .
La cochle e contient les cellules sensorielles de l’oreille, appele es cellules cilie es qui jouent le ro le
de transmission au cerveau auditif via le nerf auditif (la partie appele e voies centrales). Ces
cellules sensorielles sont peu nombreuses a la naissance et se de truisent sous l’effet d’un choc
sonore ou de l’usure naturelle. A ce jour, une cellule abi me e se de truit a jamais. Elle ne peut alors
plus jouer son ro le de transmission et le cerveau auditif ne rec oit plus d’information a de coder.
Ainsi, de s le 3e trimestre de la grossesse, le fœtus perc oit les sons maternels et a partir du 8e mois
de grossesse, il est sensible aux variations de la langue maternelle. Tous les sons perc us
contribueront a l’adaptation de l’enfant au monde et constitueront une base pour les
apprentissages a venir.
Les oreilles du fœtus sont alors possiblement en danger. Bien que les sons de hautes fre quences
soient atte nue s par la paroi de l’abdomen, le fœtus perc oit les basses fre quences (les graves) dont
il est moins prote ge en raison de la propagation des ondes dans un milieu liquide.
Il est donc conseille aux futures mamans de ne pas s’exposer aux basses fre quences : casque sur
l’abdomen pour faire entendre la musique au fœtus ; discothe que ; autoradio avec syste me
d’amplification embarque ; soire es prive es ; concerts et festivals.
Autre fait, bien que le syste me auditif du fœtus soit inte gralement constitue a 8 mois de grossesse,
ce n’est qu’a partir de 5 ans que l’enfant perc oit les aigu es comme un adulte et a l’a ge de 10 ans
pour « les basses ». Il est donc important de prendre en compte ces e tapes de maturation.
Or, les pratiques de vie des parents - qui ont ve cu le de veloppement de syste mes d’amplification
puissants et la liberte de l’e coute de musique d’abord par le walkman puis par le MP3 - mettent en
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danger non seulement les oreilles des enfants de s la vie fœtale mais e galement leur propre
syste me auditif. Ces pratiques sont profonde ment ancre es dans la culture des Franc ais comme
l’illustre la sce ne du film culte de La Boum datant des anne es 80 et dans laquelle Pe ne lope met le
casque de walkman sur les oreilles de sa petite sœur pour la se curiser pendant son absence.
Pour cette raison, la sante auditive est une affaire d’e ducation. L’associationJNA promeut le
de veloppementd’une vraie politique de « sante auditive » en Francereposant sur l’e ducation a la
sante auditive de tous. « Ensemble, de veloppons la sante auditive pour tous » sera le leitmotiv de
l’e dition de la Journe e Nationale de l’Audition du jeudi 10 mars 2016. Plus d’infos :
journee-audition.org.
Les membres du comite scientifique de l’associationJNA a votre
disposition
Docteur Didier BOUCCARA - Me decin ORL - Praticien Hospitalier (75) Explorations
fonctionnelles
Docteur Pascal FOEILLET - Me decin ORL – Praticien hospitalier (92)
Monsieur Se bastien LAZZAROTTO - Orthophoniste D.E. - Marseille (13)
Monsieur Philippe METZGER - Audioprothe siste diplo me d’Etat (75)
Madame Roselyne NICOLAS - Spe cialiste des acouphe nes Pre sidente de France Acouphe nes
(75)
Docteur Martine OHRESSER - Me decin ORL - Co-fondatrice de l’AFREPA Spe cialiste des
acouphe nes (75)
Professeur Jean-Luc PUEL - Directeur de Recherche Inserm - Institut des neurosciences Montpellier (34)
Monsieur Eric RAUBER - Audioprothe siste diplo me d’Etat – Lyon (69)
Monsieur Jean STANKO - Pre sident de l’associationJNA - Ancien audioprothe siste diplo me
d’Etat - Lyon (69)
Docteur Mireille TARDY - Me decin ORL - phoniatre - Ho pital de la Timone - Marseille (13)
Professeur Hung THAI VAN - ORL, Chef de service audiologie et explorations orofaciales Ho pital Edouard Herriot - Ho pital Femme Me re Enfant (69) -Centre de re fe rence «Apprentissage
et audition» - Centre Expert de l'Audition et troubles de l’e quilibre
Docteur Paul ZYLBERBERG - Ancien me decin du travail (75) Responsable d’association
Pour vous mettre en contact avec l’un de ces spe cialistes, veuillez joindre le contact presse
ci-dessous.
Contact presse : Se bastien Leroy - 04 72 41 88 50 - 06 33 62 68 18 –
[email protected]
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4 novembre 2015 - 15:54
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La JNA abordera en 2016 le thème : « Un
monde bruyant... et nos oreilles dans tout ça ?
» Publié le mercredi 4 novembre 2015
Pour la 19e édition de la campagne JNA qui se déroulera le jeudi 10
mars 2016, l’association éponyme a choisi d’aborder la
problématique du bruit au quotidien.
Les experts de l’association JNA ont retenu le thème des nuisances sonores afin d’interpeller les
Français sur les impacts de l’omniprésence du Bruit sur la santé auditive : sur le lieu de travail,
dans les transports, dans la rue, dans les magasins, au cinéma, en discothèque, à l’école, et jusque
dans la chambre où les « boules Quies » sont parfois utiles...« Le Bruit est partout. Il a toujours
existé, mais il s’est intensifié par la puissance des sources d’émission et par nos modes de vie. Le
système auditif n’a plus de répit. Il est soumis à des pressions acoustiques toxiques générant des
déséquilibres parfois irréversibles dès le plus jeune âge. La santé auditive représente plus que
jamais un enjeu de société. Une préoccupation qui dépasse nos frontières », détaille le
communiqué de presse.Pour soutenir sa campagne, la JNA a choisi un visuel exprimant à la fois
la saturation des Français aux bruits et la nécessité de s’en préserver afin de protéger ses capacités
auditives. « On y découvre un personnage, au centre de l’affiche, qui traduit une tension et un
stress, en raison des expositions sonores qu’il subit. La toxicité de cette exposition en continu est
représentée par son expression, mais également par sa couleur sombre et fortement contrastée,
détaille la JNA. Le code couleur retenu pour le plan secondaire est le rouge, afin d’exprimer un
niveau d’alerte et de risque maximum », explique la JNA. En effet, selon les experts de
l’association, la côte d’alerte serait atteinte et la qualité d’acuité auditive des Français subirait une
certaine altération et une érosion non sans conséquence sur la santé, l’équilibre physique et
mental, les apprentissages, l’évolution professionnelle, la vie sociale, et par voie de conséquence
sur le « Bien Vivre et le Bien Vieillir ».Lors de l’événement du jeudi 10 mars 2016, la JNA
rappellera aux Français que l’émission de Bruit n’est pas seulement le fait des infrastructures ou «
des autres ». « Chaque individu est émetteur. La question du Bruit et de ses impacts sur la santé
auditive appelle donc à se questionner sur nos responsabilités individuelles et collectives. En
matière de santé auditive, seul le test de l’audition peut permettre de connaître l’état de son capital
auditif », souligne Sébastien Leroy, porte-parole de l’association. L’occasion pour la JNA
d’inviter tous les Français à la généralisation des tests auditifs avec « LE TEST DE
L’AUDITION POUR TOUS ».La rédaction
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2 novembre 2015 - 19:34
Trop de basses : les oreilles du fœtus en
danger ?
Le fœtus est-il particulièrement sensible aux sons qui l'entourent et peut-il être affecté
durablement par certaines fréquences ou un choc sonore ? Réponse : oui. C'est l'alerte lancée par
des experts, membres du comité scientifique de la JNA(Journée nationale de l'audition). Le
système auditif du fœtus, comprenant la cochlée, est mature dès la 30e semaine de grossesse. Cela
signifie qu'entre le 7e et le 8e mois, il est entièrement constitué. La cochlée contient les cellules
sensorielles de l'oreille, appelées cellules ciliées qui jouent le rôle de transmission au cerveau
auditif via le nerf auditif (la partie appelée voies centrales). Ces cellules sensorielles sont peu
nombreuses à la naissance et se détruisent sous l'effet d'un choc sonore ou de l'usure naturelle. A
ce jour, une cellule abîmée est détruite à jamais. Elle ne peut alors plus jouer son rôle de
transmission et le cerveau auditif ne reçoit plus d'information à décoder.
Pas de casque sur l'abdomen
Ainsi, dès le 3e trimestre de la grossesse, le fœtus perçoit les sons maternels et, à partir du 8e mois,
il est sensible aux variations de la langue maternelle. Tous les sons perçus contribueront à
l'adaptation de l'enfant au monde et constitueront une base pour les apprentissages à venir. Les
oreilles du fœtus peuvent alors être en danger. Même si les sons de hautes fréquences sont
atténués par la paroi de l'abdomen, il perçoit les basses fréquences (les graves) dont il est moins
protégé en raison de la propagation des ondes dans un milieu liquide. Il est donc conseillé aux
futures mamans de ne pas s'exposer aux basses fréquences : casque sur l'abdomen pour faire
entendre la musique à leur bébé, discothèque, autoradio avec système d'amplification embarqué,
concerts et festivals.
Prendre en compte la maturation
Ensuite, bien que le système auditif du fœtus soit intégralement constitué à 8 mois de grossesse,
ce n'est qu'à partir de 5 ans que l'enfant perçoit les aigus comme un adulte et à 10 ans les basses. Il
est donc important de prendre en compte ces étapes de maturation. Or les pratiques de vie des
parents - qui ont vécu le développement de systèmes d'amplification puissants et la liberté de
l'écoute de musique d'abord par le walkman puis par le MP3 - mettent en danger non seulement
les oreilles des enfants dès la vie fœtale mais également leur propre système auditif. Ces pratiques
sont profondément ancrées dans la culture des Français comme l'illustre la scène du film culte de
La Boum datant des années 80 et dans laquelle Pénélope pose un casque de walkman sur les
oreilles de sa petite sœur pour la sécuriser pendant son absence. La santé auditive est donc une
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affaire d'éducation ; c'est ce que promeut l'association JNA, qui, considérant que « les oreilles
sont oubliées », exige une vraie politique de « santé auditive » en France. Ce sera le leitmotiv de
sa prochaine Journée nationale le 10 mars 2016.
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29 octobre 2015 - 17:34
La santé auditive, un concept de santé
publique initié par l'association JNA afin de
développer l'éducation à la santé des Français
Ne manquez pas la 19ème édition de la campagne nationale «
Journée Nationale de l'Audition » le jeudi 10 mars 2016.
Depuis sa création, il y a 19 ans, l'association JNA promeut la nécessité de mieux considérer
l'audition des Français dans leur parcours de soin.
En cela, elle a été précurseur d'un nouveau mouvement pour dépasser le tabou de la déficience
auditive, vue pendant longtemps au travers du seul filtre du handicap.
Comme le signifiait le Pr. Lionel Collet, Conseiller d'Etat lors de son témoignage à l'occasion de
l'édition de la JNA 2015, « du chemin a été parcouru » et il y a 5 ans, l'association a initié le
concept de santé auditive. Elle porte depuis ce leitmotiv auprès des pouvoirs publics et de
l'ensemble des acteurs de la prévention et de la santé en France. Aujourd'hui, les différentes
associations de prévention se font relais de ce concept.
Pourquoi ?
Attendre que la déficience soit à un stade de handicap était réducteur et trop tardif. Le risque
sanitaire existe et il est déjà présent. En effet, la déficience auditive touche un grand nombre de
personnes jeunes et moins jeunes et dépasse la seule population des plus de 60 ans. Jusqu'à
présent, les actions de prévention étaient orientées sur l'alerte des risques auditifs. Les
consommations de musique via les baladeurs numériques, les expositions sonores en discothèque
ou concert étaient alors la (seule) cible des acteurs de la prévention.
Encore aujourd'hui, l'écoute du MP3 fait l'objet de campagnes répétitives de prévention, au risque
de saturer les jeunes et produire un contre effet.
Oui, la consommation à fort volume et sur une longue durée abîme prématurément les cellules
sensorielles de l'oreille. Cela est indéniable.
Mais pour agir sur la santé, il est nécessaire d'intégrer que la préservation de l'ouïe est une affaire
d'hygiène de vie et d'éducation aux bonne pratiques de « santé auditive » à tous les âges de la vie.
Cela donnera du sens à la nécessité de modifier les pratiques d'écoute. Ensemble, développons
d'éducation à la santé auditive pour tous.
L'ouïe, l'un de nos 5 sens, dépend de la qualité de notre audition. Ce sens nous est essentiel pour
être touché par le monde sonore et communiquer avec lui. Aussi, il est un élément de l'équilibre
général. Un déséquilibre de ce sens et c'est un maillon de la chaîne qui se déstabilise : vie sociale
impactée, état de santé physique et psychologique détérioré à tous les âges de la vie. Par
conséquent, prendre soin de son ouïe, est un prérequis pour Bien Vivre et Bien Vieillir ; tout
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simplement pour profiter de la vie.
En cela, nous devons intégrer l'audition dans notre hygiène de vie et de santé et développer les
bonnes pratiques de santé auditive. Cela relève d'actions d'éducation à la santé.
Pour l'association JNA, il est nécessaire de développer une politique de santé auditive au sein de
la politique de santé publique. Cela repose sur l'intégration et la généralisation de bilans auditifs
réguliers et sur l'éducation aux bonnes pratiques de santé auditive. Grâce à ces développements
nous réduirons les coûts de santé publique en améliorant l'état général de santé des Français et pas
uniquement celui des plus de 70 ans, lorsque le problème surgit avec ses impacts sur les maladies
dégénératives liées au vieillissement.
« Ensemble, développons la santé auditive pour tous » est le leitmotiv que l'association JNA
véhiculera auprès des Français lors de la 19ème édition de la campagne nationale « Journée
Nationale de l'Audition du jeudi 10 mars 2016.
A cette occasion, nous ne parlerons pas seulement de handicap mais de santé et de plaisir
d'entendre le plus longtemps possible. Le premier de ces plaisirs réside en la capacité d'entendre
ses proches et de pouvoir communiquer avec eux. Selon les scientifiques, la relation sociale est la
plus puissante des stimuli sur notre développement cognitif. Le mouvement général de la santé
auditive est initié.
Pour plus d'informations sur la journée de l'audition
• sur:www.journee-audition.org
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La santé auditive, un concept de santé
publique initié par l'association JNA afin de
développer l'éducation à la santé des Français
Depuis sa création, il y a 19 ans, l'association JNA promeut la nécessité de mieux considérer
l'audition des Français dans leur parcours de soin. En cela, elle a été précurseur d'un nouveau
mouvement pour dépasser le tabou de la déficience auditive, vue pendant longtemps au travers du
seul filtre du handicap. Comme le signifiait le Pr. Lionel Collet , Conseiller d'Etat lors de son
témoignage à l'occasion de l'édition de la JNA 2015, « du chemin a été parcouru » et il y a 5 ans,
l'association a initié le concept de santé auditive. Elle porte depuis ce leitmotiv auprès des
pouvoirs publics et de l'ensemble des acteurs de la prévention et de la santé en France.
Aujourd'hui, les différentes associations de prévention se font relais de ce concept. Pourquoi ?
Attendre que la déficience soit à un stade de handicap était réducteur et trop tardif. Le risque
sanitaire existe et il est déjà présent. En effet, la déficience auditive touche un grand nombre de
personnes jeunes et moins jeunes et dépasse la seule population des plus de 60 ans. Jusqu'à
présent, les actions de prévention étaient orientées sur l'alerte des risques auditifs. Les
consommations de musique via les baladeurs numériques, les expositions sonores en discothèque
ou concert étaient alors la (seule) cible des acteurs de la prévention. Encore aujourd'hui, l'écoute
du MP3 fait l'objet de campagnes répétitives de prévention, au risque de saturer les jeunes et
produire un contre effet. Oui, la consommation à fort volume et sur une longue durée abîme
prématurément les cellules sensorielles de l'oreille. Cela est indéniable. Mais pour agir sur la
santé, il est nécessaire d'intégrer que la préservation de l'ouïe est une affaire d'hygiène de vie et
d'éducation aux bonne pratiques de « santé auditive » à tous les âges de la vie. Cela donnera du
sens à la nécessité de modifier les pratiques d'écoute . Ensemble, développons d'éducation à la
santé auditive pour tous . L'ouïe, l'un de nos 5 sens, dépend de la qualité de notre audition. Ce
sens nous est essentiel pour être touché par le monde sonore et communiquer avec lui. Aussi, il
est un élément de l'équilibre général. Un déséquilibre de ce sens et c'est un maillon de la chaîne
qui se déstabilise : vie sociale impactée, état de santé physique et psychologique détérioré à tous
les âges de la vie. Par conséquent, prendre soin de son ouïe, est un prérequis pour Bien Vivre et
Bien Vieillir ; tout simplement pour profiter de la vie . En cela, nous devons intégrer l'audition
dans notre hygiène de vie et de santé et développer les bonnes pratiques de santé auditive. Cela
relève d'actions d'éducation à la santé. Pour l'association JNA, il est nécessaire de développer une
politique de santé auditive au sein de la politique de santé publique. Cela repose sur l'intégration
et la généralisation de bilans auditifs réguliers et sur l'éducation aux bonnes pratiques de santé
auditive. Grâce à ces développements nous réduirons les coûts de santé publique en améliorant
l'état général de santé des Français et pas uniquement celui des plus de 70 ans, lorsque le
problème surgit avec ses impacts sur les maladies dégénératives liées au vieillissement. «
Ensemble, développons la santé auditive pour tous » est le leitmotiv que l'association JNA
véhiculera auprès des Français lors de la 19 ème édition de la campagne nationale « Journée
Nationale de l'Audition du jeudi 10 mars 2016. A cette occasion, nous ne parlerons pas
seulement de handicap mais de santé et de plaisir d'entendre le plus longtemps possible. Le
premier de ces plaisirs réside en la capacité d'entendre ses proches et de pouvoir communiquer
avec eux. Selon les scientifiques, la relation sociale est la plus puissante des stimuli sur notre
développement cognitif. Le mouvement général de la santé auditive est initié. Pour plus
d'informations sur la journée de l'audition sur:www.journee-audition.org La santé auditive, un
élément clé de l’équilibre général de la santé des seniors Nous avons cinq sens, et certains
peuvent nous sembler plus importants que d’autres. Finalement, si l’on entend moins bien, ce
n’est pas si grave. Il suffit d’augmenter le volume de la télévision ; et tant pis si l’on n’arrive pas
à suivre précisément une conversation. Pourtant, la perte d’audition peut avoir de grandes
conséquences, et ne doit pas être prise à la légère, particulièrement chez les seniors. D’après une
enquête JNA-IPSOS de 2013, 1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre.
Un problème qui s’amplifie avec l’âge. La perte de l’audition concerne 40 % des 60-70 ans, et
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29 octobre 2015 - 18:35
plus de la moitié des plus de 80 ans. Il s’agit d’un phénomène naturel de vieillissement des
cellules sensorielles de l’oreille appelé la presbyacousie . Des études ont montré que la
presbyacousie peut entraîner des troubles intellectuels, notamment des pertes de mémoire. La
perte de l’audition se traduit par l’incapacité à agir avec son environnement. Le repli sur soi
devient inévitable. Isolement, énervement, fatigue, manque de stimulation intellectuelle, sont
autant de facteurs qui accélèrent le déclin cognitif. Les neurones qui ne sont plus sollicités
finissent par mourir. Le risque de démence s’accroît. Porter ses aides auditives toute la journée
permet de continuer à communiquer et à stimuler le cerveau. Il s’agit là d’un levier indispensable
pour mieux vieillir qui a des effets bénéfiques sur la santé générale. La perte de l’audition n’est
pas une fatalité. Dès les premiers signes de gênes (difficultés de compréhension de la parole,
maux de tête, fatigue…), parlez-en à votre médecin et consultez un ORL. Il est nécessaire de
réaliser un repérage précoce (dès 45 ans), pour mettre en place un accompagnement adapté.
L’association Journée Nationale de l'Audition qui existe depuis 18 ans travaille toute l’année
pour informer et prévenir le public des enjeux de la santé auditive. En 2014, près de 250 000
personnes en France ont pu bénéficier gratuitement d’un contrôle de l’audition dans l’un des 2
300 points relais de la campagne de sensibilisation. La prochaine édition du jeudi 10 mars 2016
mobilisera de nouveau l’ensemble des professionnels de la santé et de la prévention en vue de
généraliser les tests de l’audition en France. Cette édition sera orchestrée en coordination avec
l’OMS. Pertes d’équilibre et chutes, avez-vous pensé à tester votre audition ? Trois questions au
Professeur Hung THAI-VAN , ORL et chercheur au Centre des Neurosciences de Lyon
(INSERM U1028 - CNRS UMR5292), Chef du service d’Audiologie & d’Explorations
Fonctionnelles Otoneurologiques au CHU de Lyon. 1/ Quel est le rapport entre vieillissement de
l’audition et perte de l’équilibre ? Six millions de français sont atteints de troubles de l’audition.
Parmi eux, 60% ont plus de 55 ans. S’il est bien connu que le vieillissement naturel de l’audition,
ou presbyacousie , peut retentir significativement sur la qualité de vie dès l’âge de 50 ans, on
oublie souvent qu’organe de l’audition (cochlée) et organe de l’équilibre (vestibule) sont tous les
deux situés dans l’oreille interne. Ils partagent la même origine embryologique. L’équilibre, notre
6 ième sens, subit tout autant que l’audition les conséquences du vieillissement neurosensoriel qui
se manifeste notamment par une diminution du nombre de cellules ciliées dans les deux organes.
A ce titre, il est très important de pouvoir repérer ce vieillissement et mettre en route précocement
des méthodes de remédiation adaptées. Loin de s’opposer, ces approches thérapeutiques se
potentialisent pour apporter un meilleur confort de vie. 2/ Quelles en sont les conséquences et
existe-t-il des signaux d’alertes ? La perte de l’audition, non prise en charge, confine à l’isolement
social et à la perte des réactions d’alarme. Le premier symptôme qui doit alerter est la gêne à
l’écoute en présence de bruit. Les travaux du Pr Lin conduits au Johns Hopkins Hospital
(Baltimore, Maryland) ont montré qu’à partir de 60 ans, le risque de développer une maladie
d’Alzheimer augmente de 20% par 10 décibels supplémentaires de perte d’audition. En parallèle,
la perte de la fonction d’équilibration (fonction vestibulaire) avec l’âge, ou presbyvestibulie,
concourt au fléau que sont les chutes à répétition de la personne âgée. Les symptômes qui doivent
alerter sont décrits comme une instabilité croissante et/ou des sensations vertigineuses
brèves survenant volontiers au changement de position. En fait, les chutes du sujet âgé ont des
causes plurifactorielles incluant, outre la perte de la fonction vestibulaire, des troubles de la
coordination musculo-squelettique, une diminution de la sensibilité profonde, des difficultés dans
l’appréciation de la profondeur du champ visuel couplées à une chute de la vision des contrastes,
et une désorganisation des stratégies posturales acquises depuis l’enfance. Il s’agit là d’un
immense problème de santé publique puisque 2 millions de personnes de plus de 65 ans chutent
chaque année en France. Les blessures causées par ces chutes représentent une cause majeure de
douleurs chroniques, d’incapacité fonctionnelle (fractures du col du fémur), de perte
d'indépendance et même de mort prématurée. Le fait de chuter est un marqueur prédictif de
mortalité à 6 mois. 3/ Qui doit se faire dépister et comment procéder ? Vous l’aurez compris, la
comorbidité des troubles de l’audition et des troubles de l’équilibre lors du vieillissement
explique que des campagnes de dépistage communes aux deux types de troubles doivent cibler
tous les patients à risque de chutes. Parmi eux, certains ont un risque avéré : ils sont apparemment
en bonne santé mais ont déjà chuté alors que des évaluations neurologiques et ophtalmologiques
se sont souvent révélées normales. D’autres ont un risque potentiel : ils n’ont jamais présenté de
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chutes mais se plaignent de pertes d’équilibre ou de vertiges ; ils sont référés par leurs médecins
traitants ou gériatres. Les procédures de dépistage sont aujourd’hui réalisées dans des centres
spécialisés. Elles doivent idéalement reposer sur un bilan audiologique pratiqué selon les règles
de l’art audiométrie vocale dans le silence et dans le bruit, examen objectif de la fonction
endo-cochléaire) couplé à un examen de l’équilibre postural statique et dynamique avec
évaluation clinique et instrumentale de la fonction vestibulaire. Dans tous les cas, la prise en
charge rééducative des personnes avec risque de chute à l’issue d’un bilan spécialisé est un travail
d’équipe qui doit tenir compte des déficits concomitants dont souffre le patient: sensoriels,
musculo-squelettiques et cognitifs.
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La santé auditive, un concept de santé
publique initié par l'association JNA afin de
développer l'éducation à la santé des Français
Depuis sa création, il y a 19 ans, l'association JNA promeut la nécessité de mieux considérer
l'audition des Français dans leur parcours de soin. En cela, elle a été précurseur d'un nouveau
mouvement pour dépasser le tabou de la déficience auditive, vue pendant longtemps au travers du
seul filtre du handicap. Comme le signifiait le Pr. Lionel Collet , Conseiller d'Etat lors de son
témoignage à l'occasion de l'édition de la JNA 2015, « du chemin a été parcouru » et il y a 5 ans,
l'association a initié le concept de santé auditive. Elle porte depuis ce leitmotiv auprès des
pouvoirs publics et de l'ensemble des acteurs de la prévention et de la santé en France.
Aujourd'hui, les différentes associations de prévention se font relais de ce concept. Pourquoi ?
Attendre que la déficience soit à un stade de handicap était réducteur et trop tardif. Le risque
sanitaire existe et il est déjà présent. En effet, la déficience auditive touche un grand nombre de
personnes jeunes et moins jeunes et dépasse la seule population des plus de 60 ans. Jusqu'à
présent, les actions de prévention étaient orientées sur l'alerte des risques auditifs. Les
consommations de musique via les baladeurs numériques, les expositions sonores en discothèque
ou concert étaient alors la (seule) cible des acteurs de la prévention. Encore aujourd'hui, l'écoute
du MP3 fait l'objet de campagnes répétitives de prévention, au risque de saturer les jeunes et
produire un contre effet. Oui, la consommation à fort volume et sur une longue durée abîme
prématurément les cellules sensorielles de l'oreille. Cela est indéniable. Mais pour agir sur la
santé, il est nécessaire d'intégrer que la préservation de l'ouïe est une affaire d'hygiène de vie et
d'éducation aux bonne pratiques de « santé auditive » à tous les âges de la vie. Cela donnera du
sens à la nécessité de modifier les pratiques d'écoute . Ensemble, développons d'éducation à la
santé auditive pour tous . L'ouïe, l'un de nos 5 sens, dépend de la qualité de notre audition. Ce
sens nous est essentiel pour être touché par le monde sonore et communiquer avec lui. Aussi, il
est un élément de l'équilibre général. Un déséquilibre de ce sens et c'est un maillon de la chaîne
qui se déstabilise : vie sociale impactée, état de santé physique et psychologique détérioré à tous
les âges de la vie. Par conséquent, prendre soin de son ouïe, est un prérequis pour Bien Vivre et
Bien Vieillir ; tout simplement pour profiter de la vie . En cela, nous devons intégrer l'audition
dans notre hygiène de vie et de santé et développer les bonnes pratiques de santé auditive. Cela
relève d'actions d'éducation à la santé. Pour l'association JNA, il est nécessaire de développer une
politique de santé auditive au sein de la politique de santé publique. Cela repose sur l'intégration
et la généralisation de bilans auditifs réguliers et sur l'éducation aux bonnes pratiques de santé
auditive. Grâce à ces développements nous réduirons les coûts de santé publique en améliorant
l'état général de santé des Français et pas uniquement celui des plus de 70 ans, lorsque le
problème surgit avec ses impacts sur les maladies dégénératives liées au vieillissement. «
Ensemble, développons la santé auditive pour tous » est le leitmotiv que l'association JNA
véhiculera auprès des Français lors de la 19 ème édition de la campagne nationale « Journée
Nationale de l'Audition du jeudi 10 mars 2016. A cette occasion, nous ne parlerons pas
seulement de handicap mais de santé et de plaisir d'entendre le plus longtemps possible. Le
premier de ces plaisirs réside en la capacité d'entendre ses proches et de pouvoir communiquer
avec eux. Selon les scientifiques, la relation sociale est la plus puissante des stimuli sur notre
développement cognitif. Le mouvement général de la santé auditive est initié. Pour plus
d'informations sur la journée de l'audition sur:www.journee-audition.org La santé auditive, un
élément clé de l’équilibre général de la santé des seniors Nous avons cinq sens, et certains
peuvent nous sembler plus importants que d’autres. Finalement, si l’on entend moins bien, ce
n’est pas si grave. Il suffit d’augmenter le volume de la télévision ; et tant pis si l’on n’arrive pas
à suivre précisément une conversation. Pourtant, la perte d’audition peut avoir de grandes
conséquences, et ne doit pas être prise à la légère, particulièrement chez les seniors. D’après une
enquête JNA-IPSOS de 2013, 1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre.
Un problème qui s’amplifie avec l’âge. La perte de l’audition concerne 40 % des 60-70 ans, et
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plus de la moitié des plus de 80 ans. Il s’agit d’un phénomène naturel de vieillissement des
cellules sensorielles de l’oreille appelé la presbyacousie . Des études ont montré que la
presbyacousie peut entraîner des troubles intellectuels, notamment des pertes de mémoire. La
perte de l’audition se traduit par l’incapacité à agir avec son environnement. Le repli sur soi
devient inévitable. Isolement, énervement, fatigue, manque de stimulation intellectuelle, sont
autant de facteurs qui accélèrent le déclin cognitif. Les neurones qui ne sont plus sollicités
finissent par mourir. Le risque de démence s’accroît. Porter ses aides auditives toute la journée
permet de continuer à communiquer et à stimuler le cerveau. Il s’agit là d’un levier indispensable
pour mieux vieillir qui a des effets bénéfiques sur la santé générale. La perte de l’audition n’est
pas une fatalité. Dès les premiers signes de gênes (difficultés de compréhension de la parole,
maux de tête, fatigue…), parlez-en à votre médecin et consultez un ORL. Il est nécessaire de
réaliser un repérage précoce (dès 45 ans), pour mettre en place un accompagnement adapté.
L’association Journée Nationale de l'Audition qui existe depuis 18 ans travaille toute l’année
pour informer et prévenir le public des enjeux de la santé auditive. En 2014, près de 250 000
personnes en France ont pu bénéficier gratuitement d’un contrôle de l’audition dans l’un des 2
300 points relais de la campagne de sensibilisation. La prochaine édition du jeudi 10 mars 2016
mobilisera de nouveau l’ensemble des professionnels de la santé et de la prévention en vue de
généraliser les tests de l’audition en France. Cette édition sera orchestrée en coordination avec
l’OMS. Pertes d’équilibre et chutes, avez-vous pensé à tester votre audition ? Trois questions au
Professeur Hung THAI-VAN , ORL et chercheur au Centre des Neurosciences de Lyon
(INSERM U1028 - CNRS UMR5292), Chef du service d’Audiologie & d’Explorations
Fonctionnelles Otoneurologiques au CHU de Lyon. 1/ Quel est le rapport entre vieillissement de
l’audition et perte de l’équilibre ? Six millions de français sont atteints de troubles de l’audition.
Parmi eux, 60% ont plus de 55 ans. S’il est bien connu que le vieillissement naturel de l’audition,
ou presbyacousie , peut retentir significativement sur la qualité de vie dès l’âge de 50 ans, on
oublie souvent qu’organe de l’audition (cochlée) et organe de l’équilibre (vestibule) sont tous les
deux situés dans l’oreille interne. Ils partagent la même origine embryologique. L’équilibre, notre
6 ième sens, subit tout autant que l’audition les conséquences du vieillissement neurosensoriel qui
se manifeste notamment par une diminution du nombre de cellules ciliées dans les deux organes.
A ce titre, il est très important de pouvoir repérer ce vieillissement et mettre en route précocement
des méthodes de remédiation adaptées. Loin de s’opposer, ces approches thérapeutiques se
potentialisent pour apporter un meilleur confort de vie. 2/ Quelles en sont les conséquences et
existe-t-il des signaux d’alertes ? La perte de l’audition, non prise en charge, confine à l’isolement
social et à la perte des réactions d’alarme. Le premier symptôme qui doit alerter est la gêne à
l’écoute en présence de bruit. Les travaux du Pr Lin conduits au Johns Hopkins Hospital
(Baltimore, Maryland) ont montré qu’à partir de 60 ans, le risque de développer une maladie
d’Alzheimer augmente de 20% par 10 décibels supplémentaires de perte d’audition. En parallèle,
la perte de la fonction d’équilibration (fonction vestibulaire) avec l’âge, ou presbyvestibulie,
concourt au fléau que sont les chutes à répétition de la personne âgée. Les symptômes qui doivent
alerter sont décrits comme une instabilité croissante et/ou des sensations vertigineuses
brèves survenant volontiers au changement de position. En fait, les chutes du sujet âgé ont des
causes plurifactorielles incluant, outre la perte de la fonction vestibulaire, des troubles de la
coordination musculo-squelettique, une diminution de la sensibilité profonde, des difficultés dans
l’appréciation de la profondeur du champ visuel couplées à une chute de la vision des contrastes,
et une désorganisation des stratégies posturales acquises depuis l’enfance. Il s’agit là d’un
immense problème de santé publique puisque 2 millions de personnes de plus de 65 ans chutent
chaque année en France. Les blessures causées par ces chutes représentent une cause majeure de
douleurs chroniques, d’incapacité fonctionnelle (fractures du col du fémur), de perte
d'indépendance et même de mort prématurée. Le fait de chuter est un marqueur prédictif de
mortalité à 6 mois. 3/ Qui doit se faire dépister et comment procéder ? Vous l’aurez compris, la
comorbidité des troubles de l’audition et des troubles de l’équilibre lors du vieillissement
explique que des campagnes de dépistage communes aux deux types de troubles doivent cibler
tous les patients à risque de chutes. Parmi eux, certains ont un risque avéré : ils sont apparemment
en bonne santé mais ont déjà chuté alors que des évaluations neurologiques et ophtalmologiques
se sont souvent révélées normales. D’autres ont un risque potentiel : ils n’ont jamais présenté de
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chutes mais se plaignent de pertes d’équilibre ou de vertiges ; ils sont référés par leurs médecins
traitants ou gériatres. Les procédures de dépistage sont aujourd’hui réalisées dans des centres
spécialisés. Elles doivent idéalement reposer sur un bilan audiologique pratiqué selon les règles
de l’art audiométrie vocale dans le silence et dans le bruit, examen objectif de la fonction
endo-cochléaire) couplé à un examen de l’équilibre postural statique et dynamique avec
évaluation clinique et instrumentale de la fonction vestibulaire. Dans tous les cas, la prise en
charge rééducative des personnes avec risque de chute à l’issue d’un bilan spécialisé est un travail
d’équipe qui doit tenir compte des déficits concomitants dont souffre le patient: sensoriels,
musculo-squelettiques et cognitifs.
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Acouphènes et surdité : quelles solutions ?
Selon un sondage Ipsos réalisé à l’occasion de la Journée nationale de l’audition en 2014,
16 millions de personnes en France souffrent d’acouphènes, un symptôme souvent lié à la perte
auditive. Vers quelles solutions se tourner ? Éric Bougerolles, responsable audiologie chez
Oticon, répond à nos questions…
Sur le nombre de personnes déclarant souffrir d’acouphènes, près de 4
sur 10 se plaignent de les percevoir plus de 80 % du temps. Ces sons,
qui s’apparentent à des bourdonnements ou à des sifflements perçus
dans la tête ou dans les oreilles, peuvent représenter une gêne
considérable au quotidien.
Or, on estime que 90 % des personnes souffrant d’acouphènes sont
également atteintes d’une perte auditive plus ou moins importante.
Beaucoup se persuadent alors que ces bruits parasites sont à l’origine
de leurs problèmes d’audition. Mais la réalité physiologique est tout
autre : ils sont au contraire l'une des conséquences de la surdité !
Comment faire pour en limiter la portée ? Les aides auditives
représentent une bonne solution, car mieux on entend et moins on
distingue ses acouphènes.
La thérapie sonore a également fait ses preuves dans ce domaine. Elle
consiste à faire écouter aux patients différents types de sons pour détourner leur attention des
bourdonnements. Éric Bougerolles, responsable audiologie chez Oticon, nous éclaire sur ce
phénomène et ses différents traitements…
Comment décririez-vous la perception d'un acouphène ?
On définit l'acouphène comme une perception auditive fantôme qui est générée soit dans les voies
auditives, soit dans la tête, soit dans le cou. Lorsque nos oreilles sifflent à la sortie d'un concert,
cela ressemble à un acouphène même si ce n'en est pas vraiment un puisque ce symptôme, pour
être défini comme tel, doit apparaître et persister pendant plus d'une heure. Ce bruit fantôme peut
avoir ou non une réalité physiologique : certains acouphènes pourraient, dans une certaine
mesure, être enregistrés si l'on mettait un petit micro à côté alors que d'autres sont totalement
fantômes dans le sens où c'est le système nerveux et toutes les voies auditives qui vont le générer.
Cette perception peut varier considérablement d'une personne à l'autre et toutes les configurations
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sont possibles : l'acouphène peut se traduire par un bruit permanent ou par un son intermittent qui
apparaît et repart. La situation sonore environnante peut aussi avoir un effet : beaucoup de gens
l'entendent dans le calme, mais ne le perçoivent plus dès qu'il y a du bruit. Le stress, la fatigue,
etc. sont également des facteurs qui peuvent influencer la perception de l'acouphène.
Ces bruits intérieurs, lorsqu'ils atteignent une certaine intensité, peuvent-ils perturber la
perception des sons extérieurs ?
Oui, l'audition fait en effet partie des trois impacts majeurs de l'acouphène : quand vous entendez
un sifflement ou un bourdonnement permanent, vous avez bien sûr du mal à percevoir les autres
sons. Mais l'acouphène a également un impact sur la concentration : il est déjà difficile de
travailler dans un environnement bruyant alors, quand on est dérangé par un bruit qui,
psychologiquement, est beaucoup plus anxiogène, c'est encore plus compliqué ! Enfin, troisième
conséquence de l'acouphène, le sommeil et l'endormissement sont fortement impactés par ces
bruits qui, malheureusement, ne s'interrompent pas durant cette phase.
Cela signifie-t-il que, contrairement à ce que l'on imagine souvent, la surdité n'est pas toujours
silencieuse ?
À la base, la perte d'audition, dans beaucoup de cas, est un problème de captation de
l'environnement qui va vous empêcher d'entendre ce qui se passe à l'extérieur. Comme
l'acouphène est généré à l'intérieur, malheureusement, la perte auditive n'a aucune influence sur
lui. Au contraire, imaginons que vous soyez perturbé en interne par un petit sifflement : lorsque
vous êtes dans la rue, entouré du bruit des voitures etc., le brouhaha ambiant va venir masquer
l'acouphène. Si, à l'inverse, vous souffrez d'une perte auditive, malheureusement, les bruits
extérieurs ne sont plus suffisamment perçus pour occulter ce son parasite.
Pour traiter les acouphènes, on emploie aujourd'hui des thérapies sonores. Comment cela
fonctionne ?
Comme on l'a dit, la perte auditive vous empêche de percevoir ce qu'il se passe autour de vous.
L'acouphène se retrouve alors tout seul au premier plan sonore puisqu'il n'est plus caché par
l'environnement. La première chose à faire est donc de regarder s'il y a une perte auditive et
d'appareiller, le cas échéant, avec des aides conventionnelles. On peut considérer qu'environ 90 %
des personnes souffrant d'acouphènes ont une perte auditive : dans une majorité de cas,
l'appareillage va donc permettre à ces patients de mieux percevoir leur environnement sonore et
donc occulter l'acouphène. Si cela ne suffit pas, on va alors venir enrichir cet environnement par
l'introduction de différents types de sons. Il peut ici y avoir plusieurs approches : on va par
exemple utiliser des sons qui sont moins forts que l'acouphène mais qui ont un pouvoir occultant
très important. C'est ce qu'on appelle le masking. À l'inverse, d'autres approches vont plutôt
chercher à rompre le cycle de détresse émotionnelle qui consiste à dire « puisque j'entends cet
acouphène tout le temps, je ne pense plus qu'à ça et comme je ne pense plus qu'à ça, je l'entends
plus fort, etc. ». Ici, l'idée va consister à détourner l'attention du sujet par l'adjonction de sons
agréables comme celui de l'océan à l'intérieur de l'aide auditive. Dans ce cas, l'acouphène, même
s'il ne baisse pas parce qu'on ne peut pas vraiment le guérir, va retrouver une place en
arrière-plan.
Dans le commerce et sur internet, on trouve beaucoup de méthodes de traitement des acouphènes
à base de bruits blancs et de bruits roses. Qu'est-ce que c'est ?
Un bruit blanc, c'est un bruit continu qui contient toutes les fréquences. Un bruit rose, c'est la
même chose, en un peu plus grave. Il peut donc avoir une action un peu plus importante sur les
acouphènes aigus. Chez Oticon, nous proposons dans nos solutions auditives différents types de
sons de type blancs, roses, voire rouges (encore plus graves) que l'on associe à des bruits d'océan.
On a également une application qui fonctionne sur Apple et Androïd et qui contient tout une
bibliothèque de sons destinés à l'aide auditive et que le patient acouphénique peut lui-même
enrichir en glanant des enregistrements ici ou là sur internet, voire sur Deezer qui propose lui
aussi des bandes sonores anti-acouphènes. Mais attention, je mettrais ici un bémol : tous ces sons
sont très intéressants, mais il ne faut pas oublier que nous sommes sur une approche de
psychothérapie qui consiste à détourner l'attention, à relaxer le patient. Si tout ce qui est bon pour
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le psychique est bon pour le combat contre l'acouphène, il ne faut pas penser qu'une thérapie
sonore peut faire à elle seule le travail. Il faut toujours associer cette démarche à des méthodes de
relaxation, de sophrologie ou à toute autre technique permettant d'associer une vraie prise en
charge psychologique à cette approche sonore.
Questions d'âge
On associe souvent l'apparition de ce trouble auditif au grand âge. Est-ce toujours le cas ?
Il n'y a pas d'âge pour avoir des acouphènes. Des études montrent ainsi que de très jeunes enfants
perçoivent déjà des sons fantômes. Toutefois, on sait que la prévalence de ce phénomène
augmente avec l'âge et en particulier au-delà de 70 ans. À ce stade, la proportion de personnes
souffrant d'acouphènes devient très importante.
On pointe souvent du doigt la jeune génération pour ses excès sonores. Peut-on imaginer que cette
prévalence va augmenter dans l'avenir ?
L'acouphène peut en effet être lié à un traumatisme sonore violent, ponctuel, comme à un
traumatisme chronique. L'écoute de la musique à de fortes intensités peut à la fois générer un
acouphène et une perte auditive qui vont s'alimenter l'un l'autre pour donner une situation
intenable.
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Acouphènes et surdité : quelles solutions ?
Selon un sondage Ipsos réalisé à l’occasion de la Journée nationale de l’audition en 2014,
16 millions de personnes en France souffrent d’acouphènes, un symptôme souvent lié à la perte
auditive. Vers quelles solutions se tourner ? Éric Bougerolles, responsable audiologie chez
Oticon, répond à nos questions…
Sur le nombre de personnes déclarant souffrir d’acouphènes, près de 4
sur 10 se plaignent de les percevoir plus de 80 % du temps. Ces sons,
qui s’apparentent à des bourdonnements ou à des sifflements perçus
dans la tête ou dans les oreilles, peuvent représenter une gêne
considérable au quotidien.
Or, on estime que 90 % des personnes souffrant d’acouphènes sont
également atteintes d’une perte auditive plus ou moins importante.
Beaucoup se persuadent alors que ces bruits parasites sont à l’origine
de leurs problèmes d’audition. Mais la réalité physiologique est tout
autre : ils sont au contraire l'une des conséquences de la surdité !
Comment faire pour en limiter la portée ? Les aides auditives
représentent une bonne solution, car mieux on entend et moins on
distingue ses acouphènes.
La thérapie sonore a également fait ses preuves dans ce domaine. Elle
consiste à faire écouter aux patients différents types de sons pour détourner leur attention des
bourdonnements. Éric Bougerolles, responsable audiologie chez Oticon, nous éclaire sur ce
phénomène et ses différents traitements…
Comment décririez-vous la perception d'un acouphène ?
On définit l'acouphène comme une perception auditive fantôme qui est générée soit dans les voies
auditives, soit dans la tête, soit dans le cou. Lorsque nos oreilles sifflent à la sortie d'un concert,
cela ressemble à un acouphène même si ce n'en est pas vraiment un puisque ce symptôme, pour
être défini comme tel, doit apparaître et persister pendant plus d'une heure. Ce bruit fantôme peut
avoir ou non une réalité physiologique : certains acouphènes pourraient, dans une certaine
mesure, être enregistrés si l'on mettait un petit micro à côté alors que d'autres sont totalement
fantômes dans le sens où c'est le système nerveux et toutes les voies auditives qui vont le générer.
Cette perception peut varier considérablement d'une personne à l'autre et toutes les configurations
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sont possibles : l'acouphène peut se traduire par un bruit permanent ou par un son intermittent qui
apparaît et repart. La situation sonore environnante peut aussi avoir un effet : beaucoup de gens
l'entendent dans le calme, mais ne le perçoivent plus dès qu'il y a du bruit. Le stress, la fatigue,
etc. sont également des facteurs qui peuvent influencer la perception de l'acouphène.
Ces bruits intérieurs, lorsqu'ils atteignent une certaine intensité, peuvent-ils perturber la
perception des sons extérieurs ?
Oui, l'audition fait en effet partie des trois impacts majeurs de l'acouphène : quand vous entendez
un sifflement ou un bourdonnement permanent, vous avez bien sûr du mal à percevoir les autres
sons. Mais l'acouphène a également un impact sur la concentration : il est déjà difficile de
travailler dans un environnement bruyant alors, quand on est dérangé par un bruit qui,
psychologiquement, est beaucoup plus anxiogène, c'est encore plus compliqué ! Enfin, troisième
conséquence de l'acouphène, le sommeil et l'endormissement sont fortement impactés par ces
bruits qui, malheureusement, ne s'interrompent pas durant cette phase.
Cela signifie-t-il que, contrairement à ce que l'on imagine souvent, la surdité n'est pas toujours
silencieuse ?
À la base, la perte d'audition, dans beaucoup de cas, est un problème de captation de
l'environnement qui va vous empêcher d'entendre ce qui se passe à l'extérieur. Comme
l'acouphène est généré à l'intérieur, malheureusement, la perte auditive n'a aucune influence sur
lui. Au contraire, imaginons que vous soyez perturbé en interne par un petit sifflement : lorsque
vous êtes dans la rue, entouré du bruit des voitures etc., le brouhaha ambiant va venir masquer
l'acouphène. Si, à l'inverse, vous souffrez d'une perte auditive, malheureusement, les bruits
extérieurs ne sont plus suffisamment perçus pour occulter ce son parasite.
Pour traiter les acouphènes, on emploie aujourd'hui des thérapies sonores. Comment cela
fonctionne ?
Comme on l'a dit, la perte auditive vous empêche de percevoir ce qu'il se passe autour de vous.
L'acouphène se retrouve alors tout seul au premier plan sonore puisqu'il n'est plus caché par
l'environnement. La première chose à faire est donc de regarder s'il y a une perte auditive et
d'appareiller, le cas échéant, avec des aides conventionnelles. On peut considérer qu'environ 90 %
des personnes souffrant d'acouphènes ont une perte auditive : dans une majorité de cas,
l'appareillage va donc permettre à ces patients de mieux percevoir leur environnement sonore et
donc occulter l'acouphène. Si cela ne suffit pas, on va alors venir enrichir cet environnement par
l'introduction de différents types de sons. Il peut ici y avoir plusieurs approches : on va par
exemple utiliser des sons qui sont moins forts que l'acouphène mais qui ont un pouvoir occultant
très important. C'est ce qu'on appelle le masking. À l'inverse, d'autres approches vont plutôt
chercher à rompre le cycle de détresse émotionnelle qui consiste à dire « puisque j'entends cet
acouphène tout le temps, je ne pense plus qu'à ça et comme je ne pense plus qu'à ça, je l'entends
plus fort, etc. ». Ici, l'idée va consister à détourner l'attention du sujet par l'adjonction de sons
agréables comme celui de l'océan à l'intérieur de l'aide auditive. Dans ce cas, l'acouphène, même
s'il ne baisse pas parce qu'on ne peut pas vraiment le guérir, va retrouver une place en
arrière-plan.
Dans le commerce et sur internet, on trouve beaucoup de méthodes de traitement des acouphènes
à base de bruits blancs et de bruits roses. Qu'est-ce que c'est ?
Un bruit blanc, c'est un bruit continu qui contient toutes les fréquences. Un bruit rose, c'est la
même chose, en un peu plus grave. Il peut donc avoir une action un peu plus importante sur les
acouphènes aigus. Chez Oticon, nous proposons dans nos solutions auditives différents types de
sons de type blancs, roses, voire rouges (encore plus graves) que l'on associe à des bruits d'océan.
On a également une application qui fonctionne sur Apple et Androïd et qui contient tout une
bibliothèque de sons destinés à l'aide auditive et que le patient acouphénique peut lui-même
enrichir en glanant des enregistrements ici ou là sur internet, voire sur Deezer qui propose lui
aussi des bandes sonores anti-acouphènes. Mais attention, je mettrais ici un bémol : tous ces sons
sont très intéressants, mais il ne faut pas oublier que nous sommes sur une approche de
psychothérapie qui consiste à détourner l'attention, à relaxer le patient. Si tout ce qui est bon pour
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sonore peut faire à elle seule le travail. Il faut toujours associer cette démarche à des méthodes de
relaxation, de sophrologie ou à toute autre technique permettant d'associer une vraie prise en
charge psychologique à cette approche sonore.
Questions d'âge
On associe souvent l'apparition de ce trouble auditif au grand âge. Est-ce toujours le cas ?
Il n'y a pas d'âge pour avoir des acouphènes. Des études montrent ainsi que de très jeunes enfants
perçoivent déjà des sons fantômes. Toutefois, on sait que la prévalence de ce phénomène
augmente avec l'âge et en particulier au-delà de 70 ans. À ce stade, la proportion de personnes
souffrant d'acouphènes devient très importante.
On pointe souvent du doigt la jeune génération pour ses excès sonores. Peut-on imaginer que cette
prévalence va augmenter dans l'avenir ?
L'acouphène peut en effet être lié à un traumatisme sonore violent, ponctuel, comme à un
traumatisme chronique. L'écoute de la musique à de fortes intensités peut à la fois générer un
acouphène et une perte auditive qui vont s'alimenter l'un l'autre pour donner une situation
intenable.
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Acouphènes et surdité : quelles solutions ?
Selon un sondage Ipsos réalisé à l’occasion de la Journée nationale de l’audition en 2014,
16 millions de personnes en France souffrent d’acouphènes, un symptôme souvent lié à la perte
auditive. Vers quelles solutions se tourner ? Éric Bougerolles, responsable audiologie chez
Oticon, répond à nos questions…
Sur le nombre de personnes déclarant souffrir d’acouphènes, près de 4
sur 10 se plaignent de les percevoir plus de 80 % du temps. Ces sons,
qui s’apparentent à des bourdonnements ou à des sifflements perçus
dans la tête ou dans les oreilles, peuvent représenter une gêne
considérable au quotidien.
Or, on estime que 90 % des personnes souffrant d’acouphènes sont
également atteintes d’une perte auditive plus ou moins importante.
Beaucoup se persuadent alors que ces bruits parasites sont à l’origine
de leurs problèmes d’audition. Mais la réalité physiologique est tout
autre : ils sont au contraire l'une des conséquences de la surdité !
Comment faire pour en limiter la portée ? Les aides auditives
représentent une bonne solution, car mieux on entend et moins on
distingue ses acouphènes.
La thérapie sonore a également fait ses preuves dans ce domaine. Elle
consiste à faire écouter aux patients différents types de sons pour détourner leur attention des
bourdonnements. Éric Bougerolles, responsable audiologie chez Oticon, nous éclaire sur ce
phénomène et ses différents traitements…
Comment décririez-vous la perception d'un acouphène ?
On définit l'acouphène comme une perception auditive fantôme qui est générée soit dans les voies
auditives, soit dans la tête, soit dans le cou. Lorsque nos oreilles sifflent à la sortie d'un concert,
cela ressemble à un acouphène même si ce n'en est pas vraiment un puisque ce symptôme, pour
être défini comme tel, doit apparaître et persister pendant plus d'une heure. Ce bruit fantôme peut
avoir ou non une réalité physiologique : certains acouphènes pourraient, dans une certaine
mesure, être enregistrés si l'on mettait un petit micro à côté alors que d'autres sont totalement
fantômes dans le sens où c'est le système nerveux et toutes les voies auditives qui vont le générer.
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Cette perception peut varier considérablement d'une personne à l'autre et toutes les configurations
sont possibles : l'acouphène peut se traduire par un bruit permanent ou par un son intermittent qui
apparaît et repart. La situation sonore environnante peut aussi avoir un effet : beaucoup de gens
l'entendent dans le calme, mais ne le perçoivent plus dès qu'il y a du bruit. Le stress, la fatigue,
etc. sont également des facteurs qui peuvent influencer la perception de l'acouphène.
Ces bruits intérieurs, lorsqu'ils atteignent une certaine intensité, peuvent-ils perturber la
perception des sons extérieurs ?
Oui, l'audition fait en effet partie des trois impacts majeurs de l'acouphène : quand vous entendez
un sifflement ou un bourdonnement permanent, vous avez bien sûr du mal à percevoir les autres
sons. Mais l'acouphène a également un impact sur la concentration : il est déjà difficile de
travailler dans un environnement bruyant alors, quand on est dérangé par un bruit qui,
psychologiquement, est beaucoup plus anxiogène, c'est encore plus compliqué ! Enfin, troisième
conséquence de l'acouphène, le sommeil et l'endormissement sont fortement impactés par ces
bruits qui, malheureusement, ne s'interrompent pas durant cette phase.
Cela signifie-t-il que, contrairement à ce que l'on imagine souvent, la surdité n'est pas toujours
silencieuse ?
À la base, la perte d'audition, dans beaucoup de cas, est un problème de captation de
l'environnement qui va vous empêcher d'entendre ce qui se passe à l'extérieur. Comme
l'acouphène est généré à l'intérieur, malheureusement, la perte auditive n'a aucune influence sur
lui. Au contraire, imaginons que vous soyez perturbé en interne par un petit sifflement : lorsque
vous êtes dans la rue, entouré du bruit des voitures etc., le brouhaha ambiant va venir masquer
l'acouphène. Si, à l'inverse, vous souffrez d'une perte auditive, malheureusement, les bruits
extérieurs ne sont plus suffisamment perçus pour occulter ce son parasite.
Pour traiter les acouphènes, on emploie aujourd'hui des thérapies sonores. Comment cela
fonctionne ?
Comme on l'a dit, la perte auditive vous empêche de percevoir ce qu'il se passe autour de vous.
L'acouphène se retrouve alors tout seul au premier plan sonore puisqu'il n'est plus caché par
l'environnement. La première chose à faire est donc de regarder s'il y a une perte auditive et
d'appareiller, le cas échéant, avec des aides conventionnelles. On peut considérer qu'environ 90 %
des personnes souffrant d'acouphènes ont une perte auditive : dans une majorité de cas,
l'appareillage va donc permettre à ces patients de mieux percevoir leur environnement sonore et
donc occulter l'acouphène. Si cela ne suffit pas, on va alors venir enrichir cet environnement par
l'introduction de différents types de sons. Il peut ici y avoir plusieurs approches : on va par
exemple utiliser des sons qui sont moins forts que l'acouphène mais qui ont un pouvoir occultant
très important. C'est ce qu'on appelle le masking. À l'inverse, d'autres approches vont plutôt
chercher à rompre le cycle de détresse émotionnelle qui consiste à dire « puisque j'entends cet
acouphène tout le temps, je ne pense plus qu'à ça et comme je ne pense plus qu'à ça, je l'entends
plus fort, etc. ». Ici, l'idée va consister à détourner l'attention du sujet par l'adjonction de sons
agréables comme celui de l'océan à l'intérieur de l'aide auditive. Dans ce cas, l'acouphène, même
s'il ne baisse pas parce qu'on ne peut pas vraiment le guérir, va retrouver une place en
arrière-plan.
Dans le commerce et sur internet, on trouve beaucoup de méthodes de traitement des acouphènes
à base de bruits blancs et de bruits roses. Qu'est-ce que c'est ?
Un bruit blanc, c'est un bruit continu qui contient toutes les fréquences. Un bruit rose, c'est la
même chose, en un peu plus grave. Il peut donc avoir une action un peu plus importante sur les
acouphènes aigus. Chez Oticon, nous proposons dans nos solutions auditives différents types de
sons de type blancs, roses, voire rouges (encore plus graves) que l'on associe à des bruits d'océan.
On a également une application qui fonctionne sur Apple et Androïd et qui contient tout une
bibliothèque de sons destinés à l'aide auditive et que le patient acouphénique peut lui-même
enrichir en glanant des enregistrements ici ou là sur internet, voire sur Deezer qui propose lui
aussi des bandes sonores anti-acouphènes. Mais attention, je mettrais ici un bémol : tous ces sons
sont très intéressants, mais il ne faut pas oublier que nous sommes sur une approche de
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psychothérapie qui consiste à détourner l'attention, à relaxer le patient. Si tout ce qui est bon pour
le psychique est bon pour le combat contre l'acouphène, il ne faut pas penser qu'une thérapie
sonore peut faire à elle seule le travail. Il faut toujours associer cette démarche à des méthodes de
relaxation, de sophrologie ou à toute autre technique permettant d'associer une vraie prise en
charge psychologique à cette approche sonore.
Questions d'âge
On associe souvent l'apparition de ce trouble auditif au grand âge. Est-ce toujours le cas ?
Il n'y a pas d'âge pour avoir des acouphènes. Des études montrent ainsi que de très jeunes enfants
perçoivent déjà des sons fantômes. Toutefois, on sait que la prévalence de ce phénomène
augmente avec l'âge et en particulier au-delà de 70 ans. À ce stade, la proportion de personnes
souffrant d'acouphènes devient très importante.
On pointe souvent du doigt la jeune génération pour ses excès sonores. Peut-on imaginer que cette
prévalence va augmenter dans l'avenir ?
L'acouphène peut en effet être lié à un traumatisme sonore violent, ponctuel, comme à un
traumatisme chronique. L'écoute de la musique à de fortes intensités peut à la fois générer un
acouphène et une perte auditive qui vont s'alimenter l'un l'autre pour donner une situation
intenable.
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Ce mercredi, c'est la journée de l'audition à
l'hôpital
Le service ORL du centre hospitalier d'Argentan organise une
Journée d'information sur l'audition ce mercredi 21 octobre.
Après la Journée nationale de l’audition en mars dernier, l’équipe du service ORL de l’hôpital
d’Argentan propose une deuxième journée d’information sur l’audition ce mercredi 21 octobre
dès 9 h 30, pour la 2e année consécutive.
Au programme :
- un dépistage auditif gratuit de 9 h 30 à 12 h 30 (sur inscription au 02.33.12.33.05, service ORL)
- des stands d’information tenu par des professionnels de l’audition et des associations (l’équipe
ORL, audioprothésistes,
mutuelle …) de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 16 h
- conférences tenues par le docteur Anis Abdellaoui (ORL) et Hélène Lemaître (audioprothésiste).
Les thèmes abordés seront :
· La prise en charge chirurgicale de la surdité
· La place de l’appareillage dans la prise en charge de la surdité.
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Seniors et audition : ce qu'il faut savoir
La France ne compte pas moins de 7 millions de personnes atteintes de presbyacousie, dont la
proportion augmente naturellement avec l’avancée en âge.
1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des difficultés à entendre et 44% des seniors éprouveraient
des difficultés de compréhension, selon une enquête réalisée par Ipsos pour la JNA(Journée
Nationale de l’Audition) 2013.
C’est dire au vu de ces chiffres si le phénomène est important et ne doit pas être pris à la légère.
Tout comme la peau, les muscles ou la vue qui évoluent avec l’âge, les cellules de l’oreille
s’usent au fil du temps. Il semble donc normal d’intégrer l’audition dans les suivis de santé mais il
est surtout essentiel d’en tenir compte dans la vie sociale.
La presbyacousie, cette surdité progressive liée au vieillissement (parfois aggravée par diverses
agressions ou traumatismes subis au cours de la vie) peut se révéler dangereuse à plus d’un titre :
synonyme d’isolement, elle conduit les personnes à se retirer progressivement de la vie sociale,
professionnelle voire familiale, engendrant des risques de repli sur soi, de perte de repères et de
dépression que cette mise à l’écart entraîne.
Quand doit-on s’alarmer ?
La voix est un indicateur essentiel car la perte des capacités auditives s’accompagne concrètement
dans le dialogue d’une difficulté à distinguer les sons émis par son interlocuteur, d’un décodage
incomplet de la parole et donc nécessairement d’une réponse incohérente.
La difficulté à maîtriser sa voix dans les échanges est également un élément révélateur. La surdité
renforce la déformation de sa propre voix et le "décryptage" des informations transmises via la
voix de son interlocuteur. Lorsque la surdité s’installe, il devient difficile d’entendre le son de sa
propre voix, la personne a alors tendance à parler plus fort. La voix perdant alors en émotivité.
Pour éviter ces situations, prévenir les effets délétères et trouver des alternatives, pensez à faire un
bilan régulier avec votre médecin traitant ou votre médecin référent si vous êtes en établissement
ou en résidence médicalisée.
Signalez aussi les alertes traduisant votre gêne auditive : Je fais souvent répéter, je ne comprends
pas mon interlocuteur et je décroche de la conversation comme si ce qu’il me dit ne m’intéressait
pas, Je ne comprends pas les intervenants à la télévision, Je me sens vite fatigué(e) au cours d’un
atelier au club ou à la résidence, Je suis vite agacé et j’ai envie d’interrompre l’échange…
Il existe des solutions. N’attendez pas et demandez conseil à votre médecin.
Pour plus d’informations : JNA.fr
Juliette Viatte
mis à jour le 19/10/2015
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1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des
difficultés à entendre
Selon une enquête JNA-IPSOS de 2013, . Un problème qui s’amplifie avec l’âge. Aujourd’hui, la
perte de l’audition concerne 40 % des 60-70 ans, et plus de la moitié des plus de 80 ans. En effet,
la perte d’audition est un phénomène naturel de vieillissement des cellules sensorielles de l’oreille
appelé la presbyacousie. Attention au repli sur soi L’association Journée Nationale de
l’Audition rappelle... Lire la suite ›
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1 senior sur 3 aurait souvent ou parfois des
difficultés à entendre
Selon une enquête JNA-IPSOS de 2013, 1 senior sur 3 aurait souvent
ou parfois des difficultés à entendre. Un problème qui s’amplifie avec
l’âge.
Aujourd’hui, la perte de l’audition concerne 40 % des 60-70 ans, et plus de la moitié des plus de
80 ans. En effet, la perte d’audition est un phénomène naturel de vieillissement des cellules
sensorielles de l’oreille appelé la presbyacousie.Attention au repli sur soiL’association Journée
Nationale de l’Audition rappelle que des études ont montré que la presbyacousie peut entraîner
des troubles intellectuels, notamment des pertes de mémoire. La perte de l’audition se traduit par
l’incapacité à agir avec son environnement. Le repli sur soi devient inévitable. Isolement,
énervement, fatigue, manque de stimulation intellectuelle, sont autant de facteurs qui accélèrent le
déclin cognitif. Les neurones qui ne sont plus sollicités finissent par mourir. Le risque de
démence s’accroît.La perte de l’audition n’est pas une fatalitéPorter ses aides auditives toute la
journée permet de continuer à communiquer et à stimuler le cerveau. Il s’agit là d’un levier
indispensable pour mieux vieillir qui a des effets bénéfiques sur la santé générale. Dès les
premiers signes de gênes (difficultés de compréhension de la parole, maux de tête, fatigue…),
parlez-en à votre médecin et consultez un ORL. Il est nécessaire de réaliser un repérage précoce
(dès 45 ans), pour mettre en place un accompagnement adapté.Le jeudi 10 mars 2016 se tiendra la
19ème édition de la Journée Nationale de l’Audition. De nombreux spécialistes proposeront au
public d’effectuer un bilan auditif et répondront ainsi à toutes les interrogations des personnes
désireuses de mieux être informées sur leur capital auditif.
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7 octobre 2015 - 23:07
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Comment préserver les oreilles de bébé
«Un bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée», explique l’ORL
Mireille Tardy. Dès lors, de l’ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive,
comment savoir si notre environnement sonore agresse ou non votre nourrisson ? Membre du
bureau de l’association JNA(Journée nationale de l’Audition), le Dr Tardy admet que «la
question est compliquée. La réponse dépend en effet de critères subjectifs», liés à la définition
d’un son fort. Et pour cause, le ressenti est différent d’une personne à une autre.
D’une manière générale, «veillez à ce qu’il n’y ait pas de brouillard sonore autour du bébé.
Autrement dit, pas de superposition de sons. Il a besoin de les identifier, de les décoder. Cet
aspect est important pour sa construction et tend à le sécuriser.»
Question de bon sens : évitez la musique à tue-tête. Y compris d’ailleurs si le petit commence à
battre la mesure ou à dodeliner de la tête. «Oui, c’est drôle, coupe Mireille Tard. Mais c’est déjà
beaucoup pour lui et cela marque le signe d’une excitation. Laquelle se transforme bien souvent
en pleurs lorsque cette ambiance s’éternise.» Le bruit « fort » doit donc durer le moins de temps
possible.
C’est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties par le petit. «Au bout d’un moment, il
se met à pleurer et seul le calme peut le consoler.» Le cas échéant, sachez qu’il existe des casques
anti-bruit pour les tout-petits comme pour leurs aînés d’ailleurs.
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6 octobre 2015 - 00:03
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Sophrologie, une vraie arme anti-acouphènes
L’acouphène est un symptôme complexe qui, d’après les derniers
chiffres de la JNA*, touche près de 16 millions de personnes en
France. Simple gêne pour certains, ces bruits fantômes peuvent aussi
devenir une véritable souffrance pour les autres. Bien que la
sophrologie ne soigne pas réellement ce trouble, il est indéniable
qu’elle apporte aujourd’hui une aide précieuse à la prise en charge
médicale et psychologique de cette pathologie. C’est pourquoi des
sophrologues intègrent maintenant des équipes pluridisciplinaires
composées de médecins, de psychologues et d’audioprothésistes pour
le traitement de ce symptôme.
L’ouvrage de la sophrologue Catherine Aliotta publié chez InterÉditions offre toutes les clefs
théoriques et pratiques pour la prise en charge de ce trouble auditif. De quoi dormir de nouveau
sur ses deux oreilles…
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6 octobre 2015 - 00:09
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Sophrologie, une vraie arme anti-acouphènes
L’acouphène est un symptôme complexe qui, d’après les derniers
chiffres de la JNA*, touche près de 16 millions de personnes en
France. Simple gêne pour certains, ces bruits fantômes peuvent aussi
devenir une véritable souffrance pour les autres. Bien que la
sophrologie ne soigne pas réellement ce trouble, il est indéniable
qu’elle apporte aujourd’hui une aide précieuse à la prise en charge
médicale et psychologique de cette pathologie. C’est pourquoi des
sophrologues intègrent maintenant des équipes pluridisciplinaires
composées de médecins, de psychologues et d’audioprothésistes pour
le traitement de ce symptôme.
L’ouvrage de la sophrologue Catherine Aliotta publié chez InterÉditions offre toutes les clefs
théoriques et pratiques pour la prise en charge de ce trouble auditif. De quoi dormir de nouveau
sur ses deux oreilles…*Enquête Ipsos Crédit Agricole menée pour les Journées Nationales de
l’Audition mars 2014Sophrologie et acouphènes , Catherine Aliotta, InterÉditions, 22 €Noter cet
article :A Lire aussiSamedi 12 Septembre 2015Audition5 astuces pour une bonne santé
auditiveLa rentrée de septembre est bien là, avec la longue série de bonnes résolutions que l'on
s'apprête plus ou moins à tenir. Se coucher plus tôt, ne pas se laisser envahir par le travail,
s’inscrire à une activité… Vous voilà bien décidé à placer cette nouvelle année sous le signe du
bien-être. Mais avez-vous pensé à votre santé auditive, gage d'une vraie sérénité et d'une bonne
communication avec les autres ? Comment faire pour l'améliorer et la préserver au quotidien ? On
vous dit tout…Vendredi 05 Juin 2015AuditionAu bureau, ne faites pas la sourde oreilleParmi tous
les désagréments que peut occasionner une perte d'audition au quotidien, on oublie souvent ceux
de la vie professionnelle. Or, dans un récent communiqué, la JNA, association pour l'information
et la prévention dans le domaine de...Jeudi 16 Avril 2015AuditionÊtre en forme et le rester grâce
à une bonne auditionQui aurait cru que l’audition pouvait être un puissant levier de forme et de
bien-être? Longtemps oubliées – sauf en cas d'otite! –, nos oreilles font désormais partie des
marqueurs incontournables d'une bonne hygiène de vie.
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6 octobre 2015 - 02:32
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Sophrologie, une vraie arme anti-acouphènes
L’acouphène est un symptôme complexe qui,
d’après les derniers chiffres de la JNA*,
touche près de 16 millions de personnes en
France. Simple gêne pour certains, ces bruits
fantômes peuvent aussi devenir une véritable
souffrance pour les autres. Bien que la
sophrologie ne soigne pas réellement ce
trouble, il est indéniable qu’elle apporte
aujourd’hui une aide précieuse à la prise en
charge médicale et psychologique de cette
pathologie. C’est pourquoi des sophrologues
intègrent maintenant des équipes
pluridisciplinaires composées de médecins, de
psychologues et d’audioprothésistes pour le
traitement de ce symptôme.
L’ouvrage de la sophrologue Catherine Aliotta
publié chez InterÉditions offre toutes les clefs
théoriques et pratiques pour la prise en charge
de ce trouble auditif. De quoi dormir de
nouveau sur ses deux oreilles…
*Enquête Ipsos Crédit Agricole menée pour les
Journées Nationales de l’Audition mars 2014
Sophrologie et acouphènes, Catherine Aliotta,
InterÉditions, 22 €
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2 octobre 2015 - 10:31
Accompagner un proche en situation de
handicap auditif grâce à Acceo
Une solution qui rend accessible plus de 4500 structures publiques et
privées (banque, la mutuelle, la ville ou encore le petit commerce de
la personne ...)
Vous accompagnez une personne sourde ou malentendante ? Vous l'aidez au quotidien à faire ses
démarches ? Pour la journée nationale des aidants, Acceo informe les aidants familiaux et
professionnels qu'elle a rendu accessible aux personnes en situation de handicap auditif plus de
4500 structures publiques et privées.
Exemples de structures publiques et privées rendues accessibles par Acceo :
- CHR Metz-Thionville, 1er établissement de Santé en France accessible :
https://www.acce-o.fr/particuliers/actualites/2015-07-07-le-CHR-Metz-thionville.html
- Banque Populaire Atlantique, première banque à rendre ses agences accessibles en face à face :
https://www.acce-o.fr/particuliers/actualites/2015-09-16-Banque-Populaire-Atlantique.html
- Ermont, première ville du Val d'Oise accessible :
https://www.acce-o.fr/particuliers/actualites/2015-09-16-Ermont-1ere-ville-du-Val-d-Oise-desor
mais-accessible.html
Accompagner un proche dépendant demande de faire face à des situations inconnues, de
s'adapter, de trouver de l'information et des solutions parfois sans y avoir été préparé. C'est le
quotidien de plus de 8 millions de Français. Depuis 2010, la journée nationale des aidants
rassemble les acteurs qui se mobilisent pour les soutenir et leur permettre de faire face :
associations, pouvoirs publics, collectivités, mutuelles, entreprises, mais aussi citoyens.
Soutenir les aidants en ce 6 octobre, c'est donc également les informer des solutions qui existent
pour eux et pour leurs proches et tenter de leur faciliter la vie.
Acceo, une solution de communication pour tous
Acceo informe les personnes qui souffrent de handicap auditif ainsi que celles qui les
accompagnent que plus de 4500 structures publiques et privées sont aujourd'hui accessibles en
France grâce à sa solution. Une personne sourde ou malentendante peut désormais téléphoner à sa
banque, à sa mairie, à sa mutuelle, pour obtenir des informations, prendre un rendez-vous, gérer
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2 octobre 2015 - 10:31
ses intérêts. Sur place, elle sera également accueillie et pourra communiquer de manière
autonome avec son interlocuteur.
Acceo est un outil qui permet la communication entre les personnes déficientes auditives et les
personnes entendantes. Il permet de communiquer, à distance par téléphone ou directement en
vis-à-vis. La solution Acceo est déployée dans les établissements recevant ou communiquant avec
le public. Elle leur permet d'offrir un service gratuit aux personnes sourdes et malentendantes.
Pour savoir si la banque, la mutuelle, la ville ou encore le petit commerce de la personne que vous
aidez est accessible et dispose d'un service Acceo, vous pouvez vous renseigner et consulter notre
annuaire en ligne https://www.acceoservices.fr/
Comment ça marche ?
Acceo délivre des services à distance en temps réel, via internet : Transcription Instantanée de la
Parole et visio-interprétation en langue des signes française (LSF). Ces opérations (transcription
ou visio-interprétation) sont réalisées à distance par des opérateurs spécialisés, formés par Acceo.
- Pour une conversation à distance :
Pas besoin de téléphone, seul un ordinateur suffit !
Avant la première utilisation, la personne sourde ou malentendante télécharge gratuitement sur le
site internet de l'établissement (entreprise, mairie, banque, mutuelle) l'application Acceo, signalée
par un code visuel. Via l'application, elle est mise en relation avec le service demandé, comme
n'importe quel interlocuteur.
- Pour une conversation sur place :
La personne sourde ou malentendante suit la conversation via un écran d'ordinateur ou d'une
tablette que l'établissement aura installé au préalable.
Quelques chiffres sur l'audition en France
La France compte près de 10 millions de personnes en situation de handicap auditif (source :
enquête ministérielle, Le Handicap Auditif en France). Parmi cette population 600.000 personnes
souffrent d'une surdité profonde : 90% peuvent parler et lisent sur les lèvres, les autres utilisent la
langue des signes.
Selon l'enquête de la DREES « Le handicap auditif en France », 44 % des seniors éprouvent des
difficultés de compréhension, 1 senior sur 3 aurait des difficultés à entendre. Des chiffres
confortés par l'association Journée Nationale de l'Audition(JNA) qui estime que la handicap lié
au vieillissement des cellules auditives (presbyacousie) concerne 40% des 60-70 ans et plus de
50% des plus de 80 ans.
La perte de l'audition n'est pas une fatalité. Grâce aux nouvelles technologies, à une bonne prise
en charge environnementale, une personne malentendante peut communiquer normalement. Oser
agir favorise le Bien Vivre et le Bien Vieillir de tous.
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1 octobre 2015 - 08:18
À Toulouse la nuit, les fêtards crient famine !
Plusieurs centaines de burgers seront distribués dans une discothèque toulousaine le samedi 17
octobre. «Alimentez-vous la nuit», une action inédite de l'association Toulouse Nocturnes qui
prône l'ouverture de points de vente alimentaires la nuit.
Les ex-étudiants toulousains, aujourd'hui quadras ou quinquas, se souviennent du temps béni de
«Croissant Service» et des «Frères Vanelli», une boulangerie de nuit située du côté de la place
Belfort où tout le monde allait se fournir en croissants chauds au sortir des boîtes de nuit. Ce
genre d'endroits n'existe plus. La législation interdit la vente d'alcool après 22 heures mais impose
aussi la fermeture des épiceries et autres points de vente nocturnes après 2 heures ou 3 heures du
matin. L'association Toulouse Nocturne qui milite pour la prévention des risques la nuit préconise
l'assouplissement de cette mesure. «Il faut attendre l'ouverture du marché Victor Hugo à 6 h 30 du
matin pour pouvoir acheter quelque chose à manger. Il faudrait que nos jeunes puissent
s'alimenter après les fermetures des bars et des boîtes, insiste Christophe Vidal, président de
l'association Toulouse Nocturne. C'est une question de santé publique au regard des
problématiques de consommation excessive d'alcool. Le fait de manger et de s'hydrater, avec de
l'eau bien sûr, permet de rééquilibrer les énergies». Le maire de la nuit pilote une opération
originale, «Alimentez-vous la nuit» qui aura lieu le samedi 17 octobre, en partenariat avec
l'UMIH (syndicat de l'industrie hôtelière), la Prévention Routière, la JNA(journée nationale de
l'audition), McDonald's et Le Purple. Près de 300 burgers seront distribués gratuitement dans
cette discothèque à partir de 1 heure du matin. Des préservatifs, des bouchons d'oreille, des
éthylotests seront également offerts aux personnes présentes ce soir-là au Purple. «Cette opération
s'inscrit dans la continuité de diverses actions menées à Toulouse en matière de réductions des
risques la nuit», explique Christophe Vidal, remerciant au passage ses nouveaux partenaires, le
Cnes, McDonald's, Vinci Park qui participent avec d'autres au financement du guide gratuit
«Toulouse en mode nuit», distribué à 15 000 exemplaires courant octobre. L'association Toulouse
Nocturne multiplie les actions : création de trois antennes à Paris, Grenoble et Montpellier ;
lancement du Cercle de la Nuit, un laboratoire d'idées autour des transports, de la sécurité, de la
prévention etc. ; organisation des premières Assises Européennes de la Nuit à Toulouse en mars ;
étude sur le poids économique de Toulouse la nuit… «Le contexte national nous est favorable,
note Christophe Vidal, avec la création très récente par le ministère des affaires étrangères d'un
pôle d'excellence «Tourisme nocturne».
Le chiffre : 67
% des étudiants >évitent de manger avant de boire. 67 % jeunes qui restreignent leur alimentation
avant de consommer de l'alcool le font pour éviter de prendre du poids. Mauvais réflexe. Avoir sa
dose de calories le soir est important avant de sortir. Être à jeun entraîne une augmentation plus
rapide du taux d'alcoolémie. Il est important de s'alimenter durant la soirée et de boire beaucoup
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1 octobre 2015 - 08:18
d'eau. (Conseil du Guide Toulouse en mode nuit).
Bars et discothèques : un label «établissement responsable»
Une quarantaine d'établissements de nuit sont prêts à adhérer au label «établissement
responsable» qui devrait être officialisé par la préfecture et la mairie en octobre. «C'est une charte
pour responsabiliser les établissements avec l'objectif de lutter contre les nuisances sonores et
l'alcoolisation massive», explique Ivo Danaf, président de l'UMIH, à l'origine de ce label. Les
discothèques et bars de nuit labellisés «établissements responsables» s'engageront sur des actions
concrètes : prendre des dispositions concernant le voisinage, former leur personnel à la gestion du
bruit et de l'alcoolisation, arrêter la vente d'alcool au moins une demi-heure avant la fermeture,
proposer des solutions de transport pour les retours à domicile, ou encore fournir des en-cas ou
petits-déjeuners, payants ou gratuits.
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25 septembre 2015 - 15:45
Acouphènes : bientôt une solution pour les
soigner ?
Une thérapie pourrait bientôt être mise en place pour traiter les acouphènes, selon les
résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Trends in Cognitive Sciences.
Une lueur d'espoir pourrait naitre pour toutes les personnes qui souffrent d'acouphènes, grâce à
cette nouvelle découverte scientifique. En effet, des chercheurs ont identifié la région du cerveau
qui serait responsable de ces troubles auditifs. Une avancée qui pourrait permettre la mise en
place de thérapies à base de médicaments qui modulent la dopamine, un neurotransmetteur du
cerveau.
L'origine de ces troubles de l'audition est multiple : traumatisme sensoriel auditif lié aux pratiques
d'écoute de musique amplifiée ou aux bruits au travail, usure des mécanismes de l'oreille avec
l'âge, choc émotionnel ou prise de médicaments ototoxiques (médicaments qui abiment la
structure interne de l'oreille). Malheureusement, s'il existe des solutions pour mieux vivre avec,
on ne peut pas en guérir.
Les chercheurs de l'Université de Georgetown (Etats-Unis) et ceux de l'Université technique de
Munich (Allemagne) ont découvert que des régions du cerveau sont responsables des perceptions
sensorielles et de l'évaluation des sensations perçues et peuvent jouer un rôle dans ces sensations
anormales.
Les acouphènes et la douleur chronique se produisent apparemment quand ces systèmes sont
compromis et que le cerveau reçoit une information erronée.
« Cette découverte ouvre la porte à d'éventuelles thérapies, puisque ces systèmes dépendent de la
transmission de dopamine et de sérotonine entre les neurones. Des médicaments qui modulent la
dopamine pourraient donc être utiles » expliquent les auteurs de l'étude.
Une découverte essentielle pour les 16 millions de Français, soit un adulte sur 4 qui seraient
atteints d'acouphènes (sifflements ou bourdonnements) d'après les résultats du sondage réalisé par
Ipsos avant la 17eme Journée nationale de l'audition(JNA), en 2014.
A lire aussi:
Acouphènes : bientôt un nouveau traitement définitif ?
Acouphènes : comment soulager la gêne ?
Acouphènes : quels examens faut-il faire ? Lire la suite sur Topsanté
Acouphènes : comment soulager la gêne ?
Acouphènes : quels examens faut-il faire ?
Acouphènes : comment les soulager en douceur?
Troubles auditifs : le volume des casques pourrait être limité
Acouphènes : bientôt un nouveau traitement définitif ?
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25 septembre 2015 - 14:07
Acouphènes : bientôt une solution pour les
soigner ?
Le 25 septembre 2015 à 14h00 - par Agathe Mayer Je m'abonne Commentaire(s) : 1
Une thérapie pourrait bientôt être mise en place pour traiter les acouphènes, selon les résultats
d'une étude publiée dans la revue médicale Trends in Cognitive Sciences.
Une lueur d'espoir pourrait naitre pour toutes les personnes qui souffrent d'acouphènes, grâce à
cette nouvelle découverte scientifique. En effet, des chercheurs ont identifié la région du cerveau
qui serait responsable de ces troubles auditifs. Une avancée qui pourrait permettre la mise en
place de thérapies à base de médicaments qui modulent la dopamine, un neurotransmetteur du
cerveau.
L'origine de ces troubles de l'audition est multiple : traumatisme sensoriel auditif lié aux pratiques
d'écoute de musique amplifiée ou aux bruits au travail, usure des mécanismes de l'oreille avec
l'âge, choc émotionnel ou prise de médicaments ototoxiques (médicaments qui abiment la
structure interne de l'oreille). Malheureusement, s'il existe des solutions pour mieux vivre avec,
on ne peut pas en guérir.
Les chercheurs de l'Université de Georgetown (Etats-Unis) et ceux de l'Université technique de
Munich (Allemagne) ont découvert que des régions du cerveau sont responsables des perceptions
sensorielles et de l'évaluation des sensations perçues et peuvent jouer un rôle dans ces sensations
anormales.
Les acouphènes et la douleur chronique se produisent apparemment quand ces systèmes sont
compromis et que le cerveau reçoit une information erronée.
« Cette découverte ouvre la porte à d'éventuelles thérapies, puisque ces systèmes dépendent de la
transmission de dopamine et de sérotonine entre les neurones. Des médicaments qui modulent la
dopamine pourraient donc être utiles » expliquent les auteurs de l'étude.
Une découverte essentielle pour les 16 millions de Français, soit un adulte sur 4 qui seraient
atteints d'acouphènes (sifflements ou bourdonnements) d'après les résultats du sondage réalisé par
Ipsos avant la 17eme Journée nationale de l'audition(JNA), en 2014.
A lire aussi:
Acouphènes : bientôt un nouveau traitement définitif ?
Acouphènes : comment soulager la gêne ?
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Acouphènes : quels examens faut-il faire ?
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25 septembre 2015 - 14:58
Acouphènes : bientôt une solution pour les
soigner ?
Une thérapie pourrait bientôt être mise en place pour traiter les acouphènes, selon les
résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Trends in Cognitive Sciences.
Une lueur d'espoir pourrait naitre pour toutes les personnes qui souffrent d'acouphènes, grâce à
cette nouvelle découverte scientifique. En effet, des chercheurs ont identifié la région du cerveau
qui serait responsable de ces troubles auditifs. Une avancée qui pourrait permettre la mise en
place de thérapies à base de médicaments qui modulent la dopamine, un neurotransmetteur du
cerveau.
L'origine de ces troubles de l'audition est multiple : traumatisme sensoriel auditif lié aux pratiques
d'écoute de musique amplifiée ou aux bruits au travail, usure des mécanismes de l'oreille avec
l'âge, choc émotionnel ou prise de médicaments ototoxiques (médicaments qui abiment la
structure interne de l'oreille). Malheureusement, s'il existe des solutions pour mieux vivre avec,
on ne peut pas en guérir.
Les chercheurs de l'Université de Georgetown (Etats-Unis) et ceux de l'Université technique de
Munich (Allemagne) ont découvert que des régions du cerveau sont responsables des perceptions
sensorielles et de l'évaluation des sensations perçues et peuvent jouer un rôle dans ces sensations
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Les acouphènes et la douleur chronique se produisent apparemment quand ces systèmes sont
compromis et que le cerveau reçoit une information erronée.
« Cette découverte ouvre la porte à d'éventuelles thérapies, puisque ces systèmes dépendent de la
transmission de dopamine et de sérotonine entre les neurones. Des médicaments qui modulent la
dopamine pourraient donc être utiles » expliquent les auteurs de l'étude.
Une découverte essentielle pour les 16 millions de Français, soit un adulte sur 4 qui seraient
atteints d'acouphènes (sifflements ou bourdonnements) d'après les résultats du sondage réalisé par
Ipsos avant la 17eme Journée nationale de l'audition(JNA), en 2014.
A lire aussi:
Acouphènes : bientôt un nouveau traitement définitif ?
Acouphènes : comment soulager la gêne ?
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Acouphènes : quels examens faut-il faire ? Lire la suite sur Topsanté
Acouphènes : comment soulager la gêne ?
Acouphènes : quels examens faut-il faire ?
Acouphènes : comment les soulager en douceur?
Troubles auditifs : le volume des casques pourrait être limité
Acouphènes : bientôt un nouveau traitement définitif ?
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24 septembre 2015 - 15:35
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10 000 tests auditifs réalisés à la JNA 2015
Publié le jeudi 24 septembre 2015
Le bilan de la 18e campagne de laJournée nationale de l’audition (
JNA), qui s’est tenue le 12 mars 2015, révèle un haut taux de
participation avec 2 400 inscrits officiels. Un chiffre en hausse par
rapport aux années précédentes. Environ 1 400 audioprothésistes
étaient mobilisés pour réaliser 10 000 tests auditifs. Pas moins de 80
services ORL des centres hospitaliers, plus de 20 villes et
collectivités, 102 associations, 140 établissements scolaires et 80
résidences de personnes âgées se sont engagés pour cette journée. Par
ailleurs, 2,4 millions de documents ont été diffusés.
Expliquer le parcours de soinChaque année, l’objectif de la JNA est de sensibiliser le plus grand
nombre d’individus sur les bienfaits d’une bonne santé auditive. L’occasion aussi d’expliquer les
rôles et les complémentarités des acteurs dans le parcours de soin.Environ 70 % du budget de la
campagne est financé par les fonds en provenance des institutions de retraite et de prévoyance
ainsi que des mutuelles et des fonds privés.La prochaine JNA se tiendra le 10 mars 2016 avec
pour thème : "Un monde bruyant... et nos oreilles dans tout ça ?"H.A.
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23 septembre 2015 - 04:44
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Préserver les oreilles de bébé
U n bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée , explique l'ORL
Mireille Tardy. Dès lors, de l'ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive,
comment savoir si notre environnement sonore agresse ou non bébé?Membre du bureau de
l'association JNA(Journée nationale de l'Audition), le Dr Tardy admet que « la réponse dépend
de critères subjectifs » . Et pour cause, le ressenti est différent d'une personne à une autre.D'une
manière générale, « veillez à ce qu'il n'y ait pas de brouillard sonore autour de bébé. Autrement
dit, pas de superposition de sons. Il a besoin de les identifier, de les décoder. Cet aspect est
important pour sa construction et tend à le sécuriser » .Question de bon sens: évitez la musique à
tue-tête. Y compris si le petit commence à battre la mesure ou à dodeliner de la tête. « C'est déjà
beaucoup pour lui et cela marque le signe d'une excitation, laquelle se transforme bien souvent en
pleurs lorsque cette ambiance s'éternise » , prévient Mireille Tardy. Le bruit « fort » doit donc
durer le moins de temps possible.C'est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties. Le
cas échéant, sachez qu'il existe des casques anti-bruit pour les tout-petits.Page réalisée
avecDestination Santé.
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23 septembre 2015 - 05:25
Préserver les oreilles de bébé
Des casques anti-bruit existent pour les tout-petits. - (Phovoir,
Yannick Diraison)
Un bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée, explique l'ORL
Mireille Tardy. Dès lors, de l'ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive,
comment savoir si notre environnement sonore agresse ou non bébé ?
Membre du bureau de l'association JNA(Journée nationale de l'Audition), le Dr Tardy admet
que « la réponse dépend de critères subjectifs ». Et pour cause, le ressenti est différent d'une
personne à une autre.
D'une manière générale, « veillez à ce qu'il n'y ait pas de brouillard sonore autour de bébé.
Autrement dit, pas de superposition de sons. Il a besoin de les identifier, de les décoder. Cet
aspect est important pour sa construction et tend à le sécuriser ».
Question de bon sens : évitez la musique à tue-tête. Y compris si le petit commence à battre la
mesure ou à dodeliner de la tête. « C'est déjà beaucoup pour lui et cela marque le signe d'une
excitation, laquelle se transforme bien souvent en pleurs lorsque cette ambiance s'éternise »,
prévient Mireille Tardy. Le bruit « fort » doit donc durer le moins de temps possible.
C'est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties. Le cas échéant, sachez qu'il existe
des casques anti-bruit pour les tout-petits.
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17 septembre 2015 - 14:28
La JNA abordera en 2016 le thème : « Un
monde bruyant... et nos oreilles dans tout ça ?
»
Détails Publié le jeudi 17 septembre 2015 14:26
Journée nationale de l’audition
L'affiche de la campagne 2016 de la JNA
Pour la 19e édition de la campagne JNA qui se déroulera le jeudi 10 mars 2016, l’association
éponyme a choisi d’aborder la problématique du bruit au quotidien.
Les experts de l’association JNA ont retenu le thème des nuisances sonores afin d’interpeller les
Français sur les impacts de l’omniprésence du Bruit sur la santé auditive : sur le lieu de travail,
dans les transports, dans la rue, dans les magasins, au cinéma, en discothèque, à l’école, et jusque
dans la chambre où les « boules Quies » sont parfois utiles...
« Le Bruit est partout. Il a toujours existé, mais il s’est intensifié par la puissance des sources
d’émission et par nos modes de vie. Le système auditif n’a plus de répit. Il est soumis à des
pressions acoustiques toxiques générant des déséquilibres parfois irréversibles dès le plus jeune
âge. La santé auditive représente plus que jamais un enjeu de société. Une préoccupation qui
dépasse nos frontières », détaille le communiqué de presse.
Pour soutenir sa campagne, la JNA a choisi un visuel exprimant à la fois la saturation des
Français aux bruits et la nécessité de s’en préserver afin de protéger ses capacités auditives. « On
y découvre un personnage, au centre de l’affiche, qui traduit une tension et un stress, en raison des
expositions sonores qu’il subit. La toxicité de cette exposition en continu est représentée par son
expression, mais également par sa couleur sombre et fortement contrastée, détaille la JNA. Le
code couleur retenu pour le plan secondaire est le rouge, afin d’exprimer un niveau d’alerte et de
risque maximum », explique la JNA. En effet, selon les experts de l’association, la côte d’alerte
serait atteinte et la qualité d’acuité auditive des Français subirait une certaine altération et une
érosion non sans conséquence sur la santé, l’équilibre physique et mental, les apprentissages,
l’évolution professionnelle, la vie sociale, et par voie de conséquence sur le « Bien Vivre et le
Bien Vieillir ».
Lors de l’événement du jeudi 10 mars 2016, la JNA rappellera aux Français que l’émission de
Bruit n’est pas seulement le fait des infrastructures ou « des autres ». « Chaque individu est
émetteur. La question du Bruit et de ses impacts sur la santé auditive appelle donc à se
questionner sur nos responsabilités individuelles et collectives. En matière de santé auditive, seul
le test de l’audition peut permettre de connaître l’état de son capital auditif », souligne Sébastien
Leroy, porte-parole de l’association. L’occasion pour la JNA d’inviter tous les Français à la
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généralisation des tests auditifs avec « LE TEST DE L’AUDITION POUR TOUS ».
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Comment préserver les oreilles de Bébé?
Pensez aux casques anti-bruit si vous emmenez votre enfant à un concert. ©Yannick Diraison
« Un bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée », explique l'ORL
Mireille Tardy. Dès lors, de l'ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive,
comment savoir si notre environnement sonore agresse ou non Bébé ? Membre du bureau de
l'association JNA (Journées nationale de l'Audition), le Dr Tardy admet que « la question est
compliquée. La réponse dépend en effet de critères subjectifs », liés à la définition d'un son fort.
Et pour cause, le ressenti est différent d'une personne à une autre. Un son à la fois. D'une manière
générale, « veillez à ce qu'il n'y ait pas de brouillard sonore autour de Bébé », insiste l'ORL.
Autrement dit, pas de superposition de sons. « Il a besoin de les identifier, de les décoder. Cet
aspect est important pour sa construction et tend à le sécuriser. ». Doucement sur le volume.
Question de bon sens : évitez la musique à tue-tête. Y compris d'ailleurs si le petit commence à
battre la mesure ou à dodeliner de la tête. « Oui, c'est drôle » coupe Mireille Tard. « Mais c'est
déjà beaucoup pour lui et cela marque le signe d'une excitation. Laquelle « se transforme bien
souvent en pleurs lorsque cette ambiance s'éternise ». Le bruit « fort » doit donc durer le moins de
temps possible. Casques anti-bruit. C'est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties
par le petit. « Au bout d'un moment, il se met pleurer et seul le calme peut le consoler ». Le cas
échéant, sachez qu'il existe des casques anti-bruit pour les tout-petits comme pour leurs aînés
d'ailleurs. Il est peut être judicieux d'en glisser un dans votre sac avant de vous rendre un concert
ou un spectacle ? même de son âge un festival, un feu d'artifice ou un match de sport, dans un
stade ou dans une salle. A la moindre question, demandez conseil votre médecin généraliste ou
l'ORL.
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Comment préserver les oreilles de Bébé…
Pensez aux casques anti-bruit si vous emmenez votre enfant à un concert. ©Yannick Diraison
« Un bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée », explique l’ORL
Mireille Tardy. Dès lors, de l’ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive,
comment savoir si notre environnement sonore agresse ou non Bébé ?
Membre du bureau de l’association JNA (Journée nationale de l’Audition), le Dr Tardy admet
que « la question est compliquée. La réponse dépend en effet de critères subjectifs », liés à la
définition d’un son fort. Et pour cause, le ressenti est différent d’une personne à une autre.
Un son à la fois. D’une manière générale, « veillez à ce qu’il n’y ait pas de brouillard sonore
autour de Bébé », insiste l’ORL. Autrement dit, pas de superposition de sons. « Il a besoin de les
identifier, de les décoder. Cet aspect est important pour sa construction et tend à le sécuriser. ».
Doucement sur le volume. Question de bon sens : évitez la musique à tue-tête. Y compris
d’ailleurs si le petit commence à battre la mesure ou à dodeliner de la tête. « Oui, c’est drôle »
coupe Mireille Tard. « Mais c’est déjà beaucoup pour lui et cela marque le signe d’une excitation.
Laquelle « se transforme bien souvent en pleurs lorsque cette ambiance s’éternise ». Le bruit
« fort » doit donc durer le moins de temps possible.
Casques anti-bruit. C’est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties par le petit. « Au
bout d’un moment, il se met à pleurer et seul le calme peut le consoler ». Le cas échéant, sachez
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qu’il existe des casques anti-bruit pour les tout-petits comme pour leurs aînés d’ailleurs. Il est
peut être judicieux d’en glisser un dans votre sac avant de vous rendre à un concert ou un
spectacle – même de son âge – un festival, un feu d’artifice ou à un match de sport, dans un stade
ou dans une salle. A la moindre question, demandez conseil à votre médecin généraliste ou à
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« Un bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée », explique l'ORL Mireille Tardy.
Dès lors, de l'ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive, comment savoir si notre
environnement sonore agresse ou non Bébé? Membre du bureau de l'association JNA ( Journées nationale de
l'Audition ), le Dr Tardy admet que « la question est compliquée. La réponse dépend en effet de critères subjectifs
», liés à la définition d'un son fort. Et pour cause, le ressenti est différent d'une personne à une autre.Un son à la
fois. D'une manière générale, « veillez à ce qu'il n'y ait pas de brouillard sonore autour de Bébé », insiste l'ORL.
Autrement dit, pas de superposition de sons. « Il a besoin de les identifier, de les décoder. Cet aspect est important
pour sa construction et tend à le sécuriser. ».Doucement sur le volume. Question de bon sens : évitez la musique à
tue-tête. Y compris d'ailleurs si le petit commence à battre la mesure ou à dodeliner de la tête. « Oui, c'est drôle »
coupe Mireille Tard. « Mais c'est déjà beaucoup pour lui et cela marque le signe d'une excitation. Laquelle « se
transforme bien souvent en pleurs lorsque cette ambiance s'éternise ». Le bruit « fort » doit donc durer le moins de
temps possible.Casques anti-bruit. C'est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties par le petit. « Au
bout d'un moment, il se met à pleurer et seul le calme peut le consoler ». Le cas échéant, sachez qu'il existe des
casques anti-bruit pour les tout-petits comme pour leurs aînés d'ailleurs. Il est peut être judicieux d'en glisser un
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ou à un match de sport, dans un stade ou dans une salle. A la moindre question, demandez conseil à votre médecin
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(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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Pensez aux casques anti-bruit si vous emmenez votre enfant à un
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« Un bébé a besoin de nombreuses plages de silence tout au long de la journée », explique l’ORL
Mireille Tardy. Dès lors, de l’ambiance musicale du salon ou de la voiture à la soirée festive,
comment savoir si notre environnement sonore agresse ou non Bébé ?Membre du bureau de
l’association JNA ( Journées nationale de l’Audition ), le Dr Tardy admet que « la question est
compliquée. La réponse dépend en effet de critères subjectifs », liés à la définition d’un son fort.
Et pour cause, le ressenti est différent d’une personne à une autre.Un son à la fois. D’une manière
générale, « veillez à ce qu’il n’y ait pas de brouillard sonore autour de Bébé », insiste l’ORL.
Autrement dit, pas de superposition de sons. « Il a besoin de les identifier, de les décoder. Cet
aspect est important pour sa construction et tend à le sécuriser. ».Doucement sur le volume.
Question de bon sens : évitez la musique à tue-tête. Y compris d’ailleurs si le petit commence à
battre la mesure ou à dodeliner de la tête. « Oui, c’est drôle » coupe Mireille Tard. « Mais c’est
déjà beaucoup pour lui et cela marque le signe d’une excitation. Laquelle « se transforme bien
souvent en pleurs lorsque cette ambiance s’éternise ». Le bruit « fort » doit donc durer le moins
de temps possible.Casques anti-bruit. C’est pourquoi, les soirées festives sont durement ressenties
par le petit. « Au bout d’un moment, il se met à pleurer et seul le calme peut le consoler ». Le cas
échéant, sachez qu’il existe des casques anti-bruit pour les tout-petits comme pour leurs aînés
d’ailleurs. Il est peut être judicieux d’en glisser un dans votre sac avant de vous rendre à un
concert ou un spectacle – même de son âge – un festival, un feu d’artifice ou à un match de sport,
dans un stade ou dans une salle. A la moindre question, demandez conseil à votre médecin
généraliste ou à l’ORL.Source : Interview du Dr Mireille Tardy, 11 septembre 2015Rubrique
:Ecrit par: David Picot – Edité par: Emmanuel Ducreuzet
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5 astuces pour une bonne santé auditive
©Thinkstock La rentrée de septembre est bien là, avec la longue série de bonnes résolutions que
l'on s'apprête plus ou moins à tenir. Se coucher plus tôt, ne pas se laisser envahir par le travail,
s’inscrire à une activité… Vous voilà bien décidé à placer cette nouvelle année sous le signe du
bien-être. Mais avez-vous pensé à votre santé auditive, gage d'une vraie sérénité et d'une bonne
communication avec les autres ? Comment faire pour l'améliorer et la préserver au quotidien ? On
vous dit tout…
1/ Je fais des pauses auditives
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Comme le reste de notre organisme, nos oreilles ont besoin de se
reposer pour demeurer en pleine forme. Dans votre journée, pensez à
intégrer de véritables temps de repos auditifs. Écoutez des musiques
calmes à faible volume, marchez dans un parc en vous concentrant sur
les chants des oiseaux ou sur le bruit de l’eau qui coule, bref, offrez à
vos écoutilles de véritables siestes sensorielles…
2/ Je veille au volume et à la durée d’écoute de mon MP3
Selon les médecins ORL, la durée d’écoute maximum d'un baladeur
MP3 est d’une heure par jour à moitié du volume maximum. Il faut
aussi savoir que les nouveaux casques à réduction de bruit, qui filtrent
les sons extérieurs, ne protègent pas de la nocivité d'une musique
écoutée à fort volume. Susceptible de provoquer des lésions de
l'appareil auditif irréversibles, l'utilisation de ces appareils doit être très limitée : exit les écouteurs
sur les oreilles pour s'endormir, regarder un film sur son PC ou jouer sur sa console !
3/ Je baisse le volume sonore
À la maison comme en voiture, écouter de la musique amplifiée à fort volume, même sans
casque, est très nocif pour les oreilles, et particulièrement pour celles des plus jeunes. En
discothèque ou en concert, on évite de se placer à côté des baffles et, si le volume sonore est top
fort, on porte des protections auditives en mousse ou des silicones à filtre. De la même manière,
on peut adopter le réflexe « protections » dans tous les lieux publics qui imposent une exposition
sonore trop élevée comme les cinémas, les magasins, les bars et les restaurants…
4/ Je dors sur mes deux oreilles
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12 septembre 2015 - 05:05
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Si l’environnement sonore de votre lieu de vie dépasse les 30 dB, portez des Boules Quies
pendant votre sommeil. Cela vous évitera fatigue, maux de tête, gastrites et agressivité.
5/ J’intègre le bilan régulier de mon audition dans mon suivi santé
Pour vérifier l’état de votre capital auditif, réalisez régulièrement un test auditif chez votre
médecin généraliste ou ORL. Vous pourrez également profiter de la 19e Journée nationale de
l’audition du jeudi 10 mars 2016 pour réaliser un contrôle gratuit dans l'un des nombreux points
d'accueil de cette opération nationale.
Infos pratiques : journee-audition.org
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10 septembre 2015 - 09:16
Audition : les dix commandements
10/09/2015 à 05:00
L’association JNA (pour l’information et la prévention dans le domaine de l’audition) rappelle en
cette rentrée les dix bonnes pratiques pour notre ...
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Les 10 commandements d’une bonne santé
auditive pour tous
La rentrée de septembre arrive avec son lot de bonnes résolutions.
Parmi elles, intégrer de bonnes pratiques d’hygiène de vie: se coucher
plus tôt, ne pas se laisser envahir par le travail, s’inscrire à une
activité…Mais pensons-nous à notre santé auditive pour tout
simplement se sentir bien. Comment?
La pression acoustique constante génère un stress auditif entraînant a minima une fatigue et au fur
et à mesure une usure des cellules sensorielles de l’oreille. Alors pour rester en forme :
• Je fais des pauses auditives. J’intègre dans ma journée des temps de repos pour mon audition :
changer de style musical à faible volume, marcher dans un parc en se concentrant sur les
chants des oiseaux, le bruit de l’eau qui coule.
• Je veille au volume et à la durée d’écoute de mon MP3. Selon les médecins ORL, la durée
d’écoute à ne pas dépasser est de 1h par jour à moitié du volume maximum. Les casques
filtrant le bruit extérieur ne protègent pas de la nocivité du son à fort volume.
• Je ne m’endors pas avec la musique, le casque sur les oreilles.
• Je porte des « Boules Quies » pendant mon sommeil si l’environnement sonore de mon lieu de
vie dépasse les 30 dB. Cela m’évitera fatigue, maux de tête, gastrites et agressivité.
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26 août 2015 - 10:35
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Je regarde un film sur le PC sans casque sur les oreilles.
• En voiture, je ne mets pas l’autoradio à fort volume pour « décompresser ».
• En discothèque ou lors de concerts ou de soirées privées, j’évite de rester à proximité des
baffles.
• En concert, je porte des protections auditives en mousse ou des silicones à filtre.
• Je n’hésite pas à quitter les lieux publics qui m’imposent une exposition sonore trop élevée :
cinéma, magasins, bars et restaurants…
• J’intègre le bilan régulier de mon audition dans mon suivi santé.
Avec les enfants, je veille particulièrement à leur consommation de jeux sur consoles avec
casque, l’écoute de MP3, la présence de bruit pendant l’endormissement voire durant le sommeil.
L’autoradio à fort volume est également nocif pour leurs jeunes oreilles et peut générer un trouble
irréversible de leur audition.
En respectant ces quelques règles simples, je préserve les cellules sensorielles de l’oreille
(cellules ciliées). Si je veux m’en convaincre je teste ces conseils cités et je vérifie les gains en
Bien Etre : plus de dynamisme, moins de maux de tête, meilleure vivacité dans la compréhension
de la parole.
Et pour vérifier l’état de mon capital auditif, je réalise régulièrement un test auditif. Je profite de
la 19e Journée Nationale de l’Audition du jeudi 10 mars 2016 pour réaliser un contrôle gratuit
de mon audition.
En savoir plus : Association JNA
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12 août 2015 - 14:51
Une association de sourds et malentendants dans l'Orne
Une association de sourds et malentendants devrait très prochainement voir le jour dans l'Orne. À l'initiative du
projet: l'Argentanais Sébastien Cordier. Organisateur chaque année, de la Pyramide de chaussures avec Handicap
International, Sébastien Cordier s'est lancé un nouveau défi : monter une association de sourds et malentendants
dans le département.« Je suis adhérent à l'Adsm 50 (Association des devenus sourds et malentendants de la
Manche) depuis plusieurs années. J'ai eu l'idée de créer une association ornaise il y a 2 ans lors de la Journée de
l'audition à laquelle l'Adsm 50 participait » , indique Sébastien Cordier. Lui-même malentendant et appareillé, il
est évidemment sensible à la cause. À l'occasion de la journée de sensibilisation organisée au sein du centre
hospitalier d'Argentan, il réalise que nombre d'Ornais sont dans la même situation que lui.Rompre avec la
solitudeL'association affiche des objectifs divers, et parmi eux, permettre des rencontres et créer une interaction
entre les adhérents. « L'idée, c'est de mettre en place des groupes de parole, chose que nous faisons à l'Adsm de la
Manche. Nous nous réunissons pour discuter de nos situations, des difficultés que l'on rencontre au quotidien.
Nous partageons nos expériences, et essayons de trouver des solutions ensemble » , détaille le président de
l'association ornaise.Aujourd'hui, Sébastien Cordier est à la recherche de volontaires pour constituer le bureau de
l'association.
(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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7 août 2015 - 10:02
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3 conseils pour garder une bonne audition
Dès le plus jeune âge, il est important de prendre soin de ses
oreilles pour ne pas endommager son ouïe de manière
irréversible. Suivez ces conseils pour protéger votre audition et
celle de toute la famille.
N'écoutez pas de la musique avec votre MP3 pendant plus d'une heure. par Johanna Amselem
publié le 07/08/2015 à 10:00
Nous pensons souvent à soigner nos dents, tester nosyeux ou mesurer notre souffle mais rarement
à s’occuper de notre audition.Pourtant, de nombreux sons gênants ont envahi notre quotidien et
soumettent nosoreilles à des niveaux trop élevés. L’Association de la Journée nationale pour
l'audition (JNA) organise fréquemmentdes campagnes de dépistage. Elle rappelle que la
pression acoustique constantegénère un stress auditif entraînant a minima une fatigue et au fur et
à mesureune usure des cellules sensorielles de l’oreille. Alors que la rentréeapproche,
l’association livre ses commandements à respecter pour une bonnesanté auditive.
En concert, je fais attention à la puissance de la musique
Quand je me rends à un concert ou à un festival, je nereste pas à proximité des baffles. De même,
en discothèque ou dans des soiréesprivées, je m’éloigne aussi des enceintes. Je n’hésite pas non
plus à porterdes protections auditives en mousse ou en silicones à filtre.
Je baisse le son de mon MP3
Pour ne pas surexposer mes oreilles, je fais attentionau volume et à la durée d’écoute de mon
MP3. D’ailleurs, JNA Association rappelleque, selon les médecins ORL, la durée d’écoute ne
doit pas dépasser une heureet le volume rester à la moitié. De plus, je n’oublie pas de faire des
pausesauditives dans la journée. Quand je regarde un film sur mon ordinateur, je lefais de
préférence sans casque. Et je ne m’endors jamais avec mon casque audiosur les oreilles. De
mêmes, avec les enfants, je surveille le temps passé avecun casque (tablette, film, jeux) et la
présence de bruit dans leur environnement.
Je surveille mon environnement
Il n’ya pas que quand j’écoute de la musique que mesoreilles sont soumises à des bruits
importants. Dans la vie quotidienne, jesuis aussi entouré d’un environnement bruyant, certaines
fois sans même m’enrendre compte. Alors, je n’hésite pas à quitter le lieu où je me trouve si leson
est trop élevé : bars, restaurants, magasins, etc.
Dans mon suivi santé régulier, je n’oublie pas deréaliser un bilan de mon audition. Chaque année,
à l’occasion de la Journéenationale de l’audition, il est possible de faire tester gratuitement
sonaudition partout en France.
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25 juillet 2015 - 01:19
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Article : Les 10 commandements d’une bonne
santé auditive pour tous
L’Association pour l’information et la prévention dans le domaine de l’Audition (JNA),
préconise les bonnes pratiques d’hygiène de vie pour une bonne santé auditive. Accéder aux 10
commandements ainsi qu’aux membres du comité scientifique de l’association JNA
http://www.journee-audition.org/pdf/CP-10-commandements.pdf Découvrez notre magazine
numérique gratuit La Bulle des Entrepreneurs , rendez-vous pour les entrepreneurs et les
décideurs Pour financer son indépendance et son développement, Esteval s'appuie aujourd'hui sur
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16 juillet 2015 - 15:54
Quand les troubles de l’audition gâchent la
fête
16/07/2015
Concerts en plein air, bars musicaux, soirées en discothèque… ces activités estivales exposent les
jeunes gens à un risque accru de troubles de l’audition. Les conseils de prévention à observer…
« Ce soir-là, à la fin du concert, elle n’entendait plus rien même en se rapprochant des baffles.
Attribuant cet état à l’abus de boissons alcoolisées, elle est rentrée chez elle mais elle continuait
d’entendre comme au travers d’un tampon d’ouate et ses oreilles se sont mises à bourdonner. Cet
état a persisté une semaine ».
Ce témoignage est l’un de ceux mentionnés par l’Association de la Journée nationale de
l’audition dans une brochure visant à sensibiliser les adolescents et les jeunes adultes au risque
d’une exposition à une ambiance sonore d’intensité trop élevée. Cette association regroupe des
médecins ORL, des audioprothésistes, des fabricants de matériels ou encore des représentants de
patients. Chaque année depuis 18 ans, elle organise en mars une journée nationale dédiée à la
santé auditive.
Gare à la fragilité des cellules de l’oreille interne
Les auteurs de cette brochure rappellent que « la musique peut constituer, lorsqu’elle est écoutée à
niveau trop élevé, une gêne pour les autres et, malgré le plaisir ressenti, un dangereux
traumatisme pour l’oreille interne ». De fait, cette partie de l’organisme est tapissée de cellules
dont la fonction consiste à transformer les vibrations sonores en influx nerveux qui est ensuite
envoyé vers des zones dédiées du cerveau.
On estime que le bruit présente un risque pour la santé à partir d’une puissance sonore de 85 à 90
décibels (dB). Un niveau qui peut largement être atteint en discothèque, concerts et autres bars
musicaux ou encore lors de l’utilisation de baladeurs numériques dont le volume maximum de
sortie est fixé à 100 dB par la réglementation.
Des vibrations sonores de trop forte intensité sont susceptibles de détériorer ces cellules qui ne
possèdent pas la capacité de se renouveler. A terme, c’est donc son propre capital auditif que le
mélomane imprudent met à mal. Avec le risque, que les troubles de l’audition, dont on sait qu’ils
sont fréquents chez les personnes âgées, surviennent de façon prématurée. Sans parler des
troubles aigus qui peuvent se manifester à la suite directe de l’exposition.
Un risque variable selon l’intensité et la durée d’exposition
Bourdonnements, sifflements, acouphènes, surdité partielle… Les effets dépendent non seulement
de l’intensité sonore mais aussi du temps d’exposition. C’est ainsi que selon l’association JNA,
s’il « est exceptionnel d’avoir un traumatisme aigu, lors d’une soirée passée à un niveau inférieur
à 100 dB, quelques minutes à 110 dB suffisent à le provoquer ». La survenue d’un trouble de
l’audition après exposition à une source sonore d’intensité élevée témoigne d’une atteinte directe
des cellules de l’oreille interne et doit alerter l’individu qui veillera à faire en sorte qu’ils ne se
répètent pas.
« Ces dernières années, indiquait en juin 2012 l’Institut national de prévention et d’éducation en
santé (Inpes), les risques auditifs [chez les jeunes gens notamment, ndlr] sont devenus une
préoccupation importante de santé publique. Les troubles de l’audition causés peuvent être
irréversibles et concernent une part non négligeable et grandissante de la population, en
particulier les jeunes dont environ 10 % présentent une perte auditive pathologique ».
Les jeunes gens, pourtant exposés de par leurs activités, font preuve d’une relative nonchalance
vis-à-vis du risque de détérioration de leur capital auditif. D’après le baromètre santé
environnement – maintenant un peu ancien – publié en 2007 par l’INPES, seulement 12% des
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16 juillet 2015 - 15:54
18-25 ans estime que le bruit constitue un risque très élevé. D’où l’appel à prudence
régulièrement relayé par les pouvoirs publics ou les associations oeuvrant dans le domaine. Les
recommandations à retenir afin de limiter le risque de voir se développer des troubles de
l’audition…
En concert et en discothèque :
- Tenez vous, autant que possible, éloigné des enceintes. C’est évidemment à leur proximité que
le niveau sonore est le plus élevé ;
- Portez des bouchons d’oreilles en cas d’inconfort ou de douleur. Ces dispositifs peuvent être
fournis à l’entrée des concerts. Ils sont également commercialisés chez les audioprothésistes, en
pharmacie ou sur Internet. Attention, prévient l’Inpes, « pour les retirer, il est nécessaire d’être au
calme pour ne pas exposer brutalement ses oreilles à un volume sonore élevé » ;
- Ménagez vous des pauses à l’extérieur ou dans une zone calme. L’inpes recommande trente
minutes toutes les 2 h ou dix minutes toutes les ¾ d’heure.
Avec un casque ou des écouteurs :
- Réglez le volume à la moitié du maximum du baladeur ;
- Utilisez plutôt les casques ou écouteurs fournis avec l’appareil qui garantissent un volume
sonore maximum de 100 dB ;
- Réglez le volume dans un endroit calme et ne l’augmentez pas en fonction du bruit environnant ;
- Limitez la durée d’écoute : les durées hebdomadaires d’écoute ne doivent pas dépasser 20
heures à volume moyen, 4 heures seulement si le baladeur est poussé à son maximum, conseille
l’association JNA.
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En festival, protégez vos oreilles
Des sifflements ou une sensation cotonneuse à la fin d’un concert
sont le signe d’une souffrance auditive, qui peut devenir irréversible.
Pour profiter de la musique, protégez-vous!
Guitares électriques, pelouses bondées et son poussé à fond : la saison des festivals bat son plein
en France. Une période chérie des amateurs de musique… mais beaucoup moins de leurs oreilles.
Parce qu'elles ne possèdent pas de protection naturelle, à l'inverse des yeux, elles sont très
vulnérables aux fortes expositions sonores.
Les cellules endommagées ne se régénèrent jamais
Dans un concert, le son monte facilement au-dessus de 100 décibels, alors que, selon la
législation, l'audition est en danger dès 85 dB. A cette intensité, quatre minutes d'écoute
peuvent suffire à provoquer des lésions irréversibles. Une surexposition endommage les cellules
auditives de l'oreille interne, qui transmettent les informations au cerveau. Or, celles-ci n'ont pas
la capacité de se régénérer.
« Entendre des sifflements ou avoir les oreilles cotonneuses à la sortie d'un concert prouve une
souffrance au niveau des cellules auditives et des neurones », explique le docteur Pascal Foeillet,
ORL à Fontainebleau (Seine-et-Marne). Ces traumatismes, surtout s'ils sont répétés, « dégradent
l'audition, même si l'on ne s'en rend pas compte tout de suite ».
Des troubles définitifs
Dans ce cas, la surdité due à l'âge apparaît plus rapidement que pour le reste de la population. Et
lorsque le patient pousse la porte du cabinet d'ORL, il est déjà trop tard. Si des aides auditives
existe, elles ne guérissent pas les troubles de l'audition qui, eux, sont définitifs.
Plus rare, un choc soudain (Larcen, batterie, explosion d'un pétard, etc.) peut également
engendrer un traumatisme sonore aigu. Une hypersensibilité au bruit, des maux de tête ou une
surdité partielle sont autant de symptômes qui doivent vous conduire aux urgences.
Contrairement à une idée répandue, les enfants ne sont pas plus fragiles, et encourent exactement
les mêmes risques que les adultes.
Militant du "plaisir auditif durable"
Pas question pour autant de se priver de festivals. L'association Journée nationale de l'audition
(JNA), dont le Dr Foeillet est vice-président, milite pour « le plaisir auditif durable ». Depuis
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quelques années, de plus en plus d'organisateurs distribuent ainsi des bouchons d'oreilles en
mousse aux festivaliers (lire ci-contre).
Mais cette prise de conscience est relative, selon Pascal Foeillet. « C'est comme en voiture : on
peut se rendre compte qu'on roule trop vite sans pour autant changer de comportement », illustre
l'ORL, qui pointe la nécessité de « répéter encore et encore qu'il est indispensable de se
protéger ». Et des efforts restent à faire : en 2014, selonJNA, la moitié des 16-34 ans disaient
souffrir d'acouphènes.
> www.journee-audition.org
> www.ecoute-ton-oreille.com
> De dites jamais non aux bouchons en mousse, désormais proposés à l'entrée des festivals, qui
permettent de réduire le niveau sonore jusqu'à 37 décibels. Pour les accros à la pureté du son,
certaines protections sur mesure possèdent un filtre acoustique, qui permet d'en préserver toutes
les nuances.
> Ne vous placez pas juste devant les enceintes. Le son perd six décibels à chaque fois qu'on
multiplie la distance par deux : 105 dB à dix mètres deviennent 99 dB à vingt mètres. Et essayez,
si possible, de faire des pauses en vous éloignant de la source sonore durant quelques minutes.
> Offrez un temps de repos à vos oreilles pendant les vingt-quatre heures qui suivent
l'exposition sonore, afin que les pressions du système auditif se rétablissent.
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En festival, protégez vos oreilles
Des sifflements ou une sensation cotonneuse à la fin d'un concert sont
le signe d'une souffrance auditive, qui peut devenir irréversible. Pour
profiter de la musique, protégez-vous!
Guitares électriques, pelouses bondées et son poussé à fond: la
saison des festivals bat son plein en France. Une période chérie
des amateurs de musique... mais beaucoup moins de leurs
oreilles. Parce qu'elles ne possèdent pas de protection naturelle,
à l'inverse des yeux, elles sont très vulnérables aux fortes
expositions sonores.
Les cellules endommagées
ne se régénèrent jamais
Dans un concert, le son monte facilement au-dessus de
100 décibels, alors que, selon la législation, l'audition est en
danger dès 85 dB. A cette intensité, quatre minutes d'écoute peuvent suffire à provoquer des
lésions irréversibles. Une surexposition endommage les cellules auditives de l'oreille interne, qui
transmettent les informations au cerveau. Or, celles-ci n'ont pas la capacité de se régénérer.
« Entendre des sifflements ou avoir les oreilles cotonneuses à la sortie d'un concert prouve une
souffrance au niveau des cellules auditives et des neurones », explique le docteur Pascal Foeillet,
ORL à Fontainebleau (Seine-et-Marne). Ces traumatismes, surtout s'ils sont répétés, « dégradent
l'audition, même si l'on ne s'en rend pas compte tout de suite ».
Dans ce cas, la surdité due à l'âge apparaît plus rapidement que pour le reste de la population. Et
lorsque le patient pousse la porte du cabinet d'ORL, il est déjà trop tard. Si des aides auditives
existe, elles ne guérissent pas les troubles de l'audition qui, eux, sont définitifs.
Plus rare, un choc soudain (Larcen, batterie, explosion d'un pétard, etc.) peut également engendrer
un traumatisme sonore aigu. Une hypersensibilité au bruit, des maux de tête ou une surdité
partielle sont autant de symptômes qui doivent vous conduire aux urgences. Contrairement à une
idée répandue, les enfants ne sont pas plus fragiles, et encourent exactement les mêmes risques
que les adultes.
Pas question pour autant de se priver de festivals. L'association Journée nationale de l'audition
(JNA), dont le Dr Foeillet est vice-président, milite pour « le plaisir auditif durable ». Depuis
quelques années, de plus en plus d'organisateurs distribuent ainsi des bouchons d'oreilles en
mousse aux festivaliers (lire ci-contre).
Mais cette prise de conscience est relative, selon Pascal Foeillet. « C'est comme en voiture: on
peut se rendre compte qu'on roule trop vite sans pour autant changer de comportement », illustre
l'ORL, qui pointe la nécessité de « répéter encore et encore qu'il est indispensable de se
protéger ». Et des efforts restent à faire: en 2014, selon JNA, la moitié des 16-34 ans disaient
souffrir d'acouphènes.
> www.journee-audition.org
> www.ecoute-ton-oreille.com
> De dites jamais non aux bouchons en mousse, désormais proposés à l'entrée des festivals, qui
permettent de réduire le niveau sonore jusqu'à 37 décibels. Pour les accros à la pureté du son,
certaines protections sur mesure possèdent un filtre acoustique, qui permet d'en préserver toutes
les nuances.
> Ne vous placez pas juste devant les enceintes. Le son perd six décibels à chaque fois qu'on
multiplie la distance par deux: 105 dB à dix mètres deviennent 99 dB à vingt mètres. Et essayez,
si possible, de faire des pauses en vous éloignant de la source sonore durant quelques minutes.
> Offrez un temps de repos à vos oreilles pendant les vingt-quatre heures qui suivent l'exposition
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sonore, afin que les pressions du système auditif se rétablissent.
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30 juin 2015 - 02:03
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La pollution sonore à l'affiche de la Journée nationale de
l'audition
Aujourd'hui 10 mars, c'est la Journée nationale de l'audition. L'occasion de faire le point avec les professionnels.
Bruits domestiques, dans les transports, au travail... La 14e Journée nationale de l'audition, qui se déroule le 10
mars dans toute la France, a pour thème cette année les nuisances sonores, gêne majeure dans la vie des
Français.Une journée durant laquelle les acteurs de l'audition se mobilisent afin de sensibiliser le public à travers
de nombreuses manifestations, conférences, expositions et rencontres avec des professionnels comme les
audioprothésistes.Pour connaître les actions prévues près de chez vous:La pollution sonore à l'affiche de la
Journée nationale de l'audition.
(1/1) CORRECTION AUDITIVE
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22 juin 2015 - 14:19
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Alerte sur les risques auditifs encourus par
les jeunes
L’association de la Journée Nationale de l’Audition(JNA) milite
pour la prévention des risques auditifs auxquels s’exposent les jeunes.
À la veille de la Fête de la musique, des festivals
d’été et des vacances, l’association pour
l’information et la prévention dans le domaine de
l’audition JNA rappelle qu’un jeune sur deux souffre
de bourdonnements ou de sifflements dans les
oreilles suite à des expositions sonores élevées !
Pourtant, concilier plaisir du son et santé auditive,
c’est possible, plaide l’association, qui milite pour le
« plaisir auditif durable ».
Les bons réflexes
« Le plaisir de la musique sans les risques, c’est
possible grâce aux bons réflexes », insiste
l’association JNA. Pour éviter les « exposition
sauvages » pouvant fragiliser l’équilibre de vie, il
convient donc d’opter pour les bons réflexes. À savoir :
1/ Porter des protections auditives.
2/ Écouter raisonnablement le MP3 : moitié de volume sur une durée d’une heure maximum par
jour.
3/ Faire une pause auditive de dix minutes toutes les quinze minutes en discothèque.
4/ Quitter le lieu si le volume est trop élevé, à en faire trembler le corps.
5/ Télécharger une application sonomètre gratuite pour se rendre compte du volume sonore du
lieu.
6/ Rester vigilant pour soi et ses copains car une consommation d’alcool et d’autres substances
nocives modifient les perceptions, dont celles liées à la pression acoustique.
7/ Protéger ses jeunes enfants en les équipant de protections ou en les faisant garder : abîmer le
système auditif de son bébé, c’est le priver de sensations sonores pour sa vie durant et lui
promettre des difficultés dans les apprentissages.
Ces bons réflexes permettront que les jeunes générations ne perdent pas leurs capacités auditives
avant l’heure. « Agissons maintenant pour favoriser le « Bien Vivre » et permettre aux jeunes de
conserver leur joie de vivre. C’est là le message principal à transmettre », conclut l’association
JNA.
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19 juin 2015 - 10:04
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A la veille de la Fête de la musique,
l'association JNA alerte sur les risques
auditifs
19 juin 2015 - JNA A l a veille de la Fête de la Musique, des
Festivals d’été et des vacances, l’association JNA rappelle que 1
jeune sur 2 souffre de bourdonnements ou de sifflements dans les
oreilles suite à des expositions sonores élevées (source Enquête
nationale JNA 2014)! Devons-nous laisser les jeunes générations
perdre leurs capacités auditives avant l’heure? Quel sera leur état de
santé après 40 ans? Quel coût pour la société? C’est maintenant qu’il
faut agir. Un choix de société s’impose. Comment?
Pour découvrir ce programme, cliquez sur l'image ci-dessous pour feuilleter en plein écran le
dossier complet mis en ligne par vivre-a-chalon : Cliquer sur le picto pour voir en plein écran et
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19 juin 2015 - 17:19
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Fêtez la musique, protégez vos oreilles
Ce dimanche se tient la traditionnelle « Fête de la musique ». Le son y est souvent poussé à son
maximum, et si vous n'y prenez garde, ce sont vos oreilles qui vont trinquer. Les lésions du
système auditif sont en effet irréversibles. C'est pourquoi l'Association Journée nationale de
l'Audition(JNA) dispense quelques conseils pour vous en prémunir et rappelle que des
protections auditives existent. Bourdonnements ou sifflements d'oreille. Après un concert, ces
sensations ne sont pas rares? ni anodines. Ces signaux d'alerte indiquent que les oreilles ont
souffert de l'exposition sonore. Une bonne nuit de sommeil ou plusieurs heures au calme sont
nécessaires pour récupérer. Pourtant, nombreux sont les jeunes qui n'y prête pas attention et
récidivent peu de temps après. Les conséquences ne sont pourtant pas à négliger : une surdité
partielle ou totale peut survenir, tout comme des acouphènes ou encore une hyperacousie
(intolérence au bruit). Pour éviter d'en arriver à de telles extrémités, le JNA vous conseille de
vous éloigner des enceintes lors des concerts et festivals et de faire des « pauses auditives » de 15
minutes toutes les deux heures en discothèque. Elle rappelle par ailleurs que des protections
auditives ? qui n'ont rien du gadget - existent et qu'elles peuvent, tout simplement, épargner votre
ouïe. Les bouchons de type mousse. Ils sont à modeler avec ses doigts. Ils se dilatent dans le
conduit auditif pour le fermer de manière étanche. A usage unique, ils offrent un niveau
d'affaiblissement entre 21 décibels (dB) et 37 dB. Ils sont disponibles en pharmacie et sur
Internet. Les bouchons en silicone. Ils sont préformés, peuvent être utilisés à plusieurs reprises et
s'adaptent à tous les conduits auditifs. Ils permettent d'atténuer les sons de 15 à 35 dB. Vous les
trouverez sur le Net ou en pharmacie. Les bouchons en silicone à filtre acoustique. Voilà un outil
astucieux ! Le filtre acoustique permet de restituer naturellement le son. En clair, de rester fidèle à
la réalité. « Le son est restitué dans tout son relief et sa musicalité, sans aucune déformation »,
explique l'Association JNA. Parfaits pour les inconditionnels des concerts, des discothèques et les
musiciens. Elles offrent une diminution allant de 16 à 35 dB. Là encore, vous en trouverez sur
Internet et en officines. Pour info, ce dispositif existe aussi « sur mesure ». Cela impose une prise
d'emprunte en effectuant un moulage du conduit auditif réalisé par un audioprothésiste.
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Fêtez la musique, protégez vos oreilles
Ce dimanche se tient la traditionnelle « Fête de la musique ». Le son y est souvent poussé à son
maximum, et si vous n’y prenez garde, ce sont vos oreilles qui vont trinquer. Les lésions du
système auditif sont en effet irréversibles. C’est pourquoi l’Association Journée nationale de
l’Audition(JNA) dispense quelques conseils pour vous en prémunir et rappelle que des
protections auditives existent.
Bourdonnements ou sifflements d’oreille. Après un concert, ces sensations ne sont pas rares… ni
anodines. Ces signaux d’alerte indiquent que les oreilles ont souffert de l’exposition sonore. Une
bonne nuit de sommeil ou plusieurs heures au calme sont nécessaires pour récupérer. Pourtant,
nombreux sont les jeunes qui n’y prête pas attention et récidivent peu de temps après. Les
conséquences ne sont pourtant pas à négliger : une surdité partielle ou totale peut survenir, tout
comme des acouphènes ou encore une hyperacousie (intolérence au bruit).
Pour éviter d’en arriver à de telles extrémités, le JNA vous conseille de vous éloigner des
enceintes lors des concerts et festivals et de faire des « pauses auditives » de 15 minutes toutes les
deux heures en discothèque. Elle rappelle par ailleurs que des protections auditives – qui n’ont
rien du gadget – existent et qu’elles peuvent, tout simplement, épargner votre ouïe.
Le
s bouchons de type mousse. Ils sont à modeler avec ses doigts. Ils se dilatent dans le conduit
auditif pour le fermer de manière étanche. A usage unique, ils offrent un niveau d’affaiblissement
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19 juin 2015 - 15:25
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entre 21 décibels (dB) et 37 dB. Ils sont disponibles en pharmacie et sur Internet.
Les bouchons en silicone. Ils sont préformés, peuvent être utilisés à plusieurs reprises et
s’adaptent à tous les conduits auditifs. Ils permettent d’atténuer les sons de 15 à 35 dB. Vous les
trouverez sur le Net ou en pharmacie.
Les bouchons en silicone à filtre acoustique. Voilà un outil astucieux ! Le filtre acoustique permet
de restituer naturellement le son. En clair, de rester fidèle à la réalité. « Le son est restitué dans
tout son relief et sa musicalité, sans aucune déformation », explique l’Association JNA. Parfaits
pour les inconditionnels des concerts, des discothèques et les musiciens. Elles offrent une
diminution allant de 16 à 35 dB. Là encore, vous en trouverez sur Internet et en officines.
Pour info, ce dispositif existe aussi « sur mesure ». Cela impose une prise d’emprunte en
effectuant un moulage du conduit auditif réalisé par un audioprothésiste.
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La Fête de la musique : alerte sur les risques
auditifs !
La Fête de la Musique c’est bien… mais attention aux risques ! A la veille de la Fête de la
Musique, des Festivals d’été et des vacances, l’association JNA rappelle que 1 jeune sur 2 souffre
de bourdonnements ou de sifflements dans les oreilles suite à des expositions sonores élevées
(source Enquête nationale JNA 2014).
Devons-nous laisser les jeunes générations perdre leurs capacités auditives avant l’heure ? Quel
sera leur état de santé après 40 ans ? Quel coût pour la société ? C’est maintenant qu’il faut agir.
Un choix de société s’impose. Comment ?
Association pour l’information et la prévention dans le domaine de l’Audition
Au travers des différentes enquêtes réalisées auprès des jeunes à l’occasion des campagnes «
Journée Nationale de l’Audition » (2012,2014 et 2015) les jeunes ont indiqué :
1/ qu’ils acceptent de porter des protections auditives si elles sont mises gratuitement à leur
disposition « bien que cela ne fasse pas stylé » à leurs yeux
2/ qu’ils ne se sentent pas concernés par la perte des capacités auditives, car selon eux « cela
s’adresse aux vieux » ». Pourtant, lors des actions de prévention avec tests de l’audition réalisées
au sein des établissements scolaires, les jeunes formulent qu’ils ont peur de découvrir qu’ils ont
abîmé leur système auditif, car ils savent que cela peut être définitif. Ne pas prendre soin de son
capital auditif peut donc résulter d’un comportement de fuite.
3/ d’intensifier la prévention sur les lieux de loisirs et de festivals : nous sommes dotés d’un
capital auditif à la naissance et celui-ci peut fondre comme une glace au soleil sous l’effet des
expositions sonores répétées : discothèques, concerts, autoradio, DVD, MP3…Les oreilles n’ont
aucune protection naturelle qui résiste à la pression acoustique des amplis !
Par conséquent, montrons que porter des protections auditives :
– fait « stylé » par les couleurs mais aussi par le fait de « prendre soin de soi ».
– contribuent à conserver de bonnes sensations musicales grâce aux différents types de protection
existants (lire Dossier de prévention)
– évitent l’effet cotonneux, les bourdonnements, les sifflements le lendemain. Et parfois ces
sifflements demeurent toute la vie !
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Evitons les « exposition sauvages » pouvant fragiliser l’équilibre de vie en optant pour les bons
réflexes :
1/ porter des protections auditives ;
2/ écouter raisonnablement le MP3 : moitié de volume sur une durée d’une heure maximum par
jour ;
3/ faire une pause auditive : je fais une pause de 10 minutes toutes les 15 minutes en discothèques
;
4/ quitter le lieu si le volume est trop élevé à en fairetrembler le corps ;
5/ télécharger une application sonomètre gratuite pour serendre compte du volume sonore du lieu
;
6/ rester vigilant pour soi et ses copains car uneconsommation d’alcool et d’autres substances
nocives modifient les perceptions dont celles liées à la pression acoustique.
7/ protéger ses jeunes enfants en les équipant de protections ou en les faisant garder : abîmer le
système auditif de son bébé c’est le priver de sensations sonores pour sa vie durant et lui
promettre des difficultés dans les
apprentissages.
Ces bons réflexes favorisent le plaisir auditif durable.
Agissons maintenant pour favoriser le « Bien Vivre » et permettre aux jeunes de conserver
leur joie de vivre.C’est là le message principal à transmettre.
La prévention des risques auditifs participe à une vie responsable et citoyenne.
L’audition, nous sommes tous concernés.
Crédit Source : Association JMA, Association pour l’information et la prévention dans le
domaine de l’Audition
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19 juin 2015 - 10:39
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Audition : protéger aussi vos oreilles !
Article publié par Isabelle Eustache le 19/06/2015
L’Association JNA* est formelle : « 1 jeune sur 2 souffre de bourdonnements ou de sifflements
dans les oreilles suite à des expositions sonores élevées ». Autrement dit, la moitié des jeunes ont
déjà mis leur audition en danger. À la veille de la Fête de la musique et des grandes vacances,
c’est le moment d’informer les jeunes et de les inciter à porter des bouchons d’oreilles lors de
leurs expositions musicales estivales.
• Protéger ses oreilles pour que perdure le « plaisir auditif »
• 5 conseils pour préserver son audition
Protéger ses oreilles pour que perdure le « plaisir auditif »
La baisse auditive et les bourdonnements ne concernent pas que les « vieux ». De plus en plus de
jeunes souffrent de troubles auditifs et les expositions sonores intenses sont directement en cause.
Or les traumatismes auditifs peuvent être définitifs. Prendre soin de son capital audition dès
l’enfance puis durant l’adolescence est un impératif pour bien entendre toute sa vie. Objectif : que
le « plaisir auditif » perdure toute la vie.
Alors un conseil, incitez les jeunes à protéger leurs oreilles lors de la Fête de la musique, des
festivals, durant les vacances scolaires et tout au long de l’année lors de la fréquentation des
discothèques et des concerts. « Les oreilles n’ont aucune protection naturelle qui résiste à la
pression acoustique des amplis. »
5 conseils pour préserver son audition
1. Portez des protections auditives en discothèque et lors des concerts. Ils prémunissent des
effets cotonneux, des bourdonnements et des sifflements le lendemain, lesquels peuvent aussi
durer toute la vie. Il existe aujourd’hui toutes sortes de protection, allant des bouchons en
mousse à des oreillettes filtrantes sophistiquées ou sur-mesure. Ces protections atténuent les
sons mais ne les déforment pas, ce qui permet de conserver de bonnes sensations musicales. Il
vous reste deux jours pour vous équiper et profiter de la Fête de la musique ! Et si vous
rencontrez une personne de l’Association JNA qui distribue des protections, acceptez-les et
portez-les. Ne les enlevez à aucun moment, sauf dans un endroit calme.
2. En discothèque, faites une pause auditive toutes les 10-15 minutes.
3. Quittez les lieux si le volume est trop élevé à en faire trembler le corps.
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19 juin 2015 - 10:39
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L’Association JNA conseille également de télécharger une application sonomètre gratuite pour se
rendre compte du volume sonore du lieu.
• Attention, la consommation d’alcool ou de toute autre substance psychoactive modifie les
perceptions et l’on risque de sous-estimer les risques auditifs.
• Consultez en urgence si après une exposition sonore intensive, les bourdonnements ne cessent
pas après plusieurs heures au calme.
Enfin, autoradio, DVD et MP3 doivent aussi être mis en sourdine. Il est recommandé de limiter le
volume à moitié et de s’imposer une durée maximale d’une heure par jour.
#E# Lors des festivals, n’oubliez surtout pas de protéger aussi les oreilles des jeunes enfants avec
des bouchons d’oreilles !
* Association pour l’information et la prévention dans le domaine de l’Audition (JNA).
Sources :
Communiqué de presse de l’Association JNA, http://www.journee-audition.org. Enquête
nationale JNA 2014.
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19 juin 2015 - 15:19
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Fêtez la musique, protégez vos oreilles
Ce dimanche se tient la traditionnelle « Fête de la musique ». Le son
y est souvent poussé à son maximum, et si vous n’y prenez garde, ce
sont vos oreilles qui vont trinquer. Les lésions du système auditif sont
en effet irréversibles. C’est pourquoi l’Association Journée
nationale de l’Audition(JNA) dispense quelques conseils pour vous
en prémunir et rappelle que des protections auditives existent.
Bourdonnements ou sifflements d’oreille. Après un concert, ces sensations ne sont pas rares… ni
anodines. Ces signaux d’alerte indiquent que les oreilles ont souffert de l’exposition sonore. Une
bonne nuit de sommeil ou plusieurs heures au calme sont nécessaires pour récupérer. Pourtant,
nombreux sont les jeunes qui n’y prête pas attention et récidivent peu de temps après. Les
conséquences ne sont pourtant pas à négliger : une surdité partielle ou totale peut survenir, tout
comme des acouphènes ou encore une hyperacousie (intolérence au bruit).Pour éviter d’en arriver
à de telles extrémités, le JNA vous conseille de vous éloigner des enceintes lors des concerts et
festivals et de faire des « pauses auditives » de 15 minutes toutes les deux heures en discothèque.
Elle rappelle par ailleurs que des protections auditives – qui n’ont rien du gadget – existent et
qu’elles peuvent, tout simplement, épargner votre ouïe.Le s bouchons de type mousse. Ils sont à
modeler avec ses doigts. Ils se dilatent dans le conduit auditif pour le fermer de manière étanche.
A usage unique, ils offrent un niveau d’affaiblissement entre 21 décibels (dB) et 37 dB. Ils sont
disponibles en pharmacie et sur Internet.
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18 juin 2015 - 15:28
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La JNA et GrandAudition engagés pour la
protection auditive à la veille de la Fête de la
Musique
Détails Publié le jeudi 18 juin 2015 15:28
Prévention auditive
© Frédéric Bisson - Flickr.com
À l’occasion de la 34e édition de la Fête de la Musique qui se déroulera le 21 juin partout en
France, le réseau GrandAudition distribue gratuitement des protections auditives sur simple
demande dans ses centres d’audioprothèse parisiens.
« Nous naissons avec un capital auditif fragile et non régénérable. Il est donc primordial de le
préserver le plus longtemps possible. L’oreille n’ayant pas de paupière, elle ne peut se protéger
seule du bruit et des assauts sonores, avertit l’enseigne. Il est souvent trop tard quand la
détérioration auditive, irréversible, survient ; les symptômes d’une surexposition n’apparaissent
que dans un second temps, impactant toute la vie sociale », souligne GrandAudition dans un
communiqué de presse.
Aujourd’hui, 98 % des 15-45 ans savent qu’une exposition excessive aux sons forts engendre des
troubles auditifs et 78 % d’entre eux ont déjà ressenti un ou plusieurs symptômes de la
surexposition sonore, selon les résultats de l’enquête Ipsos menée fin 2014 pour la 12e édition de
la Semaine du Son. Seuls 7 % de ce public utilisent des protections d’oreilles à usage unique ou
sur-mesure.
À l’aube de la Fête de la Musique, la JNA réplique d’ailleurs aux jeunes que les protections
auditives, colorées, contribuent à donner une bonne image et « à prendre soin de soi, à conserver
de bonnes sensations musicales grâce aux différents types de protection existants et à éviter l’effet
cotonneux, les bourdonnements et les sifflements le lendemain ». Des gênes qui peuvent
demeurer toute une vie… Et pour favoriser le bien vivre et permettre aux jeunes de conserver leur
joie de vivre, la JNA conseille en outre :
Pour continuer à profiter de l’été en toute sécurité en musique, la JNA est par ailleurs partenaire
du festival Solidays qui se tiendra du 26 au 28 juin 2015. Les organisateurs y déploient un
dispositif de prévention des risques auditifs, notamment via des affiches de prévention « Nos
oreilles on y tient ! », une distribution gratuite et en masse de bouchons de protection Quies et la
tenue d’une permanence téléphonique réalisée par l’association France Acouphènes.
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18 juin 2015 - 02:31
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Le dépistage n'est pas un luxe
Chef du service ORL à l'hôpital Rotschild à Paris, le professeur
Bruno Frachet confirme que l'histoire de Gerald n'est pas -- sa
brillante carrière mise à part -- un cas totalement exceptionnel. «
Apprendre seul à lire sur les lèvres n'est pas à la portée de tout le
monde.
Mais il nous arrive de recevoir des patients que l'on démasque en ne leur parlant pas en face. Ils se
sont débrouillés de leur surdité en y mettant énormément d'énergie. Le travail nécessaire pour
reconstituer les données manquantes des sons que l'on n'entend pas, en faisant le pari de la
signification des mots, est en revanche absolument épuisant. Souvent, on finit par les voir parce
qu'ils n'en peuvent plus. » Heureusement, souligne le médecin, dépistage et repérage des
problèmes auditifs redeviennent à la mode. En France , pour les bébés, il n'existe pas de dépistage
néonatal systématique dans les maternités. Les carnets de santé prévoient des tests à la maternité
de tous les enfants, à l'âge de 4 mois, 9 mois, 24 mois puis chez l'enfant scolarisé. Chez les ados,
dont les spécialistes mesurent qu'ils se tuent les oreilles à force de MP3 écouté non-stop « et
même en s'endormant la nuit », des campagnes ponctuelles sont organisées : « Lors d'un dépistage
en faculté avec la Fondation Agir pour l'audition, 11 à 12 % des jeunes apparaissaient comme
souffrant de troubles auditifs », poursuit Bruno Frachet. Chez les plus âgés, les plus récentes
études montrent un lien très clair entre perte de l'ouïe et déclin des fonctions cognitives, lorsque
l'on se replie sur soi et qu'on ne va plus vers les autres, faute de les entendre : « 25 décibels de
surdité à 70 ans reviennent... à être sept ans plus âgé », conclut le spécialiste, qui note un boom du
dépistage chez les 60-65 ans. « Tout ce qui peut retarder le vieillissement cognitif est bon à
prendre. »Des tests de dépistage auditifs sont disponibles sur Internet mais seul un médecin est
habilité à poser un diagnostic de surdité. Lors de la Journée nationale de l'audition, en mars,
des tests de dépistage auditifs gratuits sont réalisés (www.journee-audition.org).
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CORRECTION AUDITIVE
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16 juin 2015 - 16:40
Vent de changement au bureau de la JNA :
les Pr Puel et Thaï Van nommés
vice-présidents
Détails Publié le mardi 16 juin 2015 16:39
Association
Jean Stanko, président de la JNA et le professeur Jean-Luc Puel, premier vice-président de
l'association - ©GB/LA-K.
À l’occasion de l’assemblée générale de la JNA, qui s’est tenue le jeudi 4 juin 2015 à
Tassin-la-Demi-Luneau, à côté de Lyon, l’association a annoncé la constitution de son nouveau
bureau. Si la présidence ne change pas et demeure incarnée par Jean Stanko, c’est en particulier
du côté des vice-présidents qu’il faut chercher des changements significatifs.
Le bureau se veut ainsi beaucoup plus scientifique que par le passé, notamment grâce à la
nomination du professeur Jean-Luc Puel au poste de 1er vice-président et de celle du professeur
Hung Thaï Van au poste de 4e vice-président. « Nous avons œuvré à la restructuration du bureau
pour le rendre plus scientifique, pour le rendre plus dynamique aussi, parce que force est de
constater qu’aujourd’hui nous sommes dans l’obligation de nous adapter, souligne Jean Stanko,
président de la JNA. Il y 18 ans, nous étions les seuls, ce n’est plus le cas aujourd’hui ! De
nombreuses autres associations ont émergé : La Semaine du Son, Agi Son, la fondation Agir pour
l’Audition aussi, etc. Il nous fallait de ce fait renforcer notre légitimité, en particulier
scientifique. »
« Aujourd’hui, la nomination de Jean-Luc Puel incarne clairement l’avenir de la JNA »
« Quand j’ai pris la présidence de la JNA, je voulais être président intérimaire. Cela fait
maintenant trois ans que j’occupe ce poste, commente le président de la JNA, audioprothésiste à
la retraite. Aussi, depuis un certain temps, je voyais un successeur potentiel à la présidence de
l’association en la personne du professeur Jean-Luc Puel. Mais jusque-là, il n’avait pas réellement
le temps de prendre en charge ces responsabilités supplémentaires. Cette année, il nous a fait
savoir qu’il souhaitait à échéance d’un an ou deux tout au plus "lever le pied" et c’est donc en
toute logique que nous l’avons nommé au poste de premier vice-président. À court ou moyen
terme – personnellement je pense et j’espère que cela se fera à court terme – il prendra ma place.
Et s’il a déjà accepté le poste de 1er vice-président, c’est qu’il peut déjà libérer un peu plus de son
temps pour l'association ! Je suis très satisfait de cette nomination. Il est l’avenir de la JNA ! Il
incarne la recherche scientifique avec l'unité Inserm 1 051 (Institut des neurosciences,
Montpellier) et, que ce soit auprès du grand public ou encore des médias, je pense qu’il fera un
très bon président et représentera très bien l’association ! Nous avons également fait entrer au
Conseil d’administration, au poste de 4e vice-président, le professeur Hung Thaï Van, chef de
service audiologie et explorations orofaciales à l’Hôpital Édouard Herriot de Lyon. C’est une
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16 juin 2015 - 16:40
chance pour nous et pour le rayonnement de l’association. Quant à Sébastien Leroy, qui fait
beaucoup pour l’association, et ce, tout au long de l’année, il a été officialisé au titre de
porte-parole de la JNA. Aujourd’hui, il est véritablement la cheville ouvrière de l’association ! »
De multiples projets pour la JNA
La JNA, association de type loi 1901, s’est fixé pour principaux objectifs la prévention et la
diffusion d’informations dans le domaine de l’audition. « Nous sommes indépendants, commente
Jean Stanko,et si nous ne représentons pas seulement les audioprothésistes, nous avons toujours
mis en avant ce métier, et surtout, nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour défendre la
cause de l’audition. Aussi, nous continuerons d’organiser, tous les ans, le deuxième jeudi du mois
de mars, La Journée nationale de l’Audition. Cette manifestation offre l’occasion de rassembler
tous les acteurs du secteur de l’audition : audioprothésistes, médecins ORL, orthophonistes,
associations de malentendants, etc. Elle permet de prévenir des risques auditifs via la mise en
place de nombreuses actions : contrôles et dépistages gratuits, conférences, présentation de
résultats d’enquêtes, manifestations culturelles et pédagogiques, expositions, diffusion de guides
pratiques d’information, etc. Et force est de constater que nous avons chaque année de plus en
plus de monde qui adhère à cet événement. En ce sens, je pense que nous progressons et que nos
activités se développent au moment de la JNA, mais également tout au long de l’année. Aussi,
nous avons de nombreux contacts avec différentes associations à l’étranger (Belgique, Suisse,
Canada, etc.) et nous espérons que ce que nous faisons en France se développe un petit peu hors
de nos frontières ! Je pense que l'aura et la renommée de Jean-Luc Puel aideront grandement pour
mener à bien ces développements », souligne le président de la JNA.
« Par ailleurs, je pense qu'aujourd'hui la JNA doit nouer de nouveaux partenariats, précise Jean
Stanko. Il faut que nous marchions main dans la main avec d’autres acteurs qui œuvrent pour la
cause de l’audition. En ce sens, nous avons rencontré Pierre Anhoury, directeur général d’Agir
pour l’Audition. Je pense que cette fondation, grâce à son poids financier, aura à l’avenir un rôle
de plus en plus important. Il est probable qu’à terme, elle fédère les différentes associations du
secteur. À nous de proposer de belles choses afin de créer une relation qui nous permette de
travailler en bonne coopération ! En l’état actuel des choses, nous réfléchissons à la manière dont
nous pourrions travailler ensemble, à la façon dont nous pourrions apporter notre savoir-faire à la
fondation, afin d’établir un partenariat gagnant-gagnant. C’est ensemble, en travaillant main dans
la main que nous réussirons à porter plus haut encore la cause de l’audition. »
Organigramme de l’association JNA - 2015
Membres du bureau et Conseil d'administration
Président
Jean Stanko : ancien audioprothésiste D.E
1er vice-président
Jean-Luc Puel, Directeur de recherche INSERM
2e vice-président
Roselyne Nicolas : Présidente de France Acouphènes
3e vice-président
Pascal Foeillet : médecin ORL, praticien hospitalier
4e vice-président
Hung Thaï Van, Chef de service audiologie et explorations orofaciales - Hôpital Édouard Herriot
5e vice-président
Paul Zylberberg : ancien médecin du travail
Secrétaire général
Philippe Metzger : audioprothésiste D.E.
Secrétaire général adjoint
Sébastien Lazzarotto : orthophoniste
Trésorier
Armand Arbonne : ancien dirigeant d'entreprises dans la communication
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Mireille Tardy : médecin ORL-phoniatre
Porte-parole de la JNA :
Sébastien Leroy
Le Conseil d’administration de l’association JNA est complété par les membres suivants :
Didier Bouccara - Médecin ORL - Praticien Hospitalier - Explorations fonctionnelles
Richard Darbéra, Président du Bucodes-SurdiFrance
Martine Ohresser - Médecin ORL - Co-fondatrice de l’Afrepa
Éric Rauber - Audioprothésiste D.E.
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« Journée Nationale de l’Audition » (2012,2014 et 2015) les jeunes ont indiqué :
1/ qu’ils acceptent de porter des protections auditives si elles sont mises gratuitement à leur
disposition « bien que cela ne fasse pas stylé » à leurs yeux.
2/ qu’ils ne se sentent pas concernés par la perte des capacités auditives, car selon eux « cela
s’adresse aux vieux » . Pourtant, lors des actions de prévention avec tests de l’audition réalisées
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lendemain. Et parfois ces sifflements demeurent toute la vie !
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jour ;
3/ faire une pause auditive : je fais une pause de 10 minutes toutes les 15 minutes en
discothèques ;
4/ quitter le lieu si le volume est trop élevé à en faire trembler le corps ;
5/ télécharger une application sonomètre gratuite pour se rendre compte du volume sonore du
lieu ;
6/ rester vigilant pour soi et ses copains car une consommation d’alcool et d’autres substances
nocives modifient les perceptions dont celles liées à la pression acoustique.
7/ protéger ses jeunes enfants en les équipant de protections ou en les faisant garder : abîmer le
système auditif de son bébé c’est le priver de sensations sonores pour sa vie durant et lui
promettre des difficultés dans les apprentissages.
Ces bons réflexes favorisent le plaisir auditif durable.
Agissons maintenant pour favoriser le « Bien Vivre » et permettre aux jeunes de conserver leur
joie de vivre. C’est là le message principal à transmettre. La prévention des risques auditifs
participe à une vie responsable et citoyenne.
L’audition, nous sommes tous concernés.
En savoir plus : Association JNA
- Dossier de Prévention
- Enquête JNA 2015 « Risques auditifs chez les jeunes : des clés pour agir ! »
- Enquête JNA 2014 « Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ? »
- Enquête JNA 2012 « Le capital auditif des jeunes est-il en danger ? »
- Livre Blanc JNA « Des oreilles pour la vie »
La rédaction CareVox Communiqué de presse :
http://www.journee-audition.org/pdf/CP-prevention-ete-2015.pdf
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Audition Acouphènes Hyperacousie
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1 jeune / 2 victime d’acouphènes, il faut agir !
A la veille de la Fête de la Musique, des Festivals d’été et des vacances, l’association JNA
(Association pour l’information et la prévention dans le domaine de l’Audition) rappelle que 1
jeune sur 2 souffre de bourdonnements ou de sifflements dans les oreilles suite à des expositions
sonores élevées (source Enquête nationale JNA 2014) ! Devons-nous laisser les jeunes
générations perdre leurs capacités auditives avant l’heure ? Quel sera leur état de santé après 40
ans ? Quel coût pour la société ? C’est maintenant qu’il faut agir. Un choix de société s’impose.
Comment ?
Au travers des différentes enquêtes réalisées auprès des jeunes à l’occasion des campagnes
“Journée Nationale de l’Audition” (2012,2014 et 2015) les jeunes ont indiqué :
– qu’ils acceptent de porter des protections auditives si elles sont mises gratuitement à leur
disposition “bien que cela ne fasse pas stylé” à leurs yeux.
– qu’ils ne se sentent pas concernés par la perte des capacités auditives, car selon eux “cela
s’adresse aux vieux“.
Pourtant, lors des actions de prévention avec tests de l’audition réalisées au sein des
établissements scolaires, les jeunes formulent qu’ils ont peur de découvrir qu’ils ont abîmé leur
système auditif, car ils savent que cela peut être définitif. Ne pas prendre soin de son capital
auditif peut donc résulter d’un comportement de fuite.
– d’intensifier la prévention sur les lieux de loisirs et de festivals : nous sommes dotés d’un
capital auditif à la naissance et celui-ci peut fondre comme une glace au soleil sous l’effet des
expositions sonores répétées : discothèques, concerts, autoradio, DVD, MP3…
Les oreilles n’ont aucune protection naturelle qui résiste à la pression acoustique des amplis !
Par conséquent, montrons que porter des protections auditives :
– fait “stylé” par les couleurs mais aussi par le fait de “prendre soin de soi”.
– contribuent à conserver de bonnes sensations musicales grâce aux différents types de protection
existants.
– évitent l’effet cotonneux, les bourdonnements, les sifflements le lendemain. Et parfois ces
sifflements demeurent toute la vie !
Evitons les “exposition sauvages” pouvant fragiliser l’équilibre de vie en optant pour les bons
réflexes :
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– porter des protections auditives ;
– écouter raisonnablement le MP3 : moitié de volume sur une durée d’une heure maximum par
jour ;
– faire une pause auditive : je fais une pause de 10 minutes toutes les 15 minutes en discothèques
;
– quitter le lieu si le volume est trop élevé à en faire trembler le corps ;
– télécharger une application sonomètre gratuite pour se rendre compte du volume sonore du lieu
;
– rester vigilant pour soi et ses copains car une consommation d’alcool et d’autres substances
nocives modifient les perceptions dont celles liées à la pression acoustique.
– protéger ses jeunes enfants en les équipant de protections ou en les faisant garder : abîmer le
système auditif de son bébé c’est le priver de sensations sonores pour sa vie durant et lui
promettre des difficultés dans les apprentissages.
Ces bons réflexes favorisent le plaisir auditif durable. Agissons maintenant pour favoriser le
“Bien Vivre” et permettre aux jeunes de conserver leur joie de vivre. C’est là le message principal
à transmettre. La prévention des risques auditifs participe à une vie responsable et citoyenne.
L’audition, nous sommes tous concernés.
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1 jeune sur 2 victime d’acouphènes : c’est
maintenant qu’il faut agir !
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Prévention
Santé
Société
Acouphènes
La veille de la Fête de la Musique, des Festivals d’été et des
vacances, l’association JNA rappelle que 1 jeune sur 2 souffre de
bourdonnements ou de sifflements dans les oreilles suite à des
expositions sonores élevées.Devons-nous laisser les jeunes
générations perdre leurs capacités auditives avant l’heure? Quel
sera leur état de santé après 40 ans? Quel coût pour la société ?
C’est maintenant qu’il faut agir. Un choix de société s’impose.
Comment ?
Au travers des différentes enquêtes réalisées auprès des jeunes à l’occasion des campagnes «
Journée Nationale de l’Audition » (2012, 2014 et 2015) les jeunes ont indiqué :
1/ qu’ils acceptent de porter des protections auditives si elles sont mises gratuitement à leur
disposition « bien que cela ne fasse pas stylé » à leurs yeux.
2/ qu’ils ne se sentent pas concernés par la perte des capacités auditives, car selon eux « cela
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s’adresse aux vieux » ».
Pourtant, lors des actions de prévention avec tests de l’audition réalisées au sein des
établissements scolaires, les jeunes formulent qu’ils ont peur de découvrir qu’ils ont abîmé leur
système auditif, car ils savent que cela peut être définitif. Ne pas prendre soin de son capital
auditif peut donc résulter d’un comportement de fuite.
3/ d’intensifier la prévention sur les lieux de loisirs et de festivals : nous sommes dotés d’un
capital auditif à la naissance et celui-ci peut fondre comme une glace au soleil sous l’effet des
expositions sonores répétées : discothèques, concerts, autoradio, DVD, MP3…Les oreilles n’ont
aucune protection naturelle qui résiste à la pression acoustique des amplis !
Par conséquent, montrons que porter des protections auditives :
• fait « stylé » par les couleurs mais aussi par le fait de « prendre soin de soi ».
• contribuent à conserver de bonnes sensations musicales grâce aux différents types de
protection existants
• évitent l’effet cotonneux, les bourdonnements, les sifflements le lendemain. Et parfois ces
sifflements demeurent toute la vie !
•
Evitons les « exposition sauvages » pouvant fragiliser l’équilibre de vie en optant pour les bons
réflexes :
1/ porter des protections auditives ;
2/ écouter raisonnablement le MP3 : moitié de volume sur une durée d’une heure maximum par
jour ;
3/ faire une pause auditive : je fais une pause de 10 minutes toutes les 15 minutes en discothèques
;
4/ quitter le lieu si le volume est trop élevé à en faire trembler le corps ;
5/ télécharger une application sonomètre gratuite pour se rendre compte du volume sonore du lieu
;
6/ rester vigilant pour soi et ses copains car une consommation d’alcool et d’autres substances
nocives modifient les perceptions dont celles liées à la pression acoustique.
7/ protéger ses jeunes enfants en les équipant de protections ou en les faisant garder : abîmer le
système auditif de son bébé c’est le priver de sensations sonores pour sa vie durant et lui
promettre des difficultés dans les apprentissages.
Ces bons réflexes favorisent le plaisir auditif durable.
Agissons maintenant pour favoriser le « Bien Vivre » et permettre aux jeunes de conserver leur
joie de vivre. C’est là le message principal à transmettre.
La prévention des risques auditifs participe à une vie responsable et citoyenne. L’audition, nous
sommes tous concernés.
-------------------------------------------POUR ALLER PLUS LOIN :
• Fiche santé Acouphènes
• Dossier Festivals de juillet, oreilles bien mal traitées
• Dossier L’ouïe : un sens trop souvent négligé
• Actualité Les jeunes globalement conscients des conséquences du bruit sur l'audition
• Actualité De plus en plus d'aides auditives dans les foyers des Français d'ici 2015
-------------------------------------------Source : Communiqué de presse de l'association JNA
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5 juin 2015 - 00:03
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Au bureau, ne faites pas la sourde oreille
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Parmi tous les désagréments que peut occasionner une perte d'audition
au quotidien, on oublie souvent ceux de la vie professionnelle. Or,
dans un récent communiqué, la JNA, association pour l'information et
la prévention dans le domaine de l'audition, rappelle les conséquences
dramatiques que peut engendrer une surdité naissante sur vos projets
de carrière.
Un problème grandissant
Un collaborateur qui n'en fait subitement qu'à sa tête, n'applique plus
les consignes ou semble de plus en plus absent au cours des réunions
de travail ? Et si le problème venait tout simplement d'un trouble de
l'audition ? Grandes oubliées des bilans de santé, nos oreilles ne font
finalement l'objet que de peu d'examens au cours d'une vie. Avec
l’allongement de la durée de vie au travail, la santé auditive représente pourtant un défi individuel
et collectif majeur au sein de la société mais aussi des entreprises. Si la perte de l’audition est
souvent considérée à partir de 60 ans et vraiment prise au sérieux vers les 70 ans, âge moyen du
premier appareillage en France, c'est bien auparavant qu'elle commence généralement à agir
insidieusement. Le problème ne devrait d'ailleurs pas s'améliorer dans les années à venir, tant les
jeunes adultes arrivant aujourd'hui sur le marché du travail ont déjà un capital auditif altéré par les
pratiques d'écoute amplifiée !
Des solutions à l'unisson
Alors que faire ? Pour la personne souffrant de ce problème, et ce, quel que soit son âge, il s’agit
essentiellement d’assumer et d'accepter la situation : beaucoup de salariés souffrant de défaillance
auditive craignent d'aborder cette question par peur de la dévalorisation et de la stagnation qui
pourraient en résulter dans leur évolution professionnelle. Quant à l'entreprise, son rôle ici est de
démystifier le problème au sein de l'ensemble de l'équipe et de soutenir son salarié en adoptant
des solutions adaptées aux exigences particulières de sa vie professionnelle. Enfin, pour la
collectivité, JNA préconise la mise en place d'un bilan régulier des capacités auditives, qui serait
réalisé tous les 3 à 5 ans à partir de 50 ans. À bon entendeur !
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5 juin 2015 - 03:53
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Au bureau, ne faites pas la sourde oreille
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Parmi tous les désagréments que peut occasionner une perte d'audition
au quotidien, on oublie souvent ceux de la vie professionnelle. Or,
dans un récent communiqué, la JNA, association pour l'information et
la prévention dans le domaine de l'audition, rappelle les conséquences
dramatiques que peut engendrer une surdité naissante sur vos projets
de carrière.
Un problème grandissant
Un collaborateur qui n'en fait subitement qu'à sa tête, n'applique plus
les consignes ou semble de plus en plus absent au cours des réunions
de travail ? Et si le problème venait tout simplement d'un trouble de
l'audition ? Grandes oubliées des bilans de santé, nos oreilles ne font
finalement l'objet que de peu d'examens au cours d'une vie. Avec
l’allongement de la durée de vie au travail, la santé auditive représente pourtant un défi individuel
et collectif majeur au sein de la société mais aussi des entreprises. Si la perte de l’audition est
souvent considérée à partir de 60 ans et vraiment prise au sérieux vers les 70 ans, âge moyen du
premier appareillage en France, c'est bien auparavant qu'elle commence généralement à agir
insidieusement. Le problème ne devrait d'ailleurs pas s'améliorer dans les années à venir, tant les
jeunes adultes arrivant aujourd'hui sur le marché du travail ont déjà un capital auditif altéré par les
pratiques d'écoute amplifiée !
Des solutions à l'unisson
Alors que faire ? Pour la personne souffrant de ce problème, et ce, quel que soit son âge, il s’agit
essentiellement d’assumer et d'accepter la situation : beaucoup de salariés souffrant de défaillance
auditive craignent d'aborder cette question par peur de la dévalorisation et de la stagnation qui
pourraient en résulter dans leur évolution professionnelle. Quant à l'entreprise, son rôle ici est de
démystifier le problème au sein de l'ensemble de l'équipe et de soutenir son salarié en adoptant
des solutions adaptées aux exigences particulières de sa vie professionnelle. Enfin, pour la
collectivité, JNA préconise la mise en place d'un bilan régulier des capacités auditives, qui serait
réalisé tous les 3 à 5 ans à partir de 50 ans. À bon entendeur !
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Au bureau, ne faites pas la sourde oreille
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Parmi tous les désagréments que peut occasionner une perte d'audition
au quotidien, on oublie souvent ceux de la vie professionnelle. Or,
dans un récent communiqué, la JNA, association pour l'information et
la prévention dans le domaine de l'audition, rappelle les conséquences
dramatiques que peut engendrer une surdité naissante sur vos projets
de carrière.
Un problème grandissant
Un collaborateur qui n'en fait subitement qu'à sa tête, n'applique plus
les consignes ou semble de plus en plus absent au cours des réunions
de travail ? Et si le problème venait tout simplement d'un trouble de
l'audition ? Grandes oubliées des bilans de santé, nos oreilles ne font
finalement l'objet que de peu d'examens au cours d'une vie. Avec
l’allongement de la durée de vie au travail, la santé auditive représente pourtant un défi individuel
et collectif majeur au sein de la société mais aussi des entreprises. Si la perte de l’audition est
souvent considérée à partir de 60 ans et vraiment prise au sérieux vers les 70 ans, âge moyen du
premier appareillage en France, c'est bien auparavant qu'elle commence généralement à agir
insidieusement. Le problème ne devrait d'ailleurs pas s'améliorer dans les années à venir, tant les
jeunes adultes arrivant aujourd'hui sur le marché du travail ont déjà un capital auditif altéré par les
pratiques d'écoute amplifiée !
Des solutions à l'unisson
Alors que faire ? Pour la personne souffrant de ce problème, et ce, quel que soit son âge, il s’agit
essentiellement d’assumer et d'accepter la situation : beaucoup de salariés souffrant de défaillance
auditive craignent d'aborder cette question par peur de la dévalorisation et de la stagnation qui
pourraient en résulter dans leur évolution professionnelle. Quant à l'entreprise, son rôle ici est de
démystifier le problème au sein de l'ensemble de l'équipe et de soutenir son salarié en adoptant
des solutions adaptées aux exigences particulières de sa vie professionnelle. Enfin, pour la
collectivité, JNA préconise la mise en place d'un bilan régulier des capacités auditives, qui serait
réalisé tous les 3 à 5 ans à partir de 50 ans. À bon entendeur !
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