La jeunesse dans la peau… plus qu`une

Transcription

La jeunesse dans la peau… plus qu`une
Radical Skincare raconte…
La jeunesse dans la peau… plus qu'une formule, un défi !
Didier Picard, Directeur
général EMEA
Tout commence en Californie. Jeune société américaine créée en
2011, Radical Skincare est l'histoire de deux sœurs, Liz et Rachel
Edlich, filles d'un chirurgien plasticien de renom qui décident de
lutter contre les signes du temps, quel qu'en soit le prix. Elles se
tournent vers les laboratoires qui ont marqué leur enfance pour
constituer LA formule anti-âge la plus puissante. Didier Picard,
Directeur général EMEA nous fait goûter ce nouveau "philtre
radical"… !
> "Il était une fois deux fées…"
Didier Picard : Avant la création de Radical Skincare, Liz et Rachel Edlich ont déjà constitué des
gammes de produits de soin sur mesure pour des célébrités et amis. Baignées dans l'univers de la
chirurgie réparatrice et des laboratoires, elles connaissent bien le phénomène du vieillissement. Aussi,
lorsque les premiers signes de l'âge apparaissent sur leur visage, elles décident d'agir par tous les moyens et travaillent avec des chimistes et scientifiques sans intention au départ de commercialiser le fruit de ces recherches…
> La lutte contre les radicaux libres
Didier Picard : Le constat est le suivant : les anti-oxydants, qui sont la
meilleure arme contre les radicaux libres, première source de vieillissement de
la peau, ont un défaut majeur… Placés dans une crème, ils se diluent et
perdent leur efficacité. Par ailleurs, pour des raisons commerciales, la majorité
des marques dosent faiblement les ingrédients les plus efficaces, mais également les plus chers.
Or, Liz et Rachel Edlich veulent une solution coûte que coûte. Grâce à une
technologie brevetée nommée Trylacel™, qui suspend et préserve la puissance des actifs, la formule
est corrigée, perfectionnée et testée cliniquement. Le cocktail de choc naturel et sans paraben contient
jusqu’à 10 fois plus d'actifs que dans la plupart des crèmes anti-âge.
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> Plus qu'une formule, une philosophie
Didier Picard : Au-delà du soin, Liz et Rachel Edlich ont pris cette mission à bras le corps : "Etre bien
dans sa peau, c'est être bien dans sa vie ! Il est donc essentiel de se prendre en main. Cela ne se résume pas à passer une crème sur le visage ! Cette réussite est le fruit d'un engagement de gens ordinaires qui parviennent un jour à faire quelque chose d'extraordinaire. Nous l'avons fait parce que nous
avions la possibilité de le faire", disent-elles. "Comme une contribution à l'amélioration de la vie de tous,
il est donc important que tout le monde puisse y avoir accès." La commercialisation est alors décidée…
et sur le site internet, les clientes s'expriment. C'est un succès !
> L'ouverture au grand public
Didier Picard : Les produits commencent tout d'abord à conquérir les grands magasins américains tels
que Barney's. L'enjeu est d'élargir ensuite les réseaux de distribution dans le monde où sont réparties
actuellement une douzaine de personnes. Harrods à Londres, GUM à Moscou, Harvey Nichols à Dubai,
puis le Bénélux et dernièrement en Asie, Singapour, l’Australie, la Nouvelle Zélande et Hong Kong, en
attendant la Malaisie la Chine… Notre présence à un salon professionnel à Cannes cette année nous a
permis d'engager des conversation en vue d’une introduction en Allemagne, Suisse, Italie dans les mois
à venir.
> Radical Skincare et la France
Didier Picard : La France jouit d’un statut particulier puisque, derrière cette aventure, un certain nombre
d'acteurs sont d’anciens dirigeants français de Clarins, Dior, Clinique ou Estée Lauder… Ce qui a ouvert
à Radical de nouvelles perspectives. Dans le sud, la rencontre avec Camille Truphème marque les
débuts de Radical Skincare en Provence dans les magasins du groupe Truphème (Aix-en-Provence,
Cannes et Saint-Tropez). Notre activité commerciale est en plein développement.
> Radical Skincare, nouvelle fontaine de jouvence provençale
Didier Picard : J'ai rencontré Provence Promotion par l'intermédiaire d'un ancien diplômé de l'ESCP
(école supérieure de commerce de Paris). A l'époque, nous cherchions des bureaux dans le sud.
L'équipe m'a aussitôt mis en contact avec les pépinières et nous a fait bénéficier du réseau des entreprises
de la filière. En tant que start-up, nous sommes confrontés aux mêmes questions pratiques et
dialoguer aide à trouver des solutions comme d'éventuels collaborateurs et relations. Notre prochain
grand défi : nous faire connaître, c'est un travail de longue haleine. Mais la marque connaît une belle
croissance (de 0 à 300 magasins conquis en un an, c'est l'objectif qui doit être atteint en mars prochain),
avec de prochaines parutions dans Madame Figaro et les principaux titres de la presse féminine.
En savoir plus :
> http://www.radicalskincare.com
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