La Quotidienne 18 MARS 2015 - A.Sa - Ac.com
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La Quotidienne 18 MARS 2015 - A.Sa - Ac.com
MERCREDI | 18 MARS | 2015 La Quotidienne R E V U E D E P R E S S E MERCREDI | 18 MARS | 2015 Face aux critiques de Louisa Hanoune : Bouchouareb perd son sang-froid Réagissant aux dernières déclarations de Louisa Hanoune sur la situation du pays et l’implication du pouvoir de l’argent, Abdesselam Bouchouareb a qualifié ces propos de «clownerie politique». Forte de ses analyses politiques pertinentes et de ses arguments qui ne laissent pas indifférents, Louisa Hanoune a tiré à boulets rouges, ces derniers jours, sur ce qu’elle a appellé le bradage des biens publics nationaux. En retour, Bouchouareb n’a pas caché sa colère, hier à Alger. Le torchon brûle entre le ministre de l’Industrie et le Parti des travailleurs. En cause : les dernières déclarations du député PT de Guelma, Smaïn Kouadria, qui n’y est pas allé par quatre chemins pour accuser le ministre de lancer un vaste plan de «bradage» des entreprises publiques, avec la complicité discrète de l’actuel président du Forum des chefs d’entreprises. Le parlementaire, qui dit vouloir dénoncer les dessous de l’ouverture du capital de l’Entreprise des cycles et des motocycles et applications Cycma-Guelma, a mis en cause la nouvelle configuration des capitaux publics marchands, estimant que «le bradage des entreprises publiques a commencé sous l’ère de Bouchouareb et Haddad, dans le cadre de la création de nouveaux groupes industriels». Le dernier assaut des cadres du PT n’a d’ailleurs pas été apprécié par le ministre. Les déclarations intempestives de la porte-parole de la formation politique de gauche à l’encontre du duo Bouchouareb-Haddad ont fini par agacer. Le ministre de l’Industrie est sorti de son mutisme pour qualifier les déclarations des responsables du PT de «clownerie politique». Mieux encore, Abdessalem Bouchouareb a entrepris de surfer sur l’un des thèmes favoris de la porte-parole du PT, qui n’est autre que la main de l’étranger, manquant d’accuser de justesse Louisa Hanoune de rouler pour des intérêts occultes. Le ministre, qui sexprimait hier en marge d’une cérémonie dédiée à l’installation du comité de pilotage de mise en place de quatre écoles de l’industrie et de la logistique, a déclaré n’avoir cure ni du messager, ni de l’émetteur, encore moins de ce genre de «clownerie et de gesticulations politiques». Des gesticulations mues, selon le ministre, par «les intérêts des tenants de l’immobilisme». Un immobilisme, poursuit-il, qui «arrange les affaires de tout le monde». Traitant ses détracteurs d’«agitateurs», disséminant via leurs discours contre-vérités et accusations, le ministre n’a pas hésité à insinuer que certains des lanceurs d’alerte sur les dangers d’une privatisation hypothétique, PT et syndicats inclus, d’être derrière l’arrêt de complexes industriels, à l’image de ceux d’El Hadjar et de la SNVI. Il dira d’ailleurs à ce propos que le temps aujourd’hui est à l’industrie et que le plan d’action lancé par son département a pour objectif de concrétiser la substitution aux importations. Un discours qui aurait somme toute pu être crédible, s’il n’avait pas été empreint d’un semblant d’inexactitude. Le ministre lance ainsi de but en blanc qu’à son arrivée, les complexes d’El Hadjar et de la SNVI étaient à l’arrêt. Si dans le cas d’El Hadjar, Abdessalem Bouchouareb fait allusion à l’arrêt du haut fourneau n°2 du complexe en juillet 2014, deux mois après sa nomination, il omet de préciser que cette structure – en plus d’avoir été mise à mal par des arrêts intempestifs, dus à de multiples conflits syndicaux – est en fin de campagne, ayant pâti d’un total désinvestissement de la part du partenaire étranger, si ce n’est le milliard de dollars que le Trésor public devra mettre sur la table pour réhabiliter le fleuron de l‘industrie nationale qu’est El Hadjar. Quant au cas de la SNVI et du pôle mécanique à mettre en place, les propos du ministre à ce sujet peuvent paraître étriqués, dans la mesure où le plan de réhabilitation du pôle mécanique, à Rouiba, Tiaret, Bel Abbès et Constantine, l’a précédé, les négociations et premiers accords en ce sens datent d’au moins six ans. Enfin, si le ministre considère que la seule réponse aux propos tenus ne peut être apportée que par les actions menées sur le terrain, le débat est quant à lui politique. Et bien que l’on puisse ne pas partager la vision d’une certaine classe politique à propos du retour au socialisme d’antan, ce qui semble préoccuper le PT ainsi que d’autres formations politiques, et les syndicalistes de Rouiba, est ce nouveau deal pouvoir politique-réseau d’affaires et qui s’affirme de plus en plus depuis quelques années. L’appel à plus de privatisations de la part du nouveau président du FCE n’est pas étranger à la montée des inquiétudes depuis quelques mois. Le privé a certes sa place dans la sphère économique, mais dans une meilleure gouvernance politique, économique et sociale, où l‘égalité des chances se doit d’être garantie, autrement dit l’on pourrait se trouver dans une situation décrite par l’écrivain britannique George Orwell où «le fonctionnaire maintient le citoyen à terre tandis que l’homme. Source : elwatan.com MERCREDI | 18 MARS | 2015 Le président du FCE participera au Forum algéro-italien le 25 mars en Lombardie Haddad et Bouchouareb à la tête d'une délégation de 30 chefs d'entreprise Après Tunis, Charm El Cheikh et Genève, la prochaine étape du président du FCE est la région de Lombardie, en Italie. S'ensuivra ensuite une escale d'affaires à Dubaï, puis une autre à Istanbul, en Turquie. S'agissant de l'Italie, le motif du déplacement de la délégation du FCE n'est pas moins important que les précédents. Ali Haddad, accompagné d'une trentaine de chefs d'entreprise, sera parmi les animateurs du Forum algéro-italien prévu le 25 mars au siège de la Confédération patronale de la région de Lombardie. La délégation algérienne sera chapeautée par le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb. Là aussi, le message à retenir traduit cette symbiose de plus en plus manifeste entre le FCE et les membres de l’Exécutif directement dont l’objectif est de développer les performances de l'économie algérienne, plus particulièrement dans le secteur industriel mais aussi dans les autres créneaux hors hydrocarbures. Le potentiel algérien intéresse beaucoup les hommes d’affaires italiens. Il est encore inexploité dans plusieurs domaines. Certaines opportunités d'investissement sont déjà programmées dans le sillage de la coopération économique algéro-italienne. Une coopération que l'on tente, de part et d'autre, de booster toujours plus non seulement sur le plan des contacts officiels mais aussi à travers les rendez-vous toujours ambitieux réunissant les partenaires économiques des deux pays. La coopération bilatérale entre l'Algérie et l'Italie est déjà notifiée dans un traité d'amitié et de bon voisinage paraphé en 2012. Le document a donné lieu à la création en 2013 d'un groupe de travail, le Task Force, représenté par des experts des deux pays qui sont chargés du suivi et de l'évaluation de la coopération bilatérale. En juin 2014, Mme Frédércia Guidi, la ministre italienne du Développement économique, qui était en déplacement à Alger, avait fait part des ambitions des opérateurs économiques de son pays d'investir dans plusieurs créneaux en Algérie. «Les entreprises italiennes ont déjà investi dans les secteurs des chemins de fer et de la construction. Aujourd'hui, nous avons besoin de créer des partenariats dans les créneaux dont nous avons besoin, à savoir la mécanique, l'électromécanique, l'agriculture et l'énergie», avait-elle souligné à l'occasion d'une conférence de presse qu'elle a animée conjointement avec Abdessalem Bouchouareb. «Nous n'avons pas de secteurs privilégiés et nous sommes ouverts à tisser des relations de partenariat dans tous les secteurs», a-t-elle ajouté. «A travers le segment de l'industrie, environ 14 filières ont été identifiées pour d'éventuels partenariats algéro-italiens. Le deuxième segment qui intéresse les deux parties serait le médicament dont l'Italie a acquis déjà un savoir-faire», avait répondu le ministre de l'Industrie et des Mines. Une coopération prometteuse Avec le FCE, la coopération économique algéro-italienne s'annonce aussi des plus prometteuses, et ce, depuis la réception accordée, début février, par Ali Haddad à l'ambassadeur d'Italie en Algérie, Michele Giacommelli. Lors de leur entretien, les deux hommes ont ciblé cinq pôles économiques à développer dans le cadre d'une relation de partenariat plus affinée entre les entreprises algériennes et italiennes. Il est question notamment de l'industrie automobile, de l'agriculture, de l'agroalimentaire et du bâtiment. Par la même occasion, l'accent a été mis également sur l'utilité de joindre le savoir-faire italien au potentiel algérien dans le but de mieux développer le tissu des PME-PMI et créer aussi de nouvelles opportunités qui permettraient de travailler ensemble. «Il y a une volonté partagée d'aller de l'avant», avait déclaré l'ambassadeur italien, ajoutant que «la règle 51/49% est une disposition que nous respectons et à laquelle les entreprises italiennes sauront s’adapter». Ali Haddad avait, quant à lui, rendu hommage aux entreprises italiennes qui n'ont pas déserté, selon lui, notre pays durant la décennie noire. Source : letemps-dz.com MERCREDI | 18 MARS | 2015 Le ministre de l'Industrie répond au Parti des travailleurs : «Non à ceux qui veulent maintenir l'immobilisme» Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, a réagi aux récentes accusations de Smain Kouadria, député du Parti des travailleurs (PT), à l'Assemblée populaire nationale (APN), qui l'accuse de vouloir privatiser les entreprises nationales. Lors d'une conférence de presse consacrée à la formation dans le secteur industriel, le ministre a répondu aussi aux déclarations de la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, dans ce même contexte en indiquant que «leur travail est la parole tandis que mon souci à moi est d'appliquer le programme du gouvernement». Il a accusé aussi Smain Kouadria d'être «derrière l'arrêt, dans le passé, du haut four du complexe El Hadjar pendant cinq mois». Bouchouareb a également accusé le député du PT de faire des déclarations «mensongères» à propos de l'entreprise Sycma de Guelma, qui a bénéficié d'une aide de l'Etat de deux milliards DA. En effet, Kouadria a indiqué dans un communiqué que cette entreprise a été privatisée au profit d'un importateur de motocycles. Cette entreprise des cycles et des motocycles et applications a vu son capital ouvert à AS-Motors, une petite entreprise spécialisée dans l'importation et la commercialisation des scooters asiatiques. Le ministre, qui a nié avoir ouvert le capital d'une entreprise publique, a qualifié Louisa Hanoune, sans la nommer, de «manipulatrice». Dans le nouveau code des investissements, poursuivra-t-il, le mot «privatisation» a été carrément supprimé. Tout en défendant le «partenariat public-privé qui est un acte majeur de la politique du gouvernement», Bouchouareb a annoncé que «ce matin même, j'ai reçu une instruction du Premier ministre où il cadre cette opération d'ouverture de capital. Quand on le fera, on le fera sans le cacher», a-t-il insisté, ajoutant que «personne n'a le monopole du nationalisme dans ce pays». Tout en taxant le PT de «ceux qui veulent maintenir l’immobilisme en Algérie», il dira : «Non à ceux qui ont entretenu l'immobilisme et veulent le maintenir encore», citant le cas du projet de Bellara, relancé après 30 ans, qui sera une grande plateforme industrielle à Jijel. Le ministre a indiqué qu'une commission a été créée pour élaborer un programme à finaliser d'ici l'été prochain dans le but de créer, dans un premier temps, deux écoles de formation. Il s'agit de l'école des métiers de l'industrie et de la logistique. Au regard de l'importante évolution des méthodes de gestion à travers le monde, le secteur industriel est appelé à revoir sa copie dans ce domaine. «Dans plusieurs industries, nous avons perdu 95% du marché national, à l'exemple de l'industrie manufacturière où seuls 6 à 7% sont assurés par la production nationale», en raison de l'absence d'un système de formation dynamique permanent, a-t-il déploré. Les entreprises doivent opter pour des formations permanentes, permettant à leurs personnels d'être performants, afin de pouvoir investir le marché national qui grandit et le marché international dans le futur, a-t-il conseillé. Partenariat entre Varian Medical Systems, Inc et Cialfarm La Cialfarm a annoncé hier la création de Varian Medical Systems Algeria SPA (VMS Algeria) le résultat d'une joint-venture selon le dispositif 49/51% avec Varian Medical Systems Inc, le leader mondial dans les équipements et logiciels de radiothérapie pour le traitement du cancer. Cette joint-venture aura entre autres objectifs le soutien du programme national de lutte contre le cancer et de répondre aux besoins des patients atteins de cancer en Algérie. «Cette démarche constitue la prochaine étape dans notre engagement à la fois pour le programme algérien de lutte contre le cancer et envers la communauté en général», a déclaré Burt Lang, Directeur Général de Varian en Afrique. Varian Medical Systems Algeria représente un investissement de 5 millions de dollars dans de nouveaux bureaux, un centre de formation, un dépôt de pièces et un centre de service. «Ce partenariat entre le principal fournisseur d'équipement de radiothérapie dans le monde et son partenaire d'affaires algérien se concentrera sur l'amélioration de l'accès aux soins et de résultats pour les patients, offrant aux clients cliniques un service de haut niveau ainsi que la création de programmes éducatifs pour former les cliniciens sur l'utilisation de la technologie Varian», a déclaré Fouad Rahal, directeur général de (VMS Algeria). «En apportant l'expertise du leader mondial dans les technologies de radiothérapie Varian Medical Systems, notre objectif à travers cette joint-venture est de contribuer avec efficacité à l'accompagnement du Programme national pour la lutte contre le cancer afin de répondre aux besoins des patients», a déclaré Karim Djerboa, directeur général de Cialfarm Sarl. Aujourd'hui, 16 systèmes Varian sont en exploitation à travers le pays, les derniers installés étant ceux des centres de traitement du cancer des villes de Batna et de Sétif, équipés de dispositifs de traitement avancés. Source : letempsdz.com MERCREDI | 18 MARS | 2015 Les perspectives de l’exploitation de l’éolienne en Algérie, thème d’une rencontre à Adrar Les perspectives de développement de l’exploitation de l’énergie éolienne en Algérie, ont été au centre d’une rencontre tenue mardi à l’unité de développement de la recherche en énergies renouvelables en milieu saharien (URERMS) à Adrar, avec la participation des experts et chercheurs universitaires. Initiée au titre du programme national des énergies renouvelables, cette journée d’étude, entrant dans le cadre d’une série de rencontres d’étude sur les énergies alternatives propres, vise à présenter la stratégie nationale des énergies renouvelables et les voies de leur développement, a indiqué le directeur général du centre national de développement des énergies renouvelables (CNDER). Pr. Noureddine Yassaa a justifié le choix du thème de développement de l’éolien par une série de facteurs, dont la position stratégique de la région d’Adrar disposant d’importantes potentialités naturelles, dont les énergies renouvelables susceptibles d’en faire un pôle d’excellence en la matière. Adrar renferme, entre-autres facteurs, un grand taux d’ensoleillement dépassant les 3.000 heures/ an, de forts courants de vents, qui lui ont valu de bénéficier, au niveau de la région der Kabertène, d’une ferme éolienne de production de 10 mégawatts d’électricité, a-t-il précisé. Selon le responsable, ces rencontres devront permettre au secteur de l’énergie de se mettre au diapason de la dynamique que connait le secteur, avec la mise n forme de projets prometteurs en matière d’exploitation des énergies renouvelables, à l’instar de six centrales solaires d’une capacité de production globale de plus de 50 mégawatts, dont une en cours de réalisation au chef-lieu de wilaya d’Adrar d’une capacité de 20 mégawatts. M. Yassaa a, dans ce cadre, a invité les étudiants et les chercheurs à valoriser ces installations et à consolider leurs connaissances théoriques par des applications pratiques sur ces sites. Le CNDER a, à ce titre, signé des conventions, nationales et internationales, avec différents secteurs, universités et instituts internationaux, pour l’exploitation des énergies renouvelables, à l’instar de celle conclue avec le ministère de l’environnement et de l’aménagement du territoire pour l’exploitation et valorisation des déchets organiques. Ce dernier envisage de réaliser une station "pilote" pour l’exploitation de cette énergie organique, faisant état de l’existence de plus de 18 millions de tonnes de déchets susceptibles de produire 750 m3 de biocarburants à usages divers. Cette journée à laquelle ont pris part des chercheurs et universitaires d’Adrar, Béchar et Tamanrasset, a permis aux représentants de la commission de régulation électrique et du gaz et de la société SKTM (électricité et énergies renouvelables) d’exposer les grandes lignes de la nouvelle mouture du programme national des énergies renouvelables. Le programme prévoit plus de 70 projets dans différents types d’énergies, dont la réalisation, sur 420 hectares à travers différentes régions du pays, de sept stations éoliennes d’une capacité de production électrique de plus de 200 mégawatts. Les participants ont, à ce titre, mis l’accent sur la nécessité d’exploitation des énergies renouvelables en Algérie, au regard de la disponibilité de la ressource et de la réunion des facteurs de fabrication des équipements et moyens scientifiques, la création d’une page ‘‘Atlas algérien de l’énergie solaire’’ sur le site électronique du centre de développement des énergies renouvelables, en plus de la localisation de sites algériens propices à l’exploitation de l’énergie éolienne. En marge de la rencontre, une exposition a été mise sur pied mettant en relief les recherches scientifiques versées dans l’exploitation et l’usage de l’énergie éolienne, les équipements utilisés pour l’exploitation de cette énergie propre, les perspectives de son développement et son utilisation dans différents domaines, dont les activités agricoles et domestiques, et susceptible d’atténuer la pression sur l’énergie conventionnelle. Source : aps.dz MERCREDI | 18 MARS | 2015 Automobile : Les véhicules vendus doivent être dotés de 10 équipements de sécurité Le cahier des charges en préparation devant régir l'activité des concessionnaires automobiles, va exiger dix (10) équipements de sécurité dans les véhicules neufs commercialisés en Algérie, a indiqué mardi à Alger le président de l'Association nationale des concessionnaires automobiles d'Algérie (AC2A), Mourad Oulmi. "Le nouveau cahier des charges, en cours d'élaboration, imposera aux concessionnaires de commercialiser des véhicules dotés d'au moins dix équipements de sécurité, entre autres, des airbags et un système de freinage ABS", a expliqué M. Oulmi lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation de la 18e édition du Salon international de l'automobile qui se tiendra du 18 au 28 mars au Palais des expositions (Pins maritimes, Alger). Toutefois, ces nouvelles règles de sécurité pourraient augmenter les prix des véhicules, déjà en hausse depuis quelques mois à cause de l'appréciation du dollar face à la monnaie nationale, selon le président de l'AC2A. Un groupe de travail mis en place au niveau du ministère de l'Industrie et des mines, élabore actuellement, en collaboration avec l'AC2A, le nouveau cahier des charges comportant les dispositions du décret du 8 février dernier fixant les conditions et les modalités de l'activité de concessionnaire. La souscription à ce cahier de charges est exigée pour l'obtention de l'agrément définitif de concessionnaire. M. Oulmi appelé par ailleurs à l'instauration de normes strictes d'émission de CO2 et fixant les limites maximales d'émissions polluantes des moteurs de véhicules. Selon lui, la règlementation algérienne doit se mettre au même niveau que celle en Europe qui impose la norme rigoureuse d'Euro 6. Cependant, cette mesure proposée doit être accompagnée par l'amélioration de la qualité de carburant commercialisé en Algérie, a-t-il encore plaidé. Concernant l'obligation de prévoir dans le programme d'importation du concessionnaire un quota de véhicules roulant au GPL/C, le président de l'AC2A a demandé d'améliorer la praticabilité de cette mesure en renforçant le réseau de distribution de ce carburant. Il a mis également l'accent sur la nécessité d'instaurer des avantages fiscaux pour l'importation de ce type de véhicules et d'adapter les dispositifs sécuritaires en Algérie afin d'encourager l'utilisation de ces véhicules. Par ailleurs, M. Oulmi a souligné que la 18e édition du Salon international de l'automobile sera placée sous le signe de la professionnalisation du métier de concessionnaire ajoutant que des remises importantes y seront appliquées. A noter que les ventes de véhicules lors de ce salon représentent d'habitude près de 30% du volume annuel des ventes des concessionnaires. Organisé par la Société algérienne des foires et expositions (Safex) en collaboration avec l'AC2A, le Salon verra la participation de 54 exposants dont 30 concessionnaires automobiles et 24 entreprises de services (assureurs, installateurs, presse spécialisée, etc.), sur une superficie globale de 33.955 m2. Cette édition sera marquée par l'exposition de la première voiture "made in Algeria", la Renault Symbol, outre des nouveautés mondiales de l'automobile. Des ateliers et des conférences-débat seront aussi organisés en marge du salon qui attend plus de 600.000 visiteurs, selon les organisateurs. APS Afrique du Sud : l’aéroport King Shaka économise 1,9 GWh grâce à sa politique d’efficacité énergétique Sur les trois dernières années, l’Aéroport international King Shaka de Durban a baissé sa consommation de 1,9 GWh d’électricité, une quantité d’énergie suffisante pour alimenter environ 225 ménages sud-africains. Cet effort énergétique a également permis de réduire l’émission nationale de dioxyde de carbone de 1850 tonnes. Le NCPC-SA a apporté un appui technique à la mise en place du système de gestion de l’énergie au sein de l’aéroport. Ce système consistait principalement en une gestion optimale de l’éclairage et du chauffage. Le projet a connu l’adhésion massive de l’équipe de l’aéroport. « Le soutien de l’équipe de direction est très important pour le succès d’un tel projet. Elle a su susciter l’implication de tous les employés dans la gestion plus rationnelle de l’énergie. Nous espérons que ce succès inspirera les autres aéroports du pays » a déclaré Kevin Cilliers, le directeur de projets du NCPC-SA à KwaZulu-Natal. Source : ecofin.com MERCREDI | 18 MARS | 2015 Shell n’a plus envie de poursuivre son projet de gaz de schiste en Afrique du Sud Royal Dutch Shell (Shell), a finalement annoncé lundi 16 mars 2015, qu'il se retirait de son projet d'exploration de gaz schiste, dans le bassin onshore (à l'intérieur du pays) de la localité de Karoo. La première situation est liée à la hausse de l'impôt sur les revenus qui est intervenue dans le cadre de la nouvelle loi des finances, entrée en vigueur depuis le 1er mars 2015, dans un contexte marqué par un recul des points de croissance, entamé depuis la crise financière mondiale de 2009. La deuxième raison est le retard pris dans l'obtention de son permis d'exploration relatif à son projet. Le groupe attend depuis six ans d'avoir cette licence. « Le capital est constamment en quête d'opportunités d'investissement à des termes avantageux. Nous aurions au moins espéré obtenir la licence au bout de 36 mois », a fait savoir Bonang Mohale, le président du conseil d'administration de Shell Afrique du Sud. La troisième situation est liée à la deuxième, c'est le blocage que constitue la question environnementale. Des activistes de l'économie verte et des propriétaires terriens, ont mis en avant le fait que le procédé d'exploration de gaz de schiste, était susceptible de dégrader profondément l'environnement. A toutes ces situations légales, il faut surtout ajouter le fait que l'exploitation du gaz de schiste n’est plus rentable avec un baril de pétrole à moins de 60$. Or, depuis juin 2014, le prix de cette ressource a chuté à bien moins que cela sur le marché international, hypothéquant l'ensemble des projets liés au gaz ou au pétrole de schiste dans le monde. La région de Karoo, selon des données du bureau américain des ressources minières, fait de l'Afrique du Sud le 8ème pays au monde en termes de ressources de schiste. Source : afp.fr La Fed a-t-elle perdu patience ? La séance de mercredi sera indéniablement dominée par la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed). Les Sages du comité de politique monétaire sont réunis depuis mardi. Leur communiqué final tombera mercredi à 19 heures (heure de paris). Si de l’avis, quasi unanime, des économistes et investisseurs, la Fed optera pour le statu quo monétaire, c’est-à-dire le maintien des taux d’intérêt proches de zéro, l’institution monétaire pourrait commencer à préparer le terrain à un prochain durcissement. Notamment en changeant sa rhétorique et en retirant le terme « patience », qui s’est substitué en décembre à celui de « considérable », pour qualifier son attitude avant une première remontée des taux dans le pays. Par ailleurs, la hausse du dollar équivaut à un resserre- ment monétaire implicite. » En conclusion, il n’y a pas urgence à relever les taux. Janet Yellen aura tout loisir de préciser les intentions du comité durant la conférence de presse, qui suivra la publication du communiqué. Tout cela sera décisif pour les anticipations des marchés et il faudra éviter une « sur-réaction » du dollar. Une autre banque centrale sera à l’honneur mercredi, celle d’Angleterre. La BoE présentera le compte rendu du conseil de politique monétaire des 4 et 5 mars à 10 h 30, en même temps que seront publiés les chiffres du chômage de février. En fin de matinée, l’OCDE dévoilera ses perspectives mondiales intérimaires. Source : lesechos.fr MERCREDI | 18 MARS | 2015 L’Ambassadrice des Etats-Unis en visite de courtoisie au journal Le Buteur Son Excellence Madame Joan A. Polaschik, d’Ambassadrice des États-Unis d’Amérique à Alger a effectué une visite de courtoisie au siège du journal Le Buteur. Elle était accompagnée de Hicham Melaksou, attaché de presse, Ann M. Fiorillo, attachée de presse et Wassila Si Larbi, spécialiste médias. L’hôte de notre journal a été reçu par Nabil Amra, directeur du groupe, et par les responsables des journaux Le Buteur, El Heddaf, El Heddaf Edouali et de la chaîne El Heddaf-TV avec lesquels elle a discuté de la réalité du football en Algérie et de ses perspectives. Visite guidée du siège du journal et de la chaîne El Heddaf-TV Son Excellence, l’ambassadrice des États-Unis d’Amérique à Alger a eu droit à une visite des bureaux des deux publications, Le Buteur et El Heddaf, avant de faire une virée dans les locaux de nos confrères d’El Heddaf-TV et du studio où sont tournées les émissions de télévision, entre autres 100% Foot, El Farik Edouali, Week-End Foot et Top Foot. Elle a discuté avec Madjer et Bencheikh La visite de Son Excellence l’ambassadrice des États-Unis d’Amérique a coïncidé avec le tournage de l’émission «El Farik Edouali» avec la présence des deux consultants vedettes, Rabah Madjer et Ali Bencheikh qui ont longuement discuté avec Madame l’ambassadrice qui a fait preuve d’une grande sympathie. Rencontre avec Bounatiro Autre coïncidence hier, une autre personnalité visitait notre siège. Il s’agit de Loth Bounatiro, chercheur, docteur en astronomie et expert en astrophysique et géophysique. Ce dernier a croisé dans les bureaux de notre journal Son Excellence, l’ambassadrice des États-Unis d’Amérique, un moment qui été bien évidemment immortalisé par une photo souvenir. Elle a signé le livre d’or Profitant de cette visite, Son Excellence l’ambassadrice a signé le livre d’or de la société. Madame Joan A. Polaschik était agréablement surprise par le nombre de stars qui ont défilé au siège de notre journal. Elle maîtrise 4 langues L’Ambassadrice Polaschik a obtenu une licence de l’Université de Virginie et un master de l’Université de Georgetown. Elle parle arabe, azerbaïdjanais, français et russe. Source : lebuteur.com David Cameron mise sur son dernier budget pour restaurer sa popularité A 50 jours des élections, le Premier ministre britannique est au coude-à-coude avec les travaillistes dans les sondages. Le dernier budget du quinquennat prévoit quelques «cadeaux électoraux», mais reste rigoureux (...) A sept semaines des élections, le Premier ministre britannique a confirmé que le salaire minimum augmenterait de 3 % en octobre prochain. En termes réels (c'est-à-dire en tenant compte de l'inflation), ce sera la plus forte hausse depuis le déclenchement de la crise en 2008. La hausse du SMIC britannique était du même ordre l'an dernier, mais l'inflation était alors beaucoup plus élevée. Poussés à la baisse par la chute des cours du pétrole, les prix augmentent à un rythme historiquement faible outre-Manche, comme dans la zone euro (+ 0,3 % en janvier). Cette mesure, bienvenue pour l'exécutif en pleine campagne électorale, n'est cependant pas étonnante. La commission estime que les entreprises peuvent supporter cette hausse de salaire étant donné l'amélioration de la situation économique - la croissance devrait dépasser 2,5 % en 2015 pour la deuxième année de suite -, le recul des coûts de l'énergie et la croissance de leurs bénéfices. Le salaire horaire minimum britannique passera ainsi à 6,70 livres, soit 9,33 euros au taux de change actuel. Il ne sera plus très éloigné du SMIC français, porté à 9,61 euros le 1er janvier. Quelque 1,4 million de Britanniques sont concernés, soit environ 5 % des salariés. C'est beaucoup moins qu'en France, où 11 % des effectifs touchent le SMIC. Le salaire minimum est l'un des grands sujets de débat de la campagne électorale outre-Manche, car les revenus moyens des Britanniques ont augmenté systématiquement moins vite que l'inflation pendant six ans. Le pouvoir d'achat ne s'est remis à progresser qu'à la fin de l'année dernière. S'il est élu le 7 mai prochain, Ed Miliband, le leader de l'opposition travailliste, a promis de porter le salaire minimum à au moins 8 livres de l'heure d'ici à 2020. Soit une hausse moyenne de plus de 3 % par an. David Cameron s'est permis de dévier sensiblement des recommandations de la commission sur un point. Les apprentis verront leur rémunération augmenter de 20 %, à 3,30 livres de l'heure, alors que les experts préconisaient une hausse de moins de 3 %. Le développement de l'apprentissage fait partie des priorités du gouvernement. Source : afp.fr MERCREDI | 18 MARS | 2015 Transport : Le spectre d’une grève plane à Air Algérie Les avions d’Air Algérie risquent d’être de nouveau cloués au sol. Les salariés affiliés au Syndicat national du personnel navigant commercial algérien, qui compte près de 500 adhérents, a déposé, le 11 mars, un préavis de grève auprès de la direction d’Air Algérie. Les représentants du personnel navigant réclament, notamment, plus de «considération» de la part de la direction. «Le personnel navigant commercial totalise près de 250 années de congé», explique Karim Ourrad, président du SNPNCA. Selon lui, le personnel travaille dans des conditions difficiles. «Il nous arrive de travailler 100 heures par mois !», dit-il. «Nous sommes des êtres humains», commente Karim Ourrad. Les salariés d’Air Algérie demandent également la confirmation des agents qui travaillent en CDD. «Certains de ces collègues travaillent en CDD depuis 5 ans», témoigne le responsable syndical, qui précise qu’il a rencontré des respon- sables de la compagnie lundi dernier. Mais, ajoute-t-il, les revendications du personnel navigant commercial datent de 2013. Le nombre de salariés travaillant en CDD est évalué à 300, note le syndicaliste. A ces revendications, le SNPNCA adjoint l’établissement d’une grille des salaires inspirée des normes internationales en la matière. Le Syndicat national du personnel navigant commercial algérien est autonome. D’autres salariés de la compagnie adhèrent à une section locale de l’UGTA, qui compte environ 200 adhérents. La direction d’Air Algérie promet de régler les problèmes de ces salariés. Elle a d’ailleurs lancé dans les journaux un avis de recrutement de 300 agents pour ses services commerciaux. «Le nombre est suffisant, mais pour récupérer nos congés, il faut que le personnel actuel arrête de travailler durant 3 ans !», indique Ourrad. Source : elwatan.com Fly Mojo opte pour le CSeries ! Bombardier Avions commerciaux et Fly Mojo Sdn Bhd ont annoncé mardi la signature d’une lettre d’entente pour la vente et l’achat de 20 avions CS100 avec options sur 20 autres avions CS100.L’annonce a été faite lors de l’exposition LIMA, parallèlement à l’annonce du lancement d’une nouvelle société aérienne, flymojo, qui sera basée à Johor Bahru, dans l’État de Johor, et à Kota Kinabalu, dans l’État de Sabah, par le gouvernement de Malaisie. Si la lettre d’entente se concrétisait, flymojo deviendrait la première cliente et exploitante des avions CS100 dans la région.Au prix courant de l’avion CS100, une commande ferme serait estimée à près de 1,47 milliard $ US, un montant qui pourrait augmenter à 2,94 milliards $ US si flymojo exerçait toutes ses options. A propos de Fly Mojo : FlyMojo, exploitée par Fly Mojo Sdn Bhd, est une nouvelle société aérienne qui cible le marché du voyage dans la région de l’Association des Nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE) et les secteurs avoisinants. RUAG modernise un Falcon 900 Malaisien ! L'atelier d'entretien de RUAG à Genève est sous contrat pour la modernisation et l’entretien d’un Dassault Falcon 900 de la Royal Air Force Malaisienne (CGRR). En plus de la grande maintenance, l’entreprise est chargée de mettre à jour et la rénovation entière de la cabine. RUAG Aviation a installé le nouveau système de gestion de cabine Honeywell « Ovation »soit, une première sur une Falcon 900. En outre RUAG a monté de nouvelles fenêtres électroniques innovantes dotées de la gradation des nuances. Une première mondiale concernant cette technologie. En matière de cabine, le Falcon 900 est maintenant doté d’un éclairage LED, du système de communication Satcom 7000. RUAG Aviation a assumé la gestion totale du projet en tant que fournisseur de services complets. "Cela signifie que le paquet de contrôle, des travaux d'entretien et d'importants travaux de modification pourraient être effectuées simultanément offrant une solution unique pour le client», a souligné David Jones, directeur général de RUAG Aviation en Malaisie. Chefs d’entreprise: Rebrab distingué comme manager africain de l’année Le patron du groupe Cévital a été distingué, lundi soir à Genève en Suisse, en qualité de « PDG africain de l’année ». Le trophée a été remis à l’homme d’affaires algérien lors de l’Africa CEO Forum. Danone, Equity Bank, Helios et IHS ont également été récompensés. La cérémonie a été co-organisée par le magazine Jeune Afrique. C’est la première fois qu’un patron algérien est récompensé. Source : algeriefocus.com