FAIREFACE N¡7-web.qxp

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FAIREFACE N¡7-web.qxp
N°7 juillet-Août 2006
sommaire
EDITO
p.1
SOLUTIONS
APRES, Assurance Protection
des Revenus des Salariés.
La garantie chômage des
salariés non cadres.
p.2
NOUVEAU
ASSUREXAM, pour assurer
en cas d’examen...
p.3
ACTUALITES
ASPEE, garantie chômage
des emprunteurs.
EDITO
2005 a été une bonne année pour la CAMEIC : de plus en plus de sociétaires ont décidé de
nous faire confiance, ce qui a entraîné un accroissement de 80 % de notre chiffre
d’affaires, avec une sinistralité très satisfaisante, puisque le rapport global sinistres à
primes ressort à 39 % pour cet exercice.
Tous les sociétaires de la CAMEIC ont reçu le rapport de l’assemblée générale ordinaire qui
s’est déroulée le 21 juin dernier.
Les agréments accordés à notre société à la fin de l’année dernière pour les branches
« accidents » et « santé », nous ont permis de créer et mettre en place, dès le 1er
janvier 2006 de nouveaux produits d’assurance, pour les particuliers comme pour les
entreprises.
Parallèlement, nous avons enrichi notre gamme en créant de nouvelles assurances dans
des domaines que nous connaissions bien : comme APRES, Assurance Protection des
Revenus des Salariés, qui était tant attendue par les personnels salariés non cadres, et
qui leur permet de bénéficier d’une assurance complémentaire chômage, comme c’était
déjà le cas pour les cadres et assimilés. Désormais, la CAMEIC dispose d’une réponse
“chômage” pour toutes les catégories de personnels. Ou encore, ASSUREXAM, qui permet
d’assurer les examens et concours projetés au cours d’une année, contre les accidents et
autres péripéties qui peuvent empêcher un candidat de s’y présenter. Ainsi, les pertes
financières occasionnées par les frais d’inscription, de transport ou d’hébergement ne
viennent pas s’ajouter à la perte du travail de toute une année (cf. article page 3).
De même, nous avons remis au goût du jour notre assurance perte d’emploi pour les
emprunteurs ASPEE, et ce nouveau produit va être commercialisé en partenariat avec un
spécialiste de l’assurance décès et PTIA des emprunteurs (cf. article en page 3).
Nous avons également pensé à tous ceux qui se marient sans pour autant investir de gros
budgets, en créant IMÉNÉ, une assurance annulation mariage qui pour 45 €, assure le
remboursement des frais engagés jusqu’à 4 500 €. Il a d’ailleurs été amusant de
constater que l’un des premiers contrats souscrits, a été offert aux futurs époux en
complément d’un cadeau de mariage (cf. article en page 4).
Nous avons amélioré aussi notre assurance AGAPE, en y incluant une garantie de
remboursement (cotisations + prestations) en cas de décès ou perte totale et irréversible
d’autonomie accidentels.
Enfin, nous avons créé un véritable régime de prévoyance pour les cadres et assimilés
bénéficiaires d’AGAPE, qui se trouvant en situation de chômage, ne disposent plus de la
couverture décès, invalidité et incapacité temporaire, dont ils bénéficiaient au cours de
leur activité.
Pour autant, dans ce climat d’adaptation et d’innovation permanentes, nous souhaitons
rester fidèles à notre esprit mutualiste, et à notre volonté de faire des produits simples et efficaces pour nos assurés. Ceci nous rend assez sourds aux appels incessants que nous recevons de l’extérieur pour réinventer ce qui existe déjà chez nous, afin, paraît-il d’en tirer des
profits plus importants et de faire de la CAMEIC une “grande compagnie”.
Comme un journaliste, reprenant un vers d’Horace, le rappelait dernièrement et si gentiment
à notre propos : « parva sed apta mihi ».
Quoi d’étonnant dès lors, à ce que nous ayons pour ambition que chacun de nos sociétaires
puisse dire à son tour de notre société : “elle et petite, mais elle me convient.”
Jean-Michel Pla
Directeur Général
p.3
NOUVEAU
IMENE, l’assurance
annulation mariage à 45 €.
p.4
SALONS ET MANIFESTATIONS
5ème édition des Journées
du Courtage.
p.4
BREVE
Un nouveau look pour
www.cameic.com.
“
p.4
parva sed apta mihi.
Elle est petite, mais elle me
convient...
”
SOLUTIONS
Enfin une assurance chômage pour
les salariés non cadres !
Une interview de Jean-Michel PLA, Directeur Général de la CAMEIC, à propos
d’APRES, la nouvelle garantie chômage complémentaire.
On sait que la CAMEIC assure contre le risque
de chômage, mais qu’en est-il exactement de
cette nouvelle garantie ?
Jean-Michel PLA : La CAMEIC n’assurait jusqu’alors que
les cadres et assimilés, et ne garantissait pas la grande
majorité de la population salariée. C’est désormais chose
faite.
Pourtant ce sont les non cadres qui sont les
plus touchés par le chômage, pourquoi dès lors
avoir attendu si longtemps ?
J-M. P. : On peut effectivement reprocher à la CAMEIC de
ne pas avoir fait plus tôt, ce qu’elle est encore la seule à
faire aujourd’hui, mais je peux en expliquer les raisons.
En 1997, la CAMEIC a véritablement innové en lançant la
première assurance chômage complémentaire pour les
cadres, alors même que personne ne voulait s’y risquer.
S’il s’avère aujourd’hui que l’idée était bonne, il était
difficile alors d’imaginer qu’elle le soit de la même
manière pour toutes les catégories socioprofessionnelles.
Nous avons donc limité dans un premier temps notre
action aux cadres, population moins nombreuse et plus
aisée à connaître. Très rapidement, il a été reproché à la
CAMEIC, petite compagnie, de ne s’occuper que des
cadres, alors même qu’elle avait inventé l’assurance
chômage complémentaire. Bien entendu, nous avons
considéré ces critiques comme positives, dans le sens où
elles exprimaient un réel besoin, et nous avons promis de
nous occuper des salariés non cadres dès que nous
aurions suffisamment de recul pour le faire. C’est
aujourd’hui chose faite ; la promesse a été tenue et se
concrétise par la création d’APRÈS.
Pourquoi avoir appelé ce produit “APRÈS”, et
ne pas avoir fait un “AGAPE non cadres” ?
J-M. P. : Tout d’abord parce qu’APRÈS, par son adaptation
à la situation particulière des salariés non cadres, n’est
pas un AGAPE au rabais. C’est une réponse parfaitement
adéquate au souci du salarié non cadre, qui est le plus
souvent différent de celui du cadre.
APRÈS est un acronyme pour “Assurance Protection des
REvenus des Salariés”, et dans ce développement, se
retrouve l’esprit qui a présidé à la mise en oeuvre de ce
produit, à savoir répondre à la question : “Comment
protéger ses revenus ?”, plutôt que de se demander ce
qu’il y a lieu de faire pour conserver son emploi. Les deux
questions ne sont pas antinomiques, mais résultent de
prises de conscience différentes.
Nous constatons tous les jours, que la précarité de
l’emploi qui s’est instaurée dans notre pays, est une
évidence contre laquelle il est très difficile de se battre.
En effet, quels que soient l’âge ou la qualification d’un
salarié, lorsque des mesures de restriction d’effectifs
sont décidées dans son entreprise, elles s’abattent sur lui
sans qu’il y ait là quoi que ce soit de personnel. Alors,
bien évidemment, il reste certes très important de tout
faire pour défendre son emploi, mais faute de pouvoir en
assurer la pérennité, il est certainement tout aussi
important de sécuriser ses revenus. C’est là, adopter une
attitude des plus pragmatiques : s’offrir moyennant
quelques euros par mois (un abonnement Internet est
généralement plus cher), une garantie de ressources pour
le cas où. Ainsi au ressenti négatif d’une perte d’emploi,
ne viendront pas s’ajouter des ennuis financiers pour
faire face à des échéances souvent incompressibles.
Par exemple, le Parisien, dans un article récent (1), titrait :
“Un chômeur dépense 400 € par mois pour trouver un
emploi”. Or 400 € par mois, c’est très exactement le
montant de la prestation mensuelle du régime “C” de
notre garantie APRÈS.
Mais l’Assedic ne suffit-elle pas à assurer cette
sécurité des revenus ?
J-M. P. : Tout est relatif, et l’allocation versée par l’Assedic
peut suffire à certains qui accepteront de restreindre leur
train de vie pendant une période difficile. Cependant,
beaucoup d’autres pensent que dans la mesure où il
existe une assurance qui leur permet de maintenir leurs
revenus, il vaut mieux prévenir que guérir.
Pourtant, comme le taux de chômage baisse, le
risque de perdre mon emploi diminue ?
J-M. P. : Dans ce domaine aussi, il convient d’être
prudent, car s’il est vrai qu’au plan national, le taux de
chômage a diminué, ce n’est pas pour autant que le
risque pour tel ou tel salarié de perdre son emploi a
chuté. Encore une fois, aujourd’hui, le risque d’être
chômeur ne dépend pas seulement de la manière dont on
exerce son contrat de travail ; le chômage frappe sans
discernement aussi bien “le bon salarié” que le mauvais.
Nous pensons que ce qui importe à un salarié, n’est pas
tant de savoir si le taux de chômage diminue, mais
plutôt de trouver un moyen de maintenir ses revenus en
cas de perte d’emploi. On peut penser que c’est là une
réaction trés individualiste, mais il n’en est rien : comme
on ne peut plus tout attendre d’un “Etat Providence”, il
faut prendre les choses en mains et organiser sa vie. Si
une assurance permet d’agir ainsi, pourquoi s’en priver ?
Comment fonctionne cette assurance ?
J-M. P. : Comme toujours, nous avons voulu faire un
produit simple, ce qui n’était pas forcément facile
compte tenu de la diversité des situations résultant du
mode de calcul de l’Assedic. Plutôt que de mettre en
place, comme pour les cadres, une allocation
proportionnelle à celle de l’Assedic, nous avons préféré
adopter une indemnisation forfaitaire, avec trois régimes
A, B et C, que le salarié peut choisir selon le montant
mensuel qu’il souhaite percevoir : 200 €, 300 € ou 400 €.
Mais comment me décider pour un régime
plutôt qu’un autre ?
J-M. P. : Ce choix sera fonction de ce que l’Assedic verse
en cas de chômage. Pour s’y retrouver dans les modes de
calcul de l’Assedic, nous avons mis en place sur notre
site : www.cameic.com, un système de simulation qui
permet à tout salarié de connaître le montant mensuel de
l’allocation Assedic qu’il percevra en cas de chômage, et
à partir de là, estimer immédiatement la perte mensuelle
de revenus que cela représente pour lui par rapport à son
salaire mensuel. Il ne lui reste plus qu’à choisir le
régime A, B ou C, qui lui convient le mieux : soit 200, 300
>
ou 400 € par mois.
NOUVEAU
Mais la CAMEIC ne verse sa prestation que
durant 12 mois. Pourquoi cette limite ?
J-M. P. : Effectivement, nous avons, tout comme nous
l’avions fait pour les cadres en 1997, limité la durée de
versement à 12 mois. Cette décision résulte de la
recherche d’un juste équilibre entre une cotisation
acceptable et une prestation convenable et efficace.
Augmenter la durée de garantie de versement conduit
inévitablement à une cotisation plus élevée ou à des
prestations plus faibles.
Pour assurer en cas d’examen ou
de concours.... ASSUREXAM !
Il n'est pas rare qu'un étudiant se présente à
plusieurs concours ou examens en même temps,
surtout lorsqu'il fait acte de candidature à l'entrée dans une grande école, voire dans une
université à l’étranger.
Pour chacun de ces concours et examens, il faut
envisager les droits d'inscription, et le plus souvent des frais de déplacement et d'hébergement
Pourquoi alors, ne pas laisser ce choix à ceux
qui souhaitent bénéficier d’une durée de
versement plus longue avec une cotisation
plus forte ?
J-M. P. : Nous sommes une société d’assurances
mutuelle, et que notre souci est d’instaurer une
mutualisation du risque, susceptible de convenir au plus
grand nombre. Multiplier les options conduirait forcément
à produire de l’anti-sélection. D’où notre volonté d’une
durée unique de versement des prestations. Mais, si les
résultats de l’ensemble homogène que nous souhaitons
créer, sont satisfaisants, nous pourrons toujours
augmenter la durée de versement, comme nous l’avons
déjà fait pour les cadres.
Pour en savoir plus : Tél. 01 45 22 85 64
ou sur notre site : www.cameic.com
Quelles conditions faut-il réunir pour adhérer
à cette assurance ?
J-M. P. : Elles sont assez réduites : il faut être salarié non
cadre, cotisant au régime d’assurance chômage de
l’Unedic, et avoir entre 25 et 53 ans à la date d’adhésion.
Et pour percevoir les prestations ?
J-M. P. : Il faut avoir moins de 55 ans, avoir cotisé durant
deux années à APRÈS, et percevoir l’allocation de retour à
l’emploi (A.R.E.) de l’Assedic.
Donc en cas de chômage avant ces deux ans, je
ne percevrai rien ?
J-M. P. : Exactement. Mais pour autant, le salarié n’a rien
perdu puisque nous conservons en mémoire la période
déjà cotisée ; ainsi, s’il retrouve un emploi et poursuit son
adhésion à la CAMEIC, il ne repartira pas à zéro.
Y a-t-il un avantage fiscal à cotiser à APRÈS ?
J-M. P. : Oui, car les indemnités versées par APRÈS ne
sont pas imposables et ne doivent pas être mentionnées
dans la déclaration de revenus du salarié. Cela veut dire
que la somme résiduelle en fin de mois est d’autant plus
forte, que la prestation CAMEIC est nette de tout impôt.
Quel est le coût de cette assurance ?
J-M. P. : La cotisation, tout comme l’allocation qui sera
versée, est forfaitaire. Elle est respectivement pour
chacun des régimes A, B et C, de 17, 25, et 35 € TTC.
Comme nous le disions tout à l’heure, c’est moins onéreux
qu’un abonnement Internet.
Il existe aussi une garantie “remboursement”,
de quoi s’agit-il ?
J-M. P. : Nous avons voulu mettre en place cette garantie
supplémentaire comme nous l’avions fait pour les
cadres. En cas de décès ou de perte totale et irréversible
d’autonomie accidentels, nous remboursons à l’assuré ou
à ses ayants droit, non seulement le montant des
cotisations qu’il a payées depuis son adhésion, mais
nous versons en sus une année complète de prestations,
selon le régime choisi par l’intéressé.
(1) Le Parisien du 26 juillet 2006, Elodie Le Maou.
pour se rendre sur le lieu du concours ou de
l'examen.
Le budget nécessaire est souvent important et, en
cas d'empêchement par l'accident, la maladie, le
deuil d'un proche, des perturbations dans le mode
de transport utilisé ou encore toutes autres causes
indépendantes de la volonté de l'assuré, la perte
financière que ces frais représentent peut être très
lourde. ASSUREXAM permet de faire face à cette
perte pécuniaire, et si le succès à l'examen n'est pas
garanti, la tranquillité et la sérénité financière sont
assurées.
ASSUREXAM a donc pour objet de garantir à
l'assuré le remboursement des frais attachés au
passage d'un concours ou examen scolaire, au cas
où il se trouverait dans l'impossibilité de se
présenter à l'examen projeté.
Le contrat est souscrit pour une durée de 12 mois de
date à date et permet ainsi à l’assuré de garantir
tous les concours ou examens auxquels il aurait à se
présenter - quelle qu’en soit la date - au cours de
l’année assurée.
ACTUALITÉS
Une garantie complète pour les
emprunteurs ...
Le 4 juillet dernier, la CAMEIC et
SPHERIA VIE ont présenté à la presse,
les bases du partenariat technique que
les deux sociétés ont conclu pour une
offre globale en matière d’assurance
emprunteurs.
Lorsqu’un particulier contracte un emprunt immobilier
auprès d’un organisme financier, il doit souscrire
obligatoirement une assurance garantissant au
banquier, le remboursement du prêt, en cas de décès.
Cette assurance est généralement étendue à
l’invalidité, voire à l’incapacité temporaire. Mais la
couverture du chômage reste facultative.
SPHERIA VIE, société anonyme d’assurance, dont
l’actionnariat est issu essentiellement du monde
mutualiste, proposait déjà aux emprunteurs une
assurance pour les risques obligatoires. Par contre,
cette offre ne comportait pas de volet chômage.
Un accord a donc été passé entre la CAMEIC et
SPHERIA VIE pour compléter l’offre de cette société par
une garantie chômage.
Cette assurance chômage c’est ASPEE, l’Assurance
Perte d’Emploi des Emprunteurs.
Cette garantie court après une période de carence de
365 jours et une franchise de 90 jours consécutifs de
chômage indemnisé par l’Assedic, et permet à l’emprunteur d’assurer le paiment de ses échéances de prêt
à hauteur de 50 %.
La garantie ASPEE est accordée pour les prêts d’un
maximum de 200 000 € et d’une durée inférieure à
30 ans, mais l’assurance ne peut être souscrite qu’en
complément de l’assurance décès accordée par notre
partenaire SPHERIA VIE.
S A L O N S - M A N I F E S TAT I O N S
Pour la troisième année consécutive, la CAMEIC sera présente aux
Journées du Courtage, le rendez-vous annnuel des courtiers Vie et Iard,
des sociétés d’assurances et des grossistes, et y présentera l’ensemble
de ses produits.
Demandez une invitation !
Contacts CAMEIC : Patricia TELLIER / Sandie L’HOSTIS
Nos partenaires
Réassurance
AXA Ré
Axa Réassurance
C.C.R.
Caisse Centrale de Réassurance
HANNOVER Ré
Gestion de Réassurance France SA
SECURA S.A.
Société de Réassurance – Belgium
SWISS Ré
NOUVEAU
Société Suisse de Réassurance
BENFIELD
Courtage en Réassurance
Avec IMÉNÉ, pour 45 €, dites sans crainte :
“Oui, je le veux !”
Avec ARIAS Annulation mariage, on pouvait déjà assurer son mariage pour faire
face au risque de report ou d’annulation. Cependant, la première tranche du
barême concerne des “budgets mariage” allant jusqu’à 6 098 €, avec une
cotisation de 105 €. Ceci avait pour effet de défavoriser la grande majorité des
quelques 272 000 mariages qui ont lieu chaque année en France, avec des
budgets mariage plus modestes. La création d’IMÉNÉ ouvre l’assurance
annulation à des budgets mariages allant jusqu’à 4 500 €, avec une cotisation de
45 €, soit 43 % de moins qu’avec ARIAS.
A ce prix, assurer son mariage devrait devenir un réflexe, au même titre que
nombres d’assurances annulation souscrites quasi-systématiquement pour des
budgets souvent plus modestes, par exemple en matière de voyages ou de
vacances. S’assurer paraît pour le moins utile, lorsqu’on recense les risques
nombreux et variés d’annuler ou de reporter un mariage :
- le décès, l’accident ou la maladie grave d’un assuré ;
- les complications de grossesse éventuelles de la promise ;
- l’indisponibilité des locaux réservés pour la manifestation ;
- la non évacuation de lieux dans les délais prévus, le blocage des axes de circulation, la carence accidentelle de fourniture de
courant, le deuil national, émeutes et autres mouvements, la grève des transports, la carence d’un prestataire, etc. ..
Avec IMÉNÉ, le promis et la promise sont assurés à concurrence de 4 500 €, contre ces risques.
Pour les budgets plus importants, il reste bien sur, la solution ARIAS annulation mariage.
Pour souscrire, il suffit de remplir la demande d’adhésion disponible sur notre site : www.cameic.com, et l’adresser à la CAMEIC accompagnée
du chèque correspondant.
Souscription
A.F.U.
Anglo French Underwriters
A.P.P.I.
Association pour la Protection
des Patrons Indépendants
ATEXYA
Prévention, protection juridique
et assurances
CAAREA
Compagnie Automobile d'Assurance et de
Réassurance Associées
G.A.R.D.S.
Groupe Assurance Risques Divers et Spéciaux
GROUPE PONT NEUF
(G.P.N.)
PREMIUM
Assurances et Réassurance
SOCAPE
Société de Courtage d'Assurances de
Personnes et d'Entreprises
Financier
BGPI
Banque de Gestion Privée Indosuez
Stratégie Sociale
PACTES CONSEILS
Membre du réseau SYNEO
Relations Presse
BREVE
Toujours plus simple, toujours plus clair,
tapez : http://www.cameic.com
La mise en ligne des nouveaux produits a nécessité des modifications importantes de notre site Internet.
Afin de rendre notre communication plus simple et plus claire pour ceux qui cherchent des informations sur nos assurances, nous en
avons profité pour rénover entièrement le site, comme vous pourrez le constater en vous rendant sur : www.cameic.com.
L’architecture du site permet désormais un accès direct aux produits, tout en maintenant deux espaces privés : l’un réservé aux
sociétaires qui peuvent vérifier en ligne leur compte et leurs prestations éventuelles ; l’autre réservé à nos partenaires courtiers.
L’accès à ces espaces privés nécessitant un identifiant et un mot de passe, n’hésitez pas à nous les demander.
AGENCE AUVRAY & ASSOCIES
Courtage
Tous nos partenaires courtiers
sont référencés sur notre site
www.cameic.com
Contacts
Patricia TELLIER / Sandie L'HOSTIS
CAMEIC
11 bis, rue Portalis - Paris 75008
Tél. 01 45 22 85 64 www.cameic.com
Email : [email protected]
Responsable de la publication :
Jean-Michel PLA
Rédaction et réalisation : Cameic