quelle eau boire - Elisabeth Marie TOUZOT

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quelle eau boire - Elisabeth Marie TOUZOT
QUELLE EAU BOIRE ?
Partie l - L'EAU, SOURCE DE VIE
Depuis des siècles, 1'homme cherche les moyens de rester jeune et en bonne santé le plus longtemps
possible. Parmi les moyens efficaces d'y parvenir, l'eau joue un rôle essentiel et trop souvent méconnu.
Chacun de nous sait pourtant que l'eau est un élément fondamental. Sans elle, aucune vie végétale,
animale ou humaine, ne peut exister ou se maintenir. En effet, l'être humain peut rester plus de 40 jours
sans manger, mais seulement 3 à 4 jours sans boire.
A/ Comment et pourquoi l'eau agit-elle sur notre santé ?
Le corps humain est composé d'eau à plus de 80 % à la naissance et 60 % environ chez l'adulte, soit 43
litres pour une personne pesant 75 kg. Le vieillissement correspond, sous un certain angle, à une perte
d'eau dans les tissus.
Le Dr Batmanghelidj dans son livre Votre corps réclame de l'eau affirme, à la suite de nombreuses années de
recherche, qu'un grand nombre de personnes souffrent, à leur insu, de "déshydratation chronique", car
elles ne boivent pas le litre et demi dont le corps a besoin.
Il en résulte de nombreuses pathologies par perturbation du métabolisme, dont on recherche ailleurs les
causes, car l'importance de la quantité d'eau consommée quotidiennement est trop souvent sous-estimée.
On s'interroge très souvent sur l'origine inexpliquée de nos troubles de santé, sans penser qu'ils peuvent
tout simplement provenir d'un manque d'eau.
Ce chercheur a mis en évidence que de très nombreux troubles peuvent être améliorés, voire traités, en
buvant plus : hypertension, cholestérol, migraines, constipation, colites, douleurs dorsales et
rhumatismales. Au niveau de sa fonction, l'eau sert à éliminer les toxines et elle est le meilleur diurétique
quand les reins fonctionnent bien. Le Dr Batmanghelidj affirme que « l'eau règle toutes les fonctions y
compris l'activité des solides qu'elle dissout et véhicule. »
Mais l'eau n'est pas qu'un solvant, elle possède également d'importantes propriétés : hydrolyse, actions
biochimiques liées au métabolisme, activation des protéines et des enzymes, production d'énergie.
A notre époque, où tant, de personnes souffrent de fatigue chronique, Il est vraiment intéressant de
constater que boire plus augmente la vitalité et améliore l'état de l'organisme. L'eau joue donc un rôle
fondamental sur le métabolisme. Il faut donc boire beaucoup, mais nombre d'entre nous se demandent
quelle sorte d'eau nous devons boire pour prendre soin de notre santé.
Un éminent chercheur français, Le Pr. Louis-Claude Vincent a apporté des réponses précises à cette
question. Les travaux de cet ingénieur hydrologue renommé font autorité dans la Communauté
internationale. Il est le fondateur de la Bio-électronique, science permettant de tester objectivement les
courants électromagnétiques de la vie, décelables grâce à l'électronique. Elle donne des critères
scientifiquement mesurables dans de nombreux domaines - état du terrain biologique, qualité des
aliments, des remèdes, et bien sûr de l'eau.
Des congrès internationaux regroupant un nombre sans cesse croissant de médecins et de chercheurs
développent et appliquent ces recherches dans leur pratique quotidienne.
B/ Définition bio-électronique de la qualité de l'eau
Les travaux du Professeur Vincent ont permis de définir les 3 paramètres d'une eau réellement favorable à
la santé, assurant en outre un bon fonctionnement des reins et l'élimination des toxines. Ces 3 critères
indiquent, confirmant les travaux de nombreux autres scientifiques, que l'eau doit être plutôt acide, non
oxydée, et la plus pure possible.
a) le pH: potentiel hydrogène (facteur magnétique qui définit le potentiel ionique d'acidité ou d'alcalinité
d'une solution).
L'eau idéale doit avoir un pH proche de 6,5.
L'eau du robinet en France a un pH compris entre 7,3 et 8,5. Ceci est dû à tous les produits de traitement
de l'eau (chlore et ses dérivés). Elle contient le plus souvent des excès de calcaire. A cela s'ajoute la
présence, de plus en plus fréquente, d'autres éléments: nitrates, pesticides, herbicides, fongicides, métaux
lourds, résidus médicamenteux et d’hormones de synthèse.
Une déviation du pH a une très grande influence sur le plan biologique. Un pH alcalin (correspondant à
une perte de protons) affaiblit donc le noyau cellulaire. Consommer régulièrement de l'eau à pH supérieur
à 7 alcalinise le sang, or il est scientifiquement prouvé que le pH du sang, des personnes souffrant de
maladies cardio-vasculaires est très alcalin.
D'après le Professeur Lautie, l'eau doit avoir un pH compris entre 6 et 7 pour remplir convenablement son
rôle de catalyseur de la quasi-totalité des réactions biochimiques. M. Passebecq, Naturopathe, confirme
lui aussi, qu'une eau à pH légèrement acide est nécessaire à une bonne assimilation du calcium.
b) Le rH2 : facteur électrique qui définit la charge en électrons d'un pH donné.
L'oxydation empêche l'assimilation de l'oxygène, notre principal aliment. Cela peut entraîner fatigue, état
de stress, insomnie, mauvaise digestion objectivée par l'élévation du rH2.
Il est reconnu que l'oxydation engendre l'usure, le vieillissement des tissus, l'épaississement du sang. Rien
ne peut survivre dans un milieu très oxydé, c'est pourquoi l'eau de ville est artificiellement suroxydée par
des produits qui éliminent toute vie : microbes, bactéries, virus. Le danger est que la consommation d'une
telle eau suroxyde également l'organisme déjà agressé par de multiples autres agents : l'alimentation
provenant de l'utilisation massive d'engrais chimiques et de sols appauvris, la pollution de l'air (manque
d'ions négatifs), la pollution électrique et électromagnétique omniprésente, le stress...
Les analyses bio-électroniques sur le sang, la salive et les urines des habitants des pays développés,
révèlent d'inquiétants états d'oxydation en relation directe avec le développement de maladies graves.
L'oxydation correspond à une perturbation du champ électrique de la cellule par manque d'électrons.
Associée à une perturbation du champ magnétique par manque de protons (pH alcalin), elle crée ainsi les
conditions d'apparition des maladies dites de civilisation.
L'eau idéale doit donc être anti-oxydante pour contribuer efficacement à rééquilibrer le terrain biologique
et neutraliser les effets des autres causes d'oxydation.
c) Le rô : facteur diélectrique (inverse de la conductivité, qui définit la résistance d'une solution au passage
d'un micro-courant électrique).
Il se mesure en Ohms et en matière d'eau, il permet d'en mesurer la concentration en minéraux.
Le Pr. Vincent a démontré que pour une bonne élimination des toxines, l'eau doit avoir une résistivité
(pureté) supérieure à 8000 Ohms. Dans le cas où cette eau est chargée de sels minéraux, l'élimination
convenable des toxines est rendue impossible, sans parler de l’électro-sensibilité qui peut en découler.
Dans de nombreuses régions de France, l'eau du robinet est souvent très chargée en calcaire. Dans ce cas,
sa résistivité est d'environ 2 à 3000 Ohms seulement. Il en est de même pour de nombreuses eaux en
bouteilles dont la résistivité varie de 450 à 5 000 Ohms selon les cas, à cause d'une minéralisation
excessive, empêchant ainsi un bon fonctionnement des reins.
Les travaux du Pr. Vincent et du Pr. Henri ont permis de comprendre que l'élimination rénale se fait grâce
à des phénomènes d'osmose et de contre-osmose. Concrètement, cela signifie que, pour que les reins
éliminent bien les toxines, l'eau doit être très pure. Plus l'eau est pure, plus son pouvoir solvant est
important, et mieux les déchets sont dissous et éliminés.
Quand les reins fonctionnent bien, le pH des urines est de 6,8. C'est à cette valeur que le maximum
d'électrolytes (déchets et toxines) d'acide urique et de cholestérol sont éliminés (travaux de Guilbert et
Langlais, publiés dans "Semaine des Hôpitaux" du 6/12/1951).
L'eau impure, chargée de calcaire ou de minéraux, empêche un bon fonctionnement rénal et entraîne un
épaississement du sang qui peut devenir le prélude aux maladies cardio-vasculaires et aux maladies de
civilisation. Ce phénomène est accentué par l'alcalose (pH alcalin) et l'oxydation (rH2).
Partie 2 - L'EAU DU ROBINET
A/ Le goût désagréable
Tout le monde s'accorde à reconnaître que les plus évidentes de ses caractéristiques sont bien sûr son
mauvais goût, dû à tous les produits de traitement, et souvent sa lourdeur, lorsqu'elle est calcaire. Sa
consommation n'est pas agréable et de plus elle dénature toutes les boissons (thé, café, tisanes, potages) et
la saveur des aliments, lorsqu'elle est utilisée lors de la cuisson.
B/ Les produits de traitement de l'eau
Le plus connu est le chlore, c'est un super-oxydant, d'où son efficacité pour tuer microbes et bactéries qui
ne peuvent se développer dans un tel milieu. Ce produit est ajouté à l'eau pour la rendre "potable". Le
chlore est un des principaux responsables du goût désagréable de l'eau. Des études américaines récentes
confirment une nouvelle fois son influence néfaste sur la santé, déjà mise en évidence par les mesures bioélectroniques.
Le chlore entraîne, en se combinant avec diverses matières organiques présentes dans l'eau, la formation
de chloroforme, de trichloréthylène, de tétrachloréthylène et d'haloformes cancérigènes. Combiné à
l'ammoniac, il se transforme en chloramine qui est également très nocif. Cette formation de dérivés réduit
la quantité de chlore actif et favorise la prolifération de bactéries.
L'autre moyen, parfois utilisé en France, de rendre l'eau potable est l'utilisation de l'ozone qui est lui aussi
un gaz très oxydant. En principe, il se décompose rapidement, mais il ne semble pas exclu qu'une partie
subsiste jusqu'au robinet.
C/ Les nitrates
Ils proviennent de l'utilisation massive et en constante augmentation d'engrais azotés. Les nitrates ainsi
formés polluent de plus en plus les nappes phréatiques et ils n'épargnent pas les sources d'eau minérale.
Les normes suisses interdisent plus de 20 milligrammes par litre, la France autorise 50 mg/1, et le taux
dépasse très souvent ce chiffre, atteignant parfois 100 mg/1. Les fortes pluies entraînent les excédents
d'azote vers les rivières et les nappes phréatiques, c'est pourquoi la pollution par les nitrates ne cesse
d'augmenter. Plus de 2 millions de français boivent une eau dont la teneur en nitrates est supérieure à 50
mg/1.
Les nitrates peuvent se transformer en nitrosamines cancérigènes au contact des amines tissulaires. Ils
provoquent chez le nourrisson une pathologie appelée "méthémo-globinémie", sorte d'asphyxie du sang.
C'est pourquoi l'eau du robinet peut ne pas convenir aux enfants en bas âge.
D/ Les pesticides, les fongicides et les insecticides
95 000 tonnes de ces dangereux produits sont répandus sur les sols chaque année en France. 900
substances différentes d'insecticides, fongicides et désherbants sont homologuées. Ces produits chimiques
contaminent les nappes phréatiques et sont retrouvés en quantité sans cesse croissante dans l'eau du
robinet.
La toxicité aiguë de ces produits est bien connue. Elle est notamment accentuée du fait de leur fréquente
association, interaction dont les dommages ne sont pas encore connus, mais dont on peut appréhender la
gravité.
Le magazine "Que Choisir" a réalisé une étude sur la présence de ces produits chimiques dans l'eau du
robinet : sur 151 échantillons envoyés en laboratoire, 118 comportaient des traces de pesticides avec, dans
34 cas, des teneurs supérieures à la norme. Celle-ci est établie à partir de seuil de détection de 0,1 microgramme par litre. De nombreux chercheurs pensent que des doses faibles mais répétées ne sont pas sans
danger à long terme.
Tous les produits chimiques utilisés mettent un certain temps à atteindre les nappes phréatiques, en
fonction de la nature des sols et de la pluviosité. Il est donc à craindre que leur taux augmente encore dans
l'eau du robinet dans les années à venir.
E/ Les inconvénients du calcaire
Nous en connaissons toutes les conséquences au niveau des machines à laver le linge et la vaisselle, des
chauffe-eau et des tuyaux. Nous devons faire intervenir un plombier pour les détartrer, sinon c'est la panne
et parfois les tuyaux sont si entartrés que l'eau ne coule presque plus et, faute d'eau, les radiateurs ne
chauffent plus. Les excès de calcaire peuvent encrasser de la même façon notre organisme, et petit à petit
être dommageables pour nos artères. Le calcaire se dépose également dans les reins, créant ainsi
fréquemment des calculs, engendrant chaque année des dizaines de milliers d'opérations pour les retirer.
F/ Inconvénients de la cuisson des aliments à l'eau du robinet
La plupart des consommateurs d'eau minérale cuisinent, pour des raisons de coût et de transport, à l'eau
du robinet. Ils avalent ainsi des quantités non négligeables de produits toxiques dont ils souhaitaient
pourtant se protéger en achetant de l'eau minérale. Il est regrettable que des consommateurs avertis fassent
l'effort d'acheter des aliments de bonne qualité et les préparent avec de l'eau calcaire, chlorée, alcaline et
oxydée à très faible potentiel vital.
a) L'eau est-elle meilleure une fois bouillie ?
Faire bouillir l'eau détruit les éventuelles bactéries mais n'enlève aucun des éléments indésirables (chlore,
nitrates, pesticides). De plus, sous l'effet de la chaleur le carbonate de calcium précipite et se transforme en
tartre.
b) Effets sur la digestion et l'assimilation des aliments
Des expériences scientifiques ont démontré que l'eau calcaire à pH basique nuit à l'assimilation des
aliments. En effet, on a observé dans les déjections d'animaux d'élevage buvant de l'eau dure, la présence
importante de protéines et de sels minéraux. La concentration de ces éléments est faible dans les
déjections des animaux nourris de façon identique, mais buvant de l'eau pure.
Le chlore, détruisant les microbes et les bactéries de l'eau, a le même effet sur la flore intestinale. Au
minimum, il inactive, du fait du pH trop élevé de l'eau, les enzymes qui jouent un rôle essentiel dans le
processus de la digestion.
Indépendamment des produits rajoutés par les pouvoirs publics et des contaminants chimiques (nitrates,
pesticides), on trouve également dans l'eau des métaux lourds.
G/ Les rejets de métaux lourds
De nombreuses usines installées près des rivières y déversent d'importantes quantités de déchets et
notamment des métaux toxiques que l'on retrouve ensuite dans l'eau du robinet.
Dans Fondamental N°15 magazine d'infofiliation sur la santé, le commandant Cousteau déclarait:
« Aujourd'hui, nos usines déversent de l'arsenic, du mercure et du plomb dans les cours d'eau. Nos égouts
y amènent des détergents. Nos champs cultivés y font ruisseler des engrais et des pesticides... La pollution
de l'eau que l'on boit est à l'origine de nombreux cancers ».
H/ Les résidus de la consommations humaines de tous les médicaments, antibiotiques, et autres
hormones de synthèses. Et Dieu sait si notre pays est en pointe à la matière !
I/ L'influence des canalisations
a) Le plomb
De nombreux tuyaux amenant l'eau dans les habitations sont encore en plomb. On le retrouve ensuite
dissout en quantité excessive dans l'eau, lorsqu'elle est trop douce.
On trouve chez de nombreux enfants, buvant des eaux trop chargées en plomb, des problèmes de santé en
relation directe avec une intoxication de l'organisme par ce métal : retards scolaires, QI abaissés, troubles
du comportement. Les enfants sont beaucoup plus vulnérables que les adultes car ils stockent 50 % du
plomb ingéré contre 10 % seulement pour les adultes.
De faibles expositions au plomb semblent, à long terme, responsables de 1'hypertension rénale et de
l'insuffisance rénale qui sont les conséquences du saturnisme. L’Europe a fixé à 50 micro-grammes par
litre la concentration maximale et le niveau d'alerte à 100. Cette donne a été établie à 10 aux États-Unis.
b) L'altération de la qualité de l'eau dans les tuyaux
A la sortie de l'usine de traitement, la qualité microbiologique de l'eau est garantie par l'absence de
bactéries et de germes pathogènes. Cependant, il apparaît que des micro-organismes indésirables peuvent
coloniser les canalisations et proliférer à l'intérieur du réseau de distribution.
J/ Le potentiel énergétique de l'eau
L'énergie vitale se mesure en unités Bovis ou en Angstroms. Une cellule ou un organe en parfaite santé
émet sur 6 500 unités, des aliments biologiques et frais à 9 000 environ. L'eau du robinet, à Paris par
exemple, émet seulement sur 3 000 unités. On comprend donc immédiatement que la consommation
d'une telle eau affaiblit le fonctionnement de l'organisme en réduisant son oscillation cellulaire, facteur
fondamental de maladie, comme l'a démontré Lakhovsky.
L'éminent chercheur Marcel Violet a mis au point un système de dynamisation de l'eau, dont les effets
bénéfiques ont été vérifiés.
Partie 3 - LES MINERAUX ET LA SANTE
A/ L'assimilation des minéraux
Notre corps a besoin pour bien fonctionner de minéraux, mais nous ne pouvons les assimiler que s'ils sont
sous forme d'oligo-éléments ou de complexes organo-métalliques que l'on trouve essentiellement dans les
fruits, les légumes, les céréales, les algues, les poissons et les viandes.
Les sels minéraux et oligo-éléments provenant de l'eau du robinet ou en bouteille ne sont quasiment pas
assimilables par l'organisme humain ou animal. Pourquoi ?
Parce que les minéraux doivent être sous forme organique, donc transformés par le règne végétal pour être
assimilés correctement par 1'homme ou l'animal. Seuls les plantes et certains micro-organismes peuvent
assimiler directement le minéral.
Pourtant, contenus dans l'eau ou dans des végétaux, ces minéraux sont chimiquement identiques. Mais
l'expérience démontre pour le calcium, par exemple, une grande différence de fixation par les os. Cela
s'explique par le fait que, selon leur origine, la disposition des atomes au sein de la molécule, c'est-à-dire
leur structure moléculaire, est très différente.
L'autre différence majeure est l'activité électronique de ces minéraux. L'énergie du calcium minéral est
faible, elle est qualifiée d'inerte. Celle du calcium provenant d'une plante est très forte, elle est qualifiée
d'active. Il est facile de le vérifier grâce à l'effet Kirlian qui permet de photographier l'énergie d'un produit
et imprime sur une plaque sensible le halo d'énergie qu'il dégage. La luminescence autour : d'un ion
calcium minéral est faible, alors qu'il est très important, autour du calcium d'origine végétale.
Le Pr. Henri Schroeder, spécialiste mondial en matière de minéraux affirme qu'on ne peut assimiler plus
de 1 % des minéraux contenus dans l'eau et que tous ces minéraux inassimilés encrassent l'organisme. Le
simple bon sens fait d'ailleurs observer que dans les villes où l'eau est très calcaire, les habitants peuvent en
manquer. Le Dr Valnet confirme que la chaux minérale et le calcaire en excès empêchent même
l'assimilation du bon calcium.
B/ Le rôle bienfaisant des minéraux ionisés
Les effets bénéfiques des eaux thermales viennent du fait que l'eau est bue immédiatement à la source. Les
minéraux sont encore ionisés donc bio-disponibles et elle est en outre dynamisée par l'énergie tellurique.
Malheureusement, cet effet est de très courte durée et disparaît dans les quelques jours après la mise en
bouteille. Des chercheurs ont reconstitué des eaux thermales avec exactement la même teneur en
minéraux. Les effets thérapeutiques ont été décevants.
C/ L'influence des minéraux sur l'élimination rénale
Plus il y a de sels minéraux dans l'eau, plus la résistivité de cette eau est faible et moins les reins peuvent
éliminer de toxines. Cela peut entraîner un encrassement progressif du corps. Le rôle de l'eau n'est pas
d'apporter des minéraux, mais de permettre le transport des nutriments jusqu'aux cellules et favoriser
l'élimination par les reins de tous les déchets résultant du fonctionnement de l'organisme.
De tout ce qui précède, nous devons conclure que ni l'eau du robinet, ni les eaux très minérales sont les
meilleures pour la santé.
Seule l'eau dite pure, correspondant aux 3 critères bio-électroniques, est favorable à notre organisme à
condition d'en disposer en quantité suffisante pour boire, rincer les aliments et cuisiner. Ce qui pose à
l'évidence le double problème : pratique et économique (corvée et stock de bouteilles, budget eau très
élevé).
D/ Alors quelle est la solution ?
La purification de l'eau du robinet par la technique de l'osmose inverse apporte une solution efficace,
pratique et économique. Il est souhaitable ensuite de la dynamiser, les 12 Pierres* apportent une vibration
incomparable.
Partie 4 - LE PROCÉDÉ D'OSMOSE INVERSE
A/ Le principe de l'osmose
Le principe de l'osmose a été découvert en 1826 par le physicien français René Dutrochet, membre de
l'Académie des Sciences.
Ce scientifique a mis en évidence que lorsque 2 solutions de concentrations différentes, séparées par une
membrane semi-perméable, sont mises en contact, le liquide de la solution la moins concentrée passe sous
l'effet de la pression osmotique à travers cette membrane jusqu'à ce que la concentration soit identique
dans les 2 bacs.
On retrouve ce même principe dans de nombreux échanges vitaux :
Au niveau du corps humain, les nutriments apportés par le sang (forte concentration) passent dans les
cellules (faible concentration) par phénomène d'osmose. Il en est de même pour l'assimilation de l'oxygène
par les poumons. C'est aussi par osmose que les végétaux pompent, dans le sol, l'eau et les substances
nutritives nécessaires à leur développement.
B/ L'osmose inverse
Application technique inverse du principe d'osmose, elle utilise l'eau du robinet passant sous pression à
travers une membrane semi-perméable d'une extrême finesse. On sépare ainsi les molécules d'eau de tous
les autres éléments qu'elle peut contenir et l'on obtient ainsi de l'eau parfaitement purifiée.
L'Organisation Mondiale de la Santé (O.M.S.) la qualifie de "méthode pratique et confirmée ".
L'utilisation mondiale de l'osmose inverse
Cette technologie a été mise au point par la NASA. il y a plus de 30 ans pour les vols spatiaux car elle
permet de recycler pour les cosmonautes toute l'eau consommée et même celle éliminée dans les urines.
Elle est depuis longtemps utilisée pour dessaler de l'eau de mer dans les pays du Moyen-Orient et fournir
ainsi à ces populations une eau buvable et débarrassée de tous les éléments indésirables.
L'osmose inverse a été ensuite utilisée en milieu hospitalier dans les services de dialyse où la pureté de
l'eau est indispensable pour les reins malades. Ce procédé est de plus en plus utilisé dans le monde entier
pour purifier l'eau dans 1'habitat, dans les entreprises et pour la fabrication de produits alimentaires (pain
biologique, préparations culinaires).
C/ Les avantages de cette technique
L'eau purifiée par osmose inverse est donc la solution idéale car tout en supprimant les corvées d'eau, elle
permet de disposer de 25 à 170 litres d'eau pure à l'heure (selon les modèles d'osmoseurs domestiques)
permettant à chacun de couvrir largement ses besoins journaliers. On peut ainsi boire une eau très bonne
pour la santé, rincer les légumes, les salades, cuire également les aliments et préparer les diverses boissons.
Tous les utilisateurs de ce système sont très satisfaits de redécouvrir le vrai goût des aliments, du thé, du
café et des légumes habituellement altérés par le chlore et autres produits rajoutés à l'eau du robinet. Ils
apprécient tous cette pureté retrouvée.
Ils réalisent également de substantielles économies de temps et d'argent. En effet, le coût de production
(hors amortissement de l'appareil) du litre d'eau osmosée est d'environ 6 à 10 centimes et se situe autour
de 20 centimes en incluant le renouvellement des filtres. L'intérêt économique est évident. C'est un
privilège rare de pouvoir prendre soin de sa santé et de se simplifier la vie, tout en réalisant des économies.
Par ailleurs, cette méthode a été recommandée par Mme le Dr Kousmine, qui affirme « On obtient avec
l'osmose inverse, à partir de l'eau du robinet chargée en nitrates et autres polluants modernes, une eau
aussi pure que si elle sortait d'une source naturelle ».
Ainsi, l'eau purifiée par osmose inverse apporte une solution pratique, efficace et économique à ce
redoutable problème sans cesse croissant de la pollution de l'eau.
D/ Description d'un osmoseur désigné comme un des plus performants du marché
L'eau du robinet, grâce à la pression du réseau, passe successivement à travers les 3 filtres de purification
et elle est ensuite stockée dans un réservoir. Elle est ainsi purifiée jusqu'à 99 % des agents indésirables :
chlore, calcaire, nitrates, virus, microbes et bactéries, trichloréthylène, plomb, chloroforme, pesticides,
herbicides et métaux lourds (voir détail annexé en fin de partie).
Vous trouverez ci-joint l'analyse effectuée aux États-Unis précisant le pourcentage exact d'élimination des
produits toxiques et agents contaminants.
a) Fonctions respectives des filtres
1/ Pré-filtre à sédiments en polypropylène tressé très performant à trois niveaux de densités différentes : il
supprime les sédiments, la rouille, les boues et toutes les nombreuses impuretés en suspension entre 5 et 25
microns.
2/ Pré-filtre à charbon actif: il élimine le chlore et ses dérivés (chloroforme, trichloréthylène, haloformes,
trihalométanes), les pesticides, les fongicides, les insecticides et plus de 140 produits chimiques.
Le filtre est composé de plusieurs variétés de charbon actif végétal, identique à celui utilisé depuis des
siècles pour le traitement des troubles intestinaux.
3/ Membrane d'osmose en T.F.C. (Thin Film Composite), matériau performant et imputrescible. D'une
extrême finesse (0,0001 micron), cette membrane ne laisse passer que les molécules d'eau qui sont d'une
taille infiniment plus petite que tous les agents polluants (la taille d'un virus est 0,02 micron).
b) Entretien du système
Aucun entretien fréquent n'est nécessaire. Le changement des 2 pré-filtres est conseillé une fois par an ; la
durée de vie de la membrane d'osmose en dépend.
D'après l'article du Docteur Mary de Bunsen paru dans la revue "Mother Earth" (Octobre 1959), si les
populations Hunza du Haut-Pamir ont une extrême longévité (120 à 150 ans), sans aucune maladie, avec
une souplesse et une résistance corporelle aussi ininterrompues qu'exceptionnelles, cet état est dû, parmi
les facteurs essentiels, à la très grande pureté de leur eau. L'osmose inverse réalise le miracle de nous
donner une eau, à partir de l'eau du robinet, aussi pure que celle de ces peuplades. Elle est donc aussi
bénéfique pour la santé et la longévité. Elle contribue efficacement à réaliser le souhait du Professeur A.
D'Ambrosio de Milan selon lequel « il ne faut pas seulement ajouter des années à la vie mais également de
la vie aux années. »
E/ Pourcentages d'élimination des contaminants de l'eau mesurés par un séparateur de poids moléculaire
Osmoseur Hydrotech, membrane T.F.C. neuve
Nitrates.........................90-95
Pesticides .....................99-99.9
Chlore ..........................90-95
Bactéries, virus............ 100
Calcaire .......................93-97
Plomb ...........................95-98
Trichloréthylène.............98
Chloroforme..................98
Sulfates ........................95-98
Sodium..........................94-98
Magnésium ...................95-98
Potassium......................94-97
Manganèse ....................94-97
Fer .. ............ ................97-98
Aluminium.....................97-98
Cuivre ............................97-98
Nickel.............................97-98
Cadmium.......................95-98
Argent.........................97-99
Mercure ......................95-97
Dureté Ca et Mg..........95-98
Radioactivité ...............95-98
Ammonium .................85-95
Bromide.......................93-96
Phosphate ....................97-98
Cyanure .......................90-95
Sulfate .........................97-98
Thiosulfate ...................97-98
Silicate..........................94-96
Silica.............. ............. 85-90
Trihalométhanes . .........95
Fluorure........................93-95
Polyphosphate .............98-99
Orthophosphate ..........98-99
Chromate .....................90-97
Nombre de ces mesures sont certifiées par l'Office Fédéral de la Santé de l'État de Californie et par la
National Sanitary Foundation, organisme international de contrôle de qualité des produits dans le
domaine de l'hygiène et de la santé.
Partie 5 - CONSEILS PRATIQUES
A/ Quelle eau boire ?
En résumé les informations précédentes confirment qu'il faut boire l'eau la plus pure possible, exempte de
contaminants et également peu chargée en minéraux.
B/ Quand ?
Répartissez son absorption sur toute la journée car votre corps ne peut stocker l'eau. Consommée en excès
en une fois, elle peut fatiguer vos reins ou entraîner de la rétention. Buvez un grand verre d'eau au réveil,
plusieurs dans la matinée et l'après midi.
Évitez de boire beaucoup au cours des repas et attendez deux heures et demie après pour ne pas noyer les
enzymes travaillant à la digestion et diluer les sucs gastriques très acides.
C/ Combien ?
Les besoins dépendent des pertes journalières : nous perdons par la peau, sans intervention des glandes
sudoripares, 350 millilitres ; notre respiration, à elle seule, en fait s'évaporer tout autant. Nous éliminons
par la transpiration, sans activité sportive, environ 100 ml, par les selles 200 ml, et par les urines environ 1
400 ml soit un total de 2,4 litres dans des conditions normales de vie et à une température ne dépassant
pas 20°.
La hausse de température au printemps et en été augmente cette élimination et donc vos besoins
journaliers. L'activité physique et sportive consomme beaucoup d'eau par accélération de la respiration et
de la transpiration. Une alimentation composée de fruits et de légumes, riches en eau, concourt à cet
apport, mais nous les consommons surtout en été.
La quantité d'eau pure que nous devons boire chaque jour est autour d'un litre et demi. Ainsi, vous
maintiendrez votre organisme bien hydraté. Cet apport en eau de qualité vous donnera de l'énergie, une
belle peau, une bonne élimination des toxines et contribuera à maintenir votre organisme en bon état.
ANNEXES
RECHERCHES SCIENTIFIQUES SUR LES PROPRIÉTÉS THÉRAPEUTIQUES DE L'EAU PURE
A/ Élimination rénale et phénomène d'osmose
C'est le Professeur Richard et son équipe qui, par leurs travaux, nous permettent de comprendre le
fonctionnement de la cellule rénale, le néphron. Le rein mesure 12 cm. Il est équipé d'un million de
vaisseaux sanguins et de 20 km de micro-canaux. Les diverses mesures effectuées démontrent que
l'élimination rénale est régie par des phénomènes d'osmose et d'osmose inverse (ou contre-osmose).
La consommation de produits oxydés (eau du robinet calcaire ou trop minérale, aliments traités oxydés
par l'air), engendre une précipitation qui va obturer petit à petit les micro-canaux avec des dépôts de
sédiments et de déchets. Quand on pense que le diamètre des canaux collecteurs est de 30 microns, on
comprend l'extrême vulnérabilité du système. La consommation d'eau pure empêche l'apparition d'un tel
phénomène nocif au bon fonctionnement de l'organisme.
B/ Applications thérapeutiques
a) Les expériences de Damoor
Il a démontré en 1917 que, lorsqu'on perfuse un rein avec des solutions très chargées en minéraux, donc
de basse résistivité et de haute pression osmotique, il gonfle. En revanche, si on le perfuse avec des
solutions très pures de haute résistivité et de basse pression osmotique, il dégonfle. Par conséquent, quand
l'eau de boisson est aminérale (très pure), le rein se dégonfle et la différence de pression ou de polarisation
augmente ce qui favorise le passage des toxines au travers de la membrane. Quand l'eau est très
minéralisée, les reins ne peuvent fonctionner correctement, les toxines s'accumulent dans le sang et dans la
lymphe. Cet encrassement humoral est le prélude à l'apparition des maladies car il affecte le
fonctionnement de toutes les cellules.
Par l'étude de la physique et de l'électro-osmose, on voit tout de suite le danger qu'il y a, à consommer des
eaux chargées d'électrolytes ainsi que des aliments oxydés. Chaque fois que l'on augmentera la surcharge
de notre sérum sanguin avec un excès de sels minéraux non assimilables, on diminuera le niveau
d'efficacité de nos reins et par là même on augmentera les risques de perturbations
b) Les expériences du Docteur Roth sur l'influence du pH
Il s'agissait d'étudier l'évolution, en fonction de l'eau consommée, de tumeurs cancéreuses "greffées". Le
produit déclenchant le cancer est 1'hormone folliculine à forte dose, le benzoate d'oestradiol plus
précisément. Les injections ont été faites sous la peau dorsale de lapines pubères et vierges.
L'équipe du Docteur Roth du Laboratoire du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris devait suivre
l'évolution de cette cancérose en fonction de la modification du pH de l'eau de boisson des animaux :
- à pH 8,5, au bout de 4 mois, on constatera une tumeur utérine chez la lapine. L'animal témoin ayant bu
de l'eau à pH 7,5 n'aura aucune évolution tumorale.
Le Docteur Roth a ensuite entrepris une autre série d'expériences sur des lapines mais avec des implants
d'oestradiol à 70 mg au lieu de 40.
Trois lots de lapines furent utilisés absorbant une eau de boisson, ayant respectivement un pH de 4,5, 7,5
et 8,5. Au bout de 5 mois, toutes les lapines avaient développé un cancer utérin à l'exception des lots ayant
bu de l'eau à pH 4,5.
Enfin, une double expérience devait être édifiante. En voici les détails :
Un premier lot de lapines, toujours avec implant greffé, fut alimenté avec une eau à pH 8,5 pendant 5
mois environ. Après cette première phase, une autre période de 6 mois avec une eau à pH 4,5. Le résultat
fut l'involution tumorale ramenée en fin d'expérience à un simple kyste.
Enfin, on fit l'inverse, c'est-à-dire d'abord un laps de temps avec une eau à pH 4,5, puis après avec une eau
à pH 8,5. Là, le résultat fut une tumeur présentant une dégénérescence calcaire intense.
c) Les travaux du prix Nobel Warburg
C'est le premier qui constate, en 1933, l'assimilation anormale du glucose par la cellule cancéreuse, c'est-àdire une glycogenèse sans utilisation d'oxygène. L'origine de cette anomalie vient d'un bouleversement
structurel de la cellule qui se traduit par une inversion des polarités du cytoplasme et du noyau (Cf
Schéma en fin de texte).
Comment la cellule peut-elle en arriver là ? Warburg démontrera que ce phénomène se produit chaque
fois que la pression osmotique du milieu extra cellulaire augmente, c'est-à-dire quand la résistivité diminue
par suite de consommation de produits chimiques et d'eau trop chargée en minéraux.
C/ Les mesures bio-électroniques
Effectuées sur les cancéreux, elles indiquent que la résistivité des urines est trop forte. Elles sont trop
claires parce qu'elles ne sont pas assez chargées en déchets et toxines; la résistivité du sang est trop basse
car il est saturé de toxines ; sa fluidité normale est altérée, il devient trop épais.
Chez une personne en parfaite santé, la résistivité du sang est de 200 Ohms, celle des urines 30. Le
processus rénal d'élimination se fait selon le principe de contre-osmose, c'est-à-dire grâce à la différence de
potentiel électrique entre le sang et les urines soit: 200- 30 = 170.
C'est au Professeur Louis-Claude Vincent que nous devons cette explication: la pénétration au travers de
la membrane se fera à contresens (osmose inverse). Les électrolytes (déchets) du liquide qui a la plus faible
pression, le sang, iront vers le liquide qui a la plus grande pression, l'urine. Il déclare :
"A bien y réfléchir, c'est uniquement à partir d'un fonctionnement normal du rein et par suite de son
fonctionnement comme pompe contre-osmotique que l'on peut réaliser l'équilibre humoral de I'organisme
par élimination normale de tous ses déchets".
Les personnes atteintes de maladies dites de civilisation, ou en voie de l'être, présentent des modifications
très importantes de ces paramètres. La résistivité du sang diminue: de 200, elle passe à 150, voire 110-120
dans les cancers en phase terminale. Celle des urines augmente: de 30 elle passe à 70-80.
La différence de potentiel électrique n'est plus que de 30 à 40 selon les cas, au lieu de 170 d'où, élévation
de la pression osmotique du milieu extra-cellulaire, aboutissant à l'inversion des polarités du noyau et du
cytoplasme, caractéristique de la cellule cancéreuse.
Tous ces processus d'élimination rénale consomment beaucoup d'énergie. Le Professeur Vincent précise à
ce sujet : « Il est bien évident qu'une énergie contre-osmotique aussi considérable ne peut être trouvée que
dans une production de potentiel d'oxydo-réduction, donc d'échanges électriques ».
L'extrême importance de consommer de l'eau non oxydée par des produits de traitement ou par un délai
trop long entre la mise en bouteille et la consommation est donc clairement établie. Cela suppose donc le
maintien strict des forces électriques avec des polarités convenables, correspondant à un fonctionnement
normal.
"Dès qu'il se produit des dérèglements dans le fonctionnement rénal, cela ne peut résulter que de
modifications électriques, notamment d'inversion des polarités et par suite d'inclusion ou blocage dans les
phénomènes de filtration par l'électro-osmose " (Revue de Pathologie Générale - N°75). ,
D/ L'inversion des polarités de la cellule cancéreuse
Les 2 schémas (non joints) suivants illustrent le fonctionnement électrique et magnétique d'une cellule saine
et l'inversion totale des polarités d'une cellule malade. Ce processus est la conséquence au niveau du sang,
d'un manque de protons (pH trop alcalin), d'un manque d'électrons (oxydation) et d'une résistivité trop
basse.
Le courant électrique allant toujours à l'intérieur de la cellule saine, du + au -, nous voyons que le sens est
inversé. De la cohésion centripète, nous passons à "1'anarchie" centrifuge qui est le prélude de la
multiplication cellulaire, c'est-à-dire la cancérose.
Selon la Bio-électronique, la consommation d'eau, à pH légèrement acide, antioxydante et à forte
résistivité est un des moyens à employer pour améliorer l'état du terrain biologique. L'eau purifiée par
osmose inverse correspond parfaitement à ces 3 critères. L'eau peut donc, selon sa qualité, contribuer
largement soit au retour et au maintien d'un bon équilibre, soit à l'apparition et au développement des
maladies de civilisation.
* les 12 Pierres de la Jérusalem Céleste
"Les assises de la muraille de la cité étaient ornées de toutes sortes de pierreries. La première assise était de
jaspe, la deuxième de saphir, la troisième de calcédoine, la quatrième d'émeraude, la cinquième de sardoine,
la sixième de cornaline, la septième de chrysolithe, la huitième de béryl, la neuvième de topaze, la dixième de
chrysoprase, la onzième d'hyacinthe, la douzième d'améthyste." (Apocalypse Chap 21).

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