Il était une fois,une petite fille,s`appelant Lucie,brune aux yeux vert

Rédaction de Louise Beauveau en 5e2, en 2005
Il était une fois, une petite fille, s’appelant Lucie, brune aux yeux vert émeraude qui n’était
guère attentive en classe et partout ailleurs.
Elle avait ramené chez elle une mauvaise note. Sa maman n’était pas encore rentrée de
son travail et son père, lui, ne rentrerait pas, car suite à un accident de voiture, il était
décédé. Lucie ne s’était pas mise au travail en rentrant, elle écrivait, dans son journal
intime,des poèmes, c’était sa passion et rien d’autre.
Mais quand sa maman fut rentrée, tout de suite elle lui dit bonjour et lui demanda si elle
avait eu des notes. Lucie lui répondit que oui et lui dit sa mauvaise note.
Une mauvaise note j’avoue un cinq sur vingt en mathématique.
Sa maman la gronda très fort et lui confisqua son journal intime.
C’est une très forte punition pour Lucie, son journal, c’est toute sa vie.
Elle partit de chez elle pour aller « prendre l’air » au parc du coin. Elle s’assit sur un banc
et trouva à coté une feuille qu’elle lut aussitôt. C’était un poème, le plus beau qu’elle
n’avait jamais lu.
Je ne vais pas tout vous le lire ce serait trop long mais au moins une phrase que mon
personnage principal a adorée. La phrase était : « Je n’avais jamais vu un homme pleurer
mais lorsque j’en ai vu un, j’ai su qu’un homme pouvait aimer. »
Ce poème parlait de la vie quotidienne, de la nature, des hommes et des femmes. Il
n’était pas signé. Elle regarda l’heure sur sa montre et vit qu’il était 22h02. Elle songea à sa
mère qui était seule et devait s’inquiéter. Sans hésiter elle prit le poème et rentra chez elle.
Elle vit sa maman dans le salon entrain de l’attendre. Elle s’excusa au près de sa fille et lui
dit que plus jamais elle ne lui confisquerait son journal intime. Depuis tout devint si facile
pour Lucie, elle travaillait très bien à l’école et était très attentive.
Et voilà tout est bien qui finit très bien.