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LE BALZAC & LES ÉTÉS DE LA DANSE en partenariat avec le Département Cinémathèque de la Danse du Centre national de la danse Image extraite du film Noureev à Spolète - 1964 © présentent FESTIVAL DE FILMS RUDOLF NOUREEV du 6 au 21 juillet 2013 Dimanche 7 juillet, 11h - DON QUICHOTTE 1973, coréalisé par Rudolf Noureev et Robert Helpmann, avec Rudolf Noureev (Basile), Lucette Aldous (Kitri), Robert Helpmann (Don Quichotte) et l’Australian Ballet - (1h 47min) 1er WEEK-END Samedi 6 juillet, 11h - CASSE-NOISETTE 1989, réalisé par Rudolf Noureev avec Elisabeth Maurin (Clara), Laurent Hilaire, Manuel Legris, Marie-Claude Pietragalla, Kader Belarbi, Patrice Bart et le Ballet de l’Opéra de Paris - (1h33). C’est à la demande d’Erik Bruhn que Rudolf Noureev chorégraphie Casse-Noisette pour la première fois en 1967 pour le Ballet Royal de Suède. Noureev donne à sa version une dimension psychanalytique : l’oncle Drosselmeyer, le jouet Casse-Noisette et le Prince charmant ne faisant qu’un dans le rêve (virant au cauchemar avec les rats et les chauve-souris) de l’adolescente Clara. En 1988, Noureev passe derrière la caméra pour filmer la production qu’il a réalisée à l’Opéra de Paris. Noureev remonte l’ouvrage d’après Marius Petipa et Alexandre Gorski pour la première fois à l’Opéra de Vienne en 1966. Il en fait la reprise à l’Australian Ballet en 1970, qu’il filmera lui-même en 1972. Dimanche 7 juillet, 20h - LA PASSION NOUREEV en avant-première (soirée privée) 2013, documentaire inédit réalisé par Fabrice Herrault (New York), séance présentée par l’auteur - (1h10) Film produit par Les Etés de la Danse et the American Friends of Les Etés de la danse, Directeur de la photographie : Peter Grégoire, (traduction - sous-titres : Hélène Bernard). « A travers le regard inspiré d’un jeune garçon, renaît dans un poème musical d’images inédites des années 60-70, la voix et le corps du danseur extraordinaire, Rudolf Noureev, dévoré par la passion de son travail. » (Fabrice Herrault - avril 2013) Samedi 13 juillet, 11h - NOUREEV 1993, documentaire réalisé par Patricia Foy (GrandeBretagne) - (1h30) Avec les témoignages de Margot Fonteyn, Ninette de Valois, Merle Park, Maud Lloyd, Sylvie Guillem, David Wall, Roland Petit, Natalia Doudinskaïa, Razida Evgrafova (l’une des sœurs de Noureev), Marina Vivien, Taisiam Khaltourina et Anna Oudeltsova (à Oufa). Récit des principaux événements de sa vie racontés par Rudolf Noureev lui-même, illustré par de nombreux extraits de ses meilleures performances, dont certains n’avaient jamais été diffusés auparavant. Dimanche 14 juillet, 20h - LE LAC DES CYGNES 1966, chorégraphie de Rudolf Noureev (version de Vienne), captation réalisée par Truck Branss avec Rudolf Noureev (Prince Siegfried) et Margot Fonteyn (Odette/Odile) - (1h46) « Le 15 octobre 1964, l’Opéra de Vienne entra dans le Guinness des records : 89 rappels saluèrent la première du Lac des cygnes, mis en scène et chorégraphié par Rudolf Noureev - âgé de vingtsix ans - dansant le rôle principal aux côtés de Margot Fonteyn. En invitant le transfuge du Kirov à réaliser son premier Lac des cygnes, Aurel von Milloss, le directeur du Ballet de l’Opéra viennois réussissait un joli coup - au grand dam des autorités soviétiques qui auraient voulu empêcher Noureev de toucher à ce sommet du ballet classique russe. » (Horst Koegler) Dans cette première version - différente de celle de l’Opéra de Paris, « définitive » vingt ans plus tard - on trouve déjà un développement du rôle de Siegfried par l’apport de plusieurs variations chorégraphiées par Noureev, et notamment le solo à la fin de l’Acte I, repris - depuis - à Londres et à Paris. 3ème WEEK-END Samedi 20 juillet, 11h - GISELLE 1980, chorégraphie de Leonid Lavrovski d’après Jean Coralli et Jules Perrot, captation réalisée par d’Adriana Borgonovo avec Rudolf Noureev (Albrecht), Carla Fracci (Giselle) et le Ballet de l’Opéra de Rome - (2h05) « Deux mois après avoir stupéfié le public du Kirov en exécutant un manège de doubles tours assemblés dans La Bayadère, Rudolf Noureev remportait le plus grand succès de sa brève carrière en URSS, en débutant - à 21 ans - dans le rôle d’Albrecht de Giselle le 12 décembre 1959, aux côtés d’Irina Kolpakova. A l’opposé de Konstantin Sergueev qui avait établi la tradition soviétique d’un prince frivole, s’amusant avec une petite paysanne, dont il faisait peu de cas, Noureev apparut en amant sincère du début à la fin du ballet, bouleversé par la folie et la mort de Giselle. » (René Sirvin) TARIF UNIQUE : 12€ Préventes à la caisse du Balzac et sur internet : www.cinemabalzac.com Dimanche 21 juillet, 11h - NOUREEV à SPOLèTE 1964, documentaire coréalisé par Philippe Collin et Pierre-André Boutang, avec Rudolf Noureev, Margot Fonteyn et le royal ballet de londres - (53min) « Rudolf Noureev avait quitté l’URSS depuis trois ans, et répétait Raymonda d’après Marius Petipa, avec Margot Fonteyn et le Royal Ballet de Londres pour le Festival de Spolète. Réalisée en noir et blanc, l’interview de Noureev est passionnante. Il compare son métier de danseur à celui d’un peintre, évoquant la scène comme un cadre de tableau. Il compare son corps à des couleurs qui s’étalent et se déplacent sur la toile. Le moment le plus émouvant est lorsqu’il confie qu’il danse toujours, jusque dans son sommeil, jusque dans ses rêves. Ce film, que l’on croyait égaré, a été retrouvé par La Cinémathèque de la Danse. » (Patrick Bensard) Dimanche 21 juillet, 20h LA BAYADèRE – Actes II et III 1994, captation réalisée par d’Alexandre Tarta avec Isabelle Guérin (Nikiya), Laurent Hilaire (Solor), Elisabeth Platel (Gamzatti) et le Ballet de l’Opéra de Paris - (1h21) C’est le premier rôle dansé par Rudolf Noureev à Paris, lors de ses débuts en France avec le Ballet du Kirov, le vendredi 19 mai 1961 au Palais Garnier. A l’époque, La Bayadère n’était jouée, qu’en URSS, et seul le troisième acte, celui des « Ombres » (que Noureev considérait comme le chef d‘œuvre absolu de Petipa) fut représenté à Paris (…). C’est Noureev qui remonta cet acte en Occident, la première fois pour le Royal Ballet en 1963, puis pour le Ballet de l’Opéra de Paris en octobre 1974 (lui-même dansait le rôle de Solor aux côtés de Noëlla Pontois). » (René Sirvin) MéMOIRE D’UNE BAYADèRE 1992, documentaire réalisé par Catherine Dupuis, avec Rudolf Noureev et Ninel Kourgapkina (en répétitions) - (25min) Dernières images de Rudolf Noureev au travail, - malgré la maladie qui le mine - faisant répéter La Bayadère dans un des studios du Palais Garnier. Ce documentaire est une leçon de transmission d’un des ballets les plus spectaculaires du répertoire du Kirov, légué aux danseurs de l’Opéra de Paris, dans un geste généreux. Certaines séances seront précédées de courts extraits de films personnels de Douce François, tournés en spectacle et en répétitions, présentés au public pour la première fois. Renseignements : [email protected] Cinéma Le Balzac 1 rue Balzac, 75008 Paris métro George V conception graphique : Vincent Jacquet 2ème WEEK-END