ZAC PORT MARIANNE RIVE GAUCHE – Montpellier (34)

Transcription

ZAC PORT MARIANNE RIVE GAUCHE – Montpellier (34)
ZAC PORT MARIANNE RIVE GAUCHE – Montpellier (34)
Maître
d’ouvrage
Ville de
Montpellier
Maîtrise
d’œuvre
ArchitecteUrbaniste :
Pierre
Tourre
BET DD :
Tribu
La
ZAC
Port
Marianne-Rive
gauche a poussé très loin la
réflexion
sur
un
durable
adapté
urbanisme
au
climat
méditerranéen. Le plan masse,
l’implantation et la forme des
bâtiments ont été optimisées pour
prendre en compte les vents
(mistral
et
tramontane)
et
valoriser l’ensoleillement d’hiver.
Cette approche bioclimatique du
plan masse permet de viser un
niveau de label BBC pour les
bâtiments. Le projet valorise la
ripisylve
méditerranéenne
des
bords du Lez et la fait pénétrer au
cœur même du tissu urbain. La
maîtrise de l’imperméabilisation
des
sols
et
du
tamponnage
répond aux forts enjeux de la
gestion des eaux d’orage en
climat méditerranéen.
TRIBU – 19 rue Frédérick Lemaître 75020 Paris \ 01.43.49.55.75 \ [email protected]
TRIBU Lyon – 355 allée Jacques Monod 69800 Saint Priest \ 04.26.03.48.20 \ [email protected]
TRIBU Lille – 20 rue Henri Poissonnier 59370 Mons en Baroeul \ 03.20.47.91.28 \ [email protected]
DESCRIPTIF DU PROJET
SURFACE DE LA ZAC
8,8 ha
Multifonction
Type de ZAC
Livraison des premiers bâtiments: 2010
ENERGIE
•
•
•
COHESION SOCIALE ET SOLIDARITES
•
•
•
La programmation de la ZAC comporte 75% de
logements. Les 25% restants se répartissent entre
bureaux, commerces, à l’Est et au Sud, et un
équipement central
Mixité fonctionnelle au bâtiment pour les immeubles
situés le long de l’avenue de la Mer. D u bas vers le
haut : commerces, bureaux, logements
COHESIONS TERRITORIALES ET DEPLACEMENTS
•
•
Le tramway, reliant la ZAC au reste de l’agglomération,
longe la ZAC sur l’avenue de la Mer. Afin d’optimiser le
recours aux transports collectifs, la densité est plus
forte et les bureaux et commerces sont concentrés le
long de cette avenue.
Réseau de liaisons douces innervant la ZAC depuis les
réseaux de transports collectifs.
BIODIVERSITE
La ripisylve des bords du Lez constitue un corridor écologique
naturel, confortée par l’aménagement paysager des berges. Elle
s’élargit vers l’Est de la ZAC, se coulant entre les bâtiments et
accompagnant les cheminements doux.
SOLS, NAPPES, GESTION DES EAUX D’ORAGE
La gestion de seaux d’orage et la maîtrise des risques de
débordements du Lez est une question cruciale de
l’agglomération de Montpellier. Elle est traitée par :
•
la maîtrise de l’imperméabilisation des sols avec 51 %
de surface imperméable
3
•
le tamponnage des eaux (4500 m , soit 1000 L par m²
imperméabilisé) à travers les noues de la ZAC et une
plaine paysagère vallonnée au Sud de la ZAC
•
le recherche d’un débit de fuite limité à 2l/s.ha
QUALITE DES AMBIANCES URBAINES
L’approche bioclimatique du plan masse par la prise en compte
des atouts et contraintes du site, s’appuyant sur de nombreuses
simulations (soleil, vent, bruit) est un point fort de cette ZAC :
•
prise en compte des vents forts et fréquents (mistral et
tramontane)
•
pris en compte de sources importantes de bruits :
Avenue de la Mer à l’Est et auroroute A9 au Sud
•
prise en compte de l’ensoleillement maximum des
façades dan les choix d’implantation et de morphologie
(hauteurs
dégradées,
formes
organiques
ondulatoires) : un objectif de 2 heures d’ensoleillement
minimum au 21/12 a été recherché
Données issues de calculs prévisionnels en phase de conception
Un cahier des charges exigentiel est fourni aux
promoteurs
Niveau d’exigence : label BBC
Fort
encouragement
pour
les
solutions
bioclimatiques passives et notamment la ventilation
naturelle (VNAC) dans ce site très venté
Production d’ENR à l’échelle de la ZAC
(photovoltaïque, eoliennes) et du quartier (réseau
chaleur bois)
Consommations tous usages
consommations usages RT
2005
Logements
90
Bureaux
140
40
50
Consommations en kWhEP/m²SDO
EAU
3
Consommation d’eau limitée à 30 m par personne et par an
DECHETS
La quantité des déchets valorisée doit être supérieure à
100 kg par personne et par an.
CHANTIER
Charte chantier à faibles nuisances prévoyant notamment de
valoriser :
•
50% de déchets inertes
•
15 % des autres déchets