Guide_securite_routiere_et_ACM - Services Etat Côte-d`Or
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|%*503*"Par son action auprès des Accueils Collectifs de Mineurs (ACM), l’État, représenté par la Direction Départementale de la Cohésion Sociale (DDCS) de la Côte-d’Or poursuit deux objectifs complémentaires : • • Protéger les mineurs durant leurs temps de loisirs ou de vacances. Renforcer la qualité éducative des accueils de mineurs. La prévention à la sécurité routière constitue une des priorités de l’État dans le département. En effet les jeunes en Côte-d’Or sont impliqués dans 39 % des accidents et représentent 29 % des tués. Les 610 accueils collectifs de mineurs du département peuvent contribuer à la prévention et la sensibilisation des jeunes, en complément de l’école et de la famille. Dans cet objectif, et pour vous permettre de les sensibiliser aux dangers de la route, lorsqu’ils sont accueillis au sein de vos structures, j’ai le plaisir de vous remettre le présent document. Son objectif est double : • Vous informer des principaux points de réglementation relatifs à la sécurité routière pour les mineurs. • Vous donner les moyens d’élaborer des projets d’action de qualité en la matière. Il a été élaboré en étroite collaboration avec la préfecture de la Côte-d’Or, dans le cadre du Plan Départemental d’Actions de Sécurité Routière (PDASR) 2012, et est le résultat d’un groupe de travail composé de personnes ressources expertes (Bureau de la Sécurité Routière de la préfecture et Inspection Académique), de représentants d’ACM et de la DDCS. Je tiens ainsi à tous les remercier vivement pour ce travail, qui, je l’espère, pourra vous aider, organisateurs, directeurs et animateurs d’ACM, à mener des actions de sensibilisation à la sécurité routière au sein de vos structures. Le directeur départemental de la cohésion sociale François BORDAS 4 0.."*3& qUHSDUWLH3ULQFLSDX[SRLQWVGHUpJOHPHQWDWLRQ $±/HVPRGHVGHGpSODFHPHQWVS ,±3LpWRQVS ,,±&\FOLVWHVS ,,,±&\FORPRWRULVWHVFPS ,9±7UDQVSRUWVHQFRPPXQS 9±9pKLFXOHVOpJHUVS %±/HVGDQJHUVGHODURXWHS ,±$OFRROHWVWXSp¿DQWVS ,,±9LWHVVHHWIDWLJXHS ,,,±7pOpSKRQHSRUWDEOHHWEDODGHXUS ,9±6HFRXUVS qPHSDUWLH6XSSRUWVSpGDJRJLTXHV $±3RLQWVLPSRUWDQWVSRXUUpXVVLUXQHDFWLRQ VpFXULWpURXWLqUHS %±0pWKRGRORJLHSRXUOHPRQWDJHGHSURMHWV VSpFL¿TXHVjODVpFXULWpURXWLqUHS &±2XWLOVSpGDJRJLTXHVS '±([HPSOHVGHVpTXHQFHVG¶DQLPDWLRQS (±([HPSOHVGHUpDOLVDWLRQVFRQFUqWHVS )±,GHQWL¿FDWLRQGHUHVVRXUFHVS Partie 1 4VMRGMTEY\TSMRXWHIV«KPIQIRXEXMSRWYV %0)713()7()(40%')1)287 &0)7(%2+)67()0%6398) 0?PRGC"0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGML -Ť4-)8327 4 Ç J M ZBEFT U S PU UPJST PV E FT B D D PUFNFOU T Seul ou en groupe, je dois toujours les emprunter. 4ÇJMOÇZBOJUSPUUPJSTO JBDDPUFNFO UT Si je suis seul : Je dois marcher près du bord gauche de la chaussée pour toujours faire face aux véhicules. Si on est en groupe : 1°) En file indienne, on doit se déplacer sur le bord gauche de la chaussée. 2°) En colonne par deux, on doit se déplacer sur le bord droit de la chaussée. 3°) Si notre groupe est plus important (plus de 20 personnes), on peut le scinder en plusieurs groupes séparés de 50 mètres chacun. (Art. R. 412-42.) Il faut scinder les groupes organisés de plus de 20 personnes et les espacer de 50 m. File indienne, on se déplace sur le bord gauche dans le sens de la marche, afin de voir les autres véhicules venir devant et pouvoir les laisser passer. 50 m groupe Par deux, en groupe organisé, on se déplace sur le bord droit, en gardant un espace à gauche pour laisser passer les autres véhicules. groupe Pour l’encadrement du groupe, un adulte est devant, un autre derrière. 50 m 20 m groupe (Art. R. 412-36.) .BJTMBOVJUPVETRVFMBWJTJCJMJUFTUJOTVGGJTBOUFCSPVJMMBSE BCTF O DF EÇDMBJS BHF Q M V JF UPNC F E F MB OVJ U M F WF S E V K P VS DPNNFOUGBJSF Pour circuler en groupe organisé, la personne située en tête de chaque colonne doit porter un feu blanc (ou jaune) et celle qui ferme la marche, un feu rouge. Pour circuler en groupe organisé et sans trottoirs ni accotements, il est fortement recommandé de circuler en file indienne sur le bord gauche de la chaussée. Seul ou en groupe, je porte de préférence des vêtements clairs et je m’équipe de dispositifs réfléchissants (bandes fluorescentes, brassards, gilets réfléchissants). De plus, en groupe, il est recommandé de porter un brassard réfléchissant au bras gauche de chaque piéton de la colonne de gauche. Ä&UQPVSUSBWFSTFS 1°) Je ne dois traverser la chaussée qu’après m’être assuré que je pouvais le faire sans risque, en regardant des deux côtés, et aussi en fonction de la visibilité, de la distance et de la vitesse des véhicules. Oui ! Non ! 2°) J’ai l’obligation d’emprunter les passages prévus pour les piétons, s’ils sont situés à moins de 50 mètres. Oui ! Non ! Oui ! »»» Comment bien traverser ? 3°) Lorsque la traversée est réglée par des feux de signalisation, je dois attendre le feu vert pour les piétons avant de m’engager. 4°) Lorsque c’est un agent qui règle la circulation, je dois attendre son signal avant de traverser. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQNGRMLQ Ä&YJ T U FJMEFT QB O O FB V Y T Q D JG JR V FT B V Y Q J U P OT Oui, les voici : Le passage pour piétions : Un passage piéton est une partie de la route aménagée pour permettre aux piétons de traverser la chaussée. Il est conçu pour maintenir les piétons groupés dans un espace visible par les automobilistes et où ils peuvent traverser en toute sécurité vis-àvis du trafic routier. L’accès interdit aux piétons La « zone 30 » : Elle délimite un périmètre urbain dans lequel la vitesse maximale autorisée est de 30 km/h pour tous les véhicules. Les aménagements sont tels qu’ils favorisent la cohabitation apaisée de tous les usagers. Toutes les chaussées sont à double sens pour les cyclistes, sauf dispositions différentes. La « zone de rencontre » : Elle est ouverte à tous les modes de transport. Toutefois, les piétons bénéficient de la priorité sur tous, à l’exception des tramways. Ils peuvent se déplacer sur toute la largeur de la voirie. La vitesse des véhicules est limitée à 20 km/h.Toutes les chaussées sont à double sens pour les cyclistes, sauf dispositions différentes prises par l’autorité investie du pouvoir de police. Les entrées et sorties de cette zone sont annoncées par une signalisation et l’ensemble de la zone est aménagé de façon cohérente avec la limitation de vitesse applicable. L’aire piétonne : Elle est dédiée aux piétons : ils y sont prioritaires sur tous les véhicules sauf les tramways. Seuls les véhicules autorisés et les vélos peuvent y circuler et uniquement à l’allure du pas. Ä 1 P VS MFT S PMMFST M FT Q B UJO FUUFT M FT US P U U J OF U U F T F U M F T TL B U F T DPNNFOUBTFQBTTF ATTENTION !!! La réglementation des piétons s’applique aussi aux rollers, aux patinettes, aux trottinettes et aux skates ! Ils doivent circuler sur les trottoirs, utiliser les passages piétons et respecter les feux tricolores. Mais en toutes circonstances, le piéton reste prioritaire ! - & 5 36 $s4 "7 0 *3& / 1 - 64 - FT FO G B O U T F U M B S P VU F En raison de sa petite taille, l’enfant peut se trouver dissimulé, aux yeux des usagers de la route, par des véhicules en stationnement. En outre, l’enfant ne dispose ni du même champ visuel, ni de la même conscience de son environnement que l’adulte (difficulté à évaluer les distances, à distinguer la vitesse des véhicules, incapacité à identifier les signaux sonores du danger, etc.). L’enfant confond taille et éloignement. A égale distance, une voiture lui parait plus éloignée qu’un camion, parce que ce dernier est plus grand. 0?PRGC"0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGML --Ť0IW'='0-78)7 $P NNFOU CJFO R V JQ FST PO W M P De jour comme de nuit, mon vélo doit posséder : » Une sonnette dont le son peut être entendu à 50 mètres au moins. » Deux freins en parfait état de fonctionnement. » Des catadioptres : latéraux (orange), sur les pédales (orange), à l’avant (blanc) et à l’arrière (rouge). De nuit ou de jour par mauvaise visibilité, mon vélo doit posséder : » Un éclairage avant émettant une lumière jaune ou blanche. » Un feu rouge fixe à l’arrière. Je peux aussi équiper mon vélo d’un rétroviseur placé sur le guidon et d’un écarteur de danger. Avant d’utiliser mon vélo, je vérifie son état général : » Les pneus sont-ils bien gonflés ? » La selle, le guidon et les roues sont-ils bien serrés ? rouge : obligatoire noir : recommandé Casque Gilet retroréfléchissant Siège enfant adapté Feu jaune ou blanc et catadioptre blanc Avertisseur sonore (sonnette) et freins Feu rouge et catadioptre rouge Catadioptres oranges pour chaque roue Écarteur de danger Pneus à bandes latérales réfléchissantes et correctement gonflés Catadioptre de pédale $PNNFOUCJFOTÇRVJQFS Hors agglomération, de nuit ou de jour par mauvaise visibilité, je dois porter, un gilet rétroréfléchissant. En agglomération, il est également plus prudent de porter un gilet rétro-réfléchissant, surtout de nuit ou de jour par mauvaise visibilité ! Quelle que soit la visibilité, je porte de préférence des vêtements clairs. Je porte un casque, il n’est pas obligatoire mais vivement recommandé ! Je dois alors bien le positionner (ni trop en avant, ni trop en arrière) et en choisir un adapté à ma taille, sans oublier bien sûr d’attacher la sangle. Je privilégie des chaussures à semelles antidérapantes et je porte des gants de cyclistes. J’évite les écharpes trop longues, les sacs en bandoulière et je fais aussi attention à mes lacets en vérifiant qu’ils soient bien attachés. Enfin, pour rester attentif à la route, je n’écoute pas mon lecteur audio et je n’utilise pas mon téléphone portable en roulant ! Ä$P NNFOU CJFOTFD PNQ PSUFS Tout comme les automobilistes, je dois respecter le Code de la route : » Je m’arrête au stop et aux feux de signalisation. » J’utilise le « sas cycliste » lorsqu’il existe. » Je respecte les priorités, le sens interdit et le sens unique. Je me positionne correctement sur la chaussée : » Je roule à droite et à environ 1 mètre des voitures et / ou du trottoir. » Je ne zigzague pas entre les voitures. » J’utilise les bandes et pistes cyclables lorsqu’elles existent. » Je dois maîtriser ma vitesse. J’anticipe mon changement de direction et je signale mon intention en tendant le bras du côté où je veux tourner. Je suis très vigilant aux intersections et sorties de parking : des véhicules peuvent s’engager sans avoir regardé des deux côtés. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQAWAJGQRCQ Ä"O HMFNPS U HJS B UPJSFFUUSPUUPJSD PNN F OU M F T B Q Q S I F OE F S Qu’est-ce qu’un angle mort ? L’angle mort est une zone où le cycliste n’est pas visible par le conducteur d’un autre véhicule (en violet sur le schéma ci-dessous). 2 m minimum ! » Je me place bien en avant du véhicule (2 mètres minimum). » Je ne me positionne jamais à droite d’un poids lourd, d’un bus ou d’une camionnette. Si vous pouvez voir le conducteur, c’est qu’il peut vous voir (ou directement ou dans le rétroviseur). Que faire dans un giratoire ? J’utilise l’aménagement cyclable quand il existe ou je reste à droite s’il n’existe pas. Je signale par un geste mes changements de direction ou la sortie empruntée. Je regarde les autres conducteurs afin d’être sûr qu’ils me voient (je respecte le «cédez le passage» pour observer les véhicules qui arrivent par la gauche). Je laisse la priorité aux piétons engagés. Puis-je circuler sur les trottoirs et les aires piétonnes ? Je ne peux pas circuler sur les trottoirs. Je dois (sauf en cas de nécessité absolue) circuler sur la chaussée. Toutefois, je peux franchir un trottoir, à partir de l’accès le plus proche, pour rejoindre ou quitter les accès carrossables des immeubles riverains ou des accès non ouverts à la circulation publique. Cependant si je suis un enfant de moins de 8 ans, je suis autorisé à circuler sur les trottoirs, à la condition de conserver l’allure du pas et de ne pas occasionner de gêne aux piétons. Je peux aussi circuler sur le trottoir si je marche à côté de mon vélo. Je peux circuler sur les aires piétonnes, à la condition de conserver l’allure du pas et de ne pas occasionner de gêne aux piétons. Avec son vélo, Tom (qui est déjà au lycée) doit circuler sur la chaussée, car il va bien plus vite qu’un piéton. Avec son vélo, Manon n’a plus le droit de rouler sur le trottoir, à moins de conserver l’allure du pas, car elle a 9 ans et demi ! Sarah a 4 ans : elle peut donc circuler sur le trottoir avec son vélo, à condition de ne pas rouler trop vite et surtout de ne pas géner les autres piétons. Ä&UFOHS PVQFD PNNFO UD B T FQ B T T F On peut rouler à deux, côte à côte. Toutefois de nuit ou par mauvaise visibilité ou lorsqu’un véhicule veut nous dépasser, on doit circuler l’un derrière l’autre. Pour l’encadrement du groupe, un adulte est devant, un autre derrière. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQAWAJGQRCQ En cas de panne, on se place sur le côté de la chaussée et non sur la route. On marque tous un arrêt absolu au Stop et aux feux de signalisation. Au sein du groupe, on n’hésite pas à se prévenir d’un éventuel danger en se parlant ou par un simple geste. C’est plutôt le rôle du premier ou du dernier du groupe. Ä%F T BNOBHFNF O UT D ZD M B C M FT Q PV SR V P J G B J S F Qu’est-ce qu’un véloroute ? C’est un itinéraire cyclable de moyenne ou longue distance, continu (sans interruption, y compris dans les villes), jalonné et sécurisé. Les véloroutes empruntent tous types de voies sécurisées dont les voies vertes. Qu’est-ce qu’une voie verte ? Il s’agit d’une route exclusivement réservée à la circulation des véhicules non motorisés, des piétons et des cavaliers. Qu’est-ce qu’une piste cyclable ? C’est une chaussée exclusivement réservée aux cycles à deux ou trois roues. Elle est physiquement séparée de la circulation motorisée (au moyen d’un séparateur infranchissable par les véhicules à moteur) et peut être bidirectionnelle. Qu’est-ce qu’une bande cyclable ? C’est une voie exclusivement réservée aux cycles à deux ou trois roues sur une chaussée à plusieurs voies. Elle est délimitée par une ligne blanche discontinue. Elle est toujours unidirectionnelle. Qu’est-ce qu’un double ou contresens cyclable ? C’est une voie à double sens dont un sens est exclusivement réservé à la circulation des cycles non motorisés. Je peux circuler en vélo à double sens sur les voies à sens unique dans toutes les zones à 30 km/h et zones de rencontre. Qu’est-ce qu’un sas cyclable ? C’est un aménagement réservé aux cyclistes et situé devant la ligne d’effet des feux. Le sas permet au cycliste de profiter du feu rouge pour se positionner devant les autres véhicules afin de : » mieux voir et être vu, » se positionner à gauche avant les véhicules qui sont derrière lui et qui suivent la même direction, » démarrer avant les véhicules à moteur, ce qui assure une bonne perception et insertion, » ne pas respirer les gaz d’échappement au démarrage. De par l’éloignement engendré, entre le passage piéton s’il y en a un, et les véhicules motorisés, le sas permet au piéton : » d’être mieux vu par les conducteurs de véhicules de grande hauteur, notamment pour le piéton de faible taille, » de sécuriser sa traversée. Le principe de ce sas consiste donc, sur toute la largeur des voies de circulation générale concernées par le feu, à reculer ou à marquer en retrait la ligne d’effet des feux des voitures. Une bande cyclable doit permettre aux cyclistes de remonter réglementairement sur leur voie la file de voitures pour entrer dans le sas. Qu’est-ce qu’un « tourne-à-droite » ou « tout droit » ? Il s’agit d’une nouvelle signalisation destinée exclusivement aux cyclistes et non pas aux conducteurs de véhicules à moteur (deux-roues motorisés, voitures...). . Elle permet désormais aux maires d’autoriser les cyclistes, dans certains carrefours, à tourner à droite ou à aller tout droit lorsqu’il n’y a pas de voie à droite alors que le feu est rouge, en respectant la priorité accordée aux autres usagers, et principalement aux piétons. Elle se traduit par des panonceaux (petits panneaux placés sous un feu) ou des feux jaunes clignotants qui montrent une silhouette de vélo et indiquent par une flèche la direction autorisée : 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQAWAJGQRCQ Attention !!! Le cycliste doit effectuer ce déplacement avec prudence : il doit laisser passer les piétons -au besoin en s’arrêtant- et s’engager dans le carrefour en laissant la priorité aux autres véhicules qui passent au vert. Le « tourne-à-droite » ou la possibilité de continuer « tout droit » au feu rouge n’est autorisé qu’en présence de la signalisation spécifique. Il demeure strictement obligatoire d’observer l’arrêt au feu rouge sur l’ensemble des intersections ne mentionnant pas l’autorisation. Le « tourne-à-droite » n’autorise jamais d’aller tout droit. Cette nouvelle signalisation concerne uniquement les cyclistes. Elle ne s’applique en aucun cas aux conducteurs de véhicules à moteur (deux-roues motorisés, voitures...). (Phrase à enlever car doublon avec une d’avant). Si le feu est en panne, le panonceau n’a donc plus de signification. C’est alors la règle générale en termes de priorité qui s’applique. Quand dois-je utiliser ces aménagements cyclables ? Quand ils sont présents, je les utilise que la signalisation l’impose ou pas. Bien sûr, s’ils n’existent pas, je reste à droite. Dans tous les cas, je dois toujours être vigilant, maîtriser ma vitesse et respecter le sens de circulation indiqué. 2 V FMMFT T POU MFT T JHO B M JT B UJPO T E FT UJOB U J P O E F T D Z D M J TU F T Les signaux de prescription : Accès interdit aux cycles. Circulation interdite à tout véhicule dans les deux sens. Attention : un cycle est aussi un véhicule. Ce panneau interdit donc l’accès aux cycles également . Piste ou bande obligatoire pour les cycles sans side-car ou remorque. Voie réservée aux véhicules des services réguliers de transport en commun. Attention : Les voies pour les bus sont interdites aux cycles sauf lorsque le panonceau suivant figure sous le panneau Voie réservée aux tramways. Rappel : la plateforme du tramway, c’est-à-dire la voie de circulation dotée de rails réservée au tramway, est interdite à la circulation ou au stationnement de tous les véhicules, donc y compris les cycles. Sens interdit à tous les véhicules sauf les cycles . Ce panneau est situé à l’entrée d’un double-sens cycliste. Attention : Les voies pour les bus sont interdites aux cycles sauf lorsque le panonceau figure sous le panneau. Interdiction de tourner à droite à la prochaine intersection, sauf pour les cyclistes. Entrée d’une zone de rencontre. Elle est ouverte à tous les modes de transport. Toutefois, les piétons bénéficient de la priorité sur tous, à l’exception des tramways. Ils peuvent se déplacer sur toute la largeur de la voirie. La vitesse des véhicules est limitée à 20 km/h. Entrée d’une aire piétonne. Elle est dédiée aux piétons : ils y sont prioritaires sur tous les véhicules sauf les tramways. Seuls les véhicules autorisés et les vélos peuvent y circuler et uniquement à l’allure du pas. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQAWAJGQRCQ Les signaux de danger : Débouché de cyclistes venant de droite ou de gauche. Ce panneau est pour les automobilistes bien sûr ! Traversée de voies de tramways. Ce panneau d’alerte vous indique que vous allez croiser une voie de tram dans 30 à 50 mètres. Ralentissez ! Débouché sur un quai ou une berge. Signaux d’indication : Piste ou bande cyclable conseillée et réservée aux cycles à deux ou trois roues. Ce signal indique que l’accès à une piste ou à une bande cyclable est conseillé et réservé aux cycles à deux ou trois roues et indique aux piétons et aux conducteurs des autres véhicules qu’ils n’ont pas le droit d’emprunter cet aménagement ni de s’y arrêter. Fin d’une piste ou d’une bande cyclable conseillée et réservée aux cycles Conditions particulières de circulation par voie sur la route suivie. Les panneaux y indiquent les conditions particulières de circulation telles que nombre de voies, sens de circulation par voie, ou indications concernant une ou plusieurs voies de la chaussée. Sur ce panneau, il s’agit d’une chaussée à double sens dont un sens est réservé aux cycles. C’est le double sens cyclable. Route à accès réglementé. Ce signal annonce le début d’une section de route sur laquelle les cycles sont interdits . Voie verte (réservée à la circulation des piétons et des véhicules non motorisés). Direction conseillée aux cycles. Les feux lumineux : ««« Signaux tricolores pour cyclistes. Signaux d’anticipation pour cycles »»» 0?PRGC"0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGML ---0IW'='0313836-78)7 '1 Définition : un cyclomoteur est un véhicule à deux ou trois roues, équipé d’un moteur, d’une cylindrée ne dépassant pas 50 cm3 et ayant une vitesse maximale par construction de 45 km/h. 4 B OT DBS S PT TFSJF D PNNFO U USF Q S P U H $ P N N F OU C J F O TÇRVJQFS Le casque : En cyclomoteur ou en motocyclette, je dois toujours porter un casque, c’est obligatoire et indispensable ! Je dois en choisir un adapté à ma taille et ne pas oublier d’attacher la sangle. Un casque est donc personnel ! Si je le mets dans mon coffre, à mon poignet ou juste posé sur le front, pendant que je conduis, il ne servira à rien ! Après un choc, je dois le changer car il aura perdu de son efficacité. J’opte pour un casque homologué (avec l’étiquette blanche E) et de préférence intégral pour me protéger le menton en cas de chute. Tous les 5 ans à 7 ans, il est conseillé de le changer. La tenue : Une tenue adaptée est très fortement recommandée : » Je me protège en mettant des vêtements épais et solides. » Je porte toujours des gants pour éviter les brûlures en cas de chute, même quand il fait chaud. » J’essaie de mettre des chaussures montantes pour protéger mes chevilles en cas de chute. De nuit, je m’équipe de dispositifs réfléchissants (brassards, gilet, etc.) Un casque (intégral de préférence) Le cyclomoteur : Au moins un rétroviseur à gauche Un feu et un dispositif réfléchissant rouges à l’arrière Des gants Un ou deux feux de croisement Une plaque d’immatriculation Des dispositifs réfléchissants oranges latéraux. Ä3 F TQFDU FS MBS HM FNFO UB UJPO B W FV UE J S F R VP J L’âge légal pour conduire un cyclomoteur : Pour que je puisse conduire un cyclomoteur, je dois avoir au moins 14 ans et être titulaire du Brevet de Sécurité Routière (BSR). Il s’agit d’une formation théorique et pratique. Les feux de jour : Pour ma sécurité, je dois allumer mes feux même dans la journée, c’est obligatoire. Je serai ainsi mieux vu des autres usagers de la route. Le débridage : Je n’ai pas le droit de faire débrider mon cyclomoteur ou une motocyclette. C’est interdit et sanctionné ! Mon cyclomoteur est conçu pour une vitesse maximum de 45 km/h. Au-delà, danger ! De plus, en cas d’accident, je risque de ne plus être assuré et lors d’un contrôle, il va m’être confisqué. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQAWAJMKMRMPGQRCQ L’assurance : Je dois obligatoirement posséder une assurance pour les dommages que je pourrais causer aux autres. Je vérifie dans le contrat que mes dommages corporels sont bien pris en compte et si je prête mon cyclomoteur, que je suis également assuré pour un autre conducteur. L’immatriculation : Mon cyclomoteur doit être immatriculé, c’est obligatoire. Ä$PNNFOUTFDPNQPSUFS Je respecte le code de la route : » » » » Je maintiens les distances de sécurité ! Je respecte les règles de priorité. Je signale systématiquement mes changements de direction. Je respecte les limitations de vitesse, notamment dans les zones limitées à 30 km/h ! » J’anticipe et je suis attentif aux réactions des autres ! » » » » » Je ne me faufile pas entre les voitures. Je ne change pas de file brusquement. Je ne dépasse jamais par la droite ! Je n’oublie pas d’utiliser mes rétroviseurs. Je n’emprunte pas les aménagements cyclables : ils sont exclusivement réservés aux cyclistes. Ä1 F VU POU S FEFV Y T V SV O E FV Y SPV FT N P U P S J T Je peux transporter un passager si cette possibilité est mentionnée sur la carte grise ou sur le certificat de conformité de mon cyclomoteur (remis lors de l’achat). Je dois alors posséder un véhicule adapté et équipé d’une deuxième place, de poignées et de repose-pieds pour le passager. Attention, je ne peux pas prendre quelqu’un sur mon porte-bagage ! Si je transporte un enfant, il doit obligatoirement toucher les repose-pieds. Bien-sûr, mon passager doit aussi porter un casque et une tenue adaptée. Ces règles s’appliquent, que je sois passager d’un cyclomoteur ou d’une moto. 0?PRGC"0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGML -:Ť0IW86%2743687IR'31192 4 F EQMBDFS FOC V T B V UPC V T PV B V UPD B S Définition : Le transport en commun de personnes est le transport de passagers au moyen d’un véhicule à moteur qui comporte plus de 9 places assises y compris celle du conducteur. Les véhicules de transport en commun comprennent les autobus et autocars, tels que définis à l’article R 311-1 du code de la route. Le permis D est obligatoire pour conduire un véhicule de transport en commun comportant plus de 9 places assises. Depuis le 1er janvier 2010 l’installation d’un éthylotest antidémarrage est obligatoire dans tous les autocars mis en circulation à partir de 2010 transportant des enfants. A compter du 1er septembre 2015, le dispositif sera étendu à tout autocar affecté à un transport en commun de personnes. La ceinture de sécurité >>> 1 personne = 1 place = 1 ceinture Si le siège que j’occupe dans le bus comporte une ceinture de sécurité, je dois obligatoirement l’attacher. Chaque siège équipé d’une ceinture de sécurité ne peut être occupé que par une seule personne. Il est fortement recommandé de choisir un bus équipé de ceintures de sécurité. Véhicules non concernés par l’obligation d’équipement de la ceinture de sécurité : » Les autobus : il s’agit des véhicules de transport en commun urbain, conçus essentiellement avec des places debout et dont les places assises ne sont pas équipées de ceinture de sécurité. » Les petits trains routiers à vocation touristique. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQRP?LQNMPRQCLAMKKSL L’utilisation d’un système homologué de retenue pour les enfants de moins de dix ans n’est pas obligatoire dans un véhicule de transport en commun Le passager d’un autocar qui n’attache pas sa ceinture de sécurité est passible d’une contravention. Le conducteur d’un autocar n’est pas responsable du fait qu’un passager ne soit pas attaché, y compris pour les enfants âgés de moins de dix-huit ans. Il n’est donc pas passible d’une contravention. L’organisateur d’un transport de personnes (l’organisateur et l’équipe pédagogique de l’ACM) est responsable des conditions générales de sécurité du transport qu’il organise et lorsque les personnes sont des enfants, de leur surveillance. Pour ces derniers, il doit prendre les mesures de prévention nécessaires pour assurer le respect de cette obligation : » Information et sensibilisation des enfants et des parents, par exemple en généralisant l’institution des «règlements du transport en commun» qui insisteront sur le port de la ceinture de sécurité. » Surveillance accrue des animateurs, notamment, des jeunes enfants. Concernant les mineurs : Dans le bus, je reste assis et calme pour ne pas me faire mal et pour ne pas déconcentrer le conducteur ! A la montée et à la descente du bus, j’ai un comportement prudent : » Je ne cours pas pour rattraper un bus » Je ne bouscule personne à l’approche du bus » Je dois reculer à l’approche du bus, attendre qu’il soit arrêté pour monter » Je ne traverse pas devant ou derrière un bus à l’arrêt » Je dois attendre qu’il soit parti pour traverser afin de voir les autres véhicules arriver et être vu. Nous vous invitons également à vous reporter au « Mémento conseils et réglementation – Accueils Collectifs de Mineurs » de la DDCS 21 partie « transports et déplacements » pour avoir des informations complémentaires sur le sujet. -FUSBNXBZ La voie du tram, c’est que pour le tram ? Oui, la voie du tram, c’est que pour le tram ! La plateforme du tram n’est pas une aire de promenade ! Quand je suis à pied, pour traverser la voie de tram, je dois toujours emprunter les passages aménagés à cet effet pour être en sécurité. J’utilise donc les larges trottoirs aménagés. Lorsque ces aménagements sont signalisés, je dois m’assurer que le feu dédié aux piétons est éteint. S’il est rouge clignotant, je ne traverse surtout pas ! En vélo, il est interdit de circuler sur la plateforme ! Je dois utiliser les pistes cyclables qui longent les lignes du tramway. Il n’y a pas loin de 20 km d’itinéraires cyclables aménagés dans les deux sens sur la parcours du tramway du Grand Dijon. Pour traverser la plateforme du tramway, je dois emprunter les passages aménagés et traverser bien perpendiculairement aux voies, pour éviter que mes roues ne se coincent dans les rails et me fassent chuter. Sur des distances très courtes et à quelques rares endroits, le tramway partage sa voie de circulation avec un bus ou avec tout type de véhicule (voiture, vélo, scooter). Il s’agit de secteurs mixtes, je dois donc être extrêmement vigilant à ces endroits. Qui à la priorité, le tram ou les autres véhicules ? Pas besoin d’hésiter, le tram a toujours la priorité ! Dans la plupart des cas, les carrefours avec la voie de tram sont gérés par des feux tricolores classiques. Quand il n’y a pas ces feux, je dois le laisser passer, le tram est prioritaire. Existe-il des panneaux spécifiques au tramway ? Oui, les voici : Ce feu rouge signale l’arrivée imminente d’un tramway et remplace le feu tricolore à certains carrefours. S’il clignote, arrêtez-vous immédiatement. S’il est éteint, la voie est libre, mais restez prudent. Ce feu est installé au niveau des traversées piétonnes aménagées. Lorsqu’il est allumé, arrêtez-vous obligatoirement et même s’il est éteint, restez vigilant ! 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQRP?LQNMPRQCLAMKKSL Et quand il n’y a pas de feux tricolores, d’autres panneaux peuvent être présents : Ce panneau d’alerte vous indique que vous allez croiser une voie de tram dans 30 à 50 mètres. Dès que vous l’apercevez, ralentissez ! Ce panneau de position vous indique une traversée immédiate de la plateforme du tramway. Il est placé à droite de la chaussée, juste avant la traversée de la plateforme. Attention, dans tous les cas, vous n’avez pas la priorité ! Le panneau indiquant une traversée immédiate de la plateforme est généralement surmonté d’un feu rouge clignotant. Les feux de signalisation du tram sont éteints ou ne fonctionnent pas ? Dans tous les cas, le tram reste prioritaire sur les véhicules et les piétons ! Le tramway a aussi ces propres feux de signalisation : Ces feux monocolores sont destinés uniquement au tramway pour ne pas créer de confusion avec les feux tricolores classiques. Néanmoins, chacun selon sa position a la même signification que les feux tricolores destinés aux autres véhicules. A l’approche du tramway, qu’est-ce que je fais ? Long et imposant, le tramway circule la plupart du temps sur une double voie. Au niveau des stations, je ne dois pas traverser devant une rame à l’arrêt, mais attendre qu’elle reparte et m’assurer qu’aucune autre n’arrive car « un tramway peut en cacher un autre ! » Comme pour traverser une route, je dois toujours regarder des deux côtés avant de traverser. Attention : le tramway circule généralement à droite, mais il peut dans certains cas rouler à gauche. En voiture, il faut redoubler de vigilance lorsque vous arrivez près de la plateforme du tram : avant de la traverser aux endroits autorisés, il faut s’assurer que le tram ne se trouve pas dans l’angle mort. Une fois lancé, le tram met du temps à s’arrêter, il ne peut pas piler. A la différence d’un bus, le tramway circule sur des rails dont il ne peut pas sortir. Il lui est donc impossible de changer de trajectoire. Il ne peut donc pas éviter les obstacles qui se présenteraient sur sa voie autrement qu’en freinant. Je dois donc rester très vigilant à l’approche du tram, et si je tiens un animal en laisse, je veille à ce qu’il reste à bonne distance des voies. 40 mètres c’est la distance qu’il faut au tramway pour s’arrêter totalement lorsqu’il roule à 20 km/h Le tramway, un transport silencieux ? Le tramway fonctionne à l’électricité et c’est ce qui le rend aussi écologique que silencieux. 1* *2 Aussi, aux abords de la plateforme, j’évite de téléphoner ou d’écouter de la musique. Je risque de ne pas entendre le tramway approcher ! Le tram signale son arrivée par une sonnette appelée « gong », qui retentit également en cas d’obstacle sur les voies ou à proximité des voies (présence d’un piéton, d’une poussette…), qui gênerait le passage du tramway ou représenterait un danger. Quand je l’entends, je suis très attentif et je dégage la voie immédiatement si je gêne le passage du tram. Et comment fait-il pour circuler ? Entre les lignes électriques et le tram, le courant passe ! La ligne de contact située juste au-dessus du tramway assure son alimentation en électricité et lui permet de fonctionner. C’est une ligne à moyenne tension qui peut provoquer de gros dommages corporels. Tout contact direct ou indirect avec cette ligne est donc formellement interdit. Je ne dois jamais m’approcher des lignes aériennes de contact ! De plus, des arcs électriques dangereux peuvent se déclencher à moins d’un mètre de la ligne. 0?PRGC"0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGML :Ť0IW1-2-&97IXPIW:,-'90)7 0+)67 Rappel : Un véhicule léger peut comporter jusqu’à neuf places, celle du conducteur comprise. Le conducteur doit être titulaire du permis B valide. Un minibus conçu pour le transport de 9 personnes (dont le chauffeur) ne constitue pas un véhicule de transport en commun de personnes. Les règles applicables aux voitures particulières s’appliquent, le conducteur doit être titulaire du permis B. C’est pourquoi une visite médicale n’est pas obligatoire pour conduire un minibus. Nous vous invitons également à vous reporter au « Mémento conseils et réglementation – Accueils Collectifs de Mineurs » de la DDCS 21 partie « transports et déplacements » pour avoir des informations complémentaire sur le sujet. -F DPOU S §MFU FDI O JR V FE V W I JD V M F Le contrôle technique du véhicule est obligatoire et doit avoir lieu au plus tard 4 ans après sa mise en circulation (véhicule neuf ), puis tous les 2 ans. -BDFJOU VS FEFT D V SJU Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire à l’avant comme à l’arrière 1 personne = 1 place = 1 ceinture En circulation, tout conducteur doit s’assurer que tout passager âgé de moins de dix-huit ans qu’il transporte est maintenu soit par un système homologué de retenue pour enfant, soit par une ceinture de sécurité. Le conducteur doit s’assurer que tout enfant de moins de dix ans est retenu par un système homologué de retenue pour enfant adapté à sa morphologie et à son poids. Toutefois, l’utilisation d’un système homologué de retenue pour enfant n’est pas obligatoire : » pour tout enfant dont la morphologie est adaptée au port de la ceinture de sécurité ; » pour tout enfant muni d’un certificat médical d’exemption qui mentionne sa durée de validité et comporte le symbole prévu au 2° du II de l’article R. 412-1 ; » pour tout enfant transporté dans un taxi ou dans un véhicule de transport en commun. J’utilise des dispositifs homologués et je veille à les installer en suivant rigoureusement les indications du fabricant. Les différents systèmes homologués de retenue pour enfant : Groupe 0 (naissance à 10 kg) Groupe 1 (9 à 18 kg) Groupe 2 et 3 (15-25 kg et 22-36 kg) |RV JQFNFOU T EV W I JD V M F Le gilet rétro-réfléchissant et le triangle de présignalisation sont obligatoires dans le véhicule. L’éthylotest est obligatoire à compter du 1er juillet 2012. » Le gilet de sécurité, conforme à la réglementation en vigueur (marquage CE apposé sur le gilet), devra être porté par le conducteur avant de sortir du véhicule, lequel est immobilisé sur la chaussée ou ses abords à la suite d’un arrêt d’urgence. » Un triangle de pré-signalisation homologué devra se trouver à bord du véhicule. Le conducteur devra le placer sur la chaussée, dès qu’il sort du véhicule, à une distance de 30 mètres au moins de celui-ci ou de l’obstacle à signaler. » L’éthylotest doit être non usagé, en cours de validité et à disposition immédiate. Je ne pose pas d’objets sur la plage arrière, car ils réduisent la visibilité du conducteur et risquent de se transformer en projectiles dangereux en cas de freinage brutal. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQKGLG@SQCRJCQTFGASJCQJECPQ 4UBUJPOOFNFOU Afin de faire descendre les passagers du véhicule, je m’arrête ou je me stationne du côté droit de la rue ou de la route, dans le sens de circulation. Lorsque le véhicule est stationné ou arrêté, pour sortir du véhicule, les passagers descendent du côté trottoir ou accotement et pas du côté route ou rue. »»» Je stationne du côté droit dans le sens de »»» Attention, je risque de provoquer un grave la circulation et je fais descendre les passagers sur le trottoirs ou l’accotement pour garantir leur sécurité. accident si je fais descendre les passagers sur la route ! Sur autoroute, lorsque le véhicule est en panne et arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence, je ne reste pas dans le véhicule mais tous les occupants du véhicule descendent côté accotement et se placent derrière les glissières de sécurité. Nous vous invitons également à vous reporter au « Mémento conseils et réglementation – Accueils Collectifs de Mineurs » de la DDCS 21 partie « transports et déplacements » pour avoir des informations complémentaires sur le sujet. 0?PRGC"4MSRQ?TMGPQSPJCQB?LECPQBCJ?PMSRC -Ť%0'330IX7894*-%287 -ÇBMDPPM Il est interdit de boire de l’alcool en Accueil Collectif de Mineurs ! Il est interdit de conduire avec un taux d’alcool supérieur ou égal à 0,5 g d’alcool par litre de sang soit 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré. Pour les conducteurs de véhicules de transports en commun, il est interdit de conduire avec un taux supérieur ou égal à 0,2 g d’alcool par litre de sang soit 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré. A compter du 1er juillet 2012, tous les conducteurs de véhicules terrestres à moteur devront posséder un éthylotest non usagé, en cours de validité et à disposition immédiate. Sont exclus de cette mesure les conducteurs des 2 ou 3 roues ne dépassant pas 50 cm3 ainsi que les conducteurs de véhicule équipé d’un éthylotest anti-démarrage. Les effets de l’alcool sont les suivants : rétrécissement du champ visuel, diminution des réflexes, altération de l’appréciation des distances, augmentation de la sensibilité à l’éblouissement, excès de confiance en soi. Doses dans les bars... Vin (10cl. à 12°) Il y autant d’alcool dans un verre de vin, un verre de bière, un verre d’apéritif, un verre de cocktail alcoolisé ou un verre de digestif (dose servie dans un bar). Attention, à domicile, les doses sont souvent supérieures aux doses servies dans un bar ! = Whisky-soda (3cl. à 40°+soda) 0,25 Bière (25 cl. à 5°) gramme d’alcool/litre de sang Pastis (2,5 cl. à 45°+eau) Planteur et autres cocktails (2,5 cl à 50°+jus) 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGML?JAMMJCRQRSNDG?LRQ Le taux d’alcool maximal est atteint une demi-heure après une absorption à jeun ou une heure après une absorption au cours d’un repas. Aucun « truc » ne permet d’éliminer l’alcool plus rapidement ! Avant de rependre le volant, si j’ai consommé de l’alcool, je me contrôle pour savoir si je peux conduire. Si je suis au dessus de la limite légale d’alcoolémie, plusieurs solutions existent : » solliciter des amis qui n’ont pas bu pour se faire raccompagner » utiliser les transports en commun ou appeler un taxi » attendre sur place que l’alcoolémie diminue et la tester avec un éthylotest avant de repartir Même à petite dose, l’alcool agit directement sur le cerveau. Raison de plus pour ne pas ignorer ses effets : » Des capacités surestimées : L’alcool a un effet très dangereux : le conducteur se sent capable de tout ou presque sans avoir conscience du danger qu’il représente pour lui et pour les autres. Avec un taux d’alcool de 0,5 g, la conduite devient plus heurtée et le conducteur commet beaucoup plus d’erreurs. » Des risques sous-évalués, un comportement dangereux : L’alcool désinhibe : le conducteur est amené à sous-évaluer les risques (excès de vitesse, oubli de la ceinture de sécurité ou du casque, non respect des priorités, ….) et peut se montrer agressif avec les autres conducteurs. L’évolution du taux d’alcool varie selon le sexe, l’âge et la corpulence de l’individu. » Un champ de vision rétréci et une perception des distances modifiée : Sous l’effet de l’alcool, un conducteur freinera sur une distance trop courte pour pouvoir s’arrêter à temps ou encore il ne saura pas évaluer la largeur d’un passage pour son véhicule. » Des réflexes diminués, une coordination des mouvements perturbée : Le temps de réaction dans des conditions normales est évalué à 1 seconde environ. Avec un taux d’alcool de 0,5 gr, il peut atteindre 1,5 secondes. Un véhicule qui roule à 90 km/h parcourt 25 mètres en 1 seconde et 37 mètres en 1,5 secondes. Sur ces 12 mètres, une vie peut être sauvée. Bien sûr, plus l’alcoolémie est élevée plus le temps de réaction augmente. » Une sensibilité à l’éblouissement accrue. » Une vigilance et une résistance à la fatigue diminuées. Notons que la consommation d’alcool peut avoir des conséquences graves sur la santé. Ä4 UVQGJBOU T La consommation de drogues est strictement interdite par la loi ! Il n’y a pas de drogues inoffensives : toutes les drogues agissent sur le cerveau et les effets qu’elles produisent sont incompatibles avec la conduite automobile. Bien souvent, le conducteur sous l’influence de drogues n’est pas conscient que ses facultés sont affaiblies. Les drogues affectent sa capacité à conduire, et ce, même lorsqu’il a l’impression que les effets des drogues se sont dissipés. Les effets des drogues peuvent varier d’une personne à l’autre et même d’une fois à l’autre. Cela dépend du produit consommé, des caractéristiques propres à chaque personne et du contexte de consommation. Le fait de consommer plusieurs substances lors d’une même occasion (alcool/drogues) est très dangereux et augmente considérablement le risque d’être impliqué dans un accident mortel. Le mélange drogue et alcool multiplie par 14 les risques d’accident mortel. Les principaux effets des drogues sur la conduite sont les suivants : » somnolence, » augmentation du temps de réaction, » perte de coordination, » problèmes de vision, » risque de ne pouvoir faire face à l’imprévu, » agressivité. On a retrouvé des drogues chez près de 25 % des conducteurs décédés (entre 1999 et 2002), dont la principale est le cannabis. Attention : certains médicaments prescrits ou disponibles en vente libre peuvent affecter la capacité à conduire. Pour ne pas prendre de risque, il vaut mieux s’informer auprès de son médecin ou de son pharmacien. 0?PRGC"4MSRQ?TMGPQSPJCQB?LECPQBCJ?PMSRC --Ť:-8)77)IX*%8-+9) 7JUFTTF La vitesse maximale autorisée sur route en France dépend dans le cas général du type de routes (autoroutes, routes à chaussées séparées ou autres) et des conditions de circulation. Elle peut aussi être réduite en fonction de la nature du véhicule ou du conducteur. Plus la vitesse augmente, plus le champ visuel est réduit. À grande vitesse, il se limite à une vision centrale de la route. Rouler vite fatigue, obligeant le conducteur à traiter un grand nombre d’informations dans un minimum de temps et à adapter en permanence sa vision. La vitesse induit un stress qui entraîne fatigue et perte de vigilance, deux facteurs importants d’accident. En cas d’accident, avec une vitesse importante, le choc est plus violent et les conséquences plus graves. Tout choc frontal au-dessus de 80 km/h entraîne quasi inévitablement la mort ou des séquelles irréversibles pour tout passager, même ceinturé. Le conducteur adapte sa vitesse aux circonstances : lieux traversés, conditions de circulation et climatiques, état de la chaussée, chargement du véhicule, état des pneus… La distance d’arrêt augmente avec la vitesse. Elle correspond à la distance parcourue pendant le temps de réaction du conducteur ajoutée à la distance de freinage du véhicule. Le temps de réaction varie de 1 à 2 secondes. La distance parcourue pendant ce délai augmente avec la vitesse. La distance de freinage du véhicule dépend, bien entendu de l’état de la chaussée, mais surtout de la vitesse. Il est donc primordial de respecter les distances de sécurité. Sur la route, laissez au moins 2 secondes entre vous et le véhicule qui vous précède. Sur autoroute, maintenez une distance au moins égale à deux lignes blanches de la bande d’arrêt d’urgence. 1 trait = danger, 2 traits = sécurité ' BU JH VF Les signes de la fatigue : » raideurs dans la nuque, » douleurs dans le dos, » une certaine fixité du regard. Tous ces signes doivent alerter le conducteur ! Les signes de la somnolence : » bâillements, » paupières lourdes, » périodes d’absence, » désir de changer fréquemment de position. Ces signes révèlent les difficultés à se maintenir éveillé. En outre, la somnolence entraîne des périodes de « micro-sommeils » (de 1 à 4 secondes) pouvant être extrêmement dangereuses pour la sécurité de tous ! Un accident sur cinq est dû à l’endormissement au volant sur autoroute. Conduire en étant somnolant multiplie par huit le risque d’avoir un accident corporel. Un automobiliste qui prend la route en ayant dormi cinq heures ou moins la veille de son départ a 3 fois plus de risques d’avoir un accident qu’un conducteur reposé. Prendre la route avec un manque de sommeil, ou rester volontairement éveillé longtemps afin de parcourir plus de kilomètres, provoquent les mêmes effets négatifs sur les capacités du conducteur que la présence d’alcool dans le sang : 17 heures de veille active équivalent à 0,5 g d’alcool par litre de sang. Il est donc nécessaire de réaliser des temps de pause : soit environ 15 minutes toutes les 2 heures. Sur les autoroutes françaises, on peut trouver une aire de repos environ toutes les 10 minutes. 0?PRGC"4MSRQ?TMGPQSPJCQB?LECPQBCJ?PMSRC ---Ť804,32)4368%&0) &%0%()96 IXEYXVIWXIGLRSPSKMIWQSFMPIW L’usage d’un téléphone tenu en main par le conducteur d’un véhicule en circulation est strictement interdit par la loi. 8 Français sur 10 sont équipés d’un téléphone « portable » et près de la moitié des conducteurs utilisent un téléphone en conduisant... ...mais téléphoner en conduisant multiplie par 3 les risques d’accidents. En 2009, près d’1 accident corporel de la route sur 10 pourrait être associé à l’utilisation du téléphone en conduisant, soit plus de 7.230 accidents corporels. En moyenne le nombre d’usagers dans la circulation qui, à un instant « t », utilisent un téléphone portable est estimé en France à 2,3% pour le téléphone tenu à la main et à 6% tous systèmes confondus (à la main et dispositif mains-libres). Les conducteurs de poids lourds utilisent davantage leur téléphone portable tenu en main (3,9% à un instant « t » tous systèmes confondus) que les conducteurs de camionnettes (3,4%), eux-mêmes plus grands utilisateurs que les conducteurs de véhicules légers (2,1%). Progressivement la téléphonie vocale recule au profit d’usages tactiles et visuels du téléphone – échanges de SMS mais aussi consultation d’Internet et d’applications sur des terminaux type SmartPhones - qui sollicitent encore davantage les capacités d’attention du conducteur. Ces pratiques émergentes provoquent des manipulations longues - maniement de claviers et d’écrans tactiles - associées à la lecture d’écrans qui mobilisent la vision et l’attention. Ces usages nouveaux constituent une source de distraction encore plus dangereuse pour la sécurité routière. Depuis 2008, le Code de la route interdit « de placer dans le champ de vision du conducteur d’un véhicule en circulation un appareil en fonctionnement doté d’un écran et ne constituant pas une aide à la conduite ou à la navigation. » 0?PRGC"4MSRQ?TMGPQSPJCQB?LECPQBCJ?PMSRC -:Ť0IW7)'3967 Que faire en cas d’accident ? 4638+)6 %0)68)6 Ä-" 1305&$5*0/ Conduite à tenir : » Reconnaître les dangers : évaluer la présence de dangers qui peuvent menacer le sauveteur et/ou la victime. » Protéger : quand cela est possible, supprimer immédiatement et de façon permanente les dangers environnants pour protéger le sauveteur, la victime et les autres personnes, notamment du surraccident. Pour réaliser la protection, utiliser tous les moyens matériels dont on peut disposer et s’assurer si besoin du concours de toute personne apte qui pourrait apporter une aide dans la mise en oeuvre de cette protection. Protection d’un accident de la route : Si l’on est en voiture : » allumer ses feux de détresse dès que l’on est en vue d’un accident et ralentir, » garer son véhicule, si possible après le lieu de l’accident, sur la bande d’arrêt d’urgence si elle existe , » veiller à faire descendre immédiatement tous les occupants du véhicule et les mettre en sécurité sur le bas-côté, derrière les glissières de sécurité, si elles existent. Dans tous les cas : » baliser de part et d’autre de l’accident à 150 ou 200 m, pour éviter tout suraccident (gilets de haute visibilité, triangle de pré-signalisation, lampe électrique, linge blanc, feux de détresse du véhicule...), avec l’aide de témoins éventuels, » interdire toute approche si un danger persiste (transport de matières dangereuses), » ne pas fumer et ne pas laisser fumer. En présence d’un feu naissant dans un compartiment moteur, utiliser un extincteur, » couper le contact des voitures accidentées, quand c’est possible. 0PGLAGN?SVNMGLRQBCPEJCKCLR?RGMLJCQQCAMSPQ Ä-Ç " -&35& Conduite à tenir : Se munir d’un moyen de communication : l’alerte des secours peut être réalisée à l’aide : » d’un téléphone fixe ou mobile » d’une cabine téléphonique » d’une borne d’appel (qui est reliée directement à un service de secours). Choisir un service de secours adapté : » le 18 : les SAPEURS-POMPIERS pour tout problème de secours, notamment accident, incendie... » le 15 : le SAMU – centre 15 pour tout problème urgent de santé, » le 17 : la POLICE ou la GENDARMERIE pour tout problème de sécurité ou d’ordre public, » le 112 : numéro d’appel unique des urgences sur le territoire européen, destiné aux étrangers circulant en France ou aux français circulant en Europe. En France, ce numéro ne se substitue pas aux autres numéros d’urgence, » le 115 : le SAMU social pour toute personne qui présente une détresse sociale, comme les personnes sans domicile ou sans abri et exposées aux intempéries. Transmettre les informations : L’appelant doit pouvoir renseigner les services d’urgence et donner les indications suivantes : » NUMERO DU TELEPHONE ou de la borne d’où l’on appelle (si nécessaire, donner son nom) ; » NATURE DU PROBLEME, maladie ou accident ; » RISQUES éventuels : incendie, explosion, effondrement, produits chimiques et tout autre danger; » LOCALISATION très précise de l’évènement ; » NOMBRE de personnes concernées ; » DESCRIPTION de l’état de chaque victime ; » PREMIERES MESURES PRISES ET GESTES EFFECTUES. Il doit pouvoir répondre aux questions qui lui seront posées par les secours ou, s’il s’agit d’un problème médical urgent, par le médecin « régulateur » du SAMU centre 15. IMPORTANT : l’appelant doit attendre les instructions avant d’interrompre la communication. Partie 2 7YTTSVXWT«HEKSKMUYIW 0?PRGC3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ %Ť43-287-14368%287 43966977-692)%'8-327'96-86398-6) $ P NNF OU BCPS EFS M B T D V SJU SPV UJSF B V Q S T E F T F OG B OU T F U E F T K F V O F TFOBDDVFJMT D PM M FD UJG T E FNJO FV ST /HVDFWLRQVGHSUpYHQWLRQTXLV¶DGUHVVHQWDX[HQIDQWVRXDX[DGROHVFHQWVGRLYHQW VXLYUHTXHOTXHVUqJOHVGHEDVHTX¶LOHVWERQGHUDSSHOHULFLO¶REMHFWLIQ¶pWDQWSDV VHXOHPHQWG¶rWUH©pFRXWpVªPDLVG¶rWUH©HQWHQGXVª3RXUTXHOHVFRQVHLOVVRLHQW UHoXVHWOHVLQWHUGLWVUHVSHFWpVSDUOHVMHXQHVLOIDXWTXHOHPHVVDJHQ¶DSSDUDLVVH SDVFRPPHXQSHQVXPPRUDOLVDWHXUTX¶RQDW{WIDLWG¶RXEOLHU 3RXUFHIDLUHQRXVYRXVSURSRVRQVHQVL[SRLQWVXQUpVXPpGHERQQHVSUDWLTXHV HQODPDWLqUH -Ç J OGMVFODFFOU SFM FT Q B JST /HPHVVDJHVHUDG¶DXWDQWPLHX[UHoXTX¶LOpPDQHG¶XQSDLUF¶HVWjGLUHG¶XQDXWUH HQIDQWRXG¶XQDXWUHMHXQH(QHIIHWRQHQWHQGPLHX[OHFRQVHLOGHFHOXLDXTXHORQ SHXWV¶LGHQWL¿HU&¶HVWSDUWLFXOLqUHPHQWYUDLORUVTX¶LOV¶DJLWG¶pYRTXHUOHVQRWLRQVGH GDQJHURXG¶LQWHUGLWTXHOHVDGROHVFHQWVQ¶DLPHQWSDVUHFHYRLUGHVDGXOWHVFRQWUH OHVTXHOVLOVVRQWGXIDLWGHOHXUkJHHQRSSRVLWLRQ &RQFUqWHPHQWRQSRXUUDSDUH[HPSOHIDLUHRUJDQLVHUSDUOHVSOXVkJpVXQHDFWLRQGH SUpYHQWLRQjGHVWLQDWLRQGHVSOXVMHXQHV/HVSUHPLHUVVHVHQWLURQWUHVSRQVDELOLVpV SDUFHWWHPLVVLRQTXHOHVVHFRQGVHQWHQGURQWG¶DXWDQWPLHX[TXHOHVPHVVDJHV Q¶pPDQHURQWSDVGHVpGXFDWHXUV/¶LQYHUVHSHXWPDUFKHUDXVVLHWFHWWHIRUPXOHHVW GpFOLQDEOHGDQVWRXVOHVW\SHVGHJURXSHV,OHVWSRVVLEOHpJDOHPHQWGHYDQWGHV DGROHVFHQWV TXL RQW PDQLIHVWHPHQW GHV SUDWLTXHV GDQJHUHXVHV GH IDLUH DSSHO j XQHDVVRFLDWLRQGHYLFWLPHVGHODURXWH%HDXFRXSGHMHXQHVDFFLGHQWpVDFFHSWHQW GHYHQLUWpPRLJQHUGHYDQWXQJURXSHGHFHTXLOHVDFRQGXLWVOj /jHQFRUHO¶LGHQWL¿FDWLRQVHUWOHPHVVDJH 6O BT QFDU JOU FS B D UJG &HSULQFLSHGHEDVHGHODSpGDJRJLHHVWG¶DXWDQWSOXVLPSRUWDQWGDQVOHVDFWLRQVGH SUpYHQWLRQ/HV©FRXUVPDJLVWUDX[ªVRQWjEDQQLUFDUTX¶LOVQHVRQWSDVHI¿FDFHV HWVRXYHQWYpFXVFRPPHGHVOHoRQVGHPRUDO7RXWFHTXLSHXWPHWWUHHQDFWLRQ OHVHQIDQWVRXOHVDGROHVFHQWVIDYRULVHUDO¶LQYHVWLVVHPHQWHWODSULVHGHFRQVFLHQFH GHO¶LPSRUWDQFHGXPHVVDJH3HWLWVRXJUDQGVSURMHWVpODERUpVDYHFOHJURXSH UDOO\HTXL]TXHVWLRQQDLUHVH[SRVLWLRQVIDEULFDWLRQVXWLOLVDWLRQGHVLPXODWHXUVGH FRQGXLWH«HWF 1 F UJU T HS PVQFT &H SULQFLSH VH YpUL¿H GDQV WRXWHV OHV IRUPHV G¶DFWLYLWpV DYHF OHV MHXQHV ,O HVW SDUWLFXOLqUHPHQW UHFRPPDQGp LFL FDU SRXU VH GpYRLOHU DFFHSWHU GH GLUH TX¶RQ QHUHVSHFWHSDVWRXMRXUVOHVUqJOHVHWTX¶RQVHPHWSDUIRLVHQGDQJHULOIDXWXQ PLQLPXPG¶LQWLPLWpSRXUVHVHQWLUjO¶DLVH /HULVTXHVLOHJURXSHHVWWURSLPSRUWDQWF¶HVWTXHVHXOVOHVOHDGHUVVHPHWWHQW HQDYDQWFDFKDQWGHUULqUHHX[XQHPDVVHVLOHQFLHXVHTXLQ¶RVHUDSDVIRUFpPHQW SDUWLFLSHU 2 VFU PVU MFNPO E FM FT B D I F /¶DFWLRQUpDOLVpHGRLWrWUHOLVLEOHSDUO¶HQVHPEOHGHODVWUXFWXUHTXLVHVHQWLUDGRQF LPSOLTXpH PrPH VL OHV SDUWLFLSDQWV QH FRQVWLWXDLHQW TX¶XQ SHWLW JURXSH ,O HVW LPSRUWDQWTXHWRXWOHPRQGHDLWpWpLQIRUPpTXHFHWWHDFWLRQDELHQHXOLHXTXH FHVRLWVRXVIRUPHGHFRPSWHUHQGXDX[DXWUHVJURXSHVGHSDQQHDXG¶H[SRVLWLRQ GDQVOHKDOOHWF(OOHJDJQHUDG¶DXWDQWSOXVHQLPSRUWDQFHDX[\HX[GHFHX[TXLRQW SDUWLFLSp/HVpULHX[HWO¶LPSRUWDQFHGHO¶DFWLRQGHSUpYHQWLRQGRLYHQWODGpPDUTXHU GHWRXWHVOHVDXWUHVDFWLYLWpVOXGLTXHVF¶HVWSRXUTXRLHOOHGRLWrWUHPLVHHQDYDQW DYHFXQHDWWHQWLRQSDUWLFXOLqUH/¶LGpDOHVWGHUD\RQQHUDXGHOjGHODVWUXFWXUHHWGH YDORULVHUOHVDFWLRQVDXSUqVGHODSUHVVHHWGHVFROOHFWLYLWpV 6O FU INBU JRVF B E B Q UF /¶DFWLRQ GH SUpYHQWLRQ QH VHUD HI¿FDFH TXH VL HOOH UpSRQG j XQ EHVRLQ UpHO /H GLDJQRVWLFHVWGRQFSULPRUGLDO&HOXLFLSHXWG¶DLOOHXUVrWUHUpDOLVpSDUOHVMHXQHV 2QSHXWSDUH[HPSOHpODERUHUXQTXHVWLRQQDLUHD¿QGHVDYRLU©TXHOVXVDJHUVGH ODURXWHQRXVVRPPHV"ª/HGpSRXLOOHPHQWGHFHTXHVWLRQQDLUHIHUDDSSDUDvWUHOHV SRLQWVjWUDYDLOOHUHWDXUDHQOXLPrPHGHVYHUWXVSpGDJRJLTXHV -Ç J NQPS U BODFEFT JO UFSW FO B O UT /¶DWWHQWLRQ GRLW rWUH SRUWpH VXU OD IRUPDWLRQ GHV LQWHUYHQDQWV HW VXU OH VRXWLHQ LQVWLWXWLRQQHOUHoXSRXUO¶RUJDQLVDWLRQGHYRWUHDFWLRQ9RXVQHGHYH]SDVrWUHVHXOV SRXUPRQWHUYRWUHSURMHWGHQRPEUHXVHV VWUXFWXUHVHWDVVRFLDWLRQVVRQWOjSRXU YRXVpSDXOHU9RXVUHVWH]FHSHQGDQWPDvWUHGHYRWUHSURMHWFDUYRXVFRQQDLVVH] OHVEHVRLQVSDUWLFXOLHUVGHVMHXQHVTXLFRPSRVHQWYRWUHJURXSH9RWUHFRPPDQGH GRLWGRQFrWUHFODLUHDXSUqVGHVLQWHUYHQDQWVGRQWLOYDXWPLHX[UHIXVHUOHVDFWLRQV ©FOpVHQPDLQªGLVSHQVpHVSDUWRXWGHPDQLqUHLGHQWLTXH 0?PRGC3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ &Ť18,3(303+-) 4396 0) 1328%+) () 463.)87 74'-*-59)7 0% 7'96-86398-6) %J BHOPT U JDJOJU JB M Le directeur dispose d’un état des lieux préparé avec l’organisateur qu’il peut compléter par les apports des différents partenaires comme : » » » » » l’équipe pédagogique, les familles, les enfants, les institutions locales, les associations de prévention à la sécurité routière. L’organisateur lui fournit en plus du projet éducatif un certain nombre d’éléments de contexte à prendre en compte, dans les domaines suivants pour pouvoir élaborer son projet sécurité routière en relation avec son projet pédagogique : 1°) Le public accueilli : » Quels sont l’âge, le sexe et les caractéristiques socioculturelles du milieu de vie (rural, urbain, etc…) du public ? » Le public est-il présent de manière régulière ou occasionnelle ? » Quelles sont les attentes et les besoins du public au niveau de la sécurité routière ? 2°) L’équipe d’encadrement : » Dans le cas où l’organisateur s’est occupé du recrutement, comment l’équipe est-elle composée, en plus du directeur ou de la directrice ? » Disposez-vous d’animateurs qui peuvent être généralistes, stagiaires, spécialistes dans le domaine sécurité routière ? » Quels sont leur âge et leur qualification ? (AFPS, PSC1, pompier volontaire ?) » Le personnel de service. 3°) Ressources “ matérielles ” disponibles : » De quel budget dispose le directeur pour l’action, le projet, etc. ? » Quels sont les espaces dont dispose le centre et quels sont les déplacements possibles ? » Quels sont les intervenants et partenariats potentiels, les équipements à disposition ? 4°) L’environnement local : » Accidentologie sur le territoire ? C’est à partir de cet état des lieux, des projets éducatif et pédagogique que le directeur et l’équipe pédagogique définissent les actions et les moyens qui seront mis en œuvre pour élaborer une action de prévention et de sensibilisation à la sécurité routière. -F T PCKFDU JGT E FM ÇB D UJPO Exemple d’objectifs : » Favoriser les relations fondées sur le respect mutuel, la coopération et l’entraide sur la route. » Favoriser la participation des enfants au fonctionnement du centre et au choix des activités sur le projet sécurité routière. » Faire observer à l’enfant les préconisations à prendre lors de ses déplacements » Sortir l’enfant de son milieu habituel « routier ». » Faciliter l’implication des familles pour les sensibiliser également et pour favoriser le continuum éducatif. » Favoriser l’ouverture d’esprit et la curiosité des enfants dans le domaine de la sécurité routière pour les amener à développer leurs connaissances sur le sujet. -F T NPZFOT DPO D SFUT Q PV SZQ B SW FO JS » Humains : nombre d’animateurs, qualification, etc.. » Financiers : budget de l’action envisagée, partenaires à solliciter, etc. » Matériels : locaux, infrastructures à disposition, etc. -BOBU VS FEFT B D UJW JUT Q SPQ PT FT Le projet d’activité sur la sécurité routière... » n’est pas un programme d’activités car il doit y avoir une cohérence, une progression, » précise cependant quelles seront les activités proposées, » présente des activités compatibles avec les capacités des mineurs et leur âge. Tenir compte de l’environnement local... » environnement naturel (bord de mer, animaux sauvages, fermes, chemins de randonnée…), » « équipements » de proximité (aménagements, milieux rural, urbain, etc), » institutions à proximité : police, gendarme, SAMU. 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ-RFMBMJMEGCNMSPJCKMLR?ECBCNPMHCRQQNAGDGOSCQJ?QASPGRPMSRGPC Préciser par exemple... » le type de pratique (initiation, découverte, apprentissage…), » les conditions matérielles de pratique (piste de roller, aménagements cyclables, etc), » l’insertion dans le projet pédagogique et le reste de l’accueil (prestataire, mixité avec d’autres groupes…). Quelques questions à se poser avant d’élaborer une action sécurité routière en ACM : » Quand et comment ont été décidées les activités ? » La séquence d’animation a-t-elle été établie après des réunions avec les animateurs, voire avec les mineurs ? » Comment les animateurs préparent-ils les activités ? » Présentent-ils un projet d’activité ? » Des exemples de réalisation possible ? » Pourquoi ces activités ont-elles été choisies ? » Comment les enfants sont-ils associés au choix : boîte à idées, inscription à la carte, moments de négociation sur les activités … ? -F T NPEBMJU T E FQ B SUJD JQ B UJPO E FT NJO F VS T L’ACM peut être un lieu d’expérimentation de modes de démocratie, un lieu de participation des jeunes qui favorise l’acquisition de l’autonomie. La mise en place de cette participation nécessite un accompagnement de l’équipe pédagogique (apprendre à prendre du recul, à se projeter, à répartir les tâches…). Il est intéressant d’élaborer avec eux les activités en mettant en place une progression en favorisant la mixité. - FT NPEBMJU T E F G PO D UJPO O FNFO U E F M Ç R VJ Q F D P OTU J U V F E V EJ SF DUFVS EFT BOJNB UFV ST FUE FD FV Y R V JQ B S U J D J Q F OU M Ç B D D VF J M E F T N J O F V S T L’organisation du travail dans l’équipe prend en compte des facteurs tels que... » » » » les capacités et compétences des intervenants la définition des rôles le degré de responsabilité la répartition des tâches dans le temps… Cette organisation permet de travailler dans une ambiance sereine, de mener à bien le projet, d’éviter les conflits ou le cas échéant de les résoudre. - Ç W B M V B U J P O L’évaluation consiste à mesurer et à analyser les effets d’une action. Il s’agit de l’écart entre les résultats obtenus et les résultats attendus. Elle permet de... » proposer des évolutions, » remédier aux situations problématiques, » constater l’articulation ou non entre les finalités définies dans le projet d’action sécurité routière, leurs déclinaisons dans le projet pédagogique et le fonctionnement du centre. Les critères et modalités d’évaluation sont fixés... » en même temps que les objectifs, » avant le démarrage de l’action, » de préférence lors des moments de préparation communs à l’équipe. Ces critères doivent être suffisamment précis et permettre une évaluation raisonnée qui va au delà de l’intuitif. L’évaluation portera sur les objectifs de l’action, les démarches, les actions et les moyens pour en apprécier : » La pertinence : les objectifs sont-ils adaptés aux problèmes posés, au public, au contexte ? » L’efficacité : les objectifs sont-ils atteints ? Dans quelle proportion ? Quelles ont été les difficultés rencontrées ? Les solutions choisies étaient-elles adéquates ? Si l’action n’a pas eu l’effet escompté, à quoi est-ce dû ? » L’efficience : les effets obtenus sont-ils à la hauteur des moyens engagés (humains, matériels, temporels) ? » L’utilité : l’action a-t-elle eu un impact au regard des besoins de la société, un impact sur les publics, sur leur comportement individuel et social, sur leurs pratiques ? » La cohérence : les différentes composantes du projet (démarches et actions) vont-elles dans le même sens ou sont-elles dispersées ? Les objectifs et les actions mises en œuvre dans le projet sécurité routière traduisent-ils les intentions éducatives de l’organisateur ? 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ-RFMBMJMEGCNMSPJCKMLR?ECBCNPMHCRQQNAGDGOSCQJ?QASPGRPMSRGPC Les modalités de l’évaluation : » Techniques et outils peuvent faciliter le recueil de données pour l’évaluation... • un temps de réflexion et de concertation entre le directeur et son équipe d’animation tout au long de l’action • des temps de discussion formalisés avec les enfants • une “ enquête ” de satisfaction auprès des parents et des enfants. » Avant, pendant et après la réalisation du projet, le directeur et l’équipe pédagogique prennent du temps pour l’évaluation. Exemples d’indicateurs d’évaluation : » » » » » » » » Suivi des effectifs spécifiques au projet Qualité de réalisation du jeu, nombre d’utilisateurs Meilleure compréhension du code la route Meilleure maitrise de leur environnement Meilleure appréhension des dangers de la circulation. Une démarche volontaire, assiduité des jeunes Le comportement pendant et après l’action L’engagement des jeunes à faire part de leurs expériences à d’autres jeunes 0?PRGC3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ 'Ť398-074(%+3+-59)7 1 P VS MFT BOT Jeu du « ça va avec quoi ? » Relie chaque transport à son équipement : Jeu du « Fais-ci, fais pas ça ! » : Entoure ce qu’il faut faire et barre ce qui n’est pas bien : Variables de cette activité : » A illustrer avec des dessins ou des photos de mimes. » Possibilités de le faire avec d’autres sujets, d’autres thématiques. 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ/SRGJQNB?EMEGOSCQ Coloriages : Manon fait du roller. Colorie le dessin comme c’est indiqué : - toutes les protections en vert, - les rollers en rouge, - le pantalon en bleu, - pour le reste, laisse travailler ton imagination ! Tom à vélo. Colorie le dessin comme c’est indiqué : - l’éclairage avant en jaune , - le feu arrière en rouge, - les bandes réfléchissantes en orange, - le casque et les gants en vert, - le gilet fluorescent en jaune ou en jaune fluo, - et le reste : comme tu veux ! 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ/SRGJQNB?EMEGOSCQ La BD mélangée : Classe les vignettes de cette bande-dessinée dans le bon ordre pour aider Manon à bien traverser. L G & Variables possible de cette activité : » Possibilité de faire colorier des vignettes ou en faire fabriquer (collage d’image de magazine, de photos, etc.). » Différents thèmes possibles à aborder : comment traverser la rue ? Comment indiquer que tu tournes lorsque tu es à vélo ? Etc. » Chronologie pour s’arrêter aux feux rouges en vélo ou cyclomoteur (présence de camions, sas cycliste). Solution : il fallait entourer... 1°) Le conducteur de la voiture rose qui a laissé ses portières ouvertes côté route : le cycliste au casque vert risque de se cogner dedans. - 2°) Le skateur qui roule trop vite sur le trottoir et qui risque de faire tomber la petite fille devant lui. - 3°) Le jeune homme qui court au milieu de la route pour rattraper son ballon vert et qui risque de se faire renverser par le camion jaune. - 4°) Le cycliste en rose qui n’a pas fait attention à la voiture bleue qui tourne : il risque de se retrouver coincé entre la voiture et le trottoir. - 5°) Le jeune homme qui traverse en diagonale sur le carrefour et qui risque de se faire renverser par le cycliste au casque vert arrivant derrière lui. Entoure les 5 personnages qui ont un comportement dangereux ! Jeu d’observation : 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ/SRGJQNB?EMEGOSCQ 1 P VS MFT B O T La salière de la sécurité routière : Je fais marche arrière, Je traverse sur un passage piétons et je rejoins le trottoir d’en face. ,?Q?JGPCBCJ?QASPGRPMSRGPC FAUX ! Pour ma sécurité, j’attends que le bus soit parti pour traverser afin que les autres véhicules me voient. Il en existe Je peux plusieurs traverser mais dont « le passage tout droit. piéton » et « l’accès interdit aux piétons ». VRAI ou FAUX ??? VRAI ! Il est interdit de circuler sur la plateforme du tram. En plus, c’est très dangereux !!! VRAI ou FAUX ??? En sortant du bus, je traverse juste devant celui-ci. VRAI ! FAUX ! En vélo, je n’ai pas le droit de circuler sur la plateforme du tramway. VRAI ou FAUX ??? Il n’y a pas de voiture mais le petit bonhomme est rouge, je dois quand même attendre qu’il passe au vert pour traverser. J’attends que le petit bonhomme soit vert et je traverse. VRAI ! FAUX ! Le trottoir est en travaux, je peux le contourner en marchant sur la chaussée. Dans un carrefour sans passage piéton, j’ai le droit de traverser en diagonale. VRAI ou FAUX ??? VRAI ou FAUX ??? Découpe et plie « la salière de la sécurité routière » de Manon pour t’amuser et t‘entraîner. Puis, construis ta propre « salière de la sécurité routière » et pose les questions à tes camarades. VRAI ou FAUX ??? Il existe aussi des panneaux juste pour les piétons. Je dois respecter le Code de la route comme les automobilistes. VRAI ou FAUX ??? FAUX ! VRAI ! Quand je suis à vélo, je dois respecter le panneau « stop » et les feux de signalisation. Dès qu’il y a une ceinture à un siège je dois m’attacher, comme en voiture ! Dans un bus, je ne suis pas obligé(e) d’attacher ma ceinture. VRAI ou FAUX ??? Mots croisés : Remplis la grille à partir des affirmations indiquées : 4 3 2 1 8 7 6 5 14 10 9 12 13 16 11 15 1) Quand on est piéton, on regarde bien à droite et à gauche que la voie est libre avant de ... 2) Il roule sur des rails. 3) On dit que le chien est le meilleur ... de l’homme. 4) Quand une voiture arrive à un stop, elle doit marquer un ... 5) Moment où le soleil est au zénith. 6) Ni aucun véhicule, ni aucun vélo ne sont autorisés à s’engager dans un sens ... 7) Les rollers doivent circuler sur le ... 8) Il est interdit d’utiliser son ... portable lorsqu’on conduit. 9) Pour se protéger en vélo, en roller et en scooter, il faut porter un bon ... 10) Conduire après avoir bu est un ... 11) Quand une voiture va en dépasser une autre, on dit qu’elle va la ... 12) Tout moyen de transport doit être équipé de dispositifs éclairants, surtout la ... 13) Période des grandes chaleurs et des vacances. 14) Avant le départ, tous les passagers doivent avoir mis la ... 15) Les vélos doivent circuler sur les pistes ... 16) En ville, il est fréquent de se balader dans la ... Création de comptines, de chansons, de slam. Exemple de source : www.zouletatou.fr Activités musicales : 1PVS U PVU HF 1°) L’homme en jaune traverse en diagonale au milieu du carrefour alors qu’il doit emprunter les passages pour piétons - 2°) Le cycliste en bas à gauche roule vite sur le trottoir à vélo, or c’est interdit à moins de rouler au pas - 3°) Le bonhomme au skate roule sur la route alors qu’il doit rester sur le trottoir ! - 4°) La cycliste en haut à gauche n’est pas équipée pour faire du vélo et porte un long foulard ce qui est très fortement déconseillé - 5°) Les passagers de la voiture rouge en bas sortent du côté de la route ce qui est très dangereux pour leur sécurité. Cherche les 5 erreurs qu’il ne faut pas faire sur le dessin. Jeu des 5 erreurs : 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ/SRGJQNB?EMEGOSCQ Jeux de société : Quelques exemples : NOM DU JEU EDITION Le jeu du code de la route House of Toys Junior Jeu de la prévention Warning Le jeu du code de la route Jeu « 1, 2, 3, Roulez ! » Permis en question Junior La prévention routière AGE NOMBRE DE JOUEURS Jeu de parcours A partir de 3 ans 2 à 4 joueurs Jeu de 7 familles A partir de 6 ans 2 à 6 joueurs Jeu de parcours (plateau et cartes) A partir de 6 ans 2 à joueurs TYPE DE JEUX Jeu de 7 familles sous A partir de 6 ans forme de questions Questions/réponses 2 et plus A partir de 6 ans 1000 Bornes Edmond Dujardin Jeu de cartes A partir de 8 ans 2 à 6 joueurs L’auto-écolo Laurent et Jeu de plateau Sandrine Philippe A partir de 8 ans 2 à 4 joueurs L’Autoroute Jeu du code de la route Dujardin Jeu de plateau A partir de 6 ans 2 à 6 joueurs Jumbo Jeu de plateau A partir de 8 ans 2 à 4 joueurs 0?PRGC3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ (Ť)<)140)7()759)2')7 (ŧ%2-1%8-32 $SBUJPOEÇVOHSBO EKFVEFQMBUFBVg"UUFOUJPOMBSPVUFq (Réalisée sur une semaine - soit dix demi-journées - pour un effectif de 8 à 12 mineurs avec un encadrant). a) Objectifs du projet : » » » » » Découvrir leur environnement local en terme de circulation routière, Développer leur agilité dans l’utilisation de leur bicyclette, Permettre à l’enfant de créer par lui-même, Réaliser un objet commun, Permettre à l’enfant d’être fier de ses réalisations. b) Description de l’action : nature, fonctionnement, matériel, … Séance 1 : Initiation à la sécurité routière » Projection d’une vidéo, affichage, tracts pour expliquer les différents dispositifs. » Découverte de jeux de société sur ce thème ou mini activités (mots fléchés, coloriages, jeux de 7 erreurs …). Séance 2 : Observation du secteur routier autour de l’accueil de loisirs Observer les dispositions des panneaux de signalisations, les rues et les différents commerces et établissements publics (mairie, école…) tout ce qui leur permettra de représenter leur environnement et ainsi schématiser tous les dispositifs mis en place pour leur propre sécurité. Séance 3 : Fabrication d’un grand jeu de plateau (prévoir plusieurs sessions). » Création d’éléments de plateaux (routes droites, virages, intersections, pistes cyclables …), » Fabrication de panneaux , » Fabrication d’éléments paysagers (maisons, arbres …), » Confection d’utilisateurs de la route (piétons, cyclistes, motards …) et de leurs moyens de locomotion ou prévoir personnages et voitures de récupération. Séance 4 : Jeu L’animateur grâce au jeu de plateau : » Fait reproduire le secteur routier lié à leur environnement proche, » Fait disposer les panneaux aux bons endroits, » Sensibilise les enfants autour de questions ludiques. Séance 5 : Utilisation du parcours en extérieur Effectuer le parcours avec des vélos puis engager un débat avec les enfants pour mesurer leur degré d’acquisition. 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ%VCKNJCQBCQOSCLACQB½?LGK?RGML "DUJPOEFQS WF O UJPO SPV UJSFE FT B OTQ P VS M F T S P VF TF O QBSUF OBS JBU BWFDM FT G PSD FT E FM ÇPSE SF (Réalisée avec 12 jeunes par séance, âgés de 14 à 17 ans). a) Objectifs du projet : » Accompagner les jeunes de 14 à 17 ans dans la prise de conscience du respect des règles du code de la route, » Permettre aux jeunes de s’impliquer dans des gestes de prévention dans leur vie quotidienne, » Développer le sens de la citoyenneté chez les jeunes, » Susciter la rencontre avec des représentants des Forces de l’Ordre comme un acte de prévention. b) Description de l’action : Séance 1 : Présentation des dangers de la route liée à la pratique des 2 roues » Le support vidéo est utilisé : spot choc sécurité routière. » De façon simultanée, les jeunes ont accès à des tests interactifs en ligne et à une première utilisation d’un simulateur deux roues. Séance 2 : Réflexion et conseils » Il s’agit d’amener les jeunes à réfléchir sur la responsabilité qu’implique le transport de passager mais également les conseils à suivre avant d’accepter d’être soi même passager. » Le support vidéo est utilisé. Le code de la route est abordé ainsi que la présentation et l’utilisation des équipements préventifs et obligatoires. Un témoignage sera diffusé. Séance 3 : Préparation de la mise en pratique » Atelier de réparation vélos et du matériel adapté à la sortie VTT. » Préparation de l’itinéraire. Séance 4 : Mise en pratique » Sortie VTT en exploitant les acquisitions et en faisant observer les enfants sur les précautions à prendre lors des déplacements en 2 roues. 0?PRGC3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ )Ť)<)140)7()6%0-7%8-327 '32'68)7 &YF NQMFEFWIJ D V M FT D PO T USV JSFB W FD M F T F OG B OU T 1 VTI D B S 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ%VCKNJCQBCP?JGQ?RGMLQAMLAPRCQ "V US FT FYFNQMF T E FSB M JT B UJPO » » » » Activités autour du livre : création de BD. Réalisation porte clés sensibilisant à la sécurité routière. Panneaux à concevoir avec les enfants. Création d’un circuit géant avec les panneaux créés pour des véhicules type push car ou des vélos. 0?PRGC3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ *Ť-()28-*-'%8-32()6)77396')7 Ä * OT U J U V U J P OT » » » » » » » Préfecture Direction départementale de la Cohésion Sociale (DDCS) de la Côte-d’Or Education Nationale Police nationale ou municipale Gendarmerie Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) SAMU 4JUFT*OUFSOFU » Le site de l’éducation à la sécurité routière : des ressources, des exercices interactifs, des liens pour apprendre à partager l’espace de circulation : http://eduscol.education.fr/education-securite-routiere/ » Le site de la Sécurité routière : les dernières statistiques, le code de la route, les campagnes de sécurité routière, de nombreuses vidéos, des affiches et des animations interactives. http://www.securite-routiere.gouv.fr/ » Le site de l’association Prévention Routière : http://www.preventionroutiere.asso.fr » Le site du Grand Dijon sur le tramway : http://letram-dijon.fr/ » Le site de l’association Prévention MAIF : http://www.maif.fr/association-prevention-maif/accueil.html » Le site de la Société d’Entraide et d’Action Psychologique (SEDAP) : http://www.addictions-sedap.fr/ » Le site de la ligue contre la violence routière (LVR) : http://www.violenceroutiere.org/ 3SNNMPRQNB?EMEGOSCQ)BCLRGDGA?RGMLBCPCQQMSPACQ » Le site Handisport Dijon http://handisport-bourgogne.fr/actualite.php » Le site de l’Association Nationale pour les Transports Educatifs de l’Enseignement Public (ANATEEP) http://www.anateep.fr/ » Le site des Victimes et Citoyens http://www.victimes.org/fr/ » Le site de l’Association des paralysés de France (APF) http://www.apf.asso.fr/ » Des vidéos accessibles sur internet « C’est pas sorcier – sécurité routière » (1 minute) » Un site pour la création activités musicales : comptines, chansons, slam, etc. http://www.zouletatou.fr Ö1%FHUWDLQHVLQWHUYHQWLRQVGHSDUWHQDLUHVSHXYHQWrWUHSD\DQWHV Ä$P ODPVS T BQQF M T Q SPKFUT &RQFRXUVDFWLRQVVpFXULWpURXWLqUH » Conseil Général de la Côte-d’Or : Concours actions sécurité routière (concours MYON), » Autres concours à chercher sur Internet, etc. $SSHOVjSURMHWV » Préfecture, » Direction Départementale de la Cohésion Sociale (DDCS) de la Côte d’Or, » Certaines fondations à vocation éducative.