LA PREUVE PAR 4

Transcription

LA PREUVE PAR 4
LA
PREUVE
PAR 4
LE DERNIERJEUDI
DU MOIS
A 20H
Chaque mois, piques et polémiques font
«La Preuve par 4» que notre société est
riche d’une grande diversité de points de
vue. Cette nouvelle émission traite, tous
les derniers jeudis du mois, des questions
clés de notre vie sur le territoire. Un tout
nouveau rendez-vous dédié aux échanges
sur ce qui anime la Calédonie, au ton incisif
et à l’ambiance décontractée, qui a avant
tout comme ambition de faire avancer le
débat. Les téléspectateurs peuvent poser
leurs questions via la page Facebook de
l’émission.
Dans un débat d’une heure dix, Nathalie
Daly abordera des thèmes qui touchent
directement le quotidien des calédoniens,
des sujets qui clivent et qui provoquent
des interrogations, des colères ou des
amusements. Les débats seront animés,
sans langue de bois, sans non-dits, décontractés mais enrichissants. Nathalie Daly
répond à nos interrogations :
4 FOIS PLUS DE RAISONS
J’ai choisi ce titre par rapport à la date
fixée pour l’émission, à savoir le dernier
jeudi du mois : ainsi nous avions le quatrième jour de la semaine, la quatrième
semaine, je me suis dit : et bien nous inviterons quatre personnes en plateau.
LA PREUVE EN EST
À ces personnes, sur un thème donné,
de convaincre les téléspectateurs de leur
bonne foi ou de leurs arguments. Sachant
aussi que les sujets choisis seront forcément clivants. Il y aura donc au moins
deux visions d’une même problématique.
Par débat, on pense souvent
disputes plutôt qu’échanges,
quelle est la difficulté pour un
journaliste de modérer justement
ces débats afin de les rendre
constructifs? Comment allezvous rendre cette ambiance
«décontractée»?
Des disputes, ça met du piment dans
l’émission et j’espère bien qu’il y en aura.
Modérer des débats, nous avons appris à
le faire, il y a des techniques. Ce n’est pas
cela qui me gêne le plus. Ce qui est plus
problématique au pays du non dit, c’est
de délier les langues, de sortir de la langue
de bois, de faire en sorte que les invités
soient à l’aise et oublient qu’ils sont sur
un plateau télé. Ça ce sera plus difficile.
L’avantage que j’ai, c’est que je les connais
et qu’ils ne m’impressionnent pas. Des
lors je n’hésiterai pas à les secouer, voire
les chambrer si je constate qu’ils se maintiennent dans certaines postures. Cela
peut donner une certaine décontraction à
l’émission. Techniquement ils seront équipés de HF, donc libres de leurs gestuelles,
pour qu’ils se sentent le plus à l’aise possible et oublient les micros.
Quels types de questions clés seront traitées?
Le premier thème sera l’emploi local, ses
contraintes et ses difficultés. Il faut savoir
que selon une récente étude commandée
par le gouvernement, cette question arrive en deuxième position des préoccupations des calédoniens. Comme la première émission se tient au moment du
Forum de l’emploi, co organisé par NC
1ère, le thème s’imposait. Au cours de l’année nous évoquerons aussi : la vie chère
bien sûr, l’enseignement (en se demandant s’il prépare vraiment à un destin
commun), l’insécurité (fantasme ou réalité) ou encore des sujets plus identitaires
(faut il avoir peur des zoreilles?), quelle
place pour la culture kanak?) etc... Les
sujets seront principalement sociétaux
mais je ne m’empêcherai pas d’inviter des
politiques.
Les téléspectateurs pourront poser leurs questions via Internet,
quels types de questions pensezvous recevoir, un créneau y sera
t’il dédié, qui y répondra, serontelles posées en direct avec des
réponses en direct?
Une page Facebook va être dédiée à
l’émission. Les téléspectateurs pourront y
poser leurs questions et livrer des témoignages. Les plus pertinents comme les
plus provocateurs seront donnés à l’antenne. Les invités auront tout loisir de répondre en direct.
Il y aura une surprise en fin d’émission, pouvez-vous nous en dire
plus ?
Un témoin surprise qui aura suivi l’émission dans le news room interviendra à la
fin pour dire ce qu’il aura retenu, ce qui
l’aura choqué ou pas, ce qu’il aura apprécié ou pas... Ce n’est pas lui qui fera la
synthèse du débat, mais ce sera un point
de vue partisan sur le thème. Les invités
pourront argumenter derrière mais sur
une durée très courte.
Vous succédez à votre collègue
Thierry Rigoureau avec l’émission débat « Faut qu’on se parle », quels sont
vos atouts ?
Thierry a son style, que j’aime bien d’ailleurs, et j’ai le mien. Il avait de nombreux
invités, je préfère restreindre le groupe.
« Faut qu’on se parle » et « La preuve par
4 » ne devraient pas se ressembler en dehors du fait qu’il s’agisse de talk shows.
Sur le style enfin, contrairement à Thierry,
je n’aime pas trop couper la parole...sauf si
le propos part en live! Dans la période que
nous allons vivre, les gens auront besoin
de temps pour s’expliquer. La plupart des
espaces d’expressions antenne que nous
offrons sont courts, y compris et surtout
dans les JT. Là ils auront du temps, d’autant plus qu’ils ne seront pas nombreux.
La dynamique viendra du ton et du séquençage de l’émission.
Informations et contacts
Diffusion : Le dernier jeudi du mois à 20h
Présentation : Nathalie Daly
Production : NC 1ère
Durée : 70 minutes
Contacts presse
Mariannick Babé - Responsable marketing et communication
[email protected]
tél : (687) 23 98 40 - fax : (687) 23 99 75
Stéphanie Moulin - Attachée de presse
[email protected]
tél : (687) 23 99 46 - fax : (687) 23 99 75
Les photos sont disponibles au service presse sur demande
Photographe :
Emmanuel Righetti