EN TERRE ABORIGENE

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EN TERRE ABORIGENE
EN TERRE ABORIGENE
Association
SOS NGKALABON MURRANGO
Soutenir des projets d’avenir
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Une initiative française pour les aborigènes d’Australie
François Giner s’est depuis 21 ans immergé dans une communauté aborigène du Nord de l’Australie. C’est en étant témoin
direct de l’intolérance et des préjugés contre ses amis aborigènes et de l’impossibilité pour eux d’accéder à un futur
meilleur que François s’est mobilisé et a décidé d’apporter son soutien
Il a crée une association « SOS Ngkalabon Murrango » qui mobilise aujourd’hui plus de 200 personnes, et réalisent des
actions qui soutiennent les aborigènes de Weemol et Bulman dans leur quotidien.
Il publie chez Albin Michel en 2007 un ouvrage « En Terre Aborigène » qui s’est vendu à plus de 10 000 exemplaires à ce
jour. Cet ouvrage nous éclaire sur les conditions de vie dans les communautés aborigènes.
Et aujourd’hui cet ouvrage doit être publié en Anglais, c’est une urgence. Nous avons besoin d’un soutien financier de
personnes et sociétés désireuses de participer à cette action solidaire.
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Quels avenirs pour les Aborigènes ?
(Page1)
Pour que la situation évolue, le mieux c’est d’en parler.
(Page1)
L’Association SOS Ngkalabon Murrango
(Page3)
Le Projet : la publication du livre « En Terre Aborigène » en Anglais
(Page4)
L’exposition Bodeidei « La source »
(Page5)
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Quels avenirs pour les Aborigènes ?
L’ampleur du problème est très vaste et l’appel à une prise de conscience collective est urgent. Ils sont trop nombreux les aborigènes à se retrouver dans le
trouble de leur nouvelle vie sédentaire, le modèle occidental leur a été imposé sans aucune orientation, et ni mode d’emploi.
L’incompatibilité face à cette nouvelle vie est grandissante auprès des jeunes générations qui ont perdu leur culture traditionnelle, ses enfants et
adolescents subissent tous les jours des conditions de vies déplorables. Et aucune amélioration se présente à l’horizon, le manque d’hygiène, les maladies, le
peu d’éducation, l’alcool,…. sont toujours les fléaux qui touchent les aborigènes.
Le gouvernement australien fait il assez en faveur des premiers habitants de l’Australie ?
Pour que la situation évolue, le mieux c’est d’en parler.
En parler était l’objectif de François Giner lorsqu’il a commençait à rédiger son ouvrage En terre Aborigène.
François Giner s’est immergé depuis 21 ans dans la communauté de Weemol, au sein de cette culture menacée, parvenant à
créer des liens de confiance et à fraterniser, jusqu’à créer une association et une structure de tourisme solidaire.
Dans son ouvrage François Giner nous confie son désarroi devant la terrible désaffection des jeunes pour leur culture
ancestrale, leur désastreuse quête identitaire. Le ton est sincère, respectueux. Bien plus qu’un récit de voyage, c’est un rare
témoignage dans tous les sens du terme : une déposition contre une certaine civilisation qui s’impose aux détriments des
autres ; un gage d’amitié
En Terre Aborigène de François Giner
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Les retombées de ce support de communication :
Ce livre a été publié chez Albin Michel en 2007, nous avons choisi d’en faire le lancement à l’ambassade d’Australie à Paris, prés de 500 personnes étaient
présentes ce jour là (particuliers, agences de voyages, politiques, libraires, compagnies aériennes,…). A la suite de cet événement, nous avons enchainé une
tournée itinérante en France avec conférence-débat, expositions et dédicace de l’ouvrage.
François Giner et Balang Mildiwi à l’ambassade d’Australie de Paris
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Depuis nous continuons toujours à organiser des manifestations, notre association depuis la sortie du livre est de plus en plus active, nous recevons de
nombreuses invitations chaque année pour réaliser des conférences et expositions.
Chaque événement est une victoire, il nous apporte toujours des acteurs supplémentaires qui s’impliquent à nos cotés.
A ce jour « En Terre Aborigène » a déjà été vendu à plus de 10 000 exemplaires. Tout les jours de nombreux lecteurs nous écrivent et nous font part de leur
nouvel intérêt pour les aborigènes. Ces lecteurs deviennent des acteurs principaux « ambassadeurs »de la cause aborigènes, car ils vont conseiller le livre,
parler de leur ressenti et devenir membres de notre association et nous soutenir dans nos actions.
L’Association SOS Ngkalabon Murrango :
Une association bâtie sur des relations humaines :
Cette association a vu le jour en 1998, 10 ans après l’arrivée de François Giner à Weemol. Son expérience du terrain et son acceptation par la communauté
de Weemol sont les atouts de cette association. Aujourd’hui nous comptons approximativement 200 membres actifs.
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
La création de l’association fut une urgence pour François et les Anciens qui avaient diagnostiqués que les conditions de vie se dégradaient très vite, en effet
l’espérance de vie chez les Aborigènes diminue de plus en plus (environ 45 ans aujourd’hui), et les enfants sont destinés à prendre le même chemin que
leurs parents (manque d’hygiène, aucune éducation, désinsertion sociale, maladie, alcool,…).
Avant 1998 de nombreux Anciens vivaient toujours dans les communautés, ces Anciens étaient les derniers gardiens de la culture traditionnelle, leurs
paroles étaient très influentes sur les plus jeunes. Au fil du temps ces vieux ont disparu et les jeunes générations se sont retrouvées face à la société
occidentale sans aucun repère, ils ont perdu une grande partie de leur propre identité et n’ont pas les clés leur permettant de s’insérer dans cette nouvelle
société trop différentes de la leur.
Notre association intervient à petite échelle auprès des familles de Weemol et Bulman. Nous sommes à l’écoute des besoins des personnes âgées, adultes
et surtout enfants, depuis 21 ans.
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Le Projet : La publication du livre « En Terre Aborigène » en Anglais.
Pour les marchés Australie, Nouvelle Zélande, Singapour, Hong kong.
Ce qui se passe dans les communautés aborigènes est méconnu de la majorité des australiens.
La sortie du livre destinée aux australiens leur dressera l’état des lieux sur la réalité sociale et les problèmes culturels des communautés aborigènes. Les
Australiens doivent prendre conscience qu’à ce jour les conditions de vie des aborigènes se dégradent et leur liberté de prendre des responsabilités sur
leurs Terres est quasiment nulle. Ce livre en Australie est un cri d’alarme devant l’aveuglement d’un grand nombre de personnes qui ne veulent pas prendre
conscience des vraies causes de cette réalité. Un cri d’alarme également devant l’inefficacité du gouvernement à combattre ce problème. Mais aussi un cri
d’alarme pour que chacun d’entre nous et pas seulement le gouvernement interviennent dans cette lutte.
Ce livre est aussi un espoir, celui de sensibiliser des personnes à suivre notre association dans ces actions.
Les revenus de l’ouvrage seront distribués entre l’éditeur et l’association.
Le financement :
Pour la sortie du livre, nous devons prendre en charge les frais de traduction, de correction, de nouvelle maquette et d’impression. Nos dépenses vont
s’élever à environ 25 000 euros.
La maison de publication aura en charge la distribution et la publicité. Elle va organiser une tournée promotionnelle dans toute l’Australie, des plateaux télé,
émissions radio,…
Pour mener à bien ce projet :
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Nous faisons appel à des particuliers, et sociétés désireuses d’apporter un soutien financier à cette action solidaire. Les donneurs seront mentionnés
sur une page de remerciement à la fin du livre.
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
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Nous organisons une exposition de photographie itinérante dans toute l’Australie. Chaque photo sera en vente, et une partie des revenus servira à
la publication du livre, et une autre à des projets pour la communauté.
L’Exposition Bodeidei « La source » :
Le photographe Mathieu Rabusseau après son passage à nos cotés à Weemol a mis sur pied une exposition de photographies. La vente des photos
permettra de recueillir de l’argent pour l’association et de faire découvrir les visages des habitants de Weemol.
Une exposition pour partager une expérience, afin de comprendre la vie de ces destins et de pouvoir aider une communauté avec des projets réels,
structurés et suivis.
Le photographe veut montrer autres choses que l’état de délabrement des maisons, la saleté qui pollue la communauté de Weemol. Les photographies ne
montre pas non plus l’état sanitaire dans lequel les enfants évoluent, et encore moins dans quel état de santé sont certains d’entre eux.
Il veut montrer par ces photographies, que ces anciens, ces adolescents, et ces enfants, si nous nous concentrons uniquement sur leurs visages, leurs
expressions, sont comme nous. Comme nous, la joie, la tristesse, la peur peut transparaître. Et ce sont ces moments là qu’il a choisis pour cette exposition.
Le support des photographies est l’Acrilyc (plexiglass) de 3 mm d’épaisseur. Deux formats sont utilisés : 53,8cm/84,1cm et 59,4cm/42,05cm.
Le prix de vente est fixé à 540 $ en série limité à 10 exemplaires.
Les photographies de l’exposition sur www.videoimageinproduction.com
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr
Cette vente de photographies nous permettra également de faire aboutir des projets sanitaires, pédagogiques et de vie au sein de la communauté de
Weemol et de Bulman.
Nous espérons que cette brève présentation aura éveillé votre sensibilité.
François Giner : [email protected] www.bodeideicamp.fr