1`Atil I outtoir

Transcription

1`Atil I outtoir
zIrM Âr
N. cG
AMEDIJUILLrT L9jJ
& RACT!O
3G et 33, RIÂC RoqueliZ1
TOULOUSE
PYRNÈES ET LArGuEDo
-TARN ET ÂYYRON
ET ENVIRONS
pUBLIGIT
S!J!;t r'ps 7zx uX d
.
I,ss
TOULOUS
TJC:se .t c.ez tc:is nc
ABONNEMENTS
: DiX Cer,tinc
Lie
flfl : 4 Fa
os eU
L.ibre Ocus
Les CftveiarFallil
Qt &gna1e
eu
d' mercantilisme. Entr'aUtFeS
15 heures.
Frane
OCAL!ST
GONAL
R
ie '
COJLIILNIQUE OFFICIEL
- PES fJLf,XCS-FILEUR&
La bataille est restée ec/iai*ee
auj gares de Lyoi et d'Orstiy. Après vne u1te
impo?toii blLttfl.
Le Reichstag a commmc- hier la troi21 l. 30. u-' Les e'vi1s pow'ntei arec et- 5ième le.ct-ure du budget par uus JiS;-5iOfl
m
i'e('t1 sfratégi.qe, Us «ban connent SW le -triitfr avec. la flonluanie.
{1s viflags o un
frs C/ianipsE'Tyçéc et tes g-a-idts bo-&ceùU aussi «1 (pt't1n3 Fùu d ii?14, et Passy,
Scheidemanu a déclaré notr.nient
Us se -refb"ent sur des posoir -préjuioI la pculC OflfliL ks prix 1}e ne (Jfl- t'ar.ds;
reps -Je lwique cztc- plu-i - au t2 : à Biarrit;
«
Si l discours 1e Vi)fl KuhlihanTt iC 2't
S 1 4inofl dvnt-gtierrO.
t
16
20
10
3
40
présente ;, me disait
un ami, trèsmilitaire
militaire et três
dêcrc ccidemn.
rvolioi ! s'cr Ledïur.
à
-
bniois
phI1Lse ? non ! une forniu-le plutêt !
la Situation
fin
Lc
-vern &
j nvilc k peup
vie!nte, po-?fssée jYlf[OL8 J16i?faÎL corps' à corps
vfl d(jC.CkC,fl.eiit d-i !i'oncs-!Ueurs n ju preii-
ilre le train. lie guichet vies ixigages a e-té p;is,
perti et repris; enfin de jounue, i est resté
e-tre les ni.sfl-S des employés qui ont (ait wi
:8
Etranger
!t1tp?'!QJ8
IdjOUr, TOiOa
Aarsge
AU REICliSÂG ALLMÀND
-
-
De p!u
QUOTDN
rÉLÊFHCHE:O.43
3Ifloi,
'M.- von Payer reproche ensuite t Sciicidenianu d'avoir critiqué à tcrt les e1aLions de I'4tat-maor avec léc- dirigeants
politiques de l'empire e-t avoIr rnanqni de
la ecOnnasanee dtie aux généreux et aux
chefs.
Ajr'es plusieurs tnterentionn natanniant
renseignç
« flous no devons
nous Oetuper que de
blessures à la tête -ou
au coeur lii sagit
pour nous d'en porter de
tcllen et de n'en
pas recevoir. Le reste. ne compte
pan I »
Diabli, il faisait chaud, le jour
Lai
entendu cela. Mais tout de-même où
j'en ai
'eu les sueurs froides
I Quollé cffrayant
Plac-idit, quelle sécurité terrible la tru'vaille dune formule communique à cel'.tains cerveaux. Je
crains que. mon ami ne
soit de ces -esprits--là.
Blessures à la têts
et au ctrr ? et si vous
avez les
-Jambes &nportées par tin boulet ? deux
N6n -! il faut- nous
rcr lrtont ! Com
nient ? en eiilployant, tout
Cannes,- Nee et- Moite-Carto. Lei? ,.oral est p-. n d fan, une aUS1 zrand 'nat-.oih & est
tic nuib aussi
:
vite
au
iI
- SpleRdkÎe. f,4ueLqu
le dcsirent, nos alli's J 4métr..
p13il.er
tlu4tres
résistent
encore
-L-a
parce
qu'il
exprùflt4tt,
raus
In.
furmo
dun
ulIo!
?ïi fatb el4tachérne-nt d'e spectaten-rs. L-ci
-dans e qu Yen
t con- nDec
de MM-. \Vstarf,
-en)b'.able
et Thomas, -- i l'attaqne ennemie
se !at nioin.s violente dans- tes restau- programne Iopinian d*L eunnuO - depuin national l-ibral, laons&vafeatr,
n pre.ssion
&os
discussion
n'affecte
pan
venu d'apler .cniks Lt
-longtemps
du
gouvernement.
Malheureusee
ea
génécale
a
raîts, dans le nie'tro t tes Onbus. Oi ,ie iraofère d'un mouvement d'ensemble, je r&.
84)4jtÔ. Le petit fait chorus aeeJe gros.
gnae que quelques coups 4e niaftzs aur abat- ment, dès le jour suivant., vii Ku-hlrnann se été close.
pMerai ce. que j'ai déjà dit plusieurs
vit
amené
à
atténuer
l'impression
produite
Celui-Ci gagne, lalennt nnrncrale- toi;r, Mc'nwiai'tre et sur les forti/s.
LA PAIX MONDIALE NE POURRA
veillons sur nos secturs-de lEst ! la foi8 :
8Uuaon incMngée sur e reste «u front.
par son discours. Le retraite tk von I(u)iIpI'es
ment plus 4Ue celui-, parc-a 'l posallemande
se targue insdiemment de
ETRE
OBTENUE
PAR
L'EPEE
ma-na devant le grand quartier général oula
2
ède des ix.yers de j1uS grande cflveTgUre.
((
nouvelle
surprise
»
**
o mande de Berlin
pie nous prépare le
vre les. perspectives les phs fâcheuses.
grand
état-major
la
honi'c
-volonte
t
'faiitre
Mais 1e -prL
allemanI I
« Le gouvernement doit défendre son cpi- Du dincours prononcé hier au Re!ehstag.
CONTRE LA EPOPULA TIO,V.
Utilisons ---ces -vantardises qui
par Scheidemaim, il convient tic sinaIer flous
doivent,
mieux
avertir
Won capit(eine, je v-is nie niar-ie? &z Se- niort devant tout 1 inonde, tIa"U il doit erlecre
: cette surprise,
les passeges suivant-s
o!
jt à ws-ur iucl confliL mondiaf -ten1 rnaiiie pi ' oc/iame et je voîraLs avoir 5 heure3
peuvent-ils
l'espérer
?
« Ce qua dit i1. von Kuhlmann,
Pa
sur le front
les ronbvttants clé -per:n--s'sLon.
a déclsir6 anglais, car tous les
Les rav-g ,iL tTWC
&heidemann, c'est ce que penseP.l, tous tûus les iutres ont jou'uaux anglai. et
la nhi-1L?1no foie, les
I?i7?ossb1e, les ei'culiires ne vsen2 que
,ruiveltent
les politiques raisonnables. Ii est vrai qu'il divisioils fraîches signalé la Présellea deefforts et les sacrifiee& (lu début., l'esprit de jes peymiseo.is ak!ohJes pour décèg d'un p-re,
dans l'armée''lu prince
a tenu ses paroles après avoir sans doute Ttuppreeht.
iiièi'e,
enfant
mi
pour
naissance
d'-un
enfant.
o-contttants,
tucro cJe%iOftt CheZ le
subi un feu roulant formidable, au- cours
.VaL9, mou cap-itaiie, po-Urk4corUfl euj'o,it,
Pas
davantage
en direction de Paris,
.LlØ plus en }iUS iigu.
41 [a-ut d'abOr se i7UU'C?'.
duquelonlui démoatra que ces C-i1OSCS-1 Jimagine
se pensent -mais ne se disent pas. ous pou- putaj't ? car nous y avons paré par d'imU0fl S'efl i4;gn, je i eompreJ b!en. - Ce n'est pas -iuispen-nibfr
concentrations. 'ent
vous nous défendre cciatre tout un monde,
1Oii capitane, je sts au,vUiore.
une
Quon sen tonHe Je le compr?fldS moins. pion POi)t(flt,
Opération sur un secteur de s'Estdonc
âje. . . .
mais nous- un poùvons- pas soumettre l- puis
I et, de
On-i, -i e vrai que' le weruier nis- ei
une
huitaine
à faire. s Oo?is tenez 'ibsotunient à
monde entier à nos volonhs. H faut avoir, laissent tomber do jours 'T'as AlIernand
liiiIit, cet es- vous R,en
(Q prcnierb -uio:
ii'-iP'; a1'?a7e;-eOuS pour le faire entre
aupréalable, cette. vérité ti'ès clairement dans lesquels ils sur Langies des billets
mi
et
Z
hcui-'
es.
prit de lur n'ectbit pa. Cofl)1m8 par (:e(te petite eie incj-oyable s'est pasSée
vantent d'y a-r-river sans
dans
l'esprit, pour arrivea- à la paix. Ce qui ebstacle quand ilseleur
ais
.ne1ianterneflt, 1'*oïi le plus étroit r- début (IC lt senieZl,e cube un fameux
plairas
ilpus
manque,
c'est
une
offensive
dc
la
vé- rit-é.
}'orfantei'ie ? c'est entendu ! la pre-mRn
capiCei-e
tikit la jJ13C à llti-uitisflO le j4u&
La paix mondialt - ne pourra vas être réflexion
et na secrétaire éfat-nejor.
qui
frappe
obtenue par l'épée, mais seUlement par des
I'esprit c'est que s'ils
:anL.
C'est éya!-. il y a dru cfrcuT-ati'eS'qui so.'t 2le -faire, ils no sei-nt pas as.
actes politiques. L'état-maj1r exerce sur la comptaient
Tous 1e soldats, les territoriaux sur- rois iiitnio;i ' es.
sez
rots
pour
nous
en avertir.
presseune censure intolérable. Ce qui se
V'ut.
d,iro iiielqus
'vécu! ce serait décisif cef argumont-1
rosse à l'intérieur n'est que la c-outre-par- ni Oui
ent Ian' i'i f1pÔt9 de orgades ou da
par rnalheiw il n'était. déjà
tie des événements à l'extérieur. Notre peu-.
arrivé anic
RIEN DE NOUVE-W.
vlltes, savont de 4iV('lk9 giteies ils fude lancer cl tels avertissemnt
pie, dans l'indigence, dans i'ésclavage, souf- Allemands
qui
nous
faisaient
rent. coi-s pai' Ie 1ialbitants.
fleTouce raron(at vautre sob' à la C1a-mbre,
Ii'e de la misère la plus atroce; ce qu'on dont nous avons laausser les êpaules et.
eette- savoui'euse anecioie, i T-aquelle U iaexige de lui constamment et incroyable
Do
trop tard qu'il
s derriiei's, auuin »au-it voulu, que
ie tout le se1Ô2-t'aceeitt oniécfroi-n.
avait -Pas lieureconnu
(le rire.
en outre, dalis ces semain's i-riliques, dont n_y
queue que 1ut sa cc;n-(iiti(n, rece'viir kL
Ui - gninil -eiit iern?rei?ie-nt l/ée de - téléLa- vigilance do noftc haut e:(rnnrn-uLtc
je no sais pas c-omrnenf- uous
plus lgr i,?jol jou' -la plu petite pJton-e, ac.v. Aiiiétcan's 2)010' feu,' (tcrnpJ,ul-ci' ce
n:ent- et la sûreté de' son- rnp (ril, voilà,
-VOYOnS
c-otto
tragédie
cle
la
i'éfttmc
élec(fui
CC
2)aSS(7t
(ans
leur
secteur.
eliJII)le d' récerve (. parfois lo couvert
-notre situation, non meilleures garm-forale. Il rgne dans les massas iiie agi- dans
d-e nouveau, inonyéuéi'al, n'us accukuit Iaisit. L l-ai disptiioa 't?e es étes. lions flic-ii
fies de salut. Pour iiotr
le bois Relirais.
pat,-t, - f03 1cctaCion
quiest
arrivée
à-son
suprème
degrc. tours le savent,
Qui sait J,*M't-(1rC que evtains Ïujamais nous navona
l7Op- le bai-q Belt.cau ?
Gen'est
plus
seul-amont.
des
ouvriers
que
jla politique aux questions de comii,iIi, 4t1! Un entncusiate
- Ma5 oi.t. Co;nnic vous voyez iwn-qénénc
(:intr.essel)a-rie, mais de,la marsc des cmploys-et des mêlé
mandement. Jamais I I"ous avoua niême
nient-, aporé s1Ir' l'autel (le la patrie T'ozis nous avec ilit Ooeciiper te bois Beltea-u.
fonctionnaire-S.
Il
n'y
a
plus
quun
cri
Occupons le bOç licileau. IUcn -do nououti'é ce scrupuLe jusqu?i tolérer sans PI'Ona'es rcoures ou leur selide Nous
(( Une fin ! une fin honoi'able !'veau
testa-tiori lrI
CFED--TANN
Jortuue I
« A un geuveinemeiit qui ne leva
rél)ubl ièain, anié de
'-. Mais, c'est niaguflque,
1)S tout le peuple,telftchef
à l'beut'e "ii ses
Ji'eiV!icu,ïaste d4in Jresseneit
l'état
de
siège,
iious
ne
pôuvons
:- Et 7)-isis, U y a ciuss i- pr1soniie;'
OEi t
l)S LCCt)i'- talents crissent le écarté
partir. Nous rr,uhaitms avoLr un ou'c-rmieux
trou,v leur cm-aussi
Aiiércan.s ?
der le budget. Le gouvernement deit négo- j'iOi. Mais tout le monde n'a
ncment
qui
sache,
tout
coime
l'it,at-maOi',
iii'ntiwi1siaste. LUne fois
.- N(.fl, 1O ,4l,!enan'fs, mon éiiéraT. Coinne lettre ses cnnni. Il faut, terminer t.& ciel' aussi vite que possible. Ce n'est pas là
pas monti'é lu
dispaI'(1. chacun désira tirer parti de ce vous
résers-n que ilous - 'Faut
va!/ez, ricn de nouveau.
lS I i)ans
une parole prononcée à la Iégèi-e, niais un mémo
qu'il possédait. Le sentiment, c'est le senles graves conjoc-t--ures ci !nous
Le jéuéiat-, fiitrigué, en-raya un agent de li- s_iu'e.n'e aussi rapideiie (Itle j-oible. i'.'C)us avis, -cii a'ertissement.
somnic, il
lteiide.z-vous-eia iniporte que la Fiance
acci,ieillerons avec satisfaction tout zoutirnent. et Ie affaires sont les affaires.
Ofl.
nit la c-e-i'titL'dg qn
I Cest quoique chose d'énorme qul
général inves{i d'un conimaijdement
- Dte,s au ,qéaéral qu'il n'y a 'ien de riou- vernement qui y srrat déridé; mais nous ccmpte
Jusue-Ij, rien
dii'. 'rit'e Parti de ce
est en -jeu; il s'agit do la vie de initiions tout
1H)
pouvons
même
ias
v)tr
le
i)iidgo
i:our
veau.
Nous
avons
f&.t
j,'os
cents
n'est
maintenu
da.iis
prisonniers.
(ltIt l'on pss-èd, voi
ss !oneti-----'s que pard'honuis ! »
unc a-tiuu 'kgice qu'il est capable 1e le bien remplir.
Mais raçjcnt Wavait vas en le tcinp.s dc -mu- ce gouve1i1 -ent. a
ti.rie. \lis encore faut-il y .rnett-re la mc
i?e,' Qfl'(i?( Que'1ier-Gén&çal, retcutissat -un "p- « NOUS DEVlNS !TTPNDFtÎ »,
L'empereur Guil1aum-, eu uett hai-angu
ure.
UN DISCOURS DE LEDE1OURG
vaniteuse et fanfaronne que lÇuliniarin
flCLij1E
VON
PAYER
n'rt
Or, il et porini-is d'affi1mer je l'esp-'re, pet tété-phonique.
biles au
Ledebour, di son côté, e -attqué ive- pas pu eff-cer, remerciait la i'r-cvidenc.e
que nous «vous fait
Mr' traits do dktfat.isto, iu'ii a lai'- 1300 pi'son-niersiiléraj
Coitimo il le voit, lieu de -ausi
Le vice-chancelier -yen Payer n répondu I nientIa politique de Monsieur -(sic) I-linçïavoir
donn
à
l'Alieniagne
noudcs chefs eom..
vu.
Clii ces termes :
genient Àpas la mesure,
denburg, qui veut que l'Alsace-Lorraine
Hindeniurg et Ludrndorf.
-(( Ce que dit ri. Sc-heidonvnn de la ques- aille à la Prusso, c1ui interdit toute- discus- n_le
&;g'ner de 1'ergent en t.iavaiflant ou en
vaniteux était en cela t1'ep modesle t
fAon de la paix ne n'amènosq jas ii faire sien dus la presse sut' le pi'qjet de, former, Il Ce
faisant ti'a-vaijlej' les autres, c'est la mon11e suffit pas d'avoir sous sa main- des
IWFEJ?END LM.
«le
nouveau
une
dclarat-ion
ernbra'sant
le
avec la (Toju-lande, la- Litiluanie e-t l'Etiio- hommes 4e tale-nt I il Çait encore stu'oir la
naic courante du ter,es de ipa'ix
17n fotaiia
verront savoir cc que -tes programme du gcuvernernen à ce sujet. A nie, un nouvel Etat baltique.
'fout- d' fl!11c, 1 y a actuellement
reconnaît-ra, les trier d'entre ion autres, et
i-!cteu,-s pensentNice,
des fliagasiiir ?ii-iincipa-u',
quoi cela servirait-il apr$ les expriC-flCeS
les placer au p-renui.r
Ledebour
a
protesté
à
l'avance
contre
le
gains qui, prisait licites au regurJ iu ent eta ptoce-,' 'j un i'rte,'enduni, qui -ci iuré tié,jà
faites ?-C'est pourquoi je rn'abllle-Ila do gouvernement ailernami , qui veut mainte- (lu gouvernement. Le rang. C'ct la t-ehe
4ode, confinent aii vols en tenant eo- £/Ois jOu,s et donne ie i-ésiiltats suft'anfs :
aileLlveJopper à nuuv,?au -ce- tlne, --mais je na-nt eiTflployer les prolétaires allemands à ruant! s'y est appliqué,gou','ern'ment
o y a -éussi. TPour ici vci-te Jircc( par ia vinnicipa2ité
£6 do la -rnorah e des faits.
pUis,
sans
difficultés,
adhér
la
fjriuLe
combattre les bélelieviks en Russie, afin do elions de réussir aussi Dico (;l1-o Iii !
vor. Pour -a cente
les corn-rnerçants des but-s de guerre allemands 'raeuts par rétabl je un gouvernement réactionnaire.
Exiger e ipTi" tFuno 'modeste cJsanfij'e -5QI2
iibj'es : 1'25 vo;e Nuls :
i3
biiUetns
c(e
M.
jeu,s
MARCEL SEPVIBAT
qu-u -scldat au repos deinaml'e, in&
cheideniann.
Le- député soeki-liste à conclu en disant
si ifl(iécs. (C
UllOconclusion
honorable
est
que
i'Al*
(( -Si cela devtiit- se produire, ce serait
-e nestque dans une mnisOn -prive axin.
Nous eom-j»'enons fort bien : parmi e-es vo- lemagne ne soit pas désavautaéo dans ion
1%11ai
touts, -il y «L'aiS ,Op-2 couorn;nqtc'-u-rr
pour uckis undevoir, une»lligation sacrée
ptindre, c&mtne je "iii 1A1 'faire. co3nnie'ça(s.
-et 125 cc:ditions de, paix. Je c-rois que do notre d'appeler Je peuple à la révolution et à reiiCornirn.ixiiqué frauçah
flans un 'village 'uno dizaiiie de fewr
cent
jifais
que
côté
nous
sommes
déjà
ali4s
vies
loin
dans
peuvent t'eufi'e lis 53 f,ulé- le seio do cett- -fornniie Nous devons at- verser le régime actuel. »
Jous 'u ce slt lXU1
Paris, 5 juillet, 3 b. snir. 1
cis?
Selon le -« Strasburger Post, Ledebour a
rio détachements et na ptconillas, apl
y a Un lit. sins draps, avouez que i'eploi-il
NE ('110 YZ I,4S SANS It#SER VE
-tendre
jusqu'à
ce
que
lt
désir
de
gner'e
et
même
encore
déclaré
plus
netteven
i_ant, entre Moutdidir o
Que . tes petits foehns,
taticin est
on Chmtrot) révoltante
per Suite (ie psi-ra- les idées d'écrasernent de, nos dei-aircs « J'invite de cette tribune le proliitariat ai- p2lue, siil' la rive dr0ite deI'Oiao,
le. Mense et eu iiQns e,ulurées psr leurs nièces,
t,t, qiI
nient
disparu.
Je
c;ainu
que
tous
nos
effrts
iiaiseut
SWL'
leinand à la révoluton. - Ce qui a provetlué Lorraine, ont ranen des prsu;Inaer.
tiU de veternents, ddpene rie !bcu-elie c'dOes et saa.s peau o
pour ai'river auparavant i la paix qie nous un violent tuhinule et un
rappel à l'ordre
l'e:j'bjitation -rvelte plus
désirons' rie soient vains. » neore.
de la' pait du prfisident.
révoltants
eTÏpic- o
-
iL4:
-T
niit
-
-
&u..
iairnf
-
-
-
-
--
-
tt lanO
1)oUti
-
-
-
sen1ainc
-
-
ou.4s
I
-
-
-
.
_,an.s
'
-
-
-
-
-
oupent.e'ot
Comi:aiiniqué britairnique
-
Lc 'iilJ
-
cïiu!ent et l'on.
pas -mai dc ges sont à nirne de pnét.on'-t que
siLpporJ6r' I'augmnjta.jc.ij
Pi eliert de -Fexjstenee.
Qu'il y en 'ait, possile. Cest
4
nin ce!...
tain. Mais les auti'es
? Peusi-t_on ax autes ?
IDans le E'az'ti
'a
- e an dIvcntj a Tes mOycn de r&uprer
Plus ou moins con
deg dép
qu'il s'impiso ?
Mais tel qui n'est
et ne peut
ompter que sur sou s1ai
et sur son
trai!emuL?
-Malheureux 5on-t les
e-
OUVPlI-PS e ios
))lOyé, vraiment, dont le salaire
te!flent ne sont que légèrement et le ti'at.iU salaire et. traitement qu'ils Supériu5
tQuchajent
avant la guerre
I
Celuj-c qui, dans
on
iiIieu,
vivai
PFeque à l'aise avec dcu mille
francs par
an, crève dc faii ave le SUPPIérUCIIt
qui
ajoute à ces deux mille
Il mangeait de, la viande francs.
et luvajf du lien
vin. ii manse des
pommes dc terre et boit
ide Ieau.
Pendant cpl'i! « tir-e des Plans »
mois
l'avance pour se doter d'une
mauvais drap c'ude chaussures e-ulott», do
do mauvais
Cuir, l voi
t-alitant sur ses
but, par des rapine&pius
étaou moins licites,
Ufle fortune qu lui enlve,souci
pour l'aveij l'on y preiid garde, si l'on
n'intervient"-P'-C-01jner court à ces scandate,-Is
n: r.
QU,.
--
-
auai-5 pourraient explosc' na
-
A!endre BLANC
i- j4,2d4 i..
cou1
Paris, 5 juil!ct,
Le gro3i s.)ialise s tenu une }oflgue
ce, la Chambre, au eouj-s de
Londres, 5 juillet. 2 h. soir.
CC
r
ATTEN--A!T L
I
c-J
Tel q
Fideia1jl
N
ky' e
-
e
Le nombre total des s'isonniers que nousavons faits dans l'lieui-ause opê±atien axé-
ciitée, hier, sur la Snme, diasse t200.
outtoir
nchs kmaiid
ti crc-flU.
Un canon allOmand de oampano, plus de
&o mitrailleuses et un certain nombra de
mortiers de tranchies ont éé dénornbrs
jusqu'à présent.
Une contre-attaque ennemie snr noc non,eiIes positions, à l'est'de '-1amol, a et-e, l
imit dernière, facilement ropou3see; quelqiaas prisonniers sont reste-s entre nos
réactiflS
tendu lrens-ky ci Braa(irig. laquelle il a euin ains.
1erensky a fait. un epoé de la situation assous avons exécuté avec succès un COnJ
Q
tuelle en liussic, (if! le baron Miebac-Ji est maide uaiii dans le secteur de Bocamont-HaIre, Moseou, e où les bolcheviks et Ta Jour-'
mei, et r.'(us avons repoussé ltse tentat.tvb
(1êro égaienient cartaiu que 'notre lia-ut ennemie, ai environs Je St,aaec1e.
geoisic soiit aux mains des ANemanès. Puis il
i lonn lecture d'un document
cirnmandement ne sera pas surpris non
rnanant (les
principaux groupes de la Constituante, rjiujs
lilus. Pour -nrie-ut dire, nous voudrirns avir
secrètement, le 18 -mai dornier,'.ct duquel il
la certitude qu'aveé les moyens dont il disLloyd
Gaorge
nous
aunouçait,
il
y a quelre5or que .ceie As-seJlée se refuse catégoriil est- parfaitement en état cia recevoir
que-sjours, qi l'offensive alle,naada était posi:'.
queiflent -1 reconnaîti i. paix de -i3pestJLitO'vS
le
choc
sur quelque I)Ilint qu'il se
et, en £0 déclarant toujours ild-le a lalliance. imminente I Dc-iquclquen jours, s'écriait- produiseenuerei
Paris, S juillCf. "
et unTme sï Fa eho ennéon voexprime que l'iIat de guarre subsise entre la il, et peut-être ciici quelques heures, l'en- riait l se Iproduire
L'opération CXCUiC (lans rtgiOL TAiirè.
sui
tous
les
poiLrts
à
la
itussic et l'Allemagne.
rtemi va tomber sur nous et comme,neer la fois.
ches, conséeuti'irnent ceI.'J du nord.Ie i\louIin-s-»rs-Touvent, a eu, comme on e-aitpar lc
Kerep.sk-v a ensuite inssld sur la neessit, grande c'nécat-ion qu peut décider du sort
(( Ah !vous en demandez trdp ! nos ef- conimuniqués, le nrline brillflhit SUcC-ts que
pour les a1uis, de venir au sec-ours d la liur- de la campagne.
1cc-tifs, malgré tqies les oc(ifications, c-'tt dcrni&e. n s'agissait d'enlever la k-vr
s:e, impuissante l uTr seule dans le circonsDapuis ce discours de Lloyd George, au- nous permettent-ils c?tte ambition-là ? « oest du ravin de ,Bout-dc-Vaux-Autreches et
tance-s
senteS.
cnn changement. Les AIlemanrj n'ont pas
Pdon !je n'exige rien, moi I n-a m'accu- (la réaliser ainsi une avance d'un kilontre an'Branthig iL pris Cfluile la paroie. JI a -traduit bougé. Mais
de profondeur .sur deux llumiLres de
de. nous ne s'y trcsii- nez pas d'ambitions excessives - ! je nede- viron
5011 sentiment sur l'état d]-c-surlt de divers grau PC ! Ne-us -avons beau
avoir l'esprit léger, mande rien que l'indispenable !-mais sup- frent.
--penieflt-s sccialiste,s en Allemagne c-t, t-ont en rePendant trois jnrs l'arlillcrie avait tres n&connaissant la légitimité dCS doutes que l'atti- tiont une viaifle réputation nous gratifie
posez que, selon -la nouvelle qui nous-a ét
hiienjerit
préparé
es
Jrècies
t
trave!s
les
O.
tude de eertairig de ce groupement a pu antre- le plus frivole de nous s'attend chaque rua- communiquée par le Grand Quartier Gêné- eanisat,ioIs enncmcs puis £u1ain. uiui ti2urø
tenir parmi les socialistes français., il a envisagé tin en ouvr-ant -son Jour-nal t y lire la nou- jal, la prochaine offensive allemande soit avant l'attaque, C'iC sétait, tue. Tout a - cou?.
la possil)iiité cia la convocation d'une coiifé- 'celle -du - grand - décla:nchement do l'offen- conçue par Ludenclorf SuS forme de -mou- nendant deux tiiinutes, cliC ou-vFiL tout legi'iiii
rance socialisC in-teruationale,- mais eu la su- sive enni'rnie. oS ci'iLiques militaires en veinent (l'ensemble ? N'est-il pas--- évident )eu dan canaris et nos troupa e-amposuesc
bordonnant - aux circanstane5- et aux ivén- épient fids Jas syniptèmes.- Ce n*tin -en- ouc, attaqués part&u-t, il devient indispen- najorité do BretonS sélaflnrer.,,. fl
-ments :11 ii d-êc-Iaré rcgrett-r bekucoup qu'on
cure. Marc1- Hutrn nousaruxonce -en gros -aij!c, strictement indispensable, que noua
n'ait pas p-errais l Treestrat de sa rendre au- titra
19rt
m1nhte la p'-emtla ligne itue
i « Echo d Paris -» -: « On s'a-t- lasolo as t'T'tC partout 2
près de ses camarades augiais, car Troclstrat, tend dans
3e-o ou G3 niètres dait ,tLcnPa et
au
suprême
effort
allèjuand
!
n'est pas comme on croit ne germanophile, H a
- Ce rcnsei-nroa en t donné par les prison- ment une compagnie du gdme sOfia avec
dté aeciasi à tort d'tro i'émissnire d' proçosi-Bon !-niius voici dij sùr&1u-fLPi 10 pUpeut être vïai ou tau-x. Il suffit u'iI preruiac vagïïé commençait i troerie J)Ovarh
-UOns de naix éca--e stc p7rl-\'lemagns i la
l'e iii Je» journal rues ni le -gc e 'C- riors
raccordement, avec nas anciennes isgfles.
ltiioe.e
être vrai. Notro devoir nous ob!içe do
fluae-il-a
-' - -- -- -cmaorit-air.-ae4ion enn-'li i' fu fIbi en a' u1"r e t.»
monts ne srront surpris. C'est -qrietque à- iTévOir
l'hypotilt'se
otà
nous
y
préparct'
ras alle-man-?
calaré -"'i c-hase ! Cela vous suffit-il ? Pas tou à fal. de niaire mieux. Réc'mmonL .1" ai entcnu 1 .15 'erg Jue (1 rn1tra C' 1 P9 Ci. 1;LC gaL S
y arat p J-';------u i2reiV'nLra une- ceraiiia nsilanee a caue
Lorr,i:c. - n'est-ce- rias 2 Nous ne sei-iws ças fticliés i__i e hra e O. ifl.. dou le lriss
Une flÎs dèfer mais OI Lut v;tcnnuLrsle,
£ repîte
1'Atil I
-
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L'affaire d'Atrècea
-
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--
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:
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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
i. 2O. on aLgalait à la diviskn
eneadrnttd,obslt1
4e prn-
.
arenou\Ll6 s
HtiIleuP
lioslance flamrrc [1 outre pait Tacil t,rcn1 rnr
1'ur tttcp[iori u3\ dOinand*
tusemt h tâlie du nos Îtrntassin
'r2
'
;ÎaPRra tout le peronnej ijun £tat-na4flr
de
hraneaj'
'
1
un graaU nombre de nos lteurs.
-----
-
Loncir -' 5 '1
e correspondant spcaial delarekeuter
au q»rier gncril britannique tgraphie
Mn char Direeu
.
dsee en exarte confornit avec ls
Pics1ons du plan iaborc
« Le terra in r('sentiut des vant
cnnidrab1es pour la dfeîise, cepe?idant en raoiiî
de cieux heUp, les lignes ememies sue e J'r,nt
tout enUer, soit su quatre. milles de kngtur,
Laient ntre nos mains et nous avions tnc6
jusqu'k un mille eL demi du point de dpar;
flospertes tota1es atteignent peine le tiers dt
nombre de prionniers que nous avons
' Trois divisions allemandes, not.aimrnt la
43e cL la 77e, n'taient plus le soir qtic lombre
d
ffli'CIICS taient le matin. Les attaTle W5td earact-ériées par la prvovance la $
ag
t la perfectin tian les pr1!minairc ;le s [r
paration par l'emploi triomphant s tn1i.
.
Etant don- le grand nombre Je rno(- e
mme dêpassS l'attente du
de la plupart de ns Qrflcie -s.
« Un déluge préliminaire de b)rnhs avit
ubmer.g Hamel et a eontri'-, i dLfl la plu
.(
1 organisation des travaux de fenaison et de
moisson, je suis heureux de VOUS faire co*
naifie e e et la uito de mes dernaiches que les agriculteurs de la classe 92 et
les hommes du service auxiliaire de la
la disposition C1CS
classe 1919 sont rni
i)rMéts chargés de les répartir entre les di-
t
le chiffre de 1,OO prisonniers, la r.uiL a
juillet. l)l8.
atge mesure r&Iuire no perts. L'ltenti
ennemie avait t' distraite par trois atlais
au nordde la rivière qui trorrpnL orno I
tement. .
dé& trôs largement, tant au point de vue du
.
.
ments les meilleurs.
I nombre que de la duri5e.
Sur mes inst.aacas le ministre de la guerre
Aux Es-Un
L'hdépendnce
La Frai
.
COMPERE-MOREL.
ay
fut l'héroïne du jour
NewYorh, 5 jtit.
la dus b11e. 14
La jOurnée d'hier aura
1us- syubo1iqe, la plus nationale do tous le
Cmtaiué aiEc
Sur la liasse Piae, après aviir
tflrznait l'oubli dftInitif des vieilles rancunes. L
groupe italien,aveo des flots de bannières etcle
musiques dl11a pendant deux heures entRres.
La d1gation française, gPoupe autour des
Alsacleils- ILorrains, formait une ligne de deux
Jiilomètres de long; elle t5it prc4die de fuie cinquante socifEds y
siliers marin5 ;
étaient reprfseuté.ç5. Les chasseurs alpins défI-
pert3 graves; ine patrouille britannique
surprit et détruisit un poste adverse, près
)rent,c1isue en taie, Jaïonnete acanon, aVOC
cette rnagnificjue al1ue des troupes françaises.
Cette impresionuan vocationcIes champs de
,fbataille sOuleva, sur tout son passage, une cx-
de Ganoire.
ilomnios.
Entre artillerie de défense aérienne a
abattu deux ations ennemis.
.
ponsabilit de poursuitro. il demande le
renvoi i la commission.
Laval appuie la dematide de renvoi.
La conamissior repousse le
M. liesse.
renvoi.
te renvoi à la coissiofl est rnpouss
par 3P6 vcix contre l9.
La leve de I'immuntt eL prononcée
anains levées.
dre du jour, mats M. Abrami, qui doit rpondre. et5 souffrant. Les interpellations
sont donc renvcsyes à vendredi procimia.
Séance Jeve ii 4 h, 46.
.Prochaine, mardi s 3 heures
de prtou
« Un incendie seat déclarf bord du vapeiP charbonnier Bri,ogsYifl, amarre au flouveau bassifl de port de Gaen. Le feu s diter-
tille forte explosion qui s it eiitendrte
dans toute la ville .eta fait des Yictiffle.S. il y e
cinq tudS et neuf b1esss. 'Le vaprur est très
l'arrière, dans res oeuvres mûrendommag
tes. Cependant il reste & flot et pourra t.re r.-
(liSSiSïtU[Or sa 'tendresse.
iiomme de s6n ancien secrétaire de Ïdaction Deshals, le C Midi » s'honorera cia
conserver et de periuituer dans sa maison,
la mèrnoire cVHenri Martin. son ancien adlia.
ministpateur,
une
Le . nat e.apagnoi a vot.
De MaclricL.
_ous prions, au nom de tous les camaloi qui punit 1d prison et d'amende quiconque,
radas du' journal, Mmc. Martin msiè.re es
n territoire aspagnOl, faciIiter ii une l)iS
sance ctrangèie des reignemcnts relatifs C Mmc Vnuve Martiri de vouloir l)ien agréer
neutralild de l'Epaguo ou qui puissent nuire iDs très aincères et frès respectueuses conLe gnral Friedrieh, principal déigu
k la conférence pour les .prisommniers de guerre;
QBt attendu ce soir Li La Ilaye, de rtdour de Bel
k d'autres puissances trangèmeS.
L
Coci d CrvatDiro
VI
CHANT ET DECLAItIATIO* LYRIQUE
pidea ii 1)001)05 d'un prilcédent concours
M1 d11nr Mwth
Renaudel estime que le gouvernnmen.t
veut obliger la Chambre t prendre la ras-
'
xcI1iit
-
1o1 éances.
de3
Nous indiquerons demain
amis du
obsèquos
civiles
auxquelles
les
obIi%,
L'abcndance des matières nous
les socialistes se feront Un
Midi i
ajourner à demain la suite de notre jiit ,e:
devoir d'assister.
La
Fauvette
du
Fanvessant feuilleton :
bourg. »
L
.
ifl ro gati r jz
Les offres
locaux bien places SOflt reçus au sicge
.Agen.
de la Ruche Méridionale
de
suais sa gaieté et sa crilnerie lai serviront.
Nous apprenons avec peine la mort
d
Mile Lofferayrie plaît déjà par les qua- M. Lattès, professeur de matiséma.tjqd[es
la
Faculté
des
Sciences
de
ToulQuse
lités presque contraires; sa voix. bien poIq
scIe, n Plus de vcume dansl'aigu que dans Lattés était âgé de 4 ans.
Nous prions la famille de M. Lattés
le. grave. Hile n détaillé « La Traviata
aven tine délicatesse charraauto. mais dans l'Université de 'rouleuse d'agréer flO
c La Reine Fiarornette i. elle exagéra les sincères condoléances.
-
(( pianôs » et imprima à sa 1)lsysionolnie des
attitudes peu naturelles : il est vrai quelle
ltait visiblement souffrante.
M. Bauchauci-Boulo nous présente l\Ille
(il et Mile Thoumières. Mile (iii fier accessit. l'année ,dernière émet, dans l'air 1e
mc Robin des Bois e ds nons chauds et puissauts qui nus . pénètrent : pourquoi prononce-t-elle si mal les voyelies(lesacoi1me
des o, les u comme des e ou inversement)
poii.içluoi rrête-t-ell&brusquemept cer-
e
-
A TAVZS TOULOtj
Vente de viande décongelée
La vente de la viande décongelée
1:uf re.piieudra aujourd'hui samejj et
jours suivants :
Dans les loges aménabées à cet effet
aux marchés couvert-s Victor-Hugo, de
Carmes et Roguet, de 7 heures du matin à
midi.
Dans la salle des Jacobins, rue Parga....
taines émissions ? l)ans e Orphée » srs ge.stes sont (lsordonnés et trop Pombreux. minières, de I heures du matin à midi et de
Souhaitons qu'elie fasse à Favenir un mail- Id à 19 heures.
ii'iff usage dc ses admirables moyens vo-
eaux. Ouaut à MIle Thourières. elle sem-.
Lié également posséder des facultés excellentes, mais ses vocalises manquent de Iigise. son style est encore trop écolier.
Miles Oubradous et Dussert.. celle-ci 1er
aréessit de 1917, ont pour maître de chant
M. Boyer. J'adresserais à Mile Oubradous
h i)'U Près Ie inè9s coi'npliments ét les
'ïOaïs's critiqùes qub.Mllc 011 : il me semle qu'èlle intorprteiait Çiluçk plus aisé:rmentquc Berlioz : c'est d'un air éteint
U'etle célèbre c< ifamour l'ardente flàm.-
snsatu
Le public est préveflu que le 6 luillel
un magaie oc vendant que ta cheus..
sure nalionale (rençase sera ouvert
rue givals, 8.
e Sigurd » au Théâtre des Variétés
-$e
soir, k S h, O préciSes, Sigûi'd, le- cheffre. '- Ptui'taat l'toffe est. bonne: il ya d'iiivredc&tèyer,serainCt
au roifIt de
lieOiflCSSC c1'aveiir. P.este Mile 1)ussert : à
re de convalescents de la f7 région. CeUa
l'art quelques réser 'cc su" la nettc'té-ft
cer(ains traits ('Ø
» estépi- neprésentnt.ion se pi' écisr comme le piu grand
de la saison Au caruc-tère de bienfaineu$) , or nesaurait en dire cjue du biais succès
elle comutît toutes les ressources du chant, sance de ctenîaisanee de cette. nsanhfastation
file notamment. ses sous avec une habileté rajoute le puissant attrait d'uoe distributou
.
consommée. Son concouru d'oéra-comique de tout premier ordre.
esI. moins hou : elle chante bleu mieux
Arsenal et Cartoucherie
(I Gertrude « qu'ellene la mime.
Les ouve-ières, ouvriers, employés, etO.
C'est. d'ailleurs l'impression générale do
la journée : nos concui'i'entes feraient en- membres du Syndicat de l'Arsenal et car'' ammen
'
c_ope ait théétre figure, de novices, ' iais toucherin de Toulons
assemblée généi'a e
toutes oui presque toutes seiu4eut a.pplau jiriés
iisilmaire qui aura lieu aujourd'hui sadies dans les lions concerts.
5j G juillet 1918, k o heures dtsoir, clans
Leur succès d'hier en fournit la preuv
l'amph:ithéâtre. de l'ancienne Fiulté des
u
je parie seulement du succès qui le
réservé pai'le public. Car la guere 'ft'a pas Lettres, mu de Rémusat.
Ordre du jour. - Désignation du délégué
pour
diminué l'engouement de no$lr
cette série do solennités anuueles dont le au congrès de la C. Ci. T. à Versailles.
Compte rendu des démarches et discuSconcours de chant forment l'habituelle aponcours » est sion sur l'importante question de la cession
timéose. La semaine des «
lcur 'i'oulousc Ce qu'en des temps plus fr1- do la Douillerie-Polygone aux établissevoies le (iranci-Prix était pour Paris. C'est snents privés Pinchard et Denis, de 'Pari,u. '
Discussion sui les salaires, indemnités do
la période pendant lacpiellc vous enteudei
à satiété le 11ième suivant sous vingt va- cherté de vit.
nations différentes : « Je ne suis pas conSyhdicat des ieirs, Bourreliorg
naisse.ur, mais Si » j'avais fait partie du
et Similaires
jiary, Çaurais sabré Mile X.... j'aurais noLes
lollecte-urs
Sont prié s de faire leur
etc.
M. Z.... j'anrais
cordé l'unanimité
versements de cotisations dimanche I juiletc. »
Hier, la salle était.plus iue pleine, et l'on let, Bourse du travail, de 10 à 1f heures.
Syndicat des Employésde Commerce
s'éloigna à regret. Le rideau lui-même à la
tin se refusait à descendre : quelqu'un Tous les mnerolares du Syndicat sont ins1arnet 'nent pi.itls d'assiSter k la réunion génfrale qui 1
cria : Rideau ! >i comme avec rage,
le. couperet tomba. Rideau ! La grande se- aura lieu ce soir samedi, à heures précisa5,
à la Bourse du Travail, pour- le compte rendu
iïïaiflC est morte t
.
-
c
'c
:OJJI L'AIIIOH'E'.IAffiE.
(< Pelléas
e drames lyriques '
?. ..
>
Schumaim » et non « charmante ; Ct
fluide « génial ' et non « général ».
Daii.s l'ai'ticle n \T, aine phi'ase -a été
pense prCfee[oi-ale. 4liraves décision li prendre.
Aujourd'Iui G juillet, à 9 li. G du 5oir. ruDivis boulevard dc Strasbocrg, 5,
5,yndicat des Ouvriers boulangers
tonquée; veuillez la rétablir ainsi : e On ''tcs Ouvriers boulangers syndiqués sont inVidevrait,... abolir cette distinction surannée té ic assister 5:)a réunion qui aura lien aujour
le
tic tiagéc1ii' et de comédie, transformer
d'hui G jouet, Bourse du Travail1 k 9 heures
COflC.OUI'S de tragédie en un concours de du soirS
diction proprcsneiit dite....) etc. Plus loin,
Amical Doxing Club T-3ulousain
j'avais écrit : e Mile Andrieu, qui se produicait dans le 2e acte de '1' artufe », ne Ce soir it S h. 30, au café Marty, 2, ro de
SOfllbIe pas avoir lu celui qui précède. » On la uoncordc, grande réunion mensuelleb
m'a {ait dire (ce qui préeède comme si
je relu'OCliaiS à Melle Andricu de n'avoir
j'aa u alun compte rendu... ii venir! - G. A.
THAT!ES ET C!EIAS
,.
,*.
**
.
iflèsultet des concours de chant et, de l'onra
comnique
:
Glant, professeur;
BOUt) ('lJ. 'Boyer.
prix, 5111e 011.
Baecjuié,
Mmrc
MM.
Mile Dussert; lie
THEATRE . DES
Nouveescr
VAR-IETES.
2auvres, 'veuei applaudir le plus graud succès de l'clpoque auquel nous convie M. BOW'dia Profileur et assister 5 ses mésaventures
policières sestimentaIes. Cette joyeuse satire
des Nottvean.v Riches, qui peut êre entendu
1er accessit IMiles Oubraclous. Tzarié,Laffe- par tous., petits et gron, sera iprésant.é sut
iIlles Thoumniè.rayrie (rappel) ; 2e accessit
notre scèno la 'vendredi 1?, arnedm 13 Ot dil,i,.
2e manche 14 juillet, en nsatisée et. soirée.
plra comique, professeur M. Bladviel.
Tous le soir-s, l'inLES NOUVEAU'PBS.
prix : Mlles ussert Izarié, Laffrayrie ; 1er mense et eteotis&ant sucoés Ça oui, la HaN.
accessit, Gil.
tUe, jury tait composé de 5M. Aymé iCuac.,
C'lorent-Schmit,
président; Jules MazelUer
grands-prix cia gRome; Mmes (Dalmayrac,
Tournié, nIlle 'alvet, ii[l. Battaille, ClaudeJean, IGalinier, Eugilne izes, Subra de Salafa,
IPrix d'ho,snur, él. Itamnondou.
IP1ix d.aury.
fer prix, Mlllc Dussert, 1,DO{)
_)o(_è
NÉCOLOGIE
et 'ti1&jt'autres
7
Ce prL'%cès me paraît jugé : dès o.rs. faiSons celui des Concurrentes.
. Mlies Izarié et Lafferayrie sont. deux
eleyec de Mile I3acquié qui, 1'uie et l'autre
obtenrent un deuxième accessit'en Ip17. Lt
des diémarchs du conseil syndical. et de la ré-
ERflATA. - La saisQu des bains de mer INomination dèfliLire -du dtlégué du Congres
comInctuce ... Voici quelques « coquilles » confédéra.
ramassées dans mes comptes rendus d'hier.
Chambre syndicale des Cuisiniers
Il faut lire 'i phrase chantante à la
2e prix, lle Cil i&II francs.
iomances soient plus aptes à faire valoir francs:
iPrix nlaury jiaflo, Mile Dunais, 009 francs;
les qualités théâtrales d'un élève de M. prix \ aui liairnoflie 1M Piinosdou 51M fr
Bladviel que rie le seraient- « IIérqdiade »
e: Louise »,
ra!ifl8 !!8, a I Ir. 20 le Ilirc
.
il est acquis -- je le déplorais hier k cefte
(lue Fépreuve du déchiffré et l'unit:é de sujet pour les concurrents d'une même catégorie sont choses excellentes pour les ins-.
Au moroat . do mettre sous presse. une truments, mais ne valemit mien pour la décruîelle nouvelle nous est communiquoc.
clamation. Iourquoi . cette différence ? On
Hier soir vendredi, 5 heures, notre an- no sait : «:Cela se fai; ceci ne sefait pas
s'est
Martin,
clan adroimiistreteur, Heurt
esacore : e A Paris, cn se rirait de nous
ttcmnt à 1 i,g' de 5 ans en son te a cime ou
(Ah ! lerepect dû i Paris! il perd la pro4, rue Soint-Paul.
vinc(' COflhiflC re rfspect humain détruit la
Heurt Martiri queniinait une rnaladi de: vertu 1)
coeur et dont ta santd 4taif. depuiaq.ueique
111cm', une autre qustion. sofrit l moi
temps. très ibranhe était, ii y aqtolcjues
commi'
mnoi1 programme : autie
semaines. tti chercher cLuis Reims Imm- questionj'ouvrais
hélas ! la mémo réponse.
bard&, où elle avait voulu !sterjuque- Je lus tesapprlaflt
noms des compositeurs mis ii
là, saa'iejlie nlère qu'il adorait : il ne s'dtait
pas complètement relevé de ce long. voyage. contribution pc.ur cette séance : (ioqnod,
Verdi, Rossini et autres ancètres.
Nous avons la devoir de saluer ici. roc- \Veher.
je les compara5Lt ceux des dramaturges
pentuau.semeqt l'homme de devoir et de et
cloisis la veille pornhi lesquels on pouvait
coeur qui, pe.ndaat de longs mois. s'est 4on- voir
figurer. à côté dc e Racine b) et de
né tout entier; sous bien des former, m
((
Molière
', des jna it consonnance 1)iCit
aceepti
d'advre qu'il avait géaéreusem
désigiant Daudet, Mirbeau,
plus
jeune.
In inistrer.
Flers-et-CailiaVct.
N'existerait-il pas. je
Aqeun ami du Midi i. aucun socialiste vous prie, une musiqiar
moderne toue coinn'oubliera, cri dépit de dissentiments cidili
il existe une litLératue contcmporaine
anciens et d'ailleurs superficiels, la grdnde uneOui,
sans dt'ute, répondra-t-Qn, mais elle
hcnt d'Henri Martin à qui ceux-là SeulS In flatte pas les voix. --Ldmettons, si vous
de
pourraient rsproohr qwslque siivirit
légende. et abandonnons le
Çugeme.nt qui ignoraient à quel point il a y tenez, cetta
de chaut aux seuls classiques.
(t(i, perdant sa vie cia travailleur et d'in- concours
Mais soutiandrez-vOuc « laudator temporis
dustrial, dur cl. exigeant pour 1ui-mnae, actique
e Le Maître de Chapelle , et « Le
beaucoup
dc
en nma temps qne. comme
et toutes ces vieilles partitions m
Barbier
coquaterie
de
sentiraentaux il avait. la
première accutiou de commerce avec l'en-
par.
sonniers.
5.
nemi.
rue Saint-Ilenri, place Marengo, place Bachelier, avenue de Lyo.
taires allemandes.
jOUr appelle la discussion des conclusions de
la COflimissioli cliarge d'examiner la demande
en autorisation de poursuites contre Turmel,
pur intelligence avec l'ennemi.
lenaudeI rlolsme des explicatiduas dii rappo,teur et d'autant plus, dit-il, quaprfis di
niois de poursufts, en n'a pas pu clihriontrer la
eulpabiliti cl M. Turmel en ce qui concerna la
J-niilf
cuté uzi coup de main et ramene des pri-
LES AFFAIRES A L'INSTRUCTION
a Charnbr& adopte sans cIbat un cerlain
ioinbre de proposlUons de loi et l'ordre du
; épêch
dans les légions de Outry et do Montgobert.
A l'ouest do Busciares, nous avens exil'-
*
juillet.
Paris,
Le prince Eddine, qui devient sultan de
In lieutenant rapporteur Joeaaselin a enTurquic, est fmgd de 57 ans. Il passait au tendu
ce matin ciCux témoins. dont on no
moins avant la guerre pour peu fvortble
pas 105 noms.
aux Jeunes-Turcs. rro,ltPfois depuis la donne
Dans l'affaire HumberL cet après-riidi.
guerre il n dit donnr des gages et envoyer
par exemple ses fils dans les co1es miii- ii fi interrogé Pierre Lenoir.
s
g séance es Ouverte r 3 h.
plus vivo au :s'd cia l'Aisne, notamment
LE NOUVEMJ 3ULTAN DE TURQUZE
de
paris, 5 juillet.
-
Paris, juillet. il h.
Activité moyenne dca" deu artilleries.
Communiqué britainique
105 millimètres, et un très grand za:.mbre do
foudres. 3 juillet, 1 1 h. 50 soir.
mitrailleuses.
Le nombre des prisonniers faits hier, au
Au nord-est du Grappa, après une rriparation d'artillerie, nos détachements ont cours de l'opération sur la Somme et de la
pnétré dans le positions adverses, à la oitre-atfaquo allemande qui a suivi, détôle du val alcino. La 'réaction ennemie, pae actuellement quinze cents, dont quaqui se manifesta par un tir intense et des rante officiers.
Rien à sinaier on dehors d'une activitô
contre-attaques, ne riussit point à nous emilever las avantages aux porte3 de &ilou. d'artillerie ennemie dans la région de
Une tronaine de prisonniers, dont 5 offi- .icherpenbarg.
clore, et G mitrailleuses restèrent dans mos
Armée d'Oicn
ni aina,
alûnique. 4 juillet.
Sur le plateau d'Asig'', nous r3poussGrande activité de part et d'autre sur le
nies deux contre-attaques, at Cornono
(Sasso Rosso), on ongageant l'ennemi dans front de Doiran et dans le secteur de Modes mtôes à la Iaiusinette et à coups de nastir ou ious avons exécuté, avec succès,
grenades à main, qui lui firent subir oa des tirs de destruction sur les batteries eu-
Cette psrad 4eniia, avee I'loquene de sa
couleur et de son mouvement, qui fut pariicu1irement goûtée du peuple aiurieain, la spectacle d'une admirable Union. Interminables, les
vivats retentissaient au passage des kiR9 et des
cornemuses britanniques et cet enhousiasme af
Chambre
pouss
une violente oatre-attaqu et dtruit do
Ilouveaux centres de résistance onuems,
flous avons élargi Considérablemeiit notre
occupation au sud-cst de Chiesanuova et
au nord de Cavazucchorina copturant 419
prisonnie-s, une batterie de 6 obusiers do
8siatiqucs.
& cÔt
Cmurzuniqu ftnais
Rime.
toits et aix corfflclïcs et saluait d'acciamatoiu
ïlirantes le eørtgo qui, clans l'&hlouissement
du oleiI, défila :penclant douze heures sur la
cinquiiie avenue., coflformiment l la tradition.
cependant que les hymnes guerriers : le Star
pangied Ban?ur8 et ta Ïfarseil!aise se suceilaient sans interruption. Et ctaiL un vaate panorama humain où la fusion g'r'aduelle de la
nation amérisains dtait cvoqutie par des einblèrnes, où toutes les lifligues étaient inscrIte5 sue
es drapeauï ancestraux éclatants par une
torie disparate de eostumes cossais, italiens
oandinaves, aIbaais helléniques, polonais,
itrÈiordinaire ovation. La France élait,
J'Amclrique, l'hç&îfle du jour
id de 'As
Le
4 juilletolbiisaux Etats-Unis.
!Dès S lseuree cia mit n une I
inim"nse
ait entassee sur les iiotoir- actiOelie ai.
Ouvre aujourd'hui Swnedi 6 ,Jtiillet, plusieurs succursales Tou1ous
notamment
flue Rernpart-Saint-Eicnne p'ace Lucas , C te-Pa\ïSc-Mon tau drai,
T
ces sous lautorite de gewiaux commandes i .i ms iei nen d die detaci ci.
0etuis nvi designaIin eomm ccrwrns- (lifltS
Saire à l'agriculture o n'ai ar ii cessé a I agriculture.
Pour le..s hommes de la c1ass 92 en serde me proccupr ds quesio
wan %ino
dans lcs us re depenait au runistre
d ure
de l'armement, 2.670 sur OOO ont &Jà reçu
A diverses reprises 'ai insst tri
de ralli3r les &i et de cornn isrnnt 'tans en mon ncin dl en 'p1
c w L a 1 ordiedpartementales
la main-doeuvie.
COTflSnlSSIÛn d'agriculture de la Chamb , (Et les autres t N. D. de
L. Il.)
pour obtenir la d'mobilisatjon des agrioul.J'insite ihaque jour pour obtenir que la
t-euro de la classe l2. Nous tioas sur le
point daboutip un r('sultat satisfaisant totalité de ces hommes soit remise, dans
lorsque s'est prduitn l'offensive allemande. le plus bref délai, ii la disposition de !'agriTout dernirciment, j'ai demandé qua le cu;lture.
Bien qùe les services de la main-d'oeuvre
CCtirmgent de Frisonniers rseryé aux t'adirectcmen do M. le miiiistre de
vaux agricoles soit augmentd de + p. tDO, dépenUent
par des-prélèyemnon effectu&s sur les cf.. l'agriculture -et du rajtajl1ement, je ne
fectifs mis la lipojIjû des ministères manque jamais une cccasion d'intervenir
miIitairs agri'tics travan puMies et du ravitaillenaenL pour qu l'utilisation
L'est t la suite de mon intervention qu'il culteurs mobilisés dans les &pts ou sera cté dècicié que les prisonniers o.:cupés vices de 1'int4rjeur scidni, utilisés le plus
au travaux fôrestiers seraiesit remis à la largement possible aux travaux agricoles.
dipoitio 1es commissions ciépartemen- Lorsiue des rciamajtons intéressant des
tales de la main-d' uv ce agricole pendant associations ou des femmes de mobilisés
la priocle des gros travaux de fenaison t me sont adressées directement, je puis vous
donner l'assurance que j'interviens iinnde moisson.
pn outre, j'ai obtenu que les dit.aole- diateaient pour qu'il leur soit donné une
satisfaisante..
m.nts temporaires-à la terre soient accor-. solution
'Orcivez, mc'n cher directeur, à mes senti-
'. L opratjon d'hier dans le senteur de Viilers-Bretonneuj a ét une des plus russis par
m les &prattons a e genre Elle o t6 en
eir
ont
verses communes de leur dprtem-anL
Deja tous les hOiflfl des depots, services et établissements du territoire. pla-
-
.
i
tecfl-
E ce qui p1icern plus prhcu11Àement
lneO't:
rentre clans le Ca1re.
q u le
P» IL'S C9PTL OflS (JCP
hies dela ain-duvre
_T::v)
A 2 h. O l'avion i'nal t
'
'
t
A itt sitte d . un recent
artict
paru dans
jectifs taicrt atteints 2ih
colOreS sur la classe 189i et se reifait une contre aLtque su la ehau se Brunea lagriculture, nous avons reçu du cihaut, mais prie de flanc par nos feux et 6c.rasé tOO1
CII 1Compère-MoreL commissaire lagripar l'artillerie, il se dipersa arant davoir pu
aborder nos positions. A
heures, tout était culture, la lettre suivante qui intéressera
1,.n...
lP*ut OP UI ChS
j
Mademoiselle Ida Lauhrespy, Vune de
employées de l'administration du
i Midi i, viertd'être frappée dans ses plus
nos
pi'emièra bénéficie d'un organe très clair chères affecticas l)ar la mort dc son père,
et très plaisantS que l'étude n'a peut-être M. Pierre Laubrepy.
l'as encore suffisamment assoupli : par
Que Mile Laubrespy reçoive, n, cette
exemple. on souhaiterait plus de justesse. et deuloureuse circonstance, les plus vives
de souplesse dans les vocalises. tans mc Le condoléances du personnel et de, la rédacl3urbier », elle rua semblé trp fItillante; tion t de I'adu1inisjration du « l\ijdi ».
vend les mei1Ieurs
A1irnepatatior --- Approvisionernent
T O U LOU S
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
que revue de M Louis Relland en S actes et iYh
(ableau. Les melleures vedettes; le plus
somptueux ballets.
Demain dimanche, 3 heures,
,TrnANON.
grarde matinée de gala avec le gros sucoè Un
Soir dans l'Ambulance, de 'MM. Baul de Max ot
f:hi. Bernat, musique de MtneLfarir Esoaflit avec
filmes iDalcia, Stoll; 5ii1. Tarquini-d'Or. Ba-teille, Durantiir. Galcmthée le populaire ouvrage
.-de V. Classé, commencera le spe.etacie
A S li, 45.
VOÀMOcLRAPH.
-
AlaOLLOTIiEATRE.
.11 jUillet. .
Programme du 5 U
f. Virtuose aveugle, drame 4 parties; 13. ViY
meflt, un Femme ! cimédUe comique ; 3. Aff
ratée, Comique ; 4. Planta crbelle., docu.meist.
ProCINEMA THEATRE-LAFAYETTE.
gramme clii vendredi 3 au lundi 8 juilCt.
Fauvette, 2e djSOde, atirage et. Réalité
Naufrage de I'Alden-Be,ss, drame. partieS..:
,
lilatiiiée h. 110, sOirée h. 45.
COSMOGRPE. - A .8 h. 45.
S
hi
sAIN!TGypBlBN-CINE5iA.Sorrée
lLBI11UDEGINElMA.
A S h. 15.
L'Acfrninlstrc4,ew'-Gérant : DAR!CAU.