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www.cclt.ca • www.ccsa.ca Juin 2016 Sommaire canadien sur la drogueue Ecstasy ou Molly (MDMA) Points clés L’ecstasy et la Molly sont les noms de rue attribués aux pilules et aux comprimés qui sont supposés contenir l’ingrédient actif 3,4 méthylènedioxy-N-méthylamphétamine (MDMA). Bien que la plupart des gens qui consomment de l’ecstasy ou de la Molly s’attendent à ce que l’ingrédient psychoactif principal soit la MDMA, souvent, les pilules, la poudre ou les comprimés vendus comme ecstasy ou Molly contiennent d’autres ingrédients (comme des cathinones de synthèse ou d’autres adultérants) en plus de la MDMA. Parfois, ces produits ne contiennent aucune MDMA. La prévalence de la consommation d’ecstasy chez les Canadiens de 15 ans et plus au cours de l’année dernière est inférieure à 1 % et a diminué de moitié depuis 2008. Chez les élèves canadiens de la 10e à la 12e année, 1 jeune sur 25 a déclaré avoir consommé de l’ecstasy au cours des 12 derniers mois. Introduction L’ecstasy et la Molly sont les noms de rue attribués aux pilules, à la poudre ou aux comprimés qui sont supposés contenir de la MDMA (3,4 méthylènedioxy-N-méthylamphétamine), un produit chimique de synthèse consommé à des fins récréatives. Les pilules sont généralement colorées et arborent un logo. Ces drogues sont fabriquées dans des laboratoires clandestins, souvent avec une multitude de produits chimiques, et peuvent contenir une quantité nulle ou très variable de MDMA, selon les lots. En 2015, d’autres ingrédients actifs relevés dans les comprimés d’ecstasy ou de Molly comprenaient des cathinones de synthèse ou « sels de bain », y compris l’éthylone, la méthylènedioxyamphétamine (MDA) et son prédécesseur, la méthylènedioxyphénylpropanamide (MMDPPA). On a également signalé des adultérants tels que la caféine, la procaïne et la méthamphétamine1. En 2011 et 2012, on a trouvé de la paraméthoxyamphétamine (PMMA) dans des pilules vendues comme ecstasy au Canada. Cette adultération a entraîné la mort de 27 personnes en Alberta et en Colombie-Britannique sur une période de onze mois2. En 2002, l’abus de substances a coûté 40 milliards de dollars au Canada, et les substances illicites, dont l’ecstasy, représentaient environ 8,2 milliards (environ 20 %) de ce montant3. Page 1 Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Effets d’une consommation d’ecstasy Les effets de l’ecstasy sont directement liés aux ingrédients actifs que contient la pilule. La MDMA est l’ingrédient recherché par la plupart des gens qui consomment de l’ecstasy. Cependant, d’autres ingrédients actifs sont souvent présents dans cette drogue, ce qui peut entraîner des effets variés. Les cathinones de synthèse, communément connus sous le nom de « sels de bain », constituent un adultérant fréquemment retrouvé dans les pilules d’ecstasy4. Effets de la MDMA À court terme : La MDMA comporte des propriétés pouvant améliorer l’humeur, et les effets à court terme d’une consommation comprennent une sensation euphorique5, une empathie émotionnelle6,7 et une hausse d’énergie5,8. Une consommation de MDMA peut également entraîner des douleurs musculaires, des nausées et des vomissements9, le grincement de dents5,8,9, l’hyperactivité5, une hausse du rythme cardiaque5,8,9, une augmentation de la température et la transpiration5,8,9, la dépression5 et l’insomnie9. À long terme : Les effets à long terme de la MDMA comprennent des troubles du sommeil5,8,9,10,11, l’hypertension, des troubles hépathiques12, des crises de panique10, la jaunisse12, des pertes de mémoire8,10,13,14 et des déficits d’attention10. Effets de cathinones de synthèse À court terme : Les effets à court terme des cathinones de synthèse comprennent l’euphorie15,16, une hausse d’énergie16, une hausse de fréquence cardiaque et de pression artérielle17,18,19, la transpiration19, des tremblements musculaires16,19, des douleurs thoraciques16,17,18, des hallucinations16,17,18,19, la paranoïa16,17,18,19, l’énervement16,18,19 et un comportement agressif16,19. À long terme : Les effets à long terme d’une consommation de cathinones de synthèse sont peu connus20,21,22. Statut juridique au Canada La MDMA est une substance inscrite à l’annexe I de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances. Sa possession est passible de sept ans d’emprisonnement, et son trafic et sa production, de l’emprisonnement à perpétuité. Il existe une grande variété de cathinones de synthèse, dont certaines constituent des substances contrôlées et d’autres non. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag2 Page e2 Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Consommation autodéclarée d’ecstasy au cours de la dernière année au Canada Figure 1 : Prévalence de la consommation autodéclarée d’ecstasy au cours de l’année dernière, par catégorie d’âge Sources : ESCCAD 2008, 2009, 2010, 2011, 2012; ECTAD 2013 À noter : Compte tenu des différences dans la méthodologie de l’ESCCAD et celle de l’ECTAD, la prudence est de mise quand on compare les estimations de prévalence entre l’ESCCAD (2008–2012) et l’ECTAD. Les pourcentages marqués d’un astérisque sont à interpréter avec prudence, en raison de la forte variabilité d’échantillonnage. Des chiffres sur les jeunes ne sont pas disponibles pour 2012 en raison de la suppression des données. Des chiffres sur les adultes ne sont pas disponibles pour 2010, 2011, 2012 et 2013 pour la même raison. Population générale (15 ans et plus) : La prévalence de la consommation d’ecstasy dans la population générale au cours de l’année dernière est assez faible et a diminué de moitié depuis 200823,24,25,26,27. Selon les estimations les plus récentes tirées de l’Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues (ECTAD) de 2013, seulement 0,4 %* des Canadiens âgés de plus de 15 ans ont déclaré avoir pris de l’ecstasy au cours de l’année dernière28. Élèves (de la 7e à la 12e année) : Les résultats de l’enquête sur le tabagisme chez les jeunes de 2012–2013 indiquent que 2,6 % des élèves canadiens de la 7e à la 12e année ont déclaré avoir consommé de l’ecstasy au cours des douze derniers mois. Les élèves de la 10e à la 12e année étaient plus portés à avoir consommé de l’ecstasy pendant l’année dernière que les élèves de la 7e à la 9e année (4,3 % contre 0,9 %). La prévalence de consommation d’ecstasy au cours de l’année dernière était semblable pour les garçons et les filles (2,9 % et 2,2 % respectivement)29. Jeunes (de 15 à 24 ans) : Les jeunes ont la plus forte prévalence de consommation d’ecstasy parmi les Canadiens examinés dans la population générale. Selon l’ECTAD de 2013, la prévalence de la consommation d’ecstasy chez les jeunes était de 1,9 %1,28. * Ce chiffre est à interpréter avec prudence en raison de la forte variabilité d’échantillonnage. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag3 Page e3 Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Adultes (25 ans et plus) : En raison d’un nombre insuffisant de répondants, il est impossible de se prononcer sur la prévalence de la consommation d’ecstasy au cours de l’année dernière chez les adultes canadiens d’après les données de l’ECTAD de 201328. Consommation autodéclarée d’ecstasy au cours de l’année dernière chez les populations à risque élevé Figure 2 : Prévalence de la consommation autodéclarée d’ecstasy chez les populations à risque élevé au cours de l’année dernière, par ville (2013) Source : Étude de surveillance de la consommation d’alcool et de drogues parmi les populations à risque élevé 2012-2013 Adultes itinérants consommateurs de drogues† : En 2012, la prévalence de la consommation d’ecstasy dans la dernière année des adultes itinérants variait entre 7,7 % à Calgary (Alberta) et 33,8 % à Toronto (Ontario)30. En 2013, cette prévalence variait entre 7,5 % à Vancouver (ColombieBritannique) et 27,5 % à Toronto (Ontario) (voir la figure 2)30. Comparativement aux jeunes de la rue et aux consommateurs de drogues à usage récréatif, les adultes itinérants avaient la plus faible prévalence de consommation autodéclarée d’ecstasy dans la dernière année dans les villes ayant fourni des données pour 2012 et 201330,31,32. Jeunes de la rue consommateurs de drogues‡ : En 2012, la prévalence de la consommation d’ecstasy dans la dernière année des jeunes de la rue se situait entre 27,5 % à Halifax (Nouvelle- † La catégorie des adultes itinérants consommateurs de drogues comprend des personnes de 19 ans et plus sans abri permanent. Pour participer à l’étude, ils devaient avoir consommé au moins une drogue (à l’exception de l’alcool et du tabac) au moins une fois tous les mois au cours des six mois précédant chaque entrevue. ‡ La catégorie des jeunes de la rue consommateurs de drogues comprend les personnes de 15 à 24 ans pouvant être totalement sans abri, bénéficier d’un abri temporaire, avoir recours à des services pour jeunes de la rue ou identifiés par des intervenants locaux comme Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag4 Page e4 Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Écosse) et 50,6 % à Montréal (Québec)31. En 2013, cette prévalence variait entre 30 % à Calgary (Alberta) et 72,2 % à Toronto (Ontario) (voir la figure 2)31. Consommateurs de drogues à usage récréatif§ : En 2012, la prévalence de la consommation d’ecstasy des consommateurs de drogues à usage récréatif se situait entre 30,8 % à Winnipeg (Manitoba) et 78,8 % à Montréal (Québec)32. En 2013, cette prévalence variait entre 32,5 % à Winnipeg (Manitoba) et 92,5 % à Vancouver (Colombie-Britannique) (voir la figure 2)32. À l’exception de Winnipeg en 2012 et de Toronto et Montréal en 2013, les consommateurs de drogues à usage récréatif avaient la plus forte prévalence de consommation autodéclarée d’ecstasy dans la dernière année30,31,32. Rang parmi les cinq substances les plus consommées Tableau 1 : Les cinq substances les plus consommées au cours de la dernière année par les Canadiens n° 1 n° 2 n° 3 n° 4 n° 5 Population générale (15 ans et plus) Alcool (75,9 %) Cannabis (10,6 %) Cocaïne/Crack (0,9 %)* Hallucinogènes et salvia (0,6 %)* Ecstasy (0,4 %)* Jeunes (de 15 à 24 ans) Alcool (72,6 %) Cannabis (24,4 %) Hallucinogènes (2,7 %) Cocaïne/Crack (2,4 %) Ecstasy (1,9 %)* Adultes (25 ans et plus) Alcool (76,5 %) Cannabis (8 %) Cocaïne/Crack s. o. (supprimé) s. o. (supprimé) (0,6 %)* Source : ECTAD 2013 Note : Les pourcentages marqués d’un astérisque sont à interpréter avec prudence, en raison de la forte variabilité d’échantillonnage. Consommation autodéclarée d’ecstasy à l’échelle internationale au cours de la dernière année Selon des données fournies par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), la prévalence de la consommation d’ecstasy au Canada était plus élevée que la moyenne mondiale de 0,4 %, mais ce taux était tout de même inférieur à celui des États-Unis, de l’Angleterre et du pays de Galles et de l’Australie (figure 3)33. étant des jeunes de la rue. Pour participer à l’étude, ils devaient avoir consommé au moins une drogue (à l’exception de l’alcool et du tabac) au moins une fois tous les mois au cours des six mois précédant chaque entrevue. § La catégorie des consommateurs de drogues à usage récréatif comprend des personnes recrutées lors d’une activité ponctuelle (une « rave », une fête dans un lieu inhabituel comme un entrepôt) ou dans une boîte de nuit fixe. Pour participer à l’étude, ils devaient avoir consommé au moins une drogue (à l’exception de l’alcool et du tabac) au moins une fois tous les mois au cours des six mois précédant chaque entrevue. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag5 Page e5 Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Figure 3 : Prévalence de consommation autodéclarée d’ecstasy au sein de la population générale au cours de l’année dernière, par pays Source : Rapport mondial sur les drogues 2015 de l’ONUDC Application de la loi En 2013, 123,1 kilogrammes (21 984 comprimés) de substances de type ecstasy ont été saisis au Canada33. Au cours de l’année suivante, les services policiers ont déclaré : 368 affaires de possession d’ecstasy (176 accusations); 140 affaires de trafic d’ecstasy (88 accusations); Sept affaires de production d’ecstasy (cinq accusations). En 2014, les affaires liées à la possession et au trafic d’ecstasy signalées par la police ont augmenté de 28,2 % et de 2,6 %, respectivement. Pour leur part, les affaires de production d’ecstasy ont diminué de 13,5 %34. Initiatives fédérales sur le problème Le projet de loi C-10, la Loi sur la sécurité des rues et des communautés, a reçu la sanction royale en mars 2012. Cette loi prévoit des peines minimales obligatoires en cas de trafic d’ecstasy s’accompagnant de facteurs aggravants comme la violence (un an) ou la proximité d’une école (deux ans)35. Les juges ne sont pas tenus d’imposer ces peines minimales obligatoires si les contrevenants passent par un tribunal de traitement de la toxicomanie ou un autre programme de traitement approuvé par le tribunal. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag6 Page e6 Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Autres ressources Rapport pancanadien sur la consommation d’alcool et de drogues des élèves Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues chez les élèves www.Xperiment.ca Résultats de tests, EcstasyData.org, extrait le 1er juin 2016 du site Web www.ecstasydata.org/results.php?start=0&search_field=location&s=Canada. 2 Nicol, J.J., M.C. Yarema, G.R. Jones, W. Martz, R.A. Purssell, J.C. MacDonald, ... et J.A. Buxton. « Deaths from exposure to paramethoxymethamphetamine in Alberta and British Columbia, Canada: a case series ». CMAJ open, vol. 3, n° 1, 2015, E83–90. 1 Rehm, J., D. Baliunas, S. Brochu, B. Fischer, W. Gnam, J. Patra, … et B. Taylor. The costs of substance abuse in Canada 2002. Ottawa, Ont. : Centre canadien de lutte contre les toxicomanies, 2006. 3 Palamar, J.J, A. Salomone, M. Vincenti et C.M. Cleland. « Detection of “bath salts” and other novel psychoactive substances in hair samples of ecstasy/MDMA/“Molly” users », Drug and Alcohol Dependence, vol. 161, 2016, p. 200–205. 4 5 Baylen, C.A. et H. Rosenberg. « A review of the acute subjective effects of MDMA/ecstasy », Addiction, vol. 101, n° 7, 2006, p. 933–947. Hysek, C.M., Y. Schmid, L.D. Simmler, G. Domes, M. Heinrichs, C. Eisenegger, ... et M.E. Liechti. « MDMA enhances emotional empathy and prosocial behavior », Social Cognitive and Affective Neuroscience, vol. 9, n° 11, 2014, p. 1645–1652. 6 Kamilar-Britt, P. et G. Bedi. « The prosocial effects of 3, 4-methylenedioxymethamphetamine (MDMA): Controlled studies in humans and laboratory animals », Neuroscience & Biobehavioral Reviews, vol. 57, 2015, p. 433–446. 7 Teter, C.J. et S.K. Guthrie. « A comprehensive review of MDMA and GHB: two common club drugs », Pharmacotherapy, vol. 21, n° 12, 2001, p. 1486–1513. 8 National Institute of Drug Abuse. MDMA (Ecstasy) abuse, extrait le 1er juin 2016 du site Web www.drugabuse.gov/publications/researchreports/mdma-ecstasy-abuse/letter-director, 2006. 10 Maxwell, J.C. « Party drugs: properties, prevalence, patterns, and problems », Substance Use Misuse, vol. 40, n° 9–10, 2005, p. 1203–1240. 9 Chummun, H., V. Tilley et J. Ibe. « 3,4-methylenedioxyamfetamine (ecstasy) use reduces cognition », British Journal of Nursing, vol. 19, n° 2, 2010, p. 94–100. 11 Hall, A.P. et J.A. Henry. « Acute toxic effects of ‘Ecstasy’ (MDMA) and related compounds: overview of pathophysiology and clinical management », British Journal of Anaesthesia, vol. 96, n° 6, 2006, p. 678–685. 12 Blagrove, M., J. Seddon, S. George, A.C. Parrott, R. Stickgold, M.P. Walker, … et M.J. Morgan. « Procedural and declarative memory task performance, and the memory consolidation function of sleep, in recent and abstinent ecstasy/MDMA users », Journal of Psychopharmacology, vol. 24, n° 4, 2011, p. 465–477. 13 Brown, J., E. McKone et J. Ward. « Deficits of long-term memory in ecstasy users are related to cognitive complexity of the task », Psychopharmacology, vol. 209, n° 1, 2010, p. 51–67. 14 Baumann, M.H., J.S. Partilla et K.R. Lehner. « Psychoactive “bath salts”: not so soothing », European Journal of Pharmacology, vol. 698, 2013, p. 1–5. 16 Winstock, A., L. Mitcheson, J. Ramsey, S. Davies, M. Puchnarewicz et J. Marsden. « Mephedrone: use, subjective effects and health risks », Addiction, vol. 106, n° 11, 2011, p. 1991–1996. 17 National Institute of Drug Abuse. « “Bath Salts” — Emerging and Dangerous Products », extrait le 1er juin 2016 du site Web www.drugabuse.gov/about-nida/directors-page/messages-director/2011/02/bath-salts-emerging-dangerous-products, 2006. 15 Spiller, H.A., M.L. Ryan, R.G. Weston et J. Jansen. « Clinical experience with and analytical confirmation of “bath salts” and “legal highs” (synthetic cathinones) in the United States », Clinical Toxicology, vol. 49, n° 6, 2011, p. 499–505. 18 19 20 Ross, E.A., M. Watson et B. Goldberger. « “Bath salts” intoxication », New England Journal of Medicine, vol. 365, n° 10, 2011, p. 967–968. Capriola, M. « Synthetic cathinone abuse », Clinical Pharmacology: Advances and Applications, vol. 5, 2013, p. 109–115. 21Dybdal-Hargreaves, N.F., N.D. Holder, P.E. Ottoson, M.D. Sweeney et T. Williams. « Mephedrone: public health risk, mechanisms of action, and behavioral effects », European Journal of Pharmacology, vol. 714, n° 1–3, 2013, p. 32–40. 22 Karila, L., J. Billieux, A. Benyamina, C. Lancon et O. Cottencin. (sous presse). « The effects and risks associated to mephedrone and methylone in humans: a review of the preliminary evidences », Brain Research Bulletin. Santé Canada. Enquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues : sommaire des résultats pour 2012, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2013. 23 Santé Canada. Enquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues : sommaire des résultats pour 2011, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2012. 24 Santé Canada. Enquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues : sommaire des résultats pour 2010, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2011. 25 Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag7 Page e7 Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou Molly (MDMA) Santé Canada. Enquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues : sommaire des résultats pour 2009, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2010. 27 Santé Canada. Enquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues : sommaire des résultats pour 2008, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2009. 28 Statistique Canada. Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues : sommaires des résultats pour 2013, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2015. 26 Santé Canada. Enquête sur le tabagisme chez les jeunes pour 2012–2013 : tableaux supplémentaires, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2013. Santé Canada. Étude de surveillance de la consommation d’alcool et de drogues parmi les populations à risque élevé : adultes itinérants consommateurs de drogues : données de prévalence pour 2012–2013, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2014. 31 Santé Canada. Étude de surveillance de la consommation d’alcool et de drogues parmi les populations à risque élevé : jeunes de la rue consommateurs de drogues : données de prévalence pour 2012–2013, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2014. 32 Santé Canada. Étude de surveillance de la consommation d’alcool et de drogues parmi les populations à risque élevé : consommateurs de drogues à usage récréatif : données de prévalence pour 2012–2013, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2014. 29 30 33 34 Office des Nations Unies contre la drogue et le crime. Rapport mondial sur les drogues 2015, New York : Nations Unies, 2015. Statistique Canada. Statistiques des crimes fondés sur l’affaire, par infractions détaillées, Ottawa, Ont. : chez l’auteur, 2015. Barnett, L., T. Dupuis, C. Kirkby, R. MacKay, J. Nicol et J. Béchard. Résumé législatif du projet de loi C-10 : Loi édictant la Loi sur la justice pour les victimes d’actes de terrorisme et modifiant la Loi sur l’immunité des États, le Code criminel, la Loi réglementant certaines drogues et autres substances, la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition, la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents, la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés et d’autres lois, Ottawa, Ont., Bibliothèque du Parlement, 2012. 35 ISBN 978-1-77178-358-3 © Centre canadien de lutte contre les toxicomanies, 2016 Le Centre canadien de lutte contre les toxicomanies transforme des vies en mobilisant les gens et les connaissances afin de réduire les méfaits de l’alcool et des drogues sur la société. En partenariat avec des organismes publics et privés et des organisations non gouvernementales, il travaille à améliorer la santé et la sécurité des Canadiens. Les activités et les produits du CCLT sont réalisés grâce à la contribution financière de Santé Canada. Les opinions exprimées par le CCLT ne reflètent pas nécessairement celles du gouvernement du Canada. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies • Canadian Centre on Substance Abuse Pag8 Page e8