Biographies Blaise Pascal : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière :

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Biographies Blaise Pascal : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière :
Biographies
Entre les dramaturges, les scientifique, les physiciens… enfin tous se qui brillé dans leur matière
certain était connu et d’autre moins. Pour en connaître voici deux biographies. C’est deux personnes
sont deux français qui ont vécue au même siècle
Blaise Pascal :
Né le 19 juin 1623 à Clairmont (aujourd'hui Clermont-Ferrand), en Auvergne et meurt le 19 août
1662 à Paris, est un mathématicien, physicien, philosophe, moraliste et théologien français.
Enfant précoce, il est éduqué par son père. Les tout premiers travaux de Pascal concernent les
sciences naturelles et appliquées. Il contribue de manière importante à la construction d’une
calculatrice mécanique (la « Pascaline ») et à l’étude des fluides. Il a clarifié les concepts de
pression et de vide, en étendant le travail de Torricelli. Pascal a écrit des textes importants sur la
méthode scientifique.
Mathématicien de premier ordre, il crée deux nouveaux champs de recherche majeurs : tout d’abord
il publie un traité de géométrie projective à seize ans ; ensuite il développe en 1654 une méthode de
résolution du « problème des partis » qui, donnant naissance au cours du XVIIIème siècle au Calcul
des Probabilités, influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales.
Après une expérience mystique à la fin de 1654, il délaisse les mathématiques et la physique et se
consacre à la réflexion philosophique et religieuse. Il écrit pendant cette période les Provinciales et
les Pensées, ces dernières n’étant publiées qu’après sa mort qui survient deux mois après son 39e
anniversaire, alors qu’il a été longtemps malade (sujet à des migraines violentes en particulier).
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière :
Né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur
de théâtre français.
Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est toujours l'auteur le plus joué.
Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention
des bourgeois enrichis, Molière aime la jeunesse qu'il veut libérer des contraintes absurdes. Très
loin des rigueurs de la dévotion ou de l'ascétisme, son rôle de moraliste s'arrête là où il l'a défini : «
Je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions des hommes que de
vouloir les retrancher entièrement »[3], et son but a d'abord été de « faire rire les honnêtes gens
»[4]. Il fait donc sienne la devise Castigat ridendo mores (en riant, elle châtie les mœurs) qui
apparaît sur les tréteaux italiens dès les années 1620 en France, au sujet de la comédie.

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