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INEPTI 13/17 ( PDF - 409.2 ko)
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 13-17 22 Avril 2013
La citation de la semaine
« La plupart des hommes au pouvoir deviennent des méchants. »
Platon
Google introduit un gestionnaire de compte inactif, sorte de "testament numérique"
http://www.zdnet.fr/actualites/google-introduit-un-gestionnaire-de-compte-inactif-sorte-de-testament-numerique-39789314.htm#xtor=EPR-100
Google vient d’ajouter un nouvel outil pour les titulaires d’un compte d’accès à ses services. Il leur permet de
définir un délai d’expiration au-delà duquel un compte est considéré comme inactif et de choisir les actions à
effectuer concernant les données personnelles qui y sont associées.
Qu’advient-il des comptes et des données numériques d’une personne lorsque celle-ci disparaît ? Google a décidé d’apporter une
solution pour anticiper ce cas de figure en proposant un « gestionnaire de compte inactif » afin de permettre à ses utilisateurs de
« planifier leur vie numérique après la mort ». Toute personne possédant un compte Google peut dès à présent se rendre dans les
paramètres pour activer ce gestionnaire.
Pour commencer, il faut fixer un délai d’expiration (de 3 mois à un an) au-delà duquel si aucune connexion n’a été enregistrée, le
compte est considéré comme inactif. Ensuite, on peut décider de ce qu’il adviendra des données personnelles liées à ce compte
(courriels, photos sur Picasa, vidéos YouTube, posts sur Google+, documents sur Drive, etc.) en les partageant avec des proches
(jusqu’à 10 personnes). On peut aussi choisir de supprimer le compte une fois que les actions programmées ont été effectuées.
Dans tous les cas de figure, Google envoie d’abord un SMS au titulaire du compte sur son mobile et un courriel sur une adresse
email secondaire qu’il a fourni afin de l’avertir avant que les actions ne soient mises en œuvre.
DARPA develops non-GPS navigation chip
http://www.gizmag.com/darpa-timu-gps/27039/?utm_source=Gizmag+Subscribers&utm_campaign=c5c7c70292-UA-2235360-4&utm_medium=email
The Global Positioning System (GPS) has proved a boon for those with a bad sense of direction, but the satellite-based system isn’t
without its shortcomings. Something as simple as going indoors or entering a tunnel can render the system useless. That might be
inconvenient for civilians, but it's potentially disastrous for military users for whom the system was originally built. DARPA is
addressing such concerns with the development of a self-sufficient navigation system that can aid navigation when GPS is
temporarily unavailable.
We’ve looked at numerous approaches using various mixes of technology that are designed to step up to the plate when GPS falls
short. Navatar and Casio’s EX-H 20G camera rely on a compass, accelerometers and pre-loaded maps, Smartsense and IndoorAtlas
track a user’s movement through the Earth’s magnetic field, while UnLoc detects “invisible landmarks” to locate users.
DARPA researchers working at the University of Michigan have taken an approach somewhat
similar to the Navatar and Casio systems with the creation of a “timing & inertial measurement
unit” (TIMU).
The TIMU prototype contains a highly-accurate master clock and a six-axis inertial measurement
unit consisting of three gyroscopes and three accelerometers. These give the device the ability to
gather precise orientation, acceleration and time information to track a user’s position from A to B
when contact with GPS satellites is temporarily lost.
The sensors are packed onto a single chip in six microfabricated layers that are each just 50 µ
thick, which is approximately the thickness of a human hair. At just 10 cubic millimeters in size,
the whole package is smaller than a U.S. penny.
“Both the structural layer of the sensors and the integrated package are made of silica,” said Andrei Shkel, DARPA program
manager. “The hardness and the high-performance material properties of silica make it the material of choice for integrating all of
these devices into a miniature package. The resulting TIMU is small enough and should be robust enough for applications (when
GPS is unavailable or limited for a short period of time) such as personnel tracking, handheld navigation, small diameter munitions
and small airborne platforms.”
R&D : IBM va investir $1 Bn dans la technologie Flash
http://www.zdnet.fr/actualites/r-d-ibm-va-investir-1-milliard-de-dollars-dans-la-technologie-flash-39789308.htm#xtor=EPR-100
Big Blue vient d’annoncer un investissement de 1 milliard de dollars afin d’élaborer des solutions Flash dans ses
gammes de serveurs et de systèmes de stockage. Douze centres de compétence seront ouverts à travers le monde
pour permettre aux clients de tester l’efficacité de ces innovations
Reflétant la montée en puissance du « big data » et d’autres services et applications génératrices de flux de données exponentiels,
IBM fait un choix stratégique en direction de la technologie Flash. Le géant américain vient d’annoncer qu’il allait investir $1 Bn dans
la R&D de cette technologie afin de « créer et intégrer de nouvelles solutions Flash dans le portefeuille de serveurs, systèmes de
stockage et middleware. » Pour IBM, Flash est plus fiable, durable et économe en énergie que les disques durs.
Cet investissement comprend également l’ouverture d’ici la fin de l’année de 12 centres de compétence à travers le monde, dont un
en France. L’objectif est de permettre aux clients de venir tester en conditions réelles les bénéfices des solutions Flash d’IBM. Big
Blue a par ailleurs annoncé la disponibilité de sa nouvelle gamme FlashSystem de solutions de stockage basées sur la technologie
acquise avec le rachat de Texas Memory Systems. Dans son communiqué, IBM indique que l’opérateur Sprint Nextel vient de
s’équiper avec 9 systèmes de stockage Flash pour total de 150 téraoctets afin d’améliorer son système d’activation des mobiles.
Immobilier : visitez votre maison en 3D avant sa sortie de terre
http://www.challenges.fr/finance-et-marche/20130412.CHA8329/immobilier-visitez-votre-maison-en-3d-avant-sa-sortie-de-terre.html#xtor=EPR-7-[Quot18h]-20130412
VIDEO En partenariat avec Dassault Systèmes, Explorimmoneuf présente, au salon de l'immobilier, un outil qui
permet de visiter virtuellement, et en 3D, sa future maison. Démonstration.
Explorimmoneuf et Dassault Systèmes vont encore plus loin dans la visite guidée virtuelle et en 3D d'un bien immobilier. L'outil
présenté l'an passé permettait de s'introduire dans un appartement tel un passe-muraille derrière son ordinateur (-> Lire : Dassault
Systèmes révolutionne les visites d'appartements). Cette année, le système présente une innovation et permet la visite virtuelle
d'une maison et de son extérieur, alors même que le bien n'est pas sorti de terre. L'outil, présenté au salon de l'Immobilier Porte de
Versailles à Paris du 11 au 14 avril, a également été développé par Dassault Systèmes, en partenariat avec Maison France Confort.
Cet outil assez révolutionnaire sera disponible sur smartphones et tablettes (sous le store d'Apple et sous Android) d'ici peu.
Le potentiel acheteur peut ainsi se rendre compte des volumes de son futur bien, aller faire un tour sur la terrasse ou encore
demander au promoteur de remplacer la douche par une baignoire ou de changer le revêtement du sol.
Un système fort pratique et ludique, donc. Mais encore faut-il qu'il puisse servir, car mois après mois, le secteur du logement neuf
s'enfonce un peu plus dans la crise et les chiffres publiés fin février font craindre aux experts que les mises en chantier plongent
largement sous la barre des 300.000 en 2013, très loin de l'objectif des 500.000 de François Hollande…
If the world consisted of just100 people
http://visual.ly/world-100-people
Hadoop, une technologie en plein essor
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/72829.htm
1. Introduction Le Big Data [1] va révolutionner dans les prochaines années les pratiques de nombreuses entreprises. Ce
phénomène, dénommé ainsi pour la première fois en 2008 par le cabinet d'études Gartner, fait référence à l'augmentation sans
précédent du volume de données hétérogènes générées par des sources très diverses. La rapidité de leurs échanges ainsi que leur
accessibilité et disponibilité sont également des points structurant du Big Data.
L'opportunité d'établir des corrélations a priori non instinctives entre des informations hétérogènes est très précieuse pour les
entreprises. Elles peuvent par exemple cibler davantage leurs clients en croisant différentes données à leur sujet (âge,
positionnement géographique, etc.). Néanmoins, elles doivent veiller à ne pas être submergées par ce déluge de données très
variées. En effet, le Big Data implique un changement radical des techniques habituelles d'analyse, de stockage et de visualisation
des données. Les entreprises doivent donc s'adapter afin de tirer le meilleur parti des ressources technologiques qu'elles ont à leur
disposition. Hadoop est aujourd'hui un des outils les plus pertinents pour répondre aux enjeux posés par le Big Data que sont le
stockage et le traitement de données. Conçu en 2004 par Doug Cutting, ancien élève de Stanford et fondateur du moteur de
recherche open source Nutch, Hadoop est un projet Open Source géré par Apache Software Fundation. Ecrit en langage Java,
Hadoop permet de stocker des grandes quantités de données et de les analyser.
2. Fonctionnement technique Hadoop est un framework informatique largement inspiré par deux produits Google. Le premier est
le Google File System (GFS) : un système de fichiers distribués propriétaire conçu initialement par Google pour répondre aux besoins
de stockage de données de leurs applications. Le second est le Map Reduce, patron d'architecture informatique popularisé par
Google afin d'effectuer des calculs en parallèle. Hadoop s'appuie fortement sur ces deux piliers afin de proposer un outil performant
pour la gestion du Big Data. Mais comment fonctionne Hadoop exactement ?
2.1. Hadoop Distributed File System (HDFS)
Tout d'abord, les données structurées mais également nonstructurées venant de sources très variées (média sociaux,
données de connexion, Internet, appareils connectés) sont
stockées par l'intermédiaire du HDFS. Le HDFS scinde les données
en entrée en plusieurs blocs. Elles sont ensuite répliquées sur les
nœuds du réseau. L'objectif est de pouvoir conserver une copie
des données en cas de défaillance d'un des nœuds.
Le système de données HDFS est particulièrement adapté au
stockage de données non structurées dans la mesure où il s'agit
d'un système de gestion de base de données non-relationnelle.
2.2. Description de l'architecture Hadoop Une fois la logique
de stockage de données détaillée, intéressons-nous maintenant à
l'architecture générale de Hadoop avec laquelle interagit
directement le client. Elle est constituée de 4 éléments majeurs :
=> Le Job Tracker (le gestionnaire de tâche) : il initie et coordonne les requêtes de Map/Reduce
=> Le Task Tracker (le moniteur de tâches) : il permet d'exécuter les ordres de Map/Reduce et de lire les blocs de données à
partir des Data Node
=> Le Name Node (nom de nœud) : il renseigne le client sur l'emplacement des données à compiler pour la requête et le prévient
si un nœud de données est défaillant
=> Le Secondary Node (nœud secondaire) : il s'agit d'une copie, répliquée périodiquement, du Name Node dans le cas où celui-ci
serait défaillant. Cet élément n'avait pas été développe à l'origine mais il fait partie aujourd'hui de la plupart des architectures
Hadoop en service.
=> Le Data Node (nœud de données): il gère les blocs de données et les restitue aux clients (on en compte un grand nombre dans
un réseau Hadoop).
2.3. Fonctionnement du Map/Reduce dans cette architecture
Le client envoie une requête Map, souvent écrite en Java, au Job Tracker. Celuici fait alors appel au Name Node pour savoir quelles données il doit utiliser pour
exécuter la requête du client et où celles-ci se trouvent. Une fois que le Name
Node lui a répondu, le Job Tracker adresse par l'intermédiaire des Tasks
Trackers la requête aux bons Data Nodes. Plutôt que de centraliser les données
et de compiler ultérieurement, la structure Hadoop compile directement les
données au niveau de chaque nœud, la caractéristique principale d'Hadoop. Une
fois le travail effectué, les résultats sont stockés. Ensuite, le client effectue une
requête Reduce qui permet d'agréger les résultats et de fournir au client la
réponse à sa requête originelle. Les "réponses" du Map/Reduce peuvent ensuite
être téléchargées et mise à la disposition des Data Scientists (architecte et
analyste de données) pour effectuer davantage d'analyse. Par ailleurs, les
résultats du Map/Reduce peuvent également être extraits vers des bases de
données relationnelles plus classiques afin de poursuivre l'analyse.
3. Avantages et inconvénients de Hadoop
La technologie Hadoop, bien que très en vogue et de plus en plus utilisée, ne fait pas l'unanimité. En effet, certains obstacles
constituent un vrai frein pour certaines entreprises :
=> Presence d'un Single Point of Failure. Bien qu'à l'heure actuelle une très grande partie des architectures Hadoop en service ait
développé un Secondary Name Node, la structure originelle n'en contenait pas. Cela constituait un risque en cas de défaillance du
Name Node responsable de l'archivage des données.
=> Difficulté d'intégration avec d'autres systèmes informatiques. Si le transfert de données d'une structure Hadoop vers des bases
de données traditionnelles est possible (cf. partie II), il n'en reste pas moins que cette opération est loin d'être une tâche triviale.
=> Absence de sécurité. Dans sa version initiale, Hadoop ne disposait pas de fonctionnalités de sécurité garantissant un
déploiement sans risque.
=> Administration complexe d'Hadoop. Alors que la plupart des bases de données utilisent du SQL ou d'autres langages
informatiques standardisés, Hadoop utilise son propre langage. Si une entreprise veut tirer profit de Hadoop, elle doit donc
développer une expertise spécifique d'Hadoop en interne ou en faisant appel à un prestataire extérieur. Ce facteur est actuellement
celui qui freine le plus son adoption.
=> Traitement de données différé. Hadoop n'est pas une plateforme faite pour l'analyse temps réel des données.
Les 2 derniers points mis de côté, les défauts d'Hadoop tiennent aujourd'hui principalement au manque de maturité du produit, en
développement continu. Néanmoins, de nombreux experts IT contribuent activement au projet Hadoop d'Apache pour perfectionner
son fonctionnement et combler les manques et/ou faiblesses de la version originale. Ainsi, si les manques de la première version
d'Hadoop sont un point négatif, la pro-activité de sa communauté d'utilisateurs participant à son amélioration est un vrai plus.
Ainsi, malgré les défauts que présente toujours Hadoop à l'heure actuelle, de nombreux acteurs, et pas des moindres (Facebook,
Amazon, IBM), ont opté pour cet outil. Son efficacité pour stocker et analyser des données nombreuses et hétérogènes est
aujourd'hui inégalée. Il permet aux Data Scientists de ne plus se restreindre à un simple échantillon de données à analyser. Ils
peuvent exploiter toutes les informations à leur disposition pour un coût dérisoire puisque disponible gratuitement sur la toile.
4. Dans quel cas Hadoop est-il pertinent ? Hadoop est une plateforme pertinente pour les entreprises devant traiter de
nombreuses données non structurées, pouvant effectuer du traitement de données en différé et en parallèle. Hadoop devient encore
plus intéressant pour les entreprises ayant accès à du hardware bon marché.
Inversement, pour une entreprise ayant besoin d'importantes ressources de calcul sur un petit nombre de données, non
indépendantes, Hadoop semble peu pertinent.
5. Quel est le point de vue des acteurs ? De plus en plus de plateformes de traitement Hadoop sont actuellement développées
dans le Cloud. L'utilisation croissante du cloud computing pour des développements et des tests Hadoop permet d'exploiter une
plate-forme, où les ressources disponibles sont pratiquement illimitées avec une tarification du type "vous payez ce que vous utilisez
vraiment". Ce nouveau segment laisse la porte ouverte à de nombreuses startups de service en ligne cherchant à offrir une
technologie de pointe à leur client en s'appuyant sur Hadoop. Ainsi, de nombreux vendeurs développent leur propre architecture
Hadoop en s'inspirant très largement du projet open-source d'Apache. Parmi tous les nouveaux entrants utilisant Hadoop, on peut
notamment citer DataSax, EMC Greenplum et MapR. Deux startups sont laders de ce mouvement : Cloudera et Hortonworks.
Cloudera a été le premier vendeur de solutions Hadoop et compte parmi ses rangs le créateur d'Hadoop Doug Cutting et l'ancien
expert de Facebook en analyse de données Jeff Hammerbacher. Sorti en Juin 2012, la quatrième version du produit de Cloudera
(CDH : Cloudera Distribution Including Apache Hadoop) est considérée comme la plus mature sur le marché. Cloudera développe
parallèlement Cloudera Manager : logiciel pour déployer et gérer en toute sécurité leur outil CDH qui est lui en accès libre.
Basée en Californie, Hortonworks est une spin-off de Yahoo lancée à l'été 2011. En juin 2012, la société californienne a mis en
service sa "Hortonworks Data Platform", plateforme 100% open source construite par-dessus l'architecture Hadoop d'Apache.
L'entreprise génère ses revenus en faisant payer aux entreprises les services supports techniques associés.
6. Conclusion Hadoop semble un outil indispensable pour gérer le Big Data et dégager une valeur concrète du flot d'informations
auquel font face les entreprises. Si l'architecture Hadoop n'est pas encore totalement mature, de nombreux vendeurs, Cloudera et
Hortonworks en chef de file, s'en servent pour développer leur propre plateforme Hadoop en vendant des services associés.
Si certains considèrent que l'importance des Data Scientists est exagérée, des experts informatiques défendent l'idée selon laquelle
les données devraient être gérées comme des actifs à part entière. L'explosion du nombre d'emplois et de départements liés à la
gestion de l'information est tout à fait révélatrice de cette nouvelle manière d'entrevoir la donnée : celle d'un actif dont on peut
extraire une valeur. Hadoop est aujourd'hui la technologie la plus prometteuse pour aller dans cette direction.
A l'heure actuelle, de plus en plus d'entreprises du secteur électrique utilisent Hadoop. Pourquoi ont-elles fait ce choix ? Comment
l'ont-elles implémenté ? En quoi l'essor des Smart Grids rend cette technologie tout à fait incontournable dans le monde de l'énergie
? Autant de questions auxquelles nous tenterons d'apporter des éléments de réponses dans un prochain bulletin électronique.
Google récapitule les 9 ans de Gmail en une infographie
http://www.01net.com/editorial/592857/google-recapitule-les-neuf-ans-de-gmail-en-une-infographie/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20130412
Pour des 9 ans de Gmail, la firme de Mountain
View a publié sur son blog une infographie qui
retrace les évolutions et les grandes étapes du
service de messagerie.
Tout commence le 1er avril 2004 quand Gmail est
disponible en version beta disponible uniquement sur
invitation avec une capacité de stockage de 1 Go.
Aujourd’hui, l’espace proposé est de 10 Go.
En Angleterre, à la suite d'un procès intenté par une
société portant le même nom, Google a été obligé de
modifier le nom de sa marque « Gmail » pour devenir
« Google Mail » en octobre 2005.
En 2006 Gmail est disponible en 40 langues. En
Australie et en Nouvelle-Zélande, les utilisateurs
peuvent créer leur compte sans invitation. Cette
nouveauté s’étendra dans le monde et arrivera en
Europe au début de l’année 2007.
Le 22 octobre 2008, la première application sur
Android fait son apparition. Juillet 2012, Gmail atteint
425 millions d’utilisateurs.
Lannion (22). Voxygen donne de la voix à EDF, Météo France…
http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/lannion-22-voxygen-donne-voix-edf-meteo-france-11-04-2013-93254?utm_source=rss&utm_medium=ofentreprise&utm_campaign=rss_info_toute
La jeune start-up a décroché d’importants contrats auprès d’EDF et de Météo France. Elle a aussi montré ses
compétences dans le cadre médical. Et elle intéresse des Coréens et des Japonais.
Voxygen fait de la synthèse vocale. « Avec EDF, nous avons enregistré la personne qui donne sa voix à tous ses
messages de l’entreprise, explique Édouard Hinard, directeur de Voxygen. Maintenant, EDF n’a qu’à saisir un message
avec un ordinateur pour pouvoir le diffuser, notre logiciel lit la phrase écrite en allant chercher les mots et les sons
dans le catalogue de phrases enregistrées. Auparavant, le « mannequin voix » devait enregistrer chaque phrase.
Diffuser un message en urgence était impossible » Voxygen a remporté ce contrat au nez et à la barbe les deux grandes
entreprises du secteur de la synthèse vocale, l’Américain Nuance et le Belge Acapela.
« Avec Météo France, il y avait plusieurs difficultés à résoudre, poursuit Édouard Hinard. Notre logiciel devait prononcer
correctement les abréviations et les unités de mesure et bien distinguer le « EST », la direction, du « est », verbe
être. En plus, tous les météorologues envoient leurs bulletins de 7 h, à peu près en même temps, un gros travail
informatique a été nécessaire pour réussir à traiter une centaine de bulletins en même temps. »
Samsung Series 9 : l'Ultrabook passe à la Full HD
http://www.clubic.com/pc-portable/actualite-553486-samsung-series-9-haut-de-gamme-full-hd.html#ixzz2QKlYIBpI
Après le Dell XPS 13, c'est au tour du Samsung Series 9 d'adopter une dalle Full HD. Samsung a effectivement
lancé une variante haut de gamme de son Ultrabook emblématique.
Sur les traces de Dell qui a récemment lancé une version « Gold » du XPS 13, Samsung
lance une version « Premium » du Series 9, répondant à la référence 900X3E.
La tendance est indéniablement aux hautes résolutions. Après le 900X3A originel à écran HD
(1366 x 768 pixels), puis après le900X3C à écran HD+ (1600 x 900 pixels), le nouveau
900X3E affiche une définition Full HD (1920 x 1080 pixels). Son écran de 13,3 pouces
estampillé SuperBright délivre toujours jusqu'à 300 cd/m² ce qui, combiné à son revêtement
mate, assure une lisibilité en extérieur. Espérons qu'il est toujours aussi fidèle et contrasté.
Samsung en a profité pour mettre à niveau le processeur. On passe ainsi d'un Core i5-3317U
(double cœur de 1,7 à 2,6 GHz) à un Core i7-3537U (double cœur de 2 à 3,1 GHz). On
retrouve par ailleurs 4 Go de mémoire vive DDR3 et un SSD de 128 Go. Sa batterie lui
confère une autonomie de 5,8 heures et sa coque en alliage d'aluminium un poids < 1,2 kg.
Notons enfin qu'il est livré avec Windows 8 mais sans écran tactile.
Le « Samsung Series 9 900X3E » est commercialisé aux États-Unis dès à présent pour un prix public de $1400.
Seiki : l'Ultra HD 4K au prix de la HD 1080p
http://www.generation-nt.com/seiki-ultra-hd-4k-prix-hd-1080p-actualite-1719462.html
On l’apprenait hier, Sony comptait miser sur un partenariat avec la FIFA et la couverture de la coupe du monde
2014 pour démocratiser l’adoption des téléviseurs ultra HD 4K. Pourtant, Seiki pourrait lui voler la vedette en
jouant plus simplement sur les prix.
Sony multiplie les communiqués depuis le début de semaine pour présenter la prochaine génération de téléviseurs basés sur la
nouvelle définition ultra HD 4K. Après avoir annoncé se gamme de TV UHD 4K sous la barre des 10 000$ ( de 4999 à 6999 $ pour
deux modèles 55 et 65 pouces), ce sont divers partenariats qui ont été annoncés, dont un avec la FIFA pour rassurer les
consommateurs sur la disponibilité de contenus proposés en 4K.
S’il est vrai que les constructeurs ont grand intérêt à assurer la présence de contenus exploitant cette technologie pour motiver les
achats, d’autres fabricants misent sur un argument-choc unique et universel : le prix.
Ainsi, Seiki vient d’annoncer proposer prochainement un téléviseur d’une diagonale de 50 pouces
(127 cm) compatible UHDTv 4k pour la modique somme de 1300 $.
Il s’agira d’un écran à rétroéclairage LED, compatible 120 Hz, dans une définition de 3840 x 2160,
proposant un contraster de 5000:1, un temps de réponse de 6.5 ms, 3 ports HDMI et 1 port VGA.
En appliquant un taux de conversion monétaire standard hors taxes, le téléviseur serait proposé au
même prix qu’un téléviseur LED HD1080p à diagonale équivalente.
Néanmoins, avec une résolution pareille, la diffusion de contenus 1080p pourrait toujours se révéler peu flatteuse et dénaturée.
Malgré tout, il est envisageable de profiter de ce type d’écran pour y brancher un PC compatible dans les hautes résolutions, en
attendant que les premiers lecteurs vidéos Ultra HD 4k ne prennent le relais, tout comme les contenus sur les chaines TV.
Microsoft smartwatch reportedly in the works
http://www.gizmag.com/microsoft-smartwatch/27065/?utm_source=Gizmag+Subscribers&utm_campaign=5e80f912f8-UA-2235360-4&utm_medium=email
Microsoft is reportedly joining the (quickly growing) party of companies developing a smartwatch
Come one, come all – step right up! Make your own smartwatch! Apple’s doing it, Samsung’s doing
it, and so can you! Okay, maybe it isn’t quite that common, but it’s almost comical how many big
companies are reportedly working on smartwatches. Microsoft knows a thing or two about being
late to the party ... maybe it wants to make sure that doesn’t happen again.
The scoop comes from the Wall Street Journal, which says little birds in the supply chain point to
Microsoft “working on designs for a touch enabled watch device.” The company is supposedly
eyeing 1.5’’ screens for its wrist computer. The report continues: Earlier this year, Microsoft asked
suppliers in Asia to ship components for a potential watch-style device. One executive said he met
with Microsoft's R&D team at the software company's Redmond, Wash., headquarters.
Assuming the report has solid information (the WSJ typically does) then this indicates Microsoft
is considering a smartwatch. It could come to market, it could get killed beforehand, or the
company could wait and see how rivals (like Apple's) do before pulling the trigger. Who knows.
A wearable revolution? What is for sure is that big tech companies are eyeing wearable computing as the next big thing. And for
good reason. Smartphones and tablets will still evolve, but it’s getting harder to come up with something new there.
Smartwatches and smartglasses could give customers quicker, more immediate access to notifications and basic info. Who needs to
yank a smartphone or phablet out of your pocket when you can flip your wrist or talk to your glasses? Or at least that’s how the
thinking goes. It will be interesting to see how customers respond to wearables. If you read tech blogs like Gizmag, there’s a good
chance you’re already curious (if not foaming at the mouth) about products like Google Glass. But will “regular" people respond to it?
Or smartwatches for that matter? It will be interesting to see how this plays out.
Google Glass and Apple’s wrist computer are expected to ship towards the end of this year. No word yet on when Microsoft’s,
Samsung’s, LG’s, or anyone else’s smartwatch will land. Can't wait? You can pre-order Pebble or order I'm watch right now.
Test de la Toyota Prius rechargeable à Strasbourg : le bilan
http://www.mensup.fr/moteurs/automobile/a,68255,test-de-la-prius-rechargeable-a-strasbourg-le-bilan.html#mok6EJtEui31q5MC.99
Pendant trois ans, Toyota a testé avec EDF sa Prius rechargeable à Strasbourg. Une expérimentation qui a
permis de montrer l'apport de la technologie hybride rechargeable et du réseau de charge.
En trois ans, ce sont plus de 4 million de km qui ont été parcourus avec des Prius VHR. Selon Toyota et ses partenaires, la
technologie hybride rechargeable permet une économie de carburant moyenne de 46 % par rapport à un véhicule essence. Le gain
en CO2 est de 61 %. L’étude confirme également la corrélation entre la consommation de carburant et la fréquence des recharges
en électricité. Plus le véhicule est rechargé fréquemment, plus il roule à l'électricité et plus l’économie en carburant est importante.
Ainsi, on obtient une réduction de près de 70 % de la consommation de carburant quand le véhicule est rechargé 1,6 fois en
moyenne par jour, (ce qui représente une économie de €1.400 / an).
Le test a permis également de développer un réseau de 145 points de charge, dont 9 bornes en parking et 12 bornes sur l’espace
public. Principal enseignement : 60 % des charges sont effectuées sur le lieu de travail et 37 % au domicile des utilisateurs, pour un
coût moyen de €0,30. Les bornes en voirie constituent un complément de charge apprécié par les utilisateurs.
Audi Motorrad Concept based on Ducati 848
http://www.gizmag.com/audi-848-motorrad-roadster-concept/27055/
French automotive designers Thibault and Marc Devauze and modeller Clement
Couvreur have created this Audi roadster motorcycle concept based on a Ducati 848
engine but with elements of Ducati's Hypermotard and Monster. The recent purchase of
Ducati by Audi means such a motorcycle is not all that improbable, and Audi adds
considerably to Ducati's expertise with carbon fiber knowhow and Audi's Direct Shift
Gearbox. Audi-owned DKW was once the largest manufacturer of motorcycles in the
world - wouldn't it be nice to see a real one of these surface.
Thibault Devauze said to Gizmag how the concept came to be: "In 2011, I was working
at Opel when I went to Ingolstadt to visit my brother, who was an intern at Audi."
"We visited Audi's museum and BMW's museum in Munich and we were inspired by all
the things we saw."
"A few weeks later, I heard that Audi had bought Ducati, and that gave me this idea."
L’Asus Transformer AiO P1801 (hybride W8 / Android) disponible à 1249€
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/lasus-transformer-aio-p1801-hybride-w8-android-disponible-a-1249e-138388/
Annoncé lors du CES 2013 en début d’année, le Asus Transformer AiO P1801 est maintenant en stock chez
certains distributeurs. Cet hybrice PC Windows 8 / Tablette Android propose une dalle tactile de 18,4’’.
Il s’agit ici plus d’un ordinateur tactile que d’une tablette mais sa particularité est
ailleurs. En effet en mode PC il fonctionne sous Windows 8 tandis qu’en mode
tablette c’est Android Jelly Bean qui prend le relais. Certes avec 18,4’’ de diagonale,
l’écran tactile détachable ne vous suivra pas partout. En mode PC, il ressemble à
un à All-in-One sauf que l’écran se clipse et de détache complètement de sa base :
La tablette pèse 2,52 Kg mais intègre un pied pour pouvoir la poser et l’utiliser
facilement sur une table par exemple :
Le changement d’OS se fait en 1 pression sur un bouton situé sur le côté de
l’écran. Des composants sont présents dans la tablette mais aussi dans le pied. Par
exemple pour utiliser Windows 8, il faut brancher la tablette sur son socle ou alors
être connecté en Wifi sur la même box que le socle. C’est par ce biais que
transitent les informations pour pouvoir faire tourner Windows 8 à distance.
Côté caractéristiques, on trouve un processeur Tegra 3, 32 Go de stockage et un lecteur de carte SSD sur la tablette tandis que le
socle embarque un processeur Intel Core i5 et 8 Go, une carte graphique Nvidia GeForce GT 730M, 8 Go de mémoire et un disque
dur de 1 To. La connectique est variée autant sur le socle que sur la tablette (hdmi, usb, ethernet et même un graveur …).
Les premières prises en main sont positives. Son défaut majeur est pour l’instant son prix qui peut paraître un peu élevé, mais le
concept séduit et ouvre de nombreuses possibilités et perspectives d’avenir.
Bonne nouvelle, il est donc disponible à la vente. Pour l’instant, on le trouve chez Topachat.com etRueducommerce.com à partir de
€1249 pour la version 1To + 32 Go. On publiera un test de ce concept original dès que possible.
Mobile : Orange concurrence Skype sur Android avec Libon
http://www.01net.com/editorial/593107/mobile-orange-concurrence-skype-sur-android-avec-libon/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20130415
L'application de téléphonie gratuite et de messagerie instantanée sur Internet d'Orange, arrive sur Android. Elle
était déjà disponible sur iPhone.
Orange lance Libon, son application mobile de communication tout-en-un, sur smartphone Android.
Téléchargeable sur la boutique en ligne, Google Play, cette application permet de téléphoner gratuitement
en VoIP sur un réseau wi-fi ou un réseau mobile 3G, à condition d'avoir un forfait ad hoc. Elle est déjà
disponible sur iPhone depuis novembre 2012.
Cette application a été développée par l'opérateur, via Orange Vallée, sa structure interne de recherche et
développement. Comme ses rivales, Skype ou Viber, Libon autorise des appels voix gratuits entre
utilisateurs Libon connectés sur Internet.
Elle dispose en outre d'une fonction de messagerie instantanée et d'une messagerie vocale "visuelle",
permettant de visualiser tous les messages reçus et de les écouter dans l’ordre souhaité.
Autre particularité, si l’utilisateur est en réunion ou dans l’impossibilité d’écouter un message, elle
retranscrit en texte le contenu des messages vocaux laissés par les contacts Libon.
Orange s'est servi récemment de cette application pour proposer aux clients de ses forfaits Sosh une option
permettant de passer des appels illimités vers les fixes et les mobiles de 25 destinations internationales.
ERDF s'associe à Steria pour une offre
http://www.boursorama.com/actualites/edf-erdf-s-associe-a-steria-pour-une-offre-e71f6beb4569087d8f5ec2108924d8d8
ERDF, filiale d'EDF qui gère les réseaux de distribution d'électricité, a signé avec Steria un contrat cadre de
partenariat pour le développement et la commercialisation de solutions et services informatiques.
Plaisir de riches : l'iPhone à €11,5 M
http://www.zdnet.fr/actualites/plaisir-de-riches-l-iphone-a-115-millions-d-euros-39789395.htm
Ce modèle unique fabriqué par le designer Stuart Hughes est destiné à un milliardaire chinois. Qui fera mieux ?
Dans la série "plaisirs de riches", on a souvent évoqué ici les smartphones de la marque Vertu,
destinés aux milliardaires de la planète. Mais les terminaux du fabricant risquent de paraître pour
du low-cost en plastique face à la dernière création du designer britannique Stuart Hughes.
Ce dernier a en effet créé l’iPhone 5 Black Diamond pour un milliardaire chinois qui a évidemment
tenu à garder l'anonymat. Montant de la commande : £10 M soit la bagatelle de €11,5 M.
Le résultat est en toute logique bling-bling : cet iPhone 5 est ainsi doté d'un châssis en or massif
de 26 carats (pour un poids de 135 grammes), le contour est serti de 600 diamants blancs tandis
que le logo d'Apple est représenté par 53 autres diamants.
Le bouton Home est doté d'un diamant noir (d'où le nom du terminal) fourni par l'heureux propriétaire du smartphone... On n'ose
pas imaginer le coût supplémentaire... Mais même sans cette pièce, cet iPhone est aujourd'hui le cher du monde.
Parallella: The $99 Linux supercomputer
http://www.zdnet.com/parallella-the-99-linux-supercomputer-7000014036/?s_cid=e539&ttag=e539
Move over Raspberry Pi, comes Adapteva's Parallella, a low-cost parallel chip board for Linux supercomputing.
Chip-company Adapteva announced on April 15th at the Linux Collaboration Summit
in San Francisco, that they've built their first Parallella parallel-processing board for
Linux supercomputing, and that they'll be sending them to their 6,300 Kickstarter
supporters and other customers by this summer.
Linux has long been the number one supercomputer operating system. But while
you could build your own Linux supercomputer using commercial off-the-shelf
products, it wouldn't be terribly fast. You needed hardware that could support
massively parallel computing — the cornerstone of modern supercomputing.
What Adapteva has done is create a credit-card sized parallel-processing board,
with a dual-core ARM A9 processor and a 64-core Epiphany Multicore Accelerator
chip, along with 1GB of RAM, a microSD card, two USB 2.0 ports, 10/100/1000 Ethernet, and an HDMI connection. If all goes well,
this board should deliver about 90 GFLOPS, or about the same horse-power as a 45GHz CPU. This board will use Ubuntu Linux
12.04 for its OS. To put all this to work, the platform reference design and drivers are now available.
Why would you want a $99 supercomputer? Well, besides the fact that it would be really cool, Adapteva CEO Andreas
Olofsson explained: Historically, serial processing [conventional computing] improved so quickly that in most applications, there was
no need for massively parallel processing. Unfortunately, serial processing performance has now hit a brick wall, and the only
practical path to scaling performance in the future is through parallel processing. To make parallel software applications ubiquitous,
we will need to make parallel hardware accessible to all programmers, create much more productive parallel programming methods,
and convert all serial programmers to parallel programmers. And of course, Olofsson added, to "make parallel computing accessible
to everyone so we can speed up the adoption of parallel processing in the industry", the Parallella had to be created. Olofsson
admitted that his company couldn't have done it by itself. The project required, and got, the support of other hardware OEMs,
including Xilinx, Analog Devices, Intersil, Micron, Microchip, and Samtec. The companies have enabled Adapteva to bring its first perproduction boards to San Francisco, and soon, to its eager programmer customers.
Google reveals tech specs for Glass
http://www.gizmag.com/google-glass-specs/27087/
New smartphones and tablets always create a stir. But let’s be honest: most of them
are relatively minor updates. They don’t compare with the launch of an entirely new
product category. That’s why there’s so much buzz around Google Glass. You get the
sense that it might be something entirely new that changes the game. Today we have
more info about Glass, after Google released the tech specs of its tech specs.
Display, cameras, audio The most important part of Glass is its display. Google
vividly describes the tiny high-res screen as “the equivalent of a 25’’ high definition
screen from 8 feet away.” Fair enough.
In the camera department, Glass shoots 5-megapixel stills and 720p videos. Hardly mind-blowing numbers, but it’s always possible
Google is using some advanced sensors that transcend its resolution.
Google had already revealed that Glass delivers audio via bone conduction.
Memory, battery, and ... nosepads! In the storage department, Glass has 16 GB of flash memory, 12 GB of which is usable. You
can also sync up with Google cloud storage. Google estimates a full day’s use out of the battery. It adds, though, that anything
involving video recording will drain it faster. No surprise there. When it does come time to charge, Google has its own microUSB
cable that will be included. You were wondering about nosepads, weren't you? Well, you’re in luck: Glass has them. In fact, Google
says Glass will fit anyone’s face, and includes some spare nosepads in two sizes to make sure.
GPS, cellular, Companion app You’ll also need a Bluetooth-enabled smartphone to use Glass (that’s where its cellular connection
comes from). Google just released a MyGlass companion app for Android that enables GPS and text messaging. The MyGlass app
requires Android 4.0.3 or higher. Unless you’re one of the lucky few that snagged a pair through Google’s Explorer program, you’ll
have to wait until later this year. If Glass is a must-have for you, then you might also want to start setting aside some funds as
there’s a good chance that each pair will retail for more than $1,000.
Windows 8.1 : nouvelle version en fuite pour nouvelles révélations
http://www.clubic.com/windows-os/windows-8/actualite-554192-windows-8-1-build-9369-nouvelles-revelations.html#ixzz2QppVP7FF
Une nouvelle version de développement de Windows 8.1 a échappé hier à Microsoft. Un peu moins d'un mois
après la précédente, elle apporte un nouveau lot de révélations.
Alors qu'on découvre encore des apports dans la build qui a échappée à l'éditeur fin mars, en particulier la possibilité de rétablir
l'affichage du bureau au démarrage ainsi que le retour du menu démarrer traditionnel, une nouvelle compilation se retrouve en fuite.
Cette build 9369 semble à peine plus récente que celle publiée au mois de mars (numérotée 9364), et ce n'est pas la dernière qui
circule, puisque c'est la 9375 qui a révélé l'appellation Windows 8.1, mais elle révèle quelques nouveautés intéressantes.
Multitâche amélioré et gestionnaire de fichiers Comme on le sait déjà, Windows 8.1 devrait améliorer la gestion du multitâche
avec l'environnement Modern UI. En plus de pouvoir ancrer une application sous forme de barre latérale avec la fonction Snap, les
utilisateurs pourront notamment partager l'écran en 2 parts égales. On apprend que lorsque l'écran sera présenté de cette manière,
les utilisateurs pourront lancer une nouvelle application et choisir laquelle remplacer, d'un clic ou d'une tape à gauche ou à droite.
La mise à jour, également connue sous l'appellation Windows Blue, devrait également inaugurer une application Fichiers (Files) pour
Modern UI. Celle-ci offrira finalement un moyen d'explorer les supports de stockage depuis l'interface moderne. Jusqu'à présent seul
l'explorateur de fichiers traditionnel, moins pratique en utilisation tactile, le permettait.
Notons enfin que le moteur de recherche de Modern UI devrait pouvoir afficher des résultats issus du Web, via Bing, en plus de ceux
issus de l'appareil. Il ne sera donc plus nécessaire de lancer le navigateur Internet pour lancer une recherche.
Archos se lance dans le grand bain des smartphones
http://www.zdnet.fr/actualites/archos-se-lance-dans-le-grand-bain-des-smartphones-39789579.htm
Le fabricant français lance trois terminaux sous Android à des prix plutôt serrés. Les clients de forfaits sans
engagement sont clairement visés.
Alors qu'Archos traverse à nouveau une passe très difficile, fortement concurrencé sur
le marché des tablettes 7 pouces, le groupe français tente aujourd'hui le rebond à
travers le lancement de smartphones maison.
Les dernières rumeurs étaient donc les bonnes : le fabricant va se lancer dans le grand
bain, tentant de tirer son épingle du jeu avec des modèles à prix serrés, visant les
clients optant pour des offres sans engagement qui doivent donc acheter un terminal.
"Le marché des smartphones est en pleine évolution, grâce à la croissance continue des
ventes d’équipements non subventionnés par les opérateurs, notamment. Archos
répond à la demande des utilisateurs, qui recherchent des appareils à prix attractifs,
désimlockés et performants", indique Loïc Poirier, DG de l'entreprise.
"De plus, le marché des tablettes et celui des téléphones sont liés et se rejoignent avec l’émergence des « phablets. C’est donc tout
naturellement que les smartphones s’intègrent à notre gamme Android et nous permettront d’assurer la croissance de la marque".
Pas de 4G Concrètement, trois modèles Android seront proposés dès fin mai. L'Archos 35 Carbon (79,99€ ), le 50 Platinum
(199,99€ ) et le 53 Platinum (249,99€ ). Chacun des 3 modèles embarquent un écran IPS, un processeur Qualcomm, et surtout la
possibilité d’accueillir deux cartes SIM. Une possibilité aujourd'hui encore rare et qui ravira les utilisateurs qui voyagent beaucoup.
Par contre, aucun n'est 4G et la 3G+ ne permet qu'un débit théorique de 7,2 Mb/s.
L’Archos 53 Platinum, modèle haut de gamme est doté d'un écran 5,3’’, un processeur quadri-cœurs cadencé à 1,2 GHz et une
caméra 8 mégapixels, 4 Go de stockage le tout sous Android 4.1.2. "Ce téléphone fournit des performances équivalentes à celle d’un
Samsung Galaxy S3, à moitié prix", souligne avec malice le fabricant. L'Archos 50 Platinium offre les mêmes spécifications avec un
écran plus petit : 5’’. Quant au Archos 35 Carbon, visant l'entrée de gamme, il est doté d'un écran de 3,5’’, d'un processeur
Qualcomm à 1 Ghz, de 512 Mo de RAM, de 4 Go de stockage, sous Android 4.0.4.
Le Dell XPS18 All In One (PC+Tablette) disponible en précommande à partir de 999€
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/le-dell-xps-18-all-in-one-pctablette-disponible-en-precommande-a-partir-de-999e-138419/
Après l’Asus AiO Transformer P1801 hier, c’est Dell qui rend disponible sa machine Tout en Un en précommande
à un prix débutant à 999€.
Ce terminal hybride et original, à mi chemin entre la tablette et le PC (et tournant bien
évidemment sous Windows 8 – version 64) est constituée d’un écran tactile de
18,4″, d’une résolution de 1080p, et possédant une autonomie de 5h.
Accéder à la pré-commande du Dell XPS 18 sur Dell.fr
Les prix s’échelonnent donc entre 999€ où vous aurez droit à la configuration minimale
(Intel Pentium 2117U), et jusqu’à 1199€ (prix de départ) pour la configuration à base
de core i5. La différence de prix se justifie également sur le stockage (de 320Go à
500Go+32Go en SSD), ou sur la RAM allant de 4Go à 8Go selon les configurations.
L’ensemble pèse 2,28 kg et doit donc être considéré d’avantage comme une tablette
transportable plutôt qu’une tablette tactile classique, mais équipée de son clavier et de sa souris sans fil, l’ensemble pourra convenir
aux familles cherchant un terminal multi fonction à la fois tactile (interface adaptée de Windows 8) et utilisable comme un ordinateur
plus classique en desktop. L’expédition est prévue vers le 2 mai de cette année soit d’ici une bonne quinzaine de jours.
Micro Focus rapproche les mainframes des serveurs classiques
http://www.silicon.fr/micro-focus-rapproche-les-mainframes-des-serveurs-classiques-85323.html
Avec sa solution Enterprise Developer for IBM zEnterprise, Micro Focus propose un outil de développement
adapté aussi bien aux mainframes qu’aux serveurs x86 ou Power.
Spécialiste de la modernisation des applications, Micro Focus livre aujourd’hui un environnement de développement qui devrait
combler les informaticiens travaillant sur des projets dédiés à la fois aux mainframes et à des serveurs classiques.
L’offre Enterprise Developer for IBM zEnterprise permet en effet de créer des logiciels pour les environnements z/OS, z/Linux,
AIX, Windows, Linux… Le tout à partir d’un outil de développement unique. Côté IDE, les développeurs pourront opter pour Eclipse
ou Visual Studio. « En fournissant un IDE standard très actuel pour zEnterprise, Micro Focus Enterprise Developer apporte de la
modernité à l’un des piliers de l’infrastructure IT des entreprises », résume Kevin Brearley, directeur produit chez Micro Focus.
Une offre modernisée et standardisée Côté mainframe, Enterprise Developer for IBM zEnterprise propose d’autres avantages :

Le support du développement sur ou hors mainframe ;

Un IDE personnalisable à volonté ;

L’intégration avec les processus et outils du mainframe.
« Cette solution nous a permis de standardiser notre environnement de développement mainframe et de maximiser la productivité
des développeurs, témoigne Philippe Bailly, directeur du Centre de services mutualisés de Steria à Nantes. Ayant adopté l’IDE
Eclipse, il est beaucoup plus facile pour nous de recruter de nouveaux développeurs et de faire évoluer les compétences de ceux
déjà en place grâce à des outils très conviviaux et à un environnement de développement mainframe et Java unifié. »
HP va intégrer l’interface de contrôle 3D Leap Motion dans ses PC
http://www.zdnet.fr/actualites/hp-va-integrer-l-interface-de-controle-3d-leap-motion-dans-ses-pc-39789475.htm
Le fabricant américain a conclu un partenariat avec la start-up Leap Motion en vue de proposer sa technologie
de contrôle en 3D qui détecte les mouvements des mains et des doigts pour interagir avec l’ordinateur.
Leap Motion, la technologie de détection des mouvements 3D qui ambitionne rien
de moins que de remplacer la souris, vient de gagner un promoteur de premier plan
avec HP. Le partenariat qui a été annoncé hier prévoit que le boitier Leap Motion
sera d’abord livré avec certains ordinateurs HP puis ensuite directement intégré
dans certains PC au niveau de l’écran ou du clavier. L’annonce n’a pas précisé quel
type de PC (portable ou de bureau) était concerné ni quand les premiers packs
HP/Leap Motion seront commercialisés. On sait en revanche que la technologie
s’accompagnera d’un app store, Airspace, à travers lequel les utilisateurs pourront
essayer des applications (créativité, musique, productivité…) et des jeux.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=N6hCwjwzUHg
Authentification : quatre idées pour en finir avec les mots de passe
http://www.indexel.net/securite/authentification-quatre-idees-pour-en-finir-avec-les-mots-de-passe-3799.html
Le couple identifiant / mot de passe est plus que jamais décrié pour son ergonomie contestable et sa sécurité
toute relative. Voici quelques pistes pour le remplacer tout en renforçant la sécurité du système d’information.
Parmi les grandes tendances de 2013, le cabinet Deloitte cite la fin des mots de passe, comme unique système d'authentification
pour l'accès aux PC et aux applications. Place notamment à l'authentification multi-facteurs combinant le mot de passe et un autre
procédé. Ni la carte à puce, ni l'authentification forte par token, ni la biométrie par empreinte digitale ou lecture de l'iris n'ont su
s'imposer à grande échelle. Voici quatre technologies, nouvelles ou remises au goût du jour, pour en finir avec les mots de passe
classiques et renforcer la sécurité de votre système d'information.
1. Le téléphone mobile personnel couplé à l'authentification forte L'authentification forte impose habituellement l'usage
d'un dispositif capable de générer un mot de passe dynamique à usage unique. Appelé token (ou jeton matériel), ce dispositif prend
la forme d'une mini-calculatrice ou d'un porte-clés. L'idée, mise en pratique par SecurEnvoy, consiste à utiliser le téléphone mobile
de l'utilisateur pour fournir ce mot de passe via un SMS. Le mobile peut être n'importe quel appareil personnel ou professionnel,
toute l'intelligence de la solution étant concentrée côté infrastructure.
2. La technologie NFC complète l'authentification par mobile La solution de SecurEnvoy souffre toutefois d'un défaut :
l'utilisateur doit ressaisir le mot de passe dynamique. Gemalto propose d'éviter cette opération en utilisant la technologie NFC. Il
suffit alors d'approcher le mobile du système à sécuriser, pour en ouvrir l'accès. Le constructeur fournit une solution complète
incluant une carte SIM spéciale SIM UpTeq NFC, permettant de sécuriser l'accès à un PC, au réseau d'entreprise ou à un bâtiment.
3. La clé USB poussée par Google La carte à puce devait jouer le rôle de sésame permettant à l'utilisateur de s'authentifier. Le
procédé, couplé à un pin code, est certes utilisé dans certaines entreprises mais celles-ci sont contraintes d'équiper leurs PC de
lecteurs, qui ne font pas partie de l'équipement standard. Une alternative consiste à utiliser les ports USB qui sont, eux, présents sur
tous les PC. Quelques solutions ont ainsi été développées, pour faire de l'authentification avec une simple clé USB. Mais elles sont
restées confidentielles. Cela devrait changer grâce à Google, qui vient de dévoiler un projet de système d'authentification forte basé
sur une clé USB baptisée YubiKey (lire notre article : Google déclare la guerre aux mots de passe), qui permettra d'accéder à
l'ensemble des services Google. Son usage pourrait être étendu à d'autres ressources.
4. La reconnaissance vocale proposée par Nuance Communications Leader mondial des logiciels de reconnaissance vocale,
Nuance Communications commercialisait déjà une solution de "biométrie vocale" destinée aux entreprises, essentiellement des
opérateurs, banques et administrations. Cette technologie a récemment été packagée afin que les constructeurs de PC, tablettes et
smartphones puissent l'intégrer dans leurs produits, ce qui promet une banalisation du procédé à terme.
iWatch: The real problem isn't the technology - it's bigger than that
http://www.zdnet.com/iwatch-the-real-problem-isnt-the-technology-its-bigger-than-that-7000014141/?s_cid=e539&ttag=e539
Technology has matured to the point where smartwatches have become viable - but that's not the only obstacle in the way.
If the rumours that surfaced recently are correct, Microsoft, Samsung and Apple all have smartwatches in the works, developing
connected timepieces that will bring smartphone-type functions to consumers' wrists.
It's not as new a concept as you might think: smartphone manufacturers are always working on
smartwatches and have always done so, but more in hope than expectation.
The concept of the smartwatch intrigues tech companies because it's such an obvious extension of what
they already offer. (Of course, they're always working on plenty of other strange prototypes that may or
may not one day undergo the alchemy that transmutes them from vapourware into solid product).
Despite the attempts of many big name technology vendors over more than a decade to produce a
smartwatch that people might actually want to buy, the devices that actually hit the market have received
a pretty dismal reception (check out our gallery on the history of smartwatches for more).
The technology behind those timepieces is largely to blame for that: while over the last few decades the
2001 IBM WatchPad
watch may have gone digital, it has resolutely failed to become smart.
Apple's long-rumoured iWatch plan could change that. The success of the iPad shows that Apple can take on a concept — the tablet
form factor — that other companies had worked on but failed to perfect, and make it a winner.
As in tablets, in smartwatches it was Microsoft that made a lot of the early running with its Spot line, meeting a similar level of
success with its watches as it has more recently done with its slate. Now Microsoft is rumored to be working on a smartwatch again
- shades of the iPad versus Surface tussle anybody? Still, for an at-best nascent and possibly non-existent market, analysts are
already throwing around some big numbers. Gartner sees smartwatches as part of a $10bn wearable computing industry. "CIOs
must evaluate how the data from wearable electronics can be used to improve worker productivity, asset tracking and workflow.
Wearable electronics will also provide more-detailed information to retailers for targeting advertisements and promotions," it said
recently. Another analyst says the smartwatch alone is a $6bn market, potentially a bigger opportunity for Apple than TV, another
area of technology it's been long-rumored to be getting into.
However, right now, the market for smartwatches is tiny, and it's fragmented.
The success of the Pebble Kickstarter project (which secured $10 M after asking for a mere $100,000) suggests there is pent-up
demand for such devices though, and where the Kickstarter technorati lead, the mass market tend to follow.
Terrible battery life, arm-deadening weight, deeply uncool designs and horrendous user interfaces were just some of the many
reasons that the first few generations of smartwatches were dead on arrival. Fixing all these extinction-level problems for these
types of devices is now possible: technology has advanced to the point where most of these headaches can be solved (at least to a
certain extent) so the biggest hurdle in the way of the iWatch and its rivals is that nobody can really explain why a smartwatch is
actually a good idea. The smartwatch remains a device in search of a purpose. What can an object with a tiny screen, limited
battery and little processing power do that the smartphone in your pocket can't?
One analyst told the WSJ that demand for wearable devices such as smartwatches was growing because smartphones are becoming
too big to carry. Such a theory sounds odd but there may be a certain amount of sense, thanks to the phablet becoming a standard
smartphone size. Still, as a form factor, the smartwatch still intrigues. Perhaps the smallest screen, the watch, will become the most
premium real estate – the screen where only the truly essential updates are displayed, and not every piece of Facebook fancy or
Twitter litter will be presented. And while we may spend most of our waking hours with a smartphone, a watch has an even closer,
physical connection. Having a device attached to you at all times also adds new possibilities, especially around health monitoring.
Devices such as the Fitbit and the Nike+ Fuelband have shown there is a market among the more sporty at least, and it's easy to
see how smartwatches can incorporate this sort of tracking into its suite of apps.
Thanks to the near ubiquity of clocks (particularly the virtual kind on our phone screens) we no longer need watches to tell the time.
As a result, among the few who still wear watches at all, they're considered jewellery rather than functional devices. And we don't
replace our jewellery on a two year cycle as we do with mobile phones — it's common for jewellery to worn for period of years, even
passed onto our children. Passing on a wearable iPod nano to your offspring? Unlikely.
That leaves hardware makers with 2 equally undesirable scenarios: consumers buy the devices, but don't upgrade them, or they
consider them wrist jewellery — a market that the mobile phone, ironically, killed off some time ago. To kickstart the connected
watch market, tech vendors will have to find some way to convince shoppers that they not only need a piece jewellery that they
abandoned years ago, but that they should get used to upgrading it on a regular basis, as they do with their technology.
So, for those companies steeling themselves for an entry or return to the smartwatch market, getting the technology right may not
be the biggest problem. The greatest challenge will be getting us not to think of them as technology in the first place.