thomas dunford

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thomas dunford
Photo Eric Sebbag
THOMAS DUNFORD
Il n’a pas 25 ans. Pourtant, Thomas
Dunford est déjà LA star du luth, que
s’arrachent tous les ensembles baroques
du moment (le Figaro, 23 mars 2013)
Né à Paris 1988, Thomas Dunford découvre le luth à l’age
de 9 ans grâce à Claire Antonini, son premier professeur. Il
termine ses études en 2006 au Conservatoire Supérieur de
Paris (CNR), où il obtient un premier prix à l’unanimité dans
la classe de Charles-Edouard Fantin.
Thomas continue ses études à la Schola Cantorum de Bale
avec Hopkinson Smith, et participe à de nombreuses master
classes avec des luthistes tels que Rolf Lislevand et Julian
Bream, et à des stages avec Eugène Ferré, Paul O’Dette,
Pascale Boquet, Benjamin Perrot et Eduardo Eguez. Il obtient
son diplôme en 2009.
De Septembre 2003 à Janvier 2005, Thomas fait ses débuts
en jouant le rôle du luthiste dans La Nuit des Rois de Shakespeare sur la scène de la Comédie Française. Depuis, Thomas
donne des récitals au Carnegie Hall de New York, au Wigmore Hall de Londres, au Washington Kennedy Center, au
Photo Eric Sebbag
Archiluth, théorbe, guitare renaissance
& baroque, luth renaissance &
baroque
Vancouver recital society, à Cal Performances at Berkeley, au
Banff center, au festivals de Saintes, Utrecht, et Maguelone.
Il apparaît régulièrement en soliste ou en ensemble dans les
plus prestigieux festivals européens tels qu’Ambronay, Arques
La Bataille, Bozar, La Chaise-Dieu, Nantes, Saintes, Utrecht,
et d’autres encore. Il joue aussi en Angleterre, Ecosse, Irlande,
Espagne, Allemagne, Autriche, Norvège, Belgique, Pays-Bas,
Suisse, Pologne, Hongrie, Roumanie, Estonie, Etats-Unis, Israël,
Chine, Japon et Inde.
Son premier CD solo Lachrimae pour le label français Alpha
en 2012 unanimement acclamé par la critique, a été récompensé du prix Caecilia 2013, BBC magazine l’appelant le
“Eric Clapton du luth”. Son importante discographie comprend plus de 40 enregistrements.
Thomas est régulièrement invité à jouer avec les ensembles
A 2 Violes Esgales, Les Arts Florissants, Akadêmia, Amarillis,
Les Ambassadeurs, Arcangelo, La Cappella Mediterranea,
Capriccio Stravagante, Le Centre de Musique Baroque de
Versailles, La Chapelle Rhénane, Clématis, Collegium Vocale
Gent, Le Concert Spirituel, Le Concert d’Astrée, The English
Concert, l’Ensemble Baroque de Limoges, La Fenice, Les Folies
Françoises, the Irish Baroque Orchestra, Marsyas, Les Musiciens du Louvre, Les Musiciens du Paradis, Les Musiciens de
Saint Julien, Les Ombres, Pierre Robert, Pygmalion, La Sainte
Folie Fantastique, Scherzi Musicali, La Serenissima, Les Siècles,
the Scottish Chamber Orchestra, La Symphonie du Marais…
Thomas est attiré par une grande variété de genres musicaux,
dont le jazz, et a collaboré dans des projets de musique de
chambre avec les chefs et solistes Paul Agnew, Leonardo Garcia Alarcon, Nicola Benedetti, Alain Buet, William Christie, Jonathan Cohen, Christophe Coin, Iestyn Davies, Bobby McFerrin,
Monica Hugget, Alexis Kosenko, Francois Lazarévitch, AnneSophie von Otter, Hugo Reyne, Skip Sempé, Jean Tubéry.
PROPOSITIONS DE PROGRAMMES
TOCCATA
Des Toccatas virtuoses extraites du 1er et 4e livre de théorbe
de Girolamo Kapsberger, et du 1er livre de luth, accompagnées par une basse continue. LACHRIMAE
Pièces solos de luth de Dowland qui s’entremêlent à des airs
pour 4 chanteurs
Thomas Dunford luth
Reinoud Van Mechelen, Anna Reinhold, Alain Buet, XX chant
LABIRINTO D’AMORE
Extraits des 8 toccatas du premier livre pour luth de Kapsberger entremêlées à des pièces chantées de Kapsberger,
Strozzi, Caccini, Monteverdi
Thomas Dunford archiluth
Anna Reinhold mezzo-soprano
JOHN DOWLAND
Récital
Thomas Dunford luth
ROBERT DE VISÉE
Récital
Thomas Dunford théorbe
LAISSEZ DURER LA NUIT
Programme de musique française autour de quatre musiciens
éminents au service de Louis XIV sont présents. Robert De Visée était professeur de guitare du roi, et jouait les soirs à
minuit des suites pour lui dont plusieurs pièces peuvent être entendues
dans ce programme. Michel Lambert jouait des airs de cour s’accompagnant au luth, Marin Marais à la viole, tandis que Lully était un
incroyable violoniste. Marais, de Visée, et Lambert jouaient tous les trois dans l’orchestre de
Lully, et offraient pour le roi des opéras splendides comme Atys. Les soirées musicales dans un cadre intime étaient courantes chez le
roi soleil, où la voix sensible d’une chanteuse accompagnées par les
doigts délicats d’un luthistes enchantaient les oreilles du roi et de ses
courtisans, dans des airs parlant d’amour. Thomas Dunford archiluth & théorbe
Anna Reinhold mezzo-soprano
Thomas de Pierrefeu ou Julien Léonard viole
Philippe Grisvard, Francois Guerrier ou Jean Rondeau / clavecin
Quito Gato ou Monica Pustilnik (ou les deux) luth
Effectif complémentaire :
Marie Bournisien harpe
Keyvan Chemirani percussions
Anna Reinhold mezzo-soprano (Pièces de Strozzi et Kapsberger)
DUO AVEC KEYVAN CHEMIRANI
AXÉ AUTOUR DE L’IMPROVISATION
La percussion iranienne et le luth baroque se rencontrent pour
créer une musique nouvelle. En jouant les thèmes de musiques
anciennes ainsi que des compositions personnelles imprégnées
de parfums d’orient les artistes réinventent les traditions dans
un toucher (toccatta) délicat et raffiné. Pièces sobres et
profondes succèdent aux envolées fougueuses,et surgit soudain un nouvel espace où se mêlent grande virtuosité, improvisation, fraicheur & plaisir.
Keyvan Chemirani zarb, percussions Thomas Dunford luth
Photo Julien Dubois
DISCOGRAPHIE
PRESSE
JOHN DOWLAND
LACHRIMAE
ALPHA 195
Pour son premier disque «solo» chez Alpha,
Thomas Dunford explore la tendre mélancolie
du répertoire de John Dowland, entre Renaissance et Baroque. Les Songs Or Ayres, to be
sung and plaid with the Lute sont ici données
telles qu’elles furent écrites et pratiquées à
l’époque : la polyphonie vocale dialogue avec
le luth, tantôt accompagnant, tantôt soliste,
restituant ainsi une pratique intimiste «Around
the table», si chère aux musiciens de cette
période, et si essentielle par l’énergie qu’elle
procure.
GIOVANNI GIROLAMO KAPSBERGER
LABIRINTO D’AMORE
ALPHA 195
L’“Eric Clapton du luth” (BBC Magazine)
revient devant les micros d’Alpha, cette fois en
compagnie de la soprano Anna Reinhold. La
virtuosité réellement prodigieuse de Thomas
Dunford est ici au service des huit Toccatas
du premier livre du maître Kapsberger. Il nous
livre un véritable concert, tel que le compositeur lui‑même aurait pu le proposer, avec en
contrepoint aux toccatas, quelques‑uns des plus
beaux airs de Caccini, Merula…
La beauté de la voix d’Anna Reinhold apporte
une fraîcheur et une énergie qui n’est pas
sans rappeler celles des jeunes interprètes qui
étaient à l’oeuvre dans les premiers enregistrements d’Alpha.
« Il n’a pas 25 ans. Pourtant, Thomas Dunford est déjà LA star du luth,
que s’arrachent tous les ensembles baroques du moment. Des Musiciens
de Saint-Julien aux indétrônables Arts Florissants de William Christie,
tous sont tombés sous le charme de son jeu sensible et de sa profondeur poétique. Aussi, peut-être, de sa personnalité exubérante et
juvénile. » Le Figaro, 23 mars 2013
« L’archiluth de Thomas Dunford s’accorde idéalement à ce chant du
désespoir, d’un pudeur grave, d’une finesse subtile et expressive à la
fois (…) L’archiluth de Thomas Dunford, dans les 8 Toccatas de Kapsberger déploie une éloquence introspective d’une même qualité. »
Alexandre Pham, Classiquenews.com, 10 juillet 2014
« L’implication déterminée d’Anna Reinhold, la virtuosité irrésistible de
Thomas Dunford ouvrent les portes d’une nouvelle expressivité. »
Le Soir - MAD, 11 juin 2014
« Nouveau coup de maître (…) la maison de disques a donné carte
blanche à l’un des luthistes les plus prometteurs de sa génération : Thomas Dunford. À 25 ans, ce musicien, collaborateur régulier des Arts
florissants de William Christie, compte parmi les spécialistes les plus
demandés. » Thierry Hillériteau, La Vie, 1 avril 2013
« Un coup de maître pour ce jeune musicien de 25 ans qui affiche une
maturité insolente et une musicalité à toute épreuve (…) Superbe réalisation avec un artiste pour qui on a vraiment eu un énorme coup de
coeur. Et un disque déjà indispensable. » France Musique
« Voir Thomas Dunford sourire au luth, c’est déguster un tableau
du Caravage. Au-delà de sa mélancolie, la musique pour luth de
Dowland témoigne d’un appétit sonore ensorcelant. Encore une
poignée de merveilleux ayres et songs, chantés comme dans un
rêve par Hughes, Van Mechelen, Agnew et Buet, et vous croirez au
paradis terrestre. » Le Soir - MAD, 20 mars 2013
Photo Eric Sebbag
Marie-Lou Kazmierczak
+32 (0)2 537 85 91
[email protected]
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