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TABLE DES AUTEURS Éloïse Brac de la Perrière est maître de conférences en histoire de l’art du monde islamique à l’université Paris-Sorbonne. Après avoir dirigé durant quatre ans (2008-2012) le programme de recherche « Autour du coran de Gwalior » (UMR 8167 – Islam médiéval), elle est aujourd’hui co-responsable auprès d’Annie Vernay-Nouri (Bibliothèque nationale de France) d’un projet scientifique consacré aux manuscrits à peintures des fables de Kalila wa Dimna (UMR 8167 / Bibliothèque nationale de France), projet qui a donné lieu, entre septembre 2015 et janvier 2016, à l’exposition « Paroles de bêtes (à l’usage des princes) » à l’Institut du monde arabe. Spécialiste des arts du livre, et plus particulièrement de la production livresque dans l’Inde islamique pré-moghole à laquelle elle a consacré un ouvrage, L’Art du livre dans l’Inde des sultanats (PUPS, 2008), elle mène parallèlement Sabrina Alilouche, après des études en linguistique et en histoire de l’art, étudie dans le cadre de son Master les stèles funéraires hafsides d’Algérie, datant du xiiie au xvie siècle, puis les plafonds en bois peint d’Alger datant du xvie au xxe siècle sous la direction de JeanPierre Van Staëvel et d’Éloïse Brac de la Perrière (Université Paris-Sorbonne). Membre du projet consacré au coran de Gwalior entre 2008 et 2012 (UMR 8167-Islam médiéval), elle travaille aujourd’hui sur l’appropriation de palais algérois à la période française sous la direction de Mercedes Volait. Johanna Blayac est docteur en histoire, spécialiste du monde musulman et de l’Asie du Sud. Elle a consacré sa thèse à l’étude des premières inscriptions arabes et persanes du sous-continent indien, dans le but de documenter la formation des sociétés indo-musulmanes, mettant en évidence des processus de transculturation. Elle a participé aux travaux de plusieurs équipes de recherche au sein du Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud (CNRS-EHESS), notamment à ceux de la Mission interdisciplinaire française du Sindh (Pakistan), et a enseigné durant deux ans, en 2011-2012 et 2012-2013, l’histoire du monde musulman classique et du monde arabe moderne et contemporain au sein de la Licence de Langue et Civilisation Arabe de l’Université Paris 8 Saint-Denis. Elle a contribué au volume de référence Calligraphy and Architecture in the Muslim World, édité par Mohammad Gharipour et Irvin Cemil Schick, Edinburgh University Press, 2013. Nalini Balbir, agrégée de grammaire, docteur d’état en études indiennes, est professeur d’indologie à l’Université Paris 3 et directeur d’études (philologie moyen-indienne) à l’École pratique des hautes études, Section sciences historiques et philologiques. Elle est membre de l’UMR 7528 Mondes iranien et indien (www.iran-inde.cnrs.fr avec liste complète des publications). Ses champs de recherche incluent le sanskrit, les langues moyen-indiennes (pali, prakrits) et les études jaïnes. Ses publications portent sur tous les aspects du jaïnisme, y compris contemporains. Ces dernières années elle a travaillé plus particulièrement sur la culture manuscrite des jaïns, à la faveur du catalogage de plusieurs collections qu’elle a effectué, s’intéressant aux modes de diffusion de cette culture, à l’utilisation du manuscrit comme objet de distinction sociale par les jaïns, à son illustration, à sa découverte par les chercheurs occidentaux. Nourane Ben Azzouna a obtenu un doctorat en histoire de l’art islamique à l’École pratique des hautes études en 2009. Elle a collaboré en tant que chargée d’études pour les arts de l’Islam au projet du Louvre Abu Dhabi (2009-2013). Elle occupe depuis 2013 un poste d’Assistant Professor à l’Institut d’histoire de l’art de l’Université de Vienne. Ses recherches portent principalement sur la calligraphie et les arts du livre dans le monde islamique médiéval. Elle est l’auteur, avec Markus Ritter, de The Golden Qurʾan from the Age of the Seljuks and Atabegs. Cod. arab. 1112 of the Bayerische Staatsbibliothek in Munich, Adeva, 2015 et prépare un second ouvrage intitulé : Aux origines du classicisme : calligraphes et bibliophiles au temps des dynasties mongoles (Iraq et nord-ouest de Iran, 656-814 / 1258-1411). Nourane Ben Azzouna a obtenu un doctorat en histoire de l’art islamique à l’École pratique des hautes études en 2009. Elle a collaboré en tant que chargée d’études pour les arts de l’Islam au projet du Louvre Abu Dhabi (2009-2013). Elle occupe depuis 2013 un poste d’Assistant Professor à l’Institut d’histoire de l’art de l’Université de Vienne. Ses recherches portent principalement sur la calligraphie et les arts du livre dans le monde islamique médiéval. Elle est l’auteur, avec Markus Ritter, de The Golden Qurʾan from the Age of the Seljuks and Atabegs. Cod. arab. 1112 of the Bayerische Staatsbibliothek in Munich, Adeva, 2015 et prépare un second ouvrage intitulé : Aux origines du classicisme : calligraphes et bibliophiles au temps des dynasties mongoles (Iraq et nord-ouest de Iran, 656-814 / 1258-1411). Nalini Balbir, agrégée de grammaire, docteur d’état en études indiennes, est professeur d’indologie à l’Université Paris 3 et directeur d’études (philologie moyen-indienne) à l’École pratique des hautes études, Section sciences historiques et philologiques. Elle est membre de l’UMR 7528 Mondes iranien et indien (www.iran-inde.cnrs.fr avec liste complète des publications). Ses champs de recherche incluent le sanskrit, les langues moyen-indiennes (pali, prakrits) et les études jaïnes. Ses publications portent sur tous les aspects du jaïnisme, y compris contemporains. Ces dernières années elle a travaillé plus particulièrement sur la culture manuscrite des jaïns, à la faveur du catalogage de plusieurs collections qu’elle a effectué, s’intéressant aux modes de diffusion de cette culture, à l’utilisation du manuscrit comme objet de distinction sociale par les jaïns, à son illustration, à sa découverte par les chercheurs occidentaux. Johanna Blayac est docteur en histoire, spécialiste du monde musulman et de l’Asie du Sud. Elle a consacré sa thèse à l’étude des premières inscriptions arabes et persanes du sous-continent indien, dans le but de documenter la formation des sociétés indo-musulmanes, mettant en évidence des processus de transculturation. Elle a participé aux travaux de plusieurs équipes de recherche au sein du Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud (CNRS-EHESS), notamment à ceux de la Mission interdisciplinaire française du Sindh (Pakistan), et a enseigné durant deux ans, en 2011-2012 et 2012-2013, l’histoire du monde musulman classique et du monde arabe moderne et contemporain au sein de la Licence de Langue et Civilisation Arabe de l’Université Paris 8 Saint-Denis. Elle a contribué au volume de référence Calligraphy and Architecture in the Muslim World, édité par Mohammad Gharipour et Irvin Cemil Schick, Edinburgh University Press, 2013. Sabrina Alilouche, après des études en linguistique et en histoire de l’art, étudie dans le cadre de son Master les stèles funéraires hafsides d’Algérie, datant du xiiie au xvie siècle, puis les plafonds en bois peint d’Alger datant du xvie au xxe siècle sous la direction de JeanPierre Van Staëvel et d’Éloïse Brac de la Perrière (Université Paris-Sorbonne). Membre du projet consacré au coran de Gwalior entre 2008 et 2012 (UMR 8167-Islam médiéval), elle travaille aujourd’hui sur l’appropriation de palais algérois à la période française sous la direction de Mercedes Volait. Éloïse Brac de la Perrière est maître de conférences en histoire de l’art du monde islamique à l’université Paris-Sorbonne. Après avoir dirigé durant quatre ans (2008-2012) le programme de recherche « Autour du coran de Gwalior » (UMR 8167 – Islam médiéval), elle est aujourd’hui co-responsable auprès d’Annie Vernay-Nouri (Bibliothèque nationale de France) d’un projet scientifique consacré aux manuscrits à peintures des fables de Kalila wa Dimna (UMR 8167 / Bibliothèque nationale de France), projet qui a donné lieu, entre septembre 2015 et janvier 2016, à l’exposition « Paroles de bêtes (à l’usage des princes) » à l’Institut du monde arabe. Spécialiste des arts du livre, et plus particulièrement de la production livresque dans l’Inde islamique pré-moghole à laquelle elle a consacré un ouvrage, L’Art du livre dans l’Inde des sultanats (PUPS, 2008), elle mène parallèlement TABLE DES AUTEURS 214 • TABLE DES AUTEURS des recherches sur la céramique indienne dans le cadre d’un projet scientifique dont elle assure la direction auprès d’Yves Porter (Université Aix-Marseille / UMR 7298) et Hélène Renel (UMR 8167). Monique Burési, après des études de russe et d’arabe, s’est tournée vers l’histoire de l’art. Documentaliste scientifique aux départements des Arts de l’Islam et des Antiquités orientales du musée du Louvre, elle a participé aux catalogues des expositions « Chefsd’œuvre de la collection des arts de l’Islam du musée du Louvre » (Riyad, 2006) et « Chefsd’œuvre islamiques de l’Aga Khan Museum » (Paris, 2007), pour lequel elle a assuré la collaboration éditoriale. En 2014, pour le musée du Louvre, elle a été, avec Sophie Cluzan, commissaire de l’exposition « Voués à Ishtar. Syrie, janvier 1934, André Parrot découvre Mari » qui s’est tenue à l’Institut du monde arabe. Frantz Chaigne, ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, est agrégé de chimie. Après avoir enseigné à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, il dispense désormais des cours de sciences physiques appliqués au design et aux métiers d’art à l’École Boulle. Parallèlement, il a soutenu à l’université Paris-Sorbonne, une thèse en histoire de l’art islamique sur l’enluminure dans l’empire ilkhanide. Il a participé aux projets pluriannuels de l’UMR 8167 sous la direction d’Éloïse Brac de la Perrière, le premier portant sur l’étude d’un coran copié à Gwalior en 1399, l’autre sur les manuscrits à peintures de Kalila wa Dimna. Il est le co-auteur de deux articles consacrés au décor du coran de Gwalior, dont : Brac de la Perrière, Chaigne, Cruvelier, « The Qurʾan of Gwalior, Kaleidoscope of the Arts of the Book », dans Treasures of the Aga Khan Museum – Arts of the Book & Calligraphy, catalogue d’exposition, 2010, p. 114-123. Il présente aussi régulièrement des communications publiées aux colloques de la Ernst-Herzfeld-Gesellschaft : « Le décor enluminé sous les Īl-khānides : entre assimilation et innovation, de l’Iraq à la Chine », dans Beiträge zur Islamischen Kunst und Archäologie, Band 3, 2012, p. 253-265. Il a pris part également à l’étude des céramiques islamiques du Musée de Lyon. Mathilde Cruvelier est chercheuse indépendante, spécialiste des arts du livre chrétien arabe sous le sultanat mamluk. Chercheuse associée au département des manuscrits orientaux de la Bibliothèque nationale de France en 2008-2009, elle a été membre du projet portant sur le coran de Gwalior entre 2008 et 2012. Elle est l’auteur avec Éloïse Brac de la Perrière, Frantz Chaigne de « The Qurʾan of Gwalior, Kaleidoscope of the Arts of the Book », dans Treasures of the Aga Khan Museum – Arts of the Book & Calligraphy, catalogue d’exposition, 2010 ; elle a également publié en 2012 un article consacré aux « Emprunts post-ilkhanides dans l’enluminure mamluk du ixe / xve siècle », Chronos 26, 2012, p. 117‑155. Ghazaleh Esmailpour Qouchani, après des études en arts appliqués à l’université Honar de Téhéran (Tehran University of Art), a obtenu une bourse d’études pour mener à terme un doctorat en France. Depuis 2008, elle participe aux programmes de recherches consacrés au coran de Gwalior et aux manuscrits de Kalila wa Dimna sous la direction d’Éloïse Brac de la Perrière. Sa thèse portant sur l’emploi de la couleur bleue dans la miniature persane du xvie siècle a été soutenue en 2014 à l’université Paris-Sorbonne. Elle est actuellement professeure assistante à l’Université Honar de Chiraz (Shiraz University of Art). Finbarr Barry Flood est professeur à l’Institute of Fine Arts, ainsi qu’au département d’histoire de l’art, New York University (NYU). Il travaille à l’heure actuelle sur un projet de recherche intitulé « Islam and Image: Polemics, Theology and Modernity » (Islam et image : polémiques, théologie et modernité). Parmi ses thèmes de recherche, les échanges interculturels dans la sphère islamique occupent une place importante, comme en attestent ses deux derniers ouvrages : Globalizing Cutures: Art and Mobility in the Eighteenth Century, publié en 2011 (avec Nebahat Avcıoğlu) et Objects of Translation: Material Culture and Medieval “Hindu-Muslim” Encounter, en 2009. Finbarr Barry Flood est professeur à l’Institute of Fine Arts, ainsi qu’au département d’histoire de l’art, New York University (NYU). Il travaille à l’heure actuelle sur un projet de recherche intitulé « Islam and Image: Polemics, Theology and Modernity » (Islam et image : polémiques, théologie et modernité). Parmi ses thèmes de recherche, les échanges interculturels dans la sphère islamique occupent une place importante, comme en attestent ses deux derniers ouvrages : Globalizing Cutures: Art and Mobility in the Eighteenth Century, publié en 2011 (avec Nebahat Avcıoğlu) et Objects of Translation: Material Culture and Medieval “Hindu-Muslim” Encounter, en 2009. Ghazaleh Esmailpour Qouchani, après des études en arts appliqués à l’université Honar de Téhéran (Tehran University of Art), a obtenu une bourse d’études pour mener à terme un doctorat en France. Depuis 2008, elle participe aux programmes de recherches consacrés au coran de Gwalior et aux manuscrits de Kalila wa Dimna sous la direction d’Éloïse Brac de la Perrière. Sa thèse portant sur l’emploi de la couleur bleue dans la miniature persane du xvie siècle a été soutenue en 2014 à l’université Paris-Sorbonne. Elle est actuellement professeure assistante à l’Université Honar de Chiraz (Shiraz University of Art). Mathilde Cruvelier est chercheuse indépendante, spécialiste des arts du livre chrétien arabe sous le sultanat mamluk. Chercheuse associée au département des manuscrits orientaux de la Bibliothèque nationale de France en 2008-2009, elle a été membre du projet portant sur le coran de Gwalior entre 2008 et 2012. Elle est l’auteur avec Éloïse Brac de la Perrière, Frantz Chaigne de « The Qurʾan of Gwalior, Kaleidoscope of the Arts of the Book », dans Treasures of the Aga Khan Museum – Arts of the Book & Calligraphy, catalogue d’exposition, 2010 ; elle a également publié en 2012 un article consacré aux « Emprunts post-ilkhanides dans l’enluminure mamluk du ixe / xve siècle », Chronos 26, 2012, p. 117‑155. Frantz Chaigne, ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, est agrégé de chimie. Après avoir enseigné à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, il dispense désormais des cours de sciences physiques appliqués au design et aux métiers d’art à l’École Boulle. Parallèlement, il a soutenu à l’université Paris-Sorbonne, une thèse en histoire de l’art islamique sur l’enluminure dans l’empire ilkhanide. Il a participé aux projets pluriannuels de l’UMR 8167 sous la direction d’Éloïse Brac de la Perrière, le premier portant sur l’étude d’un coran copié à Gwalior en 1399, l’autre sur les manuscrits à peintures de Kalila wa Dimna. Il est le co-auteur de deux articles consacrés au décor du coran de Gwalior, dont : Brac de la Perrière, Chaigne, Cruvelier, « The Qurʾan of Gwalior, Kaleidoscope of the Arts of the Book », dans Treasures of the Aga Khan Museum – Arts of the Book & Calligraphy, catalogue d’exposition, 2010, p. 114-123. Il présente aussi régulièrement des communications publiées aux colloques de la Ernst-Herzfeld-Gesellschaft : « Le décor enluminé sous les Īl-khānides : entre assimilation et innovation, de l’Iraq à la Chine », dans Beiträge zur Islamischen Kunst und Archäologie, Band 3, 2012, p. 253-265. Il a pris part également à l’étude des céramiques islamiques du Musée de Lyon. Monique Burési, après des études de russe et d’arabe, s’est tournée vers l’histoire de l’art. Documentaliste scientifique aux départements des Arts de l’Islam et des Antiquités orientales du musée du Louvre, elle a participé aux catalogues des expositions « Chefsd’œuvre de la collection des arts de l’Islam du musée du Louvre » (Riyad, 2006) et « Chefsd’œuvre islamiques de l’Aga Khan Museum » (Paris, 2007), pour lequel elle a assuré la collaboration éditoriale. En 2014, pour le musée du Louvre, elle a été, avec Sophie Cluzan, commissaire de l’exposition « Voués à Ishtar. Syrie, janvier 1934, André Parrot découvre Mari » qui s’est tenue à l’Institut du monde arabe. des recherches sur la céramique indienne dans le cadre d’un projet scientifique dont elle assure la direction auprès d’Yves Porter (Université Aix-Marseille / UMR 7298) et Hélène Renel (UMR 8167). 214 • TABLE DES AUTEURS TABLE DES AUTEURS • 215 Asma Hilali est chercheuse associée au sein de l’Unité d’études coraniques (Qurʾānic Studies Unit), département de recherches académiques et publications (Department of Academic Research and Publications), à l’Institut of Ismaili Studies à Londres. Elle a étudié l’arabe, sa littérature et la civilisation islamique à l’Université de Tunis 1. Boursière de la Chancellerie des Universités de Paris pour les Lettres et les Sciences humaines, elle intègre en 2001 l’École pratique des hautes études où elle soutient une thèse de doctorat, intitulée « La théorie de l’authenticité dans les sciences du Hadith entre le premier et le sixième siècle de l’Islam » en 2004. Ses publications abordent le problème de la transmission des textes religieux aux débuts de l’Islam. Elle a entreprit récemment l’édition et l’étude du célèbre manuscrit 01.27-1 Dār al-Makhṭūṭāt, Ṣanʿāʾ Yémen, connu comme « Le palimpseste de Sanaa ». Yves Porter, est professeur d’art musulman au département d’Histoire de l’Art et d’Archéologie d’Aix Marseille Université (AMU) et membre du Laboratoire d’Archéologie méditerranéenne médiévale et moderne (LA3M). Spécialiste des arts et techniques dans les domaines de l’Iran, de l’Inde musulmane et de l’Asie centrale, il a publié de nombreux articles dans des revues à grande diffusion, comme dans des publications scientifiques, ainsi que des ouvrages, dont Peinture et arts du livre, Téhéran, 1992 ; Les Iraniens, Paris, 2006 ; L’Inde des sultans, Paris, 2009 ; Le prince, l’artiste et l’alchimiste. La céramique dans le monde iranien, xe-xviie siècle, Paris, 2011. Il a participé à des émissions de télévision (Des racines et des ailes), de radio, et collabore régulièrement avec des musées et collections d’art islamique dans le monde entier. Asma Hilali est chercheuse associée au sein de l’Unité d’études coraniques (Qurʾānic Studies Unit), département de recherches académiques et publications (Department of Academic Research and Publications), à l’Institut of Ismaili Studies à Londres. Elle a étudié l’arabe, sa littérature et la civilisation islamique à l’Université de Tunis 1. Boursière de la Chancellerie des Universités de Paris pour les Lettres et les Sciences humaines, elle intègre en 2001 l’École pratique des hautes études où elle soutient une thèse de doctorat, intitulée « La théorie de l’authenticité dans les sciences du Hadith entre le premier et le sixième siècle de l’Islam » en 2004. Ses publications abordent le problème de la transmission des textes religieux aux débuts de l’Islam. Elle a entreprit récemment l’édition et l’étude du célèbre manuscrit 01.27-1 Dār al-Makhṭūṭāt, Ṣanʿāʾ Yémen, connu comme « Le palimpseste de Sanaa ». TABLE DES AUTEURS • 215 Simon Rettig est assistant conservateur à la Freer Gallery of Art et Arthur M. Sackler Gallery, le musée d’art asiatique de la Smithsonian Institution à Washington (DC). Il est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’Université de Provence Aix-Marseille (2011). Il a été commissaire de l’exposition « Nastaʿliq: The Genius of Persian Calligraphy » et prépare actuellement le catalogue des œuvres persanes sur papier de la Freer Gallery of Art ainsi qu’une monographie sur le manuscrit jalayiride Khusraw et Shirin de Niẓāmī, un des chefs-d’œuvre des collections du musée. Patricia Roger-Puyo est ingénieur de recherche à l’IRAMAT / UMR5060 du CNRS. Docteur en Sciences Physiques spécialité physique radiologique de l’Université Paul Sabatier de Toulouse. Après avoir exercé le métier de radiophysicienne dans le milieu hospitalier, une conversion professionnelle la dirige vers le Centre Ernest Babelon du CNRS où elle succède à Bernard Guineau en 2002 afin de poursuivre les recherches sur les archéomatériaux à l’aide de méthodes non destructrives sur le thème pigments et colorants. Le livre manuscrit médiéval constitue le principal sujet d’étude de ses recherches, qui s’effectuent au moyen de méthodes d’analyses spectrométriques non destructives in situ. Une partie de ces dernières concernent les manuscrits arabes. Patricia Roger-Puyo est ingénieur de recherche à l’IRAMAT / UMR5060 du CNRS. Docteur en Sciences Physiques spécialité physique radiologique de l’Université Paul Sabatier de Toulouse. Après avoir exercé le métier de radiophysicienne dans le milieu hospitalier, une conversion professionnelle la dirige vers le Centre Ernest Babelon du CNRS où elle succède à Bernard Guineau en 2002 afin de poursuivre les recherches sur les archéomatériaux à l’aide de méthodes non destructrives sur le thème pigments et colorants. Le livre manuscrit médiéval constitue le principal sujet d’étude de ses recherches, qui s’effectuent au moyen de méthodes d’analyses spectrométriques non destructives in situ. Une partie de ces dernières concernent les manuscrits arabes. Simon Rettig est assistant conservateur à la Freer Gallery of Art et Arthur M. Sackler Gallery, le musée d’art asiatique de la Smithsonian Institution à Washington (DC). Il est titulaire d’un doctorat en histoire de l’art de l’Université de Provence Aix-Marseille (2011). Il a été commissaire de l’exposition « Nastaʿliq: The Genius of Persian Calligraphy » et prépare actuellement le catalogue des œuvres persanes sur papier de la Freer Gallery of Art ainsi qu’une monographie sur le manuscrit jalayiride Khusraw et Shirin de Niẓāmī, un des chefs-d’œuvre des collections du musée. Yves Porter, est professeur d’art musulman au département d’Histoire de l’Art et d’Archéologie d’Aix Marseille Université (AMU) et membre du Laboratoire d’Archéologie méditerranéenne médiévale et moderne (LA3M). Spécialiste des arts et techniques dans les domaines de l’Iran, de l’Inde musulmane et de l’Asie centrale, il a publié de nombreux articles dans des revues à grande diffusion, comme dans des publications scientifiques, ainsi que des ouvrages, dont Peinture et arts du livre, Téhéran, 1992 ; Les Iraniens, Paris, 2006 ; L’Inde des sultans, Paris, 2009 ; Le prince, l’artiste et l’alchimiste. La céramique dans le monde iranien, xe-xviie siècle, Paris, 2011. Il a participé à des émissions de télévision (Des racines et des ailes), de radio, et collabore régulièrement avec des musées et collections d’art islamique dans le monde entier.