ecrivez un récit vous aussi ecrivez un récit vous aussi - Ibilce

Transcription

ecrivez un récit vous aussi ecrivez un récit vous aussi - Ibilce
Claudia Maria Xatara
E CR IV E Z U N R É CIT V O U S A U SSI
une aventure pédagogique ou auto-didactique
TTSH Arantes Editora
Dados Internacionais de Catalogação na Publicação (CIP)
(Câmara Brasileira do Livro, SP, Brasil)
Xatara, Claudia Maria
Écrivez un récit vous aussi : une aventure pédagogique ou autodidactique / Claudia Maria Xatara ; [revisão João de Oliveira]. -- São
José do Rio Preto, SP : THS Arantes Editora, 2008.
Tradução do título: Redija uma narração você também: uma
aventura pedagógica ou autodidática
Apoio: Unesp
Bibliografia
ISBN 978-85-60397-26-6
1. Francês - Redação 2. Narrativa (Retórica) 3. Textos I. Título.
08-4309
Índices para catálogo sistemático:
1. Produção escrita : Francês : Lingüística 440
2. Redação : Francês : Lingüística 440
3. Produção textual : Francês : Lingüística 440
CDD-440
E CR IV E Z U N R É CIT V O U SS - A U SSI
une aventure pédagogique ou auto-didactique
Claudia Maria Xatara
Révision :
M. João de Oliveira
Université Toulouse-Le Mirail
A m a fille B runa,
cadeau des cieux, trésor de ce m onde
REMERCIEMENTS
Nous avons voulu partager avec le public du 24e Bain Linguistique à
Campos do Jordão, en 2006, par l´intermédiaire de l’atelier “Racontez-nous une
histoire”, nos expériences didactiques dans la salle de classe de la discipline Pratique
de Rédaction, au cours de Bacharelado em Letras com Habilitação de Tradutor de
l’UNESP, à São José do Rio Preto. Et l’idée de ce livre est née à partir du bon accueil
qu’a eu cet atelier.
Aussi quelques étudiants stagiaires nous ont aidée à recueillir, à adapter
ou à proposer plusieurs exemples de récit produits par des universitaires au niveau
intermédiaire d’apprentissage. Nous voudrions remercier à Camila B. Freitas Silva,
Laís H. T. Santos, Mariana Peters Olivio, Nathalia F. Garcia et Tatiana S. Casanova.
Enfin, toute la révision du français a été effectuée par M. João de
Oliveira, professeur français formé à l’Université Toulouse-Le Mirail, dont le stage de
FLE a été réalisé à ce même campus de l’UNESP, d’août 2006 à mai 2007.
SOMMAIRE
INTRODUCTION p. 07
EXEMPLES DE PRODUCTIONS p. 10
I. Productions à deux réélaborations p. 11
1. Résumé du livre «Le Roman de Renart» p. 11
2. Résumé du film «Indochine» p. 13
3. La dispute (adaptation de la fable Le lièvre et la tortue) p. 16
4. Au nom de la religion (d’après le film Les rivières pourpres 2 : Les Anges de
l'apocalypse) p. 20
5. Une amie vraiment spéciale p. 23
6. Une question d’habitude p. 26
7. Une histoire d’amour p. 29
8. L’accident p. 32
II. Productions à une réélaboration p. 34
1. Résumé du livre «La fugue de Bach» p. 34
2. Résumé du film «Astérix et Obélix: mission Cléopâtre» p.36
3. Prémonition? (d’après le livre La momie du Louvre) p.38
4. Le mensonge (d’après le roman Pinocchio) p. 40
5. Mon voisin M. Jubert p. 41
6. La blonde des toilettes p. 43
7. Dimanche en famille p. 45
8. Une cérémonie parfaite p. 47
9. Mon paradis sur Terre p. 49
10. Souvenirs d’un événement p. 50
SUGGESTIONS D’EXERCICES p. 51
BIBLIOGRAPHIE p. 54
INTRODUCTION
Nous n’avons absolument pas la prétention de théoriser l’écriture des
récits. Nous allons tout simplement expliciter quelques aspects fondamentaux de cette
écriture, nécessaires pour arriver à la production d’un texte narratif et proposer des
exercices de rédaction de récits, soit pour l’enseignant qui veut les appliquer en salle
de classe, soit pour les apprenants qui veulent expérimenter cette aventure d’écrire
eux-mêmes.
Etant donné qu’un récit est une histoire d’événements réels ou
imaginaires, il faut considérer les éléments structuraux suivants:
• narrateur: celui qui raconte à la 1ère ou 3e personne; omniscient ou spectateur
• quoi: qu’est-ce qui s’est passé?
• avec qui: qui sont les personnages ?
• où: où se passe chaque scène? les événements?
• quand: dates ou époque qui précisent le temps de l’histoire
• comment: quelques circonstances qui détaillent les faits de l’histoire
Pour produire un texte de récit, nous pourrions suivre ces consignes:
1. Choisir ou observer un thème, un sujet
Nous devons choisir tout seul le thème d’une histoire à raconter, ou alors nous devons
faire attention au sujet proposé préalablement. Dans les deux cas, il est essentiel de
mettre en marche notre inspiration. Il faut se concentrer pour pouvoir voir de tout près
une histoire à créer, ou il faut rappeler autres événements, contes, films pour s’en
baser. Nous devons nous sentir intimes de ce dont nous allons parler.
2. Créer les personnages
L’histoire se rapportera à combien de personnages ? Quels rôles ils jouent ? Quelles
relations ils auront entre eux ? Il serait bien d’arriver à leur donner un corps et une
âme, comme s’ils avaient une existence en dehors du texte.
3. Décrire les personnages
Un personnage commence à exister avec sa description, d’abord par des substantifs et
quelques adjectifs pour caractériser :
- son physique (quel est son nom, son âge, ses particularités extérieures)
- son comportement psychologique (nous définissons ses qualités / ses défauts / ses
vicissitudes, c’est-à-dire si le personnage est bon/méchant, tranquille/inquiet,
intelligent/médiocre, etc)
- d’autres spécifications (il est originaire d’où ? quelle est sa profession ? pourquoi il est
présent dans cette histoire ? etc)
4. Proposer la trame (les idées générales)
Nous imaginons premièrement une suite d’événements, d’actions pour rendre compte
de ce que serait le début du récit, le milieu et la fin. A ce moment nous ne pensons pas
aux détails.
5. Écrire la structure de chaque action
Pour rédiger la suite d’actions imaginées pour le début, le milieu et la fin, il suffit
d’organiser chaque action avec une structure simple, composée en principe d’un sujet
et un verbe.
6. Réélaborer chaque action
Mais il nous faut détailler chacune de ces actions de l’histoire, surtout parce qu’une
bonne narration est toujours farcie de descriptions et c’est justement cela qui l’enrichie.
Alors nous reprenons un ou plusieurs paragraphes de la première écriture et nous
ajoutons
les
prépositions,
les
adverbes,
les
conjonctions,
c’est-à-dire
des
circonstances à chaque verbe :
- de manière (nous spécifions comment se déroule chaque événement et nous allons
sélectionner des prépositions comme avec/sans, des adverbes terminés en –ment, etc)
- de temps (quand tout s’est passé? Pour cela nous choisissons d’abord,
premièrement/puis, ensuite, ou avant/après; une fois; alors; le matin; hier, etc. En
outre, il est bien de déterminer comme espace temporel du récit le présent de
narration, des temps passés ou des projections futures)
- de cause (nous essayons de répondre aux pourquoi et nous utiliserons parce que,
donc, puisque, etc)
- de but (nous tentons de préciser quelles étaient les intentions de chaque personnage
face à chaque action ; les connecteurs à employer sont par exemple pour, afin de, etc)
- de lieu (la description d’où se déroule chaque événement aide à accorder des
vraisemblances au récit, l’un des caractères pour une bonne histoire, même
imaginaire, et nous pourrons nous servir de à, dans/hors, sur/sous, devant/derrière,
près/loin, à côté, 3 km d’ici, en Italie et bien d’autres manières de préciser l’espace)
Il s’agit donc d’une activité de réécriture, où nous ajoutons des précisions,
des détails et des péripéties au déroulement des actions principales d’une histoire tout
à fait inventée ou adaptée.
Et il faut encore insister sur un point: tous ceux qui s’aventurent à écrire
en français, mais ne sont pas des Français, devraient éviter les tournures ou les
expressions dont nous ne sommes pas sûr ou les rechercher sérieusement, sinon il
pourrait naître plusieurs petites monstruosités linguistiques...
EXEMPLES DE PRODUCTIONS
Nous présenterons quelques productions de récits comme des
exemples d’application des six consignes que nous venons de détailler. D´abord les
productions à deux réélaborations, dont les étapes bien définies aident à illustrer
comment produire un texte de récit. Ensuite, nous suggérons des productions à une
seule réélaboration, où nous trouvons des sauts plus grands d’imagination.
Cette partie concerne trois types de récits, écrits parfois à la première,
parfois à la troisième personne :
a) les résumés : les moins créatifs, comme ceux qui représentent des résumés de
romans, de films etc ;
b) les adaptations : des récits créés sur des histoires déjà écrites, qui représentent en
effet des adaptations d’autres histoires ;
c) les créations : des récits les plus originaux, tout à fait imaginés par nos stagiaires
mentionnées aux « Remerciements ».
I. Productions à deux réélaborations
1. Résumé du livre Le Roman de Renart
Trame:
Renart est un renard méchant.
Il ne pense qu’à manger.
Il trompe le loup, le coq et le moineau.
Mais le coq trompe le renard.
Renart est puni par le moineau à l’aide de Mâtin, un chien.
“Qui fait un mal attend la pareille”.
Réélaboration 1:
Renart est un renard méchant.
Il ne pense qu’à manger.
Ce livre est un recueil qui raconte l’histoire de Renart, un renard méchant qui
veut toujours tromper d’autres animaux.
Renart fait ces tromperies parce qu’il ne pense qu’à manger.
Il trompe le loup, le coq et le moineau.
Au cours de l’histoire, Renart fait en sorte que le loup perde sa queue. Ensuite
le renard trompe le coq pour l’attraper. Et après il trompe le moineau et mange tous
ses enfants.
Mais le coq trompe le renard.
Mais Renart, qui sait tromper tout le monde, se laisse tromper par le coq.
Renard est puni par le moineau à l’aide de Mâtin, un chien.
Après avoir mangé les enfants du moineau, il tombe dans un piège préparé par
le moineau.
C’est avec l’aide de Mâtin, un chien,que le moineau réussit à se venger de lui.
“Qui fait un mal attend la pareille”.
Cette histoire nous révèle une morale: “Qui fait un mal attend la pareille”.
Réélaboration 2:
Ce livre est un recueil qui raconte l’histoire de Renart, un renard méchant qui veut
toujours tromper d’autres animaux.
Renart fait ces tromperies parce qu’il ne pense qu’à manger.
Ce livre, écrit au Moyen Âge entre 1174 et 1250, par plusieurs auteurs, est un
recueil dont les héros sont des animaux, mais il aborde, à vrai dire, la nature humaine.
Les personnages principaux sont Renart, un renard très méchant, intelligent et
rusé qui ne pense qu’à manger, et Yasengrin - oncle de Renart - un loup stupide qui se
croit très courageux et adroit mais au fond qui est peureux et croit à tout ce que l’on lui
dit.
Au cours de l’histoire, Renart fait en sorte que le loup perde sa queue. Ensuite le
renard trompe le coq pour l’attraper. Et après il trompe le moineau et mange tous ses
enfants.
Au cours de l’histoire, Renart fait en sorte que le loup perde sa queue. Ensuite
le renard trompe le coq pour l’attraper. Et après il trompe le moineau. Dans une de ses
dernières tromperies, il finit par manger les neuf enfants du moineau.
Mais Renart, qui sait tromper tout le monde, se laisse tromper par le coq.
Après avoir mangé les enfants du moineau, il tombe dans un piège préparé par le
moineau. C’est à l’aide de Mâtin, un chien, que le moineau réussit à se venger de lui.
Mais Renart, qui sait tromper tout le monde, se laisse tromper par le coq.
Après la mort de ses enfants, le moineau essaie de se venger du renard et, à
l’aide de Mâtin, un chien qu’il avait sauvé, le moineau tend un piège au renard qui, à la
fin, est écrasé et est déchiré par ce même chien.
Cette histoire nous révèle une morale: “Qui fait un mal attend la pareille”.
Le mal créé aux autres par le renard revient à son créateur, ce qui nous révèle
un enseignement synthétisé dans la morale: “Qui fait un mal attend la pareille”.
2. Résumé du film Indochine
Trame:
Émile et Éliane dirigent une plantation d’arbres à caoutchouc.
Camille est une orpheline qu’Éliane a adoptée.
Éliane connaît Jean-Baptiste.
Éliane et Jean ont une liaison.
Camille aussi tombe amoureuse de Jean.
Jean s’en va.
Éliane fait face à la montée du nationalisme indigène et aux attentats
contre les Français.
Camille abandonne son mari et part à la recherche de Jean.
Camille connaît la pauvreté.
Elle va découvrir son propre pays, l’envers de la colonie.
Camille retrouve Jean.
Elle tombe enceinte.
Elle voyage avec Jean.
Camille tue un militaire.
Elle finit par vivre dans la clandestinité.
Jean déserte pour la suivre.
Camille est arrêtée.
Jean-Baptiste meurt.
Éliane part avec le fils de Camille pour la France.
La présence française en Indochine arrive à sa fin.
Réélaboration 1:
Émile et Éliane dirigent une plantation d’arbres à caoutchouc.
Camille est une orpheline qu’Éliane a adoptée.
Avec son père, Émile Devries, et sa fille adoptive, Camille, Éliane dirige une
plantation d’arbres à caoutchouc en Indochine, pendant les années 1930.
Éliane connaît Jean- Baptiste.
Éliane et Jean ont une liaison
Camille aussi tombe amoureuse de Jean.
Jean s’en va.
Pendant une vente aux enchères, Éliane connaît
Jean-Baptiste, un jeune
officier de marine, dont elle tombe amoureuse. Les deux finissent pour avoir une
liaison, mais même si Camille est mariée tombe elle aussi amoureuse de Jean. Alors
Jean s’en va.
Éliane fait face à la montée du nationalisme indigène et aux attentats contre les
Français.
À l’aide d’un ami qui la protège, Éliane parvient à faire face à la montée du
nationalisme indigène et aux premiers attentats contre les Français.
Camille abandonne son mari et part à la recherche de Jean.
Camille connaît la pauvreté.
Elle va découvrir son propre pays, l’envers de la colonie.
Camille aime toujours Jean
donc elle abandonne son mari et part à sa
recherche.
Pendant le voyage à travers son pays, Camille connaît la pauvreté et est
confrontée à l’exploitation de son peuple; elle découvre la vraie Indochine, un pays
qu’elle ne connaissait pas – l’envers de la colonie.
Camille retrouve Jean.
Elle tombe enceinte.
Elle voyage avec Jean.
Elle recherche inlassablement Jean, jusqu’au moment où elle le retrouve. Alors
Camille tombe enceinte et décide de voyager avec Jean et les saltimbanques.
Camille tue un militaire.
Elle finit par vivre dans la clandestinité.
Jean déserte pour la suivre.
Camille est arrêtée.
Jean-Baptiste meurt.
Camille tue un militaire et finit par vivre dans la clandestinité.
Jean déserte en abandonnant la Marine pour la suivre.
L’histoire de ces amants finit quand Camille est arrêtée et Jean meurt.
Éliane part avec le fils de Camille pour la France.
La présence française en Indochine arrive à sa fin.
Après l’arrestation de Camille et la mort de Jean, Éliane part avec le fils de sa
fille adoptive, Étienne, pour la France.
Les Accords de Genève de 1954 mettent fin à la présence française en
Indochine.
Réélaboration 2:
Avec son père, Émile Devries, et sa fille adoptive, Camille, Éliane dirige une plantation
d’arbres à caoutchouc en Indochine, pendant les années 1930.
Ce film qui se passe en Indochine pendant les années 1930, raconte l’histoire
d’Éliane Devries, qui, à côté de son père, Émile, et avec sa fille adoptive, Camille, une
princesse annamite orpheline, dirige une plantation d’arbres à caoutchouc.
Pendant une vente aux enchères, Éliane connaît Jean-Baptiste, un jeune officier de
marine, dont elle tombe amoureuse. Les deux finissent pour avoir une liaison, mais
même si Camille est mariée tombe elle aussi amoureuse de Jean. Alors Jean s’en va.
Pendant une vente aux enchères, Éliane connaît Jean-Baptiste, un jeune
officier de marine dont elle tombe amoureuse. Les deux finissent pour avoir une laison,
mais même si Camille est mariée aussi s’éprend-elle de lui. Alors Éliane le fait
déménager dans une île distante et Jean s’en va.
À l’aide d’un ami qui la protège, Éliane parvient à faire face à la montée du
nationalisme indigène et aux premiers attentats contre les Français.
À l’aide d’un ami qui la protège, le chef de la Sûreté, Guy Asselin, Éliane
parvient à faire face à la montée du nationalisme indigène et aux premiers attentats
contre les Français.
Camille aime Jean toujours, donc elle abandonne son mari et part à sa recherche.
Pendant le voyage à travers son pays, Camille connaît la pauvreté et est confrontée à
l’exploitation de son peuple; elle découvre la vraie Indochine, un pays qu’elle ne
connaissait pas – l’envers de la colonie.
Si Éliane s’éloigne de Jean, Camille l’aime toujours, donc elle abandonne son
mari et part à la recherche de l’homme qu’elle aime. Dans son voyage, elle traverse
tout le pays vers le nord, elle connaît la pauvreté et est confrontée à l’exploitation de
son peuple opprimé par le système colonial. C’est alors qu’elle découvre la vraie
Indochine, un pays qu’elle ne connaissait pas – l’envers de la colonie.
Elle recherche inlassablement Jean, jusqu’au moment où elle le retrouve. Alors Camille
tombet enceinte et décide de voyager avec Jean et les saltimbanques.
Camille recherche inlassablement Jean, jusqu’au moment où elle le retrouve
dans l’île du Dragon et ils commencent à avoir une laison. Alors Camille tombe
enceinte. Quand elle va avoir un fils de lui, elle décide de voyager avec lui et les
saltimbanques.
Camille tue un militaire et passe à vivre dans la clandestinité.
Jean déserte en abandonnant la Marine pour la suivre.
L’histoire de ces amants finit quand Camille est arrêtée et Jean meurt.
Pendant ce voyage, Camille tue un militaire – Hébrard – et est obligée à
vivre dans la clandestinité. Jean fait preuve d’amour et décide de déserter en quittant
la Marine pour la suivre, mais l’histoire de ces amants finit quand Camille est arrêtée et
Jean meurt mystérieusement.
Après l’arrestation de Camille et la mort de Jean, Éliane part avec le fils de sa fille
adoptive, Étienne, pour la France.
Les Accords de Genève de 1954 mettent fin à la présence française en Indochine.
À la fin, après l’arrestation de Camille et la mort de Jean, Éliane part avec le fils
de sa fille adoptive, Étienne, pour la France.
Les Accords de Genève de 1954 mettent fin à la présence française en
Indochine.
3. La dispute (adaptation de la fable Le lièvre et la tortue, de La Fontaine):
Trame: Un garçon et une petite fille se disputent.
Il dit qu’elle est lente.
Elle n’est pas d’accord.
Ils décident de prouver qui a raison.
Ils choisissent de parier sur une course.
La course commence.
Il est beaucoup plus rapide.
Il sait qu’il va gagner.
Il décide de s’asseoir.
Il s’endort.
Elle le dépasse.
Elle vainc.
Il se réveille.
Réélaboration 1:
Un garçon et une petite fille se disputent.
Jean, un beau garçon aux yeux bleus, croit qu’il est meilleur que sa copine Marie,
une petite fille brune et pas si jolie.
Un jour, quelques enfants voient Jean et Marie qui se disputent.
Il dit qu’elle est lente.
Elle n’est pas d’accord.
Ils décident de prouver qui a raison.
Ils choisissent de parier sur une course.
Il dit qu’elle est lente, mais elle n’est pas d’accord.
Alors ils décident de prouver qui a raison et parient sur une course, suivis par tout
le monde.
La course commence.
Il est beaucoup plus rapide.
Il sait qu’il va gagner.
Il décide de s’asseoir.
Il s’endort.
La course commence et Jean est bien devant.
Soudain, il décide de se reposer un peu, parce que sa victoire est certaine.
Elle le dépasse.
Elle vainc.
Il se réveille.
Dix minutes se passent, suffisantes pour que Marie le dépasse.
Et finalement elle vainc.
Quand tous applaudissent la championne, Jean se réveille.
Réélaboration 2:
Jean, un beau garçon aux yeux bleus, croit qu’il est meilleur que sa copine Marie, une
petite fille brune et pas si jolie.
Un jour, quelques enfants voient Jean et Marie qui se disputent.
Jean, un beau garçon blond aux yeux bleus, mais malheureusement très
arrogant, veut être le meilleur parmi les gamins de 8 ans de son école.
Marie, une petite fille brune et pas si jolie, n’a pas de grandes qualités, mais
résiste aux offenses de ses méchants “amis”.
Un jour, en fin d’après-midi, un groupe d’enfants est attiré par une scène
déplorable: Jean et Marie se disputent énergiquement.
Il dit qu’elle est lente, mais elle n’est pas d’accord.
Alors ils décident de prouver qui a raison et parient sur une course, suivis par tout le
monde.
Il dit qu’elle est lente, une véritable tortue. Elle, elle n’est pas d’accord: “Je suis
une fille, mais je sais courir vite”.
Comme ils se rendent compte qu’ils sont au centre des attentions, ils décident
d’aller jusqu’au aux dernières conséquences et prouver au public curieux qui a raison.
Alors ils choisissent de parier sur une course avec un parcours long et circulaire,
tout près de l’école.
Tous y vont, anxieux et agités.
Il est déjà tard. Le repas chez eux commencent à refroidir... leurs parents
commencent à se soucier de ce retard, mais les expectatives de cette compétition
aveuglent ces – terribles – enfants.
La course commence et Jean est bien devant.
Soudain, il décide de se reposer un peu, parce que sa victoire est certaine.
La course commence: il y a deux coureurs obstinés et un juge excité, le petit
Lucien aux lunettes rouges.
Bientôt on vérifie que Jean le Bon est vraiment bien plus rapide que Marie la
Rebelle.
Soudain, un excès de confiance intervient et s’empare de Jean. Sûr qu’il va
gagner, il décide de s’asseoir, bien à l’aise, et de se reposer un peu.
Le silence de cette partie du parcours et la fraîcheur de la soirée le font
s’endormir.
Dix minutes se passent, suffisantes pour que Marie le dépasse.
Et finalement elle vainc.
Quand tous applaudissent la championne, Jean se réveille.
A peine dix minutes de somme se passent, mais c’est suffisant pour qu’elle,
s’efforçant sans cesse, le dépasse. Discrètement, mais vibrante.
Épuisée de fatigue, elle vainc.Elle a gagné!
Quand les spectateurs, absolument surpris, commencent à crier le nom de la
championne et l’applaudissent, Jean se réveille...
4. Au nom de la religion (d’après le film Les rivières pourpres 2 : Les Anges de
l'apocalypse)
Trame:
Quelques assassinats se sont succédés au nom de Dieu.
Le cas n’a pas été élucidé.
Jacques Mergot a été appelé pour faire des investigations.
Maurice Loupfier et Marie d’Arcange ont aidé Jacques.
Ils ont fait une grande dévouverte sur les assasinats.
Le commissaire a interrogé le suspect.
L’assassin a tué sa dernière victime.
Ils ont découvert la raison des assassinats.
Ils ont interrogé toute l’église près d’où sont arrivés les assassinats.
Ils ont découvert un passage souterrain.
Le souterrain les a conduits à un grand salon.
Marie a trouvé un dossier secret.
Le salon a commencé à s’inonder.
Jacques et Maurice ont réussi à en sortir.
Marie est morte.
Cette histoire encore cache ses mystères.
Réélaboration 1:
Quelques assassinats se sont succédés au nom de Dieu.
Le cas n’a pas été élucidé.
À Paris se sont succédés quelques mystérieux assassinats qui n’ont pas été
élucidés jusqu’à aujourd’hui. Les gens croient encore que ces assassinats ont été
commis au nom de Dieu.
Jacques Mergot a été appelé pour faire des investigations.
Maurice Loupfier et Marie d’Arcange ont aidé Jacques.
Ils ont fait de grandes découvertes sur les assasinats.
Le commissaire de police Jacques Mergot, appelé pour faire des investigations
sur les crimes, à l’aide de son ami et aussi policier Maurice Loupfier et de Marie
d’Arcange, une spécialiste en religion, a découvert que chacune des victimes avait le
même nom que onze des douze apôtres.
Le commissaire a interrogé le suspect.
L’assassin a tué sa dernière victime.
Ils ont découvert la raison des assassinats.
Pendant que le commissaire interrogeait le prêtre, l’assassin a tué sa dernière
victime.
Maurice a été le premier à arriver sur la scène du dernier crime. Il a trouvé dans
la main du mort un morceau de papier qui, selon Marie, appartenait à un parchemin
sacré.
Ils ont interrogé toute l’église près d’où sont arrivés les assassinats.
Ils ont découvert un passage souterrain.
Le souterrain les a conduits à un grand salon.
Marie a trouvé un dossier.
Pendant qu’ils interrogeaient les responsables de Notre Dame, ils ont trouvé un
passage souterrain qui les a conduits à un grand salon. Dans le salon ils ont vu
plusieurs tombes et sur ces tombes, Marie a trouvé le parchemin.
Le salon a commencé à s’inonder.
Jacques et Maurice ont réussi à en sortir.
Marie est morte.
Tout à coup le salon a commencé à se remplir d’eau. Jacques et Maurice ont
réussir à en sortir, mais Marie n’a rien fait pour se sauver et est morte noyée.
Cette histoire cache encore ses mystéres.
Tous pensent que Marie a préféré mourir. Le prêtre a disparu et le parchemin
n’a jamais été trouvé à nouveau.
Réélaboration 2:
À Paris se sont succédés quelques mystérieux assassinats qui n’ont pas été élucidés
jusqu’à aujourd’hui. Les gens croient encore que ces assassinats ont été commis au
nom de Dieu.
À la fin du XXe
siècle, à Paris, se sont succédés quelques mystérieux
assasinats qui n’ont pas été élucidés jusqu’à aujourd’hui. Ils sont entourés par le doute
et le surnaturel, parce que toutes les victimes ont été assassinées comme Jésus: elles
ont été mises en croix. Les gens croient encore que ces assassinats ont été commis
au nom de Dieu, pour que tout le monde se souvienne du martyre de Son fils.
Le commissaire de police Jacques Mergot, appelé pour faire des investigations sur les
crimes, à l’aide de son ami et aussi policier Maurice Loupfier et de Marie d’Arcange,
une spécialiste en religion, ont découvert que chacune des victimes avait le même nom
que onze des douze apôtres.
Le commissaire de police Jacques Mergot, appelé pour faire des investigations
sur les crimes, à l’aide de son ami et aussi policier Maurice Loupfier et de Marie
d’Arcange, une spécialiste en religion, ont découvert que chacune des victimes avait le
même nom que onze des douze apôtres. Les onze victimes ont été trouvées dans une
rue sombre près de la célèbre cathédrale gothique Notre Dame de Paris, une à côté de
l’autre, toutes crucifiées. Plus tard Marie a trouvé une croix, avec un nom inscrit, à côté
d’une des victimes; elle savait que cette croix là était utilisée par les prêtres et les
séminaristes de Notre Dame donc elle savait aussi que l’assassin pouvait
être...Mauparant le prêtre chargé de la bibliothèque interdite de la cathédrale.
Pendant que le commissaire a interrogé le prêtre, l’assassin a tué sa dernière victime.
Maurice a été le premier à arriver à la scène du dernier crime. Il a trouvé dans la main
du mort un morceau de feuille qui, selon Marie, appartenait à un parchemin sacré.
Pendant que le commissaire interrogeait le prêtre, il a reçu un coup de fil de son
ami Maurice: l’assassin avait tué sa dernière victime; donc Jacques n’avait plus raison
de croire que Mauparant était l’assassin.
Maurice a été le premier à arriver sur la scène du dernier crime. Il a trouvé
dans la main gauche du mort un morceau de feuille qui, selon Marie, appartenait à un
parchemin sacré écrit par les mains de Judas.
Pendant qu’ils interrogeaient tous à Notre Dame de Paris ils ont trouvé un souterrain
qui lesi a conduits à un grand salon. Dans le salon ils voient plusieurs tombes et sur
ces tombes là, Marie a trouvé le parchemin.
En suivant les pistes laissées par l’assassin, ils ont décidé d’ interroger tout le
monde à Notre Dame de Paris et pendant cette ênquete ils ont trouvé un souterrain qui
les a conduits à un grand salon plein de corps et de squelettes. Dans le salon ils
voient aussi plusieurs tombes et sur ces tombes Marie a trouvé le mystérieux
parchemin. impulsée par sa curiosité elle lit le parchemin qui avait à la dernière ligne
une inscription non finie: “ Tout commencement a une fin, la mort est l...”
Tout à coup le salon a commencé à se remplir d’eau. Jacques et Maurice ont essayé
de sortir, mais Marie n’a rien fait pour se sauver et est morte noyée.
Tout à coup le salon a commencé à se remplir d’eau. Jacques et Maurice,
désespérés, ont essayé de réussir à sortir de “la chambre des morts”, mais Marie,
étourdie, avec le parchemin entre ses mains et avec les yeux fixes regardant “le
ciel”n’a rien fait pour se sauver et est morte noyée.
Jacques et Maurice réussirent à sortir du salon et on peut penser que Marie a préféré
mourir. Le prêtre n’a jamais vu une autre fois et le parchemin n’a jamais été trouvé à
nouveau.
À la fin de cette intrigante histoire l’on ne sait que: Jacques et Maurice ont
réussi à sortir du salon et il y a quelqu’un qui dit que Marie a vu Dieu et que c’est à
cause cela qu’elle a préféré mourir ... et le prêtre ...le prêtre aussi comme le parchemin
n’a jamais été vu une autre fois.
5. Une amie vraiment spéciale
Trame:
J’écris sur une femme.
Cette femme est ma meilleure amie.
Elle a quinze ans.
Elle est courageuse, sensible, patiente.
Elle est très sympathique et sincère.
Elle a le coeur le meilleur du monde.
Elle adore les choses simples de la vie.
Elle a un grand rêve.
Elle veut être ambassadrice.
Elle veut en finir avec la faim, la pauvreté et la discrimination.
La famille est le plus important pour elle.
Son nom reflète sa personnalité.
Réélaboration 1:
J’écris sur une femme.
Cette femme est ma meilleure amie.
Elle a quinze ans.
J’écrirai sur une jeune fille brune aux yeux bleus et qui a les cheveux longs. Cette fille
de quinze ans s’appelle Sophie et c’est ma meilleure amie.
Elle est courageuse, sensible, patiente.
Elle est très sympathique et sincère.
Elle a le coeur le meilleur du monde.
Sophie est très courageuse, sensible et patiente, toujours en combat pour les
causes humanitaires. Elle réussit tout ce qu’elle veut avec sa patience et sa
persévérance.
Elle conquiert l’estime de tous avec sa sympathie et sa sincérité.
Elle a un grand coeur, très bon et humble. Les gens disent qu’elle a le coeur le
meilleur du monde.
Elle veut en finir avec la faim, la pauvreté et la discrimination.
Elle adore les choses simples de la vie.
Elle a un grand rêve.
Elle veut être ambassadrice.
Sophie est politisée et très humaine; elle lutte contre la faim, la pauvreté et la
discrimination.
Sophie adore les choses simples de la vie comme, par exemple, la compagnie
de ses amis, le coucher du soleil, etc.
Elle a de grands rêves: être l’ambassadrice du Brésil en Afrique ou dans un
pays d’Asie.
La famille est le plus important pour elle.
Son nom reflète sa personnalité.
Mais encore plus important que son rêve est sa lutte pour la justice sociale et
sa famille.
Selon Sophie, son père, sa mère et ses deux frères sont sa raison de vivre, ils
sont les fondements de sa personnalité.
Bref, cette jeune fille peut être un exemple à suivre: la bonté, le courage et
toutes les autres qualités que j’ai décrites constituent la personnalité de ma meilleure
amie.
Ce n’est pas par hasard qu’elle a ce prénom: Sophie vient du grec sophos et
signifie sagesse.
Réélaboration 2:
J’écrirai sur une jeune fille brune aux yeux bleus et qui a les cheveux longs. Cette fille
de quinze ans s’appelle Sophie et c’est ma meilleure amie.
J’écrirai sur une jeune fille brune aux yeux bleus et qui a les cheveux longs,
mais le plus important dans cette description c’est qu’elle a une personnalité très forte
et intéressante.
Cette fille de quinze ans s’appelle Sophie et c’est ma meilleure amie.
Sophie est très courageuse, sensible et patiente, toujours en combat pour les causes
humanitaires. Elle réussit à tout ce qu’elle veut avec sa patience et sa persévérance.
Elle conquiert l’estime de tous avec sa sympathie et sa sincérité. Elle a un grand coeur,
très bon et humble. Les gens disent qu’elle a le coeur le meilleur du monde.
Sophie est très courageuse, sensible et patiente, toujours en combat pour les
causes humanitaires. Elle réussit à tout ce qu’elle veut avec sa patience et sa
persévérance. Grâce à sa sympathie, sa sincérité et son grand coeur – on dit le
meilleur et humble du monde - elle conquiert l’estime de tous.
Sophie est politisée et très humaine; elle lutte contre la faim, la pauvreté et la
discrimination.
Sophie adore les choses simples de la vie comme, par exemple, la compagnie de ses
amis, le coucher du soleil, etc.
Elle a de grands rêves: être l’ambassadrice du Brésil en Afrique ou dans un pays
dl’Asie.
Cette amie à moi, politisée et très humaine, qui lutte contre la faim, la pauvreté
et la discrimination, a de grands rêves pour sa vie: elle veut être l’ambassadrice du
Brésil en Afrique ou dans un pays d’Asie. Mais, outre ses rêves, elle adore les choses
simples de la vie comme la compagnie de ses amis, le coucher du soleil, etc.
Mais encore plus important que son rêve est sa lutte pour la justice sociale et sa
famille.
Selon Sophie, son père, sa mère et ses deux frères sont sa raison de vivre, ils sont les
fondements de sa personnalité.
Bref, cette jeune fille peut être un exemple à suivre: la bonté, le courage et toutes les
autres qualités que j’ai décrites constituent la personnalité de ma meilleure amie.
Ce n’est pas par hasard qu’elle a ce prénom: Sophie vient du grec sophos et signifie
sagesse.
Mais encore plus important que ses rêves est sa lutte pour la justice sociale,
son père, sa mère et ses deux frères qui, selon elle, sont les fondations de sa
personnalité. Je crois que ce n’est pas par hasard que ses parents lui ont donné ce
prénom, parce que Sophie vient du grec sophos et signifie sagesse.
Bref, cette jeune fille peut être un exemple à suivre, parce que la bonté, le
courage et toutes les autres qualités que j’ai décrites et qui constituent la personnalité
de ma meilleure amie peuvent faire en sorte que le monde abandonne la fausse route
qu’il insiste à suivre.
6. Une question d’habitude
Trame:
Un grand-père raconte à sa petite-fille ce qu’il mangeait quand il avait
son âge.
Au petit-déjeuner, il prenait du lait, des fruits et du café.
Elle, elle mange du yaourt et des céréales.
Au déjeuner, il mangeait du riz, des haricots, de la viande et de la
salade.
Pour boire, il n’y avait que de l’eau et du jus de fruits.
Elle mange des pommes allumettes, des hamburgers et, pour boire, il y
a des rafraîchissements.
Pour le grand-père, le dessert était un fruit.
Pour la petite-fille, le dessert est le chocolat et les gâteaux
industrialisés.
Au dîner: le même menu qu’au déjeuner ou que la soupe.
Pour elle: pizza, hamburger, rafraîchissement, etc.
Le grand-père met en valeur une bonne alimentation.
C’est l’heure du déjeuner.
La petite-fille demande de la salade à sa mère.
Réélaboration 1:
Un grand-père raconte à sa petite-fille ce qu’il mangeait quand il avait son âge.
Avant le dîner, le grand-père de Marie décide de lui raconter comment étaient
les habitudes alimentaires des Brésiliens quand il avait le même âge que Marie.
Au petit-déjeuner, il prenait du lait, des fruits et du café.
Elle mange du yaourt et des céréales.
Il lui dit qu’il se levait plus tôt et au petit-déjeuner il prenait du lait, des fruits, du
café et du pain.
Elle lui dit que, de nos jours, toutes les jeunes filles et les jeunes garçons
mangent du yaourt et des céréales parce que ces nourritures ont des fibres
alimentaires et des vitamines.
Au déjeuner, il mangeait du riz, des haricots, de la viande et de la salade.
Pour boire, il n’y avait que de l’eau et du jus de fruits.
Elle mange des pommes allumettes, des hamburgers et, pour boire, il y a des
rafraîchissements.
Après le petit-déjeuner, il n’y avait que le déjeuner, où il mangeait presque
toujours du riz avec des haricots, de la viande et de la salade. Pour boire, il n’y avait
que de l’eau et du jus de fruits.
Marie, par contre, lui dit que la meilleure nourriture pour le déjeuner ce sont des
pommes allumettes avec des hamburgers et, comme boisson, elle préfère les
rafraîchissements.
Pour le grand-père, le dessert était un fruit.
Pour la petite-fille, le dessert est le chocolat et les gâteaux industrialisés.
Le grand-père lui raconte que dans sa jeunesse il n’y avait pas beaucoup de
gâteaux et qu’il mangeait des fruits après les repas.
La petite-fille dit qu’elle ne peut pas vivre sans le chocolat et les gâteaux
industrialisés.
Au dîner: le même menu qu’au déjeuner ou de la soupe.
Pour elle: pizza, hamburger, rafraîchissement, etc.
Le dernier repas pour le grand-père était le dîner, pendant lequel il mangeait le
même menu qu’au déjeuner ou de la soupe.
Pour Marie, les plats du dîner sont des plats rapides comme la pizza, le
hamburger, etc, toujours arrosé aux rafraîchissements.
Le grand-père met en valeur une bonne alimentation.
C’est l’heure du déjeuner.
La petite-fille demande de la salade à sa mère.
Le grand-père dit à Marie qu’une longue et saine vie est la conséquence d’une
bonne alimentation.
La mère de Marie les appelle à déjeuner.
À table, Marie réfléchit et soudain surprend tout le monde: “Maman, aujourd’hui
je veux manger de la salade!”
Réélaboration 2:
Avant le dîner, le grand-père de Marie décide de lui raconter comment étaient les
habitudes alimentaires des Brésiliens quand il avait le même âge que Marie.
Un jour avant le dîner, Marie est dans le salon à bavarder avec son grand-père
lorsqu’il décide de lui raconter comment étaient les habitudes alimentaires des
Brésiliens quand il avait son âge.
Il lui dit qu’il se levait plus tôt et qu’au petit-déjeuner il prenait du lait, des fruits, du café
et du pain.
Elle lui dit que, de nos jours, toutes les jeunes filles et les jeunes garçons mangent du
yaourt et des céréales parce que ces nourritures ont des fibres et des vitamines.
Il lui dit qu’à son époque les gens se levaient plus tôt et au petit déjeuner, ils
prenaient, en général, du lait, des fruits, du café et du pain, mais Marie lui dit que, de
nos jours, on mange du yaourt et des céréales parce que ces nourritures ont des fibres
et des vitamines.
Après le petit-déjeuner, il n’y avait que le déjeuner, où il mangeait presque toujours du
riz avec des haricots, de la viande et de la salade. Pour boire, il n’y avait que de l’eau
et du jus de fruits.
Marie, par contre, lui dit que la meilleure nourriture pour le déjeuner ce sont des
pommes allumettes avec des hamburgers et, comme boisson, elle préfère les
rafraîchissements.
Pour le grand-père, le dessert était un fruit.
Pour la petite-fille, le dessert est le chocolat et les gâteaux industrialisés.
Après le petit-déjeuner, le grand-père raconte qu’il fallait attendre l’heure du
déjeuner, donc le déjeuner était normalement très renforcé parce qu’ils ne mangeaient
rien entre les principaux repas. Ainsi, au déjeuner, ils mangeaient presque toujours du
riz avec des haricots, de la viande, de la salade. Pour boire, ils n’avaient que de l’eau
ou du jus de fruits et, après les repas, il mangeait souvent un fruit, en général, une
orange.
Par contre, Marie croit que la meilleure nourriture pour le déjeuner ce sont des
pommes allumettes avec des hamburgers; comme boisson, elle préfère les
rafraîchissements et, comme dessert elle croit qu’elle ne peut pas vivre sans les
chocolats et les gâteaux.
Le dernier repas pour le grand-père était le dîner, pendant lequel il mangeait le même
menu qu’au déjeuner ou de la soupe.
Pour Marie, les plats du dîner sont des plats rapides comme la pizza, le hamburger, les
rafraîchissements, etc.
Autrefois, pendant le dernier repas, c’est-à-dire le dîner, ils mangeaient le
même menu qu’au déjeuner ou bien de la soupe, ce qui est très différent d’aujourd´hui,
puisque Marie prend des plats rapides comme la pizza, le hamburger, etc, toujours
arrosés aux rafraîchissements.
Le grand-père dit à Marie qu’une longue et saine vie est la conséquence d’une bonne
alimentation.
La mère de Marie les appelle à déjeuner.
À table, Marie réfléchit et soudain surprend tout le monde: “Maman, aujourd’hui je veux
manger de la salade!”
Le grand-père dit finalement à la petite-fille qu’une longue et saine vie est la
conséquence d’une bonne alimentation.
Alors, c’est l’heure du déjeuner et la mère de Marie les appelle pour manger.
Losqu’ils sont tous à table, Marie, d’un air pensif, surprend soudain tout le
monde et dit: “Maman, aujourd’hui je veux manger de la salade!” Pour la joie de son
grand-père...
7. Une histoire d’amour
Trame:
Une jeune fille, sa soeur et ses amies vont à un bar.
La jeune fille s’intéresse à un jeune homme.
La soeur de la jeune fille est amie du jeune homme.
Elle le lui présente.
Ils discutent longtemps.
Ils tombent amoureux.
La famille du jeune homme lui interdit de rencontrer la jeune fille.
Ils s’enfuient.
Ils se marient.
Le mariage a été merveilleux.
Ils sont heureux.
Réélaboration 1:
Une jeune fille, sa soeur et ses amies vont à un bar.
La jeune fille s’intéresse à un jeune homme.
Julie, une belle femme brune aux yeux verts, va au Bar du Village avec sa
soeur Anne et ses amies.
Là, elle voit un jeune homme très beau. Il est blond aux yeux châtains.
Elle dit à sa soeur qu’il l’intéresse beaucoup.
La soeur de la jeune fille est amie du jeune homme.
Elle le lui présente.
Anne dit à Julie qu’elle le connaît et que son nom est Jean.
Anne et Julie s’approchent de lui et le saluent.
Alors Anne présente Jean à Julie.
Ils discutent longtemps.
Ils tombent amoureux.
Anne laisse Julie et Jean seuls pour qu’ils se connaissent mieux.
Ils discutent sur plusieurs sujets, rient et s’amusent beaucoup.
Le temps passe et ils restent ensemble.
A la fin de la soirée ils tombent amoureux l’un de l’autre.
Ils décident de se rencontrer encore.
La famille de la jeune fille ne l’autorise pas à rencontrer le jeune homme.
Mais la famille de Julie n’est pas d’accord avec leurs rencontres, parce qu’elle
est juive et lui catholique. Alors ses parents ne l’autorisent pas à rencontrer Jean.
Ils s’enfuient.
Leur amour cependant est très fort.
Ils ne peuvent plus vivre séparés.
Ils décident de s’enfuir pour vivre cette grande passion.
Ils s’enfuient pour un autre pays.
Ils se marient.
Le mariage a été merveilleux.
Ils sont heureux.
Dans l’autre pays ils trouvent une nouvelle religion.
Le chef religieux célèbre le mariage.
Elle portait une robe blanche et rose et dans ses cheveux il y avait de petites
fleurs.
Il était en chemise et pantalon blancs et avait aussi un collier de fleurs jeunes.
Le mariage a été sur une plage.
Ainsi, ils ont vécu heureux.
Réélaboration 2:
Julie, une belle femme brune aux yeux verts, va au Bar du Village avec sa soeur Anne
et ses amies.
Là, elle voit un jeune homme très beau. Il est blond aux yeux châtains.
Elle dit à sa soeur qu’il l’intéresse beaucoup.
Julie, une belle femme brune aux yeux verts va au Bar du Village, le plus
fameux bar de sa ville, avec sa soeur Anne et ses deux amies de la faculté.
Là, elle voit un jeune homme très beau qui l’enchante. Le jeune homme, blond
aux yeux châtains, a un sourire vraiment très charmant. Donc, elle dit à sa soeur qu’il
l’intéresse beaucoup.
Anne dit à Julie qu’elle le connaît et que son nom est Jean.
Anne et Julie s’approchent de lui et le saluent.
Alors Anne présente Jean à Julie.
Anne dit à Julie qu’il s’appelle Jean; elle le connaît, puisqu’ils ont fréquenté la
même classe à la faculté.
Anne et Julie s’approchent de lui et le saluent câlinement. Jean reconnaît Anne
qui en profite pour lui présenter Julie.
Anne laisse Julie et Jean seuls pour qu’ils se connaissent mieux.
Ils discutent sur plusieurs sujets, rient et s’amusent beaucoup.
Le temps passe et ils restent ensemble.
Á la fin de la soirée ils tombent amoureux l’un de l’autre.
Ils décident de se rencontrer encore.
Anne invente une excuse et laisse Julie et Jean seuls pour qu’ils puissent se
connaître mieux. Ils discutent longtemps et sur plusieurs sujets ; ils rient et s’amusent,
sans faire attention au temps qui passe vite.
A la fin de la soirée ils s’aperçoivent qu’ils sont tombés amoureux, donc ils
décident de se rencontrer le lendemain, le surlendemain...
Mais la famille de Julie n’est pas d’accord avec leurs rencontres, parce qu’elle est juive
et lui catholique. Alors ses parents ne l’autorisent pas à rencontrer Jean.
Mais la famille de Julie n’était pas d’accord avec leurs rencontres, parce que
Julie était juive alors que Jean appartenait à une famille catholique. Cette différence
religieuse a été suffisante pour que ses parents lui interdisent de rencontrer Jean.
Leur amour cependant est très fort.
Ils ne peuvent plus vivre séparés.
Ils décident de s’enfuir pour vivre cette grande passion.
Ils s’enfuient pour un autre pays.
Toutefois leur amour était plus fort que la différence de religions et ils ne
pourraient jamais vivre séparés.
Face à cette imposition du destin, ils décident de s’enfuir pour vivre cette
grande passion.
Ils partent alors pour un autre pays, très loin, où ils ne seront jamais séparés.
Dans l’autre pays ils trouvent une nouvelle religion.
Le chef religieux célèbre le mariage.
Elle portait une robe blanche et rose et dans ses cheveux il y avait de petites
fleurs.
Il était en chemise et pantalon blancs et avait aussi un collier de fleurs jeunes.
Le mariage a été sur une plage.
Ainsi, ils ont vécu heureux.
Dans l’autre pays, loin de tout ce qu’ils ont laissé au passé, ils trouvent une
nouvelle religion.
Leur nouveau chef religieux célèbre leur mariage selon les traditions de cette
nouvelle croyance de Julie et Jean. Le mariage a été merveilleux. Elle était habillée en
robe blanche et rose et dans ses cheveux il y avait de petites fleurs blanches ; lui, en
chemise et pantalon tout blancs et portant un collier de fleurs jeunes, était magnifique.
Ce mariage a eu lieu sur une belle plage de Hawaii.
Ainsi, ils ont vécu leur vie, heureux et unis.
8. L’ accident
Trame:
Il y a eu un accident.
L’accident est arrivé en fin d’après-midi.
La voiture était une Citroën 2003.
Le conducteur de la voiture a perdu le contrôle de la direction.
La voiture a envahi la piste contraire.
Le conducteur a essayé de freiner.
La voiture s’est renversée.
Elle s’est écroulée dans une pente.
Elle a continué à rouler sur elle-même.
Un arbre a stoppé la voiture folle.
Le conducteur n’a pas souffert.
Il a perdu sa voiture.
Réélaboration 1:
Il y a eu un accident.
L’accident est arrivé en fin d’après-midi.
La voiture était une Citroën 2003.
Le 24 juillet 2006, en fin d’après-midi, vers dix-huit heures, il est arrivé un
accident avec une Citroën 2003, au kilomètre 10 de la route Assis Chateaubriand, sens
nord-sud.
Le conducteur était ivre.
Le conducteur de la voiture a perdu le contrôle de la direction.
La voiture a envahi la piste contraire.
Parce qu’il était ivre, le conducteur de la Citroën a perdu le contrôle de la
direction de sa voiture et a envahi la piste au sens contraire.
Il a essayé de freiner, mais sa voiture n’a pas stoppé et s’est renversée jusqu’à une
pente d’où elle s’est écroulée.
Elle a continué à rouler sur elle-même.
Un arbre a stoppé la voiture folle.
Bien qu’il ait essayé de freiner, la voiture tout à fait folle s’est renversée et s’est
écroulée dans la pente et a continué à rouler sur elle-même, jusqu’au moment où un
grand arbre l’a stoppée.
Le conducteur n’a pas souffert.
Il a perdu sa voiture.
Malheureusement le conducteur a perdu sa voiture toute entière, mais
heureusement il n’a pas souffert.
Réélaboration 2:
Le 24 juillet 2006, fin d’après-midi, vers dix-huit heures, il est arrivé un accident avec
une Citroën 2003, au kilomètre 10 de la route Assis Chateaubriand, sens nord-sud.
Le 24 juillet 2006, fin d’après-midi, vers dix-huit heures, il est arrivé un terrible
accident avec une Citroën 2003, dans la région de Rio Preto, au kilomètre 10 de la
route Assis Chateaubriand, sens nord-sud.
Parce qu’il était ivre, le conducteur de la Citroën a perdu le contrôle de la direction de
sa voiture et a envahi la piste au sens contraire.
Parce qu’il était ivre, le conducteur de la Citroën, Marcos Rochelle, a perdu le
contrôle de la direction de sa voiture et a envahi, à grande vitesse, la piste au sens
contraire.
Bien qu’il ait essayé de freiner, la voiture tout à fait folle s’est renversée et s’est
écroulée dans la pente et a continué à rouler sur elle-même, jusqu’au moment où un
grand arbre l’a stoppée.
Bien qu’il ait essayé de freiner fortement, la voiture tout à fait folle s’est
renversée et s’est écroulée dans la pente et a encore roulé sur elle-même au minimum
deux fois, jusqu’au moment où un grand arbre l’a stoppée.
Malheureusement le conducteur a perdu sa voiture toute entière, mais heureusement il
n’a pas souffert.
Malheureusement le conducteur a perdu sa voiture toute entière, mais
heureusement il peut remercier Dieu puisqu’il n’a pas du tout souffert, aucune
excoriation.
II. Productions à une réélaboration
1. Résumé du livre La fugue de Bach, de Susanna Longo et Régine Boutégège
Une danseuse est accusée d’avoir assassiné sa rivale.
Elle passe la nuit en prison.
Son avocat arrive et elle décide de faire sa déclaration.
Le commissaire cherche qui possédait une Bugatti rouge, qui selon la
déclaration de la danseuse, est le coupable.
Le possible assassin persécute le commissaire avec «La Fugue de
Bach».
Le commissaire rend visite à l’avocat de la danseuse.
La danseuse, son avocat et son amant semblaient coupables.
L’amant de la danseuse a une crise d’asthme et est assassiné à
l’hôpital.
Sur la scène du crime, le commissaire trouve une cigarette qu’il avait
déjà vue.
La danseuse confesse comment sa rivale est morte.
Trame:
Réélaboration:
Une danseuse est accusée d’avoir assassiné sa rivale.
Julienne, une jeune danseuse étoile, est accusée d’avoir assassiné Irène, sa
rivale dans le milieu artistique et dans l’amour.
Elle passe la nuit en prison.
Son avocat arrive et elle décide de faire sa déclaration.
Après une formidable réussite sur les scènes, étonnamment elle passe la nuit
en prison. Alors elle appelle son avocat, Maître Schneider, et décide de faire sa
déclaration.
Le commissaire cherche qui possédait une Bugatti rouge, qui selon la déclaration de la
danseuse, est le coupable.
Elle raconte qu’elle a vu une Bugatti rouge devant la maison d’Irène quand elle
sortait du théâtre. Le commissaire Morand cherche sur Genève qui possédait une
voiture pareille et il n’y avait que deux propriétaires : Maître Schneider et Boris, l’avocat
et l’amant de Julienne.
Le possible assassin persécute le commissaire avec «La Fugue du Bach».
Le possible assassin persécute le commissaire Morant avec « La Fugue de
Bach ». Il l’appelle pendant sa journée de travail ou la nuit et faisait en sorte qu’il
écoute cette musique.
Le commissaire rend visite à l’avocat de la danseuse.
Surpris de sa découverte, le commissaire décide de rendre visite à l’avocat de
Julienne pour savoir s’il était avec Irène le jour du crime, mais il était à Milan avec sa
Bugatti.
La danseuse, son avocat et son amant semblaient coupables.
Morant soupçonnait fortement Julienne, parce qu’elle était avec Irène le jour du
crime ; et son avocat aussi puisque chez lui, il a écouté la musique de l’assassin et
encore Boris qui avait l’autre Bugatti rouge dans la ville. Les trois lui semblaient
coupables.
L’amant de la danseuse a une crise d’asthme et est assassiné à l’hôpital.
Morant cherche Boris, l’amant de Julienne, mais il a eu une crise d’asthme et
a été amené dans le coma à l’hôpital où il est assassiné.
Sur la scène du crime, le commissaire trouve une cigarette qu’il avait déjà vue.
Le commissaire va à l’hôpital pour voir la chambre de l’assassiné et il trouve le
mégot d’une cigarette chic et douceâtre qu’il avait déjà vue chez Schneider.
La danseuse confesse comment sa rivale est morte.
Julienne découvre que son amant est mort. Elle pleure et décide de raconter
tout ce qui s’était vraiment passé. Elle se disputait avec Irène quand celle-ci est
tombée et s’est frappée à la tête. Alors elle est morte par accident.
Après Irène a demandé de l’aide à son avocat, fort amoureux d’elle, qui est
devenu son complice. Ils ont cherché un faux suspect, qui a été Boris, son amant, mais
Schneider l’a tué par jalousie.
2. Résumé du film Astérix et Obélix : mission Cléopâtre
Trame:
Cléopâtre veut prouver à César que les Egyptiens sont supérieurs aux
Romains.
Elle lui lance un défi : elle doit faire construire un palais en trois mois.
La reine convoque un architecte et s’il n’y réussit pas, il meurt.
L’architecte cherche de l’aide.
Un druide lui offre une potion magique.
Les serveurs de César tentent de ruiner la construction du palais.
L’architecte finit la construction du palais en trois mois.
César admet que les Egyptiens sont supérieurs aux Romains.
Réélaboration:
Cléopâtre veut prouver à César que les Egyptiens sont supérieurs aux Romains.
Cléopâtre, la reine d’Égypte, veut prouver à César, l’empereur romain, que
les Egyptiens sont encore supérieurs aux Romains.
Elle lui lance un défi : elle doit faire construire un palais en trois mois.
Alors, elle lui lance un défi : elle doit faire construire un grand palais pour
César, en trois mois. Si elle ne réussit pas, elle admettra que les Romains sont
supérieurs.
La reine convoque un architecte et s’il ne réussit pas, il meurt.
La reine convoque Numérobis, un architecte gaulois, pour construire le palais
et elle l’avertit : s’il fait ce qu’elle veut, elle le couvrira d’or ou le jettera aux crocodiles
s’il n’y réussit pas.
L’architecte cherche de l’aide.
Désespéré, Numérobis part en Gaule pour chercher un druide, Panoramix.
Numérobis croit que le druide peut l’aider. Mais, chemin faisant, il trouve aussi Astérix
et Obélix, qui l’aident beaucoup.
Un druide lui offre une potion magique.
Panoramix lui offre une potion magique qui donne une force surhumaine au
consommateur. Cette potion peut résoudre tous ses problèmes.
Les serveurs de César tentent de ruiner la construction du palais.
Mais César et l’envieux architecte de la reine, Timetamon, font tout ce qu’ils
peuvent pour nuire à Numérobis.
L’architecte finit la construction du palais en trois mois.
Malgré les tentatives de ruiner la construction du palais, avec l’aide d’Astérix,
Obélix et Panoramix, Numérobis finit la construction du palais en trois mois et
Cléopâtre le couvre d’or.
César admet que les Egyptiens sont supérieurs aux Romains.
Et ainsi, César est obligé d’admettre que les Egyptiens sont supérieurs aux
Romains.
3. Prémonition? (d’après le livre La momie du Louvre, de Susanna Longo et Régine
Boutégège)
Trame:
Une fille raconte dans son journal intime un terrible cauchemar.
Sa voisine est presque renversée par une voiture.
La Mort vient parler avec elle et lui propose un pacte.
Elles doivent entrer dans un cimetière mais elles ne réussissent pas et
quand elles arrivent chez elles, les deux maisons sont en feu.
Sa mère subit une appendicite.
À l’hôpital, elles concluent que ce n’est qu’une coïncidence.
Réélaboration:
Une fille raconte dans son journal intime un terrible cauchemar.
Une jeune fille appelée Anne décide de commencer son journal intime et pour
sa première histoire, elle raconte un terrible cauchemar, où tous les gens qu’elle aime
meurent.
Sa voisine est presque renversée par une voiture.
Le lendemain sa voisine et meilleure amie, Jeanne, est presque renversée
par une voiture. Anne désespère quand elle pense que son cauchemar peut être vrai,
comme une prémonition.
La Mort vient parler avec elle et lui propose un pacte.
Pendant la nuit, la jeune entend des bruits et une vision irréelle parle avec
elle : c’est la Mort en personne qui lui propose un pacte pour qu’elle continue à vivre.
Elles doivent entrer dans un cimetière mais elles ne réussissent pas et quand elles
arrivent chez elles, les deux maisons sont en feu.
Elle et sa copine doivent entrer dans le vieux cimetière de la ville, mais très
peureuses, elles ne réussissent pas. Alors elles décident de rentrer et quand elles
arrivent chez elles, les deux maisons explosent.
Sa mère subit une appendicite.
Deux jours plus tard, la mère d’Anne est amenée à l’hôpital pour une
appendicite et il faut l’opérer tout de suite.
À l’hôpital, elles concluent que ce n’est qu’une coïncidence.
À l’hôpital elles ont su que l’explosion a été dûe au gaz et arrivent à la
conclusion que le cauchemar d’Anne et toutes les mauvaises choses des derniers
jours ne sont que des coïncidences et qu’il n’y a aucune prémonition.
4. Le mensonge (d’après Pinocchio, roman de Colladi)
Trame:
Un jeune homme aimait mentir.
Il trompait tout le monde.
Personne ne le croyait plus.
Un jour il n’a pas menti.
Réélaboration :
Un jeune homme aimait mentir.
Philippe, un beau rigolo de 18 ans, avait l’habitude de mentir, mais il n’était pas
forcément méchant. Il s’amusait à voir ses frères, ses amis, ses professeurs tournés en
ridicule.
Il trompait tout le monde.
Quand on découvrait qu‘il avait menti encore une fois, tous étaient bien
désolés, déçus, mais lui, il se moquait de n’importe qui.
Pendant les vacances d’été de sa première année de faculté, il est parti à la
plage avec un groupe d’amis: Sébastien, Marc et Louis.
L’une de ses continuelles plaisanteries de mauvais goût, était de crier “au
secours! un requin!!” quand il allait en mer.
La première fois, ses amis s’empressaient à l’aider: moquerie totale!
Personne ne le croyait plus.
La deuxième fois, seul Marc a pensé que ce serait peut-être vrai. Mais aucun
requin, beaucoup de rires.
La troisième fois, cependant, personne de la fréquentée plage méditerranéenne
ne s’est même pas approché de Philippe. On l’a simplement ignoré.
Un jour il n’a pas menti.
Une demi heure après, ses amis ont remarqué qu’il ne criait plus rien ni était
sorti de la mer, une mer froide et agitée. Alors Sébastien a décidé de le chercher, mais
n’a trouvé que sa planche de surf rejetée sur le sable, toute tachée de sang.
Incroyablement, personne ne l’a plus jamais vu.
5. Mon voisin M. Jubert
Trame:
J’ai un voisin sympa mais timide, que je vois toujours.
Il a ses manies.
Il a un chien et un chat.
Il travaille à la poste et est solitaire.
On ne peut pas dire qu’on le connaît vraiment.
Réélaboration :
J’ai un voisin sympa mais timide, que je vois toujours.
M. Jubert est mon voisin. Il vit dans un petit appartement à une chambre et un
petit balcon. Tous les matins quand je sors pour aller à l’école, je peux voir sa figure
maigre et son grand nez regarder le mouvement de la rue.
Il a ses manies.
M. Jubert porte un chapeau différent pour chaque jour de la semaine, qui doit
aller bien avec la cravate: chaque couleur représente un jour.
Dans la rue il marche vite en regardant ses pieds. Il porte toujours des
vêtements propres et bien repassés.
Il a un chien et un chat.
Ses deux meilleurs amis, son chien et son chat, se disputent toujours quand il
arrive l’après-midi. Mais ce que M. Jubert ne sait pas, c’est que quand il n’est pas chez
lui ils sont de grands amis aussi.
Il travaille à la poste et est solitaire.
Mon voisin travaille à la la poste, à cause de cela on n’a pas besoin d’attendre
que les lettres arrivent chez nous, il nous les porte lui-même. M. Jubert ne s’est jamais
marié, il aimerait bien avoir un enfant, mais on raconte qu’il a aimé une femme qui s’est
mariée avec un ami très proche; après cela il n’est plus tombé amoureux de personne.
M. Jubert ne sort de chez lui que pour travailler et pour faire des courses. Il est
sympa et gentil avec les voisins, mais il n’a jamais fait d’ amitiés très intimes.
On ne peut pas dire qu’on le connaît vraiment.
On ne sait s’il a de lafamille ou des amis outre ses deux animaux. Enfin, on ne
sait sur M. Jubert que ce qu’il montre.
6. La blonde des toilettes
Trame:
J’avais peur d’aller aux toilettes de l’école toute seule.
Tout le monde allait aux toilettes en groupe.
Toute cette histoire à cause d’une blonde qui était morte dans les
toilettes d’une école.
Tous disaient que tirer la chasse d’eau trois fois consécutives la faisait
apparaître, comme si elle ressuscitait.
Dans l’enfance on a beaucoup de curiosité par rapport à ce qui est
interdit et on veut tester les histoires.
En même temps on a une peur incontrôlable de découvrir que tout était
vrai.
Je me demande qui a eu tant d’imagination pour inventer cette légende.
Réélaboration:
J’avais peur d’aller aux toilettes à l’école toute seule.
Tout le monde allait aux toilettes en groupe.
Quand j’étais petite, j’avais peur d’aller aux toilettes de l’école toute seule. Tout
le monde allait aux toilettes en groupe et pendant qu’une était là dedans, les autres
surveillaient la porte. Un vrai film policier.
Toute cette histoire à cause d’une blonde qui était morte dans les toilettes d’une école.
Tous disaient que tirer la chasse d’eau trois fois consécutives la faisait apparaître,
comme si elle ressuscitait.
Toute cette histoire à cause de ce qu’on raconte sur une blonde qui était
autrefois morte dans les toilettes d’une école. Personne ne savait la raison de la mort,
mais tous disaient que tirer la chasse d’eau trois fois consécutives la faisait apparaître,
comme si elle ressuscitait.
Dans l’enfance on a beaucoup de curiosité par rapport à ce qui est interdit et on veut
tester les histoires.
On ne savait point si cette blonde avait vraiment existé, mais on croyait à cette
légende sans aucun doute. Le problème c’est que dans l’enfance on a beaucoup de
curiosité par rapport à ce qui est interdit et on veut tester les histoires.
En même temps on a une peur incontrôlable de découvrir que tout était vrai.
Cependant, en même temps qu’on veut tester la véracité des faits, on a une
peur incontrôlable de découvrir que tout était vrai. Ce sentiment conflictuel m’a
empêché de tirer la chasse d’eau plus de deux foisconsécutives et d’aller aux toilettes
seule parce que j’imaginais tous les jours une femme blonde comme dans un film
d’horreur.
Je me demande qui a eu autant d’imagination pour inventer cette légende.
Aujourd’hui je pense à cette légende et je me demande qui a eu autant
d’imagination pour l’inventer. C’est drôle!
7. Dimanche en famille
Trame:
Le dimanche dernier a été un jour de fête chez moi.
Plusieurs parents sont arrivés et on a décidé de faire un barbecue
autour de la piscine.
Mon père et mon oncle sont sortis pour acheter les choses, nous autres
sommes restés à préparer le repas.
On a aussi invité un autre oncle et mes deux petites cousines et ils sont
venus.
Les hommes bavardaient.
Les femmes prenaient le soleil et lisaient des magazines.
Les enfants jouaient dans la piscine et aussi avec ma chienne Kyra.
On riait, on chantait, on nageait.
Il est dommage qu’on n’a qu’un dimanche par semaine.
Réélaboration:
Le dimanche dernier a été un jour de fête chez moi.
Déjeuner en famille, barbecue avec les amis: tout cela est mieux le dimanche.
Le dimanche est un jour de repos, pour bavarder beaucoup, pour regarder la télé. Le
dimanche dernier a été un jour de fête chez moi.
Plusieurs parents sont arrivés et on a décidé de faire un barbecue autour de la piscine.
Le matin le ciel était tout bleu et le soleil brillait très fort. Plusieurs parents d’une
autre ville sont arrivés chez moi et on a décidé de faire un barbecue et de rester à la
piscine.
Mon père et mon oncle sont sortis pour acheter les choses, nous autres sommes
restés à préparer le repas.
Pendant que mon père et mon oncle sont sortis pour acheter la viande et les
boissons, ma mère, ma tante, mes cousins et moi sommes restés pour préparer la
nourriture.
On a aussi invité un autre oncle et mes deux petites cousines et ils sont venus.
On a aussi invité un autre oncle avec mes deux petites cousines à déjeuner
avec nous. Ils habitent très loin mais eux-aussi sont venus.
Les hommes bavardaient.
En préparant le barbecue, les hommes bavardaient. On parlait de voitures et
on discutait surtout de sport.
Les femmes prenaient le soleil et lisaient des magazines.
Les femmes prenaient le soleil – elles aiment bronzer - et lisaient des
magazines légers, avec des nouvelles de leurs artistes préférés.
Les enfants jouaient dans la piscine et aussi avec ma chienne Kyra.
Les enfants jouaient dans la piscine. Ils adorent plonger. En même temps ils
jouaient aussi avec ma chienne Kyra, une malthèse toute blanche.
On riait, on chantait, on nageait.
On riait, on chantait, on nageait. La seule préoccupation était l’amusement. On
s’est beaucoup amusé et après avoir mangé on a continué encore notre bavardage.
Il est dommage qu’on n’a qu’un dimanche par semaine.
Quand la famille est toute ensemble, il y a beaucoup à raconter et trop à
nettoyer aussi, mais c’est bon. Il est dommage qu’on n’a qu’un seul dimanche par
semaine.
8. Une cérémonie parfaite
Trame:
C’ est émouvant quand un de nos amis donne un pas important dans la
vie.
Mon amie était en train de se marier et je la trouvais encore bébé.
La cérémonie a été la plus belle que j’aie vue.
Mon amie s’était habilée comme une princesse.
Le fiancé aussi était élégant et heureux et il y avait deux petites
demoiselles d’honneur.
Le couple a été reçu à la sortie avec une pluie de riz.
Réélaboration:
C’ est émouvant quand un de nos amis donne un pas important dans la vie.
C’ est émouvant quand un de nos amis donne un pas important dans la vie.
J’étais chez moi quand j’ai reçu une invitation d’une amie que je ne voyais pas depuis
longtemps.
L’invitation n’était pas pour aller à un anniversaire ou à un barbecue, mais à un
mariage.
Mon amie était en train de se marier et je la trouvais encore bébé.
J’ai été surprise, même étonnée. Déjà? Oui, mon amie était en train de se
marier et je la trouvais encore bébé.
La cérémonie a été la plus belle que j’avais vue.
Le grand jour est arrivé et j’étais plus anxieuse que la fiancée.
Là, à l’église, la cérémonie a été la plus belle que j’avais vue. La décoration a
été faite avec des roses blanches et rouges, les couleurs de la paix et de l’amour.
Mon amie s’était habilée comme une princesse.
Mon amie s’était habillée comme une princesse, la plus jolie du monde, aux
joues de porcelaine, et on voyait dans ses yeux quelques douces larmes d’émotion et
un éclat qui illuminait toute l’église.
Le fiancé aussi était élégant et heureux et il y avait deux petites demoiselles d’honneur.
Le fiancé aussi était élégant et heureux dans son costume noir. Et il y avait
deux petites demoiselles d’honneur, en robes de velours rouge.
Le couple a été reçu à la sortie avec une pluie de riz.
Après environ trente cinq minutes, la cérémonie s’est terminée et le couple a
été reçu à la sortie avec une pluie de riz, le symbole de la fertilité. On leur a souhaité le
bonheur éternel.
En effet, ce type de cérémonie nous donne envie de nous marier aussi. Tout a
été parfait!
9. Mon paradis sur Terre
Trame:
Ma ferme est mon paradis sur Terre.
Quand j’y suis, je me sens très heureuse.
Tout le monde qui y va aime beaucoup.
Réélaboration:
Ma ferme est mon paradis sur Terre.
Mon paradis sur Terre, c’est ma petite ferme dans la ville où j’habite. Il y a
beaucoup d’arbres fruitiers, d’oiseaux qui chantent, le ciel est d´un bleu intense. Il y a
aussi des fleurs colorées, des animaux doux et beaucoup d’harmonie.
Quand j’y suis, je me sens très heureuse.
Quand je suis nerveuse et je veux me reposer ou rendre visite à mes grandsparents ou mes chiens, Mona et Noop, j’y vais et je me sens très heureuse, détendue.
Tout le monde qui y va aime beaucoup.
J’ai eu aussi l’opportunité de partager ce paradis avec mes amis les plus chers
et tout le monde qui y va sent le bonheur et la paix de la campagne.
10. Souvenirs d’un événement
Trame:
J’ai dû étudier pour l’examen d’anglais.
J’ai passé l’examen.
J’attendais les résultats.
Les résultats ont été annoncés.
Réélaboration:
J’ai dû étudier pour l’examen d’anglais.
J’avais beaucoup étudié pendant un an et demi pour l’examen international
d’anglais, importante étape pour être admis comme stagiaire dans une respectable
entreprise.
J’ai passé l’examen.
L’examen a eu lieu à l’Ecole Saint Jacques de Lyon et a duré deux jours. J’étais
preparée mais peut-être comme tous qui passaient cet examen-là.
J’attendais les résultats.
Puisqu’il était impossible de savoir si j’avais réussi ou pas, la sortie n’a été qu’attendre
le résultat, mais j’avais des papillons dans l’estomac, je tremblais comme les arbres au
vent. J’étais variment très nerveuse.
Les résultats ont été annoncés.
Quand les résultats ont été annoncés, j’ai su que j’avais réussi ce difficile examen et le
bonheur de ce jour, qui a marqué ma première grande conquête, je n’oublierai jamais.
SUGGESTIONS D’EXERCICES
Propositions de thèmes
1) Faites le portait :
- d’un professionnel (professeur, artiste, médecin, etc.) en indiquant la manière dont il
réalise son travail et comment il se comporte avec les autres.
- d’un camarade ou d’un voisin en montrant ses conduites.
- du Brésilien tel que vous le voyez, avec ses défauts et aussi ses qualités.
2) Racontez :
- une légende de votre région.
un roman que vous avez lu.
- un film que vous avez vu.
- un de vos dimanches en famille, les avantages et les petits inconvénients, l’attitude
de chaque membre de la famille.
- un voyage que vous avez fait.
- une promenade intéressante.
- les vacances de l’année précédente, vos meilleures ou vos pires vacances.
- vos souvenirs d´un événement.
- un accident qui s’est produit dans votre ville ou dans votre pays.
- un rêve merveilleux ou un cauchemar dont vous vous souvenez souvent.
- une cérémonie solennelle à laquelle vous avez participé.
- un jour différent des habituels, peut-être dans un centre d’achats d’une grande ville,
pendant un match, etc.
3) Imaginez :
- des avantages et des inconvénients de telle ou telle profession.
- les caractères d’un véritable ami.
- le professeur idéal.
- le voyage inoubliable.
Suggestions d’activités pour la production écrite en salle de classe
1. De la trame au texte :
a) Le professeur propose les idées principales, la trame d’un thème donné, et les
élèves, individuellement ou collectivement, réélaborent chacune des idées et donnent
un titre au texte final.
b) Un premier groupe d´étudiant propose la trame, un deuxième réélabore une
première fois et le troisième groupe fait la dernière réélaboration.
2. Du texte à la trame : Le professeur apporte un texte complet et les élèves doivent
extraire les idées principales de chaque phrase ou groupe de phrases.
3. Fin diversifiée : Le professeur présente un texte sans la fin qui doit être suggérée
par chaque élève.
4. Passage des responsabilités : Chaque élève produit son texte à la maison (dont le
thème a été indiqué par le professeur) et rend à un collègue de salle pour la mise au
point.
5. Dispute d’originalité : Le groupe d’élèves est partagé et chaque trio doit développer
la rédaction proposée pour la présenter à haute voix, la classe suivante, pour élection
de la plus originale.
6. Production collective : Tous les élèves se mettent d’accord pour choisir un thème à
écrire parmi quelques possibilités apportées par le professeur et discutent ensemble
chaque phase de la trame.
Démarches pour corriger et évaluer
On croit que dans les niveaux débutant et intermédiaire d’apprentissage il vaut plus la
peine d’amener les élèves à produire un texte simple et correct plutôt qu’original. Alors
les notes ne doivent pas insister sur les idées et peuvent mesurer la progression de
chaque production écrite au moins des deux manières :
1. Compréhension des fautes : Le professeur rend aux élèves les rédactions
individuelles corrigées et commente au tableau les fautes les plus communes. La
récurrence fait diminuer le nombre des points.
2. Recherche sur les fautes : Le professeur rend aux élèves les rédactions individuelles
avec les fautes soulignées et chaque élève doit savoir expliquer, la classe suivante,
quelles sont les erreurs de son texte. Si les fautes ne sont pas bien expliquées, on
perd des points.
Bibliographie
ADAM, J.-M. Le récit. Paris : PUF, Que sais-je ?, 1984.
ADAM, J.-M. Les textes : types et prototypes. Récit, description, argumentation,
explication et dialogue. Paris : Nathan. 1992, 224 p.
ADAM, J.-M. La description. Paris : PUF, Que sais-je ?, 1993.
CHISS, J.L. et al. Apprendre / Enseigner à produire des textes écrits, Bruxelles:
Duculot, 1992.
FAYOL, M. Le récit et sa construction. Neuchâtel: Delachaux & Niestlé, 1985.
FAYOL, M. Les connecteurs dans les récits écrits, Pratiques, 49, 1986, 101-113.
KAFALENOS, E. Une nouvelle version de la narratologie structurale: récit et causalité,
Acta Fabula, v. 7, n. 6, novembre-décembre 2006.
MANGENOT,
François.
Aide
à
la
rédaction
à
travers
un
"dialogue"
ordinateur/apprenant. Revue de l'EPI, n° 87, septembre 1997.
PERY-WOODLEY, M.-P. Les écrits dans l'apprentissage - Clés pour analyser les
productions des apprenants. Paris : Hachette FLE, 1993.
Contact pour des suggestions/commentaires : [email protected]