Pour ne jamais oublier
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Pour ne jamais oublier
1,50 $ TVH incluse Numéro de convention 40012374 Vol. 47, No 18 Mercredi 12 novembre 2014 NIPISSING 9 Pour ne jamais oublier... Le train de passagers sur la mauvaise voie Éric Boutilier Le Voyageur NORD ONTARIEN Au début du XXe siècle, une grande partie des Nord-Ontariens empruntaient le train pour se diriger soit vers la grande ville ou retourner chez eux. Ce mode de transport oٺrait la chance aux gens ordinaires de voyager sans avoir à rester dans une même position pendant des heures et sans avoir à s’inquiéter des conditions météorologiques ou de s’endormir au volant. C’est grâce au chemin de fer que des régions entières ont été colonisées et ensuite développées. Un mode de transport efficace et économique Malgré l’évolution du transport individuel et collectif, le train demeure un des modes de transport les plus eٻcaces en matière de consommation de carburant. Avec 4,55 litres de carburant diesel, un train peut transporter une tonne de marchandises sur une distance de 644 kilomètres. En revanche, un camion ne peut transporter la même quantité que sur le tiers de la distance, soit 209 kilomètres. C’est du moins ce qu’on découvre dans le Ålm Derailed, réalisé par la Coalition des trains de passagers d’Algoma. Un train de passagers interurbain dépense en moyenne 2 935 BTU (British Thermal Units) par 1 000 passagers, tandis qu’une voiture ou un avion en consomme au-delà de 3 500. Un autobus consomme plus de 4 100 BTU. (Source : U.S. Department of Energy, Transportation Energy Data Book : Edition 25) «À notre avis, un train interurbain comme VIA Rail est le meilleur mode de transport pour les déplacements sur des distances allant de 160 à 00 kilomètres, aٻrme Marc Laliberté, ancien président et chef de la direction de Via Rail Canada dans le magazine Via Destinations de mars et avril 2013. Les automobiles, les autocars et les trains de banlieue sont préférables pour des distances de moins de 160 kilomètres, tandis que les compagnies aériennes le sont pour celles qui sont supérieures à 800 kilomètres.» Des raisons de sécurité et sociales À travers le pays, le train de passagers est aussi reconnu comme un mode de transport sécuritaire et Åable, peu importe les conditions météorologiques. Un rapport de l’Association ferroviaire du Canada indique qu’il n’y a eu que 51 accidents de trains de passagers pour 75 millions de voyageurs (0,68 accident par 1 million) au Canada en 2013. Un rapport de Transport Canada indique qu’il y a eu 124 000 collisions sur le réseau routier à l’échelle du pays (dont plus de 1 800 qui ont été mortelles) pendant cette même période. AUTRES TEXTES EN PAGES 6 et 7 DOSSIE EXCL R USIF Photo : Éric Boutilier Le train du Northlander original maintenant entreposé dans un enclos de la Ville de North Bay Il y a eu très peu d’accidents de vieillissante, le train devient un mode trains de voyageurs, explique Harry de transport de choix.» Que se soit pour un rendezGow, fondateur et ancien président de Transport Action Canada. vous chez le médecin ou se rendre Le nombre de personnes tuées à son institution d’éducation ou blessées est signiÅcativement postsecondaire, au travail ou au moindre que sur les routes. Alors chalet, toute personne en santé, on transporte les gens en sécurité. malade ou à mobilité réduite peut Plusieurs personnes ne peuvent pas faire un voyage de courte ou de plus voyager en autocar parce qu’il n’est longue distance à bord d’un train sans pas aussi accessible et confortable avoir à craindre un manque d’espace, que le train. Avec une population de confort ou d’accommodement. 2 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. École St-Antoine : Pas de confirmation actualité Andréanne Joly Le Voyageur OPASATIKA L’alimentation, ça compte Catherine Levac Le Voyageur NORTH BAY Les gens de North Bay ont leur communauté et leur santé à cœur, et c’est en plein pour cela qu’un nouveau projet impliquant de nombreux partenariats est en train d’être élaboré. Depuis un certain temps, plusieurs organismes clés, dont le Bureau de santé publique de North Bay-Parry Sound (BSPNBPS), se rencontrent aÅn de développer une charte alimentaire pour North Bay. Selon le Toronto Food Policy Council (TFPC), 64 communautés canadiennes ont adopté des initiatives alimentaires dans le but d’améliorer la santé, de développer l’économie, d’assurer la durabilité de l’environnement et d’engager la communauté. De ces initiatives peut naitre une charte alimentaire, qui sert d’outil pour les municipalités aÅn de réaliser leurs initiatives. Le BSPNBPS en est à la phase de développement de cette charte. Le TFPC a publié un rapport en juin 2013 qui souligne notamment l’importance des chartes alimentaires dans ces communautés. Quinze des 64 communautés à adopter des plans stratégiques en matière d’alimentation ont créé une charte alimentaire et cinq autres sont en voie d’être créées. North Bay est la troisième communauté du Nord ontarien à aller de l’avant avec cette initiative, après le Grand Sudbury et Thunder Bay. Dans le Grand Sudbury par exemple, une charte alimentaire a été mise en place en 2003 par la Ville du Grand Sudbury et le Service de santé publique de Sudbury et du district. Celle-ci énonce que tous les résidents doivent avoir accès à des aliments adéquats, abordables, sécuritaires, nutritifs et culturellement acceptables, qu’un système alimentaire Ånancièrement viable, équitable et durable doit exister, et que les citoyens doivent connaitre le système alimentaire et son impact sur la vie des individus et de la communauté. La semaine dernière, le BSPNBPS a tenu une première session de discussion à Parry Sound, où Lauren Baker, coordinatrice du TFPC, était l’invitée d’honneur. Elle a fait une présentation portant sur une charte alimentaire pour cette communauté. Une deuxième session du genre aura lieu le 19 novembre à North Bay, où l’ancien directeur du TFPC, Wayne Roberts, parlera de l’alimentation tout en guidant les discussions vers le développement de la charte pour North Bay. M. Roberts croit fermement au pouvoir de ces chartes. «Une charte qu’une ville adopte, ça dit aussi quelque chose sur son identité», aٻrme-t-il. En d’autres mots, chaque charte est adaptée à la communauté et sera donc unique. Il ajoute que l’établissement d’un tel symbole démontre l’intérêt qu’a une ville pour l’alimentation. Il est un Åer défenseur des systèmes alimentaires et croit que la nourriture est une source importante tant au niveau de la santé que de l’économie. Bref, il favorise la promotion des aliments locaux. Pour ce qui est de la mise en place de la charte alimentaire de North Bay, elle en est encore à phase de discussion pour l’instant, conÅrme la diététiste en santé publique du BSPNBPS, Jessica Love. Plusieurs organismes et individus se sont rencontrés jusqu’à présent. «Pour l’instant, nous essayons d’amener tout le monde à la table, les partis intéressés, partenaires et membres de la communauté aÅn de discuter davantage du développement d’une charte alimentaire, de ce qui a été fait ailleurs et de ce que ça peut contribuer à la communauté», indique-t-elle. Mme Love souligne que l’idée a déjà été un sujet d’intérêt dans le passé. Les résidents de la région peuvent s’inscrire à la session de discussion du 19 novembre en communiquant avec Mme Love au 705-474-1400. VIE ACTIVE 8 CONSEILS SCOLAIRES 13 à 17 AVIS DE DÉCÈS 18 VIE COMMUNAUTAIRE 20 ARTS ET SPORTS Cahier B Sommaire ACTUALITÉ ÉDITORIAL DOSSIER 2 et + 4 6 et 7 Alors que la période de mise en vente de l’école St-Antoine de Padoue d’Opasatika se terminait le 16 octobre, le Conseil scolaire catholique de district de Grandes Rivières (CSCDGR) n’a pas encore cédé le bâtiment où il a cessé d’oٺrir ses programmes en septembre 2013. Il semblerait toutefois que ce ne soit qu’une question de temps. Des citoyens d’Opasatika ont présenté un projet devant la table de gouvernance du CSCDGR en septembre et il semble qu’un comité local sera mis en place et qu’une oٺre en bonne et due forme sera déposée pour Ånaliser le tout. Ce comité ne découlera pas directement de l’administration municipale, mais sera formé de citoyens et d’une agence. «Nous attendons une demande d’achat formelle», précise le directeur des communications du CSCDGR, Richard Loiselle. «De là, ça devrait bouger assez rapidement», croit-il. Des parents désespérés demandent l’aide du public Catherine Levac Photo : Courtoisie Le Voyageur SUDBURY Depuis le 4 octobre, Alissa Robichaud, 16 ans, manque à l’appel à Sudbury. Le Service de police du Grand Sudbury a émis un avis demandant l’aide du public pour la retrouver, mais lundi, ce sont les parents de la jeune qui ont communiqué avec Le Voyageur avec l’espoir d’alerter le public pour la retrouver. Elle est décrite comme mesurant 5’ 7’’, pesant environ 170 lb, avec des cheveux bruns à la longueur des épaules et les yeux pers. Elle a été vue pour la dernière fois portant des pantalons de jogging gris, un chandail à capuchon gris et des espadrilles blanc, bleu et gris. Dans une déclaration faite lundi soir au Voyageur, les parents ont indiqué que l’adolescente a des problèmes de santé mentale, ce qui la rendrait d’autant plus vulnérable. «Alissa, donne-nous signe de vie s’il vous plait», ont-ils supplié. Veuillez consulter la suite de cet article sur lavoixdunord.ca. ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 3 Classement Maclean’s : Le recteur de la Laurentienne se réjouit, mais reste prudent Patrick Breton Le Voyageur SUDBURY Dominic Giroux, recteur de l’Université Laurentienne, est satisfait de la progression constante de son institution dans le classement des universités du magazine Maclean’s, mais il reste réservé. «Je suis heureux qu’on soit au top 10, indique-t-il. On constate que de 18e en 2009 à 10e en 2015, c’est signe que l’Université fait des progrès tangibles face aux 12 indicateurs de rendement qui sont mesurés par Maclean’s. Je reste prudent en commentant les résultats, car je suis très conscient qu’ils peuvent Æuctuer d’une année à l’autre. Moi, ma perspective, c’est que c’est un portrait dans le temps d’une série d’indicateurs donnés et que chaque classement ou rapport de données ne reÆète pas l’ensemble de ce que constitue l’Université. » Est-ce que le plan stratégique s’inspire des résultats de Maclean’s ? En partie, selon le recteur. «Il n’en demeure pas moins que la communauté universitaire a pris compte en 2011, notamment, des résultats de Maclean’s, de Research Infosource, du National Survey of Students Engagement et autres lorsqu’on a élaboré le plan stratégique 2012-2017, ajoute M. Giroux Il ne faut pas se surprendre de voir qu’on est assez rigoureux dans l’élaboration du plan 2012-2017 pour constater qu’on connait des résultats mesurables pour plusieurs de ces indicateurs qui sont utilisés par Maclean’s. Par exemple, un indicateur est la proportion du budget pour les services aux étudiants. Dans la planiÅcation, on prévoyait un centre d’excellence universitaire. Comme on a fait ces investissements, cela se reÆète dans le classement. On ne prend pas des décisions en fonction des indicateurs, mais les résultats mesurés par Maclean’s ainsi qu’une panoplie d’autres indicateurs, ont alimenté la réÆexion.» L’impact de tels résultats sur le recrutement ou la notoriété de l’Université est bon, mais ce n’est pas tout, selon le recteur. «C’est certain que ça ne fait pas de tort, surtout pour les diplmés. Ils sont Åers de leur alma mater, aٻrme-t-il. On me demande souvent si un classement comme [celui de] Maclean’s a un impact sur le recrutement. La réponse est : pas vraiment. Il y a beaucoup de recherche en enseignement supérieur sur ce qui inÆuence le choix des universités. Maclean’s est comme le 20e sur la liste. Les facteurs d’inÆuence plus dominants sont, par exemple, les recommandations des orienteurs, la réputation du programme spéciÅque, le site internet et la tournée de l’université. C’est un facteur, mais ce n’est pas un facteur déterminant.» M. Giroux remarque toutefois une tendance intéressante. «Ce qui est encourageant, c’est que cette année on a connu du progrès au niveau de la majorité des indicateurs, dit-il. Sur les 12 indicateurs, on a connu une amélioration dans le classement de huit d’entre eux. Je suis conÅant qu’on puisse rester dans le top 10 et possiblement même améliorer nos résultats à moyen terme au cours des prochaines années. Je dis souvent que ce n’est pas un blitz, c’est un marathon qu’on fait.» Un marathon de construction aussi Dans le cadre de la deuxième phase du renouvellement du campus, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a approuvé le projet de modernisation conÅé à la compagnie Cy Rheault Construction le 24 octobre dernier. Ce projet est d’une valeur de 34 millions $. Dans le cadre de ce projet, neuf nouveaux bâtiments seront rénovés au cours des deux prochaines années et de nouveaux édiÅces seront construits d’ici décembre 2016. «Dans le plan stratégique, on avait certains résultats à atteindre, notamment concernant l’amélioration des salles de classe et des laboratoires, explique le recteur. Ce sont des projets qui touchent neuf édiÅces. Au total avec toutes les phases, c’est près 60 millions $ investis et 250 000 pieds carrés rénovés.» «Avec ces travaux, on n’ajoute pas beaucoup, mais on transforme l’espace existant pour accroitre l’usage et mieux répondre aux besoins des étudiants. On ajoute 450 places pour les travaux en équipe. L’espace au pied de l’édiÅce Parker va devenir l’entrée principale de l’Université.» Les rénovations ont débuté au pavillon Alphonse-Raymond, qui abrite l’École des sciences de l’éducation. Ces travaux devraient prendre Ån pendant l’été 2015. L’ensemble des travaux à la Laurentienne devrait prendre Ån à la Ån décembre 2016. Les diplômés de l’Université de Hearst sont les plus satisfaits au pays... encore une fois Patrick Breton Le Voyageur HEARST L’Université de Hearst vient au premier rang dans l’un des classements du dernier numéro du magazine Maclean’s. À la question, «Si vous deviez recommencer vos études, retourneriez-vous à l’institution que vous fréquentez présentement ?», 82 % des étudiants interviewés provenant de l’Université de Hearst ont répondu oui. Pour le recteur de l’Université, Pierre Ouellette, ce n’est pas une énorme surprise. «Depuis 2010, c’est la troisième fois qu’on est en première position pour ce qui est du niveau de satisfaction de la clientèle dans le Maclean’s», indiquet-il. Il explique que cette question, retenue par le gouvernement, est posée quasi annuellement dans le cadre de la National Survey of Student Engagement (NSSE). Cette enquête est réalisée par une université américaine auprès des étudiants, habituellement en janvier ou février. «Maclean’s prend certains de ces résultats et les publie, ajoute M. Ouellet. À cette question, chaque fois on est premier. Et on a un taux de placement de 100 % de nos diplômés depuis plusieurs années.» Comme l’Université de Hearst est une petite institution avec un total de 200 étudiants, cela lui permet d’être davantage à l’écoute des besoins des étudiants, mais ce n’est pas tout, souligne le recteur. «Ce service à la clientèle occasionne beaucoup de déplacements. On rencontre toujours tous les étudiants, même si on a trois campus. Ce n’est pas toujours facile pour le personnel. Ainsi, chaque semaine, un professeur enseigne une journée à Hearst, une journée à Timmins et une journée à 3apuskasing», explique-t-il. Toutefois, ce système a changé cette année. Depuis septembre, l’Université de Hearst oٺre des cours en bloc. «Ainsi, on oٺre un cours à la fois, de dire M. Ouellette. Un professeur passe trois heures par jour, quatre jours semaine pendant trois semaines à un endroit et change par la suite. Si un professeur veut diminuer son temps loin de sa famille, il peut en faire un peu par vidéoconférence, mais pas plus de 50 % du temps.» Plusieurs autres aspects de cette université ont aussi changé, comme le recrutement à l’étranger. «Un des indicateurs du NSSE est l’expérience des étudiants mis en contact avec des gens d’autres religions. Depuis deux ans, on a commencé à faire du recrutement à l’étranger, dans certains pays comme le Maroc, le Cameroun, le Sénégal et la Tunisie. On commence à avoir des résultats. On a cinq étudiants étrangers, dont un de la Côte d’Ivoire. Aussi, comme les autres universités, on fait du recrutement dans les autres régions de l’Ontario français, et ça marche. Les gens de Hawkesbury ont une idée de ce qu’on fait et certains sont intéressés. La résidence de l’Université au campus de Hearst est pleine. On a aussi une entente de mobilité avec des institutions en France qui permet de poursuivre des études pour une certaine période dans une institution en Europe. On a un étudiant qui est intéressé à partir dès janvier prochain. C’est encourageant», conclut le recteur. Nous affichons les soumissions, les offres, les propositions et les ventes sur le site Web de la Ville au www.grandsudbury.ca. AVIS D’AUDIENCE PUBLIQUE VILLE DU GRAND SUDBURY Concernant les demandes aux termes de l’article 34 de la Loi sur l’aménagement du territoire, L.R.O. 1990, chap. P.13 Demande no 1 – dossier no 751-5/14-9 Description foncière : NIP 73345-0408, parties 3 et 4, plan 53R13616, parcelle 29721, lot 7, concession 4, canton de Rayside, 754, montée Principale, Chelmsford Objet et effet du règlement municipal de zonage proposé : Modifier le Règlement 2010-100Z, soit le Règlement municipal de zonage de la Ville du Grand Sudbury, afin de permettre un deuxième logement (maison mobile) sur les terrains visés, à titre temporaire, c’està-dire un pavillon-jardin, conformément à l’article 39 de la Loi sur l’aménagement du territoire. Ville du Grand Sudbury, en changeant le zonage de « I », zone institutionnelle, à « C2 », zone commerciale générale, afin de permettre l’utilisation continue du bâtiment existant à des fins commerciales. L’auteur de la demande propose de réutiliser le bâtiment et la propriété servant auparavant à des utilisations institutionnelles, et ce, à des fins commerciales, notamment les suivantes : utilisations institutionnelles, usage de bureaux d’affaires, centre médical, lieu de divertissement, club privé, centre de loisirs commercial, restaurant, taverne, théâtre, salle de réception, galerie d’art, salle de conférences et studio audiovisuel. Demande no 2 – dossier no 751-3/14-3 Description foncière : Partie des NIP 73490-0683 et 73492-0534, partie de la parcelle 3085 SES, lot 12, concession 3, canton de Falconbridge et lot 1, concession 3, canton de Garson, rue Lindsley, Falconbridge Objet et effet du règlement municipal de zonage proposé : Modifier le Règlement 2010-100Z, soit le Règlement municipal de zonage de la Ville du Grand Sudbury, en changeant le zonage des terrains visés de « OSP », espace ouvert privé, et de « M4 », zone minière industrielle, à « R1-5 », zone résidentielle 1 à faible densité, afin de faciliter la création d’un nouveau lot résidentiel urbain donnant sur la rue Lindsley à Falconbridge. AUDIENCE PUBLIQUE : Demande no 3 – dossier no 751-8/14-4 Description foncière : NIP 73381-0316, lot 2 et partie du lot 3, plan M-427, parties 1 et 2, plan 53R-14993, lot 2, concession 3, canton de Graham, 10, avenue Mary, Naughton Objet et effet du règlement municipal de zonage proposé : Modifier le Règlement 2010-100Z, soit le Règlement municipal de zonage de la Ville du Grand Sudbury, en changeant le zonage des terrains visés de « I », zone institutionnelle, à « R1-5 », zone résidentielle 1 à faible densité, afin de faciliter la reconversion d’un ancien lieu de culte en une maison unifamiliale. Demande no 4 – dossier no 751-6/14-26 Description foncière : NIP 02132-1167, 02132-1168, 02132-1169, 02132-1360 et 02132-1361 du lot 1, concession 4, canton de McKim, 1396 et 1400 Kingsway et 465, chemin Barry Downe, Sudbury Objet et effet du règlement municipal de zonage proposé : Modifier le Règlement 2010-100Z, soit le Règlement municipal de zonage de la Ville du Grand Sudbury, en changeant le zonage de « M1-1 », zone commerciale industrielle, et de « C2(67) », zone commerciale générale spéciale, à « C2(67) », zone commerciale générale spéciale révisée, afin d’éliminer un zonage multiple découlant de la modification proposée des limites du lot. La demande est faite en même temps qu’un développement hôtelier proposé sur la portion nord du site, ce qui nécessite une dispense propre au site relativement à la hauteur de l’immeuble (soit 18 m, étant donné qu’un maximum de 15 m est permis). Demande no 5 – dossier no 751-6/14-27 Description foncière : NIP 73586-0034, lots 19 et 20, plan 8S, lot 7, concession 3, canton de McKim, 19, rue Regent, Sudbury Objet et effet du règlement municipal de zonage proposé : Modifier le Règlement 2010-100Z, soit le Règlement municipal de zonage de la Avant de formuler une recommandation au Conseil municipal, le Comité de planification tiendra une audience publique afin d’obtenir l’avis de la population, le lundi, novembre 24, 2014 à 17 h 30, dans la Salle du Conseil, Place Tom Davies, 200, rue Brady, à Sudbury. Toute personne qui souhaite s’exprimer sur les demandes peut le faire lors de l’audience publique ou en écrivant à la greffière municipale de la Ville du Grand Sudbury, C. P. 5000, succ. A, Sudbury (Ontario) P3A 5P3, avant qu’elle ait lieu. Après l’audience publique, les membres du Conseil n’accepteront plus d’observations verbales ou écrites. Si vous savez qu’une personne souhaitant transmettre ses commentaires ou touchée par les demandes n’a pas reçu le présent avis, nous vous prions de l’en informer. Si une personne ou un organisme public ne présente pas d’observations orales lors d’une réunion publique ou ne présente pas d’observations écrites à la Ville du Grand Sudbury avant l’adoption du règlement municipal, la personne ou l’organisme public n’a pas le droit d’interjeter appel de la décision de la Ville du Grand Sudbury devant la Commission des affaires municipales de l’Ontario. Si une personne ou un organisme public ne présente pas d’observations orales lors d’une réunion publique ou ne présente pas d’observations écrites à la Ville du Grand Sudbury avant l’adoption du règlement municipal, la personne ou l’organisme public ne peut pas être joint en tant que partie à l’audition d’un appel dont est saisie la Commission des affaires municipales de l’Ontario à moins qu’il n’existe, de l’avis de cette dernière, des motifs raisonnables de le faire. Remarque : Les observations présentées sur ces questions, y compris le nom et l’adresse de l’auteur, seront connues du public. La population peut les consulter, elles peuvent être publiées dans un rapport en matière d’aménagement à l’ordre du jour d’une réunion du Comité de planification et être affichées sur le site de la municipalité. Pour plus de renseignements sur les demandes, veuillez communiquer avec les Services de la croissance et du développement au 705 674-4455, poste 4295, ou vous présenter au 3e étage de la Place Tom Davies, 200, rue Brady. Le rapport du personnel et les recommandations seront également affichés sur le site de la municipalité au www.grandsudbury.ca/planification le novembre 14, 2014. 4 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. ÉDITORIAL aujourd’hui et que rien ne soit arrivé ne nous intéresse pas. Nous voulons voir celui qui est tombé. ia revient à ce vieux dicton américain au sujet de ce qu’est la nouvelle : «Dog bites man, that’s not news. Man bites dog, that’s news.» Comme les commères du village, nous voulons de l’insolite, du croustillant. Il faut constamment se souvenir de ça pour ne pas sombrer dans le désespoir en regardant les nouvelles. Ce n’est pas la vraie vie. La vraie vie, c’est le chalet pendant l’été, la partie de chasse à l’automne, les randonnées de motoneige en hiver. La vraie vie, c’est planter des Æeurs au printemps pour mettre de la gaieté dans notre cour, c’est préparer les enfants pour l’école en septembre et ramasser des feuilles pendant que les petits se roulent dedans. La vraie vie, c’est faire des tourtières et des biscuits en pensant à la visite que nous recevrons dans le temps des Fêtes, c’est jouir d’un bon souper chez des amis un samedi soir ou aller au spectacle d’un musicien qu’on Dans notre famille, nous regardons les nouvelles télévisées tous les soirs. Je vous dis qu’il faut être bâti fort pour adore et qu’on a toujours voulu voir. La vraie vie, c’est même se lever tous les endurer ça au quotidien. Quand ce n’est pas la guerre, c’est d’autres tueries insensées, des ouragans et des inondations, matins pour aller à un boulot qu’on aime ou auquel on s’est tout simplement habitué. Et la vraie vie, c’est une petite soirée tranquille des épidémies, des accidents d’avion à jaser avec sa blonde en Ånissant la bouteille de vin du ou de voiture. Parfois, c’est encore Les nouveaux moyens technologiques permettent aux médias de nous souper ¸ au diable les nouvelles à soir pire. C’est de la petite politique de présenter tout ce qui se passe dans le monde en temps réel. Le C’est de ces petites choses que la vie est faite et ce bas étage faite par des leaders que problème, c’est que nous voulons de l’extraordinaire. Le fait que des sont ces beaux moments qui font que nous sommes je n’embaucherais même pas pour milliers d’avions aient décollé aujourd’hui et que rien ne soit arrivé ne parfois heureux. Et c’est de ça qu’il faut se souvenir, nettoyer mes toilettes. Pour regarder nous intéresse pas. Nous voulons voir celui qui est tombé. […] Comme pas du monde vu au travers un écran de télévision. ça tous les jours et continuer à les commères du village, nous voulons de l’insolite, du croustillant. Parce que la vraie vie, c’est de voir les enfants grandir aimer la vie, il faut comprendre que et un jour de réaliser qu’ils connaissent des choses que les nouvelles à la télévision ou sur nous ne comprenons pas et d’espérer qu’avec ces connaissances ils bâtiront un internet, ce n’est pas le monde tel qu’il est vraiment. Ce n’est pas la vraie vie. Un de mes amis dit souvent : «Le monde n’est pas pire, la télévision est tout simplement meilleure.» Et il a raison. monde meilleur pour leurs enfants. Les nouveaux moyens technologiques permettent aux médias de nous présenter tout ce qui se passe dans le monde Réjean Grenier, éditorialiste invité en temps réel. Le problème, c’est que nous voulons de l’extraordinaire. Le fait que des milliers d’avions aient décollé éditorial Armes de distorsion massive Grand Sudbury : 336, rue Pine, bureau 302 Sudbury (Ontario) P3C 1X8 Téléphone : 705-673-3377 Sans frais : 1-866-926-3997 Télécopieur : 705-673-5854 Courriel : [email protected] Timmins : 136, avenue Third Timmins (Ontario) P4N 1C6 Téléphone : 705-269-8307, poste 100 (Emilie Deschênes) Télécopieur : 705-269-8305 Courriel : [email protected] et geurs» les gens qui faisai pelait «voya en ontréal On ap lliam, aujourd’hui Thunder Bay. P t le traÅc des fourrures entre M ageurs ou i oy Fort W t passer par la rivière des Français r se rendre à Fort William, les v ains se et n l e e e i s C l a a . cs Huron et Supérieur rt t dev nt aussi au poste Brunswick House, au sud de Kapuskasing, ou empruntaien nt ie a d n e u r s o e p r re i e b n i d i a r n e i s a j s us i t r q u’à la s po ère M la rivi t fourrures, mais acheminaient aussi baie James. Ces voyageurs tran glanaient des messages et les nouvelles qu’ils e s e r v i s. L v de leur parcour e journal Le Voyageur est Åer de perpétuer cette tradition. le long HEURES D’OUVERTURE 9 h à 16 h 30 du lundi au vendredi Les lettres à la rédaction seront publiées si l’auteur est identiÅé. L’heure de tombée pour les annonces est le vendredi à midi. Représentation nationale : ligne agates marketing 1.866.411.7486 Nos annonceurs ont jusqu’au lundi à 15 h pour corriger une publicité. La responsabilité du journal se limitera au montant payé pour la partie de l’annonce qui contient l’erreur. Toute personne qui envoie une lettre ou une photo pour être publiée dans le journal assigne implicitement et sans appel ses droits d’auteur aux Publications Voyageur Inc. Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Le Voyageur, propriété de Publications Voyageur inc. Imprimé par Journal Printing, 34, Fir Lane, Sudbury. %JTUSJCVUJPOt-FTJE¹FTFYQSJN¹FTEBOT-F7PZBHFVSOFTPOUQBTO¹DFTTBJSFNFOUDFMMFTEFMBEJSFDUJPO Le Voyageur est un hebdomadaire. Courrier 2e classe,«Envoi de Poste-publications – Numéro de convention o t .&.#3& t -"TTPDJBUJPO EF MB QSFTTF GSBODPQIPOF t $BOBEJBO $PNNVOJUZ /FXTQBQFS "TTPDJBUJPO-FCVUEFOPUSFKPVSOBMFTUEFQSPNPVWPJSMBMBOHVFGSBO¸BJTFt/PVTSFDPOOBJTTPOTMBQQVJmOBODJFS EVHPVWFSOFNFOUEV$BOBEBQBSMFOUSFNJTFEV'POETEV$BOBEBQPVSMFTQ¹SJPEJRVFT'$1 QPVSOPTBDUJWJU¹T E¹EJUJPO Abonnements JODMVTMFKPVSOBMFUMFTDBIJFSTTQ¹DJBVY BOBOTBOTt"¾O¹TFU¹UVEJBOUTBOBOT BOTtM¹USBOHFSBOt.VMUJQMFBCPOOFNFOUTQBSBOO¹F QBSBOO¹Ft*OTUJUVUJPOOFM1MVTEFBCPOOFNFOUTDIBDVOQBSBOO¹F Nipissing : 300, rue King Sturgeon Falls (Ontario) P2B 3A1 Téléphone : 705-893-8306, poste 1003 (Catherine Levac) Télécopieur : 705-893-0520 Courriel : [email protected] Propriétaire Paul Lefebvre Rédacteur en chef Patrick Breton, poste 6209 [email protected] Rédacteur délégué Pierre Lemelin, poste 6211 Journalistes Éric Boutilier (sports), poste 6210 [email protected] Catherine Levac (Nipissing) [email protected] Daniel Aubin (arts et culture) Randy Pascal (sports) Correspondants Émilie Deschênes (Timmins) [email protected] Andréanne Joly (Kapuskasing) [email protected] Ginette Léveillé (New Liskeard) Claire Pilon Maquettistes, graphistes Robert Charette Liane Brunet Chroniqueurs Marcel Goupil Marguerite Bordeleau Administration, distribution Guy Rouleau, poste 6203 Anie Cousineau, poste 6200 Directeur du marketing Yves Nadeau, poste 6205 Conseillers en publicité Yves Nadeau Lucie Boudreau, poste 6206 Lise Beaulieu, poste 6214 ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. L’écho d’un peuple à Timmins : Lancement des célébrations du 400e Photo : Courtoisie Sébastien Plante incarne Étienne Brûlé, Karine Mainville représente la nouvelle génération du 400e et Richard Bilodeau livrera un monologue émouvant pour toutes les familles de mineurs. Émilie Deschênes Le Voyageur TIMMINS À Timmins, on lance oٻciellement les célébrations entourant les 400 ans de présence francophone en Ontario, et ce, en plongeant dans la fascinante histoire de Timmins et des environs. Un spectacle à grand déploiement relatant certains faits marquants du développement de la région sera présenté au grand public les 19 et 20 novembre prochains grâce à l’équipe de L’écho d’un peuple, au Conseil scolaire catholique de district des Grandes Rivières et au Conseil scolaire public du Nord-Est de l’Ontario. Pour agrémenter ce spectacle qui repose sur des faits et personnages historiques, des talents de chez nous brilleront sous les projecteurs. Quelque 250 comédiens, chanteurs et danseurs feront revivre des souvenirs du passé, notamment l’incendie ravageur de 1911. «Nous allons jouer la scène du grand feu de Porcupine, aٻrme Valérie Vachon, animatrice culturelle de l’école secondaire catholique Thériault. On va aussi parler de la famille Malette.» Le spectacle L’écho d’un peuple des mines et une nuit raconte une histoire riche et unique, celle de notre coin de pays, la nôtre. Forte d’un bagage minier et forestier, l’enrichissante histoire de la région est à découvrir ou à redécouvrir. En première partie, Céleste Lévis et le voyageur Christian Pilon vous dirigeront vers une palpitante aventure. Également en vedette, Richard Bilodeau livrera un monologue émouvant pour toutes les familles de mineurs : Un cœur en Nord. Mme Vachon poursuit en disant qu’il sera question de souligner certaines personnes ayant contribué de manière importante à l’essor de la région, y compris l’établissement de nos premières écoles francophones. Elle conclut en déclarant qu’il s’agit d’un rendez-vous spectaculaire à voir absolument. «Venez en grand nombre. L’équipe vous en mettra plein la vue», lance-t-elle. Le spectacle sera présenté les 19 et 20 novembre à compter de 19 h à l’auditorium Charles-Fournier de l’école Thériault. Les billets sont en vente au Centre culturel La Ronde et dans les écoles participantes. Médias sociaux et politique municipale Andréanne Joly Le Voyageur KAPUSKASING Alors qu’ils étaient très visibles au cours du gala de la Chambre de commerce locale, les jeunes semblent absents de la scène politique municipale. Le nouveau conseil municipal de Kapuskasing est composé de sept hommes. Le plus jeune a 48 ans. Et moins d’un tiers de la population (31.25%) a contribué à leur élection. Les raisons pour expliquer ce résultat sont nombreuses, selon des entrevues menées auprès des politologues Nadia Verrelli et Laure Paquette plus tôt en campagne et les intervenants de la Ville. L’absence de course à la mairie, occupée par acclamation pour la deuxième fois par Alan Spacek, y est certainement pour quelque chose. La greٻère Barbara Major, responsable de la tenue des élections à la Ville, croit qu’il s’agit aussi d’un reÆet de la satisfaction de la population par rapport au présent conseil municipal. M. Spacek ne se formalise pas de la situation. «J’ai observé la campagne dans les communautés de toute la province. S’il y a contentieux ou un enjeu qui retient l’attention, l’intérêt des électeurs ¸ et des candidats ¸ augmente. C’est cyclique», a-t-il observé, comme les politologues. Mais dans le cas de Kapuskasing, cette «absence d’enjeux» a résulté en une campagne muette. En eٺet, outre quelques lettres envoyées au journal local, aucune vitrine n’a permis de mieux connaitre les candidats, leurs préoccupations, leur expérience ou leurs intérêts. Le maire Spacek rapporte que quelques conseillers ont circulé de porte-à-porte. Même les médias sociaux, alternatives gratuites à la publicité et moins exigeantes en temps que la sollicitation directe, n’ont pas été mis à contribution, alors qu’à Moonbeam et Val Rita-Harty, les électeurs ont eu l’occasion de suivre certains candidats via leur page Facebook. Mme Major indique que la présence municipale dans Facebook et Twitter doit s’accroitre dans les prochains mois. Elle entend aussi se pencher sur la question des taux de participation, notamment sur celui des jeunes. «Nous ne visons pas que les jeunes. Nous voulons que tout le monde s’intéresse et soit au courant de ce qui se passe, plaide le maire Spacek. C’est la bonne façon de faire. Nous voulons que les gens sachent ce qui se passe. Nous avons une composante jeunesse avec qui nous travaillons beaucoup.» 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV Du nouveau en Ontario Catherine Levac Le Voyageur NORD ONTARIEN La semaine dernière a été remplie d’annonces importantes pour la province, alors que le gouvernement ontarien a adopté une loi pour augmenter le salaire minimum, a annoncé l’interdiction de fumer à encore plus d’endroits publics et a indiqué que 37 000 nouveaux emplois ont été créés en octobre. La Loi de 2014 sur l’amélioration du lieu de travail au service d’une économie plus forte a été adoptée à l’unanimité jeudi dernier à l’Assemblée législative de l’Ontario. Cette nouvelle loi fera en sorte que les augmentations du salaire minimum seront liées à l’Indice des prix de consommation pour l’Ontario, qui seront annoncées tous les 1er avril. De plus, les élèves de l’éducation coopérative et autres apprenants qui ne sont pas rémunérés seront couverts par la Loi sur la santé et la sécurité au travail. À compter du 1er janvier prochain, il sera interdit de fumer sur les terrasses, que ce soit un bar ou un restaurant, sur les terrains de sport et sur les terrains de jeux en Ontario. De plus, la vente de produits du tabac sera interdite sur tous les campus collégiaux et universitaires. La nouvelle a été annoncée vendredi dernier. Finalement, la province a annoncé que 37 000 nouveaux emplois ont été créés en octobre de cette année, la majorité étant des emplois à temps plein. Toutefois, le débuté provincial de Sudbury, Joe Cimino, a souligné que le taux de sans emploi a augmenté le mois dernier, accusant la province de trop prendre son temps avec les projets d’infrastructure dans le Grand Sudbury. Le taux d’individus sans emploi est passé à 6,2 % en octobre. LOI DE 2002 SUR LES SERVICES FUNÉRAIRES ET LES SERVICES D’ENTERREMENT ET DE CRÉMATION Avis de Décision Ville du Greater Sudbury Taux de participation Grand Sudbury Hearst Smooth Rock Falls Cochrane Kapuskasing Val Rita-Harty 2014 50,71 % Acclamation 43,81 % 47,77 % 31,25 % 57,81 % 2010 49,75 % 61 % 57,8 % 53 % 40,6 % - www.arts.on.ca RESPONSABLE DES PROGRAMMES (ARTS FRANCOPHONES) Ce poste basé à Toronto s’adresse à un leader bilingue doué pour l’administration, incluant la supervision du travail et du personnel, la gestion de budgets et la rédaction de rapports. Relevant de la directrice des subventions, vous mettrez à profit vos 5 à 7 ans d’expérience progressive en gestion des arts à un échelon supérieur afin de superviser les programmes de subvention, les partenariats, les services et le personnel du Bureau des arts francophones tout en gérant directement des programmes d’exploitation et de projet. Bien au fait des tendances actuelles, des enjeux artistiques, des communautés et des formes artistiques de la francophonie ontarienne dans toute sa diversité, vous êtes en mesure de formuler des conseils en matière de politiques, de programmes et de partenariats pouvant faire progresser les artistes et les organismes artistiques francophones de l’Ontario. Vos compétences en informatique incluent notamment Windows, MS Word, Excel et Outlook, les bases de données et les programmes en ligne. Vous savez composer avec de multiples priorités et avez de solides aptitudes pour la planification de projets, la communication en français et en anglais, ainsi que l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies, de programmes et d’initiatives. Animateur expérimenté, vous savez mener à bien des réunions et travailler en collaboration avec différents groupes de personnes, tant à l’interne qu’à l’externe. Une connaissance pratique des finances, des budgets, et des subventions à titre de bailleur de fonds, de candidat ou de pair évaluateur est requise, tout comme la capacité à travailler le soir et la fin de semaine et à effectuer des déplacements. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter notre site web au http://www.arts.on.ca/Page3436.aspx. Vous pouvez postuler en ligne ou envoyer votre CV accompagné d’une lettre de présentation, avant le 21 novembre 2014, au : Conseil des arts de l’Ontario, Bureau des ressources humaines, Dossier no 09-14, 151, rue Bloor Ouest, 5e étage, Toronto (Ontario) M5S 1T6. Les personnes ayant une limitation fonctionnelle qui nécessite des mesures d’adaptation à n’importe quelle étape du processus d’embauche peuvent s’adresser à Nina Small par téléphone (1 800 387-0058, poste 7426) ou par courriel ([email protected]). Le Conseil des arts de l’Ontario souscrit au principe d’égalité en matière d’emploi et appuie sans réserve la diversité en milieu de travail. Tous les candidats compétents sont invités à présenter leur candidature, notamment ceux de groupes revendiquant l’équité. Nous remercions tous les candidats de leur intérêt, mais communiquerons uniquement avec ceux qui seront sélectionnés pour un entretien. Le genre masculin n’est utilisé que dans le but d’alléger le texte. 5 AVIS : Le 10 juin 2014, le conseil municipal de la Ville du Grand Sudbury a approuvé le remplacement du règlement municipal 2003-47 sur l’entretien et la gestion des cimetières par le règlement 2014-133. La Ville du Grand Sudbury a soumis le nouveau règlement municipal 2014-133 au registrateur conformément à la Loi de 2002 sur les services funéraires et les services d’enterrement et de crémation. Pour obtenir des renseignements ou faire des copies du règlement municipal 2014-133, veuillez communiquer avec Merek Lehto, gestionnaire des services de cimetières, 365, avenue Second Nord, Sudbury ON, 705-566-4373 ou [email protected]. Les règlements municipaux sur les cimetières doivent recevoir l’approbation du registrateur nommé en vertu de la Loi de 2002 sur les services funéraires et les services d’enterrement et de crémation. Téléphone : Unité de la réglementation des cimetières, 416-326-8393. 6 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV Une comparaison des services de train d’Algoma Central et de VIA Rail dossier LES VOYAGEURS ET LA FRÉQUENCE DES TRAINS Les services ferroviaires financés par le gouvernement fédéral Le train de passagers sur la mauvaise voie Une comparaison des services de train d’Ontario Northland et de GO Transit LES VOYAGEURS ET LA FRÉQUENCE DES TRAINS Éric Boutilier Les services ferroviaires financés par le gouvernement provincial 0I:S]EKIYV NORD ONTARIEN Depuis septembre 2012, la province a suspendu le Northlander, le seul service ferroviaire de passagers qui liait les districts de Cochrane, Timiskaming, Nipissing, Parry Sound et Muskoka à la capitale ontarienne, Toronto. C’est lors d’un point de presse plus tôt en mars que le ministre du Développement du Nord et des Mines, Rick Bartolucci, a annoncé que la demande pour les services de la Commission de transport Ontario Northland (CTON) stagnait et que la subvention au Northlander de 400 $ par passager devenait trop couteuse. Alors que le gouvernement ontarien voulait se défaire de la CTON, il a augmenté de façon considérable ses investissements dans le service de transport gouvernemental GO Transit). Entre 2007 et 2013, la province a investi plus de 7 milliards $ dans de nombreux projets d’immobilisation. Au niveau de l’exploitation, la province s’engage à investir 2 milliards $ comme Ånancement de base annuel pour les services GO. En revanche, elle n’a subventionné le Northlander qu’à raison de 11 millions $ par année lors de cette même période. «La décision de fermer le Northlander a été prise sans consultations publiques, sans audiences publiques, sans études particulières des besoins des gens et sans tentatives de renÆouer le service d’une autre façon, souligne Harry Gow, de Transport Action Canada. Il y a eu beaucoup d’investissements dans de nouveaux trains [notamment pour le service touristique du canyon Agawa], mais ça n’a pas été fait pour le Northlander dernièrement.» L’accessibilité aux services varie entre le réseau GO et celui d’Ontario Northland. En 2014, le gouvernement provincial oٺrait 1 246 trajets par train pendant la semaine (sept jours sur sept). Avec l’interruption du service du Northlander, la province n’oٺre maintenant que 10 trajets entre Cochrane et Moosonee (12 pendant l’été). Depuis 2007, GO a ajouté 7 gares à son groupe de 63 aÅn de desservir de nouvelles communautés telles qu’Aldershot (près de Hamilton), Lincolnville, Kitchener, Guelph et Acton, ainsi que deux arrêts à Barrie. Elle ajoutera bientôt un arrêt supplémentaire à Gormley, au nord de Richmond Hill. GO oٺre aussi des correspondances par autocar pour rejoindre les communautés qui 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 DOSSIER Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. GO TRANSIT NORTHLANDER POLAR BEAR EXPRESS Grand Toronto Toronto à Cochrane Cochrane à Moosonee 43,4 millions ---- 40,3 millions ---- 42,5 millions 91 % 31 494 75 % 57 013 55 % 42,1 millions ---- 33 741 78 % 62 548 37 % 43,6 millions ---- 39 579 72 % 64 077 84 % 93 % ** 29 751 82 % 64 053 95 % 47,1 millions + 37 988 ---- 36 731 °50 % ***54 966 ---- * 43 364 °54 % ----- +94 % 450 km (réseau) 5 à 7 jours / semaine ----- ---- 760 km 6 jours / semaine * Grève temporaire du service d’autocars de la CTON ** Le service est annulé le 28 septembre 2012 *** Fusion des services Little Bear et Polar Bear Express + Crédit du tarif après 15 minutes de retard ------ 97 % 300 km 5 jours / semaine (6 jours en été) ° S’applique seulement entre Toronto et North Bay Sources : GO Transit, Gouvernement de l’Ontario, Ontario Northland et Transport Canada Photos : Éric Boutilier ne sont présentement pas desservies par un train GO. Soulignons que 701 000 personnes résident dans le corridor ferroviaire ou les environs entre Toronto et Cochrane. Pendant toutes les années où le train desservait les communautés au nord de la Ville Reine, un peu moins du tiers de la population avait accès au service de train. Outre l’arrêt ajouté à Porquis Jct (près d’Iroquois Falls) en 2010, le nombre d’arrêts n’a jamais changé au Ål des ans. Il n’y avait que 15 gares pour cette liaison de 760 kilomètres. Service Ånancé majoritairement par le gouvernement de l’Ontario, le Northlander ne faisait l’objet d’aucune promotion dans le magazine touristique oٻciel de la province entre 2009 et 2012. Il n’a été mentionné qu’une seule fois, dans une annonce du Polar Bear Express en 2010. Toutefois, la province promeut ses propres services de GO, les services de VIA Rail et même les services ferroviaires touristiques du secteur privé dans plusieurs de ses outils promotionnels et en ligne. Un rapport de l’Oٻce des transports du Canada datant de 1993 indique que le service d’Ontario Northland entre Toronto et le Nord de la province était toujours dans l’intérêt public et qu’il ne devait pas être supprimé. 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 ALGOMA CENTRAL CANADIEN Sault-Ste-Marie à Hearst *Sudbury Jct. à Rice Lake SUDBURY WHITE RIVER 7 843 43 % 24 992 24 % 11 886 96 % 6 992 3,5 % 24 090 22 % 12 856 91 % 6 102 0,3 % 19 917 84 % 11 160 93 % 5 341 ---- 20 886 84 % 11 374 93 % 5 732 ---- 19 665 75 % 10 115 80 % 6 256 ---- ** 20 627 70 % 10 028 85 % 5 166 ---- 476 km 3 jours / semaine ----- 60 % *1 374 km (3 366 km total) 5 199 53 % 484 km 3 jours / semaine 3 jours / semaine (été) 2 jours / semaine (hiver) ** Début de la réduction du service de trois à deux jours par semaine en hiver Sources : Algoma Central Railway, BDO, Transport Canada et Via Rail Canada NORD ONTARIEN Au début de 2014, les municipalités du corridor de l’Algoma Central (ACR) ont été avisées par le gouvernement fédéral du retrait de la subvention de 2,2 millions $ accordée au Canadien National (CN) pour eٺectuer la liaison. En conséquence, le CN a averti les nombreux résidents et propriétaires de terrains et de chalets de l’abolition du service entre Sault-Ste-Marie, Searchmont, Hawk Junction, Dubreuilville et Hearst à la Ån mars. Transport Canada, une agence du gouvernement fédéral, a précisé qu’il n’était pas rentable de Ånancer des services ferroviaires pour des communautés qui ont un accès à d’autres moyens de transport à longueur d’année. Rappelons que le CN est le principal propriétaire des lignes de chemins de fer et oٺre des services de transport de marchandises au pays. Dans le district d’Algoma, le CN oٺre le service de passagers Algoma Central. Via Rail oٺre principalement le transport de passagers à l’échelle du pays. Plusieurs municipalités et regroupements de la région desservie par Algoma Central se sont mobilisés pour obtenir un prolongement d’un an du service. «À l’exception de quelques communautés, il n’y a pas de chemins publics qui mènent vers les propriétés avoisinantes de la voie ferrée, précise Linda Savory-Gordon, membre de la Coalition des trains de passagers d’Algoma. Transport Canada base ses conclusions sur des images satellites de chemins forestiers ou miniers. C’est illégal d’emprunter ces routes, car elles sont privées et non sécuritaires pour le passage de voitures ordinaires.» Selon Mme Savory-Gordon, une étude socioéconomique réalisée par la Årme BDO indique que la subvention de 2,2 millions $ crée un bénéÅce net de 38 millions $ à l’économie régionale. De plus, l’Oٻce des transports du Canada a déterminé en 1992 que le service d’Algoma Central était nécessaire aÅn de desservir les collectivités isolées et de combler l’absence d’autres moyens de transport convenables. «C’est mignon lorsque les politiciens disent que ça coute trop cher parce que ce n’est que pour les gens de la campagne, de dire Harry Gow, de Transport Action Canada. Le cout total de Via Rail Canada ne représente que le prix d’une tasse de café par chaque payeur d’impôt. Pour que le service de l’ACR continue, ce serait moins que le cout d’un petit carton de lait 2 % par mois.» Ailleurs, les résidents du Grand Sudbury, de Gogama, de Hornepayne, de Greenstone et du Nord-Ouest de l’Ontario ont été témoins d’une diminution partielle du service transcontinental de passagers de VIA Rail. La société de la Couronne a révélé en juin 2012 qu’elle poursuivait «sa modernisation et [amorçait] une nouvelle étape dans le but de mieux répondre à la demande de la clientèle». La liaison hivernale entre Toronto et Vancouver a cependant été réduite de trois à deux jours par semaine. VIA Rail a précisé que la demande pour cette liaison était en diminution constante. Par contre, l’horaire du train entre Toronto et Vancouver a subi une modiÅcation draconienne en 2008. Ainsi, au lieu de prendre le train à 13 h vers Toronto ou 16 h vers l’Ouest canadien, un passager de Sudbury doit désormais le prendre à 1 h 17 ou 5 h 13, selon la direction. Entre 2007 et 2012, l’achalandage du train dans plusieurs des communautés du Nord a chuté de façon importante (Sioux Lookout : -18 %, Capreol : -38 %, Sudbury Jct. : -49 %). Il est à noter qu’à Longlac, là où l’on note une augmentation de 61 % du nombre de voyageurs, VIA Rail a annoncé vers la Ån de 2013 la fermeture de la gare de façon permanente. De plus, ce train souٺre de retards importants pouvant aller jusqu’à 12 heures. Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Un constat du système au pays Éric Boutilier 0I:S]EKIYV NORD ONTARIEN Le Canada possède l’un des plus grands réseaux ferroviaires sur la planète, soit 43 000 kilomètres de voies ferrées à travers le pays. Comme à la Ån du XIXe siècle, les trains de marchandises ont toujours un rôle de transporteur essentiel de biens et de matériaux au pays. L’Association ferroviaire du Canada indique que 75 % des biens transportés au sol le sont par train, l’équivalent de 399,3 milliards de tonnes-kilomètres. Plus de la moitié des compagnies de chemins de fer au Canada proviennent du secteur privé. Certaines sont propriétaires des voies ferrées tandis que d’autres ne sont que locataires des plus grosses compagnies. Malgré le volume de marchandises transporté sur les rails, les deux principales compagnies ferroviaires au pays, le Canadien National (CN) et le Canadien PaciÅque (CP), ont abandonné plusieurs sections de lignes courtes et transcontinentales au cours des 18 dernières années. Entre 1996 et 2014, plus de 5 000 kilomètres de voies ferrées ont été éliminés du paysage canadien, dont six lignes dans le Nord de la province. Récemment, le CP a démantelé sa ligne transcontinentale entre Mattawa, Pembroke et l’Est ontarien pour rediriger ses trains vers Montréal en passant par Toronto, un détour de plus de 225 kilomètres dans un des corridors les plus achalandés au pays. Si une tragédie comme celle de LacMégantic devait se produire dans ce corridor, les trains de marchandises ne pourraient tout simplement pas circuler d’un bout à l’autre du pays, du moins de façon pratique. Sans se Åer aux réseaux américains, un train de marchandises en route vers Ottawa devra maintenant emprunter une dizaine de courtes lignes dans le Nord de l’Ontario et du Québec pour se diriger vers les grands centres, un trajet de 1 600 kilomètres sur des voies dont la qualité ne ressemble en rien à celle des lignes transcontinentales. La ligne Huron Central entre SaultSte-Marie et Sudbury aurait été démantelée également si l’Ontario et le gouvernement fédéral n’avaient pas investi 33 millions $ pour améliorer la condition des rails. Un service de transport de passagers en chute libre Alors que certains services de trains de marchandises sont en croissance au Canada, les services ferroviaires de passagers deviennent de plus en plus rares au pays, à l’exception des mégalopoles canadiennes. Entre 1998 et 2014, le nombre de trains de Via Rail par semaine entre Toronto et Québec est passé de 250 à 316 alors qu’à l’extérieur du corridor de l’autoroute 401, ce nombre a diminué de 41 % (de 76 à 45). En 2011, les trains de Victoria et Courtenay, en ColombieBritannique, et entre Gaspé et Montréal, au Québec, ont été suspendus complètement ou en partie en raison de la mauvaise condition des voies ferrées. Un an plus tard, la fréquence du train entre les Maritimes et Montréal a été réduite de six à trois jours par semaine, ce qui a réduit de moitié la clientèle. «Je crois que c’est essentiel d’avoir des trains de passagers qui desservent nos communautés du Nord. Autrement, nous risquerons de perdre notre connectivité entre nous-mêmes et avec les grandes villes comme Toronto et Ottawa, $@ OU ELLE VOUS APPARTIENT POUR SEULEMENT DÈS MAINTENANT souligne Linda Savory-Gordon, de la Coalition des trains de passagers d’Algoma. Comme Jeٺ Rubin l’indique dans son livre The End of the World As We Know It, lorsque les gens ne pourront plus se permettre l’essence pour parcourir de longues distances en voiture, les communautés qui n’auront pas de liens ferroviaires deviendront tout simplement des villes fantômes.» 8 500 $ MEILLEUR LA MARQUE LA PLUS VENDUE ± AU MONDE FOCUS F OCUS S 2 2014 014 ACHAT FINANCÉ POUR 85 0,99 %** TIA aux deux semaines pendant 84 mois avec 0 $ d’acompte. 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Le détaillant peut vendre ou louer à prix moindre. Offres d’une durée limitée. Offres en vigueur chez les détaillants participants seulement. Les offres de détail peuvent être retirées ou modifiées en tout temps sans préavis. Voyez votre détaillant Ford pour obtenir les détails ou communiquez avec le Centre de relations avec la clientèle Ford au 1-800-565-3673. Pour les commandes à l’usine, un client admissible peut bénéficier des offres/incitatifs promotionnels proposés aux particuliers par Ford du Canada au moment de la commande ou de la livraison, mais pas dans les deux cas. Les offres au détail ne peuvent être combinées à l’assistance-compétitivité des prix, à la réduction de prix aux gouvernements, aux primes pour la location quotidienne, au programme d’encouragement aux modifications commerciales ou au programme de primes aux parcs commerciaux. † Faites l’achat d’un [F-150 XLT SuperCab 4X4 5,0 L/Escape S/ Escape Titanium/Fusion S/Fusion SE/Focus S MT/Focus SE] 2014 neuf pour [32 079 $/25 319 $/33 999 $/22 119 $/24 999 $/14 969 $/19 698 $] (déduction faite de l’acompte de 0 $ ou de l’échange équivalent et rabais du fabricant de [0 $/0 $/500 $/500 $/1 750 $/1 750 $/0 $] et de l’alternative comptant de l’ensemble de Sécurité d’hiver de [750 $]). Les taxes sont exigibles sur le plein prix d’achat, déduction faite du rabais total du fabricant. Les offres incluent le transport et la taxe sur le climatiseur, mais excluent les frais d’administration et d’immatriculation de jusqu’à 799 $, le plein de carburant jusqu’à 120 $ et toutes les taxes applicables. Tous les prix sont basés sur le prix de détail suggéré par le fabricant. ** Jusqu’au 1er décembre 2014, obtenez le financement à l’achat à un TIA de [0,99 %/1,99 %/1,99 %/0,99 %/0,99 %/0,99 %/0,99 %] sur les Ford [F-150 XLT SuperCab 4X4 5,0 L/Escape S/Escape Titanium/Fusion S/Fusion SE/Focus S MT/Focus SE] 2014 neufs pour un maximum de [24/84/84/84/84/84/84] mois offert aux particuliers qualifiés SAC par Crédit Ford. Les acheteurs ne se qualifieront pas tous pour le taux d’intérêt le plus bas. Exemple : pour l’achat d’un [F-150 XLT SuperCab 4X4 5,0 L/Escape S/Escape Titanium/Fusion S/Fusion SE/Focus S MT/Focus SE] 2014 neufs pour[32 079 $/25 319 $/33 999 $/22 119 $/24 999 $/14 969 $/19 698 $] (déduction faite de l’acompte de 0 $ ou de l’échange équivalent et du rabais du fabricant de [8 500 $/0 $/500 $/500 $/ 1 750 $/1 750 $/0 $] et de l’alternative comptant de [750 $] de l’ensemble de Sécurité d’hiver financé à un TIA de [1,99 %/1,99 %/0,99, %/0,99 %/0,99 %/0,99 %/0,99 %] pendant [84/84/84/84/72/84/84] mois, les mensualités sont de [299 $/324 $/435 $/261 $/297 $/185 $/244 $]) (la somme de douze (12) versements mensuels divisée par 26 périodes donne au preneur des versements aux deux semaines de [138 $/149 $/201 $/120 $/137 $/85 $/112 $]), le coût du prêt est [492 $/1 829 $/ 2 455 $/751 $/853 $/533 $/701 $] ou TIA de [0,99 %/1,99 %/1,99 %/0,99 %/0,99 %/0,99 %/0,99 %] et le total à rembourser est de [9 751 $/27 118 $/36 582 $/21 840 $/24 934 $/15 470 $/20 384 $]. Un acompte pourrait être requis selon l’approbation de crédit de Crédit Ford. Toutes les offres de financement à l’achat incluent le transport, la taxe sur le climatiseur, le RDPRM, mais excluent les frais d’administration et d’immatriculation de jusqu’à 799 $, le plein de carburant jusqu’à 120 $ et toutes les taxes applicables. Tous les prix sont basés sur le prix de détail suggéré par le fabricant. ± Basé sur la définition de Ford d’une seule nomenclature de modèle, ce qui exclut les véhicules renommés, les plateformes dérivées ou autres versions de modèles basées sur les nouvelles immatriculations globales automobiles de l’IHS selon Polk pour l’année calendrier 2013. ‡ Obtenez le groupe Sécurité hivernale qui comprend : quatre (4) pneus d’hiver, quatre (4) jantes en acier et quatre (4) capteurs de pression des pneus, à l’achat ou à la location de toute Ford Fiesta, Focus, Fusion, Escape, Edge (excluant le modèle Sport) ou Explorer 2014/2015 neuf entre le 1er octobre et le 1er décembre 2014. Cette offre ne s’applique pas aux parcs (autres que les petits parcs avec NIP admissible) et aux clients gouvernementaux et ne peut être jumelée à l’assistance-compétitivité des prix, aux primes pour la location quotidienne et aux programmes de primes pour les parcs commerciaux. Certaines conditions s’appliquent. Voyez le concessionnaire pour obtenir les détails. Les caractéristiques de comportement du véhicule, l’index des pneus et la cote de vitesse peuvent différer des ceux des pneus toutes-saisons fournis par le fabricant. Les pneus d’hiver sont conçus pour les conditions hivernales et peuvent exiger une pression à froid plus élevée que les pneus toutes-saisons. Veuillez consulter votre concessionnaire Ford du Canada pour obtenir les détails incluant les couvertures de garantie. ¨ Les Série-F sont les camions les plus vendus au Canada depuis 48 années consécutives basé sur les statistiques de ventes de l’Association des fabricants de véhicules du Canada jusqu’à 2013 et des immatriculations de R.L Polk, juin 2014. 5 N’oubliez pas que même la technologie la plus avancée ne peut contrecarrer les lois de la physique. Il est toujours possible de perdre le contrôle par des manoeuvres inappropriées aux conditions par le conducteur. ' Certains téléphones mobiles et lecteurs média numériques pourraient ne pas être entièrement compatibles avec SYNCMD - veuillez vérifier auprès de www.syncmyride.com pour obtenir la liste des téléphones, lecteurs média et caractéristiques supportées. La distraction au volant peut occasionner une perte de contrôle, un accident et des blessures. Certaines fonctionnalités MyFord TouchMC exigent des appareils mobiles compatibles. Certaines fonctionnalités ne sont pas disponibles lorsque le véhicule est en marche. Ford recommande aux conducteurs d’utiliser avec prudence les téléphones mobiles, même avec les commandes vocales. N’utilisez les téléphones et autres appareils non essentiels à la conduite, même avec les commandes vocales, que lorsqu’il est prudent de le faire et conformément à la loi. SYNC est livrable sur la plupart des véhicules Ford neufs. ¥ Basé sur les données d’immatriculation 2007-2013 et à jour pour août 2014 de R. L. Polk pour le Canada dans les catégories des VUS de luxe grand format, VUS grand format traditionnel, VUS grand format, VUS de luxe intermédiaire, VUS format intermédiaire, petit VUS de luxe et petit VUS. & Cotes de consommation basées sur les méthodes d’essai approuvées par Transport Canada. La consommation réelle pourrait varier selon les conditions routières, la charge du véhicule, les équipements et les habitudes de conduite. x Offre en vigueur du 1er novembre 2014 au 1er décembre 2014 (Période du programme) pour les clients résidant au Canada qui sont actuellement propriétaires ou locataires (pendant la période du programme) de certaines automobiles, véhicules utilitaires sport (VUS), multisegments (VUM) ou mini-fourgonnettes Ford (chacun un modèle « Fidélisation » admissible), ou de certaines autres autos, véhicules utilitaires sport (VUS), multisegments (VUM) ou mini-fourgonnettes concurrents (chacun un modèle « Conquête » admissible). Les clients qualifiés obtiendront 1 000 $ à l’achat, la location ou la commande à l’usine (pendant la période du programme) d’un véhicule Ford neuf qualifié : Ford Fusion, Mustang (excl. la Shelby GT500), Taurus, Edge, Flex, Explorer, Escape, Expedition, Transit Connect, Série-E, ou F-150 SuperCrew 2014, F-250 à F-450 2014/2015; ou 1 500 $ à l’achat, la location ou la commande à l’usine (pendant la période du programme) d’un véhicule Ford neuf qualifié : Ford F-150 cabine simple ou SuperCab 2014– tous les Raptor et F-150 2015 sont exclus (chacun un modèle admissible). Certains critères d’admissibilité s’appliquent aux modèles Loyauté et Conquête ainsi qu’aux véhicules admissibles. Voyez le concessionnaire pour obtenir les détails des offres. Le véhicule admissible qui doit avoir été livré ou commandé à l’usine par votre détaillant Ford participant pendant la période du programme. Limite d’un (1) incitatif par vente de véhicule admissible jusqu’à un maximum de deux (2) ventes distinctes par modèle Conquête/Fidélisation admissible. Chaque client devra fournir une preuve de propriété/immatriculation et d’assurance du modèle Conquête/Loyauté admissible (au Canada) couvrant les trois mois précédents et l’adresse de propriété/immatriculation devra correspondre à l’adresse indiquée au nouveau contrat de vente ou de location du véhicule admissible. Les taxes sont exigibles avant déduction du montant de l’incitatif. © 2014 Sirius Canada Inc. « Sirius XM », le logo SiriusXM, les noms et logos des chaînes sont des marques de commerce de SiriusXM Radio Inc. et sont utilisés sous licence. © 2014 La Compagnie Ford du Canada, Limitée. Tous droits réservés. DOSSIER 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV Livrable sur la plupart des véhicules Ford neufs avec abonnement prépayé de 6 mois. 7 Greyhound, qui assure le service d’autocars sur la route 17, a menacé d’annuler son service quotidien (deux fois dans chaque sens entre Sault-Ste-Marie et le Nord-Ouest de l’Ontario) en 2009 si les gouvernements n’octroyaient pas 15 millions $ pour combler, selon elle, un manque à gagner sur ses liaisons moins rentables. Elle reçoit présentement une partie de cette somme du Manitoba. 8 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Textes : Claire Pilon la vie active Cette page vous est offerte par le Club des bons vivants d’Alban et le Club des aînés de la Rivière des Français de Noëlville Une nouvelle expérience Publireportage Une bibliothèque pas comme les autres Photo : Courtoisie Photo : Courtoisie Gisèle Pageau avec sa petite-fille Geneviève ALBAN Au début décembre, Gisèle Pageau entreprendra un nouveau déÅ, celui de conseillère municipale du quartier 3 d’Alban. «Les gens m’ont approchée et comme j’aime les déÅs, j’ai décidé de me lancer en politique et j’ai gagné un siège», dit-elle. Mme Pageau indique que durant la campagne, elle a parlé à plusieurs personnes qui lui ont exprimé leurs désirs, leurs besoins et leurs préoccupations. «J’arrive avec les mains propres, sans conÆit, avec l’esprit ouvert et prête à servir les membres de la communauté», ajoute-t-elle. Mme Pageau croit aussi à la transparence et à une bonne communication. «J’ai l’intention d’aider les responsables d’entreprises de tourisme et d’explorer les possibilités d’octrois provenant des diٺérents paliers de gouvernement. J’espère pouvoir bien servir les gens», dit-elle. Mme Pageau est native de Sudbury et elle a travaillé pendant 10 ans à Ottawa. «Depuis 1961, nous avons un chalet à Alban et depuis un an nous y demeurons à temps plein», souligne-telle. Mme Pageau a deux petits-enfants et un arrière-petit-enfant à venir. Elle fait du bénévolat à Centraide et aime se rendre au Club Alidor rencontrer les gens. Lorsqu’elle sera à la retraite, elle a l’intention de devenir membre de ce club. Durant ses temps libres, Mme Pageau aime jouer au golf et à la balle. Elle aime aussi voyager un peu partout, quoiqu’elle préfère Cuba, qu’elle visite depuis 17 ans. Il y a 12 ans, elle a adopté trois familles qu’elle visite et aide à chaque voyage. «Depuis sept ans, je me rends aux Nations unies à New York où je siège à la Commission de la condition de la femme pour négocier avec diٺérents pays aÅn d’améliorer la condition de la femme», dit-elle. Selon Mme Pageau, ce travail est une très bonne expérience. «Cela m’aide à apprécier ce que j’ai», conclut-elle. Christine Charron NOELVILLE Lorsque les gens se rendent à une des deux succursales de la Bibliothèque municipale de la Rivière des Français à Alban ou à Noëlville, ils y trouvent beaucoup plus que des livres. «En plus d’une bonne variété de livres, nous oٺrons aux membres de la communauté une gamme d’activités pour tous les âges et tous les go ts», aٻrme la bibliothécaire et technicienne aux deux succursales, Christine Charron. La Bibliothèque municipale oٺre entre autres des cours de technologie, d’informatique et de sexologie, des programmes pour les enfants ainsi que des cours de cuisine pour les adolescents en partenariat avec la Municipalité de la Rivière des Français. L’an dernier Mme Charron se rendait au Club des ainés de la Rivière des Français aider les gens avec la nouvelle technologie, mais cette année les ainés qui ont besoin d’aide dans ce domaine doivent se rendre à la Bibliothèque pour obtenir ce service. «La bibliothèque a aussi un club de marche», dit-elle. Mme Charron travaille avec Linda Keenan. Mme Charron est propriétaire d’un service de pourvoirie. Depuis 27 ans, Chris’s Catering oٺre ses services pour plusieurs occasions telles que des rencontres de famille, des repas de funérailles ou de mariage, des collations et une grande variété de desserts. «J’aime cuisiner et souvent je suis bénévole pour les repas», aٻrme-t-elle. Mme Charron aime jouer à la balle et lire. Née à Ottawa, elle demeure à Noëlville depuis l’âge de quatre ans. Elle et son partenaire Réjean ont une Ålle. «Nous passons beaucoup de temps au chalet situé sur le Nipissing avec notre Ålle et nous faisons de la nation, des promenades en bateau et de la pêche. Nous aimons relaxer et proÅter de la nature», souligne-t-elle. Mme Charron part en voyage au moins une fois par année. «Cette année, nous sommes allés à Cuba et l’année prochaine nous prévoyons aller au Mexique», indique-t-elle. Mme Charron explique que depuis 16 ans, elle et un groupe de personnes qui ont fréquenté l’école élémentaire ensemble se rencontrent chaque dernière Ån de semaine du mois de mai. «Nous avons l’occasion de partager des souvenirs et de se garder au courant des évènements qui se passent dans nos vies», dit-elle. Nous sommes fiers d’appuyer le projet La vie active Ï Ð 1-800-970-5799 [email protected] www.cooperativefuneraire.ca 4691, R.R.15 Chelmsford (Ontario) 705-855-4448 4570, rue St-Joseph Hanmer (Ontario) 705-969-7272 La Caisse populaire de Noëlville ltée Daniel Johnston Depuis plus de 40 ans, nous versons des ristournes (bonis) à nos membres. À votre institution bancaire, vous recevez quoi? Directeur général 222, boul Lasalle Est Sudbury (Ontario) 705-566-2100 87, rue Saint-David Nord C.P. 100, Noëlville, ON P0M 2N0 Tél : (705) 898-2350 / 898-2813 Téléc : (705) 898-3265 HEURES D’OUVERTURE lundi au mercredi : 9 h 30 à 16 h 30 jeudi : 9 h 30 à 17 h 30 vendredi : 9 h 30 à 16 h 30 ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. À la découverte d’un village fantôme Une pause pour se souvenir 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 9 Photos : Courtoisie Photos : CSCNO GOUDREAU Il y a quelques semaines, plusieurs élèves de la 7e et 8e année de l’école St-Joseph de Dubreuilville ont fait eٺectué une randonnée en véhicule tout-terrain (VTT) vers le village fantôme de Goudreau, à 23 kilomètres au sud du canton. Lors de cette excursion, les jeunes ont proÅté de l’occasion pour visiter une ancienne école, un cimetière et même les ruines d’une ancienne mine située dans le village. Avant de partir, le groupe a construit des inukshuks et ensuite a participé à une chasse au trésor. L’ancien village de Goudreau est situé près de la voie ferrée d’Algoma Central. (É.B.) Trouvez 10 éléments fabriqués à partir de pétrole. Le pétrole est une composante essentielle d’un nombre incalculable d’objets nous entourant, allant du mobilier aux téléphones portables, en passant par nos outils informatiques et même nos vêtements. En quelque sorte, il nous permet tous d’accomplir une partie de notre travail. Transporter le pétrole dont nous avons besoin de manière sécuritaire et efficace, voilà l’intérêt du projet Oléoduc Énergie Est. Mieux s’informer sur le pétrole, c’est découvrir en l’oléoduc un choix plein de bon sens. OleoducEnergieEst.com VOUS LES AVEZ TROUVÉS? $IBJTFEFCVSFBVt.BUFMBT EFZPHBt3ÒHMFEFQMBTUJRVFt#PVUFJMMFEFBVt3VCBOt $BSUBCMFt0SEJOBUFVSFUDMBWJFSt.POUVSFEFMVOFUUFTt ²DPVUFVSTt$PVWFSDMFEFHPCFMFUËDBGÏ Catherine Levac Le Voyageur NIPISSING Des cérémonies commémoratives se sont déroulées un peu partout dans le Nipissing à l’occasion du jour du Souvenir. À Nipissing Ouest, l’école catholique Ste-Marguerite d’Youville a organisé une cérémonie pour ses élèves et la communauté de Verner vendredi dernier. À Sturgeon Falls, une marche a eu lieu en matinée mardi jusqu’au Centre récréatif, où une cérémonie a eu lieu. Des cérémonies ont eu lieu en même temps à Field et à Garden Village. À North Bay, une cérémonie a s’est déroulée avant le match de basket- ball des Panthers de Canadore College samedi à laquelle l’Escadre 22 de North Bay a participé. La commu- nauté a aussi souligné la journée du Souvenir mardi à l’aréna Memorial Gardens. 10 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Une parade de Noël sur le long chemin de neige blanche Émilie Deschênes Le Voyageur TIMMINS Le père Noël est débarqué au centreville de Timmins le 8 novembre dernier, la hotte sur le dos et les deux pieds dans la neige. Pour ajouter à l’ambiance, le parcours de la parade de Noël annuel était recouvert de neige. Le vent hivernal qui souټait sur la ville et la température froide n’ont toutefois pas empêché la dizaine de milliers de jeunes et moins jeunes de longer la trajectoire et de plonger dans l’esprit de Noël. Pour certains, il s’agit d’une tradition familiale depuis 25 ans. Ce spectacle de sons et de lumières, dont le thème de cette année était «Souvenirs des Noëls d’autrefois», en a émerveillé plus d’un. Avant de voir déÅler les 56 chars allégoriques, qui ont entre autres été jugés par le maire sortant Tom Laughren et le nouveau maire Steve Black, une collecte de Photo : Émilie Deschênes lettres adressées au père Noël a eu lieu, en plus d’une collecte de denrées alimentaires non périssables. Le déÅlé a pris son départ sur la rue Spruce Sud pour se diriger vers la rue Mountjoy Nord, en passant par le boulevard Algonquin et la rue Pine Sud. Le tout a pris Ån devant l’édiÅce du Centre culturel La Ronde sur la rue Mountjoy Nord. Comme par le passé, la parade de Noël a comblé les tout-petits, émerveillé les cœurs d’enfant et semé la magie des Fêtes à Timmins. La petite séduction à Moonbeam et à Hearst Andréanne Joly Le Voyageur NORD ONTARIEN L’émission La petite séduction, animée par Dany Turcotte, prendra la route du Nord ontarien dans les mois à venir. L’équipe de production a conÅrmé que les villages de Moonbeam et de Hearst seront mis en vedette dans la série estivale, où un village a pour mandat de courtiser un artiste. D’ici le tournage, prévu à la Ån mai, des comités organisateurs seront constitués pour dégager un budget de 5 000 à 10 000 $, concevoir les propositions d’émissions en cinq blocs (accueil, activité, fait historique, grande surprise et fête Ånale). Le gros du travail aura lieu 10 semaines avant le tournage, qui durera quatre jours par localité, dont deux en présence de l’artiste invité. Ces projets nécessiteront beaucoup de travail localement. La directrice Déménagement, entreposage et rénovation. Facile. du Développement économique de Hearst, Sylvie Fontaine, en sait quelque chose pour avoir collaboré avec des municipalités en vedette alors qu’elle habitait en Mauricie. «Je me souviens que des gens s’étaient préparés, dit-elle. Ils avaient plein d’idées, mais quand ils ont connu l’artiste, plus rien ne fonctionnait.» Cette charge de travail n’inquiète pas Elsa St-Onge, instigatrice du projet à Moonbeam. «C’est moins motivant de faire une demande par écrit que d’organiser quelque chose de concret, croit-elle. Déjà, beaucoup de personnes m’ont envoyé des messages pour me dire qu’ils veulent être bénévoles.» À Hearst aussi, les médias sociaux se sont enÆammés à l’annonce de la venue de l’émission. Des appels à tous seront lancés en temps opportun. Mme Fontaine sait que le travail peut se dérouler sans mal de tête. «On connait l’émission. On sait qu’on peut mobiliser des musiciens pour la grande fête, quel fait historique on peut présenter. On peut commencer à travailler dès janvier, estime-t-elle. Lorsqu’on connaitra l’artiste, ça va se concrétiser.» Mais qui rêvent d’accueillir les deux instigatrices ? Mme St-Onge espère faire découvrir la réalité franco- Photo : La petite séduction Martine St-Clair a découvert Lafontaine grâce à La petite séduction en 2013. ontarienne. «J’aimerais voir un artiste qui ne connait pas du tout le Nord de l’Ontario, qui ne connait pas beaucoup l’Ontario français pour le surprendre.» Parmi ses suggestions : un comédien de la série Dans une galaxie près de chez vous, pour le clin d’œil à la soucoupe volante qui s’élève à l’entrée du village. Mme Fontaine, quant à elle, espère attirer quelqu’un qui est déjà venu à Hearst, mais en aller-retour, sans possibilité de s’imprégner de la localité : Philippe Bond, Marie-Mai, Luce Dufault, Gregory Charles… Ce dernier, c’est son coup de cœur. «Il avait une émission de radio à RadioCanada et il n’arrêtait pas de parler de Hearst. Dans un documentaire radio sur Hearst, Éric Robitaille l’avait même interviewé pour savoir pourquoi il parlait autant de Hearst. Mais il est passé en 2010», laisse-telle tomber. Le mystère sera levé en janvier au plus tôt, conÅrme la recherchiste de l’émission. Oléoduc Énergie Est : La FONOM se dit toujours favorable ion Fait La Force L’un l’entreposage mobile www.cubeit.ca 1-888-428-2348 Andréanne Joly Le Voyageur NORD ONTARIEN À l’instar des premiers ministres de l’Alberta et du Nouveau-Brunswick, la Fédération des municipalités du Nord de l’Ontario (FONOM) s’est dite heureuse de voir la demande de TransCanada PipeLines présentée à l’Oٻce national de l’énergie (ONÉ). Selon la FONOM, présidée par le maire de Kapuskasing, Al Spacek, cette étape «marque un pas important dans le processus d’approbation règlementaire» de la transformation du gazoduc, qui passe par Kapuskasing. «Au cours de notre dernière assemblée générale annuelle, nos membres, 110 municipalités réparties à travers le Nord-Est de l’Ontario, ont adopté une résolution appuyant le projet Énergie Est», a précisé M. Spacek par voie de communiqué. Les risques relatifs au transport du pétrole à travers l’Est du pays soulèvent toutefois beaucoup de craintes à certains endroits. Des groupes municipaux et environnementaux, comme Nature Québec, estiment que les risques pour la nappe phréatique et les écosystèmes dépassent largement les avantages. Votre confort est primordial chez nous. 209, rue King, | Sturgeon Falls, ON 705-358-1152 705-499-4685 www.mjdplace.ca Vous prévoyez être à Sturgeon Falls ou dans le Nipissing Ouest? Pour une semaine ou pour un mois, MJD PLACE met à votre disposition des suites de luxe. ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 11 « Protéger l’environnement, ça me passionne. » Je m’appelle Rebekah et j’adore ce que je fais. Comme directrice de la planification environnementale, je passe une bonne partie de mon temps à rencontrer les membres de plusieurs communautés. Et vous savez quoi? On a tous en commun la même passion pour nos terres, pour l’eau et pour la faune qui nous entourent. Je suis donc fière de pouvoir leur partager notre engagement envers la protection de l’environnement, aujourd’hui et pour les générations à avenir. Mieux s’informer sur le projet Oléoduc Énergie Est, c’est découvrir un projet d’avenir sensé et bien pensé. OleoducEnergieEst.com TransCanada est une entreprise canadienne qui, depuis plus de 60 ans, construit des pipelines et des infrastructures énergétiques sécuritaires et fiables. 12 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV Les efforts de Kevin McCormick reconnus ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. les sentiers de Marguerite Bordeleau Dans nos bois : le noisetier Dans la mythologie allemande, le noisetier était un arbre sacré. Il représentait le dieu du tonnerre et des cieux, et on croyait qu’il oٺrait protection contre les éclairs, les serpents, le feu et le vent. Les branches servaient aux sourciers. On en faisait des bâtons divinatoires et on les utilisait pour trouver des trésors et aussi de l’eau. Les tribus algonquines réunissaient des branches de noisetier pour en faire des balais et utilisaient le tronc comme baguette de tambour. Les noisettes étaient recherchées. On se servait aussi de l’écorce en décoction pour faire tomber les Åèvres. On prétend que c’est avec une branche de coudrier (noisetier) que Moïse frappa le rocher d’où il Åt jaillir l’eau pour abreuver les Hébreux. C’est de là que date la réputation du noisetier pour découvrir les sources. Il faut cueillir cette branche à minuit le 24 juin pour qu’elle conserve tout son pouvoir pour l’année. SUDBURY Un Sudburois a été récompensé avec la Médaille du mérite civique de l’Ontario mercredi dernier à Queen’s Park. Il s’agit de Kevin McCormick, un homme très engagé dans sa communauté. Il a créé plusieurs programmes et projets, dont le projet Honorer et préserver. (C.L.) Si vous êtes perdu, les rochers peuvent vous aider À se rappeler : 1. Couper un petit bouleau de six pouces de diamètre et faites-en un poteau de quatre à six pieds de long. 2. Soulevez-le à la verticale, laissez- le tomber sur le sol ou sur un rocher. Vous pourrez déÅnir sur quel versant de montagne vous êtes. 3. Le sol sur le côté sud est très écho à cause du soleil qui le sèche. Le côté nord est sourd parce qu’il est humide, le soleil n’y pénétrant que très peu. 4. Perdu ? Pas de panique. Assoyez-vous et regardez. Les conifères (sapins, pins, épinettes), lorsqu’ils sont exposés au vent, penchent généralement vers l’est. Nourriture de secours : Un bloc de sucre d’érable d’une livre peut vous garder des forces pendant trois jours. Si vous n’avez pas de sucre d’érable, du sucre, le plus brun possible, pourrait vous aider. La corde de secours : La tige de chardon peut vous faire une corde de secours et des collets à lièvre. Fendez la tige et utilisez les Åbres que vous tressez pour faire une corde. 8W]Z NIQZM KPI]ٺMZ ^W\ZM \Pu L] Labrador : Plantez une perche bien aiguisée au gros bout dans le sol, à environ 30 degrés d’inclinaison, et accrochez-y la chaudière à thé. La hache : La hache est l’outil le plus important à apporter en forêt. Fèves à la perdrix à l’ancienne 4 t. de fèves sèches 1 livre de lard salé 2 perdrix ou 2 pattes de poulet 2 ognons entiers 1 c. à soupe de moutarde sèche ½ t. de cassonade ½ t. de mélasse 1 c. à thé de gros sel poivre 1 c. à thé de sarriette 1 feuille de laurier 1. Tremper les fèves pendant 12 heures. Mijoter 1 heure. Couper le lard salé et le déposer dans un pot de grès. Égoutter les fèves et jeter l’eau. Verser les fèves sur le lard salé. Enfouir les perdrix dans les fèves avec les oignons. 2. Mélanger le reste des ingrédients et ajouter. 3. Couvrir d’eau chaude. Cuire au four à 325 degrés pendant 6 heures. 4. Découvrir 1 heure avant la Ån de la cuisson. Mot de la fin : Novembre, le pluvieux Novembre se retrouve le 11e mois de l’année julienne et grégorienne. Les Égyptiens l’appelaient Athyr et y célébraient pendant quatre jours, à partir du 17, une fête lugubre en l’honneur de la déesse Isis, aټigée de la perte d’Osiris, son frère, tué par son mari. Cette fête s’appelait «La recherche d’Osiris». Les Neptunales romaines étaient célébrées le 5 du mois en l’honneur de Neptune. On célébrait avec de grands festins dans les temples. C’était le 15 novembre que se déroulaient durant trois jours les Jeux plébéiens. Les Brumales, fêtes des jours d’hiver, avaient lieu à partir du 21. CONSEILS SCOLAIRES Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. nouvelles de nos écoles Le Centre CARES encourage la réussite Photo : Courtoisie BLIND RIVER Le Centre CARES de l’école secondaire catholique Jeunesse-Nord est un centre d’apprentissage pour la réussite des élèves au secondaire. Pendant les heures d’ouverture de l’école, le Centre est ouvert à tous les élèves. C’est un endroit où ils suivent des cours en ligne avec le Centre d’apprentissage virtuel de langue française de l’Ontario (CAVLFO) et des cours oٺerts par le Carrefour Options+ de Sudbury. De plus, d’autres élèves de l’école Jeunesse-Nord proÅtent du Centre CARES aÅn d’être appuyés par les responsables pour compléter leurs travaux et leurs projets, et s’acquitter de diverses tâches pédagogiques. Les responsables du Centre CARES, Guy Ratté et Hélène Rancourt, sont toujours disponibles pour repondre à vos besoins. ProÅtez-en. N’hésitez pas à nous contacter. Les maths par la musique ? Photo : Courtoisie VAL-THÉRÈSE Saviez-vous qu’apprendre à jouer d’un instrument de musique ou chanter développe la partie de ton cerveau qui aide les mathématiques ? Saviez-vous que le jeu d’échecs aide la résolution de problèmes en mathématiques ? À l’école SteThérèse, en plus de montrer le franc jeu par nos sports d’école, les élèves s’amusent à faire de la musique, développent des stratégies et un esprit de famille. Cette année nous espérons produire un CD de chants, créer un groupe musical et, comme toujours, participer aux messes et à divers spectacles dans la communauté. La réussite des élèves se vit partout : en classe tout comme dans les clubs, les activités ou les sports. Comment réussissons-nous à 98 % au testing provincial ? La musique est certainement un élément qui a un impact en plus d’avoir un personnel engagé qui aime s’amuser à l’école Ste-Thérèse. Partenariat communautaire avec Lowe’s et Julie DeSimone à l’école St-Dominique Photo : Courtoisie SUDBURY L’école St-Dominique a été choisie par Lowe’s Canada Heroes pour un projet de reverdissement de l’entrée principale. Le 22 octobre, Charlene Aikia et son équipe de travail, accompagnés des élèves de la 4e année de Chantal Lortie, ont planté de petits arbustes et au-delà de 200 bulbes à Æeurs. Comme nous avons hâte au printemps aÅn de voir ces belles Æeurs Un gros merci à la compagnie Lowe’s et à Charlene Aikia. Aussi, dans le cadre du cours de français et sciences, Julie DeSimone a accordé une entrevue à la classe de la 5e année de l’école St-Dominique. Les élèves ont pu lui poser leurs questions au sujet de sa profession dans le domaine de la santé et de sa campagne Knock Your Socks Oٺ. Par la suite, les élèves ont lancé la campagne dans leur école dans le but d’appuyer la cueillette de bas et de bottes pour les sans-abris du Grand Sudbury. 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 13 14 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV CONSEILS SCOLAIRES Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. conseils Des occasions pour explorer les talents artistiques des élèves Photos : Courtoisie AZILDA Que ce soit un concours de décoration de citrouilles à l’Halloween, des bricolages à l’Action de grâces ou des aٻches commémoratives préparées pour le jour du Souvenir, les élèves sont invités à s’exprimer par le biais de diٺérents médiums artistiques. Nombreuses sont les occasions pendant lesquelles les élèves de l’école publique Franco-Nord peuvent démontrer leurs talents. C’est grâce au travail et au dévouement du personnel qui encourage et appuie les élèves à s’épanouir. Nous sommes Åers de tous nos petits artistes. 1, 2, 3… ONIVA! Le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario présente Photo : Courtoisie Third World Canada Un film documentaire réalisé par Andrée Cazabon Tourné à Kitchenuhmaykoosib Inninuwug (KI), une communauté des Premières Nations du Nord-Ouest de l’Ontario, ce film documentaire examine les conséquences de trois suicides qui font huit orphelins dans une communauté où les conditions de vie rappellent celles du Tiers-Monde. Le vendredi 28 novembre 2014 au gymnase de l’École secondaire Macdonald-Cartier 18 h Cérémonie de purification 18 h 15 Présentation du film Third World Canada par Andrée Cazabon, réalisatrice du film et conférencière inspirante, qui a été nommée aux Gémeaux. L’entrée est gratuite. MARKSTAY Le 5 novembre dernier, les élèves de la 5e et 6e année de l’école publique Camille-Perron ont accueilli Olivier Mercure, animateur de l’émission télévisée ONIVA! à Radio-Canada. Accompagnés de leur enseignante, Sabrina Schryer, les élèves ont été choisis pour participer, pendant une journée complète, au tournage de l’émission d’une durée de 30 minutes. L’émission traite de sujets intéressants pour les jeunes âgés de 10 à 12 ans. Chaque semaine, l’équipe rend visite aux élèves de diٺérentes écoles de l’Ontario. Les élèves ont apprécié énormément cette expérience inoubliable. Ils sont maintenant des vedettes pour la vie Cet épisode d’Oniva! mettant en vedette les élèves de Camille-Perron sera diٺusé le dimanche 8 février 2015 à 9 h 30 sur les ondes de Radio-Canada. Une émission à ne pas manquer Oniva! à Hélène -Gravel Photo : Courtoisie Consultez le http://thirdworldcanada.ca/trailer Avertissement Recommandé pour un auditoire adulte seulement. Le contenu de ce film touche aux thèmes de la pauvreté et du suicide, qui nous interpellent tous, mais qui pourraient perturber certaines personnes. SUDBURY 705-671-1533 Le jeudi 2 octobre, les élèves de 6e année de l’école publique Hélène-Gravel ont eu la chance de participer à l’émission de télévision Oniva!. Chaque élève a d préparer des réponses à diverses questions associées à divers thèmes. Celles-ci seront diٺusées lors de la portion VoxPop de l’émission, qui débutera en janvier. CONSEILS SCOLAIRES 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 15 Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. conseils Conseil scolaire du Nord-Est de l'Ontario L'enfant au cœur de nos décisions! Belles performances pour Le Cœur du Nord Photos : Courtoisie Odyssée, une école remplie de fierté Photo : Courtoisie KAPUSKASING Les Ålles et les garçons de la 7e et de la 8e année participaient, le 5 novembre dernier, à un tournoi de volleyball. Nous sommes très Åers des deux équipes. Bravo les garçons pour votre médaille d’or NORTH BAY À la suite des évènements tragiques du 22 octobre dernier à Ottawa, l’école publique Odyssée de North Bay invitait les élèves et les membres du personnel à s’habiller en rouge aÅn de témoigner de leur l’appui et de leur respect envers les troupes militaires canadiennes. Quel beau geste Le Village du public de Timmins : Dans la parade Photo : Courtoisie Une invitation de l’École publique Jeunesse Active Présentation du projet de construction Le jeudi 20 novembre à 19 h Pour connaître les détails du projet scolaire et communautaire Améliorations à l’école et à la garderie « La tanière des tout-petits » TIMMINS Le samedi 8 novembre dernier, un groupe d’élèves, de parents et de membres du personnel des écoles publiques de Timmins participait à la création du char allégorique et au déÅlé de Noël organisé par la Ville de Timmins. Au total, 56 chars faisaient partie de la parade, dont celui qui représentait l’école élémentaire publique Lionel-Gauthier, l’école publique Renaissance et le Centre d’apprentissage du NordEst (CANO). Il s’agissait d’une expérience festive remplie de Åerté pour le Village du public. Plusieurs heures de préparation ont été nécessaires pour être prêt à participer au défilé de Noël de Timmins. Le Village du public a réussi à décorer un char allégorique très impressionnant. Bravo! Les pompiers sont là! Photo : Courtoisie École publique Jeunesse Active Tél : 705.753.4770 MOUNTJOY cspne.ca Denis Labelle, DHA : président Roch Gallien : directeur de l’éducation Il y a quelques semaines, les élèves de la 8e année de l’école publique Renaissance se sont rendus à la caserne Mountjoy pour une visite et pour y découvrir le métier de pompier. Un grand merci à Jason Mason, pompier volontaire, d’avoir pris le temps de rencontrer les élèves. 16 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV CONSEILS SCOLAIRES Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. conseils La Journée de certification connait un franc succès Photo : Courtoisie NORTH BAY Le mercredi 5 novembre, les élèves de la 10e à la 12e année de l’école secondaire catholique Algonquin ont participé à la Journée de certiÅcation dans le cadre de la journée annuelle Invitons nos jeunes au travail pour les élèves de la 9e année. Depuis 2007, cette journée permet aux élèves d’ajouter une certiÅcation à leur curriculum vitae et à leur portfolio tout en les outillant en tant que futurs employés. Eٺectivement, les séances oٺertes comprennent entre autres : la carte de conducteur d’embarcation de plaisance, le canotage «Orka», le certiÅcat du cours canadien de sécurité dans le maniement des armes à feu, la décoration de gâteau «Wilton», l’école de conduite Drivers Ed4u, l’excellence de service du Conseil canadien des ressources Photo : Courtoisie L’ atelier d’entrainement musculaire humaines en tourisme, la formation pour conducteur de motoneige, la scie mécanique du Sommaire du programme d’agrément d’abatteurs et d’opérateurs, la prévention des chutes – échafaudage, le secourisme général – déÅbrillateur et Smart Serve. À la Ån du secondaire, les Ånissants d’Algonquin quitteront l’école avec trois certiÅcations complétées. Les Barons remercient tous leurs partenaires communautaires pour cette belle initiative. La journée connait un succès incroyable avec le taux d’absentéisme le plus bas de toute l’année. Les vertus des Loups Photo : Courtoisie MATTAWA Nous invitons les élèves de l’école secondaire catholique ÉlisabethBruyère à laisser leur trace et à démontrer les vertus des Loups. Tout au long de l’année, les élèves seront encouragés à faire preuve des vertus suivantes : l’engagement, la gratitude, le respect, la compassion, la conÅance, la loyauté, l’altruisme, l’intégrité, la force ainsi que la paix et la spiritualité. Les élèves suivantes ont reçu une carte-cadeau de Tim Hortons Pas de place pour l’intimidation aux écoles Sainte-Anne et Élisabeth-Bruyère pour avoir démontré la vertu de l’engagement : Danyka Montreuil, Mariah Lejambe, Heather Francoeur, Aleysha Blake, Karlee Gravelle et Stacey Byers. Félicitations Les Loups, continuez à démontrer de l’engagement tout au long de l’année MATTAWA Elles portent le chandail rose. Elles exercent leur pouvoir de leadership pour le bien de tous et de chacun. Ce sont les Ålles du groupe Respaix Contrer et ultimement irradier le phénomène de l’intimidation : c’est ça l’objectif du groupe Respaix, un ensemble d’élèves de l’école secondaire catholique ÉlisabethBruyère qui se sont ralliés pour exercer un leadership positif auprès des petits de leur école sœur, SainteAnne, ainsi qu’auprès de leurs pairs aÅn de s’assurer que tous les élèves de la maternelle à la 12e année puissent jouir d’un environnement social positif et sain. C’est un déÅ de taille, mais qui ne fait pas peur à ces adolescentes engagées. Certaines des initiatives clés qui se retrouvent dans le Plan annuel pour contrer l’intimidation pour l’année scolaire 2014-2015 sont les suivantes : - le Programme d’habiletés sociales «Amis pour la vie», qui est oٺert en 3e, 4e, 5e, 6e, 7e et 8e année par une conseillère jeunesse; - le Concours de l’ami idéal dans toutes les classes de la maternelle à la 6e année; - la Journée sans potins, le mardi 4 novembre; - le Conseil de coopération mis en œuvre dans les classes du cycle moyen pour outiller les élèves à régler les diٺérends de façon constructive; - de la formation oٺerte par la Croix-Rouge aux adolescents aÅn qu’ils puissent oٺrir des programmes de prévention à leurs pairs; et - la formation d’une Équipe action pour la sécurité dans les écoles formée de parents, de membres du personnel et de la communauté ainsi que d’élèves de l’élémentaire et du secondaire. Bravo aux membres du groupe Respaix, qui ont choisi cette cause tellement importante pour la sécurité et le bienêtre de tous nos élèves, petits et grands Profitez des services de garde offerts dans la plupart de nos écoles ! Des programmes pour avant et après l’école sont offerts, ainsi que des services de jour pour les enfants qui ne vont pas encore à l’école. C’est une bonne façon d’introduire son enfant à la langue française. Il apprendra la langue en s’amusant ! Communiquez avec l’école de votre communauté pour plus de détails. Nous serons heureux de vous accueillir ! Officiellement ouverte La niche des lionceaux École La Résurrection Sturgeon Falls 705-472-1702 Excellence, foi et culture Ronald Demers, président | Monique Ménard, directrice de l’éducation [email protected] www.franco-nord.ca CONSEILS SCOLAIRES 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 17 Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. conseils Les élèves touchés par les évènements survenus à Ottawa Lire pour compter des buts Photo : Courtoisie Photo : Courtoisie PORCUPINE Les élèves de la 5e année de l’école catholique St-Jude de Porcupine ont été profondément touchés par les évènements qui se sont déroulés à Ottawa la semaine du 20 octobre. C’est ainsi qu’ils ont décidé d’écrire des messages de reconnaissance au sergent d’armes Kevin Vickers et des souhaits de condoléances à la famille du caporal Nathan Cirillo. La littératie au jardin Photo : Courtoisie Le concours de lecture LNH est lancé à l’école Jacques-Cartier de Kapuskasing. KAPUSKASING NEW LISKEARD Lors d’une activité de littératie, les amis du jardin de l’école catholique Paradis des petits de New Liskeard se sont exercés à écrire des syllabes. On aperçoit sur la photo Kaylee Forget, Maxim Stinkowji et Wesley Rivard. L’école catholique Jacques-Cartier de Kapuskasing a lancé son concours de lecture LNH. Les arbitres sont à leur poste et les élèves misent de l’eٺort au jeu. Le lundi 20 octobre dernier, l’école Jacques-Cartier a lancé son concours de lecture sous la supervision de la bibliotechnicienne Mila Lemay. Les enfants font tous partie d’une équipe de hockey de lecture LNH pendant cinq semaines. Les 10 équipes comprennent un mélange d’élèves de la 1re à la 6e année. Pour leur part, les élèves de la 7e et de la 8e année se regroupent avec les élèves des classes PAJE pour y participer. Comment remporter ce tournoi ? C’est simple. Une équipe doit lire un total de 10 livres pour compter un but. Pour s’assurer que chacun ait bel et bien lu ses livres en entier, les élèves doivent répondre correctement à quelques questions, sauf pour ceux de la 1re année, qui doivent faire signer un billet par un parent à la maison. Maintenant, il s’agit de lire, lire et lire pour accumuler des points pour leur équipe respective. L’équipe gagnante remportera un diner pizza! AVIS DE DÉCÈS 18 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV Coopérative funéraire 222, boul. Lasalle Sudbury 705-566-2100 4691, RR #15 Chelmsford 705-855-4448 4570, rue St-Joseph Hanmer 705-969-7272 avis de décès AUBREY, Myrtle Georgina (née Harmer) est décédée à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le dimanche 2 novembre 2014 à l’âge de 72 ans. Épouse bienaimée de John Aubrey. Chère mère d’Alice Harmer (Doug), Roberta Gail Aubrey (Jean), Marlene Aubrey (Gary), Darlene Aubrey (Fred), George Aubrey et Leila Aubrey (Donny). Chère grand-mère d’Amber (Robb), Katie (Sam), Nicholas, feu Danny, Jacob, Ashley (Mitch), Aleana, Nikita, Casey, Andrew, Travis et Michael. Arrière-grand-mère d’Abigail, Allison, Annalee, Gibson, Ethan et Liam. Fille de feu George et feu Mary Louise Harmer. Sœur spéciale de Leila Desjardins (Laurent). Chère tante de Kim (Dennis). BURKE, Elizabeth Joan (née MacNeil) est décédée à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le mercredi 5 novembre 2014 à l’âge de 79 ans. Mère bienaimée d’Yvonne Beresford, Allan Beresford et Manning Beresford. Chère grand-mère de Brant Burke (Dorea), Valerie Cunningham (Rob) et Courtney Lanovaz (Matt). Arrière-grand-mère de Jessica Cunningham, Liam Lanovaz, Zoe Morin et Max Morin. Fille de feu Brian et feu Elizabeth MacNeil. Chère sœur de Glenn MacNeil, Shirley McInnis et feu Manning MacNeil. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces et amis. CARRIERE, Robert «Bob» est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le lundi 3 novembre 2014 à l’âge de 74 ans. Époux bienaimé de Joy (née Loiselle) Carriere. Cher père de Nina (Gilles Chamberland), Robbie (Catherine Carroll), Samantha (Dan Theriault) et Philip Carriere (Jayne). Cher grand-père de Lindsey (Matt), Emma, Brady et Olivia. Cher frère de Claudette (feu Gabby Gosselin), Leona (Brian Robertson), Elaine (Dave Tisdale) et Gerry Carriere (Lillian). Fils de feu Vic et feu Juliette (née Rousselle) Carriere. Cher beau-frère de Lana (Dick Gascon) et Hazel (Dave Power). CÔTÉ, Paulette (née Brunet) est décédée à Sudbury le vendredi 31 octobre 2014 à l’âge de 81 ans. Épouse bienaimée de Jacques Côté, de Val Thérèse. Fille de feu Ludger et Florine (née St-Amour) Brunet. Elle laisse également dans le deuil ses chers enfants, Gaetane Fredette (Gilbert), Hélène Jiricka (Ken) et Normand Côté, tous de Val Thérèse, Gisèle Lachance (Paul), de Hanmer, Roger Côté, de Vanier, Richard Côté (Marguerite), de Carlton Place, Michel Côté, de Sudbury, et Jean Côté (Lori), de Richmond. Prédécédée par son Åls, Gilles Côté. Chère sœur de Florence Cardinal (feu Willie), de Sudbury, Isabelle St-Louis (André), de Chelmsford, et Gisèle Eldridge (Dave), de Fonthill. Prédécédée par ses frères et sœurs, Roland Brunet, Léo Brunet (Marie, de Sudbury), Roger Brunet, Thérèse Côté (Jean-Paul) et Lucille St-Amour (feu Rhéal). Ses 14 petits-enfants et ses 7 arrière-petitsenfants garderont de doux souvenirs de sa tendresse. CRON, Ivy (née Ball) est décédée le vendredi 31 octobre 2014 à l’âge de 94 ans. Épouse bienaimée de feu James Cron, prédécédé en 1991. Chère mère de Robert Cron, de Sudbury, et Bruce Cron, (Yvonne), de Wakaw (Saskatchewan). Chère grand-mère de Kristin, Lindsay Ellott (Richard), de Sudbury, Eric (Lindsay), de Markham, et Rebecca (Chris), de Vancouver. Arrière-grand-mère de Cooper Ellott, Lincoln Ellott, Logan Cowan et William Cron. Fille de feu Ford et feu May Ball. Sœur de feu Elmer Ball, Warren Ball, Bedford Ball et feu Margaret Saunders. Chère belle-sœur de Dorothy Ball, d’Unionville. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces. DESJARDINS, Victoria Eva (née Draper) est décédée paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entourée de sa chère famille, le lundi 3 novembre 2014 à l’âge de 83 ans. Épouse bienaimée de feu Robert Desjardins. Chère mère de Tim (Debbie), Sue, tous deux de Sudbury, Dennis (Barb), de Victoria (ColombieBritannique) et Ken Desjardins (Judy), de Kitchener. Chère grand-mère de Genevieve, Max, Shawn (Cara), Jessica, Corey (Amy), Jason (Shannon) et Timmy (Chenelle). Arrière-grand-mère de Devin, Alexis, Brooklyn, Jordyn, Wyatt, Paisley et Cameron. Elle sera regrettée par Jean Molyneaux, de Wahnapitae. Chère sœur de May Lauzon (feu Joe), de Sudbury, Peter Draper (Ann), d’Azilda, feu Tom Draper (feu Polly), feu Irene Bouٺard (feu Victor) et feu Joan Boivin (Gil, de North Hollywood, Californie). Fille de feu Gordon et feu Eva (née Belanger) Draper. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces. GERVAIS, Carole-Anne (née Bergeron) est décédée subitement à l’hôpital Arnprior Memorial le 27 octobre 2014. Épouse bienaimée de Rhéal Gervais. Fille de feu Jeannine (née Bradley), prédécédée en 1972, et Dr Aurèle Bergeron (Lucienne Raymond), prédécédé en 2010. Elle laisse également dans le deuil ses sœurs, Jocelyne (Claude Thériault), Michèle, Andrée et Josée, son frère, Pierre (Joanne), ainsi que la famille Gervais. Elle sera également regrettée par son beau-père, Armand (Jeanne), ses beaux-frères, Normand (Patricia), Richard et Denis (Maureen), sa bellesœur, Nicole, ainsi que par plusieurs neveux, nièces, parents et amis. Prédécédée en 2000 par sa bellemère, Thérèse. HARJU, Henry August est décédé paisiblement, entouré de sa famille, le vendredi 31 octobre 2014, à l’âge de 83 ans. Époux bienaimé de 61 ans de Shirley (née King) Harju. Cher père de Michael Harju (Janice), Wendy Eddy (Jim), Jody Harju et Cori Coutu (Min). Cher «poppa» de Jennifer (Scott), Bill (Monique), James, Tina (Dave), Robert, Taylor, Morgan, Chelsey et Hailey. Arrière-grandpère d’Owen, Evan et Noah. Fils de feu Hilma et feu Matti Harju. Frère de Helvi, Harvey, Hap et Harry Harju, tous prédécédés. JAMES, John Airth est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entouré de ses êtres chers, le mercredi 5 novembre 2014. Époux bienaimé de 54 ans de Pat Conley. Cher père de Laurie (Ed Mathewson) et Kent (Eric Ip). Cher grand-père de Nicholas James, Kate Mathewson et Aidan Mathewson. Cher frère de Kaireen Morrison (John). Oncle spécial de Johanna Rowe (Sam), Matthew Morrison (Annette), Sage Morrison, Jamie Conley (Debbie), Sherry Buckley (Bill), Evelyn Conley, Emily Conley, Steven Buckley (Crystal), Jenna Buckley et Corey Buckley. Cher beau-frère de Neil Conley (Marlene), feu Kathleen Conley et feu Lloyd Conley, de Spring Bay. Fils de feu Florence et feu Jack James, de Minnow Lake. LAGACE, Steven est décédé à Sudbury le jeudi 30 octobre 2014 à l’âge de 51 ans. Fils bienaimé de Lorraine (née Daoust) Leblanc et feu Léo Leblanc. Cher frère de Roger Lagace, Tina Boucher (Sylvain), tous deux de Sudbury, et Richard Lagace (Dawn), de l’Alberta. Il sera également regretté par plusieurs nièces, neveux, parents et amis. Salons funéraires Lougheed www.lougheedfuneralhomes.com Jackson & Barnard 233, rue Larch Sudbury 705-673-3611 252, rue Régent Sudbury 705-673-9591 LAMONDIN, Wallace Nelson est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury à l’âge de 70 ans. Époux bienaimé de Suzanne (née Lahaie) Lamondin. Cher père de Tammy Cooper (Wes), Christina Chicoine (Denny) et Sherri Lisk (Matthew). Cher grandpère de Vienna Cooper, Chanel Cooper, Sorenna Cooper, Brielle Chicoine, Alexie Chicoine, Charlie Lisk, Cooper Lisk et Carter Lisk. Fils de feu Lilian (née Boucher), prédécédée en 1985, et feu Alcide Lamondin, prédécédé en 1970. Cher frère de Leona Drury (Bill), Romeo Lamondin (Beatrice), Russell Lamondin (Marie), Murray Lamondin (Ruby), Diane Lavalley (Jimmy), Judy Lamondin (Ross), Janice Birnie (David) et Valerie Brothers (Dan). Il laisse également dans le deuil les membres de sa famille étendue et plusieurs amis. LANGLOIS, Mary Elizabeth (née Argentin) est décédée à sa résidence le vendredi 31 octobre 2014. Fille bienaimée de Francesco «Frank» et Roma Argentin, de Coniston. Épouse bienaimée de Bernard «Bernie» Langlois, de Sudbury. Chère mère de Shelley (Keith Phillips), de Montclair (New Jersey) et David Langlois (Giulia Barbadoro), de Sudbury. Chère sœur de Val Wright (Francis), de Sudbury, et feu Linda (époux Tepper Caverson, de Coniston), prédécédée en 2000. Chère grand-mère de Derek Phillips, Katherine Phillips, Mark Phillips, tous les trois de Montclair, Michela Langlois et Kate Langlois, toutes deux de Sudbury. Chère belle-sœur de Robert (feu Bob), Stella Langlois, de Zephyrhills (Floride), Jack Langlois (feu Vivianne), de Hanmer, Marc Langleois et Mary Ellen Langlois, tous deux de Sudbury. Elle laisse également dans le deuil ses neveux et nièces, Michael, Kim, Steven, Lynn, Andree, Daniel, Marc, Peter, Rob Ryan, Perry, Eliana, Glenna et Paula. MORRISON, William «Bill» Joseph Herbert est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le samedi 1er novembre 2014 à l’âge de 73 ans. Époux bienaimé de Myrna (née Darrach) Morrison. Fils bienaimé de Teresa et feu Hughie Morrison. Cher frère d’Audrey (Richard Anderson) et feu Marie (Clayton Gregg). Cher beau-frère d’Andrea (Mike Davie) et feu James Darrach. Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines et amis. NEAS, Ann Mary est décédée le jeudi 30 octobre 2014. Mère bienaimée de Crystal Neas (Dan C.) et Angel Party. Chère Ålle de Victor Neas. Chère sœur de Regean Neas. NEUFELD, Alvin Robert est décédé à Sudbury le samedi 1er novembre 2014 à l’âge de 62 ans. PENROSE, Mary L. est décédée à la Maison Vale Hospice de Sudbury le mardi 4 novembre 2014 à l’âge de 58 ans. Mère bienaimée de Richard Gerow (Priscilla), April Gerow et Shannon Gerow. Chère grand-mère de Carman Gerow. Amie spéciale de Barry Gerow. Chère sœur de Deborah Lazda (Jim). Chère tante de Michael Lazda et Steve Lazda. Fille de feu Richard et feu Margerite (née Glen) Penrose. Elle sera également regrettée par plusieurs amis et membres de sa famille étendue. QUIRION, Anita Colette est décédée à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le jeudi 30 octobre 2014 à l’âge de 90 ans. Épouse bienaimée de feu Raymond Quirion, prédécédé en 2000. Chère mère de Michelle Quirion (Doug Stephens), de Sudbury, Roger Quirion (Gail), Chapelle Hanmer / Capreol 4605, prom. Michelle Hanmer Suzie, de Thunder Bay, André Quirion (Sharon), d’Oshawa, feu Denise, feu Rhéal, feu Céline et feu Louise. Chère grand-mère de Matthew Barrett, Hilary Barrett, Andrew Barrett, Gavin Barrett (Tracey), Bryan Barrett (Daniella), Katelyn Barrett (Justin), tous de Thunder Bay, Christopher Miron (Wendy), de Whistler, Steven Quirion, de Red Deer, James Quirion (Lindsay), d’Oshawa, et Shannon Steele (Mike). Arrière-grand-mère de Chloe Miron, Marianna Barrett, Henry Barrett, Rylan Quirion, Gracie Quirion, Jailyn Quirion, Grady Quirion, Matthew Steele et Charlie Steele. Chère sœur de Marcel, Martin, Claude, Martha, Claudette et Mariette. ROACH, Kevin Patrick est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le vendredi 31 octobre 2014 à l’âge de 56 ans. Il laisse dans le deuil ses chères Ålles, Melynda (époux Frank Grossi) et Jenna (époux David Kolbasovsky), et leur mère, Etta (née Filippini). Cher «nonno» de Milania. Fils de feu Elsie (née Bowers) et Cliٺord Roach. Cher frère de Marilyn Schroeder (époux feu Ray), Jean Cornthwaite (époux Doug), Gloria Legault (époux Clément), Shirley Ilnitski (époux James), Hilda St. Cyr (époux feu Phil), Lillian Somerton (époux feu Robert), Anne Roach (Gilles Chenard), feu Chris Roach, feu Gail Roach, feu Kelly Roach et feu Sherry Roach. Il sera également regretté par plusieurs neveux et nièces ainsi que par son ami spécial, Larry Murphy. TROSCINSKI, Eugene «Gene» est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entouré de sa famille, le lundi 3 novembre 2014 à l’âge de 62 ans. Époux bienaimé de Colette Portelance Troscinski. Cher père de Troy Troscinski (Chrissy), Jamie Troscinski, Shayne Troscinski (Serina) et Matthew Trescinski (Rene). Fils bienaimé d’Eleanor Dobrucki et feu Edward Troscinski, prédécédé en 1957. Cher frère de George Troscinski (Ann), Barbara Wiencek-Mainville (Roger) et feu Stanley Troscinski, prédécédé en 2013. Demi-frère de Lawrence Paquette, prédécédé en 1998. Il laisse également dans le deuil ses huit petits-enfants ainsi que plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines et amis. WARD, John est décédé à l’Extendicare Falconbridge de Sudbury le vendredi 1er novembre 2014 à l’âge de 82 ans. Époux bienaimée de 60 ans de Shirley (née Goodfellow) Ward. Cher père d’Ian Ward (Toni), du Michigan, June Ward et Anne Ward, toutes deux de Sudbury. Il laisse dans le deuil ses six petits-enfants et un arrière-petit-enfant. Fils de feu George et feu Amelia (née Briggs) Ward. Cher frère de Janet Marshall (feu Ernest), de l’Angleterre, et feu Joy Hurd. YOUNG, Robert Harold est décédé à sa résidence le mardi 28 octobre 2014 à l’âge de 68 ans. Époux bienaimé de feu Joan (née Allair) Young, prédécédée en 1997. Cher père de Robbie Young (Dorri Lusk) et Allan «Onny» Young. Cher grandpère de Brittaney, Braeden, Bradley et Wesley. Fils de feu Clarence et Delphi Young. Cher frère d’Allan Young (Diane), feu Marge Hamilton (feu Jack), feu Howard (Shirley) et feu Cheryl. Il laisse également dans le deuil ses neveux et nièces, Michael, Bonnie, Steven, Craig et Jeٺ. Le Voyageur offre ses plus sincères condoléances à toutes les familles éprouvées. ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. On tourne la page à l’hôtel de ville Patrick Breton Le Voyageur SUDBURY Lors de la dernière réunion régulière du conseil municipal du Grand Sudbury, la période de questions en Ån de réunion a été consacrée presque entièrement au bilan de chacun des conseillers. Tandis que certains, comme Frances Cardarelli, Jacques Barbeau et Evelyne Dutrisac, soulignaient les amitiés qui se sont développées au cours des quatre dernières années, d’autres, comme Doug Craig et André Rivest, en ont proÅté pour souligner les réalisations pendant leur passage au conseil. «L’état des routes est enÅn en train d’être réglé», a souligné M. Rivest. Claude Berthiaume, comme plusieurs autres, a remercié le personnel de la Ville. «J’ai envoyé 17 000 courriels aux employés au cours des dernières années et on m’a répondu. Merci!», Photo : Patrick Breton dit-il. Ron Dupuis a souligné le décès de Fabio Belli, «qui ne méritait pas de partir si jeune», de même que les changements au niveau des politiques, comme l’interdiction de fumer dans les lieux publics, et l’arrivée des médias sociaux et des blogues, qui ont un impact sur les conseillers. Il a indiqué que malgré tout, il a apprécié chaque instant, qu’il ne regrette rien et qu’il restera engagé dans sa communauté. La conseillère Joscelyne LandryAltmann a remercié, en français et en anglais, les conseillers sortants et a souhaité bonne chance aux nouveaux élus du conseil. Finalement, la mairesse sortante, Marianne Matichuck, a souligné qu’au cours du dernier mandat le conseil a aidé à la revitalisation du centre-ville et à transformer l’aréna en outil de développement économique, et qu’il a contribué à l’ouverture de l’École d’architecture de l’Université Laurentienne. «Nous pouvons être Åers de ce que nous avons accompli», aٻrme-t-elle. UN CANADA BRANCHÉ grâce à Internet haute vitesse Le gouvernement du Canada investira pour que des milliers de foyers puissent avoir accès à Internet haute vitesse (5 mbps), dont certains pour la première fois. Qu’est-ce qu’Internet haute vitesse pourrait signifier pour vous? Renseignez-vous. Composez le 1-800-328-6189 ou visitez le site ic.gc.ca/uncanadabranche 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV 19 20 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Textes : Claire Pilon vie communautaire Une présentation intéressante SUDBURY Quelques membres du Centre d’histoire et de généalogie de Sudbury-Laurentienne ont fait une présentation au Centre Club âge d’or de la Vallée. Hector Lachapelle et Théodore Thérrien ont fait cette présentation en deux parties. M. Thérrien a expliqué l’abc de la généalogie. «Il y a un besoin pour plusieurs de connaitre [leurs racines] un peu plus loin que leurs parents et leurs grandsparents. Il faut commencer par soimême aÅn de pouvoir connaitre davantage ses ancêtres», aٻrme-t-il. M. Lachapelle invite les gens à poser des questionnes aux membres de leur famille comme les parents, les oncles et les tantes aÅn de pouvoir connaitre les informations pertinentes comme les dates de mariage et de décès. «Il est important de consulter les registres paroissiaux, les archives publiques, les dictionnaires généalogiques et centres de généalogie», ajoute M. Lachapelle. Selon Théodore Thérrien, qui accompagnait M. Lachapelle, il est important de connaitre d’abord certains détails de son histoire comme ses dates de naissance et de baptême, l’endroit de son baptême, les noms de son parrain et de sa marraine, l’église où a eu lieu le baptême et les mêmes informations pour tes parents et grands-parents. «Il est aussi essentiel d’informatiser les données», aٻrmet-il. Selon MM. Lachapelle et Thérrien, les participants ont démontré leur Photo : Courtoisie SUDBURY Hector Lachapelle, Josée Doucette, coordonatrice du Centre Club âge d’or de la Vallée, et Théodore Thérrien intérêt en posant plusieurs questions. «Les gens qui avaient déjà commencé des recherches ont partagé leurs informations», aٻrme M. Thérrien. La rencontre s’est terminée par un délicieux repas préparé par les dames du Club. Le Centre d’histoire et de généalogie est situé à la bibliothèque du Collège Boréal. Les nouveaux membres sont bienvenus. Un don à la Human League SUDBURY Lors d’une cérémonie spéciale, la Fondation Desjardins a remis à l’organisme Human League un don de 5 000 $. La Fondation Desjardins voulait aussi rendre hommage à la participation Rebecca Johnson aux Jeux olympiques d’hiver de Socchi cette année. La Human League a été choisie parce que c’est un organisme communautaire qui fait la promotion du sport et de la santé. La Fondation Desjardins a fait don d’environ 15 millions $ en bourses d’études et en prix. Plus de 10 000 jeunes ont été récipiendaires de ces dons depuis la création de la Fondation. «Les athlètes olympiques inspirent des milliers de jeunes à pratiquer plus de sport et à adopter de saines habitudes de vie. Ce sont des valeurs chères à Desjardins, indique le directeur de la Caisse populaire des Voyageurs, JeanMarc Spencer. C’est pourquoi nous Un nouveau conseil d’administration Photo : Courtoisie Lors de la dernière assemblée annuelle du Centre Victoria pour femmes francophones, les membres ont élu leur conseil d’administration. Pour l’année à venir, le conseil sera composé de Chantal Guilmette, présidente, Noémie Théberge, viceprésidente, Bibianne TremblayMatte, secrétaire-trésorière, et les conseillères Judith Kambanda et Huguette Beaulne. Ces membres se joignent à Evelyne Smith, Judith LaRush et Christine Tweddell, présidente sortante. Un poste de conseillère pour la région d’Algoma reste vacant et doit être Attention, trans francophones SUDBURY Les représentants de Desjardins et de la Human League : Jean Bisson, Rebecca Johnson, Rod Larocque, Leanne Lavoie, Christian Howald et Jean-Marc Spencer sommes très Åers d’oٺrir 5 000 $ à l’association Human League pour contribuer à cette bonne cause.» comblé d’ici la prochaine assemblée annuelle. «En 2013-2014, le Centre a connu une année très chargée, ayant oٺert des services directs à 219 femmes francophones du Grand Sudbury et d’Algoma», de dire Gaëtane Pharand, directrice du Centre Victoria. Le centre s’est doté d’un nouveau logo et d’outils promotionnels, et a mis en œuvre les objectifs de la première année d’un plan stratégique triennal. «Nous avons ciblé la population fréquentant le postsecondaire, nous permettant de rejoindre 150 étudiantes et étudiants», conclut Mme Pharand. En collaboration avec le groupe TG Innerselves, le Centre de santé communautaire du Grand Sudbury oٺre un groupe de soutien pour personnes trans francophones. «L’objectif du groupe est de donner l’occasion aux participants de briser leur isolement et d’obtenir des renseignements médicaux qui sont liés à la transition d’un genre à l’autre», explique la responsable du groupe et coordonnatrice de la promotion de la santé du Centre de santé, Monique Beaudoin. Elle invite les gens qui se questionnent sur leur identité sexuelle ou qui s’identiÅent comme trans genre de communiquer avec elle au 705-855-8084. «Tous sont bienvenus», indique-t-elle. Le groupe se rencontre chaque deuxième mercredi du mois. 1,50 $ TVH incluse Numéro de convention 40012374 Vol. 47, No 18 Mercredi 12 novembre 2014 NORD ONTARIEN La photographie occupe une place de choix dans les galeries SUDBURY et TIMMINS B4 SUDBURY Les équipes locales font bonne figure au tournoi Big Nickel B5 B6 Une fin de saison enlevante Pour la réussite de votre enfant! Au public, c’est comme ça! cspne.ca Denis Labelle, DHA : président Roch Gallien : directeur de l’éducation B2 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV ARTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. calendrier culturel arts La culture à la carte Du jazz francophone dans le Nord Patrick Breton Le Voyageur NORD ONTARIEN Le Benoit Paradis Trio entreprend une tournée dans le Nord de l’Ontario pour y présenter son spectacle et son troisième album, Le 4 tounes. Il s’agit d’une première tournée ontarienne pour le groupe, mais Benoit Paradis est déjà venu à Sudbury alors qu’il avait accompagné Bernard Adamus. Le groupe a débuté sa tournée la semaine dernière à Toronto. Après Hearst le 13 novembre, un spectacle présenté par le Conseil des arts de Hearst, le groupe s’arrêtera à New Liskeard le 14 novembre et à Sudbury le 15 novembre à la salle de spectacles du Collège Boréal. Peu importe l’endroit, le Benoit Paradis Trio, qui allie chansons fran- çaises et québécoises traditionnelles avec le jazz américain, promet un spectacle rempli de rythme, d’humour et d’improvisation. «J’écris en français parce que je trouve que ça swigne en français. Il y a plein d’exemples de gens qui ont réussi à faire swigner ça, le français, explique M. Paradis lors d’une entrevue avec Le Voyageur. «Tout ce qui est musique traditionnelle, c’est un français, un peu slang, qui swigne et qui swigne comme ça a pas de bon sens! Et un gars comme Georges Brassens, ça swigne comme ça a pas de bon sens». La participation du public est importante pour lui, mais il n’a pas de craintes. «Ici, on a la swigne, ajoute-t-il. Si je te disais à quel point c’est diٺérent la capacité de swigner dans les tounes quand on fait participer le public. Les gens de l’Amérique du Nord et de l’Europe, ce n’est pas pareil. Le monde ici a plus ça dans le sang. Le jazz, c’est quelque chose qu’on peut prendre Photo : Courtoisie avec notre langue à nous.» Le groupe est formé de Benoit Paradis à la caisse claire, au trombone, à la trompette et à la guitare, Chantal Morin au piano et Benoit Coulombe à la contrebasse. Avant de se rendre à Hearst, le groupe s’arrête à Sudbury pour oٺrir une masterclass [atelier]» à des étudiants. Le groupe sudburois Hugh Jazz assurera la première partie lors du spectacle le 15 novembre à Sudbury. Vidéoconférence L’Association F Francophone de Parents d’Enfants Dyslexiques ou ayant tout autre trouble d’apprentissage SUpVHQWHHQFROODERUDWLRQDYHF L’hiver arrive tranquillement; la neige apparait et disparait alors que la température refroidit. Tout de même, on peut toujours trouver des occasions pour se rassembler au chaud et partager ensemble un quelconque évènement culturel. Tout d’abord, le quatuor à cordes Silver Birch présente un concert mêlant musique classique et rock classique le jeudi 13 novembre à 19 h à Theatre Cambrian. En plus de la musique, on aura droit à trois échantillons de bières produites par la brasserie sudburoise Stack Brewing. Il s’agit d’une soiréebénéÅce/collecte de fonds pour la prochaine campagne électorale du député Glenn Thibeault. Au prix de 50 $, les billets sont disponibles au Laughing Buddha. Science Nord invite les amateurs de science d’âge majeur (19 ans et plus) à la prochaine édition de Nuits sur le roc, des soirées où les adultes peuvent explorer le centre de science tout écoutant de la musique en direct en sirotant une boisson alcoolisée. Le vendredi 14 novembre, le thème de la soirée sera la science de la bière. Prix d’entrée : 15 $. De 19 h à 22 h. Bien que la taverne de la Townehouse présente de la musique en direct chaque soir, ce n’est pas souvent qu’une soirée entière est consacrée à de la musique purement instrumentale. Le vendredi 14 novembre à compter de 22 h, trois groupes de musique instrumentale feront danser le public et brasser les murs de la taverne : Magic Pelvis (pop psychédélique), Supertoke (surf rock/ psychobilly) et Horse Lung (doom métal). Prix d’entrée : 7 $. Daniel Aubin Le temps des Fêtes arrive non oٻciellement, mais traditionnellement à Sudbury avec l’ouverture du Nouveau Louvre à la Galerie du Nouvel-Ontario (GNO). Cette activité annuelle de collecte de fonds de la GNO oٺre aux acheteurs d’art une sélection d’œuvres d’artistes locaux, toutes au prix spécial de 150 $. Chaque fois qu’une œuvre est vendue, une nouvelle la remplace sur le mur. Il faut donc visiter souvent. Ouverture oٻcielle : le samedi 15 novembre à 14 h à la GNO. Le Nouveau Louvre se poursuit jusqu’au samedi 20 décembre. La Slague présente un concert de musique jazz éclatée le samedi 15 novembre à 20 h à la salle de spectacles du Collège Boréal. Au programme : le Benoît Paradis Trio avec Hugh Jazz en première partie. On dit de la musique du Benoît Paradis Trio qu’il s’agit d’une «fusion inouïe de jazz américain, de la vieille chanson française et de la nouvelle chanson québécoise à humeur insolite». Les billets, de 5 $ à 25 $, sont disponibles à la billetterie du Théâtre du Nouvel-Ontario au 705-525-5606, poste 4. Finalement, Theatre Cambrian présente une soirée de trois pièces en un acte sur les personnes âgées. Three One Act Plays on the Elderly, présenté dans le format souper-théâtre, regroupe les pièces Admit One, The Cat Connection et Second Chance. Les représentations auront lieu les 14, 15, 21 et 22 novembre à partir de 18 h 30. Pour de plus amples renseignements, ainsi que l’achat de billets (50 $), on peut visiter le www. theatrecambrian.ca. Égide Royer Psychologue et professeur titulaire en adaptation scolaire jOD)DFXOWpGHVVFLHQFHVGHO¶pGXFDWLRQ GHO¶8QLYHUVLWp/DYDO Comment être le bon parent et le bon enseignant d'un élève aux comportements parfois difficiles. 4XHOTXHVVWUDWpJLHVG¶LQWHUYHQWLRQVG¶un bon parent Quelques VWUDWpJLHVG¶LQWHUYHQWLRQVG¶un bon enseignant Comment maintenir une bonne relation entre le parent et l'école Il y a d'ailleurs beaucoup moins de différences que l'on croit entre élever un enfant parfois difficile et lui enseigner. Faut-il rappeler d'ailleurs que plusieurs milliers de personnes exercent, en même temps, ces deux métiers : ceux de parent et d'enseignant. primordialogues Coin de la poésie Il paraît que Vale étudie la possibilité de démanteler la Superstack. Si jamais notre cheminée géante disparait, je retiendrai toujours la puissance de son image contre le ciel et le paysage qu’elle nous a permis, un tout petit peu, de réclamer. .ŚƚƚƉ͗ͬͬǁǁǁ͘ĨƐĞ͘ƵůĂǀĂů͘ĐĂͬĐǀͬŐŝĚĞ͘ZŽLJĞƌͬ Le mercredi, 26 novembre 2014, 19 h - 21 h C’est un rendezSRXUOHVPHPEUHVSRXUOHVQRQPHPEUHV vous! Siège social du CSCNO Salle Nouvel Ontario 201, rue Jogues, Sudbury Date butoir pour l’inscription sur notre site Web : le 25 novembre Inscrivez-vous sur notre site WEB et payez par carte de crédit ou PAYPAL ou par chèque libellé à l’AFPED+ et déposé à la poste avant le 22 novembre, accompagné du formulaire d’inscription au 105-240, boul. Centrum, Ottawa (Ontario) K1G 6E3 Inscription obligatoire. Les places sont limitées! Devenez membre en premier pour profiter du tarif réduit… Visitez le site WEB, ZZZDISHGFDSRXUFRQQDvWUHOHVDXWUHVUDEDLV super comme une orange percée par une paille en plastique tour d’industrie diٻcilement durable mais debout droit debout au sein d’une tornade, sur le bouclier poinçonné, pas encore allumée le dernier shut-down du mois d’aout quand on te brosse l’en dedans les concierges masqués comme à la guerre contre le gaz moutarde frottent la machine et comptent les cigarettes jusqu’à la pause santé la branche singulière et dormante d’un compas participatif : on s’encercle on admire l’étendue du crachat Daniel Aubin qu’elle raconte aux nuages et on s’encercle et on pose le paysage noirci et reverdi autour de sa majesté et on s’encercle comme un mot mystère : vraiment trop évidente première personne en anglais elle nous assomme de sa présence dont nous sommes mais drôlement Åers on s’encercle dans le plein milieu du milieu de nulle part ailleurs en 3144 quelqu’un y amarre son bateau de pêche et grimpe sur la paroi pitche un caillou dans la piscine d’encre terrible pour les empoisonnés et les curieux une capsule témoin à détonation très belle et très lente et trop grande et géante dans un rêve tu roulais sur la rue Kathleen comme l’aiguille d’un tourne-disque ARTS 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV B3 Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Une artiste qui s’inspire de ses voyages à travers le monde 98.9 104.1 Photo : Émilie Deschênes 93.7 92.9 95.9 SUDBURY TIMMINS KAPUSKASING HEARST CHAPLEAU et maintenant TIMMINS Le Musée de Timmins : CNE présente une exposition d’art intitulée Travels with Otti», une initiative d’Otti Hoehn Twardowski, qui se spécialise en photographie et en poterie. L’artiste s’est inspirée de ses voyages partout à travers le monde pour oٺrir une panoplie d’œuvres qui orneront les murs de la salle rouge du musée jusqu’au 26 novembre. Roxanne Collins, agente de programmation du Musée de Timmins, fait la démonstration d’une des œuvres en exposition. (É.D.) Musique et minuit à Paris (à Sudbury) Daniel Aubin Le Voyageur SUDBURY Mea-culpa. Je dois avouer qu’en dépit du fait que je couvre depuis quelques années le secteur culturel sudburois, je ne me suis jamais retrouvé devant un concert de l’Orchestre symphonique de Sudbury (OSS). Il est donc intéressant de constater que le premier évènement de l’OSS auquel j’ai assisté était justement une nouvelle initiative de développement de public. Les évènements de la série Film et musique de l’OSS présentent un court concert de musique classique suivi de la projection d’un Ålm. Le samedi 8 novembre, c’est la comédie Midnight in Paris, de Woody Allen, qui a inspiré le programme musical interprété par le quatuor à cordes de l’OSS. Un mot d’abord sur la formation de ce quatuor : à part le violoncelliste Joe Goering, sa composition est identique à l’excellent quatuor à cordes Silver Birch. Christian Robinson assume encore avec brio le rôle de premier violon et présente chaque morceau de musique d’une façon colorée et didactique. Beth Schneider-Gould exerce admirablement la place 97.1 NIPISSING Écoutez-nous en ligne : leloupfm.com du second violon alors que Jane Russell manipule merveilleusement l’alto. En tant que violoncelliste, Joe Goering sait appuyer l’ensemble avec la base solide du bas registre de son instrument. La sélection de morceaux interprétés par le quatuor annonçait très bien le thème et l’époque qui ont été explorés dans le Ålm Midnight in Paris, dans lequel on raconte l’envoutante nostalgie qu’éprouve le personnage principal pour le Paris des années 1920. C’est ainsi que le programme a réussi à mêler le jazz de Duke Ellington au Quatuor à corde en fa majeur de Ravel, au Duo pour deux violons de Milhaud et l’Elegy pour alto solo de Stravinsky. Les deux premiers mouvements du Quatuor à cordes en fa majeur ont encadré le concert. Le premier de ceuxci a réussi à susciter une certaine nostalgie et des images de grands plans cinématographiques. On dirait que le sens de la nostalgie ressort particulièrement bien des segments lents et pensifs qui suivent ceux qui sont chaotiques et frénétiques. Après le très ludique Duo pour deux violons, caractérisé par des rythmes qui suggèrent une quelconque danse sociale, on retrouve au cœur du concert l’Elegy de Stravinsky. Alors que la nostalgie de Ravel et du Ålm Midnight in Paris est déclinée avec le sourire, l’élégie de Stravinsky témoigne d’une douleur profonde. C’est une nostalgie qui frôle le deuil d’une âme qui souٺre d’une terrible perte, aussi lointaine soit-elle. Par moments, on dirait que la musique est malade ou bien qu’elle sanglote. C’est un morceau très puissant. Les deux morceaux de Duke Ellington interprétés par le quatuor, Mood Indigo et Solitude, agissent en contrepoids l’un contre l’autre. Mood Indigo célèbre la joie du passé. On dirait une chanson populaire sur un quelconque âge d’or. Solitude mérite bien son titre. Le morceau évoque la douleur qu’est de témoigner du bonheur des autres alors qu’on se sent particulièrement seul. Étant un morceau d’Ellington, c’est une mélancolie qui ne perd tout de même jamais de vue la beauté. Le second mouvement du Quatuor à cordes en fa majeur a bien mené à conclusion le concert. Avec les mélodies en pizzicato au début et à la Ån du mouvement, il s’agit d’un morceau vif et ludique avec un très beau solo pour le premier violon qui rappelle des grands coups de vent. Somme toute, ce fut une très belle soirée et une excellente première rencontre avec la programmation de l’OSS. La photographie en popularité croissante Andréanne Joly Le Voyageur NORD ONTARIEN «On a de meilleurs appareils et ils sont accessibles, a constaté la directrice du Développement économique de Hearst, Sylvie Fontaine. On peut avoir une bonne caméra à meilleur prix, jouer avec tant qu’on veut. Plus besoin de faire imprimer ses photos pour voir le résultat. C’est plus accessible. Le monde de la photographie a changé.» Et ça parait. Dans les galeries du Conseil des arts de Hearst et du Centre de loisirs de Kapuskasing, la photographie occupe de plus en ARTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. plus de place : projets collectifs et photographes amateurs reprennent le Æambeau des peintres depuis quelques années. À Kapuskasing par exemple, la Galerie Paquin, qui présentait une exposition de photographies par année, accueille maintenant au moins deux photographes depuis 2008 en plus de multiplier le nombre Photo : Andréanne Joly B4 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV J’AIME Georges Poitras est en vedette à la Galerie Paquin LE NOUVEAU REGARD FRANCOPHONE | TOUS LES SOIRS 20H30 TFO.ORG d’expositions multidisciplinaires où la photo est présente. La directrice générale du Conseil des arts de Hearst, Valérie Picard, remarque aussi que ce genre d’exposition est prisé tant par les photographes que le public. «Pour les artistes, c’est beaucoup plus accessible comme média, rappelle-telle. Et pour le public, c’est plus facile à comprendre. Quand on présente une exposition d’art conceptuel, il y a un espace d’interprétation entre l’œuvre et les gens, tandis qu’en photographie, c’est beaucoup plus littéral.» La réponse et l’engouement sont tels qu’en 2014-2015 la Galerie 815 a présenté trois expositions de photos, dont une regroupant les œuvres inscrites au concours Hearst en perspective. Ce concours, qui a rassemblé une dizaine de photographes, vient d’ailleurs de terminer sa deuxième édition et sa deuxième exposition. «La plupart des participants sont des amateurs. On découvre de bons photographes. On a du talent! C’est le fun», de dire Mme Fontaine. L’écho est le même à la galerie du Centre culturel de Moonbeam, où l’on prépare la troisième édition d’un concours de photographie. «Oui, il y a beaucoup de photos sur la Æore. C’est correct», a remarqué Mme Fontaine, comme d’autres. Mais il l’éloigne de son objectif de créer une bibliothèque de photographies touristiques. «C’est diٻcile pour moi de me servir d’un close-up d’une branche d’épinette pour vendre Hearst dans le Nord-Est de l’Ontario. Mais ces photos-là ont leur place dans l’exposition. Au point de vue touristique, ça me prend des photos avec du monde dedans.» Dans cette optique, le concours se déroulera en janvier aÅn d’aller chercher plus de photos d’hiver, qui seront à nouveau exposées en octobre 2015. D’ici là, plusieurs autres occasions permettront de découvrir les photographes locaux. En novembre, Georges Poitras est en vedette à la Galerie Paquin de Kapuskasing, et en janvier et février, Moonbeam fait place au concours Chasseurs d’images. 25,00 $ adultes 22,50 $ aînés et étudiants 5,00 $ élèves du secondaire (quantité très limitée) Achetez vos billets dès maintenant au (705) 525-5606 poste 4 ou laSlague.ca Partenaires de saison : Partenaires médiatiques : Partenaires financiers : SPORTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Des médailles pour trois clubs au tournoi Big Nickel Photo : Éric Boutilier Éric Boutilier Le Voyageur SUDBURY et TIMMINS Trois équipes de hockey peewee et bantam du Nord-Est de la province se sont classées parmi les meilleurs de leur division respective du tournoi de hockey AAA Big Nickel à Sudbury. Les Wolves de Sudbury et les Eagles de Timmins, deux équipes bantam AAA du Nord de la province, se sont aٺrontées en Ånale de leur section du tournoi dimanche pour disputer le titre de meilleure formation de 2014. Sudbury a gagné la médaille d’or grâce à une victoire de 2-1 contre Timmins sur la patinoire du complexe Gerry sports McCrory Countryside. Les Eagles reviennent du Grand Sudbury avec une médaille d’argent autour du cou. Au niveau peewee, les Sons de Nickel City se sont retrouvés avec une médaille d’argent malgré un revers de 5-2 en Ånale contre le Wild de l’Est de l’Ontario. Des six équipes midget du Nord-Est qui ont participé au tournoi, seuls les Majors de Timmins ont accédé aux séries éliminatoires du Big Nickel. Les Majors ont perdu 6-1 samedi soir contre les Flyers de Don Mills dans un match de demi-Ånale. Plus de 45 équipes des quatre coins de l’Ontario, du Québec et du Michigan se sont présentées à Sudbury pour cette 35e édition du tournoi Big Nickel. Une reconnaissance qui surprend les Flammes Photo : École secondaire catholique Thériault TIMMINS L’équipe de curling masculin des Flammes de l’école secondaire catholique Thériault a reçu une nouvelle surprenante par rapport à sa participation au championnat de curling de la Fédération des associations des sports des écoles secondaires de l’Ontario (OFSAA). Cette formation de Timmins, qui s’est rendue à North Bay pour la compétition en mars dernier, n’a appris que cinq mois plus tard qu’elle avait remporté une bannière en raison de son esprit sportif sur et hors de la surface de jeu. La semaine dernière, les athlètes de l’équipe de curling ont enÅn été reconnus pour leur exploit à ce championnat provincial d’envergure. (É.B.) Écoutez les matchs des Canadiens de Montréal en direct sur les ondes de Le Loup FM 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV B5 B6 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV SPORTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Bilan des séries de basketball féminin des écoles secondaires Photo : CSCNO Éric Boutilier Le Voyageur NORD ONTARIEN Pendant la dernière semaine, plusieurs équipes de basketball féminin du secondaire ont disputé des matchs de séries éliminatoires aÅn de déterminer les équipes qui représenteront les régions aux championnats de l’Association des sports des écoles secondaires du Nord de l’Ontario (NOSSA) la Ån de semaine prochaine. Dans le Grand Sudbury, les Alouettes du collège Notre-Dame ont remporté le titre de la première division de l’Association des sports des écoles secondaires du district de Sudbury samedi. Les Alouettes ont défait les Knights de l’école Lo-Ellen Secondary 42-34 et représenteront le district de Sudbury au championnat de NOSSA à North Bay en Ån de semaine. Dans le Nipissing, l’équipe junior des Barons de l’école secondaire catholique Algonquin a remporté son premier match de Ånale jeudi contre les Braves de l’école secondaire publique Northern 33-18. L’équipe senior des Barons a gagné 49-22 face aux Trojans de l’école West Ferris Secondary plus tard en soirée. Si un troisième match s’avère nécessaire, les équipes s’aٺronteront de nouveau mercredi soir au gymnase d’Algonquin. Les Alouettes du collège Notre-Dame, championnes de 2014 nos équipes de l’OHL Greyhounds de Sault-Ste-Marie Les choses sont allées rondement pour les Greyhounds la semaine dernière. L’équipe a remporté ses trois matchs à domicile pour maintenir une très confortable avance en tête du classement de la division Ouest. Mercredi, les joueurs de l’entraineur-chef Sheldon Keefe sont sortis gagnants d’un match serré face aux Whalers de Plymouth au Essar Centre. Le duel s’est terminé par la marque de 3-2. Le gardien de but Brandon Halverson a repoussé 35 des 37 tirs des Whalers. Les Greyhounds l’ont emporté par le même pointage vendredi alors que les visiteurs étaient les redoutables Bulls de Belleville. Le gardien Halverson a encore une fois fait du bon boulot en arrêtant 40 lancers et l’ailier gauche Tim Gettinger a marqué ses quatrième et cinquième buts de la saison. Le lendemain, les Greyhounds ont écrasé les Colts de Barrie par la marque de 8-3. Les attaquants Sergey Tolchinsky, qui mène l’équipe avec 26 points et se retrouve aux 10e rang des pointeurs de la ligue, et Tim Gettinger ont chacun récolté un but et deux passes dans ce match à sens unique. Les représentants de Sault-SteMarie seront sur la route cette semaine. Ils aٺronteront deux équipes de leur division qui sont sous la barre de .500, les Whalers de Plymouth samedi et les SpitÅres de Windsor le lendemain. (P.L.) Battalion de North Bay Les partisans du Battalion peuvent toujours se réjouir du fait que leur club soit encore au sommet de la division Centrale. Malgré une défaite de 2-1 jeudi soir contre les Petes de Peterborough, les troupes ont réussi à rebondir avec une victoire de 4-1 face aux Frontenacs de Kingston. Le Battalion maintient sa tendance à lancer la rondelle plus souvent que ses adversaires. Lors du match contre Peterborough, l’équipe a lancé 44 fois vers le but du gardien Matthew Mancina. Les Petes n’ont dirigé que 33 tirs au Ålet du Battalion. Le club a cependant été la victime de malchance avec seulement six secondes à jouer au le tableau indicateur du Memorial Centre de Peterborough alors que Stephen Nosad a compté le but gagnant pour les Petes. Seul Brendan Miller, Photo : Éric Boutilier un défenseur des troupes. a réussi à déjouer Matthew Mancina. Vendredi au K-Rock Centre, le Battalion a lancé à 31 reprises au Ålet des Frontenacs. Jake Smith n’a reçu que 23 tirs de l’équipe adverse. Quatre joueurs du Battalion ont compté lors de ce match, soit Nick Paul, Mathew Santos, Brett McKenzie et Matt Amadio. Le Battalion n’a pas pu disputer son troisième match de la Ån de semaine contre les 67s d’Ottawa. L’équipe a été avisée d’une panne d’équipement à la Place TD d’Ottawa qui a causé la fonte de la glace. Le match est reporté à plus tard pendant la saison. (É.B.) Wolves de Sudbury Malgré un rendement décevant à date cette saison, les Wolves ont su réjouir les amateurs présents à l’aréna du centre-ville samedi soir avec une belle victoire de 7-6 face aux Bulls de Belleville. Nathan Pancel a mis un point d’exclamation à une soirée fort productive, complétant son tour de chapeau en prolongation pour donner la victoire aux siens, qui tiraient de l’arrière 6-3 en troisième période avec moins de sept minutes a jouer. Malheureusement pour les hommes de Paul Fixter, la Ån de semaine à domicile a montré le meilleur, mais aussi le pire. Minés par les erreurs défensives et une performance laborieuse du gardien Samuel Tanguay la veille, les Sudburois ont encaissé leur 15e revers de la saison, s’inclinant 9-2 contre les Colts de Barrie. Seuls Matt Schmalz, avec son 10e but, et Jacob Harris, avec son 2e, ont battu le gardien recrue Ruan Badenhorst. Les Wolves sont au tout dernier rang de la ligue entière. (R.P.) Les Griffons sont les Les Patriotes s’inclinent en demi-finale champions de la division B Éric Boutilier par la marque de 14-0 à la grande déception des spectateurs locaux au volleyball de la SDSSAA présents au terrain des Patriotes à Photo : Éric Boutilier Le Voyageur NIPISSING OUEST Photo : Éric Boutilier Éric Boutilier Le Voyageur SUDBURY L’équipe de volleyball junior masculin des Griٺons de l’école secondaire du Sacré-Cœur de Sudbury a remporté son match de la Ånale samedi au gymnase de Cambrian College. Les Griٺons ont défait les Chargers de l’école Confederation Secondary 3-1 pour remporter le championnat de la division B de l’Association des sports des écoles secondaires du district de Sudbury (SDSSAA). L’équipe de volleyball junior des Aigles de l’école secondaire catholique l’Horizon a perdu 3-1 face aux Vikings de Lockerby dans la Ånale de la division A. Les nombreux championnats ré- L’équipe de football junior des Patriotes de l’école secondaire catholique Franco-Cité a perdu son match de demi-Ånale samedi contre les Bears de St. Joseph Scollard Hall. Les Patriotes n’ont pas été en mesure de marquer un point contre la défensive des Bears, s’inclinant Sturgeon Falls. St. Joseph Scollard Hall aٺrontera l’équipe de West Ferris plus tard cette semaine pour déterminer qui remportera le titre de 2014 du football junior de l’Association des sports des écoles secondaires du district de Nipissing (NDA). Deux joueurs du Nord ont participé au Défi mondial des moins de 17 ans Éric Boutilier Le Voyageur gionaux de volleyball de l’Association des sports des écoles secondaires du Nord de l’Ontario (NOSSA) seront présentés la Ån de semaine prochaine à Mattawa, Elliot Lake, Espanola, Sudbury et North Bay. NORD ONTARIEN Deux attaquants du Nord, Zach Poirier, du Battalion de North Bay, et Anthony Salinitri, des Greyhounds de Sault-Ste-Marie, étaient membres d’une des équipes canadiennes lors du DéÅ mondial de hockey des moins de 17 ans présenté la semaine dernière à Sarnia. Lors de cette compétition spéciale pour déterminer les joueurs qui participeront à l’équipe des moins de 18 ans ou à l’équipe junior nationale, Zack Poirier s’est démarqué en marquant trois buts pour l’équipe canadienne aux chandails noirs. Anthony Salinitri en a compté un seul pour l’équipe canadienne aux chandails blancs. Aucune des trois équipes canadiennes n’a réussi à franchir le seuil des demi-Ånales du tournoi. Huit équipes ont participé à la compétition, soit trois du Canada, une de la Finlande, de la Russie, de la Slovaquie, de la Suède et des États-Unis. SPORTS 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV B7 Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Prière St-Esprit, toi qui m’éclaircis tout, qui illumines tous les chemins pour que je puisse atteindre mon idéal, toi qui me donnes le don divin de pardonner et oublier le mal qu’on me fait et qui es avec moi dans tous les instants de ma vie, je veux pendant ce court dialogue te remercier de tout et confirmer encore une fois que je ne veux jamais me séparer de toi, même et malgré n’importe quelle illusion matérielle. Je désire être avec toi dans la gloire éternelle. Merci de ta miséricorde envers moi et les miens. La personne devra dire cette prière pendant trois jours de suite. Après les trois jours, la grâce demandée sera obtenue même si elle pourrait paraître difficile. Faire publier aussitôt la grâce obtenue sans dire la demande, au bas mettre les initiales de la personne exaucée. R.L. et L.L. La famille annonce avec regret le décès de Gilles Simard le 6 novembre 2014, à l’age de 64 ans. Mari bienaimé de feu Denise (née Joubert) Simard. Garcon de Albert et Yvonne (née Brosseau). Père bienaimé d’Eric (Angèle) et Alain (Natalie). Cher frère de Ronald (Madeleine), Suzanne Bradley (André), Rachelle Larcher (Jean-Paul) et Denis (Carmen). Grand-papa de Nicholas, Elisa, Jérémy, Zavier et Audrey. Compagnon de vie de Hugette Patoine. Il sera en douces mémoires par plusieurs nièces, neveux et amis. La famille vous invite à la Coopérative funéraire (222, boul. Lasalle), le mercredi 12 novembre de 7pm-9pm et le jeudi 13 novembre de 9-11:30am. Les prières vont suivre à 11:30am. Pour exprimer vos gestes de sympathies, des dons seront acceptés (par chèque) pour la fondation Terry Fox. DEUX POSTES TEMPORAIRES À L’UNIVERSITÉ DE SUDBURY Le Bureau du recrutement et des communications à l’Université de Sudbury cherche à remplir des postes administratifs de durée temporaire. 1 – ADJOINT(E) : sera responsable d’appuyer la Secrétaire générale/Directrice du recrutement et des communications dans la gestion de divers dossiers. t excellentes compétences interpersonnelles; t connaissance avancée des logiciels Microsoft ; t capacité de travailler de façon autonome. 2 – COORDONNATEUR-TRICE DE PROJETS DE TRANSITION : sera responsable de la gestion de projets spéciaux. Faire parvenir votre demande à Sylvie Renault, [email protected], d’ici le 18 novembre 2014. Pour plus d’informations, consulter notre site web; usudbury.ca sous l’onglet « Les opportunités d’emploi » Exigences : t habileté de travailler en français et en anglais; t excellentes aptitudes de rédaction et de communication; t bon sens de l’organisation et emploi efficace de son temps; L’Université de Sudbury souscrit au principe de l’équité en matière d’emploi et invite toutes les personnes qualifiées, y compris les femmes, les Autochtones, les membres des minorités visibles et les personnes handicapées à poser leur candidature. On communiquera seulement avec les gens retenus pour une entrevue. Les humanités... inspirant une splendeur d’esprit. 705-673-5661 www.usudbury.ca Membre de la Fédération Laurentienne La Ville du Grand Sudbury est un employeur souscrivant au principe de l'égalité d'accés à l'emploi. Nous remercions toutes les personnes qui poseront leur candidature mais nous communiquerons uniquement avec celles retenues pour une entrevue. La Ville du Grand Sudbury s'est engagée à fournir un excellent accès à des services et un leadership solide dans le développement social, environnemental et économique de notre communauté. Nous invitons toute personne intéressée à travailler au sein d'un milieu municipal dynamique à prendre connaissance des possibilités d'emploi suivantes et à y postuler. Camionneur/Camionneuse (10 postes) Division des services des routes et des transports 1XPpURGHODSRVVLELOLWpG¶HPSORL EO14-426 à EO14-435 Date de cloture : Le 20 novembre 2014 à 16 h 30 Préposé(e) aux déchets (3 postes) 'LYLVLRQGHVVHUYLFHVGHO¶HQYLURQQHPHQW 1XPpURGHODSRVVLELOLWpG¶HPSORL EO14-438 à EO14-440 Date de cloture : Le 1 décembre 2014 à 16 h 30 VOUS AVEZ DES SUGGESTIONS DE REPORTAGES SPORTIFS ? CONCEPTEUR-TRICE PÉDAGOGIQUE (POSTE TEMPORAIRE) Le Bureau du recrutement et des communications à l’Université de Sudbury cherche à remplir le poste temporaire, à temps partiel de concepteur-trice pédagogique. Sous la direction de la Secrétaire générale, l’individu s’occupera de la conception pédagogique des cours à distance développés par l’Université de Sudbury. Poste à temps partiel (40 heures/mois approx.); capacité de travailler de chez soi (doit avoir accès à l’Internet et à un ordinateur). Exigences : t expérience relative au poste; t habileté de travailler en français et en anglais; t excellentes aptitudes de rédaction; t soucieux des détails et d’excellentes compétences organisationnelles; t excellentes compétences avec les logiciels informatiques, surtout Microsoft Word; t emploi efficace de son temps; t capacité à travailler de façon autonome. Faire parvenir votre demande à Sylvie Renault, [email protected], d’ici le 18 novembre 2014. Pour plus d’informations, consulter notre site web; usudbury.ca sous l’onglet « Les opportunités d’emploi » L’Université de Sudbury souscrit au principe de l’équité en matière d’emploi et invite toutes les personnes qualifiées, y compris les femmes, les Autochtones, les membres des minorités visibles et les personnes handicapées à poser leur candidature. On communiquera seulement avec les gens retenus pour une entrevue. Les humanités... inspirant une splendeur d’esprit. 705-673-5661 www.usudbury.ca Membre de la Fédération Laurentienne Communiquez avec Éric Boutilier au 1.866.926.3997, poste 6210 ou par courriel à [email protected] Devenez fan du Voyageur sur Facebook! facebook.com/Journal-Le-Voyageur Prix des petites annonces : 10 $/semaine, 25 mots maximum. Elles paraitront dans le journal et sur le site internet. Remerciements et prières : 20 $ (2 po. x 4 po. maximum). Rencontres : 35 $/semaine (25 mots maximum, sans photo) 60 $/semaine (25 mots maximum, avec photo). Avis de mariage, d’anniversaire ou de décès : 25 $ sans photo, 50 $ avec photo. Les annonces doivent être payées à l’avance et sont non remboursables. Les prix incluent la TVH. L’heure de tombée est le vendredi midi pour le mercredi suivant. Les annonces peuvent être apportées en personne ou envoyées par la poste: 336, rue Pine, Suite 302, Sudbury (Ontario) P3C 1X8 B8 0IQIVGVIHMRSZIQFVI0I:S]EKIYV SPORTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe. Le maitre du squash nord-américain face au meilleur joueur du Nord Photos : Charles de la Riva les découvertes de Randy Vincent Llorca Photo : Courtoisie Éric Boutilier Le Voyageur Randy Pascal SUDBURY Jonathan Power, un joueur de squash qui évolue sur les grands circuits partout sur la planète, aٺrontait Mike McCue, un joueur élite natif de Sudbury, au complexe du YMCA il y a deux semaines dans le cadre d’une activité de collecte de fonds pour la Fondation des enfants du YMCA. En 1999, Jonathan Power est devenu le premier joueur de squash d’Amérique du Nord à se classer au premier rang mondial. Malgré une défaite de 3-0 du joueur sudburois, M. McCue a proÅté de l’occasion pour démontrer ses habiletés aux nombreux amateurs de sa ville natale. Mike McCue se classe actuellement au 127e rang mondial, Le Voyageur SUDBURY le meilleur classement d’un joueur nord-ontarien de l’histoire de ce sport. UN NOUVEAU SPECTACLE GIGANTESQUE ! Detesunmeinnuesit ! Le chemin qui mène aux sports au niveau postsecondaire est souvent long et diٻcile. Pour Vincent Llorca, de l’équipe de hockey de l’Université Laurentienne, ce fut un périple plus long que d’autres. Natif de Mont-Dore, en France, il a suivi les trace de son père, qui l’a encouragé et aidé à progresser au hockey dans sa jeunesse. «Je n’étais pas très bon au soccer, avoue-t-il avec un sourire. J’ai joué pendant une année, comme le faisaient tous mes amis, mais ça ne me tentait pas comme le hockey.» Parti de Grenoble à l’âge de 17 ans, il a continué son développement au Canada deux ans plus tard comme membre d’une formation junior à Nepean. Il a dû faire certains ajustements tant au niveau culturel que sportif. «Les patinoires sont plus petites [au Canada]. Il y a moins de place, donc c’est plus physique que chez nous, souligne Vincent Llorca. Je ne frappais pas beaucoup lorsque je suis arrivé à Nepean. C’est mieux maintenant, mais pas encore au niveau comme si j’avais joué pendant une dizaine d’années en Amérique du Nord.» Hors des patinoires, il y a aussi eu une période de transition. «C’était fatigant de parler toujours en anglais, dit-il. Heureusement, ma famille d’acceuil parlait en anglais et en français.» Attirant l’attention des gens du nouveau programme des Voyageurs et de l’entraineur Craig Duncanson, le jeune hockeyeur s’est inscrit à la Laurentienne à l’automne 2013. «Ici, il n’y a pas beaucoup de parties, donc chaque partie les gars se défoncent, ajoute-t-il. ia patine vite. On ne peut pas prendre une soirée de repos.» La Åche de 5-22-1 de l’équipe l’an dernier a déjà été surpassée. Les Sudburois ont été victorieux à six de leurs neuf matchs cette saison. «On a ajouté de bons joueurs à l’équipe et on a beaucoup plus de profondeur dans nos lignes, expliquet-il. Il y a plus de concurrence cette année. Les gars ont beaucoup appris l’année dernière même si on a beaucoup perdu. Les gars savaient qu’il fallait qu’on travaille fort durant l’été pour être de retour en meilleure forme. Mentalement et physiquement, ce n’était pas une année facile, mais je pense qu’on a beaucoup appris de ça.» Le défenseur de 6 pieds 2 pouces a été la vedette du match du 1er novembre face à Laurier. Il a marquant cinq buts dans une victoire de 7-5 des Voyageurs. Il note une diٺérence de priorités entre Craig Duncanson et d’autres entraineurs pour lesquels il a joué. «Il met l’accent beaucoup plus sur l’attaque, explique-t-il. Nous, comme défenseurs, on a le droit de monter à l’attaque. Il nous laisse pas mal de liberté, tant qu’on joue intelligemment.» Vincent Llorca est un étudiant en troisième année en génie méchanique. Il envisage peut-être, une fois diplomé de la Laurentienne, de continuer à jouer au hockey dans un région plus familière. «Moi, en tant qu’Européen, j’ai la chance de pouvoir retourner jouer en Europe très facilement, ajoute-t-il. J’espère avoir une chance en France ou en Allemagne. Leur jeu [en Allemagne] ressemble beaucoup au jeu nord-américain, que j’apprécie maintenant beaucoup.» Les Lakers remportent la guerre de la route 17 Photo : Éric Boutilier 250 COMÉDIENS, CHANTEURS ET DANSEURS ! MERCREDI et JEUDI 19 et 20 NOVEMBRE à 19 h i:*;/i90(<3;;04405: 341, boul. Thériault CÉLESTE LÉVIS ET LE VOYAGEUR CHRISTIAN PILON EN PREMIÈRE PARTIE ! Billets : 15 $ 705 267-8401 (Centre culturel La Ronde) ou au 705 267-1491 (É.S.C. Thériault) Conseil scolaire public du Nord-Est de l'Ontario L'enfant au coeur de nos décisions! NIPISSING OUEST Vêtus d’uniformes roses, les joueuses de l’équipe de hockey féminin des Lakers de Nipissing ont réussi à battre leurs rivales de l’Université Laurentienne 4-1 lors du match en rose annuel présenté au Memorial Gardens samedi soir. Après neuf parties cette saison, Nipissing se retrouve en huitième place du circuit de 13 clubs. La Laurentienne se classe présentement au 12e rang.