L`assistant photographe

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L`assistant photographe
L'assistant photographe
Photographe amateur à mes heures perdues, je parcoure les blogs à la
recherche de défis photographiques afin d'inspirer mes tableaux. Je possède, entre autre
gadget une petite télécommande qui peut déclencher mon reflex à distance sur son pied,
ce qui me permet d'être à la fois le modèle et le photographe.
Un jour que je me prélassais dans une petite robe à fleur sur mon transat, je
me pris à rêver d'avoir un "assistant photographe" ou plutôt un photographe pour me
guider, me diriger et me prendre en photo à la place de ma petite télécommande...
Je l'imaginais, là, assis sur une chaise, face à moi, je l'aurai regardé dans les yeux tandis
que mes jambes auraient joué un jeu à lui faire perdre la tête.
Croisant, décroisant mes jambes, j'aurai laissé ma robe remonter, dévoilant à ses yeux
avides mes sous-vêtements. Cette idée m'excita terriblement et je sentis l'humidité
s'immiscer dans les tréfonds de mon intimité. Je l'imaginais, l'appareil à la main, face à
moi, la sueur perlant à son front, les yeux rivés sur mon entre-jambe, ma poitrine, et je
rêvais qu'il me touche. La douce chaleur solaire combinée à mon imaginaire débordant,
j'enlevais ma robe et installais mon équipement photo, pour des prises de vue sexy.
Tout à coup, on sonna à la porte, me tirant de ma douce rêverie... Rapidement
j'enfilai ma robe, encore toute excitée et un peu gênée d'aller ouvrir ainsi. Me dirigeant
vers la porte, un homme, grand, brun, un grand sourire aux lèvres attendait. Il venait pour
me faire remplir une enquête sur la sexualité des français, je lui ouvris et lui indiqua le
jardin. Il faisait si beau qu'il valait mieux en profiter...
Je ne savais si mon excitation se voyait à mon visage, ou si c'étaient les
phéromones que je dégageais, ou encore ma cyprine qu'il repéra à l'odeur, mais tout en
discutant je m'aperçu que son regard s'attardait sur moi,mes jambes,ma poitrine... Je
sentis que je lui plaisais. Espiègle, je me suis amusée à l'allumer l'air de rien, faussement
innocente, en remplissant son questionnaire, mâchouillant ou léchant mon stylo. Les
questions osées déliaient ma langue et finissaient de m'embraser toute entière. Un peu
garce je lui mentionnais même les pratiques que j'avais envie de tester. Il resta très pro, le
temps du questionnaire, ne relevant pas mes allusions, si ce n'est par un regard étonné et
un sourire conquis. Avant de repartir, il mentionna mon appareil photo, sur pied, tourné
vers le transat, que j'occupais il y a peu.
Avec une moue gênée je lui expliquai que je prenais des photos de moi, que ce n'était pas
facile seule mais que je m'en sortais plutôt pas mal grâce à ma précieuse alliée : la
télécommande. Lui montrant les photos prises à l'aide de cette dernière, ses yeux brillant
d'un nouveau feu, il critiqua le cadrage et me suggéra de demander à quelqu'un de
m'aider, un grand sourire aux lèvres.
Saisissant la perche et ôtant mon appareil de son support je le lui tendis.
Ravi, il le prit avec assurance et m'invita à prendre la pose.
Sur le transat, je l'observai, désir et amusements semblant être mêlés, je relevai mes
jambes, l'une après l'autre, dans une danse laissant apercevoir mes dessous. Il déglutit,
son trouble était palpable, gardant mon assurance je l'encourageais d'un regard sans
pudeur.
Pour pimenter les choses, tout en le regardant intensément, je me remis dans la tenue où
la sonnette m'avait interrompue. Lorsque j'eus retiré ma robe, j'entendis qu'il retenait son
souffle. La vue de la vignette l'avait préparé à ça mais néanmoins je le troublais, j'étais
aux anges offerte à son regard dans mon soutien-gorge et string noir et or.
Lui semblait enchanté d'être ici, à tourner autour de moi pour me prendre en photo sous
toutes les coutures.
Tout mon corps en alerte, je sentis la douce chaleur solaire sur ma peau, ainsi que le
poids de son regard, brûlant de désir. Je savais qu'il s'interrogeait, il se demandait
jusqu'où j'irais, moi imperturbable je continuai à me dénuder et prendre la pose sous ses
yeux éberlués. Bien que tout à fait nue et vulnérable, j'avais l'impression de tout contrôler.
Tandis qu'il me regardait hébété, je mourrai d'envie qu'il me touche, j'aurai voulu sentir ses
mains sur moi, sur ma peau,... Transmission de pensées? Télépathie? Il répondit à mon
attente, mais il osa d'abord à peine poser sa main sur mon pied, faisant mine de le placer
pour un cliché. Voyant que je ne le repoussais pas et même que je l'encourageais du
regard, il décida de promener sa main le long de ma jambe. Il remonta jusqu'à ma cuisse,
déviant vers l'extérieur pour me caresser le bassin. Je fermai les yeux savourant l'instant,
ronronnant, gémissant... comme ce fut bon cette douceur, cette tendresse. Au vu de ma
réaction il s'enhardit, entre 2 photos sa main glissa sur ma jambe remontant jusqu'à mon
sexe toujours humide, un doigt s'attarda, s'introduit subrepticement, il le lécha, juste pour
connaître mon goût.
Frustrée de ce passage trop rapide, je lui rappelai faussement offusquée qu'il s'était
proposé d'être mon photographe, il s'excusa et repris son office...
Il me proposa de changer de pose et de décor. Je me éclipsai alors pour
changer de tenue. Je choisis une jolie petite robe fourreau rouge et noire courte et sans
bretelles. Par envie de le tenter je ne portai rien en dessous. L'élastique rehaussé de
dentelle noire reposait sur mes seins dont les pointes tendaient fièrement le tissus, une
petite ceinture noire mettant en valeur ma taille fine. Je complétais ma tenue par des
sandales rouge et argent allongeant mes jambes par de hauts talons aiguilles. Puis je me
dirigeai vers un arbre ainsi vêtue et pris la pose face à l'arbre d'abord et me penchant pour
lui livrer le secret de ma nudité sous la robe. Il garda son sérieux face à ma croupe offerte
sans pudeur à son regard et se cacha derrière l'objectif, tandis que je me tournais pour
m'accroupir jambes écartées dos à l'arbre. De poses aguicheuses en poses d'abandon
total, rêvant qu'il succombe, je le tentai et m'amusai avec ses nerfs. Je crus qu'il allait
craquer lorsque je me mis à quatre pattes jupe relevée sur mon sexe brillant, la courbure
forcée, mais rien n'y fit. Il avait de plus en plus chaud, il me suivit à l'intérieur, voulant me
suggérer une nouvelle tenue... J'optai pour une nuisette couleur lilas avec le string assorti,
c'était un string dont il fallait nouer les rubans de satin sur les côtés, la nuisette se fermait
elle aussi au moyen d'un noeud de satin entre les deux seins laissant le ventre libre à la
vue. je m'habillais devant lui mes yeux rivés aux siens et me mis sur le lit. Toujours aguicheuse et provocante dans mes poses, je testai sa résistance et son
"professionnalisme" en tant que photographe...
Le fait est qu'à force de me voir il n'y tint plus, et alors que je posais allongée
sur le dos yeux fermés, cuisses ouvertes pour une photo, je sentis sa bouche avide se
poser sur mon sexe, dont il écarta le string de côté.
J'ai d'abord tenté un "non" mais sans grande conviction, suivi de mes gémissements de
plaisirs, de ma cyprine dégoulinante et de mes ronronnements disant "oui". Sa bouche me
goûta avidement, sa langue me pénétra délicatement, il finit par poser l'appareil photo, à
côté de moi pour se délecter de mon nectar qui coulait abondamment...
Alors que je cédais au plaisir, tout en tentant de lutter contre mon désir fou et
déraisonné, sa bouche aspirait désormais mon clitoris et le temps n'eut plus de prise sur
nous....Il me lapa, me lécha, m'aspira, me pénétra. Sa langue se faisait douce pour me
lécher puis dure et ronde pour me pénétrer, ses lèvres suçaient énergiquement en
aspirant mon bouton de rose, je fus trempée de salive et de nectar que je produisais en
abondance.
Mon vagin se contractait et se décontractait, un vide se créa à l'intérieur de moi et ce fut
irrésistible je me mis à crier de plaisir.
Il se redressa afin de m'observer et j'en profitai pour me glisser à même le sol, toute
proche de la jouissance à laquelle je n'avais osé m'abandonner devant lui, je soupirais,
gémissais et suffoquais... Mais mon désir bien loin de se calmer, me dévorait et de ma main sous les yeux de mon
photographe, j'entrepris de me caresser.
Je ne résistai pas à l'envie de me pénétrer de mes doigts, j'en glissai un, puis
deux. Je gémissais de plaisir, me tordais, me cabrais, me cambrais, je ne luttais plus
contre ce désir qui déferlait en moi, il m'observait je le savais, peut-être même avait-il
repris l'appareil photo, mais mes yeux bien qu'ils l'invitaient ne le regardaient plus. J'étais
bien trop concentrée sur mes sensations.
Joignant ses efforts aux miens, il me pénétra d'un doigt ou deux. Ses doigts en moi, je
caressai ma poitrine, je titillai mon clitoris, j'essayai de me laisser à jouir. Mais il restait
encore quelques barrières psychologiques à abattre avant de jouir devant cet inconnu.
Et puis sans vouloir vraiment l'admettre, j'avais tant envie d'autre chose que mes doigts ou
les siens. Je voulais une pénétration plus profonde, plus épaisse, moins flexible, plus
souple, plus innervée. Je le voulais lui en moi, je voulais son pénis dur et gonflé....
Laissant tomber mes doutes et mes craintes, je me redressai, saisi son sexe à
travers son jean, tentant de le redresser vers le haut. Mon Photographe très grand avait
un membre en conséquence, qui une fois dressé vers le haut, dépassait de tout son gland
au dessus du jean et de la ceinture. Je ne manquai pas de caresser ce gland, dont une
goutte de désir avait mouillé l'extrémité, je m'apprêtai à le libérer, mais je me retins dans
un dernier sursaut de raison et puis ce jeu si excitant de montée de désir était parfait, ne
risquai je pas d'être déçue s'il n'était pas à la hauteur?
Toute enivrée de plaisir et de désir, je tentai de me saisir d'une nouvelle tenue
pour des photos. J'optai alors pour un petit déshabillé noir très court avec le string assorti.
Je le portai avec des bottes-sandales et contrairement à toute attente, je m'éloignai bien
vite de ce lit qui transcendait nos envies. Je me suis alors dirigée vers l'extérieur, pour une
série photo "nuisette au milieu des pâquerettes".
Le Soleil, brûlait ma peau doucement et ravivait ainsi en moi tout ce désir accumulé.Je
posai là, au Soleil étendue au milieu des petites fleurs blanches et jaunes. il me
surplombait chassant son ombre de mon corps et me guidant dans des poses champetres
et aguicheuses. A quatre pattes, il sertie les ficelles de mon string de plusieurs petites
pâquerettes avant de photographier mon postérieur au milieu des fleurs. Après la photo il
ne résista pas à l'envie de me lécher encore une fois, il ne me lécha qu'une fois, de ma
vulve jusqu'à mon anus, mais s'en fut trop pour moi : désormais je le savais, je ne lutterais
plus et ne lui résisterais pas.
Mais lui ne le savait pas encore, il reprit l'appareil photo et m'abandonna là,
dans l'herbe où je m'écroulai, string de côté.
Il me tendit la main pour m'aider à me relever et changer de tenue.
Je ne m'exécutai pas, je restai là allongée dans l'herbe, le string tiré sur le côté, laissant
ma vulve brûlante en pâture au Soleil.
Ainsi livrée et abandonnée, voyant aussi que je ne souhaitai pas me relever,
mon photographe comprit et se précipita pour me dévorer.
Il me lécha et m'embrassa, il me lapa et m'aspira, mais avec plus de rage et de force,
comme s'il se laissait à son tour emporté par ce désir qui le rongeait depuis quelques
heures. Sa succion fut plus forte, plus prolongée, il me but totalement jusqu'à m'assécher.
Il y joint les doigts et entre sa langue exploratrice, sa bouche aspirante et ses 3 doigts en
moi, je jouis 2 ou 3 fois.... Peut-être même plus... Tandis que ses doigts martelaient mon antre, je ressentis comme il tapait dans l'os avec
violence un soupçon de douleur, surtout que ce va-et-vient fougueux avait eu raison de
ma lubrification naturelle, mais malgré cela je montais de plus en plus haut à l'échelle du
plaisir. Je finis par atteindre un haut plateau, dont je ne voyais pas le bout. Un plateau
orgasmique duquel à peine descendue, je remontais aussitôt pour enchainer de multiples
jouissances sans fin. Sans ce big bang jouissif qui apaise tout! Je me retrouvais
enchaînée, suspendue à ce plaisir interminable, délicieusement agréable et frustrant à la
fois. Je ne voyais qu'une façon de m'en libérer : je le voulais lui, c'est de sa verge
puissante que je voulais l'explosion finale...
J'étais insatiable, il le comprit, je l'attirai à moi, l'embrassai goulûment,
avidement et je le saisis par la ceinture que je tentais de défaire. Il dut m'aider, car dans
mon empressement je n'y arrivais pas. Son sexe libéré se dressa tendu vers moi, bien vite
je l'attrapai et confirmai mon intuition : monsieur était fort bien membré.
Positionnant son sexe devant mon entrée humide, je l'attrapai par la chemise et l'attirai à
moi tout en poussant ses fesses de mes jambes afin de le faire rentrer en moi. Mon désir
était brûlant, tout comme mon vagin, je le voulais en moi entièrement, ses pénétrations
furent douces et moi avide et serrée, très serrée, trop serrée. De plus mes contractions
vaginales n'avaient pas encore cessées depuis mes jouissances précédentes.
Plusieurs va-et vient de toute sa longueur me firent grimper mais il s'extirpa pour ne pas
jouir en moi.
Aussi il jouit contre ma cuisse, sa semence tombant dans l'herbe et les pâquerettes.
Apaisés pour un temps, nous retournâmes à l'intérieur. Nous essayâmes de
remettre un peu d'ordre dans la maison et dans nos vêtements.
Alors que je me rhabillais devant lui, je ne manquais pas de m'apercevoir que je lui faisais
toujours autant d'effet.
Gourmande comme je suis, je me précipitai sur son grand pénis que je me mis en devoir
de nettoyer en entier. Je le léchai de bas en haut, puis je le décalottai. Sentant la vigueur
revenir, j'attrapai son gland entre mes lèvres et doucement, lentement je descendis ma
bouche vers ses bourses!
Ainsi faisant j'arrivai à un centimètre de la base de son pénis et ne fus pas peu fière de
réussir à avaler en entier un tel engin. Faisant ainsi de nombreuses fois, je caressai d'une
main son ventre, tandis que l'autre maintenait fermement la base du pénis, désormais à
nouveau totalement en forme.
Régulièrement je pouvais sentir des gouttes de liquide s'écouler de son gland, que
j'aspirais avec délice. Je le contournai du bout de la langue, puis enroulant cette dernière
autour du gland, je l'introduisis entre mes lèvres ouvertes. Par un mouvement de succion,
je l'aspirai, tout en tournant ma langue autour de lui, j'introduisis alors plus profondément
en ma bouche son pénis. Lentement , ma langue dansant toujours le long de sa verge
tendu, je l'engloutis en gorge profonde. Puis pour ne pas le faire jouir de suite et faire
durer j'alternai des gorges profondes avec d'autres mouvements de langue et de bouche.
Je le léchai de haut en bas, jusqu'à saisir dans ma bouche ses bourses, Alors que je les gobai un instant, cependant que ma main le masturbait vigoureusement et
que je m'apprêtai une fois de plus à me saisir de son gland si doux, il m'attrapa par le
menton, attira ma bouche à la sienne et mêla sa salive, au goût que je portais déjà de lui.
Dès lors je vins m'empaler sur lui, saisissant son sexe d'une main, je le guidai
en moi, tandis que mon bassin effectuait rotations et mouvements de va-et-vient
Nos bouches continuèrent de se mêler, tandis que de ses mains il se saisissait de mes
seins.
Moi, lâchant ses lèvres pour son cou, je le mordillais. Lui, sa bouche libérée, attrapa mes
tétons tour à tour tandis que ses mains se jetèrent sur mes hanches, pour accompagner et
guider mes mouvements.
Dans un râle je compris que je devais vite me retirer, avant que n'explose à nouveau toute
sa passion, en une semence chaude que je n'ai même pas pensé à goûter.
Enfin il se releva, sourit et se rhabilla, me disant merci. A mon tour, le raccompagnant, je le
remerciai pour ces photos, ce bel après midi, ce goût d'interdit....