Textes VOYAGE à illustrer
Transcription
Textes VOYAGE à illustrer
ULYSSE Paroles: Joachim du Bellay, Ridan. Musique: Alain Félix 2007 "L'Ange de mon Démon" © BMG Publishing / Les fleurs, le béton Editions Heureux qui comme Ulysse, A fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison ? {Refrain, x2} Mais quand reverrai-je, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison ? Mais quand reverrai-je Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, Et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour Qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur Me plaît l'ardoise fine, Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. {Refrain, x2} J'ai traversé les mers à la force de mes bras, Seul contre les dieux, Perdu dans les marées ; Retranché dans une cale Et mes vieux tympans percés Pour ne plus jamais entendre Les sirènes et leur voix. Nos vies sont une guerre Où il ne tient qu'à nous De se soucier de nos sorts, De trouver le bon choix, De nous méfier de nos pas Et de toute cette eau qui dort Qui pollue nos chemins soi-disant pavés d'or ! {Refrain, x2} Mais quand reverrai-je... {x3} POUR VOYAGER SUR LA TERRE ET SUR L’EAU Par : Mannick Mus : Jo Akepsimas REFRAIN Pour voyager sur la terre et sur l’eau Pour voyager tout là-bas, tout là-haut (bis) Je peux m’en aller en bateau Glisser vers le lar-arge Rouler dans les va-a-gues Et plonger...dans les flots REFRAIN Je peux m’envoler dans les airs Et sous les étoi-oiles Déchirer le voi-oile D’un coin de l’u-nivers REFRAIN Je peux traverser les forêts Battre la campa-a-gne Gravir les monta-a-gnes M’approcher des marais REFRAIN ( 2 fois) DANS UNE RUE DE VIENNE Jean Yves le Duc Dans une rue de Vienne Chantait la bohémienne Une mélodie ancienne Qui venait de la plaine La la la la … Et les passants de Vienne Très longtemps se souviennent Avec un peu de peine De la triste rengaine. La la la … LE VOYAGE REFRAIN Quand je pars en voyage Je remplis mes bagages Avec tout un fatras Qui ne servira pas Quand je pars à Venise Je remplis mes valises Avec tout un tintouin Qui ne servira point 1 Des habits Pour la pluie Un gilet Bien douillet Et des gants élégants Pour quand il fera frais Ma frangine Sa copine Le pipeau Le cerceau Des cal'çons Pas trop longs Pour quand il fera chaud 2 La casquette Des lunettes Le passeport Quel trésor Des passe-temps Pour dedans Quand il pleuvra dehors Une voile D'amiral Un radeau Hisse hé ho La bouée Un pince-nez Pour gigoter dans l'eau 3 La raquette Les baskets Et des balles Plein la malle Une jolie Pharmacie Pour si je me fais mal Un frigo Du sirop Une armoire De devoirs Une cravate Pour l'épate Et pour sortir le soir Henri DES J’AI FAIT UN GRAND VOYAGE J'ai fait un grand voyage Au-delà des frontières J'ai posé mes bagages Dans un port d'Angleterre Et savez-vous Qui l'aurait cru Savez-vous ce que j'y ai vu J'ai vu un vieil anglais L'air très diplomatique Il avait un chapeau En melon authentique Il disait YES Il disait NO En faisant tourner son chapeau Il roulait sur un grrand vélo Avec les roues pelines de drapeaux J'ai fait un grand voyage Au-delà des campagnes J'ai posé mes bagages Dans un hameau d'Allemagne Et savez-vous Qui l'aurait cru Savez-vous ce que j'y ai vu J'ai vu un Allemand Passionné de musique Qui jouait du violon Assis sur une barrique Il disait NEIN Il disait YA Venez danser autour de moi Il disait à tous que voilà Je suis le roi de la polka J'ai fait un grand voyage Au-delà des montagnes J'ai posé mes bagages Dans un hôtel d'Espagne Et savez-vous Qui l'aurait cru Savez-vous ce que j'y ai vu J'ai vu un Espagnol Jouer des castagnettes De passer tout son temps A faire des pirouettes Il disait SI Il disait NO Assis sur le dos d'un taureau C'était le roi des torreros Qu'il n'aimait que le fandango LE PETIT BONHOMME DE CHEMIN Dans la forêt un matin J'ai trouvé un petit chemin Un petit bonhomme de chemin Qui s'est arrêté soudain L'avait l'air abandonné Au creux d'un fossé En pleurant tout doucement Il appelait sa maman REFRAIN 1 Il avait perdu son ch'min Le petit bonhomme Il avait perdu son ch'min Le petit bonhomme de chemin Faisant l'école buissonnière La tête en l'air, le nez au vent Il sautait ruisseaux et rivières Un beau matin de printemps Il avait couru gaiement A travers les champs Sans regarder en arrière Se perdit dans une clairière REFRAIN 2 Il avait perdu son ch'min Le petit bonhomme Il avait perdu son ch'min Le petit bonhomme de chemin J'ai souri au petit chemin Et je lui ai tendu la main Avec moi il s'est senti bien A mis ses pas dans les miens Il a retrouvé son ch'min Suivant son instinct La grand-route il a rejoint Et j'ai perdu un copain REFRAIN 3 Tout seul je poursuis sans fin Mon petit bonhomme Tout seul je poursuis sans fin Mon petit bonhomme de chemin LA BALLADE DE PEDRO Ne faites pas de bruit Ecoutez mes amis Tout ce qu'un soir d'été Le vent m'a raconté Ne faites de bruit Ecoutez mes amis C'est l'histoir(e) d'un garçon Qui s'appelle Pedro Un sud-américain Il vit à l'Equateur Pas très loin de Quito Son papa est indien Comm(e) toi il a dix ans Et il va à l'écol(e) Il parle quetchouan Et aussi l'espagnol Il habit(e) un(e) maison Fait(e) d'herb(es) séchées Là-bas dans la sierra Plus haut la Cordillèr(e) est toujours enneigée Il fait souvent très froid Sa maman coupe l'herb(e) Pour fair(e) cuir(e) le dîner Pour recouvrir le toit Pour tresser les paniers Il faut travailler dur à toutes les saisons Son pèr(e) est paysan Il élèv(e) des lamas, des vach(es) et des moutons Il tiss(e) des vêtements La fêt(e) des récolt(es) c'est à la Saint-François On entend dans les rues, les tambours, les kenya ...... ORCHESTRE Le copain de Pedro s'appell(e) Francisco Il habit(e) à la vill(e) Il a bien du chagrin d'être loin de Pedro Au fond du bidonvill(e) Là-bas c'est la misèr(e), pas grand'chos(e) à manger Il cire les chaussur(es) dans les riches quartiers L'autre jour à l'écol(e) Pedro a dessiné Une rue de la vill(e) Avec un tas d'ordur(es) Des enfants affamés Venus du bidonvill(e) Dessous il a écrit en gros ces quelques mots : " Pourquoi donc tous les gens ne sont-ils pas égaux ? MEDLEY DE CHANSONS TRADITIONNELLES enchaînées donc à considérer comme devant tenir dans une seule illustration Bon voyage Monsieur DUMOLLET Bon voyage, monsieur Dumollet A Saint-Malo débarquez sans naufrage Bon voyage, monsieur Dumollet Et revenez si le pays vous plaît (REFRAIN) Mais si vous allez voir la capitale Méfiez-vous des voleurs, des amis, Des billets doux, des coups, de la cabale Des pistolets et des torticolis Couplet 1 L’air de la mer peut vous être contraire Pour vos bas bleus, les flots sont un écueil ; Si ce séjour venait à vous déplaire, Revenez-nous avec bon pied bon œil Couplet 4 En passant les Pyrénées En passant les Pyrénées, Y’a d’la neige, y’ d’la neige En passant les Pyrénées, Y’a d’la neige jusqu’au nez En passant le Canigou Y’a d’la neige, y’ d’la neige En passant le Canigou, Y’a d’la neige jusqu’au cou En passant l’Himalaya Y’a d’la neige, y’a dl’a neige, En passant l’Himalaya Y’a d’la neige jusque là Sur le pont du Nord Sur l’pont du Nord un bal y est donné Sur l’pont du Nord un bal y est donné Adèle demande à sa mère d’y aller Adèle demande à sa mère d’y aller Non, non, ma fille tu n’iras pas dansé Non, non, ma fille tu n’iras pas dansé La première danse Adèle a bien dansé La première danse Adèle a bien dansé La deuxième dans le pont s’est écroulé La deuxième dans le pont s’est écroulé Voilà le sort des enfants obstinés Voilà le sort des enfants obstinés Sur la route de Louviers Sur la route de Louviers (bis) Y avait un cantonnier (bis) Et qui cassait (bis) Des tas d’cailloux (bis) Et qui cassait des tas d’cailloux Pour mettr’ su’ l’passag’ des roues Une belle dame vient à passer Dans un beau carrosse doré Et qui lui dit : « Pauv’ cantonnier », Et qui lui dit : « Pauv’ cantonnier Tu fais un fichu métier ! » ROUTE NATIONALE 7 Charles Trénet De tout(es) les rout(es) de Franc(e) d'Europ(e) Cell(e) que j(e) préfèr(e) est cell(e) qui conduit En auto ou en auto-stop Vers les rivages du Midi National(e) Sept Il faut la prendr(e) qu'on aill(e) à Rome à Sèt(e) Que l'on soit deux trois quatre cinq six ou sept C'est une rout(e) qui fait recett(e) Rout(e) des vacanc(es) Qui travers(e) la Bourgogn(e) et la Provenc(e) Qui fait d(e) Paris un p(e)tit faubourg d(e)Valenc(e) Et la banlieue d(e) Saint-Paul de Venc(e) Le ciel d'été Remplit nos cœur de sa lucidité Chass(e) les aigreurs et les acidités Qui font l(e)malheur des grandes cités Tout excitées On chant(e), en fêt(e) Les oliviers sont bleus ma p'tit(e) Lisett(e) L'amour joyeux est là qui fait risett(e) On est heureux National(e) 7.