Brochure 2003

Transcription

Brochure 2003
AFFICHE
7JCEL
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EMPLACEMENT PUB N° 2
EMPLACEMENT PUB N° 3
EMPLACEMENT PUB N° 4
Nous exprimons notre reconnaissance à toutes les institutions locales et régionales et à
tous nos partenaires pour leur soutien financier et logistique.
Merci de récompenser nos efforts et notre travail.
EDITO
Les membres de l’association Latinità sont heureux de partager avec
vous ce moment d’émotion que représentent les 7èmes Journées du
Cinéma Espagnol et Latinoaméricain.
C’est dans le cadre du nouveau Palais des Congrès que nous
soufflerons ensemble les 7 bougies ; 7, chiffre magique…pour fêter le
7ème art !
Ce rendez-vous annuel nous donne l’occasion de proposer au public
ajaccien et de sa région une sélection variée de films ayant séduit le
public hispanophone. Jeunesse et talent prometteur caractérisent la
plupart de ces réalisations qui recevront, nous l’espérons, un accueil des
plus favorables auprès de vous.
En complément des projections, des personnalités du monde
universitaire animeront des conférences qui faciliteront la découverte et
la lecture de cet art cinématographique.
Pour la soirée d’ouverture, place à la musique flamenca avec le
groupe « Flamenco Vivo » entraîné par Luis de la Carrasca et c’est en
toute amitié, que le groupe Giramondu clôturera avec nous ces Journées.
Bienvenue à vous tous et « ¡Buen cine !»
SOMMAIRE
Edito
Programmation
Animations
ASSOCIATION LATINITÁ
Lycée Laetitia Bonaparte
Avenue Napoléon III
B. P. 845
20192 AJACCIO
Tél. 04 95 21 50 63 – Fax. 04 95 22 65 41
E-mail. latinità@netcourrier.com
Présentation des invités
Longs métrages espagnols
Longs métrages latinoaméricains
Présentation de l’association
L’association LATINITÀ organise les Journées du Cinéma
Espagnol depuis 7 ans dans le but de promouvoir et de valoriser les
langues et cultures latines.
Vous pouvez devenir membre de l’association, soutenir nos
actions, ou bénéficier d’entrées à prix réduits aux manifestations
organisées par LATINITÀ, en souscrivant une adhésion.
Bulletin d’adhésion
Remerciements
LES IV°JOURNEES DU CINEMA
Je souhaite adhérer à l’association LATINITÀ
Je verse la somme de 15 € pour l’année 2003/2004
Nom.................................................Prénom............................................
Adresse.....................................................................................................
PROGRAMMATION
19h
21h
Vendredi
21/11
17h
18h 30
21h
18h 30
21h
18h
18h 30
21h
18h
18h 30
21h
18h 30
21h
Samedi
22/11
L’association LATINITÀ remercie vivement toutes les
personnes qui ont participé à l’organisation de ces Journées :
-
les membres de l’association,
les professeurs d’espagnol,
Manette, Martine, Jean-Bati, Nathalie, Marie Ange...
nos dynamiques et indispensables assistantes
d’espagnol, Elena, Ana et Eva,
Monsieur Philippe Pleiber,
Monsieur Dominique Pernias de Cinématériel Lyon,
Le service des Affaires Culturelles de la Mairie,
L’Outil Culturel,
Le personnel et les techniciens du Palais des Congrès.
Dimanche
23/11
Lundi
24/11
Mardi
25/11
15h
Mercredi
26/11
Jeudi
27/11
Nous remercions chaleureusement les propriétaires du salon
de thé Volupté et Vanessa qui nous ont si gentiment
accueillis.
18h
Vendredi
28/11
21h
§
raffaelli
ANIMATIONS
Ø Vendredi 21novembre - Palais des Congrès
§ à 20h : Cocktail d’ouverture
§
à 21h30 : Spectacle de flamenco
“Flamenco Vivo”Luis de la Carrasca
Ø Samedi 22 novembre - Palais des Congrès
§ à 21h : Présentation du film « Los lunes al sol » par
Jacques Terrasa
Ø Dimanche 23 novembre - Palais des Congrès
§ à h:
Ø Lundi 24 novembre - Palais des Congrès
§
à h:
Ø Mardi 25 novembre - Palais des Congrès
§ à h:
Ø Mercredi 26 novembre - Palais des Congrès
§ à h:
Ø Jeudi 27 novembre - Palais des Congrès
§ à h:
Ø Vendredi 28 novembre - Lycée Laetitia
§ de 9h à 17h : Atelier d’analyse filmique
animé par Colomba Sansonetti
à 21h : Palais des Congrès
Concert du groupe Giramondu
NOS INVITES …
Presentation groupes
Colomba SANSONETTI
Jacques TERRASA
SALAMANCA
EN LA CIUDAD SIN
LÍMITES
Dans la ville sans limites
Antonio Hernández
Argentine- Espagne, 2002 - 118 mn
Fiche technique
Scénario : A. Hernández,
Enrique Brasó
Photo :
Unax Mendía
Musique : Víctor Reyes
Montage :
Javier Lafaille,
Patricia Enis
Production : Antonio Saura, José
Nolla
Interprétation
Leonardo Sbaraglia (Víctor)
Fernando Fernán Gómez (Max)
Geraldine Chaplin (Marie)
Ana Fernández (Carmen)
Adriana Ozores (Pilar)
Leticia Bredice (Eileen
Roberto Álvarez (Luis)
Victor rejoint sa famille à Paris pour s'occuper de son père, Max, qui est
malade. Un jour, il surprend son père en train de jeter ses médicaments et de
s'habiller en cachette pour essayer de quitter la clinique. La famille, plongée
dans des discussions d'héritage de son empire pharmaceutique, n'attache pas
d'importance à ces actes. Víctor, par contre, ému par la solitude de son père,
l'aide à quitter la clinique et l'accompagne dans les rues de la capitale française
où Max a passé sa jeunesse et qu'il ne reconnaît plus…
Víctor se reúne con su familia en París para cuidar de su padre enfermo,
Max. Un día, sorprende a su padre tirando las medicinas y vistiéndose a
escondidas para intentar escapar de la clínica. La familia, sumida en cuestiones
de herencia de su imperio farmacéutico, quita importancia a estos actos. Víctor,
en cambio, conmovido por la soledad del anciano, le ayuda a escaparse de la
clínica y le acompaña por las calles de la capital francesa donde Max pasó su
juventud y que ahora ya no reconoce.
TAXI PARA TRES
Un taxi pour trois
Orlando Lübbert
Chili, 2001 – 1h 30 min
Fiche technique
Scénario : Orlando Lübbert
Photo :
Musique : Eduardo Zvetelman
Montage :
Production :
Interprétation
Alejandro Trejo (Ulises Morales)
Daniel Muñoz (Chavelo)
Fernando Gómez Rovira (Coto)
Elsa Poblete (Nelly)
Denitze Lecaros (Javiera)
Cristián Quesada Padilla)
Ivonne Becerra Jeannette)
Deux délinquants un peu fêlés, Chavelo et Coto, attaquent Ulises Morales,
chauffeur de taxi. Ils le contraignent à devenir leur complice pendant leurs vols à
la tire. Lorsqu’il rentre dans sa très honnête famille, Ulises constate que cette
arnaque lui a permis de gagner en quelques heures plus d’argent qu’il n’en a eu
depuis des mois. Obsédé par les traites de sa Lada-taxi qu’il ne parvient pas à
honorer, il se laisse tenter par l’argent facile… Commence alors pour les trois
hommes une fuite en avant, sur fond de crise sociale urbaine.
Dos delincuentes un poco tocados, Chavelo y Coto, atacan a Ulises
Morales, taxista, obligándolo a convertirse en su cómplice durante sus robos.
Cuando regresa a su honesta casa, Ulises se da cuenta de que estos « negocios »
le han permitido ganar en algunas horas más dinero del que ha tenido en los
últimos meses. Obsesinado por las letras de su taxi-Lada que no consigue pagar,
se deja tentar por el dinero fácil. Empieza pues para los tres hombres una fuga
con crisis social urbana como telón de fondo.
LONGS METRAGES
LATINOAMERICAINS
SIN NOTICIAS DE DIOS
Sans nouvelles de Dieu
FRIDA
Agustín Díaz Yanes
Julie Taymor
Espagne, 2001 –111 mn
Fiche technique
Scénario : Agustín Díaz Yanes
Photo :
Paco Femenia
Musique :
Bernardo Benazzi
Montage :
José Salcedo
Production : Flamenco Films
Cartel, Tornasol
Ensueño Films
Telemadrid
Interprétation
Victoria Abril (Lola)
Pénélope Cruz (Carmen)
Demian Bichir (Many)
Fanny Ardant (Marina)
Gabriel García Bernal
(Davenport)
Juan Echanove (le directeur)
Emilio Gutiérrez Caba (le
commissaire)
USA, 2002 – 2h
Fiche technique
Scénario : Clancy Sigel, Diane
Diane Lake
Gregory Nava
Anna Thomas
Photo :
Rodrigo Prieto
Musique : Elliot Goltenthal
Montage : Françoise Bonnot
Costumes : Julie Weiss
Production : Jay Polstein
Interprétation
Salma Hayek (Frida Kahlo)
Alfredo Molina (Diego Rivera)
Geoffrey Rush (Leon Trotsky)
(Ashley Judd(Tina Modotti)
Antonio Banderas (David Alfaro
Siqueiros)
Edward Norton (Nelson
Rockefeller)
Depuis quelques années, le nombre d’âmes reçues à l’examen d’entrée
au paradis ne cesse de diminuer, tout le contraire de ce qui se passe en enfer,
où l’on commence à manquer de place à cause de l’arrivée incessante de
nouveaux pensionnaires. La lutte entre le bien et le mal semble définitivement
gagnée par l’enfer. Ciel et enfer envoient leurs agents respectifs sur terre…
Frida évoque le parcours du peintre mexicain Frida Kahlo (1907-1954), une
femme hors du commun, handicapée par un grave accident. Elle partagea sa vie
avec le peintre muraliste Diego Rivera. Ensemble, ils ont été de toutes les causes
sociales et politiques de leur époque puisqu’ils ne pouvaient concevoir leur vie
d’artiste sans l’engagement qui les a liés notamment à Trotski quand il s’est
réfugié au Mexique.
Desde hace algunos años, el número de almas recibidas para
realizar el examen de ingreso al paraíso no deja de disminuir, todo lo
contrario de lo que sucede en el infierno donde comienza a faltar sitio debido
a la llegada incesante de nuevos inquilinos. La lucha entre el bien y el mal
parece definitivamente ganada por el infierno. Cielo e infierno envían sus
agentes respectivos a la tierra…
Frida evoca la trayectoria de la pintora mejicana Frida Kahlo (1907-1954),
una mujer fuera de lo común, marcada por un grave accidente. Compartiría su
vida con el pintor muralista Diego Rivera. Juntos, tomarían parte en las causas
sociales y políticas de su época ya que no podían concebir su vida artística sin
el compromiso que les uniría en particular a Trotski cuando se refugió en
México.
LUCÍA Y EL SEXO
EL CRIMEN DEL PADRE
AMARO
Le crime du père Amaro
Julio Medem
Carlos Carrera
Espagne, 2001 – 128 min
Mexique, 2002 – 1h 59 min
Fiche technique
Scénario :
Vicente Lenero
Photo :
Guillermo Granillo
Musique : Rosino Serrano
Montage : Oscar Figueroa
Production : Alfredo Ripstein
Daniel BirmaD. Birman Ripstein
Interprétation
Gael García Bernal (Amaro)
Sancho Gracia (le père Benito)
Ana Claudia Talancón (Amelia)
Angélica Aragón (Sanjuanera)
Luisa Huertas (Dionisia)
Damián Alcázar (le père Natalio)
Ernesto Gómez Cruz (l’évêque)
Jorge Zarate (le père Mauro)
Au Mexique, en 2002, Amaro, un jeune de 24 ans récemment ordonné
prêtre, arrive à la paroisse d’un petit village (los Reyes) pour aider l’abbé
Benito dans les services de l’église. Au village, l’abbé Amaro fait la
connaissance d’Amelia, une belle jeune fille de 16 ans. Amaro se rend compte
peu à peu de ce qui se passe au village : l’abbé Benito reçoit de l’aide
économique des narcotrafiquants de la région dirigés par el Chato Aguilar. En
outre, un autre prêtre du diocèse, l’abbé Natalio est soupçonné d’aider et de
favoriser des guérilleros.
Méjico, 2002, Amaro, un joven de 24 años recién ordenado sacerdote,
llega a la parroquia de un pueblecito (los Reyes) para ayudar al padre Benito
en los servicios religiosos. En el pueblo, el padre Amaro conoce a Amelia, una
bella joven de 16 años. Amaro poco a poco se da cuenta de lo que está
sucediendo en el pueblo : el padre Benito recibe ayuda económica de los
narcotraficantes de la zona dirigidos por el Chato Aguilar. Otro cura de la
diócesis, el padre Natalio es sospechoso de ayudar y favorecer a los
guerrilleros.
Fiche technique
Scénario : Julio Medem
Photo :
Kiko de la Rica
Musique : Alberto Iglesias
Montage :
Iván Aledo
Production : Sogecine
Interprétation
Paz Vega (Lucía)
Tristán Ulloa (Lorenzo)
Najwa Nimri (Elena)
Daniel Freyre (Carlos)
Elena Anaya (Belén)
Silvia Llanos (Luna)
Javier Cámara (Pepe)
Diana Suárez (madre de Belén)
Lucía, jeune serveuse d’un restaurant du centre de Madrid, se réfugie
dans une île tranquille de la Méditerranée, lorsqu’elle apprend la disparition
de son fiancé, un écrivain avec lequel elle vit depuis six ans. Là-bas, dans une
atmosphère lumineuse, vivant à l’air libre et au soleil, Lucía commence à
découvrir les recoins les plus troubles de son passé en couple.
Lucía, joven camarera en un restaurante del centro de Madrid, se
refugia en una isla tranquila del Mediterráneo al saber que su novio, un
escritor, con el que convivió desde hace seis años, ha desaparecido. Allí,
rodeado de una atmósfera luminosa, viviendo al aire libre y bajo el sol, Lucía
comienza a descubrir los rincones más oscuros de su pasado en pareja.
HABLE CON ELLA
Parle avec elle
Fiche technique
Scénario : Pedro Almodóvar
Photo :
Javier Aguirresarobe
AEC
Musique : Alberto Iglesias
Montage : José Salcedo
Production Agustín Almodóvar
HISTORIAS MÍNIMAS
Pedro Almodóvar
Carlos Sorín
Espagne, 20021 – 109 min
Argentine, 2002 – 1h 34 min
Interprétation
Darío Grandinetti (Marco)
Javier Cámara (Benigno)
Rosario Flores (Lydia)
Leonor Watling (Alicia)
Geraldine Chaplin (Professeur
de danse)
Mariola Fuentes (Infirmière)
Fiche technique
Scénario :
Pablo Solar
Photo :
Musique : Nicolas Sorín
Montage :
Mohamed Rajid
Production : Martín Bardi
Interprétation
Antonio Benedictis (Don Justo)
María Rosa Cianferoni (Ana)
Javiera Bravo (María)
Mariela Díaz (Amie de María)
Magín Cesar García (Cesar
García)
Javier Lombardo (Roberto)
Une histoire sur l’amitié entre deux hommes, sur la solitude et sur la longue
convalescence des blessures causées par la passion. C’est également un film sur
l’incommunication des couples et sur la communication, sur le cinéma comme
sujet de conversation, sur la façon dont les monologues devant quelqu’un de
silencieux peuvent devenir une forme efficace de dialogue, du silence comme
« éloquence du corps », du cinéma comme véhicule idéal dans les relations
entre individus, de la façon dont le cinéma raconté en paroles arrête le temps et
s’installe dans la vie de celui qui le raconte et dans celle qui l’écoute.
Trois personnages voyagent sur les routes solitaires de la Patagonie du
Sud. Don Justo, 80 ans, propriétaire en retraite d’une droguerie aujourd’hui
gérée par son fils, fuit la tutelle de ce dernier pour retrouver son chien
disparu…Roberto, 40 ans, représentant de commerce, suit la même route,
chargé d’un étrange fardeau…Le même jour, María Flores, 25 ans,
accompagnée de sa petite fille, doit participer à la finale d’un jeu télévisé. Ils
voyagent seuls, mais leurs chemins vont finir par se croiser.
Historia sobre la amistad de dos hombres, sobre la soledad y la larga
convalecencia de las heridas provocadas por la pasión. Es también una película
sobre la incomunicación de las parejas y sobre la comunicación, sobre el cine
como tema de conversación, sobre cómo los monólogos delante de una persona
silente pueden convertirse en una forma eficaz de diálogo, del silencio como
« elocuencia del cuerpo », del cine como vehículo ideal en las relaciones de las
personas, de cómo el cine contado en palabras detiene el tiempo y se instala en
la vida de quien lo cuenta y del que lo escucha.
Tres personajes viajan por las carreteras solitarias de la Patagonía del
Sur. Don Justo, 80 años, propietario jubilado de una droguería dirigida hoy por
su hijo, huye de la tutela de éste para encontrar a su perro desaparecido.
Roberto, 40 años, representante comercial, sigue el mismo camino, cargado de
un extraño paquete. El mismo día, María Flores, 25 años, acompañada de su
hija pequeña, va a participar en la final de un concurso de la televisión.
Viajan solos, pero sus caminos van a terminar cruzándose.
A MI MADRE LE
GUSTAN LAS MUJERES
LONGS METRAGES
LATINOAMERICAINS
Inés París- Daniela Fejerman
Espagne, 2002 – 96 min
Fiche technique
Scénario :
Inés París et Daniela
Fejerman
Photo :
David Omedes
Musique : Juan Bardem
Montage :
Fidel Collados
Production : Fernando Colomo
PC, Ensueño Films
Interprétation
Leonor Watling (Elvira)
Rosa María Sardá (Sofía)
María Pujalte (Jimena)
Silvia Abascal (Sol)
Eliska Sirova (Eliska)
Chisco Amado (Miguel)
Xabier Elorriaga (Carlos)
Elvire, une jeune fille âgée d’une vingtaine d’années, belle mais
manquant de confiance, se retrouve avec ses sœurs Jimena et Sol, chez leur
mère, Sofía, une pianiste célèbre, séparée depuis des années du père de ses
enfants. La mère profite de la célébration de son anniversaire pour annoncer à
ses filles qu’elle est de nouveau amoureuse, que la personne aimée est plus
jeune qu’elle, qu’elle est née en République Tchèque et qu’elle est également
pianiste…
Elvira, una joven de unos veinte años, guapa pero sin confianza en si
misma,, se encuentra con sus hermanas Jimena y Sol, en casa de su madre,
Sofía, una pianista famosa separada del padre de sus hijas desde hace años.
La madre aprovecha la celebración de su cumpleaños para anunciarles a sus
hijas que se ha enamorado de nuevo, que su pareja es más joven que ella, que
nació en la República Checa y que es también pianista…
LOS LUNES AL SOL
Les lundis au soleil
EL BOSQUE ANIMADO
La forêt enchantée
(Film d’animation)
Fernando León de Aranoa
Ángel de la Cruz, Manolo
Gómez
Espagne, 2002 – 1h 53 min
Espagne, 2001 – 85 min
Fiche technique
Scénario :
Fernando León de
Aranoa,
Ignacio del Moral
Photo :
Alfredo Mayo
Musique : Lucio Godoy
Montage : Nacho Ruiz-Capillas
Production : Elías Querejeta
Interprétation
Javier Bardem (Santa)
Luis Tosar (José)
José Ángel Egido (Lino)
Nieve de Medina (Ana)
Enrique Villen (Reina)
Celso Bugallo (Amador)
Joaquín Climent (Rico)
Fiche technique
Scénario : Ángel de la Cruz
Eclairage : Alejandro Bálsamo
Musique : Arturo Krees
Animation : Julio Díez
Montage : A. de la Cruz,
………………David López ,
………………Mercedes Arcones
Production : Manuel Gómez Santos
Voix
Ignacio Aldeguer (Furi)
Mar Bordallo (Linda)
Beatriz Berciano (Luci)
Lucía Estebán (Sra.D’Abondo)
Roberto Cuenca (Sr.D’Abondo)
Pilar Martín (Morriña)
Pablo Sevilla (Hu-hu)
Tous les lundis, Santa et ses copains, chômeurs depuis la fermeture des
chantiers navals, prennent le bac pour aller en ville chercher du travail. Le reste
du temps, ils le passent dans un bar à parler de la vie, de la solidarité ouvrière de
plus en plus rare. Mentir sur son âge, dissimuler ses angoisses, subir les
humiliations…chacun résiste à sa manière et s’accroche à ses espoirs. Santa, est
le plus vindicatif, toujours prêt à défendre sa fierté et celle de ses amis. Avec
lui, la vie est encore une promesse de lendemains meilleurs.
Libération
Un jour, dans le terrain broussailleux de Cecebre, des hommes vêtus de
bleus de travail plantent un nouveau venu d’une espèce bizarre : un poteau
électrique qui s’avère être un peu infatué de sa personne. Les problèmes
commencent. Et si quelqu’un s’y connaît en problèmes, c’est bien Furi, une
petite taupe sympathique secrètement amoureuse de Linda qui ne cesse de la
pousser à surmonter sa peur et sa timidité et à être heureuse. Alors qu’il
semble que Furi a décidé de déclarer son amour à Linda, elle découvre que
celui-ci a disparu…
Todos los lunes, Santa y sus amigos, en paro desde el cierre de los
astilleros, cogen el ferry para ir a la ciudad en busca de trabajo. El resto del
tiempo, lo pasan en un bar hablando de la vida, de la solidaridad obrera cada
vez más rara. Mentir sobre su edad, disimular sus angustias, soportar
humillaciones…cada uno tiene su forma de resistir y de aferrarse a sus
esperanzas. Santa, es el más vindicativo, siempre dispuesto a defender su orgullo
y el de sus amigos. Con él, la vida es aún una promesa de un futuro mejor
Un día, en la fraga de Cecebre, unos hombres vestidos con monos azules
plantan un nuevo inquilino de una rara especie : un poste eléctrico que
resulta ser un tanto engreído. Comienzan los problemas. Y si hay un experto
en problemas, ése es Furi, un pequeño y simpático topo secretamente
enamorado de Linda, quien continuamente le está azuzando para que venza
sus miedos y su timidez y sea feliz. Cuando parece que Furi ha decidido
declararle su amor a Linda, descubre que ésta ha desaparecido…