345 02/13 - Centre culturel de Dison
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345 02/13 - Centre culturel de Dison
numéro 345 | Février 2013 LE DOSSIER Le travail Festival Paroles d’Hommes Spectacle Spécial St-valentin : Les Superluettes en ouverture PRéSENCE Mensuel d’éducation permanente Sommaire Février 2013 | n° 345 3 4 11 12 Tiré à 6200 exemplaires Distribution toutes boîtes Activités : Zapping / 18 Le cirque à trois pattes / 12 Nouveau Prince ! / 19 actu culture Agenda 02 / 2013 / 21 Coin du wallon / 21 pages communales Seniors : Centre culturel de Dison asbl, Thé dansant / 12 pivi.be Visite culturelle : Secrétariat et publicité : Recette : L’homme content de rien / 12 Le Kenya / 12 Mise en page et photographie : bibliothÈque associations Pelures de pommes de terre gratinées / 16 Spectacle : Découverte : Aude Giovanelli Confettis : 21 22 Bruxelles : Museum Night Fever / 13 Evelyne Rouvroi Editeur responsable : CEC Les Ateliers : Centre Culturel de Dison asbl Entretenir sa guitare / 13 2 rue des Écoles à 4820 Dison Spectacle : Tél. 087/33 41 81 Fax 087/35 24 84 www.ccdison.be 17 18 Jeune public : Rédaction : Jérôme Wyn, Frédéric Muller, [email protected] En ouverture DOSSIER DU MOIS Le travail c’est la santé ! / 4 les amis d’adolphe hardy actu culture 14 Soirée St-Valentin avec Les Superluettes / 13 le saviez-vous ? Mme Henrard raconte… / 14 Saint Valentin Rue de Rechain, 11 - 4820 Dison Tél. : 087/33 39 21 - Fax : 087/33 39 22 Heures d’ouverture : Lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 7 h 30 à 18 h. Le samedi de 7 h à 17 h. Le dimanche de 7 h à … Carte de fidélité : A l’achat de 5 pains, le 6ème gratuit. E n cette année 2013, le Centre culturel de Dison fête son 35e anniversaire. 35 années passées, via l’équipe qui l’a constitué au fil du temps, à travailler pour la culture dans notre commune, voire au-delà. 35 ans passés à rassembler, créer, réfléchir, faire réfléchir, écouter, proposer, bousculer, choisir, informer, initier, soutenir…, en mettant sur pied bon nombre de projets dans nos différents champs d’action. En multipliant notamment les partenariats, bien conscient que la mutualisation des compétences est bénéfique pour tout le monde. Ce travail, véritable vocation de notre Centre culturel, il n’est bien sûr pas terminé. Le serat-il d’ailleurs un jour ? C’est pourquoi nous poursuivrons dans les prochaines années, avec la même dynamique et le même enthousiasme qui nous ont jusqu’ici gouvernés, à œuvrer pour la culture, les cultures et leur accès pour tous. Au travail! Jérôme Wyn, Directeur Un cœur, des pralines ou une autre petite douceur pour la St-Valentin ce jeudi 14 février Nos occasions My Way sur www.Garageliegeois.be 142 rue Pisseroule - 4820 DISON Tél. 087-33 73 45 L e Mot de la Présidente Je travaille, tu travailles, elle travaille, je vis ma vie… En route pour la « Museum Night Fever » à Bruxelles ce samedi 2 mars, avec les visites culturelles (p. 13) Sarah Carlier en concert, ce sera ce pensez à lui GARAGE Liégeois 2 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente 35 ans de travail 1er mars dès 20h15 dans le cadre du festival « Paroles d’Hommes » (p. 9) INDISPENSABLE TRAVAIL Lire p. 4 à 9 Le mot « travail » vient d’un mot latin qui veut dire « instrument de torture ». C’est sans doute pourquoi nous tenons tant à ce que notre travail soit reconnu et bien payé. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Des milliers de personnes travaillent et restent pauvres. Elles s’occupent des enfants, des malades, du bénévolat. La plupart de ces personnes sont des femmes. Pourtant, il est nécessaire. Pensez à toutes les tâches accomplies par les femmes. Lorsqu’elles occupent un emploi, les femmes sont en général moins bien payées et moins valorisées que les hommes. Malgré l’avancée de notre société, concilier vie privée et vie familiale est rarement un long fleuve tranquille. Trouver un milieu d’accueil relève du défi, trouver une école qui accueillera votre enfant tôt le matin et le gardera au maximum jusque 18 heures, qui emmènera votre pianiste au solfège, votre sportif au foot. Les journées ne sont pas extensibles, le stress nous envahit sans crier gare, nous courons après le temps, nous devenons quelques fois de gros ringards aux yeux de nos enfants, notre conjoint ne nous comprend plus… Nous n’avons qu’une seule vie, constituée de plein d’univers. Nous ne devenons pas quelqu’un d’autre en sortant du boulot. Nous devons apprendre à harmoniser toutes les facettes de notre univers pour trouver l’équilibre qui nous rendra heureuse. Et pour cela, pas de secret, il faut être honnête avec soi-même et savoir se poser les bonnes questions. Il est essentiel de se demander ce que sont nos priorités dans la vie une fois pour toute car, une fois que celles-ci sont fixées, il devient plus facile de trouver des solutions. Il ne faut pas se laisser intimider par l’opinion de son entourage ou la pression sociale. Il n’y a de bonnes règles que celle qui vous conviennent et vous épanouissent. Belle Saint Valentin ! Véronique Bonni, Présidente 3 n° 345 I février 2013 dossier dossier Société | Rencontre | travail Freddy Joris Historien verviétois Directeur de l’Institut du Patrimoine wallon indispensable Le travail, voilà bien un mot que l’on met à toutes les sauces : le travail c’est la santé, travailler c’est trop durt, le travail c’est la vie… on en passe. Mal nécessaire ou vecteur d’épanouissement, contrainte ou passion, le travail fait en tous cas partie intégrante de nos existences. À tel point qu’on le considère comme un des socles de notre société. En février, à l’occasion du partenariat développé entre le Centre culturel et le Festival Paroles d’Hommes, nous nous penchons sur le travail, thème de cette 12e édition En 1936 déjà, Charlie Chaplin avec « Les Temps Modernes » signe une satire du travail à la chaîne et un plaidoyer contre le chômage. 4 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente De la prospérité… à la crise ! Le travail, à Dison et dans la région verviétoise, a toujours représenté un enjeu considérable, avec ses développements, ses moments de gloire et ses passages difficiles. Pour en parler, nous avons rencontré Freddy Joris, historien verviétois et directeur de l’Institut du Patrimoine wallon. L’occasion d’évoquer avec lui les grandes tendances du travail et de l’industrie dans notre région. Présence | Quand peut-on com- mencer à retracer l’évolution du travail dans notre région ? Freddy Joris : Vers la fin du 18e début du 19e siècle.À l’époque, et comme partout, Dison, Verviers et leurs alentours sont agricoles.Mais s’est également dévoloppé un artisanat textile pour fabriquer les draps qui sont vendus à l’étranger. Les gens sont paysans et, après leur journée, ils tissent la laine chez eux. Il s’agit d’un métier très sommaire, comparable à ce qu’on voit aujourd’hui dans les villages reculés du Vietnam. Quel est l’élément qui a permis le développement de l’industrie textile à Verviers ? La révolution industrielle, c’està-dire la mécanisation de la fabrication, est « le » grand tournant du début 19e. Elle commence en Angleterre puis, juste après, à Verviers grâce à l’arrivée de William Cockerill (dont le fils a initié la sidérurgie à Liège) qui s’y installe à la demande des deux grandes familles de l’époque, les Simonis et les Biolley.William Cockerill imagine des machines à tisser et est repéré par ces deux grands patrons du textile. C’est le débauchage des cerveaux. En 1801,il construit sa première machine. C’est un succès et William Cockerill comprend que, s’il veut en profiter, il doit quitter ses patrons. Il fait donc venir des membres de sa famille àVerviers et leur explique comment fabriquer ces machines qui constituent une véritable révolution. Avec une machine, et trois personnes, on produit l’équivalent de ce que fournissent 30 à 40 travailleurs. Du coup, tous les petits patrons du textile s’équipent. C’est ce qui déclenche l’évolution de l’industrie textile au début du 19e. Qu’en est-il de l’évolution de la nature du travail, suite à cette révolution industrielle ? Quinze ans plus tard, on invente la machine à vapeur qui permet de faire tourner les machines autrement qu’avec le courant de la Vesdre. L’industrie textile verviétoise explose, ce qui entraîne un changement radical du travail. Tout est lié. Les tisserands qui travaillaient à domicile doivent déménager en ville pour se rapprocher de l’usine où sont rassemblées les machines. En 20 ans (de 1800 à 1820),la population deVerviers double (puis elle redouble entre 1820 et 1850) mais le centre de Verviers ne s’agrandit pas (NDLR :il s’étendait de l’Hôtel de Ville au quartier d’Hodimont et se limitait,en largeur,aux places Verte et du Martyr) puisque les entreprises,elles,doivent rester le long de la Vesdre. Bref, les gens s’entassent en divisant ce qui existe comme habitations. “ L’immigration, à ce moment-là, vient de Herve et du sud de l’arrondissement, alors que pendant la seconde moitié du 19e siècle, l’immigration commence à venir de l’étranger, surtout d’Allemagne. Ce n’est qu’après que sont arrivés les Polonais, les Italiens… Cela prouve d’ailleurs que Verviers a toujours été une ville d’immigration. Cela a-t-il un impact sur la qualité du travail ? Elle se dégrade puisque, pour utiliser les machines,les patrons ont besoin d’ouvriers moins qualifiés. Du coup, dans un premier temps, la mécanisation supprime des tas d’emplois.Les travailleurs se révoltent croyant Avec une machine et trois personnes, on produit l’équivalent de ce que fournissent 30 à 40 travailleurs. /Freddy Joris, historien et Directeur de l’IPW 5 n° 345 I février 2013 dossier qui était à la pointe avant les autres se fait dépasser par les autres dans les années 50.Alors qu’à l’époque, 9 personnes sur 10 travaillent dans la laine. Y-a-t-il d’autres industries qui se développent en marge de l’industrie du textile ? Il y a d’autres industries qui se développent selon une logique de production du textile. À côté des ateliers de fabrication des machines, le secteur de la métallurgie se développe car les industriels qui font leurs propres machines ont leur propre fonderie pour le fer. Et qui dit machines, dit courroies en cuir pour les faire tourner. C’est comme cela que l’industrie du cuir s’est répandue et,avec elle,l’industrie des chaussures, qui reste petite à côté du textile. Sans oublier l’industrie du pneu. Puis, en marge de tout cela,et sans vraie logique avec le reste, se développe l’industrie du chocolat et du pain d’épice. À l’époque, on parle du chocolat verviétois comme du chocolat belge aujourd’hui. Par exemple, au départ, le chocolat Jacques était fabriqué à Verviers. Dans les années 70, la célèbre usine Interlait s’installe au cœur même de Dison. L’implantation s’éteindra peu de temps après avoir été renommée Interlac (2001). Du temps de son activité, elle aura généré près de 200 emplois. Quand l’industrie du textile at-elle commencé à décliner ? Dès la fin du 19e siècle commence une lente dérive. La population baisse, il n’y a plus d’innovation technologique. Jusqu’en 1950, on vit en déclin sans s’en rendre compte. Cette crise du textile est due 6 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente À Dison | Dison marquée par la chaussure, EIB et Interlait C omme l’explique Freddy Joris, parallèlement à l’industrie du textile se développe l’industrie de la chaussure. À Dison, elle est d’une importance capitale. Des milliers de paires sont fabriquées par des centaines, voire des milliers d’ouvriers. À l’époque, un nom ressort particulièrement: celui de la société des frères Crutzen. « Elle se développe dans les années 20 et ne commence à décliner que dans les années 40-50 », explique Georges Zeyen, notre chroniqueur régulier et spécialiste de l'histoire disonaise. Il se souvient : « Les Crutzen avait fait bâtir des maisons au-dessus de l’Avenue du Foyer et en haut du Thier d’Hodimont pour leurs employés. Ils étaient en avance sur les autres entreprises. Ils avaient notamment installé un réfectoire dans l’usine. » La fabrique de pain d’épice est également une affaire qui roule à Dison. D'autre part, à la même époque apparaît la société EIB (Électricité industrielle de Belgique), qui fabrique des câbles. Installée avant la seconde guerre mondiale dans la rue Pisseroule, elle génère une centaine d’emplois à Dison. « La société marchait bien. Elle a d’ailleurs été rachetée par un Suisse. Puis l’usine a déménagé pour s’installer dans le zoning des Plenesses dans les années 90 », poursuit Georges Zeyen. Aujourd’hui, la société EIB est devenue Schneider Electric Energy, et pour rappel, en décembre 2012, la direction envisageait de licencier 52 travailleurs. Dans les années 70, la célèbre usine Interlait (devenue Interlac en 2001) s’installe dans la commune. « Les gérants ont d’ailleurs racheté une partie de la rue d’Andrimont. » Une implantation qui génère près de 200 emplois. « L’usine marchait bien et avait bonne réputation. Malgré cela elle a fermé ses portes peu de temps après avoir été rebaptisée Interlac », regrette Georges Zeyen. C'est ce site, renommé « Comédis », avec notamment une nouvelle salle de spectacles, qui sera d'ici peu totalement opérationnel. à la concurrence étrangère des pays moins chers, comme l’Asie, qui produisent avec des machines achetées en Europe. En quelques années seulement, Verviers bascule dans une crise colossale. Entre 1960 et 1970, il n’y a que des fermetures et des 20000 travailleurs du textile, il “ n’en reste que quelques centaines. Le secteur du charbonnage suivra 20 ans plus tard. Et aujourd’hui, c’est la sidérurgie et l’industrie mécanique qui sont en crise. Cinq générations après la révolution industrielle, on encaisse la même chose, mais dans l’autre sens. À l’époque, on parle du chocolat verviétois comme du chocolat belge aujourd’hui. Le chocolat Jacques était fabriqué à Verviers. /Freddy Joris, historien et Directeur de l’IPW Témoignages | Le travail, ce rêve d’enfance Petit, chacun d’entre nous a imaginé faire le métier de ses rêves. Mais avec le temps et les aléas de la vie, les goûts changent ou les choses évoluent... Présence est allé à la rencontre de quatre Disonais, afin d’évoquer leur rêve d’enfant et la perception qu’ils ont de leur travail aujourd’hui. Rencontres. Martine Creuen Gérante de L’île aux fleurs Plus jeune, vous rêviez de devenir… « Je voulais devenir architecte et décoratrice d’intérieur.J’aimais la couleur, que j’ai retrouvée dans les fleurs lorsque j’ai commencé un apprentissage à 15 ans chez un fleuriste d’Heusy.Je n’ai donc jamais vraiment quitté ma passion. » Aujourd’hui vous voyez votre métier comme… « …quelque chose de contraignant mais d’indispensable. Je suis peut-être passée à côté de certaines choses avec ma famille, pendant les fêtes notamment. Mais ce métier,complet et varié, fait partie de ma vie. » Eddy Franssen Commissaire à la Maison de Police de Hodimont Plus jeune vous rêviez de devenir… « J’avais deux aspirations. Je voulais d’abord devenir architecte.J’ai commencé des études à Saint-Luc Liège que j’ai finalement arrêtées pour devenir gendarme – ma deuxième aspiration. J’ai donc réalisé l’un de mes deux rêves. » Aujourd’hui vous voyez votre métier comme… « Je le vois comme un gagne-pain, c’est incontournable. Mais je le vois également comme l’occasion de rester jeune. D’une part, je continue de rencontrer et de travailler avec les habitants de Hodimont,souvent jeunes.D’autre part, il y a un volet opérationnel qui me permet de participer à la vie du quartier.Aujourd’hui la police est ouverte et s’implique, avec les acteurs sociaux. » Antoni Sykopoulos Enseignant Plus jeune vous rêviez de devenir… « J’ai toujours voulu travailler dans la musique car j’aime chanter et jouer du piano. Je suis également un amoureux du spectacle musical et des pièces de théâtre depuis mes 8 ans. » Aujourd’hui vous voyez votre métier comme… « Le plus dur c’était que, aux yeux de mes parents, le métier d’artiste n’était pas stable au niveau familial et financier. Ils me conseillaient d’étudier alors que je savais que j’étais capable de devenir artiste. Ce n’était pas évident. Maintenant que j’y suis arrivé, j’ai le soutien de ma famille. » Dimitri Karydas Toitures, sanitaires et échafaudages. Indépendant Plus jeune vous rêviez de devenir… « …pilote d'avion. Puis à l'adolescence, je pensais entrer dans l'armée. Ayant grandi en Grèce dans une zone militaire, j'ai été imprégné par cette ambiance et j'étais admiratif des militaires.Les aléas de la vie ont ensuite fait que, après une année de médecine en Belgique et une autre en tant qu'officier de réserve dans les commandos en Grèce, j'ai débuté une formation en toiture qui correspondait bien notamment à mon envie d'être à l'extérieur. » Aujourd’hui vous voyez votre métier comme… « Je le perçois comme quelquechose que j'apprécie, surtout dans la relation avec les gens. J'aimerais d'ailleurs continuer à développer mes activités pour ne plus faire que de la gestion d'équipe et de chantier. Mais il faut tout de même reconnaître que le statut d'indépendant n'est pas toujours facile, en termes de lourdeurs fiscales et administratives essentiellement. » “ Pilote d’avion, décoratrice d’intérieur, gendarme, architecte, musicien, commando, médecin… © Valentin Bianchi qu’ils risquent de perdre leur travail. Mais c’est l’effet inverse qui se produit. Beaucoup d’industriels achètent les machines et donc le besoin de maind’œuvre croît. À l’époque, le lavage de la laine prime sur la fabrication des draps car il rapporte plus d’argent et qu’il ne faut pas perfectionner le produit. La laine est importée d’Australie,d’Amérique du Sud, lavée à Verviers puis renvoyée dans le pays d’origine.Du coup, jusqu’à la seconde moitié du 19e,les patrons verviétois investissent moins et se contentent des vieux outils. Ils ne savent donc pas lutter contre la concurrence étrangère qui, elle, continue de se moderniser.Verviers dossier 7 n° 345 I février 2013 dossier dossier Aides | À Dison, des solutions pour l'emploi Différents services et initiatives existent, dans notre commune, pour venir en aide aux personnes sans-emploi et les accompagner dans leurs démarches. État des lieux. À Dison, comme dans beaucoup d'autres villes wallonnes, les chiffres sont interpellants. Ainsi, en 2011, d'après le Forem (le service public wallon de l'emploi et de la formation) le taux de demande d’emploi était particulièrement élevé : 25,2 %. Un chiffre que la crise économique et financière qui, espérons-le touche progressivement à sa fin, n'a pas influencé dans le bon sens. Reste que certaines solutions existent. Sans pour autant constituer des remèdes miracles, on trouve à Dison des portes auxquelles frapper lorsque l'on se trouve sans emploi. Agence de Développement Local L'ADL compte parmi ses missions l'emploi et la formation, notamment en jouant un rôle de facilitateur et en mettant les gens en contact. Ainsi, elle accueille dans ses locaux de la rue Albert 1er une permanence internet pour le public disonais à la recherche d’un emploi, d’une formation ou pour toutes démarches touchant l’emploi (ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h). La convention qui lie l'ADL avec SOS dépannage propose en outre une permanence d'une demi-journée au service des travailleurs mis en place à la seule demande des organisations syndicales. L’objectif principal est de contribuer à la réinsertion professionnelle et d’accompagner les travailleurs dans la gestion de leur mobilité professionnelle. L'ADL peut de plus compter sur la présence d'une jobcoach, de la Mirev (Mission Régionale pour l’Insertion et l’Emploi de Verviers), qui a pour objectif la mise à l'emploi des personnes ayant des difficultés d'insertion sur le marché de l'emploi. Cette jobcoach propose un accompagnement personnalisé vers l'emploi. Contact : 087/32 15 45 Agence Locale de l'Emploi L'ALE met en relation des travailleurs ALE (chômeurs depuis plus de 2 ans) et des particuliers ou des personnes morales,dans le cadre de la réalisation d’activités déterminées. On pense aux garderies scolaires (dans les écoles de la commune), formalités administratives, nettoyage dans les associations (piscine communale, écoles, etc.), jardinage (entretien , horticulture…). l’apparence physique. C'est de ce constat qu'est parti le Plan de Cohésion Sociale pour monter ce projet. De manière à aider les personnes en situation de recherche d’emploi et pallier à cette discrimination, différents partenaires de la commune, réunis par le Plan de Cohésion Sociale, se mobilisent donc pour mettre en place deux journées, à la Maison de Quartier de l'Industrie,qui s'adressent à toutes les personnes en recherche d’emploi habitant la Commune de Dison. Au programme, jeudi 21 février de 8h30 à 15h30 : cet atelier comportera différentes animations comme le maquillage, la coiffure, soin visage, manucurie, réflexologie de la voûte plantaire, stand photo d’identité, etc. Pour pouvoir participer, l’inscription à cette journée est obligatoire. Enfin,mercredi 6 mars,la journée sera axée sur le thème de la recherche d’emploi (ex: simulation d’un entretien d’embauche, création d’un curriculum vitae, d’une lettre de motivation, d’une boîte mail, information sur les articles 60, l’aide au permis théorique B, etc.). Contact : 087/46 99 84 Régie de quartiers Havre-SAC Elle accueille des demandeurs d’emplois peu qualifiés et travaille avec eux à leur insertion socioprofessionnelle en leur offrant une formation de base encadrée par une équipe professionnelle. Contact : 087/35 46 60 Plan de Cohésion Sociale La Régie de quartiers HavreSAC offre une formation de base aux demandeurs d’emploi peu qualifié. Ainsi, en 2012, les bénéficiaires ont pu se frotter à un projet de création textile, concrétisé par un défilé de mode aux Ateliers J. Orts (Plenesses). 8 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente Travail : libertés et servitudes? L' homme est un animal comme les a u t re s , i l doit assurer sa survie dans une nature souvent hostile. Seulement, l'homme est pour ainsi dire démuni de tout avantage naturel pour se conserver lui-même. C'est à mains nues qu'il se mesure à son milieu et il serait promis à la disparition biologique pure et simple s'il n'était capable d'interposer des outils entre lui et le monde, de transformer par son activité technique ce qui l'entoure, et de plier ainsi la nature à ses besoins. L'homme s'adapte et c'est le travail qui est tout à la fois le moteur et le vecteur de cette adaptation. Les vêtements ne poussent pas tout seuls, il faut les tisser, tout comme il faut cultiver la terre, élever des animaux, etc. Voilà l'humanité placée d'emblée sous le signe d'une première servitude ou d'une dépendance native : travailler ne relève pas d'un libre choix, mais de la nécessité vitale la plus contraignante qui soit. Instrument de libération Contact : 087/32 15 42 Le PCS est également actif dans le domaine de l'emploi. En témoigne entre autre le projet « Estime de soi » qu'il propose. Des études démontrent qu’un entretien d’embauche est influencé en moyenne à 71 % par Réflexions | Le travail en lui même est une activité impliquant de se soumettre à des règles : il y a un savoir-faire à acquérir, des procédures à respecter.S'adonner à un travail, c'est donc toujours se plier à des exigences, une seconde servitude. Pour autant, le travail permet d'avoir les moyens de mener sa vie sans dépendre du bon vouloir des autres. Si le temps du travail,en tant qu'effort sur soi, n'apparaît pas au premier abord comme un moment de liberté, le résultat du travail semble quant à lui l'instrument de la libération. Mais encore faut-il pouvoir s'entendre sur la notion de liberté car la définition populaire, « pouvoir faire ce qu'on désire sans obstacles ni limites », est contestable. Je ne décide pas des techniques à mettre en œuvre quand je travaille;mais est-ce que je décide davantage de mes besoins et de mes désirs en général? Ne s'agit-il pas d'impulsions qui s'imposent en nous. Leur laisser libre cours, loin d'être la marque d'une libre conduite, serait bien plutôt le signe d'une nouvelle servitude d'autant plus puissante qu'elle n'est pas reconnue comme telle par celui qui la subit. Lorsque nous espérons nous affranchir du travail, sommesnous certains d'acquérir plus de liberté? Si fortune faite, par exemple, le travail en tant que nécessité n'existe plus, c'est notre rapport aux autres qui changera diamétralement.Sans travail, nous courrons le risque de perdre deux fois notre liberté, en devenant dépendant du travail des autres tout en restant esclave de nous-même et de nos désirs.Peut-être est-ce alors dans la volonté de s'opposer aux diktats de nos désirs que la liberté se manifeste vraiment? Le rapport que le travail entretient avec la liberté doit alors nous apparaître sous un jour nouveau : peut-être est-ce précisément parce que le travail est une discipline et un effort de soi sur soi que, loin de faire obstacle à la liberté humaine, il pourrait bien en être sinon l'accomplissement, du moins le nécessaire chemin. Sources Le Monde, révision du bac Jeux de hasard et d'argent, contextes et addictions, étude INSERM 2008 Festival Paroles d’Hommes D epuis plusieurs années, le Centre culturel participe au Festival Paroles d'Hommes. Un festival qui véhicule des valeurs liées à la démocratie et aux droits des peuples. Des valeurs auxquelles le Centre culturel tente d'adhérer au mieux, au travers ses différentes activités. Après avoir rassemblé pas moins de 8200 personnes en 2012, Paroles d'Hommes, pour sa 12e édition, fera sans doute encore mieux. À l'instar d'autres communes (Herve, Soumagne, Verviers, Welkenraedt et Stavelot), Dison poursuit donc sa collaboration avec les rendezvous suivants ! vous faire passer un agréable moment, en dehors du travail! Cabaret : « Travailler, pour qui, pour quoi ?! » Dimanche 3 février à 16h Espace Hôtel de Ville, Herve 6 € / 5 € (- 26 ans et + 60 ans) Montage de textes et de chansons sur le monde du travail de Rimbaud, Prévert, Vian, Benabar, Juliette, Reggiani, Miossec, Gainsbourg, Cabrel, Lavilliers…Une redécouverte de textes connus et moins connus. Un spectacle qui rend hommage au monde du travail. Un spectacle qui témoigne des peines,des joies et des doutes des travailleurs. Un spectacle qui questionne et qui réjouit. Un spectacle où l’humour flirte avec la tristesse… Un spectacle avec une chouette équipe qui a travaillé pour Sam. 2 et dim. 3 février à 20h15 Centre culturel de Dison Salle du ReZ 12 € / 10 € (- 26 ans et + 60 ans) Théâtre : « Guerre et Paix » Les élèves des écoles primaires de Micheroux, Andrimont et de l’IPES Verviers présenteront le fruit de leur travail sur base du spectacle « L’Ennemi » du MicMac Théâtre. Un spectacle qui propose une réflexion décalée, absurde et parfois drôle sur la guerre, une prise de conscience de la symétrie des situations que vit chaque ennemi au fond de son trou et de sa solitude. Et si ce miroir faisait naître l'espoir ? Concert : I.M.S.D, Li-lo* et Sarah Carlier Li-lo*, c'est une voix claire, un cœur pur sur le fil de l'émotion. Ses chansons racontent son quotidien et son envie de s'attarder sur les choses simples et pourtant tellement incroyables… Sarah Carlier, depuis ses débuts, n’a pas perdu son temps : un premier album au potentiel surprenant (« For those who believe »),duquel ont déjà été issus trois singles. Passages radio, télé, concerts et premières parties… L’artiste séduit un public de plus en plus vaste avec ses mélodies lumineuses et entêtantes, portées par une voix éclatante et émouvante. Vendredi 1er mars à 20h15 Centre culturel de Dison Salle Comédis (Interlac) 12 € / 10 € (- 26 ans et + 60 ans) infos 087/33 41 81 - 087/78 62 09 [email protected] www.parolesdhommes.be I.M.S.D :Jeune groupe liégeois (Isadora De Booseré et Martin Soumagne) à qui le festival confie l’ouverture de la soirée. 9 n° 345 I février 2013 les amis d’adolphe Hardy Histoire | Dison ancien : Sur le Tombeux, 9 4821 Andrimont Tél. 087 44 59 49 Tél. 087 35 41 30 Fax 087 44 59 49 GSM 0495 25 28 41 Michel COLLINGS SUR LE TOMBEUX, 18 4821 ANDRIMONT Tél. : 087 31 05 34 Ets Demoulin rue du Moulin 38 - 4820 DISON tél. : 087/33 59 08 (fermé les lundis et le mercredi matin) [email protected] Huiles et batteries de qualité pour véhicules et industries Assurances Serge Noblué Disonais… connais-toi ! 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Jadis, elle dépendait de PetitRechain, haut ban de Herve, duché de Limbourg, tandis que Verviers était parmi les états de la Principauté de Liège. C’était notre biez qui faisait la limite des deux pays. Depuis plusieurs siècles, les Disonais s’adonnaient à l’industrie drapière qui était alors répandue dans toute une région comprenantVerviers,Stembert, Goé,Limbourg,Dolhain,Baelen, Membach, Eupen, Kettenis, Walhorn, Lontzen, Thimister, Battice, Herve, Chaineux, Petit et Grand-Rechain, Hodimont, Ensival,Pepinster,Theux,Heusy, Dison, Andrimont, Mont, Les Plenesses, Lambermont et Soumagne. Toutes ces localités se trouvaient réparties soit dans la Principauté, soit dans le Duché de Limbourg. La configuration des États d’alors était des plus spécieuse, ce qui, au point de vue économique, aurait pu amener des conflits ; mais, par un esprit d’autonomie réciproque, les drapiers des deux pays surent conserver entre eux, pendant des siècles, les rapports nécessaires à leur industrie. Ceux-ci se rompirent vers 1700, lorsqu’un tisserand,dont le nom est resté inconnu et qui devait habiter le Tapeu, trouva moyen de fabriquer une étoffe plus ou moins grossière avec du fil fait de déchets dont l’utilisation était considérée négligeable. Cette industrie nouvelle fut créée, perfectionnée,développée par nos aïeux au point qu’elle fit la concurrence, sur les marchés, aux draps de Verviers. Son extension subit toutes les entraves de réglementations hostiles, mais nos fabricants, non disposés à se laisser faire, après une longue suite de requêtes et d’ordonnances maintinrent leur industrie qui donna l’essor et le développement à notre bourg. L’origine de la prospérité établie, citons au hasard, pour l’industrie, les noms de D.D. Debaar, Sagehomme, Lutaster, Drèze,Coumont,Jardinet,Lincé, Leclercq, Warnotte, Mathieu, Lejeune, Biet, Dehesele, Grégoire, Lejeune-Vincent, Herzet et bien d’autres. L’industrie très prospère, les parents orientèrent leurs enfants vers des horizons nouveaux et c’est dans les activités les plus diverses que nous retrouvons les noms disonais : D.D. Brouwers, conservateur des archives de l’État ; Mahtieu Nissen, ingénieur des mines ; Laurent Dechesne, docteur en économie politique ; Jean Touss. Fonsny, capitaine d’artillerie, qui fut bourgmestre de Saint-Gilles (Bruxelles) ; Thomas Jos. Lemarchand, médecin, auteur de nombreuses études physiologiques ;docteur Jean Lejaer, qui fut secrétaire de la Société d’archéologie et d’Histoire ; Ferdinand Henaux, avocat, dont une rue de Liège porte le nom, est fils d’une Disonaise ;Eugène Gauthy,professeur de chimie à l’Athénée de Bruxelles ; Victor Willems, professeur à l’Université de Gand ; les frères Gardier, ingénieurs-constructeurs ; Fernand Bleyfuesz, commissaire d’arrondissement ; docteur Martin Lejeune, poète wallon ; Jules Lekeu, sénateur et directeur du journal « Le Peuple »… N’avons-nous pas aussi le droit d’être fiers d’avoir, parmi nos concitoyens, des Adolphe Hardy, des Henri-Jacques Proumen, deux maitres de la littérature contemporaine dont la renommée est universelle et plus jeune, mais déjà si grand, Luc Hommel, avocat à la Cour d’appel, professeur à l’Université de Louvain, écrivain d’un talent méconnu ; Jules Lejeune, professeur à l’Université de Liège, membre de nombreuses commissions gouvernementales. Ce sont des musiciens comme des Mathieu Jodin dont les œuvres sont reprises par tous les grands orchestres. Rendons hommage à tous ces enfants de la commune ayant œuvré pour sa grandeur et porté le nom du lieu natal dans tous les pays du monde. Nic. Grosjean, juin 1949 4e Bourse aux livres et vieux papiers (cartes postales, documents anciens,…) CD, DVD, … R ituel incontournable à Dison, la bourse aux livres organisée par l’ASBL « Les Amis d’Adolphe Hardy » se déroulera le dimanche 24 mars 2013 de 9h à 16h. Moment idéal pour faire le plein de livres à prix démocratiques et de leur donner une seconde vie. La vente se fera dans notre salle d’expo « espace Joseph Gélis », place du Sablon, 79, 4820 Dison. Les dépôts pourront se faire le vendredi 22 mars entre 9 h et 15 h ou sur demande au 087/33.25.08 Emplacement gratuit pour les membres de l’ASBL et 2€ le mètre courant pour les non membres (tables et chaises sont fournies par l’ASBL). Petite restauration à prix démocratique. inscriptions Inscription préalable obligatoire au 087/33.25.08 ou [email protected] 11 n° 345 I février 2013 ACTU CULTURE Spectacle | L’homme content de rien P artenaire fidèle du Centre culturel de Dison depuis bien des années, la Compagnie des Chemins de Terre, est de retour chez nous avec rien de moins qu’une nouvelle création. « L’homme content de rien », voilà son nom. Dans ce spectacle mis en scène par Jean Lambert, on retrouve Stéphane Georis dans un rôle d’employé aux pompes funèbres. Nous sommes le jour de l’enterrement, devant la table buffet-sandwiches. Il se tient là, debout et accueille le public comme une famille. Condoléances, embrassades, mains chaudes. René fait son métier de maître de cérémonie. Mais il se pose des questions : Qui est ce mort ? Qu’a-t-il vécu ? Qu’est-ce qui le rend fascinant, pour lui, alors que des morts, il en a déjà vu. René, entre compassion sincère, tristesse profonde et bonne humeur contagieuse (c’est sa nature, il n’y peut rien), est convaincu que le public qui, après tout, est là pour l’enterrement, connaît le bonhomme et donc pourra répondre. Il va reconstituer et raconter l’effarante histoire du mort, un idéaliste, à l’aide des objets posés sur la table (sandwichs, serviettes, percolateur, nappes seront marionnettes et masques-objets) et de quelques indices donnés par le public. Un prénom ? Une famille ? L’oncle Émile est-il dans la salle ? Finalement, sur un ton joyeusement débridé, entre tragédie et folie douce, cela laissera un message au public : « Il a tenté de sauver le monde avec sa folie. Nous sommes ses héritiers, à nous de nous y mettre… » infos Vendredi 8 février 2013 à 20 h Centre culturel de Dison, salle du ReZ (10 €) Réservation indispensable au 087/33 41 81 Découverte | Le Kenya A près Liège et avant l'île de Pâques, les Voyages du mercredi – proposés conjointement par le club photo Phodiac et le Centre culturel – vous emmènent au Kenya, avec Georges Piaia et Nany Mailleux. Le Kenya, l'évocation de ce nom magique nous transporte instinctivement vers les étendues sauvages de l'Afrique. L'objectif de ce voyage à la limite de l'équateur est de réaliser le rêve d'un enfant, Erwan, et de lui montrer le monde animalier grandeur nature. En partant du parc national marin de Mombasa, nous allons entreprendre un grand safari à travers les plus belles réserves du pays. Les parcs naturels de Tsavo, d'Amboseli, la vallée du Rift et le Massaï Mara seront les temps forts de cette évasion. infos Mercredi 13 février 2013 à 14 h Centre culturel de Dison, salle des fêtes (3 €, café compris) 12 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente ACTU CULTURE rep ort é au Enfance | 9/10 /13 Le cirque à trois pattes C e mois de février, les petits veinards sont conviés à un magnifique spectacle de la Cie d'Oz qui nous fait découvrir toute la beauté du théâtre burlesque : « le cirque à trois pattes ». Trois femmes font leur cirque, sans lions ni trampoline. Elles créent du merveilleux avec trois fois rien et pourtant le cirque est là avec toute se palette d’émotions. Chaque spectateur, du plus petit au plus grand, peut entrer et se laisser porter par cet univers onirique ponctué de musiques et de chants. Un spectacle tout public à voir dès 3 ans. infos Mercredi 6 février 2013 à 14h Centre culturel de Dison, Salle Comédis (5 €) Réservation indispensable au 087/33 41 81 Visite culturelle | Atelier | Bruxelles : Workshop : Museum entretenir sa guitare NightFever P Le CEC « Les Ateliers » du Centre Culturel de Dison propose depuis plusieurs années des workshops sur des thèmes particuliers qui ne peuvent pas être abordés en détails lors des ateliers. Ces soirées sont destinées aussi bien aux participants des Ateliers qu'à toute personne extérieure intéressée. our cette première visite culturelle de 2013, nous bousculons un peu les habitudes. Nous partirons en effet en fin d'après-midi (16 h) et reviendrons dans la nuit (01 h). La raison ? Nous participerons à La « Museum Night Fever » à Bruxelles Après une visite pédestre dans les rues de la ville, il sera temps de prendre la direction des quelques 24 musées bruxellois qui ouvrent leurs portes jusqu’aux petites heures ! Un programme hors des sentiers battus qui mixe expositions, vidéos, musique,danses et performances… Un cocktail hivernal qui réjouira tous les curieux qui veulent (re)découvrir les musées de notre capitale sous un angle décalé. Une visite culturelle pittoresque et originale à ne pas manquer. ette fois c'est un thème pratique et intéressant un grand nombre de guitaristes (et de bassistes) qui sera abordé. En effet, débutants ou confirmés, beaucoup de guitaristes ne connaissent pas bien l'instrument sur lequel ils jouent et en changer simplement les cordes peut devenir un véritable parcours du combattant. Guitariste et pédagogue depuis plus de 40 ans, spécialiste guitare dans un magasin de musique pendant 13 ans,Jean-Paul Kuypers abordera différents aspects liés à cela : les bonnes façons d'entretenir votre guitare ; changer correctement ses cordes ; régler son instrument ; quelques réparations faciles à faire soi-même ; comment stocker sa guitare, dans quoi la transporter ; nouvel achat : que choisir et pourquoi ? Quels sont les différents types de guitares, pour quel type de musique, etc. infos infos Samedi 2 mars 2013 Prix : 25 € Réservation : 087/33 41 81 C Vendredi 22 février 2013 à 19 h Centre Culturel de Dison, salle du Rez (5 €) Réservation indispensable au 087/33 41 81 Seniors | Musique | D avec les Superluettes Thé dansant epuis plus de vingt ans, le dernier mercredi de chaque mois, le Centre culturel de Dison propose un thé dansant à la salle des Fêtes. Celui-ci est organisé avec la collaboration de l’UCP Dison, mouvement social des aînés. Que ceux qui ne connaissent pas encore cette activité sympa n’hésitent pas à y faire un tour et rencontrer les nombreux habitués… Le droit d’entrée est de 5 € seulement et donne droit au goûter. Bienvenue à tous ! Prochain rendez-vous ce mercredi 27 février, de 14 à 18 heures (087 / 33 41 81 ) St-Valentin Cette année, ne cherchez plus l'idée originale à l'occasion de la Saint Valentin. Le Centre culturel de Dison vous l'offre sur un plateau ! C e jeudi 14 février, on fête en effet l'amour avec les Superluettes, une duo vocal féminin et burlesque qui met l’amour sens dessus dessous… ou quand deux chanteuses (Géraldine Cozier et Sarah Klenes) déjantent sur le thème de l’amour. Les Superluettes, ce sont deux personnages – une damoiselle rouge des plus charmeuses et une damoiselle verte pleine de candeur – qui, au gré de leur voix et de leur propos, partagent avec vous leur regard sur l’amour. Elles vous envoient valser du rock à la chanson française, en passant par la soul et les musiques du monde. Bref, un spectacle frais et frétillant. À ne rater sous aucun prétexte ! infos Jeudi 14 février 2013 à 20 h Centre Culturel de Dison, salle du Rez (10 €) Réservation indispensable au 087/33 41 81 newsletter Depuis peu,le Centre culturel de Dison a lancé une newsletter.Tous les quinze jours, vous pouvez prendre connaissance dans votre boîte mail, du programme et de l'actualité de notre Centre culturel. Pas encore inscrit ? Surfez sur www.ccdison.be et encodez votre adresse. 13 n° 345 I février 2013 le saviez-vous ? le saviez-vous ? Contes et légendes | mme henrard raconte… Le saviez-vous ? Chaque mois, Georges Zeyen et Présence vous livrent un des petits secrets de notre commune. B ien connue de tous les habitants de Mont-Dison, Mme Henrard m’a rendu le service de me confier une anecdote, extraite du plus profond de sa mémoire. C’est donc à son domicile au 17, rue “ 1901) avait fabriqué la première dynamo industrielle en 1871. La porte était donc ouverte à l’éclairage électrique, son perfectionnement nous a valu beaucoup plus de sécurité lorsqu’il fallait circuler dans nos rues après la tombée du jour. On comprend donc le danger u fès’ volà ? K (…) Sés’ bé ku tu fais sogne à tot l’monde ? de Mont que j’ai eu le plaisir de recueillir ces notes que je vous transmets. Cela s’est passé – car il s’agit d’un fait réel ! – tout au début du XXe siècle, vers 1906. Notre commune n’était pas dotée, à l’époque, d’un éclairage public performant, seuls quelques réverbères au gaz répandaient une lumière blafarde dans les rues les plus habitées. Le centre de l’agglomération bénéficiait, prioritairement, de cette avancée du progrès… Je me souviens d’un de ces derniers réverbères, situé à mihauteur rue de la Montagne, face à l’escalier qui longe le pignon de la maison n°30. À lui seul, il était censé éclairer toute cette rue... C’était mieux que rien ! À l’époque, il faisait déjà figure de relique. Zénobe Gramme (1826, JehayBodegnée - Bois-Colombes, qu’il y avait à sortir de chez soi à une heure tardive, c’était fortement déconseillé par les services d’ordre. L’époque où les réunions publiques et les spectacles devaient se terminer au plus tard à 21 h 30 et pendant laquelle les hommes s’y rendaient armés d’un bâton, n’était pas tombée dans l’oubli… Une présence inquiétante Or donc, une présence inquiétante troublait les habitants du hameau de Mont. À l’entrée du cimetière, au pied du crucifix actuellement situé quelques mètres plus loin, de l’autre côté du coin du mur. À côté du crucifix, se trouvait une porte censée servir au fossoyeur qui habitait la maison située dans l’enceinte du champ de repos (cette porte a été supprimée lorsque le mur, 14 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente très abîmé par les munitions tirées depuis la gare pendant la guerre, a dû être remplacé). C’est là qu’une présence inquiétante provoquait une certaine crainte à ceux qui devaient passer en ce lieu. Les suppositions allaient bon train : un fantôme, un revenant, un spectre, un esprit maléfique, quel nom fallait-il donner à cette chose ? Une dame de la cour à qui on avait posé la question : « Madame, croyez-vous aux fantômes », avait répondu : « Non, mais j’en ai peur ! » On le voit, lorsque l’on se trouve devant un fait qui laisse traîner un doute teinté de mystère, l’imagination de chacun, y compris celle de personnes nanties d’une certaine culture, laisse un sentiment de gêne dans notre jugement. L’inexpliqué inquiète. Certains tournaient le danger en empruntant un autre itinéraire, d’autres choisissaient un autre moment de la journée pour se trouver en cet endroit, ceux qui le pouvaient restaient chez eux. Cependant, un habitant, peu convaincu de la présence de quelque présence surnaturelle, décide un jour d’affronter le danger. Muni d’un solide bâton, il se rend sur les lieux dès la nuit venue. Arrivé à une certaine distance, il devine une forme humaine, calmement assise au pied du crucifix. A priori, aucun signe inquiétant ne l’empêche de s’en approcher. N’écoutant que son courage, mais non sans certaines précautions, il s’en approche calmement et découvre qu’il est simplement en présence d’un homme, de chair et d’os, qui ne donne pas le moindre signe d’agressivité. Il le salue donc et lui demande : « Ku fès’ volà ? » (que fais-tu là ?). Sans le moindre état d’âme, la réponse vient : « Dju rawate mu fèye ki r’vé d’l’ovrèdje » (j’attends ma fille qui revient de sa journée de travail). « Dju n’inme né k’èle seuye tote seûle è lu spèheûr po cotî » (je n’aime pas qu’elle se déplace seule dans l’obscurité). L’autre lui signale : « sés’ bé ku tu fais sogne à tot l’monde ? » (te rends-tu compte que tu effrayes les gens ?). Surpris de l’effet qu’il faisait auprès de nombreuses personnes, l’homme s’expliqua et, une fois cette version répandue dans le village, chacun retrouva sa quiétude et plus personne ne s’inquiéta d’emprunter cet endroit quelle que soit l’heure, le phénomène était expliqué au grand soulagement général. On conçoit que, en tant que confesseur, le Père Lachaise, avait entendu, dans l’intimité de son confessionnal, de nombreuses descriptions d’exactions, de malversations, de débauches et autres fantaisies graveleuses courantes à la Cour du Roi à cette époque. Le secret de la confession était indispensable à la bonne marche de bien des choses dans le royaume ! Chacun se souvient de Bossuet (1627-1704), contemporain de Louis XIV et du Père Lachaise, redoutable prêcheur qui, dans ses sermons, ne craignait pas de chapitrer les grands de ce monde. Il savait aborder des sujets très délicats concernant les hauts placés au pouvoir tout en évoquant les foudres du ciel qui, comme l’épée de Damoclès, étaient prêtes à sanctionner les fautes des puissants comme celles des humbles. La grande Terwagne Bourdaloue Cette anecdote m’en rappelle une autre : celle de la grande Terwagne qui, à la suite d’un défi lancé au cabaret « Chez Boniface », a payé son exploit de sa vie (1). Quelques mots pour vous parler de ce troquet qui se situait accolé à la « Tour Malakoff » en face du cimetière. Le tenancier, afin d’attirer la clientèle, avait peint une enseigne sur sa façade, on pouvait y lire : « C’est ici chez Boniface, on est mieux ici qu’en face ! ». Il aurait pu ajouter : « Buvez le vin d’ici maintenant, vous aurez l’éternité pour apprécier l’eau de là ». En fait, ce texte était plus ou moins copié d’un café situé à Paris en face du cimetière du Père Lachaise. Le Père Lachaise (1624-1709), était le confesseur de Louis XIV de 1674 à 1709, propriétaire de ces terrains et, sous certaines conditions (respecter les arbres par exemple), il avait consenti à vendre cet espace pour y créer un cimetière. Le but était de délocaliser les inhumations en zone habitée, souvent autour des églises, pour les transplanter en dehors des agglomérations. C’était une mesure d’hygiène élémentaire. Un autre grand prêcheur a eu aussi un prestige exceptionnel : Louis Bourdaloue. Fils d’avocat, ce jésuite rivalisait de faconde avec ses prestigieux contemporains. Lui aussi, non seulement confesseur de Louis XIV, mais aussi de sa cour, avait prêté l’oreille à bien de descriptions de turpitudes qui auraient pu combler d’aise les plus bas souhaits de Satan. Le peuple, observateur souvent avisé, comparant toutes les horreurs confiées aux religieux sous le secret de la confession, jugeait que l’oreille qui avait supporté ces propos était comparable à un WC. dans lequel on déverse nos déjections. Par association d’idées, le nom de Bourdaloue fut alors choisi pour désigner un genre de pot de chambre qui connut un grand succès à l’époque. Le fin du fin était de s’en faire fabriquer un qui avait, dans le fond, le portrait d’une personne que l’on détestait. Le propriétaire éprouvait ainsi la satisfaction de se soulager chaque jour, du rebut de ses intestins sur le portrait de la victime choisie. Cette pratique a perduré jusqu’à une époque relativement proche de la nôtre puisque certains exemplaires portaient la photographie de la personne honnie. La justice a mis beaucoup de zèle à interdire la fabrication ainsi que la vente de ces accessoires pourtant de première nécessité… La presque totalité de ces articles a été éliminée, elle est devenue rarissime, aussi bien dans les brocantes que dans les musées. Assez paradoxalement, le nom de Bourdaloue fut aussi utilisé pour désigner des recettes culinaires, des tartes aux poires ou au riz entre autres. Surnommé « Le roi des prédicateurs et prédicateur des rois », il nous a laissé quelques pensées qui nous aideront un peu à cerner le personnage, j’en citerai deux : « Il n’est rien de plus précieux que le temps puisque c’est le prix de l’éternité » et « Aimons la vérité qui nous reprend, et défions-nous de celle qui nous flatte. ». G. Z. représentent le quart de l’itinéraire des balades de G.Z. L’ensemble de ces ouvrages sont disponibles à « La Maison des Amis d’Adolphe Hardy », 79 place du (1) Les détails de cette anecdote qui se Sablon à Dison – 087/33.25.08 racontait autrefois aux veillées sont repris sous « Promenade Georges Zeyen » dans Les Annales, 2009, n° 20 (ASBL Les Amis d’Adolphe Hardy). On retrouvera également les commentaires de l’auteur, Croqué habilement par Georges illustrés de photos, dans les volumes Zeyen, le brave homme qui effrayait n°19 (2008), n°20 (2009), n°22 (2011) bien malgré lui les passants à la et n°23 (2012). Ces quatre volumes qui tombée du jour, est représenté assis au totalisent à ce jour 58 pages de notes pied d’un crucifix. “ l’entrée du À cimetière, une présence inquiétante troublait les habitants du hameau de Mont. 15 n° 345 I février 2013 livres et vous AUTO ECOLE SECURITY LUC HOMMEL 7 - DISON Dames PERMIS TOUTES CATEGORIES TÉL. BUREAU 087 33 01 06 Du mercredi au samedi sur rendez-vous T. 087 33 56 03 Rue Leopold 71 4820 Dison Prochaine théorie voiture le 11 février 2013 à 18 h 30 Lecture | dans les bibiliothèques disonaises coiffure messieurs marc et frédÉric lousberg VOTRE PUB ICI ! Mardi, mercredi et vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 18h ; Samedi de 9h à 17h30 non-stop ; Jeudi uniquement sur rendez-vous. CONTACTEZ EVELYNE ROUVROI AU CENTRE CULTUREL DE DISON : 087 / 33 41 81 [email protected] Recette | ON PASSE À TABLE ! Pelures de pommes de terre gratinées Ingrédients 4 pommes de terre de grosseur moyenne ; 1 ½ cuillère à soupe(22 ml) d’huile végétale ; 2 échalotes coupées finement ; 1 ¼ tasse (315 ml) de fromage mozzarella tranché ; 3 c. à soupe (45 ml) de bacon séché et émietté. Étapes Préchauffer le four sur « grill » ; laver les pommes de terre, les piquer au couteau puis les cuire au four pendant 40 à 55 minutes, suivant leurs tailles ; ensuite les couper en deux dans le sens de la longueur et les évider avec une cuillère en laissant une mince couche de chair. Attention, la pomme de terre sera très chaude ! Huiler l’extérieur de la pomme de terre et le rebord avec un pinceau trempé dans l’huile végétale. Déposer chaque pelure sur une plaque allant au four. Garnir chaque pomme de terre de mozzarella, d’échalotes hachées finement et de bacon séché émietté. Mettre au four sur « grill » et laisser dorer le fromage pendant 1 à 2 minutes. Retirer du four et déposer sur une assiette de service avec de la crème sûre en accompagnement pour tremper chaque pelure de pomme de terre farcie. On peut remplacer le bacon séché émietté du commerce par 4 tranches de bacon cuites, émiettées finement. La recette donne 2 pelures par personne. Servir en entrée d’un plat principal ou en accompagnement. Bon appétit ! Tribulations d’un précaire Le portait d’un monde où l’on ne parle même plus de lutte des classes mais simplement de survie. Brillant. L Plus de boulot pour papa coq Une parabole sympathique sur le progrès et ses conséquences dans le monde du travail. es romans de bureau ou d’entreprise squattent ré g u l i è re m e n t les premières places des bestsellers de l’édition. On se souvient du succès de « 99 francs » de Beigbeder ou d’ « Extension du domaine de la lutte » de Houellebecq. L’univers du travail, avec ses rouages et ses rites, offre aux auteurs un formidable territoire d’exploration où se confrontent cruauté et promesse, liberté et aliénation, espoir et désillusion, générosité et hypocrisie. Le travail est, en quelque sorte, une scène de théâtre sur laquelle nous jouons ou espérons tous jouer, membres honoraires de la comédie sociale et de la course anxiogène à l’épanouissement. Le travail est donc un sujet romanesque en or qui alimentera encore longtemps la production littéraire. Par conséquent, ironiquement, ça ne nous a pas demandé trop de boulot de trouver un livre illustrant notre thème du mois. Le père de Max et Lili est au chômage Voir ses parents inquiets à cause du chômage, c’est dur. Parler est essentiel pour la famille. Tribulations d’un précaire De Iain Levinson Éditions Liana Levi Au pays de la liberté, il faut débourser 40.000 dollars pour obtenir un diplôme de lettres dans une université. C’est ce qu’à fait l’auteur, rêveur inconscient, qui se voyait déjà écrire « le grand roman américain » avant de se rendre compte qu’il était avant tout devenu un chômeur “ endetté. Pour rembourser son crédit et, si possible, avoir de quoi manger, il se lance avec courage dans la chasse aux petits boulots – quarante-deux au total ! –,poissonnier,cuisinier, livreur de fuel, déménageur, serveur… Il est même allé jusqu’en Alaska pour pêcher du poisson, et, en bonus, apprendre à dormir mouillé et à se coltiner des petits chefs sans moralité. L’auteur, mordant et intelligent, nous propose un témoignage musclé de cette existence sur le fil,fatalité d’une masse laborieuse et silencieuse qui vit au jour le jour en quête d’un petit bout d’eldorado.Sans céder aux conclusions faciles, il s’évertue à dessiner – avec un sens de l’humour certain – le portait d’un monde où l’on ne parle même plus de lutte des classes mais simplement de survie. Brillant. Plus de boulot pour papa coq De Paul Beaupère Éditions Delagrave Papa coq, c’est le roi du monde ! À son signal, tous les animaux se réveillent et se mettent à travailler, jusqu’au jour où le fermier remplace son chant Impensable d’avoir une femme et des enfants. Il s’agit de survivre. Encore y a-t-il de la grandeur dans la survie (…) En fait, il s’agit surtout de s’en tirer. par un réveil mécanique. Papa coq devient inutile du jour au lendemain. Mais la ferme peutelle vraiment se passer de Papa coq ? Une petite parabole sympathique sur le progrès et ses conséquences dans le monde du travail. Le père de Max et Lili est au chômage De Serge Bloch et Dominique de Saint Mars Éditions Caligram Max et Lili découvrent que leur père n’a plus de travail.Voir ses parents si inquiets à cause du chômage, c’est vraiment dur. Plus d’argent, plus de rire… Cette aventure de Max et Lili tente de montrer aux enfants (mais aussi aux grands) que, même si ce n’est pas le problème des « petits », parler et se soutenir les uns les autres lorsque qu’un grave problème déstabilise le foyer,c’est essentiel pour que la famille toute entière traverse les épreuves les plus difficiles. Horaires Bibliothèque Pivot 2 r. des écoles, Dison Lundi et jeudi de 15 h à 19 h, mardi et samedi de 9 h à 13 h, mercredi de 14h à 18h Tél. 087 / 33 45 09 [email protected] Bibliothèque du Centre 269 av. du Centre, Andrimont Mardi de 15h à 18h Tél. 087 / 35 45 80 Bibliothèque Fonds de Loup 203 r. de Verviers, Andrimont Parc du Château d’Ottomont, Lundi et jeudi de 14h à 19h 087 / 33 71 89 [email protected] Iain Levinson, Tribulations d’un précaire 17 n° 345 I février 2013 associations associations zapping Activités | des associations Le Kursaalamalecs sera prochainement sur scène au profit des Amis de Cibombo Cuistot d’un soir Ce vendredi 22 février, Mister Kili’s reprend son voyage autour du monde à l’occasion des Cuistots d’un soir de la Régie des quartiers Havre-SAC. Pour l’occasion, il fait escale au Bengladesh, d’où il fait parvenir un menu local. En avant safran, curry et autres épices dont nos amis Bangladais ont le secret. Au menu, on retrouvera donc une soupe bangladaise (poissons et crustacés), suivie de riz basmati aux épices asiatiques et poisson tiqua marsala, avant un lassi (dessert au yaourt, bananes, pistaches). Réservation au 087/35 46 60 ou en passant par les locaux de la Régie, place Jean Roggeman du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h. Souper choucroute des Amis de Cibombo Les amis de Cibombo organise un nouveau grand souper choucroute ce samedi 23 février prochain, dès 19 heures. A nouveau, cet événement sera organisé au profit du camp de réfugié de Cibombo, au Kasaï, en République Démocratique du Congo. C’est-à-dire 14.500 personnes (presque la population de Dison), vivant sans eau, sans électricité et sans infrastructure, dans des conditions inhumaines. Réservation par virement au compte IBAN : BE10 0016 5005 7704 – BIC : GEBABEBB ; au plus tard pour le lundi 18 février. Après cette date, 18 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente réservation possible par téléphone ou email auprès de Manu Devos : 087/31 34 19 ; [email protected] Adulte 15 € - enfant 10 € - boissons 1,5 €. Salle communale des Fêtes, place Luc Hommel Le Kursaalamalecs en scène Le Kursaalamalecs Théâtre présente « Le doyen des enfants de chœur ». Une comédie en trois actes de Maxime Lery ; qui sera à voir ces 23 février, 1 et 2 mars à 20 h au Cercle SaintJean-Baptiste de Mont-Dison. Une petite ville française dans les années 20. La vie s’écoule, calme, monotone, réglée seulement par le rythme des saisons et la cloche de l’église. Dans cette petite ville vit une vieille fille célibataire qui s’est donnée comme mission ici bas, l’éducation d’un frère parfaitement soumis. Tout se déroule comme elle l’avait toujours décidé jusqu’au jour où, à cause d’ un visiteur tombé du ciel, elle va perdre tout l’emprise qu’elle avait sur son entourage. Une bien belle comédie que nous présente le Kursaalamalecs Théâtre en ce début d’année. Cette fois, c’est une troupe très expérimentée qui va défendre un texte d’une autre époque, des principes et des mœurs d’un autre temps, dans des costumes qui sortent des garde-robes de nos arrièregrand-mères. Distribution : Myriam Georges, Audrey Wintgens, Régis Vanderschuren, Roland Martin, Maurice Thirion, Mireille Damoiseau, Gregory Degand, Marie-France Lignon. En collaboration avec le Cercle Saint-Jean-Baptiste et au profit intégral de l’association disonaise « Les Amis de Cibombo ». PAF : 6 € et 2 € (– de 12 ans) Infos et réservations : 0476/94 22 57 ou sur www.kursaalamalecs.be Réinventons notre Église ! Qu’est-ce que l’Église aujourd’hui ? C’est une pierre vivante, qui aspire à la nouveauté, au changement, tout en se reposant sur le message immuable du Christ. Elle ne se résume pas à l’institution. Composée de chrétiens, de gens comme vous et nous, elle aspire à la fraternité dans un monde où l’individu compte plus que la communauté. Cette communauté, comment la fortifier ? Comment la redéfinir aujourd’hui ? Comment agir pour que la parole soit comprise et transmise ? Ce mercredi 6 mars, l’Unité pastorale de Dison tient une assemblée générale à l’église Saint-Fiacre (20h). Venez ! Prenez la parole… ou écrivez-la. Exprimez vos espoirs, vos souhaits sur ce que devrait être l’Église idéale. La Vôtre. La Nôtre. Les questions sont ouvertes, biens sûr. Vous pourrez aussi vous exprimer (ou simplement écouter) en petits groupes sur cinq thématiques: la communication dans nos communautés, le langage de l’Eglise, les changements, l’engagement et la formation des chrétiens et la jeunesse. Bal de carnaval à Luc Hommel L’école communale Luc Hommel organise un bal de carnaval pour les enfants, ce samedi 9 mars prochain, à 14 h 30, dans ses locaux (place Luc Hommel). L’entrée y sera gratuite, tombola et petite restauration prévues sur place. Diner dansant de la Commission d’Ottomont La Commission d’animation du quartier d’Ottomont vous invite à son rendez-vous du printemps, via un diner dansant qu’elle organise samedi 16 mars, à 12 heures. Dans une ambiance conviviale, en plus d’un repas, vous aurez l’occasion de profiter de l’animation du chanteur Gino Consentino qui vous fera danser sur les plus grand succès. Au menu du repas : potage andalou, brochette de dinde sauce champignons, buchettes dorées, tarte abricot garniture chantilly et le prince noir. Salle de la Court’échelle, à Andrimont. Participation par personne : 20 € (attention, repas limité à 140 couverts, ne tardez donc pas pour réserver : 087/33 52 34 - 0496/48 59 54). Jeux de société à l’UCP Dison L’Amicale UCP Dison vous invite à une après-midi récréative les deuxièmes lundis de février et mars et le 15 avril 2013 au FENIL, Hameau du Husquet 119 à Dison, de 14 h à 18 h pour la modique somme d’1 euro. Venez vous affronter au Scrabble, à Puissance 4 ou au Rummikub ; à moins que vous ne soyez un pro de l’informatique pour jouer sur la « Wii » ? Quant aux sportifs, on leur proposera une partie de ping-pong ou... de tennis de table pour les plus aguerris. Infos : 087/70 02 060 (Jeanine Colyn) Recherche joueurs de whist Si vous êtes amateurs de jeux de cartes et que vous êtes libres les jeudis après-midi, les Amis des Cartes d’Andrimont sont à la recherche de nouveaux membres, débutants ou expérimentés, désireux de s’adonner à la pratique du whist. N’hésitez pas à venir jouer à ce jeu très convivial, privilégiant des contacts avec les autres membres ! Les Amis des Cartes se retrouvent tous les jeudis dès 13h30 à 17h30 au pavillon Mosbeux à Andrimont. Infos: 0476/47 83 19 Gala des Volontaires Ce samedi 2 février, dès 19 heures, le club des Volontaires de Dison organise son 88e gala de gymnastique et de danse. Une fête de gym particulière car le club fête en 2013 ses 100 ans. Réservez votre soirée pour admirer les plus beaux numéros réalisés depuis la création du club. Rendez-vous est dès-à-présent donné au hall omnisports d’Andrimont pour fêter cet anniversaire. «« Les apprentis brigands »» la troupe André Montois, de la Jeunesse du Cercle d’Andrimont sera sur les planches,en ce mois de février.Au programme : « Les apprentis brigands », une comédie policière en trois actes écrites et mises en scène par Eric Simons. L’intrigue est la suivante: rien ne va plus chez Léon et Sylvie. Depuis l’achat de leur appartement,Sylvie a perdu son emploi il y a trois ans et c’est maintenant au tour de Léon de perdre le sien. Avec leurs amis Florian et Magali, ils vont chercher des combines avant de sombrer dans la délinquance et la malhonnêteté. À voir les vendredis 22 et samedi 23 février prochains, à 20 heures, salle du Cercle La Concorde (route de HenriChapelle, 24 à Andrimont). Places : adultes 6 € (-12 ans : 1 €) Infos: 0495/80 89 90 [email protected] Confettis | Le carnaval : nouveau prince ! Ç a y est, le nouveau prince carnaval de MontDison est connu ! Il s'agit de Jean-Mi Ier (JeanMichel Borgs). Ce Montois pur souche est donc le 55e Prince carnaval et prend la succession de Jefferson 1er. Pour l'entourer, deux pages : Amandine Henrotte, 20 ans, étudiante, et Anne-Laure Dislaire, 26 ans, responsable d’une maison de repos à Vottem. Son bouffon est quant à lui Thibaut Henrotte, 15 ans, étudiant, et son trésorier Pierre-Yves Vanweerst. Par ailleurs, ce dimanche 3 février, dès 15 heures, la magie du carnaval continuera d'opérer, à l'occasion du grand bal costumé des enfants. Ambiance en perspective avec une animation de Félicien, en la salle du Cercle Saint Jean-Baptiste. Profitez-en, l'entrée est gratuite ! Résultat de la tombola D'autre part, suite à la proclamation du 55e Prince carnaval de Mont-Dison, qui s'est déroulée le samedi 19 janvier dernier, le comité organisateur a procédé au tirage au sort de la tombola des cartes de soutien. Les lots peuvent être réclamés jusqu'au 31 mars 2013 auprès de Pierre Henrard, rue de Mont 174, à Dison – 087/33 56 66. Les numéros gagnants : 0010 ; 0021- 0088 ; 0093 ; 0116 ; 0135 ; 0146 ; 0197 ; 0207 ; 0229 ; 0245 ; 0294 ; 0300 ; 0331 ; 0358 ; 0386 ; 0414 ; 0421 ; 0437 ; 0479 ; 0516 ; 0539 ; 0551 ; 0591 ; 0618 ; 0644 ; 0649 ; 0689 ; 0718 ; 0748 ; 0763 ; 0797 ; 0828 ; 0838 ; 0849 ; 0862 ; 0913 ; 0933 ; 0973 ; 0981 ; sauf erreur ou omission. Le gros lot est attribué au numéro 0414. 19 n° 345 I février 2013 associations ACTU CULTURE Show | Nicolas Pick, le chanteur maître de sa carrière « C’est comme Obélix, je suis tombé dedans quand j’étais petit. » C’est en ces termes que l’Andrimontois Nicolas Pick commence l’histoire de sa carrière d’artiste. M 20:00 – 23:00 88e Gala de gym et de danse Org. : Les Volontaires Hall omnisports d’Andrimont Spécial St-Valentin : « Les Superluettes » Org. : Centre culturel Salle du Centre culturel 20:00 – 23:00 > mer. 20 févr. Toute la journée Pièce théâtre enfants Org. : CCD + Paroles d’hommes Comédis 15:00 – 18:00 Bal costumé des enfants Org. : Société carnaval de Mont-Dison Cercle Saint Jean-Baptiste, Mont-Dison 20:00 – 23:00 Cabaret chanson du travail Org. : CCD + Paroles d’hommes Salle du Centre culturel > mer. 6 févr. 12:00 – 14:00 bref, des pros. » Nicolas présentera des chansons à texte combinées à une touche d'humour. « C'est Pierre Theunis, un humoriste liégeois,qui va écrire les textes qui me permettront d'enchaîner mes chansons. Je ferai aussi chanter le public et proposerai des morceaux inédits. Je dois montrer un produit fini aux producteurs qui viendront me visionner pour peut-être lancer de nouveaux projets. » (1) Mais le must arrive en juin 2013 : un concert solo au Trianon de Liège(1). « Je serai seul sur scène, avec des musiciens de l'orchestre de Lara Fabian et de Tina Arena, > jeu. 14 févr. 19:00 – 00:00 > dim. 3 févr. Premier album et premiers contrats La porte ouverte aux opportunités > sam. 2 févr. Cabaret chanson du travail Org. : CCD + Paroles d’hommes Salle du Centre culturel es arrières grands-parents montaient déjà sur scène. J'ai commencé à chanter très jeune. À 5 ans et demi j'étais déjà sur une scène verviétoise avec mon père. J'ai ensuite fait quelques spectacles de variété. » À 15 ans, Nicolas sort son premier album et part à la rencontre du milieu artistique. Un monde dans lequel il plonge tête la première en se lançant dans un One Man Show inédit. « C'était il y a 5 ans, j'en avais 23. Je me produisais au Trianon de Liège et proposais beaucoup de reprises mais aussi des chansons inédites écrites par mon oncle. » À ce moment, les demandes commencent à affluer et Nicolas prend l'aventure « Âge Tendre et Tête de Bois » en marche. « Il s'agissait d'une tournée avec des vedettes des années 70, comme Francis Lalanne, Michel Delpech... J'ai fait les premières parties en Belgique et dans le nord de la France. En juin 2012, j'ai chanté devant plusieurs milliers de personnes au Zénith de Lille. » Grâce à ce beau tremplin, Nicolas décroche un contrat pour animer une croisière de luxe en 2014, « avec une salle de spectacle de 2000 personnes. » agenda 02 / 2013 Un car sera mis à la disposition des spec- tateurs au départ de Dison. Plus de renseignements auprès de Marcel Renard : 0496/48.59.54 infos www.nicolaspick.com 20 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente La promesse à sa grand-mère S i je fais ce métier, c'est pour le plaisir mais aussi parce que ma grandmère adorait ça. Nous avons appris son décès en plein spectacle. Je jouais avec mon père et mon oncle. En coulisses je pleurais. Je me faisais rapidement remaquiller avant de remonter sur scène, comme si tout allait bien. Je faisais mon travail et rien ne pouvait transparaître de ma vie privée. À la fin du spectacle, le producteur a expliqué au public que nous venions d'apprendre le décès de ma grand-mère. Les spectateurs se sont mis debout pour nous applaudir. Ce jour-là, je me suis promis d'essayer de réussir ma carrière et de garder les pieds sur terre. Après avoir joué au Zénith de Lille en 2012, je suis allée suis sa tombe pour lui rendre hommage. Depuis, j'ai réalisé que dans ce monde, on avance aussi vite qu'on recule. Nous ne sommes rien du tout. » > ven. 22 févr. 19:00 – 23:00 Cuistot d’un soir Org. : Régie des quartiers Havre-SAC Place Jean Roggeman > sam. 23 févr. 19:00 – 00:00 Grand souper choucroute Org. : Les Amis de Cibombo Salle des Fêtes 20:00 – 23:00 «Le doyen des enfants de choeur» Org. : Kursaalamalecs Théâtre Cercle Saint-Jean-Baptiste, Mont-Dison 14:00 – 16:00 Bar à soupes Org. : Régie Quartiers Havre-Sac Place Jean Roggeman 20:00 – 23:00 Plein feu : « L’homme content de rien » Org. : Centre culturel Salle du Centre culturel > mer. 13 févr. 12:00 – 14:00 14:00 – 18:00 Thé dansant Org. : UCP + CCD Salle des Fêtes > ven. 1 mars 20:00 – 23:00 Sarah Carlier and co CCD + Paroles d’hommes Comédis 12:00 – 14:00 20:00 – 23:00 Bar à soupes Org. : Régie Quartiers Havre-Sac Place Jean Roggeman « Le doyen des enfants de choeur » Org. : Kursaalamalecs Théâtre Cercle Saint-Jean-Baptiste, Mont-Dison 14:00 – 17:00 Voyage du mercredi : Kénya Org. : CCD + Phodiac Salle des fêtes «Le doyen des enfants de choeur» Org. : Kursaalamalecs Théâtre Cercle Saint-Jean-Baptiste, Mont-Dison Bar à soupes Org. : Régie Quartiers Havre-Sac Place Jean Roggeman > mer. 27 févr. > ven. 8 févr. 20:00 – 23:00 12:00 – 14:00 Bar à soupes Org. : Régie Quartiers Havre-Sac Place Jean Roggeman Petits veinards : « Le cirque à trois pattes » Org. : Centre culturel Comédis Org. : Centre culturel Départ du Centre culturel > sam. 2 mars Toute la journée Visite culturelle : Brussels night fever Dialecte | Le coin du wallon Ewaråcion Mi camaråde Mårtin vint d’abaguer. Li lodgis èst à l’îdêye, bin clér, avou tot çou qui fåt come ahèsses. Lès wèzins on l’êr fwèrt amiståve, adon Mårtin va fé kinohance. Djustumint, on va chèvî l’cafè èt Mårtin èst invité a prinde one jate avou zèls. I djåzet di traze à quatwaze, puis Mårtin dimande qui a mètou l’papî so lès meûrs ? « C’èst nos ôtes » rèspond l’wèzin ! « Kibin avéz mètou d’rôlês ? » d’mande t’i. « Cinqwante », rèspond l’ome. Saqwants djous pus tård, mi camaråde a fini di tapisser. Mins il li d’man dih rôlês di papî ! Kékès djoûs après, i prèye sès wèzins po prinde on vère. « A propos, dist’i, dja fèt come vos m’avîz dit, dja atch’té cinquwante rôlês po tapisser, lins dj’en n’a dih di trop ! » «Coula ni m’èware nin,rèspond l’ome, pasqu’i nos ôtes ossi, nos n’avant avu dih di trop ! » Étonnement Mon camarade Martin vint d’emménager. Son logis est très bien, avec tout ce qu’il faut comme commodités. Les voisins ont l’air aimables, alors Martin va faire connaissance. On va à l’instant servir le café et Martin est invité à prendre une tasse avec eux. Il parlent de tout et de rien et Martin demande qui a tapissé les murs. « C’est nous-mêmes » répond le voisin. « Combien de rouleaux avez-vous mis ? » Demande-t-il. « Cinquante » répond l’homme. Plusieurs jours plus tard, mon camarade a fini de tapisser, mais il lui reste dix rouleaux de tapis ! Quelques jours plus tard, il invite ses voisins à prendre un verre. « À propos,dit-il, j’ai fait comme vous m’aviez dit,j’ai acheté cinquante rouleaux pour tapisser, mais j’en ai dix de trop ! » «Cela ne m’étonne pas,répond l’homme,parce que nous aussi, nous en avons eu dix de trop ! » 21 n° 345 I février 2013 Sport | Mérites sportifs 2012 : appel à candidatures Afin de promouvoir la pratique du sport et d’encourager son développement, la Commune de Dison souhaite mettre à l’honneur les sportifs et clubs amateurs qui se sont distingués au cours de l’année écoulée (du 1er janvier au 31 décembre 2012). À cet effet, prix et trophées sont attribués. Mérite sportif individuel Le Trophée du « Mérite sportif individuel » est destiné à récompenser une personne, pratiquant ou responsable, domiciliée à Dison ou affiliée à un club dont le siège est situé sur le territoire de la Commune. Mérite sportif collectif Le Trophée « Mérite sportif collectif »est estiné à récompenser une équipe ou un club dont le siège est situé sur le territoire de la Commune. Coup de Cœur Ce Prix « Coup de cœur » est destiné à récompenser une personne ou une équipe pour des performances sportives particulières, l’exploit d’une vie, le dépassement de soi et/ou le fair-play. Si vous êtes sportif amateur ou responsable d’un club sportif ; si vous pensez personnellement que vous avez accompli individuellement ou collectivement une ou un ensemble de performance(s) de bon niveau ou si vous connaissez dans votre entourage un sportif ou une équipe qui mérite d’être encouragé, une performance susceptible d’être signalée ou un travail bénévole qui mérite d’être récompensé par le Prix spécial « Vie sportive » pour toute personne ayant œuvré pour la promotion du sport ; alors nous vous invitons à renvoyer l’acte de candidature ci-contre pour le 31 mars 2013 au plus tard : par courrier à l’Échevinat des Sports de la Commune de Dison, rue Albert 1er, 66 à 4820 Dison ; par fax au 087 / 34.15.87 ; par courriel à [email protected] Le règlement relatif à l’attribution des Mérites et des Prix cidessus peut être consulté au Service communal des Sports en s’adressant préalablement au 087 / 39.33.60 Immobilier | À VENDRE Maison d’habitation semi mitoyenne, avec petite cour et jardinet située à 4821 Dison (Andrimont), 28 rue de Verviers Comprenant : caves, 2 étages, très grand grenier au 3e étage en partie aménagé ; chauffage au gaz (installation récente) ; détecteurs incendie. Superficie : 135 m². R.C. : 919 €. Proche de toutes les commodités. Prix : 180.000 € Pour de plus amples renseignements, s'adresser à l'Administration communale de Dison, Mme Y. GOHY, Centre technique communal, 22 place Luc Hommel à 4820 Dison – T. 087/39.33.75. les lundi, jeudi, vendredi de 9 h à 12 h, le mercredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h. Les offres devront être envoyées par écrit à l’adresse mentionnée ci-dessus et nous parvenir au plus tard le 15 avril 2013. 22 PRéSENCE I mensuel d’éducation permanente Mérites sportifs annuels de la commune de Dison FICHE DE DÉPOT DE CANDIDATURE Catégorie de la candidature (à cocher) : Mérite sportif individuel Mérite sportif collectif Prix « Coup de cœur » Prix d’une « Vie sportive » • Dénomination du candidat : Nom et prénom (candidat / club / équipe) : . . . . . . . . . . . . . ................................................. ................................................. Discipline sportive : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ................................................. • Affiliation : Au club de : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . À la Fédération de : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ................................................. • Adresse du candidat (club ou individuel) : Rue et numéro : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ................................................. Localité et code postal : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ................................................. Site internet : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Personne de contact, entraîneur, manager, etc (pour renseignements complémentaires). . . . . . . . . . . . . . ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. Performances sportives réalisées entre le 1er janvier et le 31 décembre de l’année de référence 2012 (si le palmarès est trop long, joindre une annexe) . . . . . . . . . . . . . . ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. Remarques éventuelles (connaissance du club ou du sportif, qualités sportives et humaines, qualités de l’encadrement etc. – joindre une annexe si nécessaire). . . . . . . . . . . . . . . . ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. ................................................. Formulaire à renvoyer pour le 31 mars 2012 par courrier à l’Echevinat des Sports de la Commune de Dison, rue Albert 1er , 66 à 4820 DISON, par fax au 087/34.15.87, par courriel à [email protected] Page concédée à l’Administration communale Commune de Dison | État civil | Naissances Lina, chez Moura Nathalie et Deruisseau Daniel, al. d’Ottomont,7, le 12/12 Souhaila, chez El Abbadi Chadya et El Messari Otmane, r. Pisseroule,311/1ETA, le 13/12 Fadoua, chez Mathieu Alison, r. Henripré,58, le 15/12 Enora, chez Hermez Audrey et Rannisi Andréa, r. d’Andrimont,123/2ETA, le 17/12 Baysangur, chez Gadaeva Rezeda, pl. Luc Hommel,18/3eta, le 18/12 Timothée, chez Piette Emilie et Scius Steve, r. Adrien Bruyère,5, le 28/12 Noa, chez Sturnack Aurélie et Collette Erwin, r. Adrien Bruyère,45/1ETA, le 29/12 Yacine, chez Jongen Myriam, r. Pisseroule,171/2ETA, le 26/12 Tim, chez Helg Stéphanie, avenue du Centre, 271/REZ, le 27/12 Cédric, chez Butera MarieLouise et Bodson Michel, r. Haute,5/2ETA, le 30/12 Basile, chez Remacle Nadine et Collin Cédric, av. du Centre,308, le 30/12 Elise, chez Mavakala Fina et Paulo Changani Bunga, r. Albert Ier,87/0021, le 04 janvier Bellvue, chez Mavakala Fina et Paulo Changani Bunga, r. Albert Ier,87/0021, le 04 janvier Mariages Le 08 janvier, Cavaleri Laura et Oulad Haj Amar Zacharia, r. de Verviers, 83/85 Décès de Furstenberg (Baron) Maximilien, 73 ans, r. des Franchimontois, 31, décédé le 09/12 Houben Bernard, 62 ans, époux de Yernaux AnneMarie, r. Sous le Château, 72, décédé le 11/12 Lange Emile, 84 ans, époux de Gerard Anna, r. Adrien Bruyère, 35, décédé le 16/12 Cailbeaux Michelle, 84 ans, veuve de Mernier Jules, r. Pisseroule, 288, décédée le 17/12 Noël Alexandre, 79 ans, époux de Bonjean Marcelle, r. de la Station, 29, décédé le 21/12 Bovy Alice, 94 ans, veuve de Blaise Marcel, r. de la Station, 29, décédée le 24/12 Delhez Julia, 88ans, veuve de Demoulin Félicien, r. de la Station, 29, décédée le 25/12 Henrotay Richard, 64 ans, époux de Malempré Arlette, r. de Verviers, 8/ REZ, décédé le 25/12 Nottet Josiane, 64 ans, r. Albert 1er, 95/31, décédée le 26/12 Lecloux Martin, 60 ans, cité Martin Lejeune, 36, décédé le 26/12 Bragard Guy, 81 ans, veuf de Grosjean Hélène, r. de Husquet, 39, décédé le 29/12 Sorrentino Maria, 54 ans, épouse de Passarello Calogero, r. de Husquet, 33, décédée le 30/12 Nettersheim Marc, 50 ans, Route du Village, 200, décédé le 30/12 Mariotte Thierry, 52 ans, époux de Godfroid Fabienne, r. d’Andrimont, 54, décédé le 31/12 Ezzafzafi Mammat, 81 ans, veuve de Aito Chaïb, r. Pisseroule, 90, décédée le 05 janvier Fethler Jeanne, 87 ans, veuve de Paquay Georges, r. du Paradis, 209, décédée le 08 janvier Fethler Pierre, 48 ans, r. de la Station, 48/2ETA, décédé le 09 janvier Noces de diamant AVIS À LA POPULATION Conformément au décret du 1er janvier 2004, en matière d'accueil des enfants en dehors des heures scolaires, dans le cadre d'une politique globale de l'enfance, l'Échevinat de la Petite Enfance de Dison renouvelle la Commission Communale de l'Accueil (CCA). Cette commission est un lieu de rencontre, de concertation, d'échange et de coordination pour l'organisation concrète de l'accueil des enfants durant leur temps libre. La CCA comprend des représentant(e)s : 1. du Conseil communal ; 2. des écoles ; 3. des personnes qui confient les enfants (associations de parents d'élèves, organisations d'éducation permanente représentant les familles : Ligue des Familles, Vie Féminine, Femmes Prévoyantes Socialistes,…) ; 4. des opérateurs de l'accueil déclarés à l'ONE (garderies scolaires, …) ; 5. des services ou institutions agréés ou reconnus par la Communauté française (académies, clubs sportifs, mouvement de jeunesse, centres de jeunes, centres d'expression et de créativité, centres culturels, bibliothèques, écoles de devoirs, AMO, …). Si vous êtes intéressé(e) par l'accueil des enfants âgés de 3 à 12 ans, vous pouvez poser votre candidature en qualité de membre de cette commission (formulaire disponible à l'Administration communale de Dison) au plus tard pour le 28 février 2013. La Secrétaire communale, M. RIGAUX Le Bourgmestre, Y. YLIEFF L’Echevine des activités parascolaires, V. BONNI Pour toutes informations complémentaires, vous pouvez contacter Mme Christelle Vandegaart, coordinatrice de l'accueil extrascolaire, du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h au Service Social et Jeunesse, rue Albert 1er n° 66 à 4820 Dison Tél : 087/31.45.50 ou 087/39.33.40 Konrad Reuter et Berthe Michel, r. du bois, 110, mariés le 24 janvier 1953 Administration | Service des étrangers A fin de traiter au mieux les dossiers spécifiques des personnes de nationalité étrangère, le service des étrangers recevra exclusivement sur rendez- vous, les mercredis, jeudis et vendredis de 9 h à 12 h. Les citoyens qui le souhaitent peuvent dès-à-présent prendre rendez-vous en téléphonant au 087 / 39 33 52 ou 087 / 39 33 54 ou 087 / 39 33 51 Page concédée à l’Administration communale 23 n° 345 I février 2013 Création Cie des Chemins de Terre De / avec Stéphane Joris Mise en scène Jean Lambert l’homme content de rien Vendredi 8 février · 2O h Centre culturel de Dison Salle du ReZ · 1O € Réservations : O87 - 33 41 81 www.ccdison.be