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Le cancer du rein : un cancer différent et dévastateur Dans le cadre du Mois national du rein, les Québécois sont invités à s’informer sur cette maladie encore trop peu connue Le cancer alimente bien des conversations chez les Québécois, qu’il s’agisse de discuter avec son médecin des méthodes de dépistage, de s’informer sur les signes et les symptômes liés aux différents types de cancer ou de vivre aux côtés d’une personne atteinte de la maladie. Le cancer touche, de près ou de loin, beaucoup de gens. Bien que les connaissances des Québécois sur le cancer en général soient nettement plus approfondies aujourd’hui, il n’en demeure pas moins que le cancer du rein reste quelque peu méconnu. En fait, le cancer du rein est un type de cancer particulièrement dévastateur. Il est bien différent des autres pour plusieurs raisons, notamment : • Les problèmes de prévention – En matière de prévention et de dépistage, le cancer du rein a peu de choses en commun avec les autres types de cancer. Il est non seulement difficile à détecter, mais son traitement reste aussi très limité. Par conséquent, il est trop souvent diagnostiqué à un stade plutôt avancé, ce qui n’aide en rien aux patients. • Un cancer difficile à traiter – Les traitements conventionnels, tels que la chimiothérapie et la radiothérapie, sont inefficaces lorsqu’il s’agit du cancer du rein. Il faut donc miser sur de nouveaux traitements ciblés qui, jusqu’ici, se sont révélés efficaces. • Déjouer le pronostic – Il n’y a pas si longtemps, un patient atteint d’un cancer du rein avancé avait très peu de chances d’en réchapper. Aujourd’hui, l’arrivée de traitements ciblés fait naître de nouveaux espoirs. Parlez-en avec un patient qui pourra partager son vécu sur son combat et sur les options disponibles pour améliorer les chances de survie des personnes atteintes d’un cancer du rein. Le Dr Paul Perrotte, uro-oncologue au CHUM et professeur agrégé d'urologie à l'Université de Montréal, et M. Benoit Bisson, lui-même atteint de cette terrible maladie, sont disponibles pour discuter avec vous et ainsi aider les Québécois à améliorer leurs connaissances sur le cancer du rein, • • Le docteur Paul Perrotte, uro-oncologue au CHUM et professeur agrégé d'urologie à l'Université de Montréal, partagera son expertise sur ce type de cancer bien particulier, expliquera en quoi diffère le traitement et pourquoi l’accès à des traitements ciblés est primordial. En 2006, Benoit Bisson apprenait qu’il était atteint d’un cancer du rein. Les médecins lui ont alors dit qu’il lui restait 18 mois à vivre. Après avoir subi pendant plusieurs mois un traitement accompagné d’effets secondaires parfois insupportables, il jouit aujourd’hui d’une meilleure qualité de vie grâce à une nouvelle médication qui, en plus d’être très efficace, ne produit presque aucun effet secondaire. Il a même pu reprendre le travail à temps plein ! Benoit s’est aussi grandement impliqué, pendant quelque temps, dans la branche québécoise de l’Association canadienne du cancer du rein, où il a fait sienne la lutte pour l’amélioration de l’accès aux soins pour tous les patients canadiens atteints de ce type de cancer, problématique qu’il a lui-même dû affronter. Pour des renseignements additionnels ou pour organiser une entrevue, veuillez communiquer avec : Natacha Gouveia / Stéphanie Gaucher Capital-Image 514 739-1188, postes 224 / 236 [email protected] / [email protected]