L`IRRIGATION EN HORTICULTURE ORNEMENTALE DES
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L`IRRIGATION EN HORTICULTURE ORNEMENTALE DES
L’IRRIGATION EN HORTICULTURE ORNEMENTALE DES PRATIQUES MAÎTRISES POUR DES CULTURES À FORTE VALEUR AJOUTÉE Fabien Robert, Astredhor Les producteurs de plantes ornementales ont actuellement des pratiques et des systèmes d'irrigation efficients, l'eau devenant un intrant non négligeable aux plans économique et environnemental. Des améliorations sont continuellement réalisées grâce à l'appui technique et le transfert d'innovations provenant de la recherche et du développement. LE SECTEUR DE L’HORTICULTURE ORNEMENTALE : DES ENTREPRISES PARTICULIÈRES DANS LE PAYSAGE AGRICOLE Les entreprises de production en horticulture ornementale couvrent 22 000 ha soit 0,067 % des 33 millions d’hectares des surfaces agricoles françaises. Avec 6 800 entreprises, le secteur représente en revanche 1% du nombre total des entreprises agricoles et 4 % de la valeur des livraisons de l’agriculture (1). Ces entreprises embauchent 13,3 % du nombre de salariés permanents en agriculture. La forte demande en main d’œuvre (de 1 ETP/ha en pépinière à 8 ETP/ha en plantes en pots), et les techniques de pointes utilisées expliquent que l’on parle d’entreprise pour le secteur ornemental, comme dans l’industrie, et non d’exploitation. La surface moyenne des ces entreprises est de 0,5 ha pour les producteurs de fleurs coupées, de 0,7 ha pour les producteurs de plantes en pots et de 1 ha pour les pépiniéristes en hors-sol. Les surfaces de production qui sont irriguées représentent près de 6 000 ha (1 et 2), soit environ 0,3 % des surfaces agricoles irriguées. Si les productions sont intensifiées, elles ne sont pas moins optimisées. DES IRRIGATIONS PONCTUELLEMENT FAIBLES MAIS RÉGULIÈRES Si les apports journaliers peuvent être plus importants en période estivale et atteindre pour des conteneurs en extérieur des pics de l’ordre de 20 à 28 litres / m² / jour (3, 4, 5, 6, 7), en revanche sur l’ensemble de la culture (6 à 8 mois de mars à octobre), la consommation d’eau est en partie satisfaite par les précipitations naturelles (de 3 000 à 7 000 m3 / ha pour la durée de culture), impliquant pour une entreprise moyenne de pépinière hors-sol (1 ha) des irrigations supplémentaires de 3 000 à 9 000 m3 selon la région (6, 8). Pour les cultures sous abris, de type plante en pot, les consommations sont plus faibles mais les cultures ne bénéficient pas des précipitations naturelles sauf si l’entreprise est équipée de récupération d’eau de pluie de ses surfaces de serre. Pour une entreprise moyenne (0,5 ha), les volumes utilisés pourront être de 1 000 à 5 000 m3 en fonction, selon la région, du niveau d’occupation des serres et des espèces mises en culture (9, 10). DES TECHNIQUES PERFORMANTES Des producteurs qui connaissent leurs productions Pour les cultures hors-sol, les producteurs prennent en compte un certain nombre de paramètres qui vont permettre d’optimiser les irrigations. Tout d’abord, la connaissance des besoins de la plante permet de moduler les apports en fonction de son développement, de ses stades physiologiques (reprise de végétation, développement, floraison…) Consommation faible et régulière : Photinia x fraseri, Thuja plicata, Taxus baccata Consommation modérée et tardive : Viburnum tinus WWW.SNHF.ORG Avec : Consommation forte et précoce : x Cupressocyparis leylandii Consommation forte et tardive : Cornus alba, Choisya ternata, Cytisus scoparius V = Volume du conteneur D.E. = disponibilité en eau du substrat en % du volume Tableau 1 : exemple de besoins de quelques végétaux produits en pépinière hors-sol Une bonne connaissance des intrants Le type de substrat conditionne fortement la gestion des quantités apportées et leur fréquence. La connaissance des caractéristiques des substrats employés, permet aux producteurs de bien adapter leur irrigation. Ainsi, la dose d’apport est facilement calculée à partir d’un paramètre donné par le fournisseur de substrat, la disponibilité en eau (D.E.) La D.E. correspond au volume d'eau contenu dans le substrat et facilement utilisable par la plante (Figure 1). Des irrigations raisonnées Les producteurs utilisent un certain nombre de moyens automatisés pour suivre les besoins en eau des productions. Un suivi manuel par des personnels n’est aujourd’hui quasiment plus envisageable surtout pour les entreprises de grandes surfaces, qui peuvent de plus posséder de nombreuses espèces en culture. Suivi des besoins par le système de la pesée En se basant sur la masse globale – conteneur, substrat, plante -, l’irrigation peut être déclenchée lorsque cette masse passe sous un certain seuil fixé par le producteur. Cette méthode moyennement précise, est en revanche fort simple et facile à mettre en œuvre et peu coûteuse. Figure 1 : Correspondance entre la teneur en eau et le potentiel hydrique d’un substrat 100 rétention en eau en % du volume 90 Teneur en air à pF1 80 70 60 Disponibilité en eau 50 40 Zone de confort hydrique 30 20 10 pF2 pF1 0 - -10 -20 -30 -40 -50 -60 -70 -80 -90 -100 potentiel hydrique en hPa Suivi par la méthode PICEA Les irrigations sont pratiquées régulièrement afin de ne pas atteindre la zone de ‘’non confort hydrique’’ pour la plante qui impliquerait de plus des difficultés de ré-imbibition du substrat à chaque nouvel arrosage. Les apports sont donc généralement effectués par des petites doses, la préconisation étant que chaque apport correspond à une dose égale au tiers de la disponibilité en eau du substrat : Dose = (1/3 x D.E.) x V Les producteurs utilisent également la méthode PICEA (Pilotage de l’Irrigation des Conteneurs En Automatique) qui repose sur la mesure des paramètres climatiques (température de l’air, rayonnement solaire, vent…) qui permettent d’interpoler l’évapotranspiration des plantes, et à partir de celle-ci leurs besoins en eau. Elle se base sur le calcul des ETP (Evapotranspiration potentielle). A partir de l’ETP, l’ETM (Evapotranspiration maximale) de la culture est calculé selon la formule ETM = Kc x ETP, avec Kc le coefficient cultural spécifique de chaque culture. Lorsque l’ETM dépasse un seuil correspondant à la dose d’arrosage, l’irrigation est déWWW.SNHF.ORG clenchée. Pour que cette méthode soit plus efficace, il faut la présence d’une station météo sur l’exploitation mesurant tous les paramètres climatiques nécessaires, et reliée à un ordinateur, qui à partir de toutes ces mesures calcule l’ETP. Les données peuvent être sinon acquises à partir des données de Météo France. L’intervention du producteur a lieu au niveau du choix du coefficient cultural. Celui-ci varie en fonction de la culture et de l’époque considérée. Il doit être basé sur des données expérimentales. Des productions sont équipées de systèmes mobiles plus efficients car plus proches des cultures, qui de plus peuvent être automatisés (Photos 2). Des sectorisations peuvent être faites sur une même parcelle avec ce type de matériel, permettant des apports adaptés à des lots de plantes à besoins différents. Sous abris, les chariots peuvent être supportés par la structure (Photo 3), dégageant ainsi la surface de culture de toute infrastructure nécessaire au fonctionnement du chariot (tuyau, rails..). Pilotage par tensiomètre Autre méthode utilisée par les producteurs et qui permet de mesurer les besoins des cultures en temps réel est la mesure de l’humidité du substrat par tensiomètre (Photo 1). Cette méthode, très récente pour l’horticulture (11), commence seulement à se développer en entreprises. Les tensiomètres peuvent être reliés à un programmateur qui déclenche l’irrigation, voire à un ordinateur, ce qui rend le pilotage plus performant dans la gestion et l’automatisation. Un suivi et un entretien régulier des tensiomètres sont toutefois nécessaires. En effet, il y a un risque de mauvaises mesures des tensiomètres. Un ordinateur avec système d’acquisition de données peut être utile pour le suivi continu des mesures, par exemple vérifier que les capteurs tiennent bien compte des arrosages, toutefois, un suivi du nombre d’arrosages par jour et des mesures instantanées de potentiel hydrique peuvent suffire. Photo 1 : Tensiomètre en place dans un conteneur (crédit photo : Astredhor) Des systèmes d’irrigations efficients Irrigation par aspersion L’aspersion, dont les matériels sont de plus en plus performants, reste la technique la moins efficiente et la moins homogène. Cette technique reste néanmoins utilisée pour des cultures de faible valeur ajoutée ou pour lesquelles d’autres solutions techniques ne sont pas applicables (jeunes plants…) Les apports peuvent néanmoins être très efficients dans le cas de jeunes cultures dont les pots sont à touchetouche. Photos 2a et b : Chariot d’irrigation mobile à rampe sur aire hors-sol de plein air (crédits photos : ASTREDHOR et société DIMAC) Irrigation localisée Pour les productions à valeur ajoutée plus importante, l’irrigation localisée constitue le moyen d’irrigation le plus efficient. L’eau apportée directement au conteneur évite toute perte entre les pots, les seules pertes occasionnées sont les pertes par drainage dues à une sur-irrigation éventuelle. L’uniformité de la distribution est en moyenne meilleure comparativement à l’irrigation par aspersion (insensibilité au vent…) Contrairement à l’aspersion, elle n’empêche pas le travail sur et autour des parcelles quand l’irrigation est en route. Les installations peuvent toutefois représenter des obstacles à la manutention des plants et aux interventions sur WWW.SNHF.ORG les parcelles (Photo 4). L’irrigation localisée occasionne des coûts d’investissement, d’installation et de maintenance élevés. Elle n’est donc utilisée la plupart du temps que pour les conteneurs de volume élevé, supérieur à 5 litres, les cultures en pots à forte valeur ajoutée. 5-7 litres de contenance. Par ailleurs, selon le système de subirrigation, ce type d’irrigation devra être assorti d’un système de recyclage pour éviter les pertes qui peuvent être importantes en culture de plantes en pots. L’utilisation de nappes d’irrigation permet de limiter ces pertes grâce à des apports mieux maîtrisés. De telles pratiques sont en pleine expansion en cultures hors-sol de pépinière. Photo 3 : Chariot d’irrigation mobile à rampe sous abris (crédit photo : société DIMAC) Figure 2 : principe de la sub-irrigation en flux-reflux Des moyens pour accroître l’efficience des systèmes d’arrosage Photo 4 : Exemple d’irrigation localisée par goutteur intégré, en parcelle d’expérimentation (crédit photo : Astredhor) Différents systèmes d’irrigation localisée existent. Le goutteà-goutte peut être rendu plus performant avec des goutteurs à régime hydraulique turbulent, ou des goutteurs autorégulants (au niveau du débit). Des systèmes de micro-asperseurs sont également utilisés. Leur fonctionnement se fait sous pression qui devra donc être bien répartie entre les rampes des différentes parcelles. Ces derniers sont réservés à de gros contenants pour lesquels des goutteurs classiques ne permettent pas une bonne répartition des zones humides dans les contenants. La sub-irrigation Pour certaines productions, notamment les plantes en pots et, grâce à l’évolution des techniques, de plus en plus pour les conteneurs de pépinières hors-sol, les apports d’eau peuvent être réalisés par sub-irrigation (Figure 2). Dans ce cas, l’eau est apportée par le bas des pots et remonte dans le substrat par capillarité. Ce type d’irrigation impose un certain nombre de contraintes telle notamment l’utilisation d’un substrat très fibreux pour permettre le phénomène de capillarité, qui n’est de toute façon plus possible pour des conteneurs supérieurs à Les producteurs ont, pour certains systèmes d’irrigation, recourt au recyclage qui leur permet d’éviter les pertes d’eau et de fertilisants. Ces systèmes peuvent permettre la récupération conjointe (cas des aires hors-sol en plein air) des eaux de pluies. Le passage au recyclage nécessite toutefois une importante réflexion sur le plan de l’aménagement de l’aire et sur le plan financier. En effet, il peut nécessiter de lourds investissements : un système de collecte des effluents, des bassins de stockage, des équipements pour traiter (filtration et éventuellement désinfection) l’eau collectée, et un système de redistribution avec une recomposition de la solution nutritive si la ferti-irrigation est employée. Le traitement des effluents récupérés est une garantie presque obligatoire compte tenu des risques phytosanitaires, ce qui augmente fortement les coûts d’installation. DES TRAVAUX DE RECHERCHEDÉVELOPPEMENT EN APPUI AUX PRODUCTEURS Des plantes à moindre consommation Autant que possible, les producteurs utilisent des végétaux qui sont peu gourmands en intrants. Ils sont en cela guidés par les références acquises par les stations du réseau Astredhor (12, 13, 14, 15, 16): l’évaluation pour les arbustes caducs du Vitex, du Punica, du Pistacia lentiscus, et pour les vivaces du Gaura, Thymus, Eryngium, etc., sont quelques exemples de tels travaux. Les besoins en eau sont évalués pour la phase de production, mais aussi pour la tenue des végétaux en condiWWW.SNHF.ORG tion paysagère (17, 18). Évaluation et développement de nouveaux matériels Si un certain nombre de matériels performants permettent aux producteurs d’avoir des systèmes d’irrigation efficients, des solutions autant, sinon plus efficientes, et qui puissent être de coût moins important sont régulièrement étudiées dans le réseau des stations d’expérimentation de l’Astredhor. Les nappes d’arrosage commencent à faire leur apparition dans les systèmes de production des entreprises, cependant des références techniques sont encore à acquérir sur ces matériels en plein développement et pour lesquels des nouveautés apparaissent régulièrement. De nombreux essais conduits actuellement dans le réseau ont pour objectif de comparer différents types de nappes qui peuvent apparaître (19, 20, 21). Les nappes d’arrosage permettent l’apport de l’eau aux plantes par sub-irrigation (Figure 3). La nappe a une capacité de stockage de l’eau qui est très variable selon la matière qui la compose. Une pente permet un ressuyage des irrigations apportées. Ce système d’irrigation a de nombreux avantages, notamment celui du coût d’installation, et permet des manutentions sur les zones de culture. Une méthode d’évaluation globale, la méthode IDEA (23), est à disposition des producteurs qui souhaitent évaluer la pertinence de leur entreprise par rapport aux enjeux du développement durable. La pertinence économique, sociale et environnementale de l’entreprise est évaluable par cette méthode qui a été élargie aux cultures spécialisées, notamment grâce au travail d’un groupe auquel a contribué l’Astredhor. Une autre méthode d’évaluation mise au point par l’Astredhor (24) et finalisée par le BHR, est utilisable pour les cultures de pépinières hors-sol. Cette méthode permet de mesurer la pertinence des pratiques d’un point de vue agronomique, environnemental et économique. Cette méthode, qui a été développée à la demande des producteurs de l’Astredhor, est basée sur le principe d’un diagnostic de l’entreprise et de notations par indicateurs (Figure 4). Indicateurs item élémentaire Irrigation Fertilisation Gestion des effluents Traitements phyto sanitaires Choix du substrat Efficience de la production Quantités irriguées Quantités annuelles apportées Quantités d’effluents produits Quantités apportées Type de substrat Equipement Dose d’apport Type de fertilisation Devenir des effluents Respect des mesures prophylactiques Analyse du substrat Efficacité de la main d’œuvre Type d’irrigation Gestion des Les autres Lutte intégrée parcelles déchets Caractéristiques pour l’irrigation Le système de culture Mode de gestion de l’irrigation Gestion de la fertilisation Conduite des traitements phyto sanitaires Caractéristiques pour la fertilisation Organisation de la production Contrôle du matériel Suivi des paramètres du substrat Risques d’accidents Figure 4 : Items et indicateurs de la méthode de diagnostic des aires hors-sol Figure 3 : la sub-irrigation par nappe d’arrosage En matière de systèmes d’irrigation automatisés, de nombreux progrès ont pu être réalisés grâce à l’électronique. Actuellement, les systèmes d’aspersion mobiles sont plus efficients que les systèmes fixes, des améliorations sont encore à trouver, par exemple pour irriguer les cultures au niveau des pots seulement et non sur toute la surface de l’aire de culture. De tels chariots sont en cours de développement pour les cultures en pépinière hors-sol (22). La gestion de l’arrosage localisé par le déclenchement de l'apport d'eau lors de l’arrêt de l'avancement au-dessus de chaque ligne de pots doit permettre une économie d'eau et d'éléments fertilisants. Développement d’outils pour mieux raisonner les intrants Un appui technique permanent et des journées d’informations pour accroître la performance des entreprises Pour appuyer le transfert de l’innovation des structures d’expérimentation, vers les producteurs, un ensemble de moyens est développé au sein du réseau Astredhor. Le premier est l’appui technique effectué par des conseillers-techniciens des stations ou de groupements de producteurs adhérents, agréés par l’Astredhor. Ces conseillers suivent les productions des entreprises qui le souhaitent, avec différents niveaux de prestation. Leur appui peut aller jusqu’à la réalisation de dossiers d’aménagement des entreprises. L’Astredhor anime en particulier (avec le CTIFL) un groupe technique "Recyclage" auquel participent expérimentateurs et conseillers. Crédits Photos : Astredhor Au-delà des solutions techniques pour améliorer les pratiques, des outils pour évaluer la pertinence de ces pratiques et la pertinence de leur gestion sont d’autant plus nécessaires que les systèmes de production sont complexes, ce qui de plus en plus souvent le cas pour les productions ornementales. WWW.SNHF.ORG D’autres moyens sont les journées portes ouvertes sur stations, afin que les producteurs puissent voir in situ les innovations, les développements, les tests de nouveaux matériels. Ces journées très démonstratives permettent aux producteurs de s’approprier ensuite plus facilement les innovations. L’Astredhor réalise également tous les deux ans des journées techniques qui permettent de réaliser des points d’informations vers les producteurs mais également tous les acteurs de la filière, grâce à l’intervention de techniciens, de conseillers du réseau mais également grâce à la contribution de chercheurs, d‘acteurs d’organismes techniques d’autres filières ou d’entreprise de fournitures et matériels. Ainsi, en 2000, le thème des journées techniques à Hyères était le recyclage (25). 6 p. (10) RATHO, 2002. Consommation en eau et en engrais des plantes en pots, Compte rendu d’essai, 5 p. (11) ASTREDHOR, 2002. Horticulture et environnement, vers une démarche globale d’entreprise, Journées techniques de l’Astredhor, 213 p. (12) CEPEM, 2004. Qualité racinaire des plants cultivés en conteneurs, Compte rendu d’essai, 8 p. (13) SILEBAN, 2001. Etude de l’adaptation de végétaux de pépinière à un usage horticole, Compte rendu d’essai, 9 p. (14) SCRADH, 2005. Elargissement de l’offre en fleurs et feuillages coupés, Compte rendu d’essai, en cours. (15) RATHO, 2003. Potées ornementales ‘F’ESTIVALES®, Compte rendu d’essai, 20 p. gamme (16) CDHR Centre Val de France, 2005. Sélection variétale sur une gamme d’espèces à fort développement pour le jardin d’été, Compte rendu d’essai, en cours. (17) Normandie Horticole, 2001. Arbres persistants à petits développement, Compte rendu d’essai, 17 p. (18) Normandie Horticole, 2004. Végétaux de bord de mer, Compte rendu d’essai, 24 p. (19) AREXHOR Grand Est, 2004. Nappes d’arrosage et fréquence des arrosages en culture de conteneur, Compte rendu d’essai, 5 p. 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