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© Photo Pascalito
Théâtre
Théâtre
Isabelle Mergault et Sylvie Vartan dans
Ne me regardez pas comme ça.
Rendez-vous au Vinci
avec les stars des planches
Les grands noms du théâtre vous donnent rendez-vous au Vinci dans la bonne humeur.
Quatre pièces à regrouper en abonnement ou à acheter à l’unité.
Les stars du théâtre s’installent au
Vinci. Pour le début de l’année, ce
sont quatre coups qui seront frappés
et pourront être réservés regroupés
à prix réduit par abonnement (voir en
fin d’article) ou à l’unité.
Sylvie Vartan et Isabelle
Mergault (13 janvier)
C’est Isabelle Mergault qui a écrit
la pièce qu’elle jouera avec Sylvie
Vartan. Rien de prémédité car elle
ignorait qui interpréterait le rôle
principal. Sylvie a tout de suite
aimé : « Moi, je ne tergiverse pas.
Ça me plaît ou pas. Je lis, je lis,
je lis. Et je ris, je ris, et je ris. J’ai
rappelé, et l’affaire s’est conclue
en cinq jours ! » dit-elle au Parisien. Les deux artistes deviennent
complices rapidement. Isabelle
Mergault apprécie « une femme
bouillonnante et enthousiaste » et
Sylvie Vartan est heureuse de retrouver les planches, elle qui rêvait
dès l’enfance d’être actrice. Ce qui
ne l’a pas empêchée de devoir travailler très fort : « Elle pige très vite
et, là où Sylvie me bluffe, c’est sur
sa puissance de travail », constate
Isabelle Mergault (France 2)
Ne me regardez pas comme ça met
en scène Victoria Carlotta, ancienne
star de cinéma qui veut écrire ses
mémoires pour sortir de la mouise.
Isabelle Mergault sera Marcelle,
son « nègre », chargée de rédiger le
livre. Mais la star, repliée sur ellemême (« C’est un peu l’histoire de
Greta Garbo, dit Sylvie. Des gens
que j’ai connus étaient exactement
comme ça. En revanche, moi, je n’ai
jamais ressenti ce besoin de me
renfermer. »), aura bien du mal à se
livrer… Isabelle Mergault a écrit un
texte où elle joue avec les mots et
les quiproquos. Et le public rit autant que Sylvie Vartan !
Daniel Auteuil et Isabelle
Gélinas (7 février)
Les dîners qui tournent vinaigre
sont décidément à la mode au
théâtre. Rapprocher des amis autour d’une table a priori conviviale
et découvrir que la rencontre tourne
au fiasco, voire à l’affrontement, est
devenu un thème classique. Mais
l’avantage, c’est qu’il permet une
quantité de variations libres, en
fonction de la situation ou des personnages.
Le journal - Tours événements
C’est donc pour un dîner « entre
amis » que L’envers du décor réunira Daniel Auteuil, Isabelle Gélinas,
François-Éric Gendron, et Pauline
Lefèvre. But du jeu : le couple Auteuil/Gélinas reçoit leur ami qui
vient de se séparer de sa femme
(également leur amie) et vient leur
présenter sa nouvelle compagne.
L’auteur, Florian Zeller, est un spécialiste des vérités et mensonges,
titres de deux de ses pièces (dont la
dernière sera sur la scène du Vinci
le 26 octobre) et qu’il traite ici d’une
manière originale : les pensées (sincères) des personnages sont dites
en aparté, au milieu du discours
(convenu) que l’on se doit de tenir
entre gens de bonne compagnie.
De la rencontre brutale entre la vérité pensée et l’hypocrisie exprimée
va naître le comique et une certaine
critique de mœurs.
Muriel Robin et François
Berléand (11 février)
François Berléand est un habitué
des surprises absurdes. Les Tourangeaux ont pu le voir dans Deux
hommes tout nus où le malheureux
se retrouvait dans son lit avec un
monsieur sans que personne, pas
même lui, ne sache pourquoi. Cette
fois, marié à Muriel Robin (nominée pour ce rôle aux Molière 2016),
c’est un fils inconnu qui lui tombe
du ciel, par la grâce du même auteur, Sébastien Thiery. Le couple
Prioux n’a jamais eu d’enfant et
Momo vient pourtant leur annoncer
son mariage, tout en démontrant
qu’il est bien leur fils. Reste à savoir
qui dit vrai, si le visiteur est un escroc, un mythomane ou…
Surtout que « l’enfant » (joué par
l’auteur) est sourd, ce qui ne va pas
faciliter la tâche des parents : « Ce
qui se passe alors est bouleversant. D’autant que, entre l’enfant
inconnu qui rapplique et le réfugié
politique qui frappe à nos portes,
on fait le lien… » dit Télérama, ce qui
n’aide pas à la compréhension du
sujet pour qui n’a pas vu la pièce.
Mais on ne va pas gâcher votre
plaisir, non ?
Thierry Lhermitte et Bernard
Campan (28 mars)
Nous voilà repartis pour un dîner
à quatre (c’est la mode, on vous
24
Vinci
© Photo Bernard Richebe
Bernard Campan et Thierry Lhermitte dans
Le syndrome de l’Écossais.
vendredi 13 janvier
à 20h30
L’envers du décor :
mardi 7 février à 20h30
Momo :
samedi 11 février
à 20h30
Le syndrome de
l’Écossais :
mardi 28 mars à 20h30
Vinci - Tours
Prix des places :
achat à l’unité
ou abonnement de 2 à 4
spectacles : de 128 à 244 €
- À la Billeterie du Vinci
rue Bernard Palissy
- En retournant le bulletin
d’abonnement ci-dessous à
AZ PROD
41 rue de la Victoire
37000 TOURS
- Par téléphone à AZ Prod :
02 47 31 15 33
Muriel Robin et François Berléand
dans Momo.
LA GRANDE SAISON THÉÂTRE
LE VINCI
2
Choisissez maintenant les spectacles
que vous souhaitez selon la formule choisie :
3
Réservez vos places en retournant ce bulletin par courrier à
AZ PROD 41 RUE DE LA VICTOIRE 37000 TOURS
avec votre chèque de règlement à l’ordre d’AZ PROD :
ABONNEZ-VOUS !
Cet abonnement vous permet d’assister
à 2 spectacles minimum en catégorie OR
sur la saison de théâtre au Vinci
et de bénéficier ainsi de tarifs réduits attractifs.
1
NE ME REGARDEZ PAS COMME CA – 13 JANVIER 2017 à 20h30
L’ENVERS DU DECOR – 7 FEVRIER 2017 à 20h30
MOMO – 11 FEVRIER 2017 à 20h30
LE SYNDROME DE L’ECOSSAIS – 28 MARS 2017 à 20h30
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Mais une vague récrimination à
propos d’une maison à l’Île de Ré
va assombrir le tableau. Et nous
voilà partis pour un règlement de
comptes qui, pour être familial,
n’en est pas moins volcanique.
« Mon personnage prend un médicament alors qu’ils ont bu tous
les deux en cachette de leurs femmes. Le dîner va mal tourner, à tel
point qu’on ne dînera jamais ! »
révèle Bernard Campan au Parisien. Quant à l’Écossais du titre, il
se cache peut-être, catégorie pure
malt, dans la bibliothèque, au fond
d’une bouteille.
Ne me regardez pas
comme ça :
© Photo C. Nieszawer
dit !) qui va se transformer en ring
de catch. Pourquoi ? La pièce, Le
syndrome de l’Écossais, écrite par
Isabelle Le Nouvel, sans aucun
doute pour mettre en valeur ses
deux principaux interprètes, Bernard
Campan (un membre des Inconnus
qui a passé son enfance à Tours), et
Thierry Lhermitte (issu de la troupe
du Splendid), réunit deux sœurs
(Christiane Millet et Florence Darel)
et leurs maris. Dîner de famille classique où l’on va déguster un bel assortiment de répliques plus fines et
drôles les unes que les autres.
Montant total :…………………………………. €
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de la formule d’abonnement choisie :
4 SPECTACLES en catégorie OR à 244€ (économisez jusqu’à 36€) X …… formule(s)
3 SPECTACLES en catégorie OR à 189€ (économisez jusqu’à 29€) X …… formule(s)
2 SPECTACLES en catégorie OR à 128€ (économisez jusqu’à 22€) X …… formule(s)
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