Serge Sándor debuta como actor de teatro en
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Serge Sándor debuta como actor de teatro en
Serge Sándor debuta como actor de teatro en los anos 75 con Raymond Girard y Daniel Mesguich. En 1977, realiza su primer montaje con una adaptaciòn del texto de Emma Santos en Avinon off. Entre 1977 y 1980, recorre el mundo escribiendo novelas y poemas. Después de la muerte de su padre Joska Sàndor, también autor dramatico y creador del teatro " La Cour des Miracles" Serge Sándor parte a Méjico en donde se realizara como director de teatro. LLeva a escena en idioma espanol, Beckett, B.Vian, De Obladia, Courteline... En 1984, realiza su primer espectaculo con detenidos de una prision mejicana. De vuelta en Francia en 1986, crea la Companie du Labyrinthe. Trabaja en varias ocasiones en prisiones francesas y suizas donde realiza con detenidos su texto " Que hacer en caso de Copropietarios?" asi como textos de escritura colectiva y mas de algun clasico como " Don Juan" de Molière. Paralelamente, en teatros de Paris y de otras ciudades, realiza montajes de sus propios textos " Un Revolver para dos", " Abuso de memoria", " Not' Bon Louis", luego " Scène à scène" en Lisboa... Otros como « El vals de mil anos" son realizados por una compania de Suiza en 1993 y " Pigmeos" en octubre del '95, en el Teatro Gérard Philipe de Villeurbanne bajo la direccion de Patrick Pineau. Realiza ademas con ninos una obra escrita y actuada por ellos en Villeurbanne y crea un espectaculo dentro del marco de « Encuentros Urbanos de La Villette » con jovenes de suburbio y un Cuento europeo en los hospitales parisinos para ninos enfermos. Hasta ahora, ha escrito otros textos para teatro que estan editados y ha trabajado ciertas adaptaciones con autores extranjeros como " Les Bajos Fundos" de Maxime Gorki que realizo en el Teatro Nacional de Chaillot teniendo como actores un grupo de excluidos, octubre '98. Crea un espéctaculo en los cafés parisinos, de provincia y en Festivales "Gueules de dames" que se actua hoy en dia en Suiza, Espana y Noruega. En septiembre 1999, fue invitado al Festival Internacional de la Habana para crear " Gueule de mariée" en lengua castellana. En mayo 2001, crea "Concilio de amor" en el teatro La Tempête. En 2001, crea " El vuelo del Quetzal" traducido en castellano para el X Festival de la Habana y de gira por todo el pais. En 2002, crea « Al anochecer » de Juli Disla en en Centro Cervantes de Paris. En 2003, crea dos obras musicales en el Teatro del Chaudron « Una Cometa a Cuba » y « La Opera des Gueux » de J. Gay en el Teatro Vidy de Lausanne, Suisse. En 2004, crea una obra suya « El Vals de Mil anos » en el Teatro Nacional de La Havana. En 2005, crea « El vals de mil años en el Teatro Naconal de La Habana en español y « Nicolas Guillen » al Opéra Comique de Paris 2006 / Mexico -Autor y director de « « El Si de la Novia » Teatro Helenico de Mexico City Paris - Creación de «Le Mariage forcé » de Molière Teatro del Chaudron con El Fondo Social Europeo - Consejero artistico Vidéo « Los 7 Pecados » Teatro del Triton aux Lilas 2007/2008 - Director de « La fin des hasards prévus » de B. Hammond en el Teatro Tallia de Paris - Escritor y director del documental « La mariée fugitive » en Mexico DF. - Prepara para el final del año una creacion teatral en una carcel de mujeres en Francia Obras publicadas Adaptación de « Les bas-fonds » de M.Gorki, Alna Edition, junio 2008 « Juste avant la rivère » publicación Alna Edition, sept. 2007 « Un carré de dames » publicación Alna Edition, junio 2007 “ Pied à Terre ” publicación Editions du Laquet, mars. 2002 "Pygmées" publicación Editions Crater, nov.98 “ Fin de Fête ” publicación Editions Gare au Théâtre, janv.98 “ Le Tortionnaire et la Demoiselle ” (La Mas grande obra del Mundo) Editions de l’Amandier “ Recettes, secret d’auteurs ” publicación Editions du Laquet, mars. 2002 “ Poésies ” aux éditions Vagabondages Publicaciónes dans: "L'Autre Journal", "Passerelles", "Bulletin" “ E.A.T ” ... Becas Becario de la Fondación Beaumarchais pour “ Abus de mémoire ” 1993 Becario de la Mission Stendhal, Cuba-Mexico, 1997, Cuba 2008 Becario de l’AFAA/Fondación Beaumarchais “ En quête d’auteurs ”, Cuba 2000 Becario del Centro Nacional del Libro (CNL) en residencia à Bures-sur-Yvette, 2003 Becario del Centro Nacional del Libro (CNL), 2005 Becario del Centro Nacional de la Cinematografia, (CNC) 2006 Cinco documentales sobre las creaciones de Serge Sándor “ Coup de Théâtre en prison ” de Philippe Grand, (prod : TSR) primé au FIPA, Cannes 1990 “ Les Bas-Fonds ” de Denise Gilliand, (prod : A l’Est de l’Eden ), Paris, Suisse, .mai 2000 “ Le Concile d’amour ” de Claudine Letourneur, FR3 “ Faut pas rêver ” “ L’Eveil du Quetzal ” de Bertrand Févre, (Prod : Mélange) France, Cuba, Japon Tres libros sobre las creaciones de Serge Sándor “ Les Bas-Fonds journal vagabond ” de Thierry Mamberti et Myriam Anderson “ Carnet de photos du Concile de l’amour ” de Claire Rado “ Don Quichotte, Marignan 1515 ” de Claire et Leonard de Selva Extractos de prensa escrita y audiovisual sobre las creaciones de Serge Sándor “ J'ai tué Emma S ” Trois jeunes comédiens collaborateurs de Mesguich habitent un seul corps convulsif, trois besoins de témoigner de cette désespérance... (J.P Delacroix/Libération) “ Un Revolver pour Deux ” La mise en scène de l'auteur, serrée, nerveuse est une petite merveille de précision, qui colle parfaitement aux comédiens, et aux dialogues qui coulent avec beaucoup de naturel et de vérité... (G.Gerbaud/L'Ami du 20°) “ La Valse à Mille Ans” Voilà un spectacle qui ravivera les amateurs de textes singuliers et les fanas de pénombres savantes... (Y. Schidlow/Télérama) Les spectateurs ne peuvent que suivre cette tragédie annoncée qui ironise sur elle-même, on rit souvent, mais on est surtout émus face à ces vies que l'on pressent n'être qu'une suite d'échecs... (G. Savary/24 Heures, Lausanne) “ Dom Juan ” Le chef d'oeuvre de Molière a été joué avec allant, esprit, ton juste, par ces comédiens amateurs, avec un Sganarelle vraiment formidable, à la fois subtil, bonhomme, généreux, emporté... (M. Cournot/Le Monde) Le spectacle le plus bouleversant de la saison ne se déroule pas sur la scène d'un théâtre parisien, mais dans l'ancienne chapelle de la prison de Bois d'Arcy... (Y. Schidlow/Télérama) A l'origine de ce Dom Juan surprenant, Serge Sándor. Une goutte de bonheur dans un océan de grisaille... (G. Dalmaz/FR2) “ Que faire en cas de Copropriétaires ? ” Un spectacle d'une rare intensité qui nous donne l'envie que le théâtre dure, des comédiens époustouflants, qui dirait qu'ils sont amateurs et plus encore, enfermés ?... (A. Maneval/Europe 1) Ils sont en prison. On leur propose un rôle, ils se jettent dans ce rôle d'une façon plus honnête, plus poussée. Ils vont loin, très loin dans leur personnage. Ce qui fait que nous, spectateurs, nous sommes complètement émus, atterrés par tant de justesse dans cette trouvaille qu'est le rôle qu'ils incarnent..." (V. Hotte, France Culture) “ Coup de Théâtre en Prison ” Pourtant les paroles d'espoir, les visages éclatants de bonheur sont arrivés de là où on ne les attendait pas: de la prison de haute sécurité de Bochuz en Suisse. Prix du Jury du FIPA, ce film de P. Grand sur la création théâtrale de S. Sàndor avec 20 détenus qui ont joué et écrit "Pour quelques Taulards de plus" (S. Darmaillac/Libération) “ Quart de Nuit ” Les braqueurs sur les planches ont donné d'eux-mêmes, autant que de vrais professionnels... (S. Gorny/FR3) “ Not'Bon Louis ” Not'Bon Louis est une oeuvre très étrange, les acteurs de la Compagnie du Labyrinthe mis en scène par Serge Sàndor ont un jeu d'un relief, d’une finesse étonnante... (M. Cournot/Le Monde) Les spectacles sur la Révolution, dénués de charme et de flamme se sont succédé à une telle allure qu'on avait hâte que l'année s'achève. Puis le miracle s'est produit grâce à un metteur en scène Serge Sandor... (Y. Schidlow/Télérama) Cette fiction a tout d'authentique. Au-delà des convictions de chacun, y compris celle de Louis XVI, les auteurs font dire à Marat "les victimes du pouvoir deviennent des bourreaux" et c'est peut-être là la leçon de cette pièce qui sonne juste... (D. Blain/Le Parisien) “ Abus de Mémoire ” Une oeuvre bien intéressante d'un auteur d'aujourd'hui qui réfléchit sur la mémoire, la souffrance, la création... (J.L.Jeener/Figaro) La mise en scène crépitante d'idées nous agrippe immédiatement. De ces images captivantes sourd un spectacle riche, une compréhension aiguë des drames qui rongent certains êtres et une noirceur subtile qui donne à penser. (M.H/Boum Boum) D'adorables incongruités viennent perturber le cours de cette pièce parée d'une majesté funèbre... (Y.Shidlow/Télérama) “ Gueule de Mariée ” Valérie Leboutte jette son manteau. C’est parti, on n’ose plus boire, ni fumer, on écoute la litanie d’une petite mariée de province qui vient de déserter ses noces et qui ne sait pourquoi… (A.Peigne-Giuly/Libération) Face à un parterre médusé par le texte toute en nuance de Serge Sándor, l’actrice est fascinante de justesse et d’équilibre. On en redemande.(P.Thévenin/Têtu) “ Les Bas-Fonds ” A l’initiative de S.Sándor, trente S.D.F. interprètent “ les Bas-Fonds ” sans un pas de travers... (M.Cournot /Le Monde) L’expérience peut paraître étrange: faire jouer “ les Bas-Fonds ” par des exclus, n’est-ce pas les enfermer dans un statut d’exclusion? S.Sándor qui a pris en mains, des mois durant, cette troupe, dépasse cette problématique. Présenté à Chaillot, ce spectacle a une forte légitimité. Il y a beaucoup de dignité dans cette entreprise, et la profondeur du cœur de M. Gorki nous touche… Ils ont réussi leur pari ! (Armèle Héliot/Figaro) Un an plus tard, ils jouent un drame qu’ils connaissent d’assez près où hommes et femmes transcendent leur quotidien noir dans l’alcool, l’amour et les mots. Des mots qui sonnent justes. (France-Soir) Au final, la pièce réputée sinistre se révèle légère dans sa cruauté. Gorki monté sans compassion déborde d’énergie. (Nova Magazine) “ Le Concile d’amour ” Serge Sándor embarque ici une trentaine de comédiens et le spectacle permet de mesurer la modernité de l’œuvre qui déclencha récemment en Allemagne et en France de violents affrontements. (M.Bouteillet/Libération