Le chemin de la liberté Le chemin de la liberté est un film qui se
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Le chemin de la liberté Le chemin de la liberté est un film qui se
Le chemin de la liberté Le chemin de la liberté est un film qui se passe en Australie au début des années 30. Les aborigènes n’ont aucun droit et sont placés dans des réserves par les Anglais qui ont le pouvoir et qui sont en majorité dans le pays. Molly 14 ans, Daisy 8 ans et Gracie 10 ans, trois filles aborigènes, se font enlever à leur famille pour être placées dans un camp de Métis. Là-bas les conditions de vie sont épouvantables. Les enfants sont entassés dans d’immenses dortoirs, mal soignés, mal nourris et souvent battus. Alors, profitant d’un moment d’inattention elles s’enfuient. Elles traverseront l’Australie à pied pour retrouver leur famille. La barrière à lapins, construite pour séparer les cultures des lapins, aidera Molly, Daisy et Gracie à se diriger dans la bonne direction car elle passe près du campement de la famille des trois filles. Mais arriveront-elles à surmonter les dangers du désert ? Si vous voulez le savoir, allez voir Le chemin de la liberté. Le réalisateur s’appelle Philip Noyce. Il est australien et est né en 1950. Son but est de nous montrer la cruauté des Blancs envers les aborigènes et les gens qui ne sont pas blancs. C’est du racisme. Le réalisateur est allé sur les lieux même où l’histoire s’est déroulée pour s’imprégner de l’ambiance, de l’atmosphère. Je trouve qu’il a bien réussi à nous montrer le racisme et la vie des aborigènes. La musique joue dans ce film un très grand rôle : le suspens, la tristesse, la peur. Les acteurs ne parlent pas beaucoup. Ils font comprendre leurs sentiments par des expressions du visage. C’est magnifique comme ils arrivent à faire ça. Surtout les enfants qui sont jeunes et débutants. Les paysages aussi sont magnifiques et tellement différents suivant les endroits. On est dans la forêt belle verte et quelques minutes après on se trouve dans le désert total. Ce film était super, il m’a fait découvrir l’Australie, la vie des aborigènes mais surtout la cruauté des Blancs. Je vous conseille d’aller le voir. Pauline, classe de M. Brechet, Vicques